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Musées, galeries d'art : visites, expositions, lieux culturels à voir

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Culture
Exposition
Musée La Grande Saline, interview, podcast avec Perrine Lefebvre-Girardot

Salut à tous ! Très heureuse de vous retrouver pour un nouvel épisode de notre podcast “On en parle”. Aujourd'hui, nous allons nous intéresser à cet or blanc dont nous saupoudrons chacun de nos plats, ou presque, qui nous servait à conserver la nourriture et sans lequel Salins-les-Bains n'aurait pas connu ce développement social et économique incroyable. J'ai nommé le sel. Eh o...

dans-domaine-du-patrimoine-industriel-est-essentiel-de-conserver-souvenir-des-productions-majeures-de-industrie-de-franche-comte-tout-reutilisant-elements-remarquables-a-des-fins-culturelles-et-touristiques
Culture
Patrimoine-histoire
Fondation du patrimoine : sauvegarde et appel urgent aux dons pour la Grande Saline

« Entretenir le souvenir des principales productions et reconvertir les éléments notoires du patrimoine régional à des fins culturelles et touristiques : voilà l’une des ambitions de la Mission Patrimoine » confiée à Stéphane Bern par la Fondation du patrimoine en partenariat avec le Ministère de la Culture et la Française des Jeux. L’homme de télé, l’animateur radio, le journa...

salins-1628-peint-par-nicolas-richard-vers-1630-1651-commandee-1630-et-achevee-1651-par-peintre-salinois-cette-huile-sur-toile-de-3-50-m-par-1-50-m-offre-une-representation-minutieuse-de-salins-bains-a-cette-epoque
Culture
Exposition
Visite guidée à La Grande Saline de Salins-les-Bains

Bastion du tourisme jurassien avec chaque année 80 000 entrées, la Grande Saline est le pilier incontournable de la région à visiter. Pour les touristes avisés, Salins-les-Bains réserve même un voyage insolite à travers des monuments millénaires, invitant à une immersion captivante d’un passé prestigieux à la rencontre de l’or blanc, le sel de la Grande Saline, fleuron jadis d...

grande-saline-de-salins-bains-avec-son-systeme-de-pompage-du-19e-siecle-encore-fonctionnement
Culture
Exposition
La Grande Saline, un voyage au centre de la terre

Au cœur du vignoble du Jura, à 10 kms d'Arbois, pays de Louis Pasteur, se cache à 246 mètres de profondeur un trésor qui faisait naguère l’attractivité, la prospérité et la richesse d’une région. Ce trésor, c’est le sel de la Grande Saline. Témoin au fil des siècles d'une industrie insolite dans une contrée pourtant si éloignée de la mer, le sel de Salins-les-Bains a été l'ingr...

figure-incontournable-de-art-brut-aloise-corbaz-gouvernante-a-potsdam-pres-de-berlin-a-cour-de-guillaume-ii-tomba-amoureuse-de-empereur-et-revait-de-devenir-cantatrice
Culture
Exposition
Musée de La Fabuloserie : quand l’Art Brut est Poésie

Le Musée de la Fabuloserie, situé à Dicy en Bourgogne, non loin de Joigny est un lieu unique en son genre. Temple dédié au rêve, à l’imagination et à la créativité non conventionnelle, ce musée a été fondé par Alain Bourbonnais, architecte de métier, collectionneur averti et artiste qui découvre dès les années 70, l’Art brut cher à André Breton et Jean Dubuffet, alors également...

Musée, théâtre, cinéma, expo, galerie, art : événements à découvrir...

