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Vins et œnologie : visites des meilleurs domaines viticoles de France

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Quand la bière artisanale s'invite chez Nicolas. Podcast Interview "Craft beers" avec la célèbre enseigne de Cavistes Nicolas

Bonjour à tous, on se retrouve aujourd’hui pour un nouveau podcast « On en parle ». Et nous allons parler, de produits artisanaux vendus chez Craft Beers et Compagnie, une filiale du célèbre caviste Nicolas. Pour nous en parler, Monsieur Christopher Hermelin, responsable marketing et communication chez Nicolas.

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Gastronomie
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Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin

Bonjour et bienvenus à tous sur ce nouveau podcast : « on en parle ». Aujourd’hui nous allons nous intéresser à Nicolas, le fameux caviste français, qui fête en 2022 son bicentenaire. Alors focus sur ce géant du vin, qui a su traverser les siècles avec succès. Et pour nous guider et nous accompagner, Monsieur Christopher Hermelin, responsable marketing et communication chez Ni...

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Gastronomie
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Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles

S’étalant sur une surface de 7ha de vignoble et situé dans la zone graveleuse de Saint-Emilion, le Château Corbin Michotte se trouve entre Pomerol et Saint-Emilion, proche de Cheval Blanc et Figeac. Chaque année, on y produit près de 300 hl de vin en moyenne, en Grand Cru Classé.

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Podcast interview avec Caroline Barroux du Château Barrabaque

Bonjour à tous, vous écoutez « On en parle », le podcast qui parle de vous, de votre métier et bien souvent de votre passion. C’est le cas de madame Caroline Barroux vigneronne dans la région Bordelaise qui gère d’une main de maître son château, son vignoble, sa terre. Alors depuis combien de temps madame Barroux vous avez repris l’exploitation Barrabaque ?

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Podcast interview avec Sébastien Labails des Vignobles de Maxime

Bonjour à tous, vous écoutez « On en parle » le podcast où nous parlons de vous et de votre métier. Alors aujourd'hui, nous allons partir à la rencontre d'un vigneron Sébastien Labails qui nous fera découvrir ses trois domaines dans la magnifique région de Bordeaux. Bonjour, Monsieur Labails, alors dites-nous un peu, qui êtes-vous et que faites-vous là-bas vers Bordeaux ?...

Œnologie, Tourisme : top 50 des meilleures destinations viticoles...

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Nicolas
Quand la bière artisanale s'invite chez Nicolas. Podcast Interview "Craft beers" avec la célèbre enseigne de Cavistes Nicolas
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Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles
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Podcast interview avec Caroline Barroux du Château Barrabaque
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Les Vignobles de Maxime
Podcast interview avec Sébastien Labails des Vignobles de Maxime
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vers une viniculture durable
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Hôtel-Restaurant Villa Les Rosiers : un vrai plaisir culinaire

Situé face au Golfe de Saint-Tropez, à mi-chemin entre Sainte-Maxime et Grimaud,  le Restaurant Villa Les Rosiers jouit d’un emplacement privilégié qui fait toute la différence. Animé par « la volonté de bien faire » comme le souligne si bien Marc Rosenbaum, propriétaire, l’ensemble des services de l’établissement s’articule autour d’un seul leitmotiv : la qualité ! Un environnement d’exception    A travers une décoration à la hauteur de la vue et un service hors pair, la Villa Les Rosiers s’est toujours démarquée des autres établissements. Fidèle au rendez-vous, la qualité transparait dans les moindres détails avec toujours ce côté intriguant que les visiteurs apprécient dans leur soif de découverte.  Aménagé pour votre confort et pour votre bien-être, l’établissement allie charme et plaisir pour vous accueillir et vous faire découvrir tous ses attraits, dont une vue sur mer des plus spectaculaires et une plage à perte de vue autour de la piscine sans parler de sa proximité avec le golf 18 trous de Beauvallon.      Une cuisine de qualité gastronomique « fait maison » Ce souci pour la qualité se retrouve partout jusque dans vos assiettes et ce n’est pas le Chef Andrea Schläppi qui vous dira le contraire. Tous les jours, une cuisine de marché aux saveurs provençales et du monde fait le bonheur de nombreux gourmets avec le plaisir du « frais » à la carte. Une « cuisine à la minute et impérativement fait maison » a toujours été le point fort du restaurant. Les habitués aiment en parler autour d’eux surtout que les produits sont de première qualité et 100% français pour ne citer que le Charolais pour la viande de bœuf, le Sisteron pour l’agneau et la qualité Bresse pour la volaille. ...

Simone, Le Resto : un éveil des papilles

Après des expériences en Nouvelle-Zélande, en Thaïlande et en France, Julien Larcher et Charles Domet, deux amis formés à l’École hôtelière, ont repris Simone, Le Resto en mai 2016. Quant au chef Diego Alary, ancien élève de l’École Ferrandi, il a fait ses premières armes aux côtés de Guy Savoy, tout comme son commis. Aujourd’hui, dans sa cuisine ouverte, il décline une cuisine bistronomique inventive, pleine de saveurs, à partir de produits frais et de légumes de saison. Un espace de convivialité La salle peut accueillir 26 couverts. L’été, il est possible de se restaurer en terrasse, à l’ombre des marronniers du boulevard Arago. Julien Larcher et Charles Domet accueillent leurs clients avec chaleur et restent à leur écoute tout au long de leur repas. Quelques plats phares La carte change tous les jours, selon le marché. Citons quelques plats phares. En entrée, vous pourrez déguster l’œuf parfait, un œuf cuit à basse température (63 °C) pendant 1 heure, accompagné d’une purée de céleri-rave ou d’une polenta au parmesan. En plat, vous serez certainement séduit par la tendreté et le gout subtil de la picanha, une aiguillette de rumsteack de bœuf français snackée à la plancha et découpée à la brésilienne. Vous pourrez aussi savourer les ravioles farcies au veau ou encore le pigeon des Pyrénées en chausson. En dessert, vous serez conquis par la ganache chocolat parfumée au yuzu ou à l’anis étoilé, sublimée par une espuma d’orange ou d’amande. Ou bien encore par les perles du Japon cuites dans un lait de coco et vanille, servies avec un coulis de fruits rouges. Un large choix de vins La majorité des vins proposés provient de petits vignerons travaillant en bio ou en biodynamie. La carte est complétée par quelques vins nature ou traditionnels. Les vins du Languedoc-Roussillon et les côtes-du-rhône forment le noyau dur de la carte. Celle-ci joue aussi avec les saisons, en proposant, l’hiver, des vins plus gras comme des vins de Savoie, du Jura, des bordeaux ou des cahors, des vins plus frais et plus vifs l'été. Sont également présents cidres, calvados et même 3 références de bières artisanales de Gisors. Simone La Cave Les clients peuvent retrouver tous ces vins chez Simone, La Cave, située dans une rue perpendiculaire et accessible depuis la salle. Dans ce lieu vous pourrez également déguster des planches de charcuterie, de fromages ou des huitres, toujours accompagnés de bons verres de vin. ...

Le Benvengudo : La Bastide du bonheur dans un écrin de végétation

Niché au cœur des Alpilles, au pied de l’un des plus beaux sites de France : les Baux de Provence, l’hôtel La Benvengudo perpétue une tradition familiale de plus d’un demi-siècle. Une destination de luxe où le temps n’a plus d’emprise sur vous Daniel Beaupied, chef étoilé auprès de la Riboto de Taven aux Baux et son épouse Maryse décident en 1967 de construire leur propre hôtel dans une superbe propriété au pied du château des Baux de Provence. Ils voulaient un établissement à leur image pensé comme une maison de famille où convivialité rime avec le plaisir de recevoir. Un demi-siècle plus tard, l’esprit de la maison est toujours là avec leur fille Carole et son mari Viktor qui ont repris les rênes de ce merveilleux domaine. Au cours de cette décennie, la propriété a fait l’objet de plusieurs rénovations. La nouvelle génération a voulu laisser son empreinte dans l’histoire de cette saga familiale afin d’en faire un des plus intimistes hôtels de luxe des Alpilles. L’ambiance est à l’image des lieux : conviviale, élégante et raffinée. Coté décoration, deux déclinaisons de couleurs ont été appliquées à l’ensemble des chambres : le blanc et un camaïeu de beige. Une touche de couleur est amenée par les toiles de l’artiste régional Yves Boussin. Les chambres, suites et maisons ont été rénovées dans un style contemporain. Les meubles anciens se marient avec élégance et raffinement avec des pièces plus modernes. Toutes les chambres bénéficient d’une douche à l’italienne ainsi que pour certaines d’une baignoire balnéo. Les produits d’accueil sont signés Nuxe et sa gamme « Rêve de Miel ». Si votre choix se porte sur les chambres « Côté Jardin », vous bénéficierez d’un jardin ou d’une terrasse avec une magnifique vue sur l’oliveraie. Au cœur de la Provence, point de départ vers de multiples découvertes culturelles et sportives La Benvengudo jouit d’un emplacement exceptionnel car elle se trouve à proximité des plus beaux sites touristiques de Provence. Il est possible de partir pour une journée à la découverte d’Aix-en-Provence et de son musée Paul Cézanne, de flâner dans les ruelles de Saint Rémy de Provence un jour de marché, une ballade au soleil couchant dans le parc naturel de la Camargue ravira les amoureux de la nature et de beaux paysages. Les amoureux de golf seront à quelques minutes de greens d’exception. Quant aux cyclistes, ils pourront partir pour de belles excursions à travers les oliveraies et à l’ombre des pins. Un virtuose de romantisme culinaire Jouant avec subtilité avec les accords pour faire chavirer votre cœur et vos papilles, le jeune chef Thomas Voisin sait orchestrer à merveille les produits frais qu’il trouve sur les marchés régionaux. Sous-chef de cuisine pendant 3 ans à la Benvengudo, il est revenu cette année en tant que Chef de Cuisine dans cette belle maison après avoir fait ses armes dans de prestigieuses maisons étoilées telles que l’hôtel des Bories à Gordes, le restaurant l’Ekrin de l’hôtel le Kaila à Méribel avec le chef provençal Laurent Azoulay ainsi que Reine Sammut à l’Auberge de la Fenière à Lourmarin. Avant de passer à table, on aime s’installer dans le salon de jardin avec une coupe de champagne pour contempler le parc où toutes les essences du Sud se dessinent tel un tableau de Paul Cézanne. Le chef va vous emporter dans un songe gastronomique, les produits du terroir se retrouvent dans une partition de saveurs ou sont magnifiées les notes méditerranéennes et provençales. L’odeur du plat emblématique de la maison vient caresser vos narines. Ne passez surtout pas à côté du carré d’agneau rôti et fumé au thym de la garrigue du domaine. Christophe, le pâtissier va relever la douceur d’une belle soirée avec une compotée d’ananas au vieux rhum, crème légère à la passion, sorbet ananas et biscuit moelleux à l’huile d’olive du Domaine. ...

Restaurant Chez Féraud : un air de Provence

À travers une belle association de tradition et de saveurs, le Restaurant Chez Féraud (puisque c’est de lui qu’il s’agit), propose une cuisine gourmande et généreuse où la fraîcheur et l’authenticité de la Provence se conjuguent au présent jusque dans les assiettes. Un emplacement privilégié Reliant la rue Granet à la rue Loubon, la rue du Puits-Juif, où l’établissement est implanté, se trouve dans un quartier historique, ce qui fait tout son charme et sa particularité. Ce privilège constitue pour l’enseigne un atout majeur qui joue en faveur du lieu et qui fait qu’il soit particulièrement apprécié des clients. Dans une ambiance simple et bon enfant, le restaurant surprend autant qu’il séduit avec son décor intemporel, et avec juste ce qu’il faut comme dose d’audace et de curiosité. Grâce à une belle devanture joliment couverte de lierre, il est non seulement un véritable plaisir pour les yeux, mais aussi une excellente adresse, où la gourmandise et la découverte sont en parfaite harmonie. Une délicieuse cuisine aux accents de Provence Chez Féraud, c’est aussi l’histoire d’une famille de cuisiniers à l’ancienne dont le goût pour les recettes familiales s’est jalousement transmis de père en fils. C’est ainsi que derrière les fourneaux de cette belle adresse, mijotent en permanence de bons plats traditionnels aux accents du Sud pour ne citer que la soupe au pistou, la dorade royale à la provençale et les clémentines semi-confites avec, à côté, la daube et les pieds paquets marseillais ou encore les figues rôties au miel et au caramel. Un parfait accord mets-vins qui met à l’honneur des valeurs sûres comme les coteaux d'aix-en-provence et vient sublimer le tout, constituant une véritable surprise pour les papilles. ...

Château La Dauphine et Château de Versailles : des liens forts depuis plusieurs siècles

L’histoire du lien qui unit le Château La Dauphine et le Château de Versailles remonte au 17e siècle. En 1634, le Cardinal de Richelieu fait l’acquisition du duché de Fronsac. Puis, en 1750, la Dauphine de France (épouse du fils héritier de Louis XV) lui donne son titre de noblesse suite à son séjour à la propriété. Depuis cette époque, ces deux châteaux possèdent un lien très fort. Un vin complexe apprécié pour ses « vertus thérapeutiques » Depuis le 17e siècle, le Château de La Dauphine est l’une des boissons les plus appréciées des convives du Château de Versailles. À noter : certains courriers de l’époque évoquent même le fait que ce vin pourrait calmer les maux d’estomac. Pour obtenir ce nectar savoureux, le domaine revendique une véritable philosophie environnementale et s’emploie à moderniser sans cesse son processus de vinification. Preuve en est avec sa conversion à l’Agriculture biologique découlant sur l’obtention de la certification AB en 2015 et des labels HVE 3 et SME en 2018. ...

Paulaner : des bières dans la tradition munichoise

La première trace de la brasserie Paulaner remonte à 1634. C’est à cette date que les moines de l’ordre de Saint-François-de-Paule commencent à vendre leurs bières. En 1806, le brasseur Franz Xaver Zacherl reprend la brasserie. Puis, en 1822, il installe une nouvelle fabrique rue Falkenstrasse, à Munich. Depuis 2016, la brasserie a investi dans de nouveaux locaux, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses consommateurs. Aujourd’hui, Paulaner est la plus grande brasserie bavaroise. En effet, plus de trois millions d’hectolitres y sont brassés chaque année. Elle exporte ses bières dans plus de 80 pays. Un grand soin est apporté à la fabrication Toutes les bières fabriquées par Paulaner sont des bières pur malt orge et blé. Aucun adjuvant, ni colorant, ni sucre n'y sont ajoutés. L’eau utilisée pour le brassage de la bière est particulièrement douce, puisée à une profondeur de 240 mètres dans l’Isar (Bavière). Quant au houblon, qui participe à l’amertume et à l’arôme du breuvage, il est soigneusement sélectionné dans la région d'Hallertau, en Bavière. Toutes les étapes nécessaires à l’élaboration de la bière sont réalisées en Bavière, du maltage à l’embouteillage. La gamme des bières Paulaner La brasserie Paulaner est réputée pour la diversité de ses produits. La bière la plus populaire est la Wiessbier. C’est une bière avec une robe aux reflets dorés, dégageant un léger parfum de banane. La Munchner Hell, elle, est une bière d'un beau blond doré, dont le goût est légèrement malté. Quant à la Salvator, c’est la bière la plus forte produite par Paulaner. Elle présente une belle robe couleur châtaigne avec une mousse caramel. On y discerne une fine note de chocolat. ...

Château Les Graves de Viaud :
des vins innovants et faciles à boire

Existant depuis 1850, le domaine ne commence à vinifier qu’en 1994. En 2010, Philippe Betschart apportera sa touche personnelle, en s’appropriant l’approche biodynamique dans le mode cultural et les techniques de vinification. La personnalité de chaque cuvée est marquée par un élevage qui diffère d'un millésime à l'autre. 2014 signe une démarche innovante puisqu'en décidant d'exclure les apports d'origine animale à la vigne et à l'élaboration du vin, le château débouche sur une certification VEGAN (EVE01), permettant à tout un chacun, dont les végétariens, de goûter à des vins faciles à boire qui ont de la personnalité. Un atout de taille qui lui permet de conquérir des tables prestigieuses aussi bien locales (le Prince Noir à Bordeaux) qu'à l'internationale (au Japon entre autres). Vinification : entre tradition et modernité Le domaine des Graves de Viaud a élu le merlot, le cabernet franc et le cabernet sauvignon comme principaux cépages. Les vignes bénéficient des meilleurs soins conformes aux exigences du label Demeter, dont le cahier des charges impose une vinification sans aucun intrant chimique, excepté le soufre. Les levures indigènes sont donc privilégiées pour les fermentations, tandis que les cuvaisons durent de 25 à 35 jours. « Notre mode de vinification tient à rester le plus naturel possible », souligne Philippe Betschart, propriétaire-gérant du domaine. Ainsi, les Côtes-de-Bourg du Château Les Graves de Viaud arborent finesse et élégance. « Nous produisons des cuvées modernes et classiques de bordeaux, prisées pour leur fraicheur, leur souplesse ainsi que leurs saveurs fruitées », nous indique-t-on. Le fruit avant tout Les vins de la maison sont répartis en deux gammes. D’une part, on trouve la gamme des cabernets où s’inscrivent des cuvées résolument modernes telles que « Les Cadets » et « Terroir ». « Les Cadets » est appréciée pour sa simplicité et ses délicieuses notes florales tandis que « Terroir » est privilégiée pour sa délicatesse et sa complexité issues d’un long élevage en barrique. D’autre part, on distingue la gamme des merlots qui regroupe des cuvées, certes plus classiques, mais absolument exquises. Parmi la liste figure la cuvée « Origine », qui est un assemblage à 90 % de merlot. Connaissant un succès certain à l’export, ce vin est un véritable enchantement pour les papilles. La cuvée « Réserve » fait également partie de la gamme des merlots. Ici, place à une sélection de vieilles vignes de plus de 60 ans qui sont élevées en barriques neuves durant 18 à 24 mois. Le résultat garantit un plaisir optimal à la dégustation ! ...

Champagne Pol Couronne : une des 6 plus grandes maisons de champagne de Reims

Ce qui plait avec le champagne Pol Couronne : cette image moderne et décalée qui respecte les traditions liées à la fabrication des grands vins effervescents de la région. De la vigne familiale aux cuisines de l’Élysée L’histoire du champagne Pol Couronne débute en 2013. À cette date, Sixtine et Jean-Baptiste Prévost décident de reprendre la vigne familiale. L’objectif est clair : il faut moderniser l’image du champagne. Ainsi, un showroom est créé à proximité de la cathédrale de Reims pour accueillir les clients et mettre en place divers événements originaux et décalés. Puis, au fil du temps, de nombreux partenariats avec des restaurants gastronomiques et des artistes permettent de mettre en valeur les créations du couple de vignerons. Jusqu’à conquérir l’Élysée puisque 2 cuvées y sont retenues. ...

Punch Mabi : une soif d’exotisme, un souvenir original de la Guadeloupe

Partir en voyage et s’offrir des présents en guise de souvenir, ce sont les idées qui ont animé Marianne Billy, ainsi que Lory et Ludmilla, ses deux filles, en créant le punch Mabi en 2004. Mélanges de rhum traditionnel et de fruits tropicaux à la préparation exclusive, Mabi a permis de faire asseoir une idée ingénieuse : mettre en avant les richesses du terroir guadeloupéen. Des fruits antillais pour envoûter les sens Mabi laisse découvrir un caractère bien imprimé, un rhum guadeloupéen élaboré avec des matières premières rares issues des paysages antillais. « Ce qui fait l’originalité de nos produits, c’est que nous travaillons avec des fruits du pays », évoque Marianne Billy en parlant de ces fruits oubliés séduisant par leurs goûts sauvages et originaux. Les noms de maracuja, de pomme cajou, de mombin, de prune café, de carambole, de pomme surette appellent à l’évasion, le temps d’une dégustation ou d’un apéritif. Déroutantes et enivrantes, les liqueurs décuplent le plaisir avec des sensations douces ou fortes, grâce aux nectars de mangue, d’abricot, de goyave, de coco ou de piquant de gingembre. Punch Mabi : l’excellence jusqu’au bout Captivants dès les premiers regards, les flacons des punchs Mabi se parent d’un design raffiné, laissant transparaître les couleurs chaudes des fruits exotiques, et donnant ainsi un avant-goût de ces breuvages exquis. Un challenge qui répond au désir de respect de l’environnement. « Nous faisons un produit qui reste écologique ; nous n’utilisons que des produits naturels, du papier, du carton… Il n’y a aucun additif dans ces produits-là », rappelle Marianne Billy. La forme et le fond semblent ainsi se rejoindre, pour offrir des liqueurs de première qualité, primées au concours général agricole de Paris par une médaille d’or et d’argent en 2015, et par une médaille d’argent en 2016. ...

Restaurant Les Rives de la Courtille :
cuisine française au bord de la Seine 

Sur l’île des Impressionnistes, dans la jolie ville de Chatou, non loin de Paris, se trouve un coin de paradis idéal pour une escapade gourmande : le restaurant Les Rives de la Courtille. Au cœur d’un lieu historique Chatou est la ville où les grandes figures de l’impressionnisme comme Monet, Renoir, Pissaro ou Sisley ont puisé leur inspiration. C’est dans la ville que sont nés plusieurs de leurs éminents chefs-d’œuvre comme le Déjeuner des canotiers, de Renoir. En regardant le magnifique paysage, la nature verdoyante et la Seine qui coule tranquillement, on comprend d’où leur vint ce souffle créateur.  Tendrement blotti dans ce cadre idyllique avec les murmures de la Seine en fond sonore, le restaurant Les Rives de la Courtille jouit d’une quiétude apaisante. C’est l’endroit parfait pour retrouver détente et sérénité après une balade sur l’un des circuits impressionnistes ou après la visite de musées. La cuisine aussi vaut le détour ! Aux fourneaux, le talentueux chef du restaurant des Rives de la Courtille s’affaire pour être à la hauteur de ce panorama de rêve. Il se déplace au moins une fois par semaine pour dénicher ses ingrédients au marché international de Rungis. Une promesse de fraicheur  et de qualité sur une carte qui change quatre fois par an pour toujours proposer des produits de saison. En hiver, laissez-vous tenter par les coquilles Saint-Jacques snackées sur un lit de fondue de poireaux ou par les ris de veau poêlés servis avec une sauce au vin de Madère et une duxelle de champignons. Sur la terrasse cet été, l’espadon grillé à l’huile d’olive et basilic vous fera voyager vers le sud. Et vous reviendrez en automne pour les champignons poêlés et oeuf poché, entrée signature de la maison. Les épicuriens ne résisteront pas à la sublime cote de boeuf grillée à la plancha accompagnée de sa fameuse sauce au poivre et de son gratin dauphinois. Les amateurs de poisson ont quant à eux élu l’assiette tout saumon comme plat favori. Vous l’aurez compris. Aux Rives de la Courtille, vous valsez entre des mets classiques mais aussi des plats plus légers aux saveurs plus modernes. L’éclectisme de la cave à vins des Rives de la Courtille assure un bel accord mets-vins. Petits producteurs comme grandes appellations y sont à l’honneur. Et cerise sur le gâteau, l’établissement propose des vins au verre. Des références comme le Petit Chablis AOC de chez Michel Laroche ou le Menetou-Salon rouge AOC le Grand Cerf ont exemplairement gagné le cœur des convives. ...

La Ferrandaise : une excellente table aux accents d'Auvergne

Situé au cœur de Paris, à deux pas de l’Odéon et du boulevard Saint-Michel, l’établissement tire son nom du veau de lait Ferrandais, une race bovine typique du Puy-de-Dôme qui fait partie du terroir auvergnat. Dans une ambiance du 17e siècle, ce restaurant à la belle devanture propose une cuisine traditionnelle française faite de produits frais, et travaille directement avec éleveurs pour sa viande et des producteurs des fromage et de charcuterie. Renouvelée tous les mois, la carte de l’établissement présente des menus variés tous aussi succulents les uns que les autres. Le menu à 37 € est composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. À travers son menu dégustation à 55 €, bénéficiez d’une variété de six plats composés notamment de deux entrées, un poisson, une viande, un fromage et un dessert. Une cuisine de tradition Démarrez l’aventure culinaire avec son velouté de potiron, châtaignes et lard paysan à tomber par terre, suivi de sa blanquette de veau de la Ferrandaise accompagnée de riz basmati. Terminez ensuite sur une note de douceur avec son délicieux coing en jus aux saveurs d’hiver, accompagné d'une glace à la gentiane et d'un biscuit tendre aux marrons confits. Pour accompagner chacun de vos plats, La Ferrandaise propose une belle carte de vins, représentative de toutes les régions, achetés directement aux vignerons, comme le Pech Abusé de M. Daniel TISSOT du sud-ouest et quelques vins de Côtes d’Auvergne, la Frondeuse, pinot noir, de M. Pierre Goigoux ou les Terrasses en bio , syrah, de M. Yvan Bernard.    ...

Joseph Cartron
Une référence made in Bourgogne !

Origine - Qualité – AOC -  maîtres mots chez Cartron Judith Cartron, première femme à piloter l’entreprise a succédé à son père Xavieren 2011. Fière de ses racines, elle aime à rappeler l’héritage de la Bourgogne au travers du savoir-faire ancestral familial. Croquer dans le fruit est la promesse de la Maison.Aussi, pour y parvenir, le liquoriste sélectionne les meilleures variétés, assurance de puissance aromatique et d’excellence. Chaque fruit est alors récolté à pleine maturité, cassis Noir de Bourgogne, framboises Lloyd Georges, pêches de vigne, poires williams, abricots des Monts du Lyonnais, melon, mirabelles de Lorraine…, des fruits charnus et juteux.Cette exigence,Cartron l’applique à toute sa matière première, le gage d’un produit haut en goût qui réveille nos papilles. Parmi les incontournables de sa gamme de liqueurs et eaux-de-vie de fruits,  citonsla Crème de Cassis de Bourgogne Double Crème Joseph Cartron, fleuron de la maison dont sa grande puissance aromatique sculpturale nappe verre et palais. En 2015 elle a reçu comme sa Crème de Cassis de Bourgogne 15° l’appellation indication géographique Cassis de Bourgogne véritable gage de qualité pour les amateurs de crèmes de cassis haut de gamme.  Cette IG souligne l’excellence et la territorialité du produit dont la recette est gardée secrète de père en fille. Mais il y a aussi le Marc et la Fine de Bourgogne et leurs AOC…. un héritage qui se partage avec plaisir. Secrets de fabrication et trésor de goût Cartron un savoir-faire ancestral qui innove On connait Cartron par ses classiques, sa double crème de cassis, ses crèmes de fruits, ses eaux-de-vie de poire william, de vieille prune, son marc et sa fine de bourgogne et ses liqueurs de fruits bien ancrés sur notre territoire. Le distillateur aime aussi à se distinguer par son originalité. Il innove au travers de recettes uniques apportant un petit plus qu’il aime vous laisser découvrir. Ses dernières créations, ses liqueurs de thé rooibos, vert, fumé, sa crème de mirabelle, sa liqueur de sureau et la dernière-née, la liqueur de violette sont les muses des barmen.« Le consommateur comme les barmen aiment les nouveautés. L’innovation est primordiale, elle fait partie de notre ADN, de la marque Cartron qui aime surprendre et se positionne en véritable architecte du goût. » souligne Judith Cartron pour qui créativité est avant tout aussi synonyme de goût. ...

Château de Plassac, l’adresse incontournable pour les amateurs de cognac

La noblesse d’un lieu Pour faire un produit de qualité incomparable, il faut un lieu magistral. La riche et mouvementée histoire du domaine remonte très loin dans les racines du Moyen Âge et retrace à elle seule un petit pan de l’histoire de la région et de celle du reste de la France. Le bâtiment qui trône fièrement aujourd’hui date de 1772 et est le cinquième château élevé au même endroit. Pensée par Victor Louis, à qui l’on doit entre autres les chefs-d’œuvre architecturaux du Palais-Royal de Paris et du Grand Théâtre de Bordeaux, la bâtisse est un pur joyau du XVIIIe siècle. Ancienne propriété du fameux duc d’Épernon, la maison fut passée au marquis de Montazet pour plus tard être achetée par les Dampierre, actuels propriétaires. De prestigieuses personnalités qui ont marqué leur époque se sont succédé dans les chambres du château au fil des siècles, mais depuis plus de 200 ans, ce sont toujours les mêmes recettes qui, jalousement gardées par la famille Dampierre, servent à confectionner un des cognacs les plus appréciés par les amateurs d’eau-de-vie. Un produit rare et apprécié Dans la propriété, on trouve comme cépages réservés aux cognacs de l’ugni blanc, de la folle-blanche et du colombard, un vieux cépage de la région généreux en fruit. Ils expriment chacun dans leur subtilité le meilleur du terroir calcaire de ce coin de campagne française et de son climat océanique particulier. La plus belle « signature » de la maison, le cognac XO, est la fierté de la famille Dampierre et fait preuve de toute l’attention nécessaire à la création de ce produit d’exception. Les professionnels du secteur ont reconnu en 2015 le savoir-faire du château concentré dans cette eau-de-vie en lui attribuant cinq médailles d’or dans différents concours internationaux dont la très convoitée première place du concours général agricole de Paris. Sa robe est ambrée, soutenue et avance une belle brillance limpide. Au nez, on trouve d’élégantes traces de vanille et de caramel alors qu’au palais c’est une attaque franche et chaleureuse qui nous interpelle avant de laisser place à une bouche tonique. La dégustation du nectar s’accompagne parfaitement avec un tartare de thon ou plus simplement avec une cuillère de caviar. La carafe est elle-même une petite œuvre d’art. Élégante et fine, elle est dans une livrée splendide et ne démérite pas aux côtés de son contenu. Découvrir le berceau d’un savoir-faire Cet endroit subtil et riche d’histoire est ouvert aux visites du public. Le château est un bâtiment classé au patrimoine historique depuis trois cents ans et plusieurs excursions accompagnées permettent de se rendre au plus proche de l’âme du site ; son chai datant du XVIIe siècle et sa cave en pierres taillées si particulière où est encore distillé, dans l’alambic traditionnel, le précieux nectar. Le produit va ensuite délicatement vieillir pendant quinze ou vingt ans dans des fûts de chêne frappés aux armes de la famille avant d’être mis en carafe en éditions très limitées. Les visites, payantes, incluent une balade au cœur des installations viticoles et une dégustation en fin de parcours. ...

Champagne Michel Gonet : pour l’amour d’un grand cru

Une vie sauvée grâce au champagne. C’est l’histoire de Michel Gonet, qui, à cause d’une dysphasie, ne peut rien avaler. Il ingurgite alors quelques gorgées de ce précieux nectar, qui, par miracle, aident à soigner ses troubles. « Le champagne m’a sauvé… », s’exclame-t-il.  De là commence une passion pour ce vin pétillant, qu’il partage avec toute sa lignée. Sophie et ses frères Frédéric et Charles-Henri Gonet forment les dignes héritiers de ce riche patrimoine. Une réflexion permanente sur la qualité Michel Gonet installe des outils de production plus modernes dans son domaine à partir de 1973. Depuis, la maison continue de viser l’excellence en perfectionnant constamment la qualité du travail en cave et dans les vignes. Elle mise sur la diversité de son terroir pour produire des champagnes purs, racés, au caractère unique. Originaire de la côte des Blancs, fief des grands crus, Champagne Michel Gonet a la chance d’être installé sur un terroir plein est, qui procure de la longueur, de la finesse et de l’élégance aux vins. Les vignes situées à Oger, à Mesnil-sur-Oger, à Vindey, à Mongueux et à Fravaux sont composées de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Si, pour la plupart des vignerons, les problèmes climatiques engendrent d’innombrables contraintes, Sophie Gonet reste optimiste : « Avec le phénomène de réchauffement climatique, les raisins atteignent plus facilement la maturité, sans le besoin de rajouter beaucoup de dosages. L’acidité due au manque de maturité est ainsi évitée. Nous obtenons des champagnes plus naturels. » Des champagnes monocépages au caractère affirmé Fleuron de la maison, le Blanc de blancs Grand Cru 2009 reflète parfaitement le terroir, puisqu’il s’agit d’un monocépage de chardonnay. Issu des grands crus de la côte des Blancs, il exprime un caractère racé avec des arômes minéraux et floraux, tout en délicatesse et en élégance. À 100 % de chardonnay également, la cuvée Authentique 2004, provenant de vieilles vignes du Mesnil sur Oger, fait la fierté de la famille Gonet. Distillant de puissants arômes de vanille avec une belle association de fruits exotiques et d’épices, cette cuvée sublime les mets sucrés et salés, et tous les plats exotiques. D’ailleurs, dans une optique d’initier les amateurs à la dégustation de ses divins nectars, la maison organise des repas associant mets et champagnes. Des visites de cave et des initiations à la dégustation sont également proposées tout au long de l’année, sur rendez-vous de préférence. ...

Vignobles Chatonnet : des vins pour les amateurs de bordeaux harmonieux et précis.

Situé à Néac, à proximité de Bordeaux, le terroir entourant le Château Haut-Chaigneau favorise la création de vins d’exception. Il faut dire que nous nous trouvons à la croisée des grandes appellations Pomerol et Saint-Émilion. Une bonne raison d’en apprendre plus sur les vins du Vignoble Chatonnet. Histoire de la propriété Avant son rachat par la famille Chatonnet en 1967, la propriété du Château Haut-Chaigneau était en ruine. Ainsi, Jeanine et André firent leur possible pour rebâtir ce magnifique domaine de 30 hectares et pour l’améliorer au fil du temps. Aujourd’hui, c’est, Pascal, le fils, qui en est propriétaire. À savoir : la création de bon vin se transmet de génération en génération chez les Chatonnet. Et nous l’observons encore aujourd’hui avec les vins Château La Croix Chaigneu, Château Haut-Chaigneau, La Sergue et l’Archange, plébiscités aussi bien par les œnologues spécialistes que par les amateurs de bordeaux. Réalisés à partir de 3 cépages différents (Merlot noir, Cabernet Franc et Malbec), les vins profitent de la qualité naturelle du terroir de la région superposant des sols sablo-argileux, argilo-sableux et argileux. Souvent primés, nous les retrouvons régulièrement sur les tables des plus grands restaurants. Château La Croix Chaigneau : le vin qui se consomme sans complexe C’est grâce aux jeunes vignes de Merlot et de Cabernet Franc que le Château La Croix Chaigneau a vu le jour. Cet assemblage lui apporte à la fois une grande finesse et une certaine densité. Ainsi, il est parfait avec des grillades simples. Des brochettes, par exemple, iront à merveille avec son côté rafraichissant. À savoir : il est possible de le faire vieillir si vous le souhaitez. Château Haut-Chaigneau : un vin à la fois fin et élégant Idéal avec de la volaille, le Château Haut-Chaigneau est issu d’un assemblage 90% Merlot Noir et 10% Cabernet Franc. Ce qu’on apprécie avec le Haut-Chaigneau, c’est cette capacité à nous proposer des notes très fruitées portées sur les fruits rouges associées à des arômes beaucoup plus boisés. Pouvant être consommé à l’achat, ce vin aux tanins intégrés et à la bouche à la fois élégante et persistante peut aussi être vieilli pendant quelques années supplémentaires pour un résultat encore plus surprenant. La Sergue : une référence à part La Sergue est à la fois puissant et féminin. Pour le créer, les 3 différents cépages de la propriété ont été assemblés ensemble : Merlot Noir (85%), Cabernet Franc (12%) et Malbec (3%). Puis, il a été vieilli pendant 14 mois en barrique neuve. C’est ce travail qui lui donne sa bouche grasse et soyeuse qui lui permet d’accompagner à merveille du veau, de l’agneau voire une petite caille aux cèpes. L’Archange : le 100% Merlot Pour apprécier le côté puissant de l’Archange, issu de son cépage 100% Merlot et du terroir de Saint-Émilion, rien de mieux qu’une bonne côte de bœuf ou une pièce de bœuf au goût relevé. Élevé en barrique neuve, vous découvrez un vin à la fois fruité, dense et rond qu’il est possible de boire tout de suite ou de faire vieillir. ...

Restaurant Le Botaniste :
le meilleur de la gastronomie normande

Érigé au XIIIe siècle par la famille Gosset, le Château la Chenevière constitue l’un des lieux les plus emblématiques de la Normandie. Consacré auparavant à la culture du chanvre et l’élevage de poulains, il est entièrement restauré en 1988 par Marie-Françoise et Thomas Dicker pour devenir le plus grand restaurant-manoir du Nord-ouest français. Le château associant romantisme, harmonie et élégance abrite un hôtel cinq étoiles de vingt-neuf chambres ainsi qu’un restaurant gastronomique baptisé Le Botaniste. L’endroit rêvé pour découvrir les saveurs de la cuisine normande dans un cadre cosy et spacieux. Le Botaniste : ode à la gastronomie Le Botaniste émoustille les papilles exigeantes grâce à sa cuisine fine et maîtrisée qui se concentre sur des produits fermiers normands. Le chef Didier Robin travaille en étroite collaboration avec les producteurs locaux ainsi qu’avec les jardiniers du château pour s’assurer de la parfaite fraîcheur de ses ingrédients. Grâce à cette rigueur dans la sélection des matières premières, il peut élaborer une carte et trois menus qui chantent le répertoire de la gastronomie française. En entrée, Didier Robin suggère les Noix de Saint-Jacques aux champignons lentins, parfum d’ails des ours, larme de chou kale et graines de lin torréfiées. Ce plat se déguste idéalement avec du vin pouilly-fumé blanc La Doucette. En plat de résistance, les convives peuvent se délecter du Bœuf, cœur de filet aux épices « fruits des bois », carottes de couleur, pulpe de betterave Crapaudine et vinaigre de Banyuls chocolat. Une succulence qui s’apprécie volontiers avec du vin Château Gloria Saint-Julien. Dans le registre des desserts, les saveurs subtiles de La ruche, une gourmandise sous forme de sphère de nougat glacé poire et miel, tuile miel et son chaud de poire aux épices complètent le mélodieux repas. A noter que le miel ayant servi à créer ce dessert est directement issu des ruches élevées par la maison. Entre ces plats emblématiques, le chariot de fromages est à ne rater sous aucun prétexte, car il constitue l’une des signatures de la maison. La sélection a été effectuée auprès de certains fermiers locaux comme Xavier Godmet de La Boîte à Fromage. ...

Le Domaine des Frontières :
les Crus du Beaujolais à l’honneur

Son propriétaire, Jérémy Thien, a passé les quinze premières années de sa vie active dans l’administration. Natif de la région beaujolaise, il sait apprécier les bons vins. Sa passion le pousse à se reconvertir dans le métier de vigneron, lorsqu’une occasion se présente à lui. « C’était un virage très important dans ma vie. C’est un métier qui ne s’improvise pas et il faut retourner à l’école » admet-il. Il a repris ce domaine fin 2012 et produit son premier millésime en 2013. La qualité avant tout Les 12 hectares de parcelles du  Domaine des Frontières sont juchés à 350 mètres d’altitude sur un terroir de marnes bleues, qui confère au vin une belle concentration et des notes épicées et poivrées. Jérémy Thien met une rigueur particulière dans la culture de ses vignes, car pour lui : « tout part de la production du raisin ;  la qualité du vin vient à 90% de la qualité du raisin ». Ses cuvées sont issues de vieilles vignes, vendangées entièrement à la main. La vinification se fait selon les procédés traditionnels du Beaujolais, avec macération semi-carbonique, poussée jusqu’à 14 jours de façon à obtenir des tanins soyeux et ronds. L’élevage est long afin qu’ils puissent être directement bus au moment où ils sont mise en bouteille. Les vins du domaine Le Domaine des Frontières produit deux cuvées en appellation « Juliénas » et une en appellation « Beaujolais ». Le « Domaine des Frontières Juliénas » est un vin issu à 100% de vieilles vignes Gamay Noir. Révélant une robe couleur rubis, il propose un bouquet floral et fruité au nez, avec des notes de cassis, cannelle et poivre. C’est un vin nerveux, charpenté avec une belle longueur en bouche. Il peut s’accompagner de côtes de veau, de poissons de rivière, de grillades de bœuf ou de desserts à base de fruits rouges. Le millésime 2013 a obtenu le deuxième prix de la Saint-Vincent des vignerons de Jullié. Le « Domaine des Frontières Juliénas Cuvée réservée » pour sa part est une pure merveille issue de vieilles vignes de Gamay Noir. La robe est rubis intense, le nez floral et fruité, avec des notes de cuir et légèrement boisé ; la bouche est très longue, nerveuse et charpentée. Ce vin peut évoluer et se garder jusqu’à sept ou huit ans. Il se savoure accompagné d’une blanquette d’agneau, d’un magret de canard ou d’un potage au potiron. Dernier et non des moindres : le « Domaine des Frontières AOC Beaujolais Villages » qui est issu de vieilles vignes de 60 ans  de Gamay Noir à jus blanc. Sa robe est brillante, aux éclats violacés caractéristiques des vins jeunes. Au nez, on note des arômes de fruits rouges. En bouche, c’est un vin souple et frais. Pour un meilleur accord, il accompagne la charcuterie, la viande blanche, les escargots et les fromages. Le millésime 2014 a été récompensé de la meilleure note des Beaujolais Villages au Guide Rouge de la revue du Vin de France, tandis que le millésime 2015 a reçu une médaille d’argent au Concours des Grands Vins du Beaujolais. ...

La Casa dell’Estelle : de la gastronomie italienne à deux pas de la Madeleine

Quand le Collège Culinaire de France (créé en 2011 et co-présidé par Alain Ducasse et Joël Robuchon) décide d’attribuer le titre de « Restaurant de Qualité » à l’établissement, ou quand le guide Best Restaurants Paris continue de présenter La Casa dell’Estelle deux années de suite dans sa sélection, cela aiguise notre curiosité. La Casa dell’Estelle ne se contente pas de proposer une délicieuse cuisine transalpine, mais réinvente sa cuisine pour offrir une expérience gustative exclusive à ses clients. Un pari réussi pour les propriétaires Jacques Younes et sa fille Anne-Laure, qui sont tombés « par hasard » dans ce métier…  Des combinaisons de saveurs Ici règne une atmosphère zen et décontractée, dans un cadre à la fois cosy et raffiné. L’accueil est sympathique, bercé par un fond de musique jazzy. Cette ambiance agréable invite à un voyage culinaire à travers l’Italie, ponctué par une inspiration française. La carte offre un bel éventail de choix : salades, spécialités italiennes, plats végétariens, pizzas, desserts. En entrée, elle suggère du foie gras de canard servi avec une compotée de figues et pain d’épices, et de la salade Romana au saumon fumé d’Écosse ou à la Bresaola. En plat, les linguine aux cèpes et au foie gras ou encore le sauté de gambas et de noix de Saint-Jacques accompagné de linguine déclenchent à chaque fois des émotions. En outre, « à la Casa, les escalopes sont dans la noix de veau origine France, et les poissons et fruits de mer sont frais de la marée », explique le gérant. Aux desserts faits maison, les clients succombent facilement au tiramisù sans alcool, au fraisier, à la merveille et au café gourmand avec sa glace artisanale au basilic. Mais que serait La Casa dell’Estelle sans leurs incontournables pizzas revisitées qui font mouche auprès de la clientèle. Les pizzas à base de mascarpone se déclinent en plusieurs variétés : pizza salmone au saumon fumé d’Écosse au sel sec, pizza au jambon de Parme, pizza à la bresaola assaisonnée à l’huile de truffe et pizza au foie gras. « Notre cuisine est évolutive, nous recherchons en permanence de nouveaux thèmes et de nouvelles propositions à présenter à nos clients », raconte le gérant. La carte est donc renouvelée, non seulement au gré des saisons, mais également en fonction de nouveautés. Apprécier un bon moment ensemble À La Casa dell’Estelle, les clients viennent en amoureux, en famille, entre amis ou entre collaborateurs pour passer un moment convivial. La formule entrée-plat/plat-dessert à 28 € ou le menu complet à  34 € fonctionnent parfaitement pour les groupes. « Pour une meilleure gestion du temps, nous proposons, en entrée, l’assiette conviviale à partager qui se présente comme un assortiment de salades, d’entrées variées et de l’authentique foccacia, et ce concept est une idée originale pour mettre l’accent sur la convivialité, le partage et la communication entre les convives. » La salle est entièrement modulable pour être privatisée en toute occasion : une réunion de travail en petit groupe, une fête intimiste en famille ou une réception debout autour d’un buffet. La maison élabore avec les clients un menu spécial pour satisfaire au mieux leurs exigences. ...

Domaine de la Vaillère : la reconversion bio en marche

Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Corinne et Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis 5 générations. En 2017, la famille Dumas en association avec Sébastien Plagne, un jeune passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins authentiques. Depuis, dans le chai, une petite équipe s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Syrah, Carignan, Cabernet, Merlot ou encore Chardonnay, Viognier, Sauvignon pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Un engagement dans le développement durable Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre son engagement pour l’environnement. Titulaire du label Terra Vitis et de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), le domaine va plus loin encore dans sa démarche en entamant une conversion vers l’agriculture biologique. « En août 2020, nous nous sommes engagés en bio sur les cépages blancs et depuis août 2021, cette pratique soucieuse du respect des équilibres naturels s’applique sur l’ensemble de notre domaine », fait savoir Jean-Christophe Dumas. Pour signer ce renouveau, la maison a décidé de moderniser le packaging de l'ensemble de ses produits. Une cure de jouvence initiée par la 5ème génération... Dans les caves du domaine… L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de répondre aux attentes de chacun. La cuvée Obstiné débutée en 2018 est symbolique de cette démarche. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2017 et 2018, un rouge Grenache - Syrah - Carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins de 2020 ou le millésime 2019 de la cuvée Obstiné qui a reçu une médaille de bronze au Prix Plaisir Bettane+Desseauve en 2021. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan ayant fait un rapide passage en fût de chêne. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région et au-delà. ...

L'Origan, pour le plaisir des papilles

Le Jules-Verne - Tour Eiffel, Le Chiberta, près des Champs-Élysées, l’Hostellerie du Chapeau Rouge, à Dijon, l’Auberge des Templiers,en Sologne : Richard Prouteau a une longue expérience en cuisine. Un savoir-faire acquis depuis 1988 lorsqu’il commença son apprentissage en cuisine. Dès son arrivée en 2010, il dévoile ses talents au restaurant L’Origan, en respectant les fondamentaux de la cuisine française, par le prisme des produits régionaux. La cuisine de ce chef créatif mais précis est reconnue pour sa maîtrise et l’envie de faire plaisir. En témoignent quelques-unes de ses spécialités comme le lièvre à la royale, farci au foie gras et aux truffes. La fourchette des menus se situe entre 29 et 88 €. L’Origan dispose également, bien entendu, d’une carte des vins renfermant des références prestigieuses de toutes les régions, avec une priorité sur les vins de Loire. Cette carte est agencée et alimentée par Benoît Lefort, chef sommelier, qui met en valeur les produits de qualité en travaillant avec des producteurs engagés. Des animations régulières autour du restaurant • Les soirées musicales (une fois par mois) le samedi, de mi-octobre à fin mars. Soirée en trois temps : cocktail servi dans la Rotonde, concert dans le grand salon Régence, dîner au restaurant L’Origan et dans le salon Coty. À partir de 19h30. 40 € (cocktail - concert) - 120 € (cocktail - concert - dîner). Voir calendrier 2016 ci-dessous. • Les cours de cuisine Des initiations culinaires présentées par Richard Prouteau en personne sont dispensées dans la cuisine de la Cité des Parfums et clôturées par un repas. Ces « ateliers gourmands » ont lieu tous les premiers samedis de chaque mois en fonction des grands thèmes gastronomiques mensuels définis sur l’année. De 9 h à 14 h. 75 € par personne, sauf le menu de Noël à 100 €. Le prix comprend : l’initiation culinaire, la dégustation des plats confectionnés et l’accord mets et vins. (Supplément de 25 € sur les ateliers « Noël» et « Foie gras»). Voir calendrier des cours de cuisine 2016 ci-dessous. • Les ateliers œnologiques Le sommelier Benoît Lefort vous transmettra les clés pour choisir votre vin, les gestes pour le déguster et les mots pour en parler. Les cours d’œnologie s’adressent à tous les amateurs de vin : initiation à la dégustation, réussir ses accords mets et vins, exploration de cépages..., et ont lieu un samedi par mois. De 10 h à 12 h. Voir calendrier des ateliers œnologiques 2016 ci-dessous. • Les brunchs Un dimanche par mois, la formule brunch vous ouvre les portes d’un buffet à volonté avec des produits de qualité dans un cadre exceptionnel. De 11h30 à 14 h. 43 € par personne (boissons incluses), - 50% pour les enfants de moins de 12 ans. Voir calendrier des brunchs 2016 ci-dessous. ...

Domaine Mee Godard :
de grands vins du Beaujolais

En 2013, Mee Godard rachète un domaine de 5 ha implanté sur l’AOC Morgon. Cette œnologue de formation a su en très peu de temps tirer le meilleur du terroir pour produire des vins rouge d’exception. Une affaire de patience Au pied de la colline Côte du Py, ce vignoble planté en gamay fait maintenant 6,5 ha. Ici, de vieilles vignes sont cultivées sur trois parcelles différentes : Corcelette, Grands Cras et Côte du Py. La méthode de travail est résolument tournée vers le bio mais la reconversion se fera à son rythme. En effet, pour Mee Godard, le travail du vin est surtout une question de patience. Pas étonnant que les 5 cuvées du domaine subissent une macération longue de 3 semaines. ...

Champagne Le Gallais : la culture de l’excellence, du partage et de la passion

L’histoire commence en 1927, lorsque le domaine de Boursault, ancienne propriété de Madame Veuve Cliquot, est repris par un aïeul de Charlotte Le Gallais, en la personne d’Hachod Fringhian. Ce bel endroit, situé à quelques kilomètres d’Épernay, révèle un excellent potentiel dans l’élaboration des Champagnes. Ses pierres calcaires aux propriétés filtrantes associées à la fraîcheur de l’argile contribuent à l’équilibre du terroir, nécessaire dans la fabrication de vins fins et élégants. Des caractéristiques qu’Hervé Le Gallais et sa fille Charlotte entendent préserver, mais aussi partager. Entre qualité et respect de l’environnement S’étendant sur quatre hectares, le vignoble est planté de 45 % de Pinot Meunier, 45 % de Pinot Noir et 10 % de Chardonnay. Le domaine Le Gallais est l’un des rares en Champagne à posséder un clos. « Il n’en existe qu’une vingtaine sur les 320 villages d’appellation », précise Marine Zabarino, Wine Tourism Manager. Cette particularité permet d’être au plus près des installations et facilite tout le processus. « Être installé dans un clos nous assure une grande fraîcheur de nos raisins au moment du pressurage. Les vendanges en Champagne se font obligatoirement à la main, et ici le vignoble est suivi à la parcelle afin de mieux gérer la maturité des raisins. » Entretenir la qualité de ce terroir constitue la ligne de conduite de la maison Le Gallais, d’où l’adoption d’un mode de culture raisonnée avec une demande de certification courant 2018 en label HVE (Haute Valeur Environnementale). Depuis 1991, les insecticides ont été bannis du vignoble, et la biodiversité est très présente au sein de ce clos arboré et fleuri. Les sols sont qu’en à eux travaillés mécaniquement, sans aucune utilisation d’herbicides. Une cuvée, une histoire… Le domaine produit cinq cuvées qui ont leur propre identité, « long vieillement et très peu de dosage en sucre ». Le Rosé des Poètes, qui est un rosé de saignée brut, fait la fierté de l’entreprise. Cette technique de production de rosé en Champagne est de plus en plus rare. La couleur naturelle s’obtient par macération des raisins noirs dans le jus. Composé de Pinot Noir et de Pinot Meunier, ce vin révèle une robe intense avec des reflets ambrés, et un nez fruité et profond. Du côté des millésimes, si la législation en Champagne impose trois années de repos minimum en cave, la maison Le Gallais n’offre que des millésimes ayant reposé neuf à dix années. Cette technique laisse le temps aux vins d’évoluer profondément. Selon Marine Zabarino, « cet élevage est certes long, mais il apporte un grand développement des arômes pour des vins à la fois complexes, structurés et raffinés. Patience et passion sont les maîtres-mots de la maison. » ...

Domaine de La Pertuade :
le coin perdu retrouve sa vocation

Situé sur la route du barrage de la Verne, à proximité du Golfe de Saint-Tropez, ce domaine réalise d’excellents vins sur 15 hectares de vignes. Les propriétaires ambitionnent d’augmenter leur exploitation à 25 hectares tout en préservant la qualité de leurs produits.   Le vignoble Cultivées sur un sol sablo-limoneux sur le terroir de La Mole, les vignes de la Pertuade bénéficient d’un terroir exceptionnel et d’un microclimat idéal. La vallée bénéficie de grandes amplitudes thermiques entre le jour et la nuit, favorables à l’élaboration de grands vins. La famille Dubois Beuque, passionnée à l’image de Candice celle qui dirige aujourd’hui le domaine, a restructuré le vignoble et construit une cave ultra moderne après son acquisition en 2012 ; 40 % des vignes ont été renouvelées et les cépages diversifiés. Le terroir s’exprime désormais à travers le Grenache, le Cinsault, la Syrah, le Mourvèdre, le Tibouren, l’Ugni Blanc et le Rolle. Les propriétaires adoptent depuis le début l’agriculture raisonnée et n’utilisent que les intrants autorisés en agriculture biologique comme le soufre et le cuivre. Comme l’affirme Candice : « un vigneron qui vend son vin fait attention à ce qu’il met dedans et c’est d’abord dans la vigne que se fait le vin. » Soucieuse de préserver ce terroir d’exception, la famille Dubois Beuque envisage même une reconversion vers l’agriculture biologique.   Une cave ultra moderne Si le vignoble exprime le travail des vignerons, la cave est plus axée sur les nouvelles technologies. Elle est équipée de cuves thermo-régulées, d’un réseau chaud/froid et d’un réseau d’eau glycolée permettant de faire chuter la température. Une réception de vendange fonctionnelle permet de manipuler au minimum le raisin que ce soit lors de la collecte ou du tri. Aussi, la vendange est faite la nuit pour maîtriser la température de récolte. Le pressurage sous inertage complet est encore précédé d’un refroidissement de cette vendange. Installé au sous-sol, le chai à barriques profite d’une température naturelle adéquate à l’élevage des vins qui reste constante toute l’année.   Oenotourisme Art de vivre et quête de sens : telles sont les valeurs qui animent le Domaine de La Pertuade. Pour partager son amour pour les vins,  la famille Dubois Beuque aménage les lieux afin qu’ils soient propices à l’oenotourisme. Un caveau de ventes ouvert sur la cave de vinification et le chai invite les visiteurs à la rencontre du vigneron et à la dégustation Une salle de réception intimiste quant à elle peut recevoir des groupes, particuliers et professionnels pour des séminaires ou petits événements.   Les cuvées en AOP Côte de Provence et IGP du Var La première cuvée de la Pertuade est baptisée l’Embrun, en hommage au village de la Mole, considéré comme « une commune entre mer et collines ». Elle fait échos au Golfe de Saint Tropez situé à seulement quelques kilomètres et se veut être la signature du terroir. Le rosé 2014 a été décoré d’une médaille d’argent au Concours des Vignerons indépendants 2015 grâce à son caractère aromatique et très équilibré. Ce nectar précieux est constitué d’ugni blanc et de syrah. La deuxième cuvée haut de gamme s’intitule la Cuvée du Domaine de La Pertuade. En rosé, ce vin gastronomique allie finesse et élégance avec une présence en bouche. Il a une structure assez ronde, ample avec une attaque très légère et une jolie complexité des arômes. La Cuvée du Domaine de La Pertuade Rosé 2014 a remporté une médaille de Bronze au Concours des Vignerons Indépendants 2015, ainsi que le Rouge 2015 au Concours des Vignerons Indépendants 2016. Dernier et non des moindres : la Cuvée Arthus culmine au rang des gammes les plus prestigieuses. Exclusivement disponible en rouge, ce vin est élevé pendant douze mois en barrique. Avec la Cuvée du domaine, ils sont destinés aux restaurants étoilés tels que L...

L'Esprit du Samaritain :
les vraies valeurs de la cuisine française

L’Esprit du Samaritain tire l’origine de sa dénomination des précédents établissements (Le Samaritain et L’Esprit tapas) que tenait Philippe Flambard, son propriétaire. Ce nom reflète également la philosophie générale des lieux, où les clients sont toujours assurés d’être bien accueillis et bien servis. Un décor surprenant, alliance d’ancien et de moderne Installé dans un secteur sauvegardé de la ville d’Uzès, le bâtiment qui abrite le restaurant L’Esprit du Samaritain est une ancienne sellerie, dont les fondations remontent au XIVe siècle. « Une partie de l’entrée est bâtie sur les anciens remparts de la ville. Le milieu de la salle est une voute croisée tout en pierre. Le bâtiment en lui-même parle de lui tout seul », décrit Philippe Flambard. Le mobilier très contemporain forme un mariage assez surprenant mais très joli avec le style ancien. Ici et là pendent une douzaine de bassinoires et de pièces de cuivre, dont Philippe est un fervent collectionneur. En tout, la salle peut accueillir jusqu’à 42 couverts. Une cuisine d’instinct L’Esprit du Samaritain sert une cuisine traditionnelle française. Le chef Philippe Flambard aime préparer ses plats à l’instinct. « J’achète moi-même tous mes produits frais. Je travaille tout à la minute pour le client, il n’y a rien de prêt chez moi », explique-t-il. Ainsi, l’établissement ne propose ni menu, ni carte, ni formule spéciale. « Je prépare ce que je trouve sur le marché. Tout est relatif. La cuisine que je fais reste le plus simple possible et laisse exprimer toute la saveur du produit », poursuit-il. Cependant, le chef apprécie en particulier les poissons frais et le bœuf (il ne travaille que les races françaises) mais toujours en fonction de ce qu’il trouve au marché. Une de ses spécialités est la côte de bœuf grillée à l’ancienne ou la souris d’agneau à l’ail confit qui revient régulièrement sur son ardoise. Ses habitués sont également friands de sa terrine de foie gras au pain d’épices, cuite 25 minutes à basse température. Accompagné de petites framboises et de toasts de pain grillé, ce plat est un pur régal pour les fins gourmets. ...