logo-flash-matin
arriere-plan-une-gastronomie

RECETTES DE CHEFS
Mille et une recettes de restaurants

    LES ARTICLES LES PLUS LUS

    Château de Trémouriès :
    qualité et originalité des vins avant tout

    Le Château de Trémouriès tire son nom de l'élevage des vers à soie pratiqué dans le passé, car les vers à soie se nourrissaient des feuilles de mûrier d'ou le nom château des trois mûriers ou Castéu di Trémouriès en Provençal. Un site d’exception chargé d’histoire Situé à l'entrée du village de Cogolin, le Château de Trémouriès datant de l'époque médiévale, détruit et reconstruit plusieurs fois, au cours des siècles est un des plus ancien château du village, ayant appartenu entres autres à l'Ordre du Temple. Un emblème Templier représentant une croix a d'ailleurs été retrouvé par les actuels propriétaires et figure désormais, tel un logo, sur les étiquettes de bouteilles et autres supports publicitaires du domaine. Actuellement les bâtiments se composent d'une magnanerie du XVII éme siècle et d'un château construit en 1836 dans le style d'une bastide provençale. Un vignoble spécifique Avec ses six hectares tout en coteaux, le vignoble du château  dispose d’un terroir assez spécifique : « sur cette terre un petit peu aride, nous cultivons principalement cinq cépages » explique le responsable. Cette spécificité vient du fait que les cinq cépages (Cinsault, Mourvèdre, Syrah, Grenache et Rolle) disposent chacun de leurs parcelles avec une exposition, une pente et une terre qui leur sont propres. A titre d’exemple, les clos de vieux grenaches et de syrah, pourtant installés côte à côte, se distinguent par la présence abondante de mica dans le premier et son quasi-absence dans le second. En outre, les vignes du château sont soumises à un microclimat distinct des terroirs avoisinants. La pluie et la grêle sont ainsi plus rares qu’à Grimaud pourtant installé à seulement cinq kilomètres, et par rapport à la Môle située à deux kilomètres à l’ouest, la température est en moyenne plus élevée. Le Château met à profit les spécificités de ce terroir pour produire des vins différents en comparaison à ceux de ses voisins. Par souci de raffinement et d’esthétique, mais aussi pour la prévention des maladies, s'inspirant en cela de la tradition des anciens, des rosiers rouges et blancs ont été plantés en alternance entre les rangées de vignes. Des cuvées basées sur la qualité et l’originalité Le catalogue de vins du Château Trémouriès est composé de trois cuvées déclinées sur les trois couleurs et élaborées selon deux principes simples : « nous faisons des produits qui sortent de l’ordinaire, basés sur la qualité et l’originalité » selon les précisions du responsable. D’une complexité rare pour son terroir, la Cuvée des Templiers Rouge AOP Côtes de Provence est un vin issu d’un long vieillissement en futs de chêne qui lui confère une singulière élégance. Particularité qui lui a valu une médaille au Salon Agricole de Paris pour son millésime 2013. D’ores et déjà, les amateurs de bons vins trépignent d’impatience en vue des millésimes 2014 et 2015, qui sont en train d’être affinés en cave.  Fer de lance de la Provence au sein du milieu viticole français, le vin rosé figure également dans la palette des vins du Château Trémouriès. « Notre production s’articule principalement autour du rosé » explique le responsable de la cave, le rosé Château de Trémouriès AOP Côtes de Provence. Issu d’une vinification des plus attentives, celui-ci apporte de la fraicheur aux mets qu’il accompagne. Tout récemment, le domaine a élargi son catalogue avec une nouvelle cuvée de blanc, très appréciée des connaisseurs.  ...

    La Ferme aux vins : un mix subtil entre cuisine traditionnelle et nouvelles tendances

    Un jardin fleuri et une grande piscine qui ajoute une note de convivialité tout en invitant à la détente. Bienvenue à La Ferme aux vins. Bourguignons ou voyageurs de passage sont accueillis par une équipe dynamique, souriante et chaleureuse, placée sous la houlette de Marie-Pierre Bêche, la directrice des lieux. Quand le temps le permet, les parasols s’ouvrent à l’extérieur pour recevoir les clients avides de soleil et d’air frais. L’intérieur est tout aussi propice à la convivialité. Le décor propose un doux et ingénieux mélange entre confort et modernité. C’est dans cette ambiance de charme qu’évolue le chef Xavier Bitarelle, un spécialiste de la cuisine traditionnelle qui maitrise son art à la perfection. Capital confiance La Coupole à Paris, Dalloyau, l’Hostellerie de Levernois : Xavier Bitarelle fait ses armes dans les établissements les plus prestigieux. Cette longue et riche expérience lui vaut toute la confiance de la famille Jacquier, qui lui confie les rênes du restaurant La Ferme aux vins en 2008. Rappelons que, depuis 4 générations, l’existence du groupe Hôtels Bourgogne Qualité est fondée sur les valeurs portées par la famille Jacquier, profondément attachée à la Bourgogne, et passionnée par les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Aujourd'hui, Hotels Bourgogne Qualité, ce sont 11 hôtels en Bourgogne, de l’économique au 5 étoiles, ainsi que 7 restaurants gourmets et gastronomiques. Xavier Bitarelle, un maestro de la cuisine bourguignonne Prêt à redynamiser La Ferme aux vins, ce chef efficace et fignoleur y sculpte les parfums, les goûts et les harmonies pour au final proposer une cuisine de terroir relevée par une pointe d’innovation. Ainsi, au fil des saisons, les clients sont sûrs de trouver une carte évolutive qui s’approprie les beaux produits qu’offre la Bourgogne. Car le chef reste des plus exigeants quant à la qualité et à la fraicheur de ses ingrédients commandés auprès de fournisseurs locaux. Toute cette rigueur et ce perfectionnisme se découvrent aisément au travers des plats proposés : magret de canard aux baies de cassis, volaille de Bresse à l’époisse... La carte affiche aussi ses spécialités, les fondues bourguignonnes, vigneronnes ou bressanes, pour faire honneur au concept de « cuisine conviviale ». On n’oubliera pas de mentionner les menus, dont celui qui est intitulé « Bourgogne » qui offre de jolis clins d'œil à la région. Sur l’ensemble, le prix moyen par convive de 35 € reste des plus raisonnables. Une belle carte des vins La carte des vins met en scène la Bourgogne. Elle est élaborée sur des coups de cœur et au fil des rencontres et des dégustations faites avec les viticulteurs. Pour que vous soyez au fait des meilleurs accords mets-vins, l'équipe de serveurs vous guide dans votre choix, qui peut vite devenir cornélien compte tenu de la richesse de la cave constituée de plus de 200 références. ...

