Tout commence en 1825 lorsque Jean-Louis Prieur, un Champenois d’origine, fonde la maison Ch. & A. Prieur et réalise une activité de négoce. Pendant quelques années, la maison cherche, affine et affirme son style. À la fin du XIXe siècle, elle a la brillante idée de miser sur l’image de l’empereur Napoléon pour promouvoir ses champagnes. Le succès est tel qu’Alfred-Marie, le petit-fils du fondateur, décide de déposer la marque « Napoléon » en 1907.
Un siècle plus tard, les champagnes Napoléon continuent encore d’enchanter les palais à travers la magie de leurs bulles légères.
Deux cépages à l’honneur
Négociant-manipulant, la maison Napoléon se procure ses raisins auprès de familles de vignerons. « Nos raisins proviennent majoritairement de la côte des Blancs et de la montagne de Reims », décrit Julia Prévost, responsable marketing de la marque. Les champagnes Napoléon sont issus d’un assemblage harmonieux de deux cépages que sont le chardonnay et le pinot noir.
Côté vinification, la maison opte pour un élevage en cuve inox plutôt qu’en fût de chêne. « La vinification en cuve permet à nos champagnes de conserver une belle minéralité à la dégustation. » Si l’appellation Champagne impose 15 mois minimum pour les cuvées non millésimées, Champagne Napoléon s’impose un minimum de 36 mois pour parfaire le vieillissement de ses vins. « Ce temps de vieillissement peut atteindre jusqu’à 10 ans en cave pour les millésimes », précise notre interlocutrice.
Des vins d’un autre temps
À travers sa gamme œnothèque, la maison Napoléon propose aux œnophiles une collection unique de vieux millésimes. Il s’agit de champagnes en édition limitée dont la particularité varie d’un millésime à l’autre. « Actuellement, ce sont les millésimes 1992, 1996 et 1998 que nous mettons en vente via notre boutique en ligne », précise Julia Prévost. La maison souhaite ainsi rendre accessibles au public des produits jusque-là considérés comme « élitistes ». Cette gamme a pour objectif de prouver l’impact du dosage sur un champagne et se décline en deux expressions : Œnothèque originelle (dosages d’autrefois) et Œnothèque Dosage récent (dosée en 2018, lancement en novembre 2018) avec nouvel habillage.
En parallèle, quatre cuvées sont également proposées : Tradition, Blanc de blancs, Rosé et Millésime 2004. La cuvée Tradition est sans conteste celle qui représente le mieux la maison. Élaboré à partir de 50 % de chardonnay et de 50 % de pinot noir, ce champagne a vieilli en cave près de 4 ans. Il se distingue par un mélange d’arômes de pâtisserie, de fruits exotiques et de fruits jaunes. En bouche, la magie s’opère grâce à l’équilibre parfait entre la fraicheur du chardonnay et la puissance du pinot noir. Cette cuvée est recommandée pour l’apéritif et accompagne idéalement des plats de viandes.
...
Situé rive droite, à deux pas du palais de l’Élysée et de l’avenue des Champs-Élysées, le restaurant Le Gabriel se trouve au cœur de la Ville Lumière. Sis dans ce bel immeuble de style haussmannien niché derrière des arbres imposants, il a l’avantage d’être préservé des palpitations parisiennes. À l’intérieur, l’ambiance chaleureuse émanant du décor contemporain est l’œuvre du designer Jacques Garcia
Un restaurant doublement étoilé
Au restaurant Le Gabriel, le chef Jérôme Banctel conjugue les ingrédients de qualité à son talent et à son savoir-faire pour faire honneur à une cuisine française contemporaine. En partant toujours de ses solides bases classiques, il essaye de sublimer et en aucun cas de dénaturer le produit. Mais ce respect pour la tradition et le produit ne l’empêche pas d’apporter une bonne dose d’inventivité à ses créations. C’est ainsi que notre chef tente de faire de chacun de ses plats une expérience gustative unique. Un pari dignement réussi vu les deux étoiles Michelin récemment attribuées à l’établissement.
Du début à la fin, les grands classiques teintés de l’inspiration de Jérôme Banctel surprennent les sens. En entrée, le Saumon de Norvège, raviole d’aubergine fumée, crème de ziste ou le Cœur d’artichaut « Macau » en impression de sakura et coriandre fraiche ne sont que l’avant-gout de ce qui va suivre. Les Noix de Saint-Jacques rôties, carottes aux sucs d’orange et baies roses ou le Cochon de lait de Burgos croustillant, sauce curry, avocat et mangue révèleront ensuite tout le talent du chef. Et, pour finir, rien de mieux que le Crémeux mékonga, chantilly caramel épicé, confit de mangue et glace au caramel.
Des vins et cocktails pour toutes les envies
Côté vins, Le Gabriel possède une carte à faire rêver tout œnophile. Que ce soit un vin en bouteille ou en verre, son impressionnante collection satisfait toutes les envies. Les références issues du Château Cos d’Estournel et du prestigieux Domaine Tokaj Hétszõlõ comme le Goulée by Cos d’Estournel, Médoc 2012 ou le Tokaji Furmint « Selection » 2010 sont, ici, particulièrement privilégiées.
Les adeptes de cocktail ne sont pas laissés-pour-compte car la carte chante également le répertoire des grands classiques en la matière : Mojito, Midnight Express ainsi qu’une multitude d’autres boissons alcoolisées ou non.
...
La Maison Mathieu-Princet a été créée par Michel Mathieu et son épouse Françoise Princet qui exploitent leur vignoble depuis les années 1960. Aujourd’hui, le couple est épaulé par leurs filles Sylvie et Véronique ainsi que par Patrick Lefebvre, Responsable de l’exploitation. Cette maison travaille sur un vignoble de 9 ha, réparti sur 5 communes de l’appellation Champagne, dont 2 en Premier Cru, à savoir Grauves et Bisseuil.
Des cuvées reconnues pour leur qualité
Récoltant-manipulant, Vigneron indépendant, la Maison Mathieu-Princet maitrise toute la chaine de production en mettant en avant le savoir-faire artisanal. Chaque étape fait l’objet d’une attention particulière.
Les champagnes Mathieu-Princet se démarquent surtout par un long vieillissement sur lies, pouvant aller jusqu’à 5 ans, voire plus, pour les millésimes. À l’image de la cuvée « La Réserve des Alice » (la Grande Réserve Brut), qui a vieillit 5 ans en cave et est considérée comme étant la plus représentative de la maison. Issue d’un assemblage de 70 % chardonnay et 30 % de pinot noir, ce champagne Premier Cru dévoile des odeurs de sous-bois, des arômes de pain grillé, vanille et goût boisé. En bouche, on trouve une belle harmonie entre la finesse du chardonnay et la puissance du pinot noir. Élégance et compléxité caractérisent cette cuvée à déguster à l'apéritif ou au cours d'un repas. Mais une cuvée sort du lot. Outre sa fraîcheur, la délicatesse de ses arômes, le caractère rarisime de sa bouteille sérigraphiée fait de la cuvée Blanc de Chardonnay la cuvée coup de cœur de la maison.
