Le vignoble Saint-Émilion couvre environ 5 400 hectares de terrains et est encépagé de 60 % de merlot, de 30 % de cabernet franc et de 10 % de cabernet sauvignon. Il se trouve sur des terroirs calcaires, argilo-limoneux, sableux et bénéficie d’un climat doux et tempéré. L’AOC Saint-Émilion, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est une subdivision du Libournais. Elle comprend les appellations Saint-Émilion simple et Saint-Émilion Grand Cru, cette dernière regroupe elle-même les grands crus classés A et B, sa plus haute distinction, et les grands crus classés, sa seconde. Le classement Saint-Émilion Grand Cru existe depuis 1955 et se renouvèle tous les 10 ans. Ces vins sont complexes, charpentés avec une bonne longueur aromatique en bouche. Leur production demande une plus grande attention et des conditions plus rigoureuses par rapport aux vins d’AOC Saint-Émilion simple. Le Château La Gaffelière, un vinificateur de vins fins et élégants Ce vignoble est encépagé majoritairement de merlot, à coté duquel on trouve du cabernet franc. Depuis la création du Château La Gaffelière jusqu’à nos jours, la famille Malet Roquefort y accorde une attention particulière. Pour cela, elle y vit afin de contrôler en permanence son système de production. La famille Malet Roquefort, respectueuse de l’environnement, est une fervente défenseuse de l’agriculture raisonnée. Tout le travail de la vigne se fait selon des méthodes traditionnelles, en utilisant des produits bio. « On travaille des parcelles avec un cheval et on exige des produits bio pour le traitement des vignes », explique Françoise Morice, une représentante du Château. Le Château La Gaffelière, un vin fruité avec un boisé harmonieux Le Château La Gaffelière est un premier Grand Cru classé de Saint-Émilion qui a une capacité de garde de plus de 25 ans. Il est connu pour sa longueur en bouche et pour s’accorder parfaitement avec des côtes de bœuf et des mets à base de gibier, de fromage et de viande rouge. Millésime 2009 : à l’œil, il est de couleur violette profonde. Au nez, il est intense et on sent ses arômes fruités. En bouche, il est complexe, rond, suave, avec un boisé harmonieux. Millésime 2010 : il charme à l’œil par sa couleur grenat et au nez par ses expressions de fruits mûrs. En bouche, il est moyennement complexe, sec et très léger, avec une touche boisée. Millésime 2014 : il a une belle robe rouge rubis. Au nez, il est élégant et a des expressions florales et fruitées. En bouche, il est puissant avec une bonne longueur. Clos La Gaffelière, un vin jeune, élégant et soyeux C’est un jeune vin d’appellation Saint-Émilion Grand Cru qui a une capacité de garde de 5 à 7 ans. Il s’associe bien avec une pièce de bœuf et les mets à base de viande rouge et de fromage. ...
Située en plein parc naturel régional du Vercors, la chocolaterie La Frigoulette fabrique des chocolats à partir de beurre de cacao, sans huile de palme, ni gluten, ni graisse animale. Le cacao est un premier grand cru produit de façon équitable sur l’île de São Tomé et Principe. C’est exclusivement l’entreprise Kaoka qui fournit les fèves bios et équitables. La chocolaterie La Frigoulette a été lauréate du concours Artinov de la Chambre des métiers de la Drôme en septembre 2012. À São Tomé et Principe En 2014, Bernard Xueref s’investit encore plus dans la culture des cacaoyers en achetant deux hectares de plantations abandonnés, qu’il souhaite revaloriser en créant des parcelles pilotes expérimentales. L’objectif est d’améliorer les méthodes de culture des agriculteurs en conciliant leur savoir-faire et les compétences des techniciens de la CECAB (Coopérative d’exportation de cacao biologique), et d’augmenter le rendement. À la chocolaterie C’est avec l’aide de Paul Keruel, maître chocolatier, que Bernard Xueref invente de nouvelles recettes. Le principe est simple : chaque création s’élabore à partir d’un mélange de deux goûts. Une large palette d’environ 140 saveurs est ainsi à découvrir. On peut se délecter par exemple de tablettes de chocolat noir au gingembre, de chocolat noir aux citrons confits, de chocolat noir aux noisettes grillées, mais aussi de chocolat à la lavande, de truffes au praliné, de mendiants aux fruits secs ou encore de chocolats aux fruits exotiques, de chocolats à l’eau-de-vie, de chocolats à la Clairette de Die, sans oublier les savoureux Malakoff ou les papillotes. Tous les chocolats sont fabriqués de manière artisanale, et emballés à la main. Vous pouvez les acheter en venant à la boutique de la chocolaterie. Ils sont également distribués dans de nombreux magasins bios. Visiter la chocolaterie Vous pouvez venir visiter la fabrique de chocolats du lundi au samedi, mais également faire une pause gourmande au bar en dégustant une tasse de chocolat chaud ou de café de São Tomé. ...
Eaux-de-vie, fruits à la liqueur, liqueurs et crèmes, et apéritifs sont les produits phares de la maison la Salamandre située au cœur du Périgord. La troisième génération actuelle tient à préserver son identité au travers des méthodes artisanales utilisées dans les procédés de production. Prônant la qualité et l’authenticité du goût, cette entreprise familiale se veut être un fleuron de la distillerie traditionnelle. Une passion devenue un métier Raymond Gatinel, connu dans les années 1960 pour avoir été le précurseur de la distillation ambulante, transformait les fruits des agriculteurs en eau-de-vie grâce à un alambic en cuivre posé sur une carriole. Face au succès grandissant de sa petite entreprise, il décide de fonder en 1970 une distillerie, bien ancrée en terre cette fois-ci, afin de produire, en plus de l’eau-de-vie qui fit sa renommée, des liqueurs et des apéritifs. Cet héritage sera repris au fil des ans par ses enfants qui, afin de lui rendre hommage et pour préserver cette passion, perpétuent cette tradition en utilisant ce même alambic pour la distillation des fruits frais de la région du grand sud-ouest. Des recettes artisanales héritées des ancêtres Privilégiant les fruits phares du terroir, à l’instar de la noix du Périgord ou de la prune, la distillerie la Salamandre se démarque par la qualité de ses produits. En effet, tout le processus répond à un désir de préservation du patrimoine en évitant, par exemple, l’ajout de sucre ou de levure lors de la fermentation des fruits, conférant ainsi à l’eau-de-vie pur fruit qui en résulte une puissance aromatique unique. La maturation de cette eau-de-vie se fera, par la suite, dans de vieux foudres en chêne afin de révéler le goût affirmé du rendu. Ce processus naturel et purement artisanal permet à la large gamme de produits de la maison d’être régulièrement récompensée au Concours Général Agricole de Paris (4 médailles en 2017). Appréciez ainsi notre apéritif « Le Poirier », exprimant les arômes francs de la Poire William, lors de vos instants gourmands et optez, en guise de digestif, pour la Vieille eau-de-vie de Prunes d’Ente, une eau-de-vie suave vieillie 15 ans en fûts de chêne. ...