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SALINS-LES-BAINS
LA GRANDE SALINE
La Grande Saline, un voyage au centre de la terre
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SALINS-LES-BAINS
LA GRANDE SALINE
Musée La Grande Saline, interview, podcast avec Perrine Lefebvre-Girardot
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SALINS-LES-BAINS
LA GRANDE SALINE
Visite guidée à La Grande Saline de Salins-les-Bains
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SALINS-LES-BAINS
LA GRANDE SALINE
Fondation du patrimoine : sauvegarde et appel urgent aux dons pour la Grande Saline
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Dicy
Musée de La Fabuloserie
Musée de La Fabuloserie : quand l’Art Brut est Poésie
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Dicy
Musée de La Fabuloserie
Art brut à La Fabuloserie : le Manège aux rêves de "Petit Pierre"
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Musée de La Fabuloserie
Art brut : le monde fabuleux d’Alain Bourbonnais
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Aloïse Corbaz : une vie brisée, une œuvre resplendissante
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Lille
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Exposition Jef Aérosol Stories du 19 octobre au 21 janvier 2024 au Musée Hospice de Lille
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Office de tourisme Cap d'Agde Méditerranée
Le musée de l’Ephèbe et d’Archéologie sous-marine, carrefour des civilisations.
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Podcast | Cap d’Agde, une magnifique ville riche en histoire
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2013 – 2023 : les 10 ans du MUPOP célébrés en grande pompe !
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Musée des Plans-Reliefs : comprendre l’histoire à travers des maquettes de villes frontières
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Musée Escoffier de l'Art Culinaire : dans la maison natale de l’empereur des cuisines
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Villa Arnaga : incursion dans l’intimité de la famille Rostand
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Bordeaux
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Musée national des douanes : 35 ans au service de l’Histoire et de la valorisation de l’administration des douanes
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Musée de La Fabuloserie
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Maison Bergès : quand l’art côtoie l’histoire industrielle
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Rennes
Fonds régional d’art contemporain Bretagne
Frac Bretagne :
un haut lieu de l’art contemporain

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Fondation Clément : haut lieu culturel de la Martinique

Les origines d’une vision L’idée de la Fondation Clément trouve ses germes dans les années 80 suite au rachat par le groupe martiniquais GBH de l'entreprise les Héritiers H. Clément. Le groupe s’est investi dès le départ dans la restauration de la maison ancienne qui était sur le domaine, jetant là les bases d’une longue série de projets. Toute l’activité culturelle du site va débuter par la préservation du patrimoine bâti et l'ouverture au public. Des projets annexes sont développés, telles des restaurations de jardins. En 2005, GBH décide de développer des programmes culturels en créant in fine la Fondation Clément. Elle a pour but de valoriser l'art contemporain martiniquais, préserver le patrimoine bâti et conserver des fonds documentaires. Conserver pour diffuser auprès du public Trois axes de travail se dégagent rapidement pour mener à bien cette action. Premièrement, le patrimoine bâti avec la gestion et la préservation de trois sites de la Martinique : l’Habitation Clément, l’Habitation la Sucrerie et l’Habitation Pécoul. L'Habitation Clément est classée au titre des Monuments historiques de France depuis 1996. Elle est ouverte tous les jours de l'année de 9 h à 18 h 30. L'Habitation Pécoul et l'Habitation Sucrerie sont des lieux ouverts au public de façon ponctuelle pour les journées européennes du patrimoine en septembre chaque année. La deuxième action concerne le patrimoine documentaire. « Nous collectons et nous conservons des archives anciennes sur l’histoire de la Martinique et de la Caraïbe, plus généralement. Ce sont des archives privées que nous mettons à la disposition du public et des chercheurs. Les archives comprennent des textes anciens bien entendu, mais aussi toute une série de documents iconographiques comme des photographies, des cartes géographiques anciennes et même des cartes postales », nous explique Florent Plasse, en charge du patrimoine à la Fondation Clément. Cette bibliothèque est nourrie des acquisitions faites auprès de particuliers soucieux de garder l’esprit originel de leur collection, à l’intérêt pour le territoire hors du commun, mais aussi d’éviter le démantèlement hors de l’île de celles-ci. La bibliothèque compte aujourd’hui près de 10 000 ouvrages, 500 œuvres d’art et pas moins de 200 mètres linéaires. Le troisième volet, sûrement le plus visible, est l’action en direction de l’art contemporain. Une histoire qui se construit au fil du temps La Fondation Clément produit des expositions d’artistes en lien avec la Caraïbe depuis plus d’une dizaine d’années. Cette production trouve un écho particulier aujourd'hui grâce à l’accueil de ce programme d’exposition sur la commune du François, terre originelle des Rhums Clément, dans un bâtiment inauguré en janvier 2016 et signé de la main de l’architecte Bernard Reichen. « C’est une chance de pouvoir travailler sur un contexte aussi riche. On aurait pu fabriquer un musée complément autonome, sans lien avec l’histoire. Mais le défi a été de trouver la réponse juste par rapport à une situation déjà longue et à la place d’un site, installer des éléments contemporains dans une histoire qui s’est construite au fil du temps. », raconte l’architecte. Les conditions d’exposition répondant aux différentes normes internationales permettent d’accueillir chaque année un projet d’exposition en lien avec une grande institution nationale. Dernièrement, c’est le Centre Pompidou qui a vu son exposition « Le Geste et la matière », réalisée en partenariat avec la Fondation Clément et consacrée à la peinture parisienne allant des années 1945 à 1965, accueillie au sein des murs de la Fondation. À ce moment-là, nous ne sommes pas dans de l’art concernant la Caraïbe, mais dans l’idée de pouvoir permettre à un public martiniquais d’accéder aux mêmes expositions que celle de la métropole. On participe à la décentralisation de la culture, au désenc...