    Domaine de la Bergerie d’Aquino : l’excellence de la Provence

    Pour un domaine viticole, la Bergerie d’Aquino est un nom pour le moins insolite, n’est-ce-pas ? Ce nom tire en fait ses origines d’une légende née dans la région comme quoi le fameux Saint-Thomas d’Aquin aurait fait de cette bergerie à l’époque, une étape régulière durant ses nombreux voyages entre la France et l’Italie. Un terroir qui se prête au bon développement des vignes​ Composé d’un terroir à base d’argile, le vignoble du domaine est, selon les explications d’Eric Bompard, propice à la viticulture : « Nous avons un sol argilo-calcaire très caillouteux qui favorise le drainage ». Les parcelles de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon et Rolle y sont exposées plein sud et bénéficient d’un ensoleillement exceptionnel toute l’année. En 2015, une nouvelle parcelle de Cinsault a été cultivée pour élargir les possibilités d’assemblage, notamment pour le rosé. Les premières vendanges de cette parcelle auront lieu dans deux ans. En matière de viticulture, profiter d’un bon terroir n’est pas suffisant pour avoir des récoltes de qualité. La façon de le cultiver est également une étape primordiale. « Nous n’utilisons aucun pesticide, aucun engrais et évitons de traiter les vignes. En revanche, en cas de maladie prévisible, nous prenons la liberté d’éviter par traitement le risque d’une dégradation de la récolte » note Eric Bompard. Les rendements y sont rigoureusement maîtrisés et donnent une production de l’ordre de trente à trente-cinq hectolitres à l’hectare, garantissant une maturité et une concentration optimale des baies de raisins. Et pour finir, les vendanges se font exclusivement à la main dans des petites caissettes de 35 kilos. Gastronomique ou plaisir immédiat, il y a le choix Lorsqu’il a acquis ce domaine en 2014, Eric Bompard nourrissait fortement l’ambition de produire des vins de qualité. Nouveau venu dans la filière mais non moins passionné, il a fait appel à un œnologue spécialiste de ce terroir pour mener à bien la vinification. Ce dernier jongle entre les techniques modernes de contrôle des températures avec les méthodes traditionnelles de macérations et de fermentations pour élaborer ses vins. Il en résulte deux gammes de vins aussi différentes qu’exceptionnelles que sont les cuvées « Bergerie », vins de gastronomie déclinés en rouge et blanc d’une part et d’autre part la gamme  « Etoiles d’Aquino », « une gamme destinée à une consommation plus immédiate, aux arômes puissants, fruités, qui correspondent au terroir de la Provence » explique Eric. Cette dernière gamme, en appellation protégée Coteaux Varois en Provence est composée de trois vins déclinés sur les trois couleurs. ...

    Le Chamarré Montmartre : escapade gastronomique au cœur de saveurs polychromes

    S’asseoir au Chamarré Montmartre, c’est offrir à ses papilles un intermède savoureux où l’exception est la règle. Une cuisine du terroir classique ? Très peu pour le chef tombé dans la marmite du métissage en étant petit. Tel l’aquarelliste cherchant les bonnes mesures de tons à accorder, ce virtuose du goût conjugue le sucré et l’acidulé, le salé et l’épicé dans une vibrante partition à laquelle les papilles disent un grand oui. Chamarré veut dire très coloré… Et c’est fidèle à cet esprit que le chef déploie son énergie à la tête des fourneaux dans une vibrante chorégraphie où ses racines susurrent aux produits du terroir des notes d’ailleurs. Un petit coup d’Asie, quelques influences d’Amérique du Sud, deux-trois souffles d’océan Indien. Il distille les ingrédients en faisant force usage de ses souvenirs de voyage et de ses racines profondes. Préparer les papilles à une explosion de saveurs où crustacés et coquillages frayent avec les agrumes dans la composition de prédilection du maestro aux commandes. Le condiment aux agrumes qui accompagne les huîtres leur confère une touche indéfinissable de fraîcheur. Les crustacés relevés des notes de mandarine du yuzu laissent en bouche une sensation fort agréable. À la saison des gibiers, l’on résiste mal à la cuisson lente et parfaite du rôti de lièvre. À l’ancienne SVP : au sautoir et avec du lard de Colonnata. La sauce à base de chocolat et d’épices en accompagnement est à tomber. Et puis, moment d’extase difficile à contenir quand le savarin maison fond sur la langue dans un fini voluptueux. Dans ce régal sucré, un mariage à trois très accommodant : vanille Bourbon, black mélasse et farine de sarrasin.   ...

    Clos des Serènes : la simplicité et la passion

    Attiré depuis toujours par le monde viticole, Julien Daumas, réalise en 2014 son rêve d'élaborer son propre vin. Il fait l’acquisition de 2,7 hectares à Saint-Laurent-des-Arbres et crée son domaine qu'il baptisera le Clos des Serènes. Respect du sol et des vignes Ce vignoble d’un seul tenant, composé de vieilles vignes, présente un encépagement formé par les cépages grenache, cinsault, carignan et mourvèdre. Ces derniers sont plantés sur un terroir sablonneux qui apporte aux vins finesse et élégance. Pour travailler la vigne, Julien Daumas fait tout simplement appel à son bon sens paysan. Ici, aucun produit de synthèse n’est toléré et la vie du sol est respectée au maximum. Côté vinification, le domaine opte pour des vendanges manuelles et les raisins font l’objet d’un tri rigoureux. Après vinification en cuves thermorégulées, une partie des vins est élevée en barrique. Le domaine donne du temps au vin pour qu’il se clarifie et ne réalise aucune filtration. Un vin de partage Privilégiant la qualité à la quantité, le Clos des Serènes produit un vin rouge (en AOC Lirac) qui reflète toute la typicité du terroir. La cuvée éponyme allie donc délicatesse et longueur en bouche, dans un assemblage grenache (50 %), mourvèdre (10 %), carignan (20 %) et cinsault (20 %). Idéal pour accompagner des plats de viandes. ...

    Restaurant L’Éclat : une cuisine de tradition à déguster dans une atmosphère intime

    Profitant d’une situation très convoitée en plein cœur du centre historique de la Ville des Lumières, le restaurant L’Éclat côtoie la Cathédrale, la colline de Fourvière et les rives de Saône. À l’intérieur, lustre Tom Dixon, tons boisés et formes design sont sublimés par des jeux de matières et des couverts raffinés. Vitrée, la cuisine permet à la clientèle de découvrir les talents du chef Vincent Leleu et de sa brigade. L’éclat de la cuisine à la française C’est à travers des sélections de recettes gastronomiques raffinées que le restaurant L’Éclat évoque toute l’intensité d’une cuisine riche en traditions. Du choix des produits jusqu’à la présentation artistique et moderne de chaque assiette, en passant par la maîtrise des cuissons, l’établissement garantit de vivre d’intenses découvertes gustatives. La carte propose des mets qui allient diversité et authenticité. Foie gras, merlu, rouget, cabillaud, pigeon de Pornic, bœuf et cochon s’agrémentent de champignons, de truffes et de légumes de saison. Chaque recette témoigne d’un savoir-faire respectueux des produits. Ces derniers révèlent de parfaites textures en bouche sublimées par des concentrés de saveurs. Pour l’approvisionnement, la maison collabore avec des fournisseurs triés sur le volet. « Nous avons fait le choix de ne travailler qu’avec des producteurs qualifiés et des produits de saison », nous précise le jeune chef de talent, Vincent Leleu. Celui-ci privilégie aussi bien les producteurs locaux que d’autres professionnels situés dans les autres régions, pour mettre en valeur toutes les particularités et richesses du pays. Dans la cave à vins qui est visible depuis la salle, toutes les régions sont également mises en valeur. La carte propose actuellement près d’une centaine de références, dont des bios, spécialement choisies pour être en harmonie avec les mets proposés. Une touche d’innovation personnelle Permettant de redécouvrir les standards de la cuisine traditionnelle française, le restaurant L’Éclat met en scène tout le savoir-faire de son chef Vincent Leleu. Avec talent et discipline, il élabore chaque recette avec minutie tout en respectant les valeurs d’une gastronomie ancrée dans l’air du temps. C’est à travers quatre choix de menus alliant tradition et innovation qu’il invite à voyager au sein de la culture culinaire française. Dans son ambiance design, chic et contemporaine, le restaurant propose entre autres de profiter d’agréables repas d’affaires. Servi à midi, le menu affaires à 30 € propose carotte, poire et jésus de Morteau en guise d’entrée. En plat de résistance, lieu jaune, petit pois menthe et œuf de caille feront plaisir aux fins palais. Mêlant fraîcheur et douceur, pomme, aneth et citron seront parfaits à titre de dessert. Les trois autres menus proposés respectivement à 45 €, 55 € et 75 € sont servis midi et soir. Ils permettent de goûter à des saveurs inédites, telles que la Royale d’épinards, tuile de pain et noisettes torréfiées, lard Contadino ou le bœuf en gravlax condiment fenouil anis et jus de bœuf corsé, sans oublier le merlu de ligne, terrine de chou vert brûlé jus de citron de Menton. Parmi les signatures du chef, le foie gras tartare de tomates fraises et coriandre, ainsi que le pigeon de Pornic rôti sur coffre fumé au foin et cranberries sont incontournables. L’exquise tarte Tatin circulaire aux pommes avec sa crème glacée à la vanille de Madagascar et aux cacahuètes titille également les papilles à chaque bouchée. Garante de plaisirs culinaires intenses, la succession des saveurs proposées sonne comme une véritable mélodie qui égaye les sens. Il est possible de faire découvrir cette cuisine haute en couleur aux convives de vos événements. « On fait des dîners pour les particuliers chez eux et pour des entreprises, donc des séminaires, des cocktails dînatoires », nous souffle-t-on. ...

    Champagne Pierre Laurent : des cuvées envoûtantes pour le plaisir des papilles

    Passionné par sa région et animé d’une vision avant-gardiste dans l’élaboration de ses champagnes, Pierre Laurent se veut « créateur de bien-être » en proposant des cuvées les plus naturelles possible, manifestant les typicités du terroir, le tout selon une démarche écoresponsable. Tradition, plaisir et partage sont autant de valeurs héritées de père en fils, qu’il ambitionne de véhiculer. Au plus proche de la nature L’histoire de la maison de champagne Pierre Laurent existe depuis 5 générations et la création de la marque fut en 2010. Issu d’une lignée de viticulteurs, Pierre Laurent veut perpétuer la tradition familiale et implante ses vignes sur les coteaux de la vallée de la Marne, plus précisément au sein des terroirs de Saulchery, Charly-sur-Marne, Azy-sur-Marne, Crouttes-sur-Marne et Domptin. Le vignoble, d’une superficie totale de 4,5 hectares, est planté des trois cépages champenois dans le respect des gestes ancestraux. Le domaine est effectivement l’un des rares à encore travailler la terre par le cheval. En effet, le tassement du sol provoqué par le passage des tracteurs entraîne un phénomène d’imperméabilité et empêche le développement correct des insectes et micro-organismes. Avec ce procédé traditionnel, le sol est mieux alimenté en eau et en minéraux, gage de la bonne santé des vignes. Dans une volonté de préserver ce précieux héritage qu’est le terroir de la vallée de la Marne, Pierre Laurent a aussi opté pour une viticulture raisonnée, avec pour ambition de décrocher les certifications Haute valeur environnementale et Viticulture durable. « C’est un travail qui requiert des connaissances, de la patience et du temps, mais les résultats en valent la peine », déclare-t-il. Cette forte implication et cet attachement à des notions comme la qualité et le bien-être ont été couronnés de succès, puisque les champagnes de la maison sont aujourd’hui disponibles dans l’un des endroits les plus prestigieux du pays : le château de Versailles.  Les royales cuvées investissent Versailles Pour clôturer en beauté la découverte de la résidence des rois de France réputée pour sa perfection et son glamour, une halte dans la boutique de souvenirs est de rigueur. Quelques flacons signés Pierre Laurent trônent fièrement sur les rayonnages. Les deux cuvées, Louis XIV et Marie-Antoinette, ont brillamment su trouver leur place dans ces lieux mythiques. La cuvée masculine Louis XIV se démarque déjà de par son packaging d’un bleu doux. Constitué de 40 % de chardonnay, 40 % de pinot noir et 20 % de pinot Meunier, ce champagne plaît pour ses bulles fines et son nez puissant et fruité, complété par une bouche arrondie et douce. Il s’apprécie en apéritif ou servi avec des plats légers, comme un rouget à l’oignon rouge et à la menthe. La cuvée Marie-Antoinette, quant à elle, sera plus à l’image de la femme. Elle arbore des tons glamours par ses tonalités rose pâle. « Durant mon voyage au Japon en février 2015, j’ai découvert qu’ils étaient passionnés du sakura, le cerisier. J’ai donc choisi sa couleur rose pour cette cuvée, afin de plaire un peu plus aux Asiatiques », confie le vigneron. Ce champagne, fait à 50 % de pinot Meunier, 30 % de pinot noir et 20 % de chardonnay, a bénéficié d’un vieillissement de quatre années en cave. Il ouvre sur des arômes de figues et de dattes, suivis de notes florales et minérales qui en font un bel allié sur des desserts gourmands comme les crèmes vanillées caramélisées ou les pralines. ...

    un savoir-faire traditionnel et familial au service de la création de spiritueux

    Imaginons un peu ces milliers de fûts de chêne qui reposent patiemment ; certains, jeunes, viennent accueillir les premières distillations de l’année ; d’autres ont plus de 130 ans. Imaginons un peu cette palette d’arômes avec plus de 300 eaux-de-vie différentes prêtes à exploser en bouche. Imaginons alors toute l’élégance du métier de maître de chais, qui, à l’instar du peintre ou du parfumeur, nécessite de posséder un solfège acquis par l’expérience, le travail aiguisé des sens et la maîtrise de soi afin de produire un assemblage harmonieux de textures et de saveurs. Des cognacs raffinés… Et c’est ce savoir qui s’est forgé au fil du temps, bonifié de génération en génération, que nous propose de partager la distillerie Tessendier au travers de trois gammes de cognac (Park , Campagnère, Grand Breuil) où chacune a sa propre spécificité, sa propre histoire… Autant de variétés qui ont vocation à satisfaire tous les goûts. Une maison toujours en quête d’innovation… Pour répondre aux besoins  d’une clientèle internationale aux approches gustatives et culturelles souvent très différentes, l’entreprise a toujours su renouveler son offre. En témoigne la dernière bouteille de la gamme Park, où une finition de six mois en fûts de chêne de mizunara  (chêne japonais très rare et très qualitatif) apporte une synergie entre les arômes floraux typiques des crus Borderies et le côté ambré des chivas japonais. En témoigne, aussi, depuis une dizaine d’années, la création d’une gamme de rhum où s’exprime tout l’art de l’assemblage de Jérôme et Lilian Tessendier, avec notamment l’arrivée de nouveaux produits dont le Rum Saison réserve. ...

    Les trois rochers : une pause gourmande à Sainte-Marine

    Dans le Finistère-Sud, à Sainte-Marine, la villa Tri Men est un véritable havre de paix. En bordure de l’Odet, la demeure de caractère séduit par son élégance et son originalité. À l’extérieur, un impressionnant parc verdoyant s’ouvre au-dessus du port pour accueillir les convives. Dès la porte franchie, une ambiance cosy et chaleureuse se dégage du salon, où une large baie se présente comme un tableau vivant. Maison de famille revisitée, l’établissement propose aujourd’hui un hébergement dans son hôtel quatre étoiles et une pause gourmande dans son restaurant gastronomique, Les trois rochers. Une escapade gustative inédite À l’image du lieu, Les trois rochers incarnent la douceur de vivre en Cornouaille. Le restaurant est d’ailleurs salué par tous les guides et figure parmi les 200 tables recommandées par le Carnet gourmand de Châteaux et Hôtels Collection. Et en janvier 2016, il a été récompensé par une étoile au Guide Michelin pour son rapport qualité/prix. À la tête de ce succès, le chef Frédéric Claquin surfe sur les saveurs des saisons pour proposer une carte courte mais bien maîtrisée. Dans l’assiette, les produits de la mer et du terroir breton se marient à la perfection aux parfums des voyages lointains. L’occasion pour les convives de déguster le nouveau goût des ravioles de langoustines du Guilvinec, les ormeaux poêlés, le Saint-Pierre à la patate douce, sans oublier les poissons… mélangés à des fruits, racines, épices et féculents du monde. Pour les nouveaux venus, le menu Découverte est la meilleure approche pour connaître la cuisine du chef Frédéric. Pour les épicuriens, quoi de mieux que le menu Plaisir ? Et pour les gourmands curieux, le chef leur concocte un succulent menu dégustation. À savourer en salle ou sur la terrasse, qui offre une vue imprenable sur Bénodet. ...

    Château Moncets & Château de Chambrun : un parfum de modernité

    Au cœur de l’appellation Lalande-de-Pomerol, cette propriété de 27 ha se compose aujourd’hui de deux châteaux : Château Moncets et Château de Chambrun. Un troisième existe également, château la Bastidette en AOP montagne Saint Emilion, 1ha À partir de 2015, les vignobles se dotent de nouveaux chais compétitifs avec des matériels à la pointe. Objectif affiché : adapter le vignoble au changement climatique, tout en favorisant l’expression du terroir. Un terroir diversifié Avec une superficie de 18 ha d’un seul tenant, le vignoble du Château Moncets est formé de 20 parcelles reposant chacune sur un terroir spécifique. « L’appellation est connue pour ses terroirs très diversifiés et rien que pour le Château Moncets, nous avons la chance d’avoir des sols à dominance d’argile avec des variances de sable de graves », annonce Julien Noël, directeur commercial. Cette diversité des terroirs permet au domaine d’élaborer des vins plus complexes. Dans un rayon de 2km plus au nord, les vignes du Château de Chambrun s’épanouissent sur des plateaux à forte teneur d’argile et présentant des graves en surface. « Sur ces terroirs combinés au climat d'aujourd'hui, les vignes parviennent facilement à maturité et nous confectionnons des vins plus fins et délicats. » Faire face au changement climatique Depuis 2017, le domaine est en cours de conversion vers l’agriculture biologique. Aucun produit de synthèse n’est donc toléré ! Par ailleurs, de nombreuses expérimentations sont menées à la fois au chai et au niveau du vignoble, notamment en ce qui concerne le changement climatique. Pour superviser la transition de ces opérations, la maison est maintenant suivie par Thomas Duclos, oenologue associé du laboratoire Oenoteam. Le laboratoire Michel Rolland ayant suivi les millésimes 2012 à 2017. L’introduction récente du cépage malbec est l’un des résultats notables issus de ces expérimentations. En effet, le malbec semble bien réagir aux effets du réchauffement climatique, compte tenu du fait que celui-ci a tendance à perdre de son acidité. Un système parcellaire Afin de s’adapter aux typicités propres à chaque parcelle, le domaine a mis en place un travail fondé justement sur un système parcellaire. « Non seulement nous avons des processus de culture spécifiques à chaque parcelle, mais également nous réalisons des vinifications adaptées grâce à notre cuvier parcellaire », indique Julien Noël. En plus de ses cuves sur mesure, le domaine utilise aussi un système gravitationnel pour placer les raisins dans les cuves. Résultat, les baies restent intactes et évitent par la même occasion l’oxydation. Mais ce qui démarque véritablement le domaine, c’est le recours à la technique de vinification intégrale, au cours de laquelle les meilleures parcelles sont vinifiées directement en barrique. ...

    Restaurant Les Rives de la Courtille :
    cuisine française au bord de la Seine 

    Sur l’île des Impressionnistes, dans la jolie ville de Chatou, non loin de Paris, se trouve un coin de paradis idéal pour une escapade gourmande : le restaurant Les Rives de la Courtille. Au cœur d’un lieu historique Chatou est la ville où les grandes figures de l’impressionnisme comme Monet, Renoir, Pissaro ou Sisley ont puisé leur inspiration. C’est dans la ville que sont nés plusieurs de leurs éminents chefs-d’œuvre comme le Déjeuner des canotiers, de Renoir. En regardant le magnifique paysage, la nature verdoyante et la Seine qui coule tranquillement, on comprend d’où leur vint ce souffle créateur.  Tendrement blotti dans ce cadre idyllique avec les murmures de la Seine en fond sonore, le restaurant Les Rives de la Courtille jouit d’une quiétude apaisante. C’est l’endroit parfait pour retrouver détente et sérénité après une balade sur l’un des circuits impressionnistes ou après la visite de musées. La cuisine aussi vaut le détour ! Aux fourneaux, le talentueux chef du restaurant des Rives de la Courtille s’affaire pour être à la hauteur de ce panorama de rêve. Il se déplace au moins une fois par semaine pour dénicher ses ingrédients au marché international de Rungis. Une promesse de fraicheur  et de qualité sur une carte qui change quatre fois par an pour toujours proposer des produits de saison. En hiver, laissez-vous tenter par les coquilles Saint-Jacques snackées sur un lit de fondue de poireaux ou par les ris de veau poêlés servis avec une sauce au vin de Madère et une duxelle de champignons. Sur la terrasse cet été, l’espadon grillé à l’huile d’olive et basilic vous fera voyager vers le sud. Et vous reviendrez en automne pour les champignons poêlés et oeuf poché, entrée signature de la maison. Les épicuriens ne résisteront pas à la sublime cote de boeuf grillée à la plancha accompagnée de sa fameuse sauce au poivre et de son gratin dauphinois. Les amateurs de poisson ont quant à eux élu l’assiette tout saumon comme plat favori. Vous l’aurez compris. Aux Rives de la Courtille, vous valsez entre des mets classiques mais aussi des plats plus légers aux saveurs plus modernes. L’éclectisme de la cave à vins des Rives de la Courtille assure un bel accord mets-vins. Petits producteurs comme grandes appellations y sont à l’honneur. Et cerise sur le gâteau, l’établissement propose des vins au verre. Des références comme le Petit Chablis AOC de chez Michel Laroche ou le Menetou-Salon rouge AOC le Grand Cerf ont exemplairement gagné le cœur des convives. ...

    Villa Eugénie :
    quand l'apparat côtoie la haute gastronomie

    Au bord du littoral, sur une colline sablonneuse surgit en 1855 un imposant et magnifique palace. Chez le commun des mortels, des fleurs ou autres présents symboliques serviront aux hommes à témoigner de leur amour. Mais quand on se nomme Napoléon III, on a l’exigence du luxe et du somptueux. Très épris, le prince-président ordonna alors la construction de l’opulente Villa Eugénie pour combler les désirs de sa belle. Devenu propriété de l’impératrice Eugénie au décès de son époux en 1873, l’édifice sera ensuite revendu à la Banque de l’Union Parisienne en 1880. Il sera plus tard le rendez-vous de prestige des têtes couronnées du Vieux Continent. Ravagé par un incendie en 1903, il s’est transformé en l’Hôtel du Palais qui abrite désormais l’une des meilleures tables de Biarritz. Romantisme de la belle époque Pour y avoir ses entrées, une tenue d’apparat sera de rigueur. Puis direction la grande place de Biarritz, là où trône majestueusement l’Hôtel du Palais. Vous vous laisserez d’emblée conquérir par le luxe et le raffinement des lieux. Les tapisseries, les tentures de soie, les belles dorures, les vertigineuses hauteurs sous plafonds, les tables dressées au millimètre près, les meubles d’époque ou restaurés témoignent de l’élégance exclusive de la Villa Eugénie. La salle propose des tons chauds mis en valeur par les superbes luminaires. Comme si le temps s’est arrêté, on ressent encore cette ambiance « Second Empire » marquée par l’aristocratie et tout son Gotha. Les tables ont été ingénieusement installées pour que chaque client puisse profiter de la vue imprenable donnant directement sur l’océan ou sur le célèbre rocher de la Vierge.    Cuisine gastronomique entre élégance et poésie A la Villa Eugénie, la haute gastronomie est à l’honneur. On y découvre un Jean-Marie Gautier au summum de son art. Ce chef né de parents agriculteurs voue dès son plus jeune âge une passion pour la cuisine.  Il passe son CAP à 14 ans puis intègre le Relais de Poitiers à 18 ans comme commis. Chef de partie du Maxim’s à Paris et de l’Auberge des Templiers en Sologne, il intègre  plus tard le Domaine des Hauts de Loire où il exerce comme sous-chef. Après avoir passé quelques années aux côtés de Christian Willer, il rejoint l’Hôtel du Palais en 1991. Très rapidement, il recevra le titre tant convoité de Meilleur Ouvrier de France. Jamais figée, sa cuisine est une ode au raffinement. Ses 25 années d’expériences transparaissent mélodieusement dans l’assiette. Le chef s’inspire de la cuisine française traditionnelle et régionale qui révèle des saveurs pointues avec une touche d’inspiration du reste du monde.   ...

    Domaine Molin’Agly : une belle sélection de vins occitans

    Le nom de Molin’Agly est dérivé du mot molin qui veut dire moulin en occitan et d’Agly, la vallée où se situe cette exploitation. Elle est la propriété d’Eric Pimpurniaux, un Belge qui a reçu le soutien de la population locale pour sa passion du vin. Cinq ilots de vignes Le vignoble qui se trouve à une altitude de 350 à 400m, est éparpillé sur cinq parcelles autour du village de Caudiès de Fenouillèdes. Exposé plein sud et légèrement en pente, l’encépagement du « Mousquier » est composé de Chardonnay et Merlot. « Le Ravin des Sieures » et « Garrigue Haute » sont quant à eux plantés de la Syrah et « Le Cagne » est cultivé de Chardonnay, Sauvignon Blanc et Cabernet Franc. La dernière parcelle, « Bram Fam », est le joyau du domaine avec ses vieilles vignes de Carignan de 50 à 80 ans d’âge. Le domaine de Molin’Agly profite du climat méditerranéen tout en étant préservé de la sécheresse estivale grâce à sa proximité avec les Pyrénées, conférant à ses vins une belle fraîcheur et des arômes puissants. A l’instar de la plupart des agriculteurs de la région (80%), le domaine Molin'Agly est en phase de reconversion pour être agréé sous le label agriculture biologique. Ainsi, les produits chimiques ont été bannis de toutes les parcelles depuis les dernières années. Une cave bien équipée Ne disposant pas de cave propre au domaine, Molin’Agly a opté pour la location d’une cave de la région pour vinifier et élever ses vins. Inutilisée pendant un certain nombre d’années, elle a été complètement rénovée et rééquipée. Elle est dotée d’une cuverie inox, d’un groupe de froid, d’un pressoir et d'égrappoirs. Ces matériels permettent à l’œnologue du domaine d’obtenir des produits à l’hygiène impeccable et de minimiser au maximum syndical l’oxydation des produits qui y sont stockés et en cours d’élevage. Des vins au caractère bien trempé Depuis sa reprise en 2014 par la bande à Eric, Molin’Agly produit une belle gamme de cinq vins qui se distinguent par leur nom à l’image de leur caractère. Ainsi, ces cuvées s’appellent « L’Intense », « L’Audacieux », « L’Espiègle », « Du Nord au Sud » et « Bram Fam ». Cette dernière, qui signifie littéralement « Crie la faim » en occitan, est issue de Syrah lieu-dit éponyme. Toujours fin et très équilibré quel que soit le millésime, ce vin se déguste en accord parfait avec des viandes rouges, du gibier ou des mets relevés tels que tajines ou grillades. Pour le domaine de Molin’Agly, jeunesse ne rime pas avec inexpérience, puisque ses vins se retrouvent d’ores et déjà sur les tables de restaurants belges de renom tels que le « Pilori » à Ecaussines, la « Loungeatude » à Louvain-la-Neuve, ou récemment au restaurant éphémère « La Saison » à Corbais, mais également en France au restaurant « Verte Campagne» à 10 minutes de Toulouse ! ...

    Domaine Francis Demange :
    le vin gris-de-toul à l’honneur

    Voilà 3 générations que cette exploitation familiale confectionne des vins de caractère empreints d’authenticité. 3 cépages, 3 couleurs Dans ce vignoble, les 3 cépages traditionnels (auxerrois, gamay, pinot noir) sont plantés sur un terrain propice à leur épanouissement. Ainsi, les vignes puisent leurs nutriments dans un sol issu d’argiles oxfordiennes avec un mélange d’alluvions anciens et d’éboulis calcaires. Le domaine produit bel et bien du blanc et des rouges, mais il est particulièrement fier de ses vins gris-de-toul. Une spécialité emblématique Avec le gris-de-toul, spécialité emblématique de l’appellation, la maison en a fait sa cuvée phare. Issu de l’assemblage de gamay et de pinot noir, ce vin se démarque par sa rondeur, sa palette aromatique et une souplesse en bouche qui lui confère un caractère unique. ...

    L’Archestrate : la simplicité et le goût

    Une table délicate au cœur de Saint-Dizier Après avoir fait ses classes auprès de quelques-uns des grands noms de la gastronomie française (notamment François Clerc à la Vieille Fontaine), Didier Muckerhirn s’est lancé dans l’aventure en reprenant en solo un ancien établissement du centre-ville de Saint-Dizier. Mais la passion pour la cuisine lui est venue dès son plus jeune âge ; déjà tout petit, il consacrait une partie de son argent de poche à l’achat de livres de cuisine. « Le besoin d’ouvrir mon propre restaurant est venu en même temps que l’envie de mettre plus de créativité dans mes plats. C’est une petite structure familiale de 25 places assises et je travaille avec ma femme et mon fils », nous explique le chef. Maître restaurateur de France, Didier Muckerhirn essaye au maximum d’avoir des circuits courts et des produits locaux afin de faire profiter ses clients de son savoir-faire et des saveurs d’une région. « Pour nos viandes, on travaille avec un petit producteur de Saint-Dizier, nos cailles grandissent à moins de cinquante kilomètres de nos fourneaux. Comme nos fois gras et nos canards. On essaye de coller au maximum à ces valeurs de proximité. » Une carte qui change tous les mois La proposition de Didier est surprenante : avoir une carte-menu qui affiche 4 entrées, 4 plats et 4 desserts différents, qui changent chaque mois. Même si le restaurateur n’a pas encore trouvé son « plat-signature », les critiques, comme les clients, sont unanimes sur la qualité générale des assiettes qui sortent de cette cuisine. Le cadre est, lui, à l’image de la cuisine. Intimiste, la décoration relève avec goût le charme de la vieille maison. En été, on profite de la terrasse située dans la cour intérieure du bâtiment pour se régaler d’un magret de canard à la mangue accompagné de quelques rigatonis d’épeautre, tout ça devant la grande fresque murale qui habille magnifiquement l’espace. ...

    Champagne Martial-Couvreur : des cuvées alliant qualité et élégance

    Actuellement, la maison Martial-Couvreur travaille sur un vignoble de 7 ha. Grâce à la richesse et à la variété géologique du terroir, le vignoble se compose de trois cépages dont 15 % chardonnay, 40 % meunier et 45 % pinot noir. C’est donc tout naturellement que les cuvées élaborées par la maison s’enrichissent des arômes issus de ces cépages. Un savoir-faire reconnu Pour pouvoir offrir des champagnes de qualité dignes des plus grands événements, la maison Martial-Couvreur mise sur une élaboration traditionnelle. L’exploitation privilégie une viticulture raisonnée avec un profond respect pour la terre. En ce qui concerne la vinification, celle-ci est confiée aux soins de l’Union des producteurs des grands terroirs de la Champagne. Une coopérative agricole dont le professionnalisme est reconnu et salué par les plus grands œnologues. « Cela fait partie de notre particularité, puisque nous faisons partie d’une coopérative, nos bouteilles ne renferment pas uniquement notre terroir mais un assemblage de terroirs différents », nous indique-t-on. Les cuvées phares de la maison Depuis quelques années, la marque Martial-Couvreur s’est spécialisée autour de la thématique du mariage. « C’est venu très naturellement avec le caractère de ma mère, elle a une véritable empathie pour les gens », confie Aymeric Couvreur. Les futurs mariés pourront donc faire leur choix parmi une palette déclinée en six nuances. À commencer par « La Ravissante ». Mêlant finesse, puissance et rondeur, cette cuvée est élaborée à partir de 40-45 % de chardonnay et 55-60 % de pinot noir. « La Palpitante » s’habille d’une robe or pâle avec des reflets verts et présente une belle longueur en bouche. Celle-ci s’obtient à partir d’un assemblage de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot. « L’Innocente », quant à elle, fait à 100 % de chardonnay. Une cuvée Blanc de Blancs dotée d’une grande finesse très appréciée par la gent féminine. « La Sémillante » adopte une teinte rose saumoné et se distingue avant tout par son caractère festif et fruité. Pour continuer, « La Charmante » est obtenue à partir d’un assemblage de 60-65 % de chardonnay et de 35-40 % de pinot noir. Cette cuvée de prestige est vieillie quatre ans en cave pour développer tous les arômes et acquérir une rondeur très particulière. Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et présente « La Galante », un millésimé 2008 en hommage à Christian Couvreur. Il s’agit d’un vin d’exception qui réunit à la fois souplesse, élégance et onctuosité. Dix années de vieillissement en cave auront été nécessaires pour proposer un savant mariage de puissance aromatique et de fraîcheur. ...

    Huguenot-Tassin : la finesse d’un champagne né dans le respect de la nature

    La Maison Huguenot-Tassin a été créée en 1984 par Benoît et Marie-Claire Huguenot. Établie sur la commune de Celles-sur-Ource, elle travaille un vignoble d’une superficie totale de six hectares. Avec un sol à dominance argilo-calcaire, son terroir bénéficie d’un climat favorable « rappelant celui de la région champenoise et de la Bourgogne », nous fait savoir Édouard Huguenot le gérant du domaine. S’épanouir dans la viticulture raisonnée Trouver le juste équilibre entre la qualité de ses récoltes et le respect de l’environnement, telle est la devise de la Maison. Au moment du traitement du sol et à chacune des étapes de la production, elle cherche à intégrer au maximum ce concept. Depuis sa création, Huguenot-Tassin  tient à perpétuer des méthodes de travail qui prennent en compte les impératifs écologiques. « On raisonne la nutrition de la vigne, on soigne le choix des produits utilisés pour la protection des végétales », explique Édouard Huguenot. Ce concept va encore plus loin car la maison applique la méthode prophylactique dans l’exploitation de ses vignes. Cette approche préventive vise à empêcher les apparitions des bioagresseurs ou à en minimiser l’effet. Et les résultats sont là : « On obtient une meilleure qualité des raisins, avec une belle maturité précoce », reprend Édouard Huguenot. Se soucier de la nature lui permet d’avoir une récolte plus saine pour des vins plus expressifs et équilibrés. Les spécialités de la Maison                                                                La cuvée Noire Spéciale, les Fioles, et la cuvée Tradition sont les incontournables de la Maison Huguenot-Tassin. La cuvée Noire Spéciale est composée spécialement des meilleurs pinots noirs. C’est l’excellence en termes de qualité des raisins, de goût et de finesse.  Elle est élevée en cave jusqu’à dix ans afin d’obtenir une belle maturité. Les Fioles, en revanche, sont élaborées à partir de chardonnay et de pinot blanc.  « L’idée est d’avoir un produit qui photographie l’histoire du terroir sur une année », justifie Édouard Huguenot. Elle se décline en Fioles rosées brut, recommandées pour l’apéritif et au moment de repas. La cuvée Tradition pour sa part se définit comme un champagne de fraîcheur et de gaieté. Le mélange de pinot noir et pinot blanc donne au produit un arôme exaltant et à la fois léger. ...

    Restaurant Victoria : le goût sous toutes ses formes

    Une salle ornée de pièces de musée authentiques, une terrasse très prisée en temps estival donnant sur un jardin verdoyant, le cadre séduit d’emblée par la vue bien dégagée sur le lac Léman et les sommets neigeux des Alpes. D’ores et déjà, les yeux se régalent de ce spectacle avant même de découvrir ce que le chef propose. Deux cartes proposées pendant toute l’année Derrière les fourneaux, le chef Gilles Vincent dirige une fine équipe rompue à l’art de la bonne cuisine pour concocter les incontournables du restaurant. Au menu : des plats typiques de la gastronomie française et des recettes inspirées de l’art culinaire asiatique pour sortir des sentiers battus. Du foie gras en entrée, du carré d’agneau servi avec ses pommes galettes et une ratatouille, des soufflés parfumés aux fruits de saison, ce ne sont que des exemples des préparations qui ne font jamais défaut dans le restaurant. Outre la carte classique, le chef et son équipe concoctent également des menus conçus avec des produits frais de saison dans une carte qui se renouvelle quatre à cinq fois dans l’année. Des formules au-delà des cartes Jamais à court de créativité, le restaurant propose des formules toutes faites à l’instar du menu d’affaires et du menu du soir. Le buffet accueille tous les jours les visiteurs désireux de satisfaire leurs palais pour un petit déjeuner, un déjeuner, un dîner et un apéritif. À la demande des clients, un segment de la salle peut être privatisé. Dans la même optique, le personnel se prêtera volontiers aux besoins d’organisation d’une animation personnalisée pour les clients célébrant un événement particulier. Un service à la hauteur de la renommée L’accueil figure parmi les points forts du restaurant. Le chef de la réception, M. Laurent Bouriot résume la ligne directrice de leur politique à ce sujet : « On est toujours à l’écoute du client et on fait tout notre possible pour le satisfaire. » Et ce tout inclut, bien sûr, le wi-fi gratuit sur place, le parking, le garage chauffé, mais aussi et surtout le large choix de grands crus pour accompagner avec goût les assiettes de viande et le filet d’omble chevalier du lac et autres spécialités du restaurant.  Pour épater les convives, Toni Mittermair, le directeur propriétaire du domaine, a sélectionné près de 400 références de vins composées de bouteilles venant des caves suisses et françaises. La carte de vins très achalandée met aussi à l’honneur d'autres vins de renommée internationale, vieillis dans plusieurs pays. ...

    Restaurant Le Millau : une excellente adresse au cœur de Paris

    À travers une tradition culinaire française à légère tendance méditerranéenne s’inscrit une carte diversifiée et soigneusement élaborée, où l’inspiration créative du chef en cuisine nous embarque dans un remarquable voyage plus qu’une expérience culinaire. Honneur aux produits locaux Travaillant au jour le jour et quasi à l’ardoise, le restaurant propose une cuisine de marché où les produits frais et locaux sont toujours à l’honneur. Grâce à une carte réduite de 6 entrées, 6 plats et 6 desserts, qui évolue au fil des jours et en fonction des saisons, l’établissement a l’énorme avantage de satisfaire autant les gourmands que les fins gourmets, dans un plaisir toujours renouvelé. Avec une carte des vins assez éclectique, où beaucoup de vins sont proposés au verre, l’établissement reste pour la plupart du temps sur les petits producteurs avec, de par ses origines, un léger penchant pour les vins du Languedoc, comme le Pic Saint Loup. « Nous travaillons avec des vignerons indépendants pour les vins de Bordeaux et de Bourgogne ; sinon pour tout ce qui est vins du Sud, Côtes-du-rhône, Roussillon et Languedoc, nous avons nos propres contacts », tient à préciser Pierre-Louis Cazes, gérant du restaurant, qui, avec sa femme, Céline Weber, fait tourner le restaurant avec l’appui d’un chef et d’un second. ...

    Restaurant Le Cinq Codet : une adresse discrète à deux pas des Invalides

    Lieu idéal pour tenir des rendez-vous d’affaires informels, le restaurant dispose d’un espace design et contemporain au coin de la cheminée numérique. Ses grandes baies vitrées donnent directement sur le patio, ouvert aux beaux jours, lequel offre un espace lumineux où il fait bon se retrouver. Baignant dans un cadre intimiste et chaleureux au décor atypique où le bois est très présent, l’établissement comporte un sous-plafond d’une très belle hauteur, ainsi qu’une magnifique verrière ornée de plantes vertes, dans un mariage réussi de belles matières et d’éléments uniques. Le Cinq Codet est une adresse discrète qui dévoile une cuisine simple et bien travaillée, préparée à base de produits de saison. Dans une belle alliance d’inventivité et de technicité, l’établissement propose une cuisine décontractée, haute en couleur, avec des fleurs et des herbes, ainsi qu’un bel accord de saveurs et de textures gourmandes.   Comptant une clientèle mixte d’Anglo-saxons et de Parisiens, l’établissement organise tous les samedis une soirée jazz, un événement déjà bien connu et apprécié des habitués, mais qui ne cesse d’engranger de nombreux adeptes. Un beau mariage de saveurs Les clients ont la liberté de composer eux-mêmes leur menu ou opter pour des plats sur le pouce avec la carte de snacking. Ce qui fait la différence ? La maison travaille le meilleur du produit avec une technique de cuisson qui la distingue de celle des autres établissements ! Turbot, émulsion de coquelicot, fenouil vanille bourbon et Sphère chocolat, sorbet passion safran sont autant de gourmandises à découvrir ou à retrouver au sein du restaurant.   ...

    Le porc du Limousin ou l’authenticité du goût

    Un mode de production spécifique  Une viande gouteuse et tendre, voilà ce qui caractérise la viande de porc du Limousin Label Rouge. Les porcs sont nourris de céréales (au minimum 60% de la ration avec au maximum 20% de maïs)jusqu’à un âge minimum de 182 jours (contre 168 jours pour le porc standard) sur un territoire intégrant 3 départements du Limousin et certains cantons limitrophes. Il  doit la qualité de sa viande à cette durée de croissance particulière. Stricte méthode de traçabilité Le porc du Limousin Label Rouge porte dès le sevrage, son numéro d’élevage et sa semaine de naissance. Après l’abattage, chaque pièce est étiquetée d’une vignette de labellisation permettant de distinguer son origine selon les principes de la traçabilité : côtes de porc, épaule, jambon… » relate Jean-Marc ESCURE, directeur de Limousin Promotion. Les caractéristiques d’une viande d’exception D’une belle couleur rose homogène, la viande de porc du Limousin label Rouge présente un gras de bardière blanc et ferme ainsi qu’une viande juteuse, savoureuse et particulièrement tendre. Le Label Rouge est le gage d’une viande au gout authentique et aux saveurs de qualité supérieure. Plus de 30.000 porcs du Limousin sont labellisés et commercialisés dans toute la France chaque année. 190 points de vente incluant grandes surfaces et boucheries artisanales distribuent aujourd’hui du porc du Limousin Label Rouge, une production certifiée et contrôlée « de l’élevage jusqu’à l’abattoir». ...

    La Maison sur l'Eau : une évasion entre terre et mer

    À l’entrée de l’île de Noirmoutier, juste à côté du pont, La Maison sur l’Eau émerveille par sa simplicité et son élégance. La demeure au charme maritime arbore fièrement son allure au style colonial, mêlé à une certaine touche de modernité. Une promesse de voyage dans le temps, à travers vents et marées, où la détente et le plaisir sont les mots d’ordre ! Un hôtel de charme Créée en 1870, La Maison sur l’Eau est un ancien relais des voyageurs. Rénové et décoré au goût du jour tout en préservant son esprit d’antan, l’établissement est aujourd’hui un hôtel de référence à Noirmoutier, avec ses quatre étoiles bien méritées. En tout, l'hôtel dispose de deux chambres et quatre suites duplex avec vue sur la mer. À l’image de la bâtisse, chaque pièce dégage une ambiance sobre, chic et conviviale. À cela s’ajoute un écrin de verdure avec son jardin exotique, une piscine-solarium, un jacuzzi et divers autres services, dont le bateau de l’hôtel avec ski nautique à la disposition des clients, ainsi qu'un paddle et un canoë-kayak et enfin des massages sur rdv. Un restaurant gastronomique Au milieu de cet endroit féérique, les gourmets ne sont pas en reste ! En effet, La Maison sur l’Eau dispose aussi d’un restaurant gastronomique, dont les 300 m2 de terrasse offrent une vue imprenable sur la baie. Sur réservation, le chef Bruno Raballand y propose une cuisine traditionnelle à base de produits frais et de qualité issus du terroir. Au gré des saisons, la carte suggère des plats variés avec une alliance terre-mer. L’occasion pour les convives de découvrir les spécialités de la région, dont le fameux homard grillé, l’appétissant plateau de fruits de mer ou encore le succulent magret de canard de Soulans sauce miel et le filet de bar rôti sauce beurre nantais. Par ailleurs, la carte de vins recèle quelques pépites du vignoble vendéen, sans oublier les grands classiques. ...

    Restaurant Le Timbre : un air de saison

    En septembre 2014, Charles Danet et Agnès Peyre ont ouvert le restaurant Le Timbre, situé à proximité du Jardin du Luxembourg et du quartier Montparnasse. Ce restaurant porte bien son nom puisqu’il est agréablement étroit, de la taille d’une salle de séjour. Il peut accueillir jusqu’à 22 personnes. Les tables en bois disposées côte à côte en deux rangées renforcent l’ambiance intimiste et conviviale du lieu. Dans la cuisine ouverte sur la salle, seul le chef Charles Danet s’expose aux regards pour concocter votre repas. Après l’Australie et Bruxelles, il met toute son expérience au service d’une cuisine de bistrot personnelle et innovante. Il excelle dans les méthodes de cuisson, notamment la basse température. Pas de carte, des menus fixes L’établissement propose uniquement des menus fixes, renouvelés toutes les 2 semaines. À midi, vous avez le choix entre le menu à 23 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, et le menu à 28 €, incluant une entrée, un plat et un dessert. Le soir, également 2 formules : à 36 € avec une entrée, un plat et un dessert ou à 45 € avec 2 entrées, un plat et un dessert. Les plats phares, le pigeon désossé cuit à basse température et la poitrine de cochon caramélisée au gingembre, sont plébiscités par les clients. Mais vous pourrez peut-être y déguster un filet de merlu de ligne avec une émulsion à l'ail des ours ou un maquereau mariné, huile d'orange et eau de tomate verte. Tous ces plats sont mariés avec subtilité à des légumes de saison. Vous serez également conquis par les desserts comme les figues rôties servies avec une glace Panettone maison ou le crémeux au chocolat NYANGBO 68% et noisettes du Piémont. Notons également les fantastiques truffes noires du pays de Forcalquier en saison. Une carte des vins composée avec passion Agnès Peyre a mis sa touche personnelle pour composer la carte des vins. Elle offre une sélection de domaines qui mettent en avant le travail de vignerons de petites propriétés, travaillant en agriculture biologique, en biodynamie, ainsi que certains vins « nature ». Vous découvrirez, par exemple, La Roche aux moines de Clément Baraut, des blancs du Jura de Jean-François Ganevat, des bourgognes de Sylvain Pataille et Fanny Sabre, des vins du Basque Imanol Garay ou du Languedocien Romain Portier. Chaque jour, des vins au verre sont suggérés : 3 rouges, 3 blancs et 1 rosé. ...

    TastyCloud : la solution digitale au service de la restauration

    Dans un monde de plus en plus connecté où le numérique occupe une place de choix dans des domaines variés, pourquoi la restauration devrait-elle faire exception ? Prenant conscience de l’atout majeur que pourrait constituer le digital dans la promotion des CHR, Geoffrey Cuberos, le fondateur de Tastycloud profite de l’aubaine pour en faire « la solution » qui révolutionne le domaine de la restauration. L’origine du concept C’est à l’issu de 2 ans d’étude du marché des CHR au sein d’une école supérieure de commerce, que Geoffrey Cuberos entame une brillante carrière en créant la société TastyCloud à Paris. Il part du concept qu’une bonne communication de base ne peut qu’être rentable pour un prestataire de service. Il a su tirer les leçons de ses multiples expériences personnelles à l’étranger et allier ses acquis sur le marketing sensoriel et expérientiel durant l’apprentissage. Cette démarche lui a valu une expertise infaillible en termes de création de stratégies pour l’acquisition et la fidélisation des clients. C’est ainsi que la start-up innovante a déjà bénéficié de la confiance de plusieurs clients restaurateurs et hôteliers pour la gestion de leur menu digital, à l’image des Turbulentes, Courtepaille, Ibis, Le Bal Courchevel ou encore les Dim Sum Cantine et Dim Sum Montmartre. Ses prestations s’adressent aux cafés-hôtels-restaurants en remplaçant la classique carte papier, par des menus sur tablettes tactiles à présenter au client pour qu'il fasse son choix.  Le menu digital : de nombreux avantages au service de la croissance économique des CHR Les menus digitalisés sont clé en main étant donné que TastyCloud prend tout en charge, depuis la fourniture de la tablette l'offre entrée de gamme Archos 10,1″ à l'offre premium Samsung Galaxy 10,1″ full HD, jusqu'à l'application finale. Un photographe professionnel shoote tous les menus, cocktails et boissons de sorte à les mettre visuellement à leur avantage car, selon le fondateur Geoffrey Cuberos : «  on mange d’abord avec les yeux… ». Des traducteurs professionnels spécialisés dans l’univers culinaire traduisent les menus parmi 25 langues pour aider les clients étrangers dans leur compréhension de la carte. Un véritable atout pour les restaurateurs situés en zone touristique. Le menu digital est une manière de rendre le consommateur plus actif dans sa consommation. Mais c’est aussi une bonne façon de le rassurer car toutes les infos qui lui sont utiles seront accessibles depuis le menu tactile, à l’instar des accords mets/vins et des allergènes. Il choisit les intolérances qui le concernent et celles-ci s’afficheront sur les plats concernés. Quant aux photos, elles font découvrir aux clients l’ensemble des menus et les aident à les comprendre en moins de 10 secondes, en plus de donner envie par des apparences alléchantes. Elles vont rassurer le client sur le côté visuel et lui donner une idée de la quantité des plats. Rassurés, les clients consomment davantage. L’augmentation du chiffre d’affaire de 10 à 30 % est assurée. « On considère que nous sommes une source de revenu au quotidien pour le restaurant », se plait à  affirmer notre interlocuteur. Avec les menus classiques, il n'est pas rare de voir un restaurateur dépenser de 3000 à 5000€ par an pour renouveler sa carte papier. TastyCloud lui permet d’investir dans autre chose car toutes les modifications qu'il souhaite apporter se font en un clic, que ce soit pour une simple correction ou des rajouts de produits. Pareillement, si des produits ne sont plus en stock, la carte peut être mise à jour à tout moment. Une synchronisation automatique facilite toutes les modifications qui se font automatiquement sur le site, sur le menu ainsi que toutes les plateformes où il est exposé. La perte de temps n’existe plus. La solution qui se démarque du lot Etant un complément digital au service, le menu digitalisé n'a pas pour vocation de se substituer au serveur réel pour la simple raison que l'accueil des clients et le service sont primordiaux. Toutefois, le service reste personnal...