...
C’est sur un plateau à 1 000 mètres d’altitude, situé dans la commune de Fraïsse-sur-Agout, que la compagnie prévoit de mettre en service une distillerie qui portera le flambeau de la région en 2018.
Un assemblage méticuleux
En attendant de pouvoir distiller elle-même ses propres whiskies, l’entreprise fait des assemblages. Elle importe d’Écosse différentes qualités de whiskies, auxquelles elle ajoute l’eau d’une source de la montagne noire. Les whiskies sont ensuite affinés dans d’anciens fûts de spiritueux appartenant à un producteur d’Armagnac. « Cela donne aux whiskies un profil aromatique différent, une couleur locale », explique Cédric Leprette, le président.
Les whiskies Black Mountain
L’entreprise possède une gamme de trois whiskies. Le BM n° 2 premium est assez léger et très parfumé. Tout en gardant les caractéristiques d’un whisky, il est accessible à tout le monde au niveau gustatif. Il a obtenu la médaille d’argent à l’International Spirit Challenge 2014 et à l’International Wine and Spirit Competition 2016.
Le BN n° 1 Excellence a une proportion importante de whisky plus âgé, avec une durée d’affinage plus longue. Il est plus complexe et plus riche au niveau aromatique, et est essentiellement conçu pour des amateurs avertis de whisky. Il a été élu meilleur blend whisky européen au World Whisky Awards 2015.
Le plus récent est la Notes Fumées, contenant une proportion de whisky tourbé. Il est destiné à une clientèle qui recherche ce profil particulier. « On a voulu avoir une continuité dans le style aromatique des deux premiers whiskies », souligne Cédric Leprette. Ce breuvage est le gagnant de la catégorie Blend pour les whiskies de France au World Whisky Awards en 2017.
...
Pierre Vandendriessche, décorateur originaire de Lille, a acheté au départ, Le Château de Courban, uniquement pour en faire une maison de famille. Le destin veut, cependant, que cette demeure solitaire devienne une infrastructure hôtelière. Elle commence à héberger des chasseurs venus de loin et évolue au fil du temps. Le château dispose aujourd’hui de vingt-quatre chambres et suites de charme, d’un pigeonnier amménagé sur deux étages, d'un Spa Nuxe, sauna, hammam, jacuzi, hydroget, salle de soin individuelle et salle de soin en duo, de jardins en cascade, d'une piscine à double débordement et d'un restaurant Gastronomique. Du haut de ses quatre étoiles, le château de Courban reste fidèle à son esprit de maison de famille. La maison crée ainsi un lien unique avec ses hôtes à travers l’ambiance conviviale qui y règne, les soins NUXE et surtout la cuisine inventive du jeune chef étoilé TAKASHI KINOSHITA. Cap sur cet endroit enchanté qui fait partie de la collection Les Collectionneurs (le nouveau Château Hôtel Collection groupe Alain Ducasse).
Un restaurant gastronomique
Hébergée dans dépendance aménagée comme une orangerie, le restaurant invite les visiteurs à une parenthèse gourmande. Ce restaurant gastronomique s'est vu récompensé à plusieurs reprises pour la qualité de sa cuisine. Il a à son actif une étoile au Guide Michelin, deux toques et Jeune Chef Espoir au Gault et Millau, Grande Table 2017 par la région Bourgogne Franche Comté, en plus d'être élu Grande Table par le groupe Alain Ducasse. Les grandes baies vitrées laissent la lumière naturelle inonder toute la salle, et permettent également aux visiteurs de visualiser le décor extérieur. Une grande terrasse en bois, s'ouvre sur un jardin en cascade verdoyant. De plain-pied avec le gazon, elle offre un espace terrasse accessible à tous en saison. Ceux qui aiment manger ou se détendre en plein air peuvent en bénéficier, surtout lors des journées ensoleillées. La nuit tombée, le site rayonne d'une beauté féérique. Des lustres et lampadaires illuminent l’intérieur, tandis que le jardin dévoile sa splendeur sous l’éclairage extérieur. Ce cadre au jeu de miroir, d’une capacité de plus de 100 couverts, est parfaitement privatisable. Il peut accueillir des réceptions, des mariages, des réunions de familles, des séminaires ou des banquets, à condition d'être reservé bien à l’avance...
Un enchantement de saveurs
Avec le chef Takashi Kinoshita aux fourneaux, les hôtes peuvent compter sur une gastronomie hexagonale agrémentée de zeste nippon. La maison propose trois menus où les produits du terroir et du potager sont privilégiés : le « Découverte », le « Saveurs » ou le « Dégustations » en sept escales. Ce dernier varie selon la saison et l’humeur du chef, mais réserve toujours d’agréables surprises. Comme mise en bouche, il met en avant les plats phares de la maison, et toujours du potager comme les asperges sauvages chatillonnaises, le Veau de l'Aubes ou encore les champignons et truffes de Bourgogne. Les convives auront certainement un coup de cœur pour le bœuf charolais, un nom iconique de la tradition bourguignonne. Au Chateau de Courban, il est préparé à la japonaise et maturé pendant quinze jours. La viande devient ainsi tendre et juteuse. Elle est accompagnée à l'occasion d'une sauce de sésame noire et de vin rouge. La chef pâtissière Sea Hasegawa sert ensuite une collection de desserts aux saveurs légères, peu sucrée qui fait la touche japonnaise.
Près de 300 références de vins
Jean-Noël Rahmani, le sommelier, conseille les convives avec une harmonie de vins et spiritueux. Pour accompagner viandes, poissons, crustacés, fromages et desserts, il propose une variété de Bourgogne Blanc, de Bourgogne rouge et bien évidemment de champagnes du vignoble voisin. Egalement à l'honneur, des Crus de la France entière et même de l'Oregon... Le choix est large, vu que la cave dispose de plusieurs centaines de références mettant les vignes de la région à l'honneur. ...
« Les tables d’Euphrosyne » s’impose majestueusement en hauteur de ce village mythique de Gordes, classé plus beau village de France. Dans ce restaurant, tout est fait pour impressionner : le panorama qui donne sur la vallée du Luberon, la décoration inspirée de la renaissance italienne, et la cuisine qui incarne mélodieusement les saveurs provençales.
Un festival de goûts
Le restaurant travaille une cuisine « bionomique », raffinée, audacieuse qui respecte le thème de la « naturalité ». « L’idée est de proposer des plats légers et savoureux, élaborés avec les propres produits des potagers et vergers de l’établissement » explique Sarah Lauferon, la gérante du restaurant. Le chef prône une philosophie bio, et décline ses plats en des menus sans gluten, végétariens et végétaliens. Ponctuée par une influence méditerranéenne, la pétillante cuisine des tables d’Euphrosyne conjugue gaieté et fraicheur. Des légumes de saison, des herbes fines aromatiques, des poissons frais, de l’huile d’olive de la Vallée du Luberon forment un mariage de saveurs surprenant. Et que dire des truffes : travaillées en amuses-bouche, en plats ou en desserts, elles constituent la signature du restaurant. Un dressage millimétré et artistique rehausse chaque assiette.
Au rythme des saisons, le menu Buffet du Soleil à 30€ par personne propose un assortiment de salades, de planchas de légumes et viande ou poisson, des fromages et des desserts de grand-mère et constitue un très bon rapport qualité prix. Le Déjeuner Fleuri par contre se concocte au gré de l’inspiration du chef et se compose de trois formules au choix, allant de 29€ à 65€ en fonction du nombre de plats. En outre, la carte du soir suggère un menu complet à 65€ et éventuellement un accord met/vin à la carte. D’ailleurs, la cave à vins abrite des cuvées d’exception issues du domaine Juliette Avril situé en Chateauneuf du Pape, des vins bios de la Cave des Lumières à Goult.
L’amour de la terre
Le jardin de « la fleur de l’abondance », entretenu par Laurie Gornes, approvisionne le restaurant en fruits et légumes bio ainsi qu’en fleurs aromatiques. Il s’épanouit dans une agriculture « bionomique », qui exige un travail du sol très soigné, un respect à la lettre du calendrier lunaire et de la rotation des cultures. Ses récoltes sont généreuses, expressives et authentiques, rappelant la philosophie du restaurant. En outre, les clients peuvent visiter ce jardin-verger bio pour ressentir tous les bienfaits émanant de cette terre.
...
Thiron-Gardais est une commune française située en région Centre-Val de Loire, connue pour son abbaye et l'ancien collège militaire Royal de Stéphane Bern. C’est dans ce cadre préservé que les deux frères Rémi et Simon ont ouvert l’Auberge de l’Abbaye qui fait à la fois office d’hôtel et de table gourmande.
Côté Cuisine :
Le chef propose une carte de saison, faite maison dans un savoureux mélange entre simplicité et créativité.
Deux menus vous sont proposées tout au long de l’année ainsi qu'une formule midi en semaine.
Les boissons sont également à l’honneur avec une carte des vins offrant une belle sélection de vignerons indépendants et producteurs bio.
Côté hébergement :
Cette belle auberge entièrement restaurée propose sept chambres trois étoiles et tout confort.
Une région à découvrir :
Situé sur le territoire du parc naturel régional du perche, Thiron-Gardais et ses environs vous propose de vous mettre au « vert » en découvrant le charme des collines du Perche, ses manoirs, son patrimoine historique et culturel.
...
L’histoire du lien qui unit le Château La Dauphine et le Château de Versailles remonte au 17e siècle. En 1634, le Cardinal de Richelieu fait l’acquisition du duché de Fronsac. Puis, en 1750, la Dauphine de France (épouse du fils héritier de Louis XV) lui donne son titre de noblesse suite à son séjour à la propriété. Depuis cette époque, ces deux châteaux possèdent un lien très fort.
Un vin complexe apprécié pour ses « vertus thérapeutiques »
Depuis le 17e siècle, le Château de La Dauphine est l’une des boissons les plus appréciées des convives du Château de Versailles.
À noter : certains courriers de l’époque évoquent même le fait que ce vin pourrait calmer les maux d’estomac.
Pour obtenir ce nectar savoureux, le domaine revendique une véritable philosophie environnementale et s’emploie à moderniser sans cesse son processus de vinification. Preuve en est avec sa conversion à l’Agriculture biologique découlant sur l’obtention de la certification AB en 2015 et des labels HVE 3 et SME en 2018.
...
Fondée en 1972, la Cave du Tire-Bouchon a été dirigée par 3 générations de la famille Lepage. La dernière concerne Thierry, double diplômé en œnologie (Beaune, 1987) et en commerce des vins et sommellerie (Bordeaux, 1990), qui a repris les rènes de La Cave du Tire-Bouchon en 2005.
Indépendant, puisqu’il travaille sans commerciaux, Thierry Lepage pratique aussi une activité de conseil dans le choix des alcools.
Le premier grossiste de bières au sud de Paris
La Cave du Tire-Bouchon propose aux particuliers et aux diverses brasseries, près de 1100 références de bières. 50% d’entres elles sont françaises, 35% sont belges, et le reste provient d’environ une quarantaine de pays. Ce qui fait de la Cave du Tire-Bouchon, le premier grossiste de bières au sud de Paris.
Le vin n’est pas en reste puisque 150 appellations font partie de l’offre de Cave du Tire-Bouchon, directement achetés auprès des producteurs et donc sans la moindre intermédiation. Le choix des vins se fait sur les marque représentant au maximum leur AOC.
Une offre alliant le classique et l’exotique
Comme tout caviste digne de ce nom, la Cave du Tire-Bouchon vend plusieurs spiritueux. Parmi les classiques, on retrouve l’armagnac, le cognac, le rhum, le gin, la tequila et la vodka, pour ne citer qu’eux. Sans oublier, l’incontournable whisky importé notamment d’Ecosse et du Japon, les deux plus gros producteurs mondiaux de ce fort alcool brun. Dans un registre bien plus exotique, on note la présence du cachaça, une boisson distillée brésilienne obtenue aprés fermentation du vesou, le jus de canne à sucre. Le cachaça est l'ingrédient de base du cocktail caïpirinha.
...
A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique.
Quatre terroirs pour vingt huit hectares
Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement.
Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes
« Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes.
Le plaisir avant le prestige
Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat.
...
S’inspirant de leurs origines et de leur amour inconditionnel pour la gastronomie italienne, Eric et Raffi lancent leur concept avec la promesse de vous faire découvrir une cuisine ensoleillée et des pizzas à la coupe comme jamais vous n’en goûterez ailleurs à Paris. Amour pour la tradition artisanale, sélection de produits d.o.p. et un service de qualité, voici le secret!
Véritable œuvre d’art
Pour réussir à exprimer pleinement son talent, tout artisan qui se respecte se doit d’avoir les meilleures matières premières entre ses mains. Chez Acquerello, les farines blanches et intégrales servant à la préparation de la pâte sont sélectionnées avec le plus grand soin. Elles sortent directement du moulin d’un producteur italien. Tous les autres produits sont choisis pour leur qualité exceptionnelle allant de la mozzarella au lait de bufflonne au parmigiano (parmesan) reggiano en passant par la gorgonzola et la scamorza fumée, la pancetta (lard) italienne et la crème de truffe.
Pour mettre en scène ces ingrédients, Eric se tient prêt devant son pétrin et son four (italien lui aussi) conçu spécialement pour la pizza à la coupe romaine. Ce passionné use de son savoir-faire et de ses talents de boulanger (talents appris à l’Ecole Grégoire Ferrandi et dans les meilleures boulangeries et pizzerias parisiennes)pour vous concocter une grande diversité de pizzas. Tartufo, Pancetta, Pesto : des noms évocateurs appelant à la gourmandise se découvrent dans la carte riche d’une vingtaine de variétés de pizzas (voir le menu sur le site www.pizzacquerello.fr) mais Eric est prêt à satisfaire les demandes les plus variées qui n’apparaissent pas sur la carte (chaque client à ses exigences!).
Un service traiteur hors pair !
Acquerello accompagne également les particuliers ou les entreprises dans l’organisation de leurs évènements (anniversaire, réception, cocktail, buffet..). L’établissement bénéficie d’un matériel dernier cri lui permettant de rester opérationnel en toute circonstance. « Nous pouvons offrir nos services de traiteur même pour des événements dans des lieux qui sont dépourvus de cuisine et de frigo » nous souffle Raffi, la propriétaire.
Acquerello s’adapte aux besoins de sa clientèle au niveau des menus proposés. Cette personnalisation de son offre est une garantie de satisfaire même les plus exigeants. Parmi les plats les plus demandés figurent les lasagnes (rouges et aux légumes), les focaccia, le petits pains tomates confites et mozzarella et bien sûr, les incontournables pizzas à la coupe. Quant aux boissons, «l’Italie s’invite aussi à table» déclare notre interlocutrice. L’occasion d’apprécier la richesse aromatique des vins du pays minutieusement sélectionnés, des boissons italiens (limonata siciliana, sodas San Pellegrino et bières italiennes). Mais Acquerello n’oublie pas le Services, avec la qualité: hygiène garantie (aller visiter leur laboratoire), ponctualité dans la livraison, possibilité de demander le service d’installation, fourniture du matériel pour buffets, personnel pour que les invités de votre événement soient servis comme il se doit en plateaux et boissons.
...
Passionné très tôt par les vins, Marc Hennequière crée son vignoble à l’âge de 16 ans, en 1980. Vers les années 2000, lorsque sa femme s’installe sur le domaine, ils s’initient ensemble à la champagnisation. Le couple s’acquitte de toutes les tâches, avec l’aide d’un salarié à temps partiel et d’employés saisonniers lors des périodes de palissage et de vendange. Cette petite équipe soudée s’attelle à produire un champagne à l’esprit unique, qui reflète le terroir.
Les secrets d’une viticulture durable en Champagne
Le vignoble implanté sur la Côte des Bar s’étend sur une superficie de 3,5 hectares. Les cépages (principalement le pinot noir, le meunier et le chardonnay) sont cultivés sur un sol argilo-calcaire, « excellent pour élaborer le champagne », confie Marie-Nelly Hennequière. Le couple possède également quelques parcelles de terrain exposées plein sud, « ce qui permet d’avoir une bonne maturité des raisins ».
Divers procédés sont mis en œuvre pour entretenir le sol et les vignes, comme l’usage de charrues, la faible application de produits phytosanitaires et la non-utilisation de désherbants. En effet, les méthodes durables ont spécialement été choisies et adoptées pour « laisser le sol respirer un peu », selon les précisions de la viticultrice.
De la vigne au vin
La maison Marc Hennequière joue la carte de l’originalité dans la production de ses champagnes en ayant recours à certaines techniques innovantes. « Dernièrement, nous avons décidé de changer un peu notre façon de produire, en lançant la cuvée Prémices qui subit un passage de 6 mois en fûts de chêne. Habituellement, nous ne travaillons qu’avec des cuves en inox », révèle notre interlocutrice.
Parmi les 8 cuvées produites aujourd’hui, la cuvée Réserve Marie-Nelly endosse le rôle d’ambassadrice de la maison. « C’est un champagne qui nous définit. » Élaborée à partir de 25 % de chardonnay et le reste en pinot noir et meunier, la cuvée Réserve Marie-Nelly développe un nez complexe et expressif, avec une belle attaque en bouche. Idéale pour déguster une andouillette de Troyes ou une volaille rôtie.
...
Présente en France depuis déjà deux siècles, la maison familiale Cuperly est en perpétuel progrès en basant sa production sur la vitiviniculture traditionnelle et raisonnée avec une parfaite maîtrise des techniques de vinification modernes. Situé dans la montagne de Reims, son vignoble s’étend principalement au sein de trois grandes communes plébiscitées pour la qualité de leur sol et de leur climat à produire des vins d’exception, Verzy, Verzenay et Mailly-Champagne. La trentaine de parcelles est destinée à la culture du pinot noir et du chardonnay, les seuls cépages qui entrent dans l’élaboration des champagnes grand cru Cuperly. En tant qu’entreprise familiale, « une partie de nos raisins provient des achats familiaux », nous informe Anne-Sophie Cuperly, gérante.
Une gamme éclectique de cuvées
S’inscrivant dans une démarche de production durable et de qualité, la maison Cuperly exclut la fermentation malolactique (FML) dans son processus de fabrication afin de garder la fraîcheur de ses produits. En effet, « une partie de nos vins est élevée en fûts de chêne de 300 litres et nous faisons nos liqueurs nous-mêmes à partir des raisins de la production grand cru, pour sublimer nos champagnes et respecter le dosage traditionnel », ajoute notre interlocutrice en toute franchise.
Quel que soit l’événement à célébrer, la large palette de cuvées grand cru et carte verte (grande réserve) de la marque raviront tous les palais à l’instar des champagnes grande réserve rosé, blanc de blancs et prestige Millésime 2009. À l’occasion de la Saint-Valentin par exemple, Cuperly propose les collections fleur grande réserve (bouteille rouge) et prestige (bouteille bleue) pour le bonheur des couples. La grande réserve joyeuses fêtes, quant à elle, se déguste volontiers lors des grandes fêtes : Noël, fin d’année, etc. Parmi ces produits, les cuvées prestige ( environ 30 % de chardonnay et 70 % de pinot noir) et le blanc de noirs (100 % pinot noir) constituent respectivement les champagnes emblématiques et typiques de la maison.
Une expérience inédite au cœur de la Champagne
Tout au long de l’année, des visites guidées au sein de sa propriété pour découvrir tous les processus de fabrication du champagne Cuperly, depuis le chai à la cave à millésimes sont organisées. Quant à la dégustation, la maison dispose d’un espace d’accueil éblouissant et convivial où l’initiale de la marque est mise en avant sur un mur en bouteille de verre éclairé.
Par ailleurs, en partenariat avec les offices de tourisme de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et de Reims, Champagne Cuperly développe actuellement une offre œnotouristique particulière afin de permettre aux visiteurs de profiter pleinement de leur séjour dans la région du Grand-Est.
...
Exquise marque de fabrique, la cuisine bistronomique d’exception de ce restaurant est inspirée de l’empreinte créative et passionnée du couple Mengus. La qualité et le goût du vrai, valeurs phares de la maison, sont révélés au fil des plats concoctés par une équipe qualifiée et talentueuse conduite par un chef qui excelle dans son art. Le détour gourmand fleurant bon les traditions revêt alors la forme d’une expérience gustative unique.
La vraie cuisine du terroir
Cette table proposant « une cuisine créative et gourmande », selon Laure Mengus, se veut être l’ambassadrice des délices alsaciens. Les plats traditionnels simples, mais sublimés par la générosité de Fabien Mengus, sont la signature du terroir. Dans l’élaboration de chaque recette, Laure s’assure que « la saisonnalité des ingrédients est respectée et les produits locaux privilégiés ». Ce vibrant hommage à la richesse de leurs terres se ressent dans chaque bouchée des plats proposés dans des menus révélateurs, à l’instar du menu « Délice du terroir ».
L’extase gustative dans un cadre élégant
À l’occasion d’une escapade gourmande, les Mengus accueillent leurs hôtes dans « un décor aux couleurs sobres et élégantes à l’ambiance chic et feutrée », selon les propos de Laure. La carte changeante au gré des saisons promet un voyage au cœur de l’art gastronomique savamment raffiné d’une note artisanale. La maison, au travers de cette carte intense, promet des entrées dignes des plus grandes tables étoilées à l’image du foie gras d’oie traditionnel, un délice intemporel. Un plat de filet de sandre croûté au raifort suivi d’une glace rhum raisin et accompagné d’un vin alsacien sera « un clin d’œil au terroir », continue Laure.
...
Installé en plein centre de Saint-Étienne, non loin de l’intersection de la rue Léon Nautin et celle des Martyrs-de-Vingré, l’Absinthe Café est le lieu d’une cuisine moderne, originale, aux inspirations thaïlandaises et japonaises. Le propriétaire des lieux David Durand, et son associé et chef Thomas Jacoud, ont fait de ce café de quartier piéton, une adresse de dégustation gastronomique attirant du beau monde.Les convives de passage profitent ici de plats revisités aussi succulents les uns que les autres.
Des plats originaux et variés
Dans cet univers culinaire, les hôtes prennent placent à des tables, n’attendant plus que les douceurs élaborées aux fourneaux par Thomas Jacoud. Ce chef qui est passé par une école hôtelière traditionnelle, des stages dans de belles maisons gastronomiques et restaurants étoilés, orchestre avec soin une cuisine originale qui change au fil des saisons, avec mise en avant des produits du terroir stéphanois.
La maison propose à cet effet, des plats signatures tels que la tarte fine de morilles au parmesan et à l’huile de truffes comme entrée, ou encore le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison comme plat principal. Ce dernier est une interprétation du classique bœuf bourguignon. Il est fait à base de bœuf mijoté longtemps à feu doux pour donner une viande compotée à la texture effilochée, tendre et fondante en bouche, accompagnée de lardons et d’oignons. Des bouchées revisitées sous la forme de makis de bœuf bourguignon. Pour la garniture, en guise d’algues qui rappellent l’inspiration du chef pour la cuisine japonaise, des spaghettis de carotte. La composition forme un ensemble original avec au centre du hachis de bœuf accompagné de lardons et d’oignons. Des makis servis avec des pommes dauphines.
Parmi les desserts signatures, le « croustillant de marron meringué ». Ce dessert est orchestré à partir d’une pâte à langue de chat très fine dans laquelle on met une mousse de marron. Le biscuit est ensuite roulé dans la meringue italienne, puis dans un craquant au praliné.
Les clients apprécient d’autres délices comme « La minute de saumon » qui est un plat du midi reflétant l’identité de l’Absinthe Café. Ce dernier est élaboré avec un saumon levé et finement découpé comme un carpaccio qu’on étale dans une assiette, puis passé au four quelques minutes pour être mi-cuit. Le tout est recouvert d’une sauce beurre d’aromate composée à partir d’échalotes, de citron vert, de sauce soja et beurre noisette.
Egalement à la carte, des recettes asiatiques comme le tataki, ou encore le dashi qui est un potage japonais.
Une carte des vins raffinée
L’absinthe est la boisson phare de cette généreuse adresse aux allures de bar, et à l’ambiance décontractée. Plusieurs variétés de ce spiritueux y sont servies, toujours de manière classique à l’aide de grandes et magnifiques fontaines, dans des verres traditionnels accompagnés d’une cuillère et de sucre. Les convives peuvent ainsi profiter d’une dégustation d’absinthe classique, de grande absinthe, d’absinthe parisienne, fait Suisse, et même à la française pour ceux qui exige la qualité. A cet effet, nous avons des noms tels que la Fée XS Suisse, l’Absinthe Pernod, et la Fée Parisienne.
Egalement des vins rouges à la carte avec l’AOC Gigondas Saint-Joseph, qui se marie bien avec le filet de bœuf français et son jus, pommes dauphines maison. L’élaboration de celui-ci passe par un encépagement au Syrah, roussanne ou marsanne. Équilibré et élégant, c’est un vin fin à la robe pourpre soutenue, dégageant des senteurs de cassis et framboise évoluant vers une note de réglisse et de cuir.
...
Installé sur la commune de Quarante adossée au Saint-Chinianais, le Domaine Pech-Ménel n’a pas pu rêver mieux comme situation géographique. Il est établi sur une éminence qui lui permet de dominer toute la plaine languedocienne et accessible depuis un chemin sinueux qui arpente le long du coteau. Au sommet, le paysage est à couper le souffle et donne une vue panoramique à 360 ° sur la ville de Narbonne et la Clape au Sud ainsi que le Piémont, le Canigou, le Caroux, le volcan d’Agde et même la chaîne des Pyrénées. « Par sa position dominante, le site a toujours été habité et cela, depuis l’Antiquité. D’ailleurs, nos terres regorgent de nombreux vestiges gallo-romains comme une villa romaine ou un dolmens», raconte Elisabeth Poux, totalement fière d’avoir pu hériter d’un site aussi exceptionnel par son père Fernand Poux. Aujourd’hui, elle gère le domaine aux côtés de sa sœur Marie-Françoise avec passion, implication et rigueur.
Du côté sud de l’appellation
Le terroir de Saint-Chinian est constitué de deux zones distinctes : au nord les schistes et au sud les calcaires. Le Domaine Pech-Ménel se trouve dans la partie méridionale de l’appellation constituée d’argilo-calcaires et de grès. La présence de cailloux massifs permet aux vignes de s’enraciner profondément sous la terre pour rechercher l’humidité. Le vignoble est composé de syrah, de grenache, de mourvèdre et de cinsaut en rouge et de roussanne, de viognier, de grenache blanc et de rolle en blanc, soit tous les cépages les plus typiques du Languedoc et même quelques espèces autochtones oubliées comme l’aramon ou le terret.
Sur les 55 hectares composant la totalité de l’exploitation, seuls 25 hectares sont dédiés à la culture des raisins. Le reste sert de terre d’expression à la garrigue riche d’une végétation languedocienne : genêt, thym, lavande, ciste, arbousier, chênes kermès, pins, églantiers… Animées par l’envie de préserver cette extraordinaire biodiversité, Elisabeth et Marie-Françoise ont décidé d’adopter une agriculture biologique. « Depuis toujours, nous avons cultivé le vignoble dans le respect de l’environnement, du terroir et de la faune et de la flore, ce qui a plus ou moins facilité notre passage en bio », se félicite notre interlocutrice.
Deux gammes de vins pour le plaisir des œnophiles
Pour le bonheur de tous les amoureux de vins, le Domaine Pech-Ménel classe ses crus en deux catégories : la gamme Plaisir et la gamme Passion.
La gamme Plaisir se compose de vins jeunes, sympas, gourmands et faciles à boire représentés par les cuvées « Villa Pech Ménel » et « No Name » en Saint-Chinian. « Villa Pech-Ménel » a fait notamment l’objet d’une citation de Terre de Vins, une étoile au Guide Hachette 2021 . « Il faut lui laisser le temps, il a beaucoup à dire », a déclaré une dégustatrice. La gamme propose également la cuvée « Blanc Poudré » en IGP OC car le domaine possède une parcelle de 3 hectares au bord du Canal de Midi où il travaille cette appellation.
La gamme Passion rassemble les vins de garde avec du caractère. Parmi les dignes représentants de cette sélection figurent « Blanc de Pech Ménel », « Château Vallouvières-Pech Ménel » et « Château Pech-Ménel ». Grâce aux nombreux millésimes qui existent depuis 1999, les œnophiles peuvent s’offrir un voyage dans le temps à travers une dégustation « Verticale ».
Un lauréat du concours de vins de Saint-Chinian
Depuis 2011, le Syndicat de l’AOP Saint-Chinian organise un concours dénommé « Les Virtuoses de Saint-Chinian ». Une occasion pour la centaine de domaines de l’appellation de présenter leurs cuvées. Les caractéristiques de chaque parcelle, les techniques culturales, les conditions de vinification et d’élevage ne sont que quelques exemples des quarante critères imposés par le cahier des charges et destin&eac...
A proximité des villages de Gordes et de Roussillon, le Mas des Herbes Blanches est posé dans une nature exceptionnelle qui appelle à la détente et à la sérénité. Le restaurant du Mas prolonge ce cadre en vous plongeant dans une ambiance poétique et chaleureuse. Dalles hexagonales, amples voilages en lin, mariage délicat entre mobilier et matières vous séduiront et vous permettront de vivre un moment unique.
Un nouveau Chef en 2018
En mars 2018, le Chef Cyril Mendès a pris les rênes de la cuisine du Mas des Herbes Blanches, après avoir travaillé dans de nombreux établissements étoilés. Après des débuts aux côtés de Michel Roth au Ritz, il a officié au Mas d’Artigny à Saint Paul de Vence, au Palace des Neiges ou à l’Alpe Hôtel du Pralong à Courchevel. Ici, ce jeune chef a décidé de miser sur une cuisine créative avec des produits de saisons et locaux, tout en s’inspirant de ses origines portugaises.
Ainsi d'avril à octobre le restaurant gastronomique vous propose une carte déclinée autour d’un produit, carte renouvelée tous les mois. Ce menu se compose de 5 assiettes : une mise en bouche, une entrée, un poisson, une viande et un dessert, où mariage de couleurs, subtilité des saveurs et fraicheur des produits sont mis à l’honneur pour le plus grand plaisir de vos papilles.
Vous pourrez déguster ces mets dans la salle du restaurant baignée de lumière tout au long de l’année. Pendant la période estivale, vous pourrez profiter de sa terrasse avec une vue panoramique sur cette superbe région, ou de son restaurant bistronomique à ciel ouvert.
L’établissement met également à votre disposition une salle de réception pouvant accueillir jusqu’à une centaine de personnes, un espace idéal pour vos séminaires ou vos événements familiaux.
...
Oi Sushi est un établissement familial où les membres de l’équipe sont également des membres de la famille. Unis par la même passion du métier et l’art de composer de belles assiettes avec, en plus, le sens de l’accueil et du service au client, le personnel travaille en phase et dans la même direction… De quoi ravir tous les clients qui se sentent bien accueillis et prêts à une découverte culinaire hors du commun.
Quand on parle de cuisine japonaise, le sushi est toujours en tête d’affiche. Plat tout autant incontournable qu’intemporel, c’est une spécialité typique du Japon qu’on aime déguster dans un plaisir toujours renouvelé. D’une grande fraicheur et quasi sans gras ajouté (hormis celui naturel du poisson), ces fameuses boules de riz japonaises vinaigrées sont des spécialités qui conservent tout leur luxe au Japon.
Saines et faciles à digérer, elles se déclinent sous plusieurs formes au restaurant Oi Sushi. Généralement présenté sous forme de riz roulé en ovale, une pointe de wasabi et par-dessus une fine tranche de poisson, le choix est large entre le saumon, le thon, l’anguille, le poulpe ou l’omelette japonaise…
Manger sainement à la japonaise
Le restaurant Oi Sushi est une adresse à recommander à celles et à ceux et qui se soucient réellement de leur ligne. Dans « une ambiance chaleureuse et conviviale », l’enseigne figure parmi les lieux qu’on aime particulièrement découvrir ou fréquenter en famille ou entre amis.
En fonction des gouts (poisson, viande ou végétarien) des clients, « le restaurant propose du sushi maki, des brochettes de poisson ou des menus végétariens maki et brochette », nous explique Xia, gérant de l’établissement.
Selon lui, « les menus midi Sushi, California et Maki » sont les plus appréciés des clients, d’autant plus qu’ils sont copieux et pas chers avec un bon rapport qualité-prix.
...
De Nice à Marseille, en passant par Perpignan, les oliveraies françaises du Midi, destinées à la production d’huiles recouvrent un petit terroir de 13 départements sur l’arc méditerranéen. Cette limitation territoriale est toutefois compensée par la riche variété d’espèces qui y croissent. On en dénombre plus d’une centaine.
Un petit terroir riche en contrastes
Les oliviers français, et partant les huiles que l’on en extrait, ont du caractère. Et pour cause ! Les régions de production abritent une centaine de variétés endémiques à l’Hexagone. La tanche, la grossane, la picholine, la salonenque, pour n’en citer que quelques-unes. Certaines de ces variétés ne se rencontrent même qu’à l’échelle de quelques communes. Autre trait distinctif du terroir français, l’importante « sentimentalité autour de l’olivier » pour reprendre les propos d’Alexandra Paris. Les oliviers sont entretenus par des agriculteurs mais aussi par des « oléiculteurs familiaux » dont certains cultivent jusqu’à 300 pieds, juste par passion.
La non-homogénéité des bassins oléicoles rajoute aux contrastes qui font les traits du terroir national. Les huit appellations d’origine figurant au répertoire français illustrent cette diversité. Celle-ci se retrouve tant dans les variétés plantées que dans les pratiques de culture. Et c’est dans cette diversité que l’huile d’olive française puise sa fierté. Entre les huiles variétales et les AOP, les spécificités aromatiques des huiles du terroir font l’objet d’une attention soutenue. Mission que s’attachent notamment à faire découvrir aux gourmands comme aux curieux des organismes comme l’Afidol, l’association des professionnels de l’olive en France.
Petite échelle de production, grande typicité aromatique
La France se distingue par sa production confidentielle qui est annuellement d'environ 5 000 tonnes d’huile d’olive. La consommation à l’échelle nationale avoisine pourtant les 105 000 tonnes. Cette rareté à la source n’altère pas moins la qualité du bien. Loin de là : les variétés concourent à créer une multitude d’arômes et de goûts, caractéristiques protégées par des appellations d’origine, pour certaines huiles. L’huile d’olive de Nice, par exemple, se distingue par ses notes marquées d’amande. Ou encore celle de la Vallée des Baux-de-Provence où dominent l'artichaut et les notes poivrées...
Pour s’y retrouver dans cette large typicité aromatique, les professionnels classent les huiles d’olive françaises en trois familles de goût (subtil, intense, à l'ancienne). Dans chacune d’elles, les déclinaisons sont encore multiples dans les odeurs évoquées comme dans le comportement en bouche du produit. Chacune de ces huiles ayant une affinité particulière avec un plat donné, qu’il soit chaud ou froid, le répertoire de produits laisse finalement place à une immensité de possibles. Pour en savoir plus : huiles-et-olives.fr.
...
Émile Giffard s’intéresse de très près aux vertus digestives et rafraîchissantes de la menthe, plus particulièrement un plant de menthe poivrée unique appelée plant Mitcham, aux multiples vertus digestives et aux incroyables qualités gustatives. À partir de l’huile essentielle de cette variété de menthe, le pharmacien crée une liqueur transparente qu’il fait goûter aux clients du Grand Hôtel se trouvant près de sa pharmacie. De là, commence la success-story. La liqueur sera baptisée Menthe-Pastille et la recette sera transmise de génération en génération.
130 années de savoir-faire
Grâce à son professionnalisme et à son savoir-faire, la famille Giffard a su conserver toute la magie, l’histoire et la culture d’un patrimoine qui est aujourd’hui bien présent dans l’histoire de la France. Implantée dans plus de 80 pays, la marque ne cesse d’évoluer au fil des années, tout en conservant cette tradition unique dans la fabrication de ses liqueurs. La Maison Giffard possède environ 130 références de liqueurs et de sirops et ne compte sûrement pas s’en arrêter là. Dans la fabrication, chaque étape est respectée au gramme et au millimètre près pour donner au final un produit pur, noble et riche en goût.
La « Menthe-Pastille »
Les récoltes se font chaque été pour la Maison Giffard, surtout lorsqu’il s’agit de la fameuse menthe Mitcham, le produit de prédilection d’Émile Giffard. C’est dans sa bouteille transparente et avec son étiquette de couleur vert menthe que la Menthe-Pastille se présente aux consommateurs. Très utilisée par les professionnels, la liqueur de menthe blanche obtenue à partir d’huiles essentielles de menthe poivrée se dévoile à travers de nombreuses recettes de cocktails. À l’exemple de l’Adhoc, un mélange de liqueur de café (3 cl), Menthe-Pastille (2 cl) et du rhum VSOP (2 cl). Une vraie gourmandise !
Pour découvrir ses secrets de fabrication, les visiteurs sont conviés à une immersion au sein de l’espace d’exposition baptisé « Menthe-Pastille ». Ce lieu retrace l’histoire et le savoir-faire Giffard et présente les produits de la maison ainsi que leurs modes de dégustation. Il s’articule principalement autour de trois espaces : historique, sensoriel et culturel, et propose la découverte des ateliers de fabrication. La visite s’achève dans le bar des senteurs et au bar à cocktails, où des dégustations sont prévues.
...
C’est en 2008 que Bernard Boullanger décide de se lancer dans l’aventure de la Guyane épicurienne en ayant « comme objectif de promouvoir le développement de ce pays magnifique et mal connu par la structuration de l’agriculture guyanaise ». Avec sa boutique parisienne, Délices de Guyane devient ainsi l’ambassadeur du pays en proposant des condiments, de la confiture, des sirops, des punchs, du rhum et d’autres délices fidèles à leur terre et élaborés exclusivement avec des produits frais locaux.
Un soupçon de Guyane dans chaque bouchée
Chaque sirop, punch, gelée ou pâte de piment révèle toutes les saveurs d’un pays riche de ses traditions et de sa fertilité. Issus de l’agriculture guyanaise, ces produits sont fabriqués avec 100 % de fruits frais et naturels, dont « 40 % sont issus de jardins de particuliers », précise Bernard Boullanger. « Entièrement traités à la main, les fruits et les piments sont transformés sur place sans conservateurs, sans gélifiant ni colorants », poursuit-il. Les saveurs naturelles sont conservées tout en garantissant la fabrication artisanale de chaque produit. Découvrez ainsi un large éventail de confitures, de gelées et de sirops à base de fruits tropicaux, une gamme riche de rhums et de punchs ainsi qu’une collection de condiments, oscillant entre piments extra-forts, doux et non piquants. Offrez également des colis gourmands Délices de Guyane en guise de cadeaux pour partager ces saveurs d’exception.
...
La renommée viticole du Vivarais remonte au XVIe siècle, lorsqu’Olivier de Serres loue les mérites de ses crus. Cette qualité, qui deviendra le maître-mot des vignerons de cette terre, sera rehaussée par un travail de rénovation marqué par l’introduction de cépages nobles produisant des cuvées gourmandes et rocailleuses. Un engagement envers l’excellence qui sera récompensé en 1999 lorsque les Côtes-du-Vivarais obtiennent l’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC), gage de l’authenticité des vins produits sur ces terres généreuses.
Terre de vie, terre de vins…
L’appellation Côtes-du-Vivarais est nourrie par un vignoble s’étendant sur 14 communes de part et d’autre des gorges de l’Ardèche. Ici les vignes côtoient chênes verts et oliviers en puisant tous les arômes et les saveurs typiques d’un terroir rustique. Les cuvées d’exception qui en découlent se caractérisent ainsi par leur fraîcheur, leur minéralité et leur robustesse. Côté gardois, vous pourrez visitez Aiguèze, classé parmi les plus beaux villages de France, et sa falaise abrupte sur la rivière Ardèche. De l’autre côté du pont, Saint Martin d’Ardèche est le pont d’arrivée des canoës achevant la descente des impressionnantes gorges.
...
Dans un décor médiéval fait de pierres apparentes et de voûtes, cet établissement de style lounge au cadre raffiné et à la musique d’ambiance ne manque pas de caractère. Prenez le temps de déguster la cuisine raffinée, savoureuse et soignée du chef François Le Touche, où le fait maison est particulièrement à l’honneur.
En plus du menu des Lys proposés à chaque repas, incluant 3 plats à 47 € ou 4 plats à 50 €, le restaurant propose également une formule déjeuner à 29 €, du mercredi au samedi, ainsi que différents plats à la carte allant de 16 à 30 €.
Son foie gras de canard fait maison, son filet de taureau poêlé et son crumble d’abricot aux coulis de fruits rouges sont d’autant plus renversants qu’incroyablement délicieux.
Une sélection de bons vins
Pour accompagner chacun de vos repas, Le Caveau des Lys vous propose une carte des vins plutôt éclectique, incluant des bouteilles de 75 cl, des demi-bouteilles ainsi que des vins au verre « ouverts à tous les budgets », comme le précise Marion Orfeuille, coordonnatrice, qui conseille notamment le Saint-Amour, l’Aloxe-Corton, le Nuits-Saint-Georges ou encore le Saint-Émilion.
Aimant composer de belles assiettes, le chef met les petits plats dans les grands à travers un mariage réussi de saveurs et de textures pour un résultat à couper le souffle. Très présent également dans son deuxième restaurant au nom évocateur, Le Jardin des Lys, il est animé de la même passion pour offrir le meilleur dans vos assiettes.
...
À quelque mètres du pont Neuf de Montauban, L’Estanquet reçoit ses convives dans un climat simple et convivial. Cet établissement est connu pour son décor assez vintage et sa cuisine bistronomique. Avec des gestes millimétrés, le personnel du restaurant L’Estanquet veille au grain pour l’entière satisfaction des clients. Le travail d’équipe se fait ressentir jusque dans les assiettes.
Un décor très recherché
On croirait faire un voyage dans le temps ; pourtant, L’Estanquet n’est pas un antiquaire, mais est bel et bien un restaurant. Une ambiance chaleureuse de bistro se dégage de ce décor peu commun. Les meubles trouvent toute leur splendeur dans la diversité et les boites et objets anciens sur les étagères ne font qu’accentuer cette allure de vieux bistro. Sur les murs sont exhibées des publicités d’un autre âge, qui font plonger les clients dans une nostalgie du bon vieux temps.
Le maitre des lieux, c’est la grande cheminée qui domine la salle. Celle-ci offre non seulement de la chaleur aux clients, mais également la garantie d’une cuisine de haute qualité qui respecte les produits. Effectivement, la maison y fait griller les pièces de viande pour les imprégner du gout particulier de la cuisson au feu de bois.
Un esprit bistro dans les assiettes
Le restaurant L’Estanquet propose une cuisine traditionnelle, typiquement française, pimentée par une touche d’originalité. Les ingrédients sont de qualité supérieure, les plus belles pièces sont sélectionnées dès l’achat. Les patrons et son équipe travaillent les produits frais du terroir sur place, chaque jour. En outre, tout est fait maison. Ce qui a valu au chef le titre de « Maitre restaurateur ».
La carte du restaurant s’oriente par rapport aux saisons et aux inspirations en cuisine. Les plats qui font la notoriété de L’Estanquet sont nombreux. Quoi de plus simple qu’un os à moelle accompagné de pain grillé ? La maison propose du pied de cochon, de l’andouillette, du ris de veau, du cassoulet et d’autres plats tout aussi représentatifs de la cuisine française les uns que les autres. La gaufre caramel beurre salé servie en dessert est un pur délice, sans parler des profiteroles. Les gourmands et gourmets en redemanderont.
Montauban : une ville d’Histoire et de culture
Grâce à son histoire, la ville est riche en patrimoine, notamment en matière d’architecture. Elle est appelée « la plus rose des villes roses », car la brique y est omniprésente. L’époque médiévale a laissé quelques héritages, comme le pont Vieux ou l’église Saint-Jacques avec son beau clocher octogonal. Ce patrimoine architectural est aujourd’hui valorisé grâce aux restaurants qui investissent les bâtiments anciens dans les rues de Montauban.
Trois musées sont ouverts au public dans la ville : le musée Ingres, installé dans l’ancien hôtel de ville ; le musée d’Histoire naturelle ; et le musée de la Résistance et du Combattant, qui abrite l’histoire du Tarn-et-Garonne pendant la Seconde Guerre mondiale.
Et ce n’est pas tout ! Les férus d’activités culturelles seront intéressés par le théâtre Olympe de Gouges, l’école municipale de dessin, où l’on découvre et approfondit le dessin et la peinture, ou encore l’espace Bourdelle sculpture, qui propose des ateliers et des conférences autour de cet art.
...