L’Opéra au Village :
un festival d’opéras à Pourrière

Les choix affirmés d’une association Depuis 2005, les associations regroupées au sein de « l’Opéra au village » placent Pourrières au cœur de leurs projets. Théâtre de plusieurs manifestations culturelles, le village accueille tout aussi bien la promotion des jeunes artistes professionnels que la convivialité d’une harmonieuse trilogie entre spectateurs, artistes et habitants du village. Des valeurs qui priment au sein de l’association et qui sont tributaires de la qualité de l’ensemble de la production parmi lesquels figurent tous travaux de création et de production d’opéra courts et de concerts de qualité. Le Couvent des Minimes de Pourrières Classé monument historique depuis 1972, le Couvent des Minimes de Pourrières offre le double avantage d’une chapelle et d’un cloître qui accueillent régulièrement les différents concerts dans un bel écrin constitué de superbes décors architecturaux et d’une association réussie de notes sonores. Le lieu abrite régulièrement des manifestations musicales et artistiques où Jean de Gaspary offre le cadre somptueux d’un monument patiemment restauré pendant 40 ans par ses soins, avec à la fois,  une hospitalité exemplaire et un grand sens artistique contribuant en majorité à la réussite des productions. Les secrets d’une réussite Une belle dose de talents, un lieu merveilleux, une programmation originale, des bénévoles dévoués et créatifs, des spectateurs fidèles et exigeants, la confiance et le soutien des collectivités territoriales contribuent à faire du lieu, une aventure musicale authentique et à la fois humaine pour laquelle le leitmotiv reste dans le ton de la qualité et de la convivialité. Des bénévoles solidaires En fonction du programme établi pour l’année, les bénévoles de Pourrières, réunis au sein de l’association « l’Opéra au Village », démontrent leur engagement à travers une forte implication pour chaque étape à franchir dans les différents préparatifs de la représentation. Dans un bel élan de solidarité et une ferveur exemplaire, répétition des textes, confection des costumes et réalisation des décors battent leur plein dans les différents ateliers, incluant dans son intégralité, la prise en charge du côté logistique, jusqu’au grand repas collectif à partager avant les représentations. Comme tous les ans, chaque spectacle est couronné de succès comme les opéras comiques « Les trois baisers du Diable » de Jacques Offenbach et « Faust en ménage » de Claude Terrasse qui, chacun à leur manière, mettent en  exergue le fort pouvoir de séduction étrangement exercé par la gente féminine dans la société. La barrique à livres de Pourrières La barrique à livres figure parmi les curiosités de Pourrières qui attirent beaucoup de visiteurs. Confortablement installée au parking des Trente-Gouttes, la « barrique à livres » a été conçue dans l’esprit d’une bibliothèque ouverte à tous, à l’initiative de l’équipe de designers de l’association. Jouissant d’une grande liberté d’accès, l’interface permet à la fois la consultation, le partage et l’échange de livres. ...

Flâner Bouger : retrouvez
tous les évènements autour de chez vous

Manque d’idées de sortie pour le weekend ? Pas de panique ! Avec Flâner Bouger, les internautes sont certains de trouver leur bonheur à travers un large éventail d’évènements au niveau aussi bien local que national. Une petite structure qui mise sur le local Créé en 2014, le site est né d’une envie de partager des informations concernant les marchés où Laurent Brunet, le fondateur, se rendait lors de ses vacances. Flâner Bouger donne certes les grands rendez-vous nationaux. Mais il se démarque aujourd’hui par sa volonté de promouvoir et de faire connaitre la spