Créée en 1987, la manufacture Forge de Laguiole résulte d’un projet de passionnés qui a depuis relancé la production de son célèbre couteau, connu et reconnu depuis 1829. Toutes les étapes de fabrication sont à nouveau réalisées sur son lieu d’origine : Laguiole (se prononce « laïole »), village aveyronnais de 1200 habitants. Le design de l’établissement est confié à Philippe Starck qui traduit parfaitement la philosophie de l’entreprise : l’alliance de la création et de la tradition. Une architecture de verre et d’aluminium d’où s’élance une lame de 18 mètres de haut, symbole de l’activité et du dynamisme de l’entreprise. Une production entièrement maitrisée Chaque couteau laguiole demande plusieurs heures, voire plusieurs jours de fabrication. La qualité de sa finition, la résistance de sa lame et de son ressort, l'épaisseur de ses mitres et platines, ainsi que la précision de son ajustage sont les éléments qui contribuent à sa durée de vie. La manufacture intègre toutes ces étapes de fabrication. Elle forge et trempe les lames sur le site de Laguiole. Le dessin de chaque couteau doit respecter le profil général déterminé par les couteliers du XIXème siècle ; la ligne des couteaux de la Forge de Laguiole inspire aujourd’hui de nombreux designers. Plusieurs types d’aciers forgés sont proposés pour satisfaire les amateurs de modèles traditionnels comme ceux de couteaux modernes. L’acier au carbone est le plus ancien. Apprécié des collectionneurs, il possède un fil irréprochable et « vit » en s’usant et changeant de couleur. Le nouvel acier T12 est, pour sa part, inaltérable, il conserve son éclat et son tranchant au fil des ans. Un savoir-faire unique Une centaine de salariés hautement qualifiés opère, chacun selon sa spécialité. C'est un véritable voyage dans le temps que propose Forge de Laguiole, pas de course inutile à la technologie, ni de cadences infernales. Ici, on travaille à l'ancienne, selon des techniques éprouvées. C'est le lieu du toucher, de l'odeur des matières, de l'œil qui guide le travail millimétré des mains, des bruissements des frottes en lin ou du choc des rivets. Fabriquer un couteau pliant ou un couteau de table laguiole comprend de nombreuses étapes essentielles telles que l'estampage, la découpe, l'ébavurage, le blanchissage, le guillochage, le perçage, le façonnage, le détourage, le polissage et le lustrage… Assembler un couteau réclame entre 40 à 180 opérations. Toutes sont réalisées sur place. A commencer par les lames dont les aciers différents sont forgés trempés et finissent par se parer de toutes les variantes du rouge. Ici, on aime à dire que le Laguiole épouse le rouge-cerise, sa robe favorite. Celle-ci suivra ensuite le même circuit, le même rite. Elle croisera dans les couloirs ou dans les bacs les manches sculptés dans d'innombrables matières. Elle sera frappée du précieux logo, elle se dévoilera, sertie du ressort guilloché et la célèbre abeille lui sera apposée... Les mains du coutelier et les matériaux utilisés font de chaque couteau une pièce unique. Qu’il s’agisse de pliants aux manches façonnés en corne, en bois, en aluminium, en os ou en carbone, avec une lame de 7 à 21 cm, un tire-bouchon et un poinçon ou des couteaux de table : Tout se passe à l'œil, au jugé, au ressenti, au touché. Fabriquer un vrai couteau Laguiole est un processus complexe qui témoigne d'un authentique savoir-faire, c’est celui-ci qui fait la renommée de La Forge de Laguiole à travers le monde. ...
Vous vivez à Paris et vous en avez marre de vous retrouver toujours au même bar ? Avec l’application mobile Toot Sweet, finie la routine ! Quand rien n’est prévu, tout est possible ! Souvent, trop de choix tue le choix. En tant que parisien, vous vous en rendez compte au quotidien. Vous avez tout à côté de chez vous, mais vous ne savez pas où donner de la tête. Et surtout : il est difficile de motiver vos amis à assister à un spectacle dans quelques jours. Toujours la même excuse : « je sais pas, je verrai sur le moment ». C’est en partant de ce constat et en se rendant compte que les meilleures soirées sont celles qui ne sont pas prévues que les créateurs de Toot Sweet ont imaginé cette nouvelle application. Sur le format, Toot Sweet s'est inspirée de Tinder, l’application de rencontres, sauf qu’à la place de liker « Manuela, 23 ans », vous pourrez liker un one man show, un concert ou un bal masqué disponible maintenant ou dans les prochaines heures à proximité. Finie la préparation ! Vous êtes entre amis et vous avez envie de sortir : consultez Toot Sweet et voyez ce qui se passe à côté de chez vous. En un instant, vous pouvez réserver des places ou vous inscrire sur une guest list. Facile, rapide et fun. Surtout que Toot Sweet fait son maximum pour vous proposer les meilleurs plans par catégorie (soirée, concert, restaurant, bar, théâtre…) et en fonction de vos envies. Car, cerise sur le gâteau : cette application est capable de mémoriser vos préférences pour vous annoncer seulement les lieux et événements qui vous intéressent. Pourquoi installer Toot Sweet ? Si vous résidez en Ile de France, Toot Sweet va vite devenir votre compagnon indispensable pour décrocher de votre agenda et vivre l’instant présent : quelle que soit l’humeur du moment, on se décide sans prise de tête, le jour même. Puis, c’est gratuit. Donc, ça ne vous coûte rien d’essayer. Les meilleures soirées sont celles qu’on n’avait pas prévues… alors on découvre « tout d’suite » ! ...
En créant Papilles & Mamies, Cyril Romanet et Charlotte Thienpont ont voulu rendre accessible à tous une cuisine de qualité toujours élaborée à partir de produits frais et de saison. Faire du désir de bien manger un plaisir du quotidien, tel est l’objectif que se sont fixé ces deux amoureux de la cuisine traditionnelle française. Une histoire née de la passion pour la bonne cuisine L’univers culinaire n’a aucun secret pour les deux épicuriens dans l’âme puisque, dès leur plus tendre enfance, ils y ont été initiés. Ayant grandi dans une ferme, Charlotte a développé un amour particulier pour le bon produit. Quant à Cyril, il a appris à aimer et préparer la cuisine du terroir auprès de sa grand-mère. Dans une volonté de pérenniser ces souvenirs et partager leur passion pour la cuisine au plus grand nombre, le duo s’accorde à créer une solution qui permettrait à chacun de se faire livrer de bons plats authentiques. Le défi est donc lancé en 2018 quand Charlotte et Cyril décident de participer au concours « 100 jours pour entreprendre » qu’ils remportent avec succès. Ensemble, ils poursuivent leur entreprise avec l’aide de l’incubateur Smart Food Paris et ont réalisé un test de commercialisation avec succès. A noter que ces bons petits plats qui fleurent bon les odeurs d’enfance et les matinées agitées sont tous mijotés en cuisine par l'équipe, avec des ingrédients méticuleusement sélectionnés. Et pour que l'offre soit accessible à tous, nos deux cordons bleus préparent en coulisse l'ouverture officielle des commandes, qui sera annoncée sous peu. Des repas chaleureux et conviviaux Pour Cyril et Charlotte, alimentation de qualité rime avec produits sains et frais. Ainsi, seuls les meilleurs ingrédients locaux et de saison ont la place dans leur cuisine. Et pour conserver le maximum d’apports nutritionnels, les repas vont être soigneusement mijotés à basse température dans des bocaux en verre. Bannissant les additifs et autres conservateurs, ce mode de préparation artisanal permet d’assurer une conservation plus naturelle des plats. Le consommateur bénéficie ainsi de repas frais, et équilibrés, riches en saveurs et préparés avec amour et délicatesse, exactement comme on les aime. Et parce qu’un bon lunch n’est pas uniquement réservé pour les grandes occasions, Papilles et Mamies fait de ce plaisir une expérience à vivre et à partager au quotidien. L’occasion de se réunir en famille ou entre amis pour un moment gourmand et convivial. ...
Le taux de mobilité internationale des Français a explosé ces cinq dernières années. Très souvent, ces déplacements hors frontières entrainent une rupture des repères culturels, particulièrement déstabilisante notamment pour les jeunes enfants. Dans ce contexte peu rassurant où les expatriés et leur famille se sentent vulnérables, une solution digitale a été conçue pour leur apporter des soins de qualité, une assistance et des conseils psychologiques déployés dans leur propre langue et dans leur culture. Un réseau de proximité même à distance La start-up a été créée en 2010, avec comme objectif de départ de monter un réseau de professionnels de santé pour accompagner psychologiquement et prendre soin des expatriés, francophones ou non, via la téléconsultation. « Nous voulons offrir un climat de confiance aux personnes qui partent vivre à l’étranger, pour qu’elles puissent s’exprimer plus aisément et se faire comprendre plus facilement » explique Matthieu BRANCHER, Directeur Marketing & Innovation. Le visiteur qui s’est inscrit sur le site est libre de choisir son interlocuteur parmi les 150 experts en psychologie, psychiatrie, neuropsychologie mais aussi en orthophonie, médecine générale et en dermatologie, spécialement formés dans la vidéo-consultation. Cette équipe multiculturelle, qui consulte en plus d’une trentaine de langues différentes, est accessible sur rendez-vous 24h/24. Un système de gestion en interne permet aux praticiens d’organiser leur agenda et les dossiers patients, de générer des prescriptions et de garder la correspondance avec leurs clients. Tous ces échanges s’effectuent dans un univers entièrement sécurisé, où chaque information cryptée garde son anonymat et stockée auprès d’hébergeurs agréés. Par ailleurs, Eutelmed consacre un espace de prévention dédié aux dispositifs d’aides psychologiques à destination des expatriés face au changement d’environnement de travail, du cadre culturel ou la difficulté d’établir un lien social. Ainsi, elle met à disposition des visiteurs des contenus actualisés et interactifs : webinar, video live, podcast, blog et articles web qui traitent des thématiques concernées par la mobilité internationale. « La plateforme veut centraliser toutes les réponses et tous les services de soins qu’elle peut offrir à ces personnes qui partent vivre à l’étranger ». ...
L’iaelyon est rattaché à l’université Jean Moulin. Cette école de management publique fait partie des 32 écoles universitaires de management qui proposent des Diplômes d'Etat en Management et Gestion. L’école est certifiée Qualicert et bénéficie de l’accréditation internationale EPAS. A l’iaelyon, vous pourrez choisir entre 7 licences générales, 12 licences professionnelles, 13 masters et un programme doctoral. Mais cette école est devenue également un acteur majeur dans la formation continue. Entretien avec Corinne Forgues, directrice du Développement de la Formation Continue Quelle est l’offre de formation continue que propose l’iaelyon ? L’offre est très large, à la fois diplômante avec des diplômes niveau master en français, un MBA en anglais, un Executive Doctorate in Business Administration en partenariat avec BSI, 5 diplômes d’université qui sont positionnés à bac+3 ou à bac+5. Nous avons également une activité d’offres sur-mesure pour les entreprises où nous construisons entièrement des programmes dédiés au public spécifique des entreprises. Nous proposons également des formations courtes, certaines certifiantes. Nous faisons de la VAE (Validation des Acquis par l’Expérience). Ceci sur tous les champs du management et de la gestion. La demande est forte surtout sur les formations intra et sur les formations courtes en management. Nous avons également des formations techniques sur la finance, le marketing, etc. La demande des entreprises pour des formations sur-mesure est en constante augmentation. A qui s’adressent vos formations ? Pour intégrer un master, il faut a priori au minimum un niveau bac+4, mais grâce à la Validation des Acquis par l’Expérience Personnelle et Professionnelle, nous pouvons intégrer des personnes qui ont un niveau d’études initial inférieur à bac+4 au vu de leur expérience professionnelle. Les profils sont très variés. Nous avons des personnes avec des diplômes d’ingénieur, des diplômes de juristes qui viennent parce qu’elles ont besoin à un moment de leur carrière d’une nouvelle dimension managériale et gestion ou des participants qui veulent renforcer leurs compétences métier. Nos participants viennent majoritairement des entreprises, mais également du monde de la santé, du monde des ONG, du monde associatif, du secteur public. Pourquoi choisir l’iaelyon ? L’école se trouve dans la Région Lyonnaise, donc à proximité de nombreuses entreprises dynamiques. Nous avons une offre qui est très large et qui répond aux profils de nombreux professionnels. De plus l’offre est construite pour pouvoir concilier temps professionnel et temps en études. Nous essayons d’adapter au maximum les emplois du temps au rythme professionnel. Par exemple les populations commerciales ont du mal à libérer du temps en semaine, donc nous faisons des formations le vendredi après-midi et le samedi. Les contrôleurs de gestion ont besoin d’être libres en début de mois et en fin de mois, donc ils n’ont jamais de cours à ce moment-là. Avec la modularisation des formations, on peut obtenir un diplôme en 3 ou 4 ans, en choisissant chaque année quelques modules, pour à la fin aller vers le diplôme. ...
Le Cap : un restaurant incontournable Dans un cadre enchanteur, ce restaurant accueille ses convives avec une vue imprenable sur la Méditerranée. Proposant des plats faisant honneur aux spécialités du terroir, cette table reste une référence pour les amateurs de cuisine élégante. Elle privilégie des produits frais locaux et donne la priorité à des plats raffinés, à l’instar du rouget rôti précédé de Gamberonis accompagné d’un citron de Menton à l’huile d’olive. Le restaurant dispose, entre autres, d’une cave à vins forte d’une centaine de références nationales et internationales pouvant être dégustées dans un lieu privatif de l’établissement : le Salon des Collections. Le restaurant La Véranda : Raffinement culinaire et décontraction À mi-chemin entre le décontracté niçois et le luxe monégasque, cet établissement se démarque par son décor alliant sobriété et élégance. Propice aux instants gourmands en journée, en après-midi ou en soirée, cette table propose des plats rappelant les succulences méditerranéennes préparées avec les saveurs d’une nature généreuse. Pour un « afternoon tea » ou pour un brunch, les menus à la carte associent les meilleurs produits locaux, un savoir-faire traditionnels et une touche de l'Italie voisine, avec toujours la Méditerranée en toile de fond. Le Club Dauphin Ce restaurant situé en bord de mer est le lieu idéal pour se ressourcer autour d’un verre et de plats typiquement méditerranéens : Salades fraîches, viandes grillées, pêche du jour etc. Avec une cuisine à base de produits frais choisis pour leur qualité et pour leurs origines fidèles aux valeurs de l’établissement, le Club Dauphin, à l’ambiance agréable et conviviale, figure parmi les adresses incontournables sur la Côte d'Azur. ...
A quelques minutes de Saint-Tropez, La Réserve Ramatuelle est un des rares Palaces de la Côte d’Azur. Une distinction qui favorise les établissements présentant des caractéristiques exceptionnelles, capables de promouvoir à l’international l’attractivité de la France et l’art de vivre à la française. Un tremplin vers les étoiles Eric Canino, le chef fait ses premières gammes à Manosque en 1987 puis effectue une formation de pâtisserie chocolat avec René Fontaine, Meilleur ouvrier de France Chocolatier à Barcelonnette. Et, c’est aux Roches de Lavandou qu’il débute sa carrière pour devenir au fil du temps le chef des cuisines de Michel Guérard considéré comme l'un des fondateurs de la « nouvelle cuisine ». Le Grand Véfour profite ensuite de son talent avant qu’il ne prenne ses quartiers au Restaurant La Voile en tant que Chef exécutif. S’appuyant sur son riche parcours, Eric compte aussi énormément sur son équipe avec qui il partage toutes ses réussites. Grâce à sa passion, sa ferveur et à sa rigueur, il décroche l’un des titres les plus convoités : l’étoile au Michelin. Des produits frais et locaux Avec des produits bruts issus du terroir provençal, il orchestre des plats d’exception. Il veille à réaliser une cuisine aux couleurs du sud amplifiée par des saveurs inouïes. Inspiré et créatif, il perfectionne ses plats en conciliant gourmandise et simplicité afin de régaler les papilles. Pour ses créations culinaires, ce maestro s’appuie d’une part sur le potager de La Réserve Ramatuelle situé à proximité des cuisines du restaurant. Avec un mode d’exploitation raisonnée, ce potager s’ouvre à une douzaine de variétés de tomates, à plusieurs herbes aromatiques comme l’origan, la marjolaine et la citronnelle de Madagascar. Le chef Canino y cueille également ses légumes tels que les poivrons rouges et les aubergines blanches sans oublier les arbres fruitiers qui en plus d’offrir une décoration verdoyante, apporte finalement tout ce dont le chef a besoin pour sublimer ses plats.Le restaurant travaille aussi avec de petits producteurs locaux œuvrant de Marseille à Nice et rigoureusement sélectionnés pour la qualité de leurs produits. Une cuisine raffinée et savoureuse En avant-goût, les recettes délicates et aromatisées aux senteurs provençales font place au Calamar cuit au parfum de tomate au basilic et la Seiche rôtie et pattes croustillantes accompagnés d’olives Taggiasche.Parmi les plats aux saveurs marines, le Chapon de Méditerranée farci aux épinards et calamar. Ce poisson de roche évoluant dans les eaux profondes est méticuleusement préparé et servi avec du fenouil confit à la passion accompagné de pomme de terre fondante au jus de bouillabaisse. Côté viande, le Veau du pays Basque quasi rôti et en tartare accompagné de girolles marinées abricot rôti et cylindre d’agria au romarin se savoure sans hésitation. En dessert, le Chocolat grand cru du Pérou : « After eight » à la menthe poivrée du jardin joint à un Sorbet Perrier Menthe amuse le palais au grand bonheur des gourmands. Un cadre épuré et naturel Traversé par la lumière naturelle, le restaurant aux immenses baies vitrées habillée d’un blanc immaculé offre une vue imprenable sur la Méditerranée. Les lignes épurées et élégantes insufflent une ambiance douce et chaleureuse où le bien-être, le confort et l’élégance sont de mise. A l’extérieur, sur la terrasse ombragée, les convives apprécient le climat doux azuréen. Doté d’un environnement naturel exceptionnel, le jardin offre un paysage authentique sublimé notamment par les impressionnants oliviers bicentenaires. Les senteurs méridionales renforcent la beauté du cadre avec les myrtes et les romarins parsemant l’ensemble de la propriété. ...
Situé au cœur de la sous-préfecture de la Martinique ou « l’île aux fleurs », à Trinité, entre la commune du Robert et la presqu’île de la Caravelle, le domaine agricole Le Galion se trouve à environ un kilomètre de Fort-de-France. C’est dans un environnement paisible et enchanteur que l’usine accueille les visiteurs pendant la période de production sucrière en leur proposant des dégustations de ses produits, notamment du sucre roux et du rhum agricole. Une sucrerie martiniquaise séculaire Construit entre 1861 et 1865 par Émile Bougenot, un jeune ingénieur de 23 ans mandaté par l’ancien propriétaire des lieux, le site de production sucrière actuel a lancé sa première véritable campagne en 1864 après un prétest fructueux un an auparavant. Son nom est tiré de la rivière éponyme se trouvant à proximité de l’usine, qui autrefois faisait office de lieu de ravitaillement en eau potable aux navires espagnols : les Galions. Depuis le succès de sa campagne, la sucrerie du Galion perpétue la culture de la canne à sucre en produisant et en commercialisant ses produits à l’international, « essentiellement en Europe », précise Marcel Marie-Sainte, le propriétaire actuel. À la découverte d’une nouvelle aventure Chaque année, Le Galion ouvre ses portes au grand public afin de lui faire découvrir le secret de fabrication du sucre roux et de rhums agricoles, « de l’arrivée de la canne à sucre dans l’usine jusqu’à la sortie du sucre, les visiteurs composés d’un groupe de quinze personnes, vont découvrir une véritable magie », révèle le propriétaire. Une visite guidée d’environ une heure est assurée par une hôtesse. Au programme : découverte de l’histoire de la canne à sucre, du domaine agricole, de l’usine centrale à vapeur du Galion, ainsi que des dégustations et des projections vidéo au sein de la boutique du domaine, un espace détente aménagé juste à l’entrée. Lors de la visite, « il est possible d’échanger avec les opérateurs à leur poste de travail », continue notre interlocuteur. Une unité sucrière hors du commun En Martinique, Le Galion est la seule unité de production sucrière qui fonctionne 365 jours sur 365 depuis 1899. Il propose deux types de produits exclusivement martiniquais, dont le sucre « Le Galion » et ses déclinaisons « Cassonades », ainsi que les rhums « Grand Fond Galion » et le « Grand Arôme ». Ces derniers sont obtenus par fermentation naturelle du saccharose, « sans apport d’aucun élément, ni ferment ni levure », ce qui fait leur originalité explique Marcel Marie-Sainte. Étant donné que le processus dure au moins huit jours afin de maintenir en vie les souches bactériennes, l’usine est en activité toute l’année générant ainsi une production annuelle de 500 000 à 600 000 litres de rhums. Quant au sucre roux, il est élaboré à partir de cannes 100 % locales. ...
Situé à Parigné, entre Rennes et Fougères, le restaurant fait partie intégrante de ce magnifique château datant du XVIème siècle, entièrement rénové alliant modernité et charme historique. L'établissement est un hôtel 4 étoiles de 19 chambres classé « Relais du Silence et Symbole de France ». De nouvelles chambres sont en cours de construction ainsi qu’un spa avec un espace dédié bien-être. La propriété, qui s'étend sur près de 78 hectares, englobe le château, une chapelle, un practice de golf (la construction du parcours de 9 trous débutera en 2017 et par la suite un 18 trous) et un parc avec un étang où chevaux et autres animaux cohabitent paisiblement. A noter que le célèbre Mont Saint-Michel se trouve à 30 minutes de voiture du Château du Bois Guy. Le château à travers l'histoire Le Château de Bois Guy, de style Renaissance, a été édifié au XVème siècle du temps des seigneurs bretons. Parmi ses plus illustres propriétaires figure Aimé Picquet du Bois-Guy, un chef de partisans royalistes du temps de la Révolution, qui a d'ailleurs laissé son nom à la propriété. En 2009, Michael Linhoff et Mathias Haefeli en font l'acquisition. Aujourd’hui, c'est grâce à ces deux hommes passionnés et les travaux de rénovation qu'ils ont menés que le Château est devenu un Domaine résolument chaleureux et élégant. Un domaine magnifique, une cuisine exceptionnelle L’équipe de restauration, sous la houlette de Line Schmidt, attache une importance toute particulière à l’utilisation de produits frais et de saison, issus de producteurs locaux pour servir une cuisine de grande qualité. C’est ainsi que le restaurant a été récompensé en 2015 par l’obtention du label "Restaurant de Qualité" reconnu par le Collège Culinaire de France. L’équipe, toujours en quête de perfection, a également en ligne de mire une étoile au Guide Michelin. La carte et les menus sont régulièrement renouvelés selon les inspirations, sans cesse teintées d’originalité de la chef. Pour se donner une idée de la frugalité des plats, voici quelques suggestions proposées dans le menu à 40 €. En entrée au choix : Velouté de Topinambour à l’huile de Truffe & Coquilles Saint-Jacques ou la Panna Cotta de Légumes de saison & salade avec sauce aux Herbes Sauvages. Pour le plat, choisissez entre le Filet de Saint Pierre, accompagné de petits Navets et mini Poireaux ou Magret de Canard, Pomme Anna & Champignons, servi avec sa Sauce au Vin Rouge. En dessert, rien de tel qu’un Gâteau Mazarin accompagné de Fruits de Saison & de Caramel au Beurre Salé. ...
1. Des formats de formation inédits ! En 2030, la formation professionnelle sera complètement transformée. Elle replacera systématiquement l’apprenant au cœur de la démarche (« learner centric ») et proposera une approche ludique, plus personnalisée à chacun, selon son niveau, son projet et les compétences à acquérir. Le Rapid Learning (apprentissage rapide), la Gamification (la ludo-pédagogie et le fait d’intégrer le jeu dans les parcours de formation) et l’Adaptative Learning (apprentissage adaptatif – parcours de formation totalement personnalisés) seront démocratisés. L’hologramme le sera également et permettra de se former autrement : en téléportant des formations ou des formateurs sur son smartphone ou dans un lieu à distance, par exemple. Les formats seront principalement inspirés des nouvelles pratiques du digital et de l’innovation pour répondre aux nouveaux modes de consommation de la formation et aux besoins des apprenants. 2. Se former partout, n’importe quand et depuis n’importe quel support (ATAWAD) L'ATAWAD (Any Time, AnyWhere, Any Device) désigne la possibilité qu'offrent les technologies numériques d'être toujours connecté. Grâce à cette « mobiquité » exacerbée, il sera facile de se former selon sa préférence, d’où on le souhaite, n’importe quand et depuis n’importe quel support (ordinateur, tablette, mobile, lunettes connectées). 3. La formation sera collaborative (social learning) Cette modalité pédagogique crée un véritable cercle vertueux car le principe du social learning est bien d’appliquer des technologies sociales à des fins de formation. Cela peut se formaliser par le biais des plateformes communautaires (réseaux sociaux, forums, wikis, etc.) où les connaissances des uns renforcent les compétences des autres. La formation de demain se trouvera ainsi enrichie par les formés eux-mêmes, qui proposeront leurs propres contenus et mettront à disposition leur expérience et bonnes pratiques (« reverse mentoring » digitalisé). 4. La puissance du blended learning Dans un contexte où la révolution numérique est omniprésente, prendre le meilleur de l’humain et du digital pour les mettre au service de la formation, cela sera la promesse du blended learning (apprentissage mixte). En 2030 l’humain sera à nos yeux encore plus plébiscité pour deux raisons majeures : - Les grandes évolutions digitales en matière de formation seront digérées et le sujet ne sera plus une course à la technologie mais bien à la meilleure pédagogie : la meilleure approche et les meilleurs outils pour atteindre des objectifs de montée en compétences et la performance pour les entreprises. - Les formateurs (parfois en opposition avec le numérique par crainte) auront une maturité différente sur le volet numérique et utiliseront le digital avec beaucoup plus de pertinence dans leurs actions présentielles. Cela deviendra la norme. 5. Les impacts de la formation seront mesurables (ROI) En 2030, la formation professionnelle mesurera l’implication du formé et les impacts dans sa vie professionnelle pour optimiser le retour sur investissement (ROI). Les entreprises auront également accès à un tableau de bord permettant de mesurer avec précision le ROI de leurs actions de formation. 6. L’Intelligence Artificielle au service de la formation et de l’emploi L’intelligence artificielle (IA) va permettre l’automatisation des tâches à faible valeur ajoutée. On peut imaginer qu’en 2030, les apprenants auront des « bots » ou coachs de vie professionnelle. De véritables Assistants personnels intelligents, pour développer sa compétence, son employabilité, se former tout au long de sa vie selon ses envies et ses besoins. Ils proposeront à tous des formations adaptées au marché du travail, aux emplois à pourvoir et à nos compétences parallèles à développer en temps réel. 7. Des labels d’excellence pour entreprises et formateurs Les entreprises devront être éligibles à un label RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) pour la qualité et l’intensité données &...
À travers un panel de services, Calleo facilite le quotidien des praticiens en assurant une permanence téléphonique de qualité et une gestion efficace de leur planning. Le télésecrétariat, une solution efficace et moins coûteuse Pour les professionnels de la santé, recourir aux services d’une secrétaire travaillant au sein de leur cabinet n’est pas toujours la meilleure solution. En effet, pour la grande majorité des médecins, le salaire attribué aux secrétaires représente jusqu’à 15 % de leurs recettes. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de professionnels préfèrent s’attacher les services d’une secrétaire à distance. Aujourd’hui, pour des raisons économiques, 32 % des médecins adoptent ainsi le télésecrétariat comme solution alternative. De manière générale, le secteur de la santé s’intéresse également au secrétariat externe dans la mesure où celui-ci facilite l’accès aux soins. En établissant un lien privilégié entre patient et médecin, il peut être perçu comme un moyen de lutter contre la désertification médicale. Tout sur Calleo Présent sur le marché depuis une quinzaine d’années, Calleo propose aux professionnels de la santé un service de télésecrétariat complet et adapté à leurs besoins. Qu’ils soient généralistes, spécialistes ou paramédicaux, les professionnels peuvent compter sur Calleo pour la gestion de leurs appels et rendez-vous. De manière ponctuelle ou régulière, une équipe expérimentée et professionnelle prend en charge les appels au quotidien conformément aux consignes du médecin. Les praticiens peuvent dès lors se consacrer entièrement à leurs activités sans craindre d’être dérangés par les appels des patients. Le professionnalisme dont font preuve les télésecrétaires de Calleo garantit zéro perte au niveau des appels et les patients sont assurés de ne subir aucune attente au téléphone. Par ailleurs, le médecin peut avoir accès en temps réel à son agenda médical en ligne et celui-ci a la possibilité de consulter à tout moment ses messages et ses rendez-vous ! En cas d’urgence ou de changement du planning, le praticien sera alerté immédiatement via SMS. Face à ses concurrents, Calleo offre une qualité de service très élevée et choisit d’opérer uniquement dans le secteur médical. ...
En place depuis 2015, la nouvelle équipe de La Java entend en faire un lieu à la fois engagé et accessible à tous les passionnés de musique alternative. La programmation 2018 est déjà des plus bouillonnantes. Tout sur La Java Établie dans le sous-sol du Palais du Commerce, La Java est un club emblématique du quartier de Belleville qui a ouvert pour la première fois ses portes en 1923. « C’est le premier dancing de Paris où se sont produits des artistes historiques tels qu’Édith Piaf, Fréhel ou Django Reinhardt », nous explique Louis Dubresson, chargé de communication. À ses débuts, la Java était connue pour être un dancing de jazz puis, dans les années 80, elle a accueilli de nombreux concerts de rock’n’roll et soirées afro. Au cours des années 90, la salle a servi durant un certain temps de temple à la salsa. Aujourd’hui, elle présente une programmation éclectique avec une large part consacrée à la musique électronique. « La programmation de La Java a toujours été soit avant-gardiste, soit ancrée dans l’évolution culturelle », confie notre interlocuteur. Un établissement engagé Tout en faisant venir des artistes de renom, La Java veut mettre l’accent sur le développement de la scène locale et émergente. Ce positionnement a pour objectif de propulser de jeunes artistes auprès d’un large public. Parmi ses engagements, l’établissement s’efforce également de faciliter l’accès à la culture au plus grand nombre. Pour cela, il a revu sa politique tarifaire. « Nous pratiquons des tarifs qui sont nettement en dessous de ce que proposent les autres clubs parisiens », nous indique-t-on. Par ailleurs, le fait qu’il se situe dans un quartier historique est essentiel. Fréquenté depuis ses débuts par la population locale, l’endroit est devenu un vecteur de rencontre et d’expression entre différents publics. En effet, La Java c’est également des espaces accessibles à tous où chacun peut s’exprimer librement sans craindre d’être jugé pour ce qu’il est. C’est le cas lors des soirée Queer accueillies par la maison et autour desquelles se retrouve la communauté LGBTQI (lesbien, gay, bi, trans, queer, intersexe). Manifestant son appui à un public parfois marginalisé, ce club mythique n'oublie pas également ses engagements pour la santé et la sécurité des publics. « Nous mettons en place des stands de prévention pour informer les participants sur les conduites à risque, il est primordial que les gens apprennent à faire la fête de manière responsable », précise Louis Dubresson. ...
Le Taï Shõgun est le tout premier restaurant japonais à avoir ouvert ses portes à Nantes et sur l’ile éponyme. L’établissement à l’architecture contemporaine et au cadre moderne propose deux espaces bien distincts, disposant chacun de son ambiance propre : le kaiten et le teppanyaki. Il bénéficie d’une vue imprenable sur la Loire. Ses cuisiniers sont des chefs japonais qui respectent les valeurs et les principes fondamentaux de la gastronomie japonaise. Tous les plats, qu’ils soient cuits ou crus, sont élaborés uniquement à partir de produits frais et de saison, garants du gout et de la saveur si chers à cette cuisine. Le kaiten ou sushi bar Le concept du « kaiten » est simple et innovant : les convives se servent selon leurs envies. Il s’apparente à un bar sur lequel défilent les assiettes proposées sur la carte. Les plats sont élaborés par les maitres sushis qui officient derrière le comptoir, directement sous le regard des clients. Véritables artistes culinaires, les cuisiniers du Taï Shõgun réalisent des plats travaillés avec minutie, qui affichent un véritable raffinement tant au niveau du gout que sur le plan visuel. Tous les classiques de la cuisine japonaise sont inscrits à la carte : sushis saumon, makis thon, California, calamars sauce yakumi, tempura de crevettes et autres brochettes de poulet, saumon ou canard. Au kaiten, les assiettes affichent une couleur spécifique qui informe le client sur le prix du plat. Ainsi, les convives peuvent savourer tranquillement tout en contrôlant leur ardoise. Le teppanyaki, trait d’union entre cuisine et spectacle La cuisine du « teppanyaki » est une représentation culinaire, presque un show. Les convives, disposés côte à côte autour de l’« hibachi » (un immense grill), assistent directement à la préparation des plats par le chef Hinotsume. Ce dernier ponctue toujours son travail par de petites animations et anecdotes gourmandes. Mis à part son aspect spectaculaire, cette méthode de cuisson présente également des avantages gustatifs. Tout d’abord, les aliments conservent intégralement leurs saveurs naturelles. Sans compter qu’elle préserve les vitamines et les sels minéraux contenus dans les ingrédients. Un vrai repas traditionnel japonais est composé de plusieurs plats. Il débute souvent par le « Ome Rice », déclinaison originale de l’omelette, avec du riz sauté et du ketchup. Il est suivi par l’incontournable « bœuf de Kobé », à la viande hyper tendre lézardée de gras, qui lui confère un gout exceptionnel. Suivent ensuite les mille et une variétés de riz gluant, de soupes miso et de consommés de poissons. La touche finale offre une note plus occidentale, avec les babas au rhum ou les panacottas de fruits rouges. Le tout est accompagné de saké et de tranches de gingembre à prendre entre chaque plat pour se nettoyer le palais. Privatiser le Taï Shõgun Le Taï Shõgun est privatisable, que ce soit pour un évènement professionnel ou familial. Il dispose d’une capacité d’accueil de 150 personnes debout pour des cocktails apéritifs ou dinatoires. La salle du teppanyaki est également privatisable et reçoit des repas d’affaires ou toutes sortes d’évènements jusqu’à 14 personnes. Le restaurant propose évidemment les spécialités japonaises mais peut réaliser des cocktails traditionnels français ou même une cuisine fusion. ...
Les spécialistes de grands vins de Bordeaux connaissent bien les créations du domaine Château de Panigon. En effet, le Château de Panigon, Cru Bourgeois et le Château Amour, Cru Bourgeois ont obtenu de nombreuses récompenses prestigieuses. Au tour de L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC de venir réveiller nos papilles. Un article pour mieux appréhender cette nouvelle référence qui a déjà impressionné de nombreux spécialistes dont le célèbre sommelier Paolo Basso. Château de Panigon : historique du domaine Pour trouver le domaine du Château de Panigon, il faut se rendre à plusieurs dizaines de kilomètres au nord de Bordeaux, vers la commune de Civrac-en-Médoc. Aujourd’hui géré par Corinne Leveilley-Dadda et Georges Dadda (respectivement fille et gendre des anciens propriétaires du domaine), il faut revenir quelques siècles en arrière pour en apprendre plus sur les origines du Château. En effet, bien qu’il soit difficile de dater précisément les origines du domaine, on peut voir apparaitre des mentions de Panigon dans les romans Pantagruel et Gargantua de Rabelais. Puis, quelques siècles plus tard (en 1850) dans le premier guide Cocks, Bordeaux et ses vins. À noter : c’est aussi à cette époque que sont plantés les platanes du château venant protéger de la chaleur le chai à barriques et le cuvier. Encore présents de nos jours, ces arbres centenaires nous proposent, sans aucun doute, une histoire riche, mais, malheureusement, méconnue. Une façon de travailler qui favorise un véritable respect de l’environnement Ce qui caractérise cette exploitation, c’est avant tout son aspect familial. Mais aussi la volonté des propriétaires, depuis 2006, de favoriser des méthodes de travail et une production à la fois moderne et respectant l’environnement. Ainsi, en 2016, le Château de Panigon a reçu le label Haute Valeur Environnementale de niveau 3 (HVE). Gage de la volonté de mettre tout en œuvre pour proposer à leurs clients un vin de grande qualité. Il faut dire que le domaine bénéficie d’un terroir exceptionnel. En effet, en plus de profiter des influences de l’Estuaire de la Gironde et de l’Océan Atlantique, le domaine qui s’étend sur 90 hectares dispose de sols 65% graveleux et 35% argilo-calcaire. Idéal pour un vignoble 50% Merlot, 45% Cabernet-Sauvignon et 5% Petit-Verdot. Ce qui permet de créer des vins à la fois souples et élégants, connus pour leurs tannins soyeux. Il faut aussi savoir que des vendanges vertes sont effectuées et que le vin est ensuite élevé entre 12 et 18 mois en fût afin de développer sa complexité et ses agréables notes fruitées en finale. À ce titre, les deux créations que sont Le Château de Panigon, Cru Bourgeois et Le Château Amour, Cru Bourgeois jusqu’en 2015 ont obtenu plusieurs récompenses : - Médaille d'Or au Women's Wine & Spirits Awards 2018 et au Guide Gilbert&Gaillard 2018 ainsi que Médaille d'argent au Concours de Bordeaux 2016 et au Concours Général Agricole Paris 2016 pour le Château de Panigon ; - Médaille d'or au Guide Gilbert&Gaillard 2018 et au Sakura Japan Women's Wine Award ainsi que Médaille d'Argent au Concours international de Lyon 2018 et au Concours Mundus Vini 2018. Sans oublier une une Médaille d’argent au Concours de Bordeaux 2018 et un Trophée « Coup de Cœur » du Festival des vins de Bordeaux en Chine 2019. L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC en détails Ceci étant dit, ce qui nous intéresse dans cet article est l’arrivée d’un nouveau vin : L’Amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC. Assemblé à partir d’un vignoble 50% Merlot et 50% Cabernet Sauvignon (un cépage typiquement « Médocain ») et produit sur un des meilleurs terroirs de la région constitué de 65 % de graves (dépôt alluvionnaire de la Garonne au quaternaire), il est ensuite élevé 100% en barriques (dont 33% en barriques neuves) pendant 6 mois. Pourquoi ce vin nous intéresse-t-il ? Parce qu’avant tout, d’après Georges Dadda, L’amour Cuvée Cupidon 2016 AOP MEDOC est un vin ...
Les fonctions cellulaires, la division cellulaire ou le transport intracellulaire figurent parmi les domaines d’études de prédilection de ce laboratoire dirigé par des équipes de l'Institut Curie, travaillant en partenariat avec L'École supérieure de physique et de chimie industrielles de la Ville de Paris. La compréhension de ce monde cellulaire intimement lié au développement des cellules tumorales sera le tremplin pour l’élaboration de stratégies thérapeutiques efficaces dans le traitement des cancers. Selon Madame Léa Wurges, Labex Manager, « l’objectif est de mettre ensemble les physiciens et les biologistes, les réunir avec le même langage [scientifique] et d’envisager des collaborations futures pour pousser les recherches ». Deux unités dédiées à la biologie cellulaire et à la chimie ont ainsi été créées au sein de ce projet collaboratif et interdisciplinaire en vue de mutualiser les connaissances des chercheurs dans ces deux domaines connexes et interdépendants. Un projet de recherche fondamentale pluridisciplinaire Ce projet innovant, financé par le ministère de l’Enseignement et de la Recherche scientifique, est piloté d’une main de maître par deux chercheurs émérites : Maxime Dahan, physicien, et Bruno Goud, biologiste. À la tête d’équipes de biologistes et de physiciens, ils coordonnent les activités au sein des unités de recherche du labex CelTISPhyBio dans le but d’amorcer les recherches en biologie cellulaire à mi-chemin entre les lois de la physique et de la biologie. En effet, les approches choisies pour étudier les cellules, leurs propriétés individuelles et leur comportement collectif sont axées sur leurs propriétés physiques. Dans cette optique, les recherches sont effectuées suivant trois grands domaines : la communication intercellulaire, la régulation des fonctions des cellules et le remodelage de leurs membranes. Les résultats de ces recherches représentent un progrès non négligeable pour la biologie cellulaire et l’étude des tumeurs. Leur application dans le domaine thérapeutique relèvera d’un partenariat effectif et à long terme avec des industriels, notamment ceux œuvrant dans le domaine pharmaceutique. D’ailleurs, l’Institut Curie est doté d’une cellule de valorisation, un organisme chargé de faciliter le transfert des innovations technologiques issues de la recherche biophysique vers l’industrie pharmaceutique, un espoir pour la lutte contre le cancer. Pour l’appui aux chercheurs et le financement des projets innovants Le labex Celtisphybio intervient également dans le financement et accompagnement des nouveaux chercheurs en proposant notamment des bourses de financement pour les postdoctorants. Cours et ateliers à sujets différents et évolutifs y sont également proposés ; ces cours octroient, en prime des deux perceptions scientifiques d’un sujet, des crédits d’unité d’enseignement valables pour le système ECTS. Des bourses pour participer à des congrès ou cours scientifiques sont offertes aux chercheurs ; le programme « short-term fellowship » est destiné à envoyer ou faire venir des chercheurs afin de faciliter les collaborations et l'apprentissage de nouvelles techniques. Des bourses à plus grande échelle sont également attribuées. Le programme « Grounbreaking » Pour les 3 années restantes du projet, le Labex souhaite laisser son empreinte, sur l’institut Curie et à la communauté scientifique internationale. Il a mis en place un programme ambitieux qui consiste à proposer aux équipes des financements très conséquents pour développer des projets totalement novateurs pour lesquels il n’existe pas encore de données préliminaires. Le concept est, selon les explications de Léa Wurges, project manager, d’ « élaborer des projets innovants, révolutionnaires à niveau de risque élevé mais avec un enjeu important ». 5 projets innovants ont ainsi été selectionnés en début d’année par un jury international pour un financement à hauteur de 250 000€ chacun. ...
Chaque chocolat Weiss porte en lui un concentré d’amour, d’innovation et de rigueur qui fait depuis 1882 la référence de la maison. « From bean to bar », de la fève à la tablette, celle-ci imprime à ses produits toute la passion qu’elle nourrit pour son cœur de métier. Dès ses origines, dans la Saint-Étienne de la fin du XIXe siècle et sous l’impulsion d’Eugène Weiss, l’enseigne avait à cœur de développer leurs chocolats avec attention, pour plaire au plus grand nombre. Une approche intégrale du chocolat Lorsque le fondateur éponyme démarre dans la chocolaterie en 1882, sa vision était claire. S’inspirant du parcours de son père dans la viticulture, il ambitionnait de passer maître dans l’art de l’assemblage. Aujourd’hui encore, la maison tire sa fierté de cette particularité. Plutôt que de privilégier une origine dans ses sélections de matières premières, elle cherche sans arrêt des compositions issues de l’assemblage de fèves aux sources variées. Objectif : « obtenir un chocolat avec des goûts qui plaisent au plus grand nombre ». Autre signe distinctif de la maison : sa maîtrise de tous les cycles de production. Weiss est autant chocolatier que torréfacteur de fèves de cacao. L’enseigne a également développé des compétences de confiseur et de pralinier. Ce qui l’autorise, avec ses produits déclinés en gammes riches avec un savoir-faire centenaire, de satisfaire une clientèle faite de particuliers, de professionnels des métiers de bouche et d’entreprises. Le concept de Haut Chocolat® développé par la maison comme son label propre insiste d’ailleurs sur cette notion de chocolat de qualité, mais accessible à tout le monde. L’innovation rigoureuse pour des produits gourmands et sûrs Dépositaire d’un savoir-faire chocolatier perpétué depuis quatre générations, la maison Weiss n’a de cesse d’améliorer la qualité de ses recettes, tout en leur distillant sa fibre novatrice. Les ateliers de fabrication développent des recettes garanties 100 % pur beurre de cacao. Répondant aux critères du 100 % made in France, les produits de la maison sont également vérifiés exempts de traces de gluten. Les matières premières – fèves, épices et fruits – sont rigoureusement sélectionnées dans les meilleurs terroirs. Finalement, les adeptes de la marque accèdent à un choix vaste et raffiné de produits incluant des tablettes et des bonbons de chocolat à composer dans des ballotins ou prêts à offrir. Professionnels et pâtissiers du dimanche disposent d’une sélection dédiée. Les envies quotidiennes de douceurs sont tendrement satisfaites avec les boîtes de gourmandises, faciles à emporter partout. Aucun chocolat Weiss ne ressemblant à un autre, le Napolitain se démarque dans la liste des produits phares de la maison. Sa carte d’identité : naissance en 1926, un carré dont les arômes sont magnifiés par le café avec lequel il signe un heureux mariage. Ce petit péché, emblématique chez les connaisseurs, se décline en noir, blanc et lait. Les tablettes de la marque rivalisent d’originalité de goût, tous les palais s’y retrouveront. Depuis le Lait Manatée qui fond en bouche avec des effluves des Caraïbes à l’incontournable Noir Ibaria avec ses notes d’oranges. Ces recettes sont à découvrir dans les cinq boutiques de l’enseigne, dans les grands magasins, ainsi que sur le site Internet de la marque. ...
Installé dans une gentilhommière de briques rouges datant du XVIIIe siècle, le Château de la Mallevieille était un ancien relais de poste très fréquenté. En1958, Fernand Biau a un coup de cœur pour ce lieu et décide de l’acheter. L’exploitation viticole débute deux ans plus tard. Son fils Philippe prend le relais en 1983 et s’installe avec son épouse Hélène au domaine. En 1996, les époux s’associent avec le couple Bernardinis, Thierry et Nadia, qui vont élargir la gamme en intégrant le Montravel rouge et le Montravel blanc. Une agriculture raisonnée Les parcelles du domaine sont situées sur la rive droite de la Dordogne, à une quinzaine de kilomètres de Bergerac et à une trentaine de kilomètres de Saint-Émilion. Ses coteaux exposés sud/sud-ouest se trouvent sur des sols argilo-limoneux et argilo-calcaire. L’argile garantit l’irrigation optimale des vignes toute l’année, grâce à sa grande capacité de rétention d’eau. Philippe et Thierry mènent sur leurs terres une agriculture raisonnée, dans le pur respect de l’environnement, afin de préserver les caractéristiques et la richesse du terroir. Le sol est enherbé et les intrants chimiques sont utilisés de manière très limitée avec un épamprage mécanique des vignes. Une technique de vinification traditionnelle Le Château de la Mallevieille est titulaire du label « Vigneron indépendant », garantissant que le vin est travaillé et vinifié par le vigneron lui-même. Au domaine, la vinification est réalisée de manière traditionnelle, dans des cuves en inox ou de béton revêtu. Les vins sont toujours élevés en barrique, et les blancs subissent une macération pelliculaire avec un suivi rigoureux des températures. Une belle sélection de produits Le Château de la Mallevieille produit une palette de sept vins, qui se déclinent sur les trois appellations d’origine protégée. Les « Bergerac »se déclinent en rouge, rosé et blanc. Le rouge composé de 60 % de merlot, 20 % de cabernet sauvignon et 20 % de cabernet franc présente une robe rouge grenat foncée. Il a un nez puissant et complexe, aux notes de fruits noirs. Ce vin est souple et rond en bouche et bénéficie d’une structure riche en tannins veloutés. Ce nectar accompagne à merveille les viandes rouges, les fromages, les confits ou les magrets. Le millésime 2014 a reçu une médaille d’argent au Concours des vins de Bergerac 2015, une étoile au Guide Hachette 2016 et une médaille de bronze au Decanter 2016. Le millésime 2015, quant à lui, a été récompensé d’une médaille d’argent au Concours général agricole de Paris 2016.Les « Côtes de Bergerac » se composent d’un rouge et d’un moelleux. Ce dernier se caractérise par sa fraicheur et son caractère tendre hérité de la rondeur du sémillon et du fruité sauvignon. Il se déguste avec des fromages bleus, du melon ou des fraises. Le millésime 2012 a remporté une médaille d’argent au Concours général agricole de Paris en 2013 et une autre au Concours des vins de Bergerac 2013.Les « Montravel » se déclinent en un blanc sec et un rouge appelé Cuvée « Imagine Mallevieille ». Ce vin est issu de vieilles vignes et élevé en barriques neuves. Son nez propose des arômes de fruits noirs épicés et une belle structure en bouche avec des tanins fondus. Son millésime 2012 a été cité au Guide Hachette et a reçu une médaille d’argent au Concours général agricole de Paris 2015. ...
Choisir de s’implanter à Rouen, c’est bénéficier de son environnement économique propice : sa position stratégique incomparable (à seulement 1h de Paris, au cœur de l’axe Seine, proche des capitales nord-européennes Londres - Bruxelles), son vivier de compétences et de savoir-faire, son industrie puissante où se concentrent les grandes filières et ses nombreux clusters (automobile, santé, aéronautique…). Du portuaire à l’assurance Au centre du 1er hub logistique portuaire français, Rouen est un port particulièrement spécialisé dans les marchandises diverses et l’agroalimentaire (1er port céréalier Ouest-Européen, trafic total - maritime et fluvial - de 24,5 Mt) ; s’y note aussi une activité forte dans le secteur de la chimie (1er port français pour la quotation des engrais). Historiquement lié à l’activité portuaire, le secteur de l’assurance a connu un essor considérable à tel point qu’il est devenu un marqueur de la vie économique et tertiaire du territoire. Des acteurs majeurs comme la Matmut, AXA ou MAE sont des moteurs d’emplois et d’investissements immobiliers. Cet écosystème assurantiel a également servi d’élément déclencheur au déploiement de plateformes de relation client. « Ce sont les leaders de l’assurance à Rouen, notamment AXA, qui ont expérimenté en premier la relation client à distance », nous explique Dominique Lemoine, Responsable du Développement Tertiaire & Numérique au sein de Rouen Normandy Invest. Ce secteur économique, en constante évolution, a mis l’accent sur la formation et les dispositifs de recrutement. Aujourd’hui, le territoire rouennais accueille 30 centres de relation client (SITEL France, Matmut, Voxens, CTRA Dalkia, …) représentant 3 000 emplois, dont 2 000 directement liés à l’implication de RNI. Territoire d’industrie 4.0 Le territoire abrite des fleurons de l’industrie nationale et internationale dans les secteurs automobile (Renault, pôle de compétitivité Mov’éo), aéronautique (Thales), pharmacie (Aspen, Sanofi), agroalimentaire (Ferrero, Nutriset, Touflet, Cargill), chimie (Lubrizol)… Dans un contexte international concurrentiel, ces industries sont engagées dans la transformation digitale de leurs activités pour répondre aux grandes mutations techniques et environnementales. Le territoire fournit les ressources digitales permettant aux différents acteurs de l’industrie d’opérer cette transformation. Des écosystèmes inter-filières accompagnent ces mutations et confortent l’avenir pour accueillir de nouvelles industries sur le territoire. Les usines Renault et Schneider (labellisée « Usine du futur ») sont des exemples de cette industrie 4.0. Territoire d’innovation Le consortium associant Renault, Transdev, la Matmut et la Métropole Rouen Normandie témoigne de cet élan d’innovation. Ici, en 1ère européenne s’expérimente la mobilité autonome et partagée (Mobility as a Service) avec le transport à la demande via des véhicules électriques, sans intervention humaine, sur routes ouvertes. (https://www.rouennormandyautonomouslab.com/) Côté numérique, Rouen Seine-Eure facilite son développement grâce à un réseau d’acteurs solidaires et réactifs, une gamme de lieux dédiés comme Seine Innopolis ou Le Hub/La Filature attirent aujourd’hui des startups installées à Paris (Qwant) et des pépites locales (Saagie, YesWe Hack, Paygreen…). « Le numérique enrichit notre tissu tertiaire. Et il prend part également à la transformation digitale de nos entreprises », rapporte toujours Dominique Lemoine. Rouen, un des 1ers campus de France ESIGELEC, INSA Rouen Normandie, CESI, NEOMA Business School, CNAM, ENSA Normandie, UniLaSalle, ERFPS sont, avec l’UFR, quelques-unes des grandes écoles qui forment les talents de demain. 44 000 étudiants, des laboratoires de pointe (CORIA, GPM, SGS Multilab…) constituent un véritable vivier de compétences et de savoir-faire sur mesure. Des signatures immobilières Avec un parc tertiaire de 1 100 000 m², Rouen poursuit son développement en matière de tertiaire supérieur : «...
Junior-entreprise (JE) de l’ESCP Europe, ESCP Europe Conseil a été créée en 1972. Avec pour objectif de donner l’opportunité aux étudiants de cette grande école de commerce d’affûter leurs compétences managériales et leurs comportements entrepreneuriaux en mettant en pratique leur enseignement théorique. L’association mise sur ses 45 ans d’expérience, l’excellence de son parcours académique et l’appui de ses prestigieux parrains (Oliver Wyman, le BCG et Capgemini Consulting) pour conforter sa position de leader. Des performances qui s’illustrent dans les divers classements. En effet, ESCP Europe Conseil fait partie des 30 meilleures junior-entreprises du pays et se positionne 4e en termes de chiffre d’affaires. Des services pour des clients aux profils variés Calqué sur les modèles des cabinets de conseils, ESCP Europe Conseil se compose d'admnistrateurs formés d'un bureau (président, vice-président, secrétaire général, responsables des ressources humaines et trésoriers) ainsi que de responsables des différents pôles qui prennent en charge la réalisation des missions, à savoir le pôle développement commercial, le pôle qualité et le pôle Communication et Événementiel. « L’équipe est choisie selon un processus de recrutement sélectif, axé sur les performances des étudiants afin d’assurer des prestations de qualité », nous explique le nouveau président de l’association Nathan Haas. La JE accompagne autant un auto-entrepreneur désireux d’initier un projet qu’une entreprise du CAC 40. « Nous avons des profils de clients très variés et nous travaillons même pour des associations », fait savoir le président. Cette clientèle peut miser sur le savoir-faire, la rigueur et l’expertise des étudiants pour réaliser des business plan, du benchmarking, des enquêtes de satisfaction ou encore des travaux de traduction. Une junior-entreprise toujours en action Animée d’une forte dynamique, ESCP Europe Conseil planche régulièrement sur de nouveaux moyens destinés à améliorer la qualité de ses formations envers les étudiants mais aussi de ses prestations envers sa clientèle. Une des dernières initiatives repose sur le lancement du parcours scolaire aménagé. Selon les explications de Nathan Haas, ce Business Track « est calqué sur un rythme d’apprentissage. Nous alternons entre période de cours et période dédiée uniquement à la JE, ce qui permet de libérer du temps pour servir au mieux les besoins des clients ». Car pour ESCP Europe Conseil, la satisfaction client est stratégique. D’ailleurs, dans le dessein de mieux accompagner les entreprises, l’association vient d’ouvrir une antenne à Londres. « À travers ESCP Europe, nous avons la chance d’avoir différents campus en Europe et nous avons des chefs de projet sur chaque campus. Le fait de créer un bureau à Londres nous permet ainsi de répondre aux demandes dont les enjeux sont de plus en plus axés sur l’international et ne sont pas seulement franco-français », fait valoir notre interlocuteur. ...
Pour améliorer la productivité et la motivation de vos salariés, la FFEPGV organise pour vous des sessions sportives adaptées. La FFEPGV : le Sport Santé à la portée de tous Fondée en 1888, la FFEPGV a la volonté de rendre accessible à toutes les personnes qui le désirent, la pratique d’une activité physique pour se maintenir en bonne santé. Pour ce faire, elle se base sur un réseau national de plus de 6000 clubs partout en France et de nombreux animateurs sportifs capables d’intervenir aussi bien en entreprise qu’à l’extérieur. En se caractérisant comme une fédération multiactivité non compétitive, elle fait le nécessaire pour promouvoir l’accessibilité et favoriser une activité sportive régulière qui peut se faire partout et à tout moment de la journée . Bien encadré, chacun peut apprendre les bonnes pratiques pour rester en forme tout en maintenant une motivation intacte de façon durable. Le sport en entreprise : une bonne alternative Le constat établi par le baromètre Sport Santé de la FFEPGV (Fédération française d’éducation physique et de gymnastique volontaire) en partenariat avec l’institut IPSOS nous donne une information intéressante : 72 % des Français estiment que le sport est une excellente solution pour diminuer le stress au travail et les émotions pénibles. 71 % déclarent qu’il peut diminuer les troubles musculaires et les problèmes de dos tandis que 67 % le voient comme un remède aux troubles du sommeil. Ces données sont à corréler avec celles d’une étude commandée par le Medef et menée par le CNOSF et AG2R La Mondiale expliquant qu’un salarié pratiquant régulièrement une activité physique serait plus productif qu’un employé sédentaire. Pour autant, malgré ces observations, seul 1 Français sur 2 ferait du sport. Cela à cause d’une réelle difficulté à gérer vie privée et vie professionnelle, empêchant l’inscription en club. Dans ce cas, il existe une alternative : amener directement le sport en entreprise. Ce que propose la FFEPGV Afin d’intéresser même les salariés les plus sédentaires, la FFEPGV est capable de s’adapter précisément à toutes les demandes. L’entreprise n’est donc plus seulement un lieu pour travailler, mais aussi l’endroit idéal pour se mettre ou se remettre au sport. Pour répondre à vos besoins, la fédération est capable d’accompagner l’entreprise et ses salariés dans la mise en place d’activités spécifiques dans les locaux (s’il est possible de disposer de salles adéquates) ou à l’extérieur. Cela peut se faire le matin avant la prise de poste, à la pause déjeuner, ou le soir pour évacuer toutes les tensions de la journée. La grande force de la FFEPGV : être multi activités. Vous pouvez donc lui demander de mettre en place des sessions centrées sur le cardio ou des séances plus douces tels que le pilate, entre autres. Sans oublier une marche ou course à pied en extérieur si les participants le souhaitent. Après une phase de tests pour jauger du niveau de chaque personne, le coach fait son maximum pour s’adapter aux besoins et capacités des participants tout en mesurant les progrès dans le temps. Vous l’avez compris : la FFEPGV a une pratique très personnalisée du sport en entreprise. De plus, si la société cliente le souhaite, la FFEPGV peut l’accompagner dans la réalisation d’un plan de communication sur le thème de la qualité de vie au travail en fournissant des outils de communication et des éléments à distribuer à chaque employé. L’objectif : pouvoir sensibiliser aux bonnes postures et aux bonnes pratiques quotidiennes. Actuellement, une centaine d’entreprises travaillent avec la FFEPGV. Parmi celles-ci, nous trouvons des PME et grands groupes (SNCF, EDF, Crédit Mutuel, Michelin, etc.) ainsi que des mutuelles et des administrations. Il faut dire que le tarif très compétitif pratiqué par la fédération fait la différence avec les clubs privés. Surtout que le coût de chaque séance peut être supporté par l’ent...
La cité médiévale de Puy-L’Evêque se tient perchée sur un éperon rocheux avec son donjon du XIIIe siècle et ses demeures seigneuriales en pierres dorées. Les jardins suspendus confèrent une vue imprenable sur le Lot. Les amateurs de patrimoine prolongent leur balade jusqu’à Duravel, cité gallo-romaine anciennement ceinte de remparts. Pour les amoureux de belles pierres et d’histoire, direction les bastides de Castelfranc et Montcabrier, petits bijoux d’architecture. Au cœur du méandre le plus resserré de la rivière Lot, la cité médiévale de Luzech, à l'ombre protectrice de sa tour, a un charme indéniable. Tourisme, vigne et oenologie en Vallée du Lot Le territoire est réputé également pour l’excellence de ses vins. Savoureux et riches en tanins, ils ne manquent ni de fraicheur ni de vivacité et donnent des vins de longue garde. Une gabarre emmène les visiteurs sillonner les vignes au fil de l’eau et déguster un grand cru au creux des méandres. Version rando, cyclo ou tout simplement en flânant au gré du Lot, en famille, en duo ou en solo savourez un moment de détente et de découverte, entre convivialité et authenticité. ...
Vous cherchez une tablette pour vos parents ou grands-parents ? Découvrez Facilotab, une machine facile à prendre en main disponible pour 265 € sans abonnement. Facilotab : une tablette de la société CDIP La société ayant créé cette tablette pour sénior n’est pas à son premier coup d’essai. En effet, fondée il y a plus de 30 ans, l’entreprise CDIP est une société familiale ayant débuté en tant qu’association. À ses débuts, elle avait pour but d’accompagner les généalogistes à s’informatiser à l’aide du logiciel Généatique. Nous étions alors en 1987. Puis, elle devint une société familiale pour se développer avec de nouveaux logiciels et services. En 2015, le directeur, François Lerebourg, veut aider sa grand-mère isolée. Il a alors l’idée d’une tablette qui lui permettrait de recevoir des photos et des messages en toute simplicité. Le premier test fonctionne et il se décide à la produire à plus grande échelle. Le succès est immédiat. Tant et si bien que des professionnels de la santé tels que des ergothérapeutes l’utilisent aujourd’hui en séance. Des EHPAD et des communes s’en servent aussi lors d’ateliers servant à préparer les personnes âgées à la dématérialisation du service public, à rompre la fracture numérique et à lutter contre l’isolement social. Grâce aux retours de la communauté et aux partenariats avec la FNSEA et Générations Mouvement, il est intéressant de noter que ce petit engin évolue constamment. Facilotab : une tablette conçue avant tout dans un but social C’est un fait : de nombreux seniors se retrouvent isolés, chez eux ou en maison de retraite. Pour lutter contre cette tendance, cette tablette propose des fonctionnalités de messagerie et de photos particulièrement intéressantes. Pensée avant tout pour les séniors, elle peut être également transformée pour des personnes malvoyantes, atteintes d’Alzheimer ou de Parkinson. En effet, en plus de posséder un mode anti tremblement, elle dispose d’un système intégré pour la basse vision avec un mode fort contraste. Sans oublier la possibilité de zoomer et dézoomer grâce à un simple bouton. Ainsi, il devient facile de lire ou d’envoyer des messages et emails, mais aussi de consulter les photos envoyées par la famille. De plus, la tablette propose 3 modes d’écriture : un clavier AZERTY, un clavier ABCD et un mode vocal. Des applications pour toutes les envies Ces tablettes de marques Archos ou Samsung, sont préparées avec le système Facilotab et la base Android 7. Ces applications spécifiques sont incluses : Messagerie & Galerie photo simplifiée, Navigateur internet adapté, Agenda facile et une collection de jeux (Scrabble, Bridge, un jeu de mémoire à base de cartes type Memory, un sudoku, un jeu de mots mêlés et un jeu de rapidité). Ces applications de jeux sont incluses, gratuites et sans publicité. En complément, si son utilisateur en veut plus, il peut acheter un pack de 9 jeux comprenant le Solitaire, des jeux de mémoires et de lettres. Bien sûr, il est aussi possible d’aller sur le Google Play pour profiter de l’incroyable catalogue d’applications et installer les applications de son choix. Si l’utilisateur ou les proches le souhaitent, cela peut être verrouillé par un mot de passe. Fait intéressant : lors de l’usage d’une application externe, un bouton « Accueil » apparaît à l’écran pour permettre de sortir rapidement et facilement. Le senior peut le déplacer où il le souhaite. À noter : Skype et YouTube sont installés de base. De plus, le navigateur web a été développé spécialement pour Facilotab afin de faciliter la navigation. Une fonctionnalité Assistance efficace Pour terminer, parmi les boutons présents sur la page d’accueil, se trouve un bouton Assistance. En appuyant dessus, vous arrivez sur une page qui référence les guides d’utilisation (pour l’utilisateur) et les guides de paramétrage (pour les aidants). Il est aussi possible de contacter le support par email, de profiter d’une aide à distance par télépho...
Dans quelles circonstances l’association Tanguy Moya-Moya dont vous êtes le vice-président est-elle née ? À l’âge de trois ans, Tanguy, mon petit fils, est soudainement devenu amorphe. Alors qu’il se développait normalement, il a brusquement perdu l’usage de la parole. On a pensé qu’il avait peut-être des problèmes d’audition. Mais cette piste a été écartée car après vérification, il entendait très bien. Nous avons alors envisagé l’autisme mais il s’est avéré qu’il ne s’agissait pas de ça non plus. La prise en charge de Tanguy a été pour le moins « erratique » jusqu’à ce qu’un médecin nous diagnostique finalement la maladie de Moya-Moya, une affection des vaisseaux cérébraux. Nous avons alors créé l’association afin de récolter les fonds nécessaires pour financer une opération neurochirurgicale en Suisse pour mon petit-fils. Mais entretemps, il est apparu que la petite soeur de Tanguy souffrait, elle aussi, de la maladie. Un chirurgien de l’hôpital Necker pratiquant une opération très similaire, leurs parents ont fait opérer leurs deux enfants en France. Nous avons alors décidé de consacrer l’argent que nous avions récolté aux personnes atteintes de la maladie de Moya-Moya afin d’améliorer leur prise en charge. Quelles sont les actions que vous menez au sein de cette association ? Comme dans la plupart des associations de maladies rares, nous cherchons à faire connaître la maladie, à sensibiliser le grand public, à apporter un soutien aux familles ainsi qu’aux malades et à favoriser la recherche médicale. Un médecin m’a d’ailleurs dit que c’était nous, les associations, qui les motivaient. Parce qu’à travers nous, ils avaient un contact direct avec les malades. L’association a fiancé ou cofinancé plusieurs projets de recherche. L’un qui visait à déterminer les causes de la maladie de Moya-Moya. Et un autre destiné à évaluer le nombre de personnes atteintes. C’est d’ailleurs la première étude de ce genre à avoir été réalisée sur cette maladie. Il en est ressorti qu’en France, 300 personnes environ souffraient de cette maladie. Enfin, depuis plusieurs années, nous participons financièrement à la constitution d’une banque de données concernant l’une, les adultes et l’autre, les enfants. Qu’est-ce que la maladie de Moya-Moya ? C’est un syndrome qui touche plus particulièrement les populations asiatiques. Il s’agit d’une sténose des carotides qui fait que celles-ci disparaissent progressivement. Et le cerveau n’est plus irrigué. Se crée alors dans le cerveau une circulation parallèle des vaisseaux sanguins. En réalisant une IRM, on distingue comme un nuage de fumé, Moya-Moya, en japonais. Comment la traite-on ? Il n’y a aucun traitement. Deux types d’opérations chirurgicales visant à revasculariser le cerveau peuvent être pratiquées mais elles ne soignent pas la maladie. Les dommages causés au cerveau ne peuvent pas être réparés. Sa plasticité neuronale lui permet toutefois de rétablir des connexions qui viendront prendre le relais. Quant aux médicaments, il n’en existe pas. On dénombre environ 7 000 maladies rares. Seulement 1 % d’entre elles bénéficient d’un traitement médicamenteux. La maladie de Moya-Moya fait partie des 99 % restants…Qu’est-ce que les malades et leurs familles viennent chercher auprès de votre association ? Ce qu’ils veulent avant tout, c’est ne plus être seuls. Rencontrer d’autres personnes qui ont le même problème que vous, échanger, partager avec elles permet de sortir de sa solitude. Rencontrer d’autres patients permet aussi de s’apercevoir que l’on peut vivre avec cette maladie. Nous aidons aussi les malades et leurs familles en les orientant vers les bonnes personnes. Parfois, nous pouvons aussi aider financièrement des malades et leurs proches. Nous avons affaire à beaucoup de femmes seules dont le couple n’a pas résisté à la maladie. Si un enfant doit se faire opérer, nous pouvons, par exemple, prendre en charge tout ou partie de la « maison des parents ». Nous nous efforçons également de maintenir l’espoir chez les malades. En leur montrant, par exemple, que la recherche progresse et que derrière nous, il y a toute une équipe médicale qui tente de trouver des solutions. À ce titre, je trouve que notre Conseil médical est extraordinaire : des spécialistes de grand renommée assistent bénévolement à toutes nos assemblées générales. De plus, ils répondent de façon humaine et compréhensible aux questions des malades et de leurs familles. Dans quel état d’esprit se trouvent les parents qui vous rejoignent ? L’annonce du diagnostic fait l’effet d’une bombe. Lorsqu’ils arrivent chez nous, les familles sont complètement désemparées. À terre. Et notre rôle, à l’association, c’est alors de les aider à se relever pour continuer d’avancer. Nous nous efforçons de leur redonner de l’espoir. De les écouter et de les comprendre. Il est important qu’ils sentent qu’on les a écoutés et qu’on les a compris. Il faut qu’ils se disent « je ne suis pas seul(e), d’autres s’en sont sortis alors pourquoi pas...
Ce bistrot à la réputation déjà faite a été repris par des propriétaires bien sympathiques qui maîtrisent du bout des doigts l'art de recevoir. Une cuisine savoureuse réalisée sous la houlette d’un chef aussi créatif que talentueux, Mouss. Mouss et Muriel proposent au Bistrot Dumas une pause gourmande qui mérite le détour, dans une salle privatisable pouvant accueillir jusqu’à 50 personnes. Planté dans un cadre cosy et chaleureux, il séduit les épicuriens par sa cuisine bistronomique. Sa décoration soignée type Art déco s’illustre dans ses superbes vitraux qui ornent les luminaires et le plafond, en illuminant la salle de mille feux. Un festival de couleurs que l’on imagine comme un avant-goût de ce que la maison a à offrir. Ici, le ton est donné avec une salle spacieuse baignant dans une lumière naturelle, propice à des moments agréables à passer en toute décontraction et convivialité entre collègues, amis, ou en famille. Une carte riche au gré des saisons pour une invitation à la découverte À travers des plats succulents que lui connaissent ses habitués, la maison fait entreprendre un joyeux périple culinaire à ses convives. L'enchaînement des saisons se reflète à travers les couleurs ensoleillées des plats dont le visuel est soigneusement travaillé. En entrée, la carte variée et attrayante propose, par exemple, de commencer les réjouissances avec un velouté de courge muscade et butternut ou le saumon mariné houmous de betterave et délice au beurre. Comme plat de résistance, difficile de résister à l’appel du pavé de cerf ou des cuisses de grenouille à la persillade, des plats hors du commun qui constituent les spécialités de la maison. Pour continuer sur cette lancée, les œufs en meurette et la sole petit bateau cuite sur arête sont aussi des incontournables. Et que dire du tartare de bœuf coupé minute au couteau ou de la quenelle de brochet sauce homardine qui comblent les plus fins des gourmets. Les plus aventureux se laisseront tenter par l’os à moelle coupé dans la longueur pour découvrir une saveur qui fond en bouche, et pourquoi pas une salade de chèvre chaud. Le moelleux au chocolat, les meilleures tartes de Genève ou les mignardises faites maison sont d’une finesse incroyable pour finir les festivités sur des notes de douceur. Le plus qui fait le succès de la maison : des plats bien exécutés « concoctés avec des produits issus des agriculteurs locaux », nous confie le chef Mouss. ...