En 2006, François et Sylvie s'installent à Meursault. Le domaine familial est aujourd’hui géré par cette 5ème génération de vignerons, bientôt rejointe par Antoine la 6ème lignée. Il s’agit d’une entreprise à taille humaine et c’est peu de le dire ! La famille travaille seule et ne compte aucun ouvrier. « Nous faisons tout de A à Z, de la culture de la vigne, à la vinification en passant par la commercialisation », témoigne Sylvie. La simplicité et la convivialité font tout le charme de cet endroit blotti au cœur de la Bourgogne. Des vins à l’ancienne, une signature Comme il est de coutume en Bourgogne, le pinot noir et le chardonnay sont à l’honneur sur les 6,5 hectares du Domaine François et Sylvie Gerbeaut. La région étant connue pour ses lieux-dits très morcelés, l’exploitation dispose de plusieurs parcelles réparties sur les communes de Pommard, Beaune et de Volnay. « Nous travaillons à l’ancienne, en lutte raisonnée en collaboration avec la Chambre de l’agriculture pour être à la pointe de tout ce qui se fait de mieux au niveau des vignes », explique Sylvie Gerbeaut. Dans sa démarche respectueuse de l’environnement, la maison promeut une méthode de culture hors des sentiers battus. Lors des vendanges qui se font manuellement pour toutes les appellations villages, les raisins sont triés directement sur les parcelles pour que les grains qui arrivent dans les cuves soient les plus sains et les plus propres possible. La récolte s’effectue à maturité complète et ainsi, les cépages peuvent exprimer toute la typicité de leur terroir. « Lorsque le raisin est très mûr, nous n’avons pas besoin de chaptaliser ni d’ajouter des levures. Le but est de rester le plus naturel en utilisant ce que la terre peut offrir. » Le domaine aspire clairement à être le représentant de ses terroirs. « Nous ne changeons rien lors de la vinification car nous voulons que nos produits arborent leur identification de départ », insiste la vigneronne. Après un long passage en cuves bétons ou inox durant 20 à 30 jours, les vins passent par un élevage en fûts de chêne pendant 12 mois au minimum avec là encore, quelques particularités. « Nous n’utilisons que 10% de fûts neufs pour que le boisé dans le vin soit fondu et que les arômes fruités et floraux soient davantage mis en avant. » Le meilleur de la Bourgogne Produisant entre 15 000 à 20 000 bouteilles dans l’année, le Domaine François et Sylvie Gerbeaut propose un large éventail de cuvées en appellations Beaune 1er cru, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune, Pommard 1er cru et Volnay. Parmi les différents crus qui retiennent l’attention figurent ceux produits sur les parcelles de Pommard. Le 1er Cru « Les Charmots » 100% pinot noir par exemple plaît pour sa complexité et ses arômes de fruits rouges. Il s’accorde à merveille avec toutes sortes de viandes blanches, viandes rouges, gibiers, fromages ou volailles. Fierté de la maison, le Beaune 1er cru « Le Clos des Mouches » est issu du plus beau clos situé dans l’aire d’appellation. « C’est un vin authentique, puissant et magique qui est une belle représentation de notre travail », avoue notre interlocutrice. Révélant une couleur rubis intense, ce rouge au potentiel de garde est à la fois intense, complexe, il aiguise les palais avec ses arômes de fruits noirs et de fruits rouges. Un nectar subtil à accompagner d’une côte de bœuf, de viandes rouges en sauce ou de fromages affinés. ...
Le Domaine du Moulin de Lachaud se trouve dans un cadre champêtre à Sainte-Fortunade dans le département de la Corrèze. Bruno et Armelle seront heureux de vous y accueillir en toute saison pour un séjour au calme ou pour déguster une cuisine gastronomique inspirée du terroir. Le domaine est aussi un lieu idéal pour des repas de famille, des anniversaires ou des mariages. L’hébergement : une large palette d’espaces dédiés Au Domaine du Moulin de Lachaud, vous pourrez résider dans l’une des 3 chambres d’hôtes ou dans le studio, tous prévus pour recevoir 2 personnes. Si vous recherchez plus d’originalité, vous pourrez choisir la hutte gauloise pour 4 personnes ou encore l’ancien moulin rénové qui peut accueillir jusqu’à 10 personnes. Si vous préférez le camping, une plateforme surplombant l’étang est réservée aux camping-cars. Eau et électricité sont ainsi à disposition. Le restaurant : une cuisine gastronomique inventive La salle du restaurant vous accueille dans un espace coloré et moderne. L’été, vous pourrez aussi profiter de la terrasse de 100 m² avec une superbe vue sur l’étang. Le chef vous régalera avec sa cuisine gastronomique inventive et raffinée. Tous les plats sont concoctés à partir de produits frais et de saison. En entrée, le magret fourré au foie gras ou le duo de foie gras mi-cuit aux fruits secs et écorces d’orange confites sont des spécialités maison très appréciées. En plat, le grenadin de veau aux girolles fera succomber vos papilles. Mais les pâtisseries sont également à l’honneur avec le pudding à l’ananas, une recette familiale très légère sans lactose ni gluten, ou la tarte Mojito à base de jus de citron jaune et vert, de menthe et de rhum. Ici tout est fait maison, même le pain bio est préparé sur place, comme par exemple celui au petit épeautre. Des concerts et des soirées à thème y sont organisés tout au long de l’été. L’étang : pour tous les amateurs de pêche L’étang situé sur le domaine s’étend sur 2,5 hectares et est alimenté par des sources naturelles. Ce site classé en titre vous dispense de la carte de la Fédération Nationale de la pêche. Vous pourrez y pêcher carpe, truite ou black-bass toute l’année sur réservation auprès du restaurant. Si vous aimez pratiquer la pêche à la mouche, rendez-vous d’octobre à février. ...
Le Scoop est une adresse bien connue du Touquet, à Le Touquet Paris Plage (62520). Prônant une cuisine bistronomique, cet établissement doit son succès au bouche à oreille et retrouve une seconde jeunesse grâce à une nouvelle gérance arrivée le 29 juin 2017. Virginie Thomas, à la tête du restaurant, s’attache à respecter l’identité d’origine du Scoop que lui connaissent ses habitués, tant au niveau du service que des plats proposés. Une restauration traditionnelle et des spécialités thaïes Si Le Scoop a su acquérir de nombreux adeptes depuis de nombreuses années, c’est en partie pour la qualité de ses plats, préparés à la minute. Un de ses points forts : « Tous les ingrédients sont frais, tout est fait maison des entrées jusqu’aux desserts et les plats sont également à emporter », nous fait savoir la nouvelle propriétaire des lieux. Les tarifs ne sont pas pour autant exorbitants, car les clients apprécient aussi l’excellence du rapport qualité-prix. Le restaurant a surtout construit sa réputation autour d’une cuisine traditionnelle et thaïe. Sur la carte composée essentiellement de plats typiques de bistrot, les tartares de viande et de poisson sont énormément prisés. Si les frites fraîches constituent l'un des points forts du restaurant, le Scoop du Touquet suggère aussi d'autres plats à succès : « L’œuf cocotte aux cèpes et aux truffes ou les gambas croustillantes comme entrées, le tartare de saumon thaï ou le tartare traditionnel comme plats de résistance, le TiramiScoop, la tarte aux pommes ou le coulant caramel au beurre salé comme desserts ». Côté vins, la carte est riche en propositions, à travers de nombreuses références en vins bordelais, de Bourgogne, de la vallée du Rhône, d’Alsace, de Provence, du Sud, ou encore en vins étrangers. « Une adresse où le client est roi » Le Scoop applique à la lettre ce célèbre adage en mettant sur un pied d’égalité la qualité de ses mets et le sens du service. Virginie Thomas souligne ce principe propre à l’établissement depuis ses débuts : « Les gens viennent au Scoop pour la cuisine et l’âme du restaurant. Ils s’y sentent comme chez eux. Nous aimons être proches de nos clients, dont nous connaissons les habitudes, et nous sommes à l’écoute de leurs moindres désirs. » C’est ainsi qu’elle s’attache à faire régulièrement un tour de tables pour être à l’écoute des convives. « C’est important de nouer un contact avec les gens, ils aiment se sentir valorisés, savoir que l’on s’occupe d’eux », précise-t-elle. La satisfaction de la clientèle est donc primordiale pour ce restaurant proposant également une salle pouvant être privatisée pour des repas de groupes, séminaires ou anniversaires etc..., d’une ambiance intimiste à l’étage supérieur. Une nouvelle déco va parfaire le tout et favorisera l’esprit de sérénité et de zénitude souhaité par la maison. ...
Au cœur de Nantes, un endroit exceptionnel attire la curiosité et l’intérêt : L’Assise. Il s’agit d’un restaurant installé dans les murs de l’ancienne cour d’assises, datant de 1851 et rénovée par l’architecte Jean-Philippe Nuel. Le restaurant joue la carte de l’élégance et de la modernité, tout en gardant son charme originel. Les meubles de couleur rouge et fuchsia apportent une touche de fantaisie, tandis que le jeu de faisceaux colorés projeté sur les murs à la nuit tombée invite à un voyage à la découverte de l’univers du célèbre écrivain nantais Jules Verne. Durant les beaux jours, les terrasses révèlent des couleurs gaies et vibrantes, qui sont en parfaite harmonie avec la salle intérieure. Une cuisine fusion Tout comme l’endroit, la cuisine proposée est d’une élégance rare. Avec subtilité, le chef Frédéric Laval revisite les grands classiques de la gastronomie française, en y apportant une petite touche de modernité. Son but est avant tout de proposer des plats simples mais créatifs, où les produits sont mis en avant. Parmi eux figure le fameux tartare de Saint-Jacques acidulé d’espuma d’huitres ou encore l’émincé de ris de veau aux douceurs d’oignons rouges à l’encre de seiche et vanille. Et pour épater les gourmands curieux, le chef n’hésite pas à s’aventurer sur de nouveaux horizons culinaires. Il propose ainsi des plats venus d’ailleurs, notamment issus de la cuisine asiatique et italienne, retravaillés à la façon Laval. Une occasion pour les convives de déguster le savoureux tataki de bœuf à la sauce teriyaki, accompagné d’une mousseline de pommes de terre au wasabi. Ce plat a été adapté d’une recette japonaise qui, à l’origine, a pour base le thon et l’espadon. Les saveurs de cette suggestion culinaire sont rehaussées par un succulent Médoc Cru Bourgeois, Château Les Ormes Sorbets 2007. D’ailleurs, côté vins, la cave tente de satisfaire toutes les envies grâce à ses nombreuses références. La cuisine est un travail d’équipe Le chef Frédéric Laval ne manque donc pas d’idées pour exprimer et exploiter son amour et sa passion pour la cuisine. Le principal but étant de répondre aux attentes des convives. Et, pour cela, il a toute une équipe derrière lui pour le soutenir et l’aider. Fidèle aux valeurs « Yes I can » du groupe, celle-ci exprime une volonté de tendre vers l’irréprochable et veille à assurer la meilleure qualité de service. La carte, élaborée avec le personnel, reflète d’ailleurs cet esprit d’équipe. En accord avec les produits de saison, elle est régulièrement renouvelée. De même pour les menus qui ont été créés pour s’adapter aux envies et au budget des convives. Ainsi, il y a le menu Pause Déjeuner à 17 €, qui est servi en moins de 30 minutes. En attendant celui-ci, une soupe froide ou chaude est servie en guise d’amuse-bouche pour faire patienter les convives. Pour les tout-petits, le menu enfant est constitué de plats savoureux et équilibrés, adaptés à leurs besoins. Enfin, le menu Nantais à 35 € rend hommage à la ville. Côté desserts, c’est le chef pâtissier Emmanuel Lebreton qui surprend avec des créations simples et savoureuses telles que la tarte crémet nantais au parfum de coing, le sablé breton crémeux au citron et à la bergamote ou encore la religieuse au caramel beurre salé. ...
Au cœur de la station de ski Serre Chevalier, Le Caribou accueille en hiver comme en été les vacanciers affectionnant les bons petits plats. La maîtresse des lieux, Liane Cunin, et sa petite équipe, composée notamment du chef Louis Blain du Poète, proposent des menus complètement différents selon les saisons. En effet, les repas servis ici sont plutôt montagnards durant la période hivernale, alors qu’ils sont entièrement improvisés lors de l’arrivée des beaux jours. Des saveurs authentiques à découvrir Le « fait maison » occupe une place importante au sein du Caribou. La plupart de ses plats phares sont essentiellement préparés avec grand soin à l’aide d’ingrédients frais et de saison. C’est le cas de son foie gras maison ou de sa truite fumée maison de Châteauroux, qui sont servis en entrée. Les réjouissances continuent avec du gibier, à l’instar du chevreuil aux airelles avec légumes anciens ou du dos de cabillaud aux deux citrons pour les amateurs de poisson. Le repas s’achève sur un entremets au chocolat, une tarte au citron meringuée ou des crèmes brûlées sous toutes leurs formes. Les vins originaires des Hautes-Alpes accompagnent dignement le festin. La trentaine de références parmi les plus sollicitées en rouge et en blanc comprend le Domaine Allemand, par exemple. La clientèle est également très friande des Côtes-de-Provence et des Côtes-du-Rhône. De la convivialité au menu Dans le restaurant Le Caribou, on se délecte de la vue imprenable donnant sur les Hautes-Alpes. La beauté de l’établissement est encore plus saisissante une fois à l’intérieur. Il est en fait implanté dans une ancienne bergerie datée du XVIIe siècle. Il a su garder son charme d’antan grâce à sa pièce voûtée en pierre apparente, qui lui confère une ambiance assez chaleureuse. ...
Petit village de montagne situé entre les Alpes du nord et la Provence, Montclar est établi aux pieds de Dormillouse à 1350 mètres d'altitude. On le décrit comme un coin de Suisse égaré sous le soleil de Provence. Dans la vallée de la Blanche entre Digne, Gap et Barcelonnette, Montclar est distant d'environ deux heures du littoral méditerranéen. La beauté du paysage y est impressionnante, avec une vue imprenable sur le lac de Serre-Ponçon. Sur ses deux versants s'étalent les pistes de ski longues d'environ cinquante kilomètres cernées par une forêt de feuillus de résineux et de mélèzes. C'est en plein cœur de ce domaine que se dresse le restaurant Le Clos Madarin de l’Hôtel Le Saint-Jean, offrant un panorama sur toute la région grâce à sa terrasse ouverte toute l'année, été comme hiver. Convivialité à l’honneur au restaurant Au Clos Madarin, rien n'a été laissé au hasard pour satisfaire les besoins des convives. Le décor, l'ambiance des lieux inspirent calme et zénitude. Dans la salle trône une cheminée imposante conférant un esprit traditionnel à l’établissement. Elle se marie bien avec le mobilier en bois qui procure une atmosphère apaisante. Le Clos Madarin fait la part belle à la cuisine provençale traditionnelle, toujours élaborée à partir de produits frais essentiellement issus du terroir. Promu Maître Restaurateur depuis août 2014, le chef du restaurant s’inspire du travail célébrissime « Auguste Escoffier » pour la création de ses plats. Rappelons que cet auteur culinaire français est à l’origine du concept de la brigade de cuisine. Le maestro des fourneaux propose une cuisine simple et maîtrisée où les produits sont majestueusement mis en valeur. En entrée, il suggère un tartare en duo de saumon Gravelax et Saint-Jacques. En plat de résistance, le Dos de lieu jaune et légumes croquants est proposé côté poisson. Côté viande, rien de tel qu’une Caillette d’agneau ail confit et jus léger. Un dessert maison achèvera ce mélodieux repas, duo de chocolat et caramel au beurre salé et son croquant de miel. Hôtel le Saint-Jean : familial par excellence A l'Hôtel le Saint-Jean, les prestations ont été faites pour satisfaire au mieux les besoins des convives (wi-fi, parking etc.). Les 25 chambres disponibles sont pourvues de toutes les commodités nécessaires au confort des clients. Les formules d’hébergement varient en fonction des besoins des clients. Ainsi, il est possible d’y séjourner en demi-pension, en pension complète par ailleurs, des tarifs préférentiels sont appliqués pour les enfants en bas-âge. Au sein de cet établissement, les familles seront décidément comblées. ...
Ce bar-restaurant est un lieu d’exception qui met particulièrement à l’honneur la Bellerose, une bière fabriquée par la Brasserie des Sources. Mais un large éventail de bières est à découvrir : des bières à la pression, des bières artisanales (craft beers) sans cesse renouvelées, à la pression, en bouteille ou même en édition limitée. Elles vous feront incontestablement voyager puisqu’elles sont produites dans le monde entier (Etats-Unis, Ecosse, Pays-Bas, Autriche, Japon, …). Vous n’avez pas fini de vous rendre au Bellerose si vous voulez explorer l’ensemble de la palette de bières que l’établissement propose.Côté restauration, le Bellerose s’est spécialisé dans la confection de burgers gourmets originaux à partir de produits frais de qualité. Tous les burgers sont préparés spécialement pour vous, à la minute, avec une parfaite cuisson de la viande.En cuisine, une équipe de 4 cuisiniers unis par leur goût pour la Street Food offrent un univers culinaire assez varié. Ils travaillent leurs burgers au gré de leurs envies pour proposer de nouvelles recettes qui s’ajoutent à ceux de la carte permanente.En consultant celle-ci, vous aurez peut-être envie de vous régaler d’un burger Little Italia avec pain ciabatta, cheddar, steak, speck, oignons frits, salade roquette et tomates confites, agrémenté d’une sauce moutarde. Le "Oh my goat" avec steak, chèvre, miel, oignons frits, bacon, salade et tomate, est aussi très apprécié.Si vous êtes végétarien, pas de souci, venez savourer le Veggie avec son bun boulanger, steak de mozzarella panée, tomate fraiche, roquette, tomates confites, sublimé par une sauce basilic.Ici tout est prévu pour les gros mangeurs puisque vous pouvez demander un burger avec un, deux ou trois steaks. Et les indécis choisiront plutôt le duo de mini-burgers.Toutes les assiettes sont préparées avec soin, toujours servies avec des frites et de la salade. Les desserts sont également faits maison, vous pourrez par exemple vous régaler avec un cheesecake.Pour le midi, vous pouvez déguster le burger du jour accompagné d’une bière Bellerose pour seulement 12 euros.Si vous venez entre amis, partagez quelques mix tapas (Guacamole, onion rings, beignets de calamar et chicken wings ) sans oublier de commander votre bière préférée.Sa salle tout en longueur est partagée entre bar et restaurant. La décoration privilégie une ambiance industrielle et vintage avec des tables en bois noir et des tabourets. De la bonne musique en fond sonore, une lumière tamisée, un accueil sympathique et chaleureux, des bières de qualité, des burgers gourmands, tous les ingrédients sont réunis pour passer un moment convivial....
En 1953, alors que l’appellation Buzet n’existe pas encore, un groupe de viticulteurs s’allie pour former la coopérative Les Vignerons de Buzet. La coopérative Les Vignerons de Buzet représente aujourd’hui 95% de l’appellation Buzet. Elle s’engage à vinifier et commercialiser des vins issus de pratiques responsables et durables. Une démarche responsable et durable à tous les niveaux « Nous sommes une coopérative fortement engagée sur le thème du développement et de la transition agroécologique », introduit Mariane Riboulet, responsable de la communication chez Les Vignerons de Buzet. Depuis 12 ans maintenant, cette philosophie est appliquée de la vigne à la bouteille. A cet effet, les vignes sont conduites en agriculture raisonnée et certains traitements chimiques sont supprimés. Ce qui signifie : zéro engrais chimiques, zéro désherbants chimiques résiduaires, zéro produits CMR (cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques). Et comme la coopérative veille méticuleusement à la préservation de l’écosystème, les insecticides nocifs pour les abeilles, dont les néonicotinoïdes, sont également bannis du cahier des charges. Par ailleurs, la question de l’économie d’énergie est réellement prise au sérieux. Les Vignerons de Buzet misent notamment sur les couverts végétaux afin de mieux gérer la ressource en eau dans les vignes. Toutes ces initiatives sont volontaires et vont au-delà de l’aspect environnemental. « Ces démarches écoresponsables ne se limitent pas au niveau du traitement des vignes », ajoute Mariane Riboulet. « Nous nous employons à ce que tout le processus d’élaboration du vin soit conforme à notre vision. C’est pourquoi nous travaillons aussi à l’écoconception de nos bouteilles, cartons, coffrets, etc…». Des vins pour tous « Baron d’Ardeuil » est un vin représentatif de la coopérative. « C’est la cuvée historique de la maison », nous confie notre interlocutrice. Le Baron d’Ardeuil se décline en rouge et en blanc. Baron d’Ardeuil rouge est issu de terroir de graves et d’argilocalcaires où les cépages Merlot, Cabernet Franc et Cabernet Sauvignon s’enracinent harmonieusement. Baron d’Ardeuil rouge est un vin plutôt puissant, boisé sans excès. De son côté, la cuvée Petit Baron se révèle être une porte d’entrée dans l’univers des vins de Buzet. Lancée en mars 2019, sur les trois couleurs (rouge, rosé et blanc), la gamme Petit Baron est née d’une volonté de donner une place à la chouette Chevêche d’Athéna, espèce protégée qui accompagne les viticulteurs des Vignerons de Buzet depuis longtemps car elle a été réintroduite dans le vignoble. Guidés par la chouette, Les Vignerons de Buzet reversent 1% des bénéfices générés par les ventes de cette cuvée en soutien à des initiatives environnementales, via l'organisme "1% for the Planet". La coopérative a également développé des vins sans sulfites ajoutés. Cette fois-ci, on dit non au soufre ajouté, additif qui a désormais rejoint le rang des allergènes. Parmi les ambassadrices de cette gamme de vins figure la cuvée "Sans", qui se décline en vin sans sulfites ajoutés rouge, rosé et blanc. Dans l’atelier du vigneron Les Vignerons de Buzet proposent une visite guidée dans le vignoble. L’animation est assurée par un viticulteur et un apiculteur qui se feront un plaisir d’exposer le cœur de métier de la coopérative. « Ces experts expliqueront respectivement toutes nos pratiques culturales liées à la transition agro-écologique. Les visiteurs découvriront, par exemple, comment sont préservés les insectes pollinisateurs, notamment les abeilles », éclaire Mariane Riboulet. Notons que la coopérative est engagée dans le label Bee Friendly qui promeut fervemment la protection des abeilles. Cette balade pédestre s’achève par une séance de dégustation où les visiteurs peuvent apprécier les vins et les produits du terroir en toute convi...
Situé sur le « plateau » commun de l’ouest de Saint-Emilion et de Pomerol, le Château Croque Michotte dispose de près de 14 hectares de vignes (cépages : merlot, cabernet franc et cabernet sauvignon) et d’un terroir exceptionnel de sables anciens et de graves sur argiles ferrugineuses. Le programme de replantation en cours tend à augmenter la proportion de cabernet franc, compte-tenu des résultats exceptionnels obtenus ces dernières années avec ce cépage aux tanins serrés et au degré moins élevé, particulièrement bien adapté aux conditions météorologiques du climat aquitain. Château Croque Michotte : historique Samuel Geoffrion acquit le Château Croque Michotte en 1906. Sa fille Hélène, puis Robert Carle menèrent ce vignoble familial, qui est exploité aujourd’hui par Pierre Carle, arrière-petit-fils de Samuel Geoffrion. Lucile Carle, fille de Pierre Carle, complète l’équipe de direction. Les travaux dans les vignes et les chais sont menés par Claudie et Eric, travailleurs expérimentés. Le Château Croque Michotte fut le premier des grands châteaux du bordelais à obtenir la certification d’État Bio, en 1999, avec quatorze ans d’avance sur les suivants. Cette démarche environnementale fut motivée par la lecture des notices des produits phytosanitaires et le souci de la protection des employés agricoles. D’autres mesures environnementales sont prises, telles éclairages à LED dans les chais, véhicule au GPL, traitement des bouchons sans produit chimique, marquage au feu, désinfection des chais sans produits de synthèse ou chlorés, etc. Depuis toujours les vendanges sont manuelles, les raisins, issus de petits rendements pour la mise en valeur du terroir, sont mis en cagettes par les vendangeurs et ne subissent aucune autre manipulation jusqu’au chai. Les grappes sont ensuite éraflées, les raisins sont triées sur une table optique automatique très performante, puis poussés par une pompe péristaltique et enfin foulés juste à l’entrée des cuves. Cette suite d’actions est la plus sûre pour éviter l’oxydation des raisins. Les vinifications sont effectuées sans sulfites, le moût étant protégé par des méthodes microbiologiques. Puis vient l’élevage d’environ quinze mois en barriques de chêne français à grain fin, dont 60 % neuves. Le millésime 2016 a reçu une médaille d’or et le Grand Prix des vins bio au Challenge International du Vin et une médaille d’or au Concours Mondial des vins Féminalise. Vous apprécierez autant sa belle robe rouge rubis que son nez fruité et fumé, complété par des pointes d’épices douces, et son attaque en bouche veloutée et franche accompagnée de tanins savoureux. Sans oublier sa finale longue agrémentée d’arômes de cacao. ...
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
Le Domaine du Chalet est une demeure d’exception où s’exprime au mieux l’Art de Vivre à la française. Situé à Chigny-les-Roses, dans le parc naturel de la Montagne de Reims, le Domaine du Chalet, édifié en 1860 fait partie des demeures d’exception du patrimoine champenois. Entre bois et vignes, au cœur des Grands et Premiers Crus du vignoble Palmer & Co, cette demeure historique et son parc peuplé d’arbres rares et centenaires vous feront vivre une parenthèse hors du temps. Naturellement Élégant On se laisse facilement envelopper par l’atmosphère de cette maison de famille chaleureuse. Le calme et l'harmonie de cette demeure d’exception, la présence discrète d’un personnel attentionné et la proximité avec la nature vous séduiront le temps d'un séjour inoubliable à la découverte de la Champagne, de son terroir unique et de son riche patrimoine. Cette adresse, presque jalousement préservée abrite 4 Suites au sein de la demeure ainsi qu’une Suite perchée à 10 mètres de hauteur dans un majestueux hêtre roux. L'expérience Palmer & Co La Maison d’hôtes a été pensée pour faire vivre une expérience Palmer & Co, pour dévoiler aux hôtes toutes les facettes de ce vin d’exception et révéler la subtilité des différents Champagnes de la Maison. Que ce soit en partageant une flûte à l’ombre de ce paradis végétal ou bien à table en découvrant les accords préparés par le Chef, vivez une immersion intimiste dans l’univers Palmer & Co. ...
Le restaurant Le coup de feu promet une expérience unique en termes de plaisir de la table. Le chef affiche sa volonté de séduire le plus grand nombre en proposant une cuisine traditionnelle teintée d’inventivité. Un cadre cosy pour manger autrement Le restaurant Le coup de feu réserve à ses convives un accueil chaleureux dans un cadre offrant le juste milieu entre une décoration moderne et une salle de style rétro. Poutres apparentes, grande cheminée au milieu de la salle, mobiliers vintage, mais aussi sol carrelé… autant d’éléments évoquant charme et convivialité. Le restaurant propose une cuisine basée sur la gastronomie parisienne. Concoctés exclusivement avec des produits frais, les plats de l’ardoise changent toutes les semaines afin de varier le plaisir des habitués et de faire découvrir de nouvelles saveurs aux nouveaux venus. Certains mets illustrent à merveille le savoir-faire de Sylvain Le Grand, chef et non moins propriétaire du restaurant. Dans le registre des entrées, la poitrine de cochon confite, laquée au miel et servie avec un duo d'artichauts cru et cuit, émoustille les papilles. Le filet de bar est quant à lui très recommandé en guise de plat. Au Coup de feu, cette suggestion est accompagnée de jus aux fruits de la passion. Enfin, pour le dessert, le chef se fera un grand plaisir de servir l’ananas victoria rôti en tranches au sucre muscovado, agrémenté de sorbet au basilic thaï. Une cave à vins complète Pour mieux savourer les mets proposés par le restaurant Le coup de feu, le chef reste disponible pour quelques conseils sur les meilleurs accords de vins et de plats. Dans sa cave marquée par une présence remarquée de vins de Bourgogne, il présente une trentaine de références. Le chef Sylvain sélectionne d’ailleurs les vins en collaboration avec des producteurs régionaux lui permettant de mettre en valeur des produits peu connus mais à découvrir absolument. ...
La sobriété et l’élégance définissent instinctivement le cadre avenant et reposant du Bistrot de Fontcaude. Les habitués se retrouvent sur la terrasse pour une atmosphère décontractée à ciel ouvert. Un retour au calme et à l’apaisement est assuré à l’intérieur pour déguster autrement des produits frais du terroir du Languedoc-Roussillon sur des assiettes riches en goûts. Thierry Rousset enrichit ses plats en s’inspirant du patrimoine culinaire régional. La carte se veut fraîche, prônant les produits de saison et mettant en valeur les trésors cachés du terroir. Ses créations évoluent aussi au fil des rencontres et des découvertes qu’il réalise lors de ses voyages à l’étranger. Des plats revisités Au Bistrot de Fontcaude, de curieux gourmets, toujours à l’affût d’originalité, réclament, dès la mise en bouche, des plats revisités par les mains de Thierry Rousset, reconnu pour son don de marier les goûts et les textures. En entrée, rien de tel que l’os à moelle pour se délecter de saveurs authentiques. En plat, les cannellonis aux épinards et ricotta gratinée, noisettes grillées et cèpes sont un nouveau-né de sa carte fraîchement repensée. La présentation met l'accent sur les couleurs. Réservant le meilleur pour la fin, le chef suggère un mirliton aux zestes d’agrumes avec sa fine meringue aux pastilles de Vichy en guise de dessert. Des vins du Pays de l’Hérault Dès les premières bouchées, les plats prennent une autre volupté grâce aux vins de la région servis en accompagnement. C’est l’occasion de déguster des vins du Pays de l’Hérault. En vedette, les vins Pic Saint-Loup et Les terrasses du Larzac, des vins de terroir, produits de différentes associations de cépages languedociens. ...
Aujourd’hui encore, beaucoup ne savent pas ce qu’est exactement l’absinthe. Ce spiritueux, très apprécié pour ses saveurs typées, a su tant bien que mal exister à travers le temps. Sa plante de couleur verte et jaune peut être utilisée à des fins thérapeutiques pour contrer la fatigue, contrer les nausées ou servir de vermifuge. Aujourd’hui, l’absinthe est considérée comme un breuvage tout à fait exceptionnel, à déguster dans des moments spéciaux notamment en apéro… Tout un savoir-faire L’absinthe se déguste selon un rituel bien précis et nécessite l’usage de certains objets : la cuillère à absinthe, qui sert de support au sucre, et la fontaine à absinthe, où l’on verse à petite goutte de l’eau glacée sur le sucre pour un mélange donnant au spiritueux ce goût exceptionnel. Ce spiritueux se déguste de mille et une façons. Si les puristes la préfèreront nature, d’autres n'hésitent pas à la consommer sous forme de cocktails. Une gamme riche de produits À part l’absinthe qui a fait sa réputation, la maison « Les Fils d’Émile Pernot » propose plusieurs gammes de spiritueux, de liqueurs et eaux-de-vie, comme la liqueur d’absinthe, composée uniquement d’absinthe au goût très original. La Gentiane, eau-de-vie connue pour ses vertus digestives et obtenue grâce à une plante, est une des spécialités de la distillerie. La racine n’est récoltée qu’après cinq années de maturation et constitue également l’un des fleurons de la maison. Un fort attachement aux gestes ancestraux La fabrication de la large gamme de produits chez « Les Fils d’Émile Pernot » s’effectue dans le respect des traditions et des valeurs ancestrales. La distillerie fait partie des rares à encore utiliser des alambics de cuivre vieux de plus d’un siècle permettant la distillation de la fameuse absinthe. Il s’agit des seuls alambics de ce type qui fonctionnent encore dans le monde. Ils donnent leurs qualités aromatiques exceptionnelles aux absinthes fabriquées selon des techniques traditionnelles vieilles d’une centaine d’années. ...
C’est près des Gorges du Verdon ainsi que du lac de Sainte-Croix que se trouve la cité Riez-la-romaine, là où se situe Le Rempart. Depuis 1999, ce restaurant chic et convivial propose des plats exquis dans le but d’épater les convives qui s’émerveilleront en même temps en découvrant les œuvres d’art exposées à l’intérieur. La réputation de cet établissement de la rue du marché est telle que les plus grands guides le recommandent pour son originalité ainsi que sa cuisine gourmande. Quand l’originalité s’allie à la créativité Faisant office de galerie d’art, ce restaurant travaille en collaboration avec les artistes locaux qui exposent au Japon ainsi que sur Paris. Au moyen d’un vernissage, l’artiste expose pour la première fois ses œuvres dans les salles pouvant accueillir 80 personnes. Rappelant la savane, les chaises de couleur zébrée ou unie donnent de l’exotisme au décor de la salle principale. Rondes ou rectangulaires avec des pieds droits ou sculptés, les tables en bois sont intensément vernies. En plus des lampadaires et des grands bougeoirs aux coins des murs, les tableaux et les grands miroirs, que ce soit au rez-de-chaussée ou en étage, participent énormément à l’embellissement de l’établissement. Un peu partout dans la salle, des sculptures, de la poterie et de la faïence sont à mis en exergue. A l’extérieur, lors de l’arrivée des beaux-jours, la terrasse ensoleillée promet encore plus de convivialité. La terrasse à l’ombre quant à elle est située sur la rue piétonne. Cet espace en plein air est entouré de tonneaux de vins, d’une tonnelle fleurie ainsi que des pots d’arbustes. Les peintures d’empreinte de pieds marquent le passage se dirigeant vers l’accueil, près duquel se trouve une boutique de produits provençaux. Repas des plus succulents Dans un souci de fraîcheur, le chef Ismaël Cardoso se ravitaille auprès de fournisseurs bios d’Allemagne-en-Provence pour les légumes. La viande de bœuf, quant à elle, est issue de Charolles tandis que l’agneau provient des Alpes. Au restaurant, il présente le menu express du midi et la formule brasserie dite rapide et chic. Parmi les plats phares du Rempart figure la farandole de spécialités provençales, une assiette bien garnie composée notamment d’artichaut barigoule, de mesclun, de tomates anciennes, de jambon cru, de chèvre chaud et de plusieurs autres ingrédients provençaux. Agréablement décorée, l’incontournable Assiette du pirate fait aussi la réputation de la maison. Elle est préparée avec une tartare de dorade rose, une salade de mesclun, des tomates anciennes, des gambas, des noix de Saint-Jacques, des langoustines, des moules, des palourdes et des poulpes en persillade flambés au Pastis et fruits de saison. Pour les plus gourmands, la carte propose la côte de bœuf charolaise grillée au barbecue servie avec une farandole de légumes et une salade accompagnée d’un panaché de sauces et sel de Guérande. A savoir que le restaurant propose plusieurs menus dont celui intitulé « Autour de la truffe » composé d’une petite brouillade de truffes, de ravioles de foie gras de truffes et d’un filet de bœuf rossini aux truffes ou de Noix de Saint-Jacques aux truffes. ...
Avec un slogan fort de sens - « Tous vos succès méritent un GREMILLET » - en parfait écho avec le parcours de la maison qui s’est rapidement hissée parmi les plus belles de son secteur, l’entreprise, créée par Jean-Michel GREMILLET en 1979 et reprise par ses enfants Anne et Jean-Christophe, offre un regard optimiste sur l’avenir et place la détermination, le dynamisme et le travail au cœur de ses valeurs. Une gamme de champagne mêlant qualité, fraîcheur et élégance La maison produit aujourd’hui 500 000 bouteilles par an. Le fruit d’un savoir-faire et d’une terre précieuse : un domaine vaste de 48 ha, situé au cœur du terroir unique de la Côte des Bar où le pinot noir est roi, et qui abrite depuis 2013 un clos. Ce dernier a enfanté la dernière création de la maison, une cuvée bijou qui porte son nom : le Clos Rocher. ...
Depuis des années, cet endroit au décor intimiste est devenu le cocon de sérénité des amoureux avides de calme et de tous ceux qui sont en quête d’instants paisibles loin des agitations parisiennes. Des plats classiques à la saveur unique Au restaurant Le Temps au Temps, les plats classiques seront préparés passionnément avec des ingrédients de saison et retouchés avec créativité par Denis Sabarots. Le moment de relâche s’entame dès qu’on franchit les portes à baie vitrée du restaurant. Le long bar et les tables tout en bois satiné imprégneront les convives d’une ambiance calme, intime mais chaleureuse. Bien installé près de la grande horloge noire qui orne subtilement le mur, on pourra commencer à savourer la Tartine de merlan en escabèche en toute tranquillité. « C’est un filet de merlan cuit à la plancha, mis sur un pain de campagne et accompagné d’une garniture constituée de carottes, d’oignons, de vinaigre à l’alcool, de thym et d’huile d’olive », explique le chef. En guise de plat de résistance, le délicieux Cabillaud à la mousseline d'artichaut émoustillera vos papilles. Des morceaux d’artichaut cuits avec de l’eau, un peu de vin blanc, des oignons émincés et de l’ail écrasé puis mixés avec du beurre enrichiront le cabillaud. Un mélange de saveurs et d’arômes à découvrir absolument. Et pour achever ce périple avec douceur, rien de tel que le Sablé au chocolat et à la marmelade d’orange. Dans cette adresse hors pair, on se laisse également tenter par les nombreuses références de vins, qui seront à la hauteur de toutes les espérances pour assurer la touche qui ira parfaitement avec le décor et les mets copieux proposés par la maison. « Le Menetou Salon ou les vins Pierre Richard font partie de ceux qui marchent bien », selon Denis Sabarots....
En cinq générations de savoir-faire, la famille Eldin excelle dans la production des vins AOP Côtes-du-Vivarais et IGP Coteaux-de-l’Ardèche. Des vins de qualité Les terroirs du domaine sont composés d’un sol argilo-calcaire caillouteux et des parcelles de grés. Cette variété géologique permet de cultiver différents cépages, grâce auxquels la maison peut produire 15 cuvées différentes. La cuvée phare est « Mersy », un délicieux assemblage de merlot et de syrah vieilli en fûts de chêne français. ...
C’est en Vendée, dans le charmant village de Damvix, au cœur de la Venise verte que se trouve le restaurant-cave à vins Le Marais. À sa tête, deux passionnés qui s’engagent à offrir le meilleur d’eux-mêmes pour satisfaire les épicuriens venus déguster une bonne cuisine et un bon vin dans leur chaleureux établissement. Une cave à vins très personnelle… D’une part, Vincent Lejay, membre de l’association des Cavistes alternatifs. Il « défend une autre idée du vin », qui privilégie le bio et le naturel. Sa collection est le fruit d’un tri méticuleux et strict auprès des petits producteurs. « Je fonctionne uniquement au coup de cœur pour la sélection des vins, bières et spiritueux proposés », nous confie-t-il. Sa cave, particulièrement éclectique mettant en valeur le travail de vignerons engagés, est conforme au personnage : avec beaucoup de personnalité. Les noms très évocateurs des références qui y sont présentées raviront aussi bien les amateurs que les connaisseurs. Dans cette véritable caverne d’Ali Baba, près de 350 références de vins français et étrangers, 50 marques de bières artisanales françaises et 50 marques de spiritueux trônent fièrement sur le rayonnage. Une table inventive… D’autre part, Marie Marteau, grande passionnée de gastronomie s’active aux fourneaux. Elle propose une cuisine de marché avec des produits frais et au maximum local. L’assiette, à la présentation soignée qui laisse entrevoir en filigrane l’empreinte féminine, invite à la gourmandise. La carte évolue tous les mois suivant les inspirations du chef. Parmi les plats phares de la maison figure l’assiette du marais en entrée, la fricassée d’anguilles sauvages et de pommes de terre grenailles en plat de résistance et la brioche vendéenne façon pain perdu, glace vanille et crème caramel au beurre salé ou encore le dôme de chocolat au cœur framboise pour le dessert. Pour accompagner les repas, pas de problème ! Les nombreuses références enrichissant la cave à vins garantissent les meilleurs accords. ...
Ancien relais de poste transformé en hôtel 3 étoiles, l’Anthon dispose de 13 chambres, équipée chacune d’une salle de bains privative. Les fenêtres ouvrent sur l’arrière-cour verdoyante et les massifs arborés. Une romantique gloriette se trouve dans le jardin, près du sauna. À quelques mètres des bois, des bulles transparentes permettent aux hôtes de dormir confortablement à la belle étoile. Le restaurant de l’hôtel, au rez-de-chaussée, inclut une spacieuse salle en rotonde et une terrasse. Les hôtes y sont marqués par l’accueil chaleureux du personnel, la compétence du sommelier Laurent Chiocca, et surtout, la créativité du chef Flaig. Georges Flaig et son génie de la précision Le jeune chef, Georges Flaig, s’est formé auprès des grands maîtres comme Loiseau et Westermann. Revenu à la maison, il succède à son arrière-arrière-grand-père aux fourneaux.Il fait la cuisine autrement, tout en apportant un air du Sud aux classiques du Grand Est. À chaque bouchée, les papilles reconnaissent les saveurs du terroir, avec cette touche « en plus » qui n’existe que chez Anthon. Il décrit son art comme « une cuisine avec des choses assez simples mais précises, bien travaillées avec des produits locaux ». Le carpaccio de bœuf Highland, une de ses entrées phares, est agrémenté de copeaux de parmesan, chapeauté par des feuilles de roquette et contourné par une sauce pesto. Pour le plat principal, le chef revisite une vieille recette alsacienne : la raviole schnieders päetzle à la truite. Le déjeuner se termine enfin par un millefeuille glacé de chocolat noir sur un coulis d’oranges amères. L’épaisseur demi-millimétrique de chaque disque de chocolat, le dressage, la consistance et le goût révèlent simplement la virtuosité technique. Ce savoir-faire-là, le chef le partage avec ceux qui suivent ses cours de cuisine. Avis aux amateurs et aux futures toques ! ...
Si l’exploitation a toujours été transmise de génération en génération, la marque Forest-Marié résume quant à elle l’union de deux familles et surtout de deux terroirs : celui de Thierry à Trigny situé dans le Massif Saint-Thierry et celui de son épouse Gracianne, à Ecueil classé Premier Cru et implanté sur la Montagne de Reims. Des viticulteurs attentionnés Thierry et son fils Louis présent sur l’exploitation depuis 2013 ne comptent plus le temps qu’ils passent dans les rangs de vignes. Des soins et une attention qui constituent un gage de la qualité et de la finesse des raisins produits. Les deux hommes ont pour mission d’observer la nature, de surveiller l’éclosion des premiers bourgeons sur les sarments, ou encore de comparer le comportement des vignes à celui des années précédentes. « Très attentifs à la qualité de la terre, nous y mettons de la paille pour retenir l’eau et épargner le sol de l’érosion. Elle permet aussi d’avoir un humus naturel et favoriser le développement des micro-organismes qui rendront le sol bien vivant », explique Gracianne. « Vigneron Indépendant, nous faisons tout nous-mêmes de la vigne au travail du vin. Nous avons notre pressoir et notre cuverie. » Tout ce travail basé sur le savoir-faire transmis entre les générations garantit le caractère affirmé des cuvées. Les cuvées emblématiques de la maison Dans la gamme des champagnes classiques, le Brut Tradition est le plus représentatif. Il est né d’un assemblage sophistiqué des trois cépages et de terroirs. Ce champagne jaune pâle aux reflets ambrés révèle finesse et complexité au nez, avant de dévoiler des arômes de pêche et de poire en bouche. Parmi les monocépages figure le Saint-Crespin. Issu des coteaux Premier Cru, il est composé à 100% de pinot noir, vinifié en foudre et vieilli cinq ans. Il propose une rondeur gourmande le rendant idéal pour accompagner divers mets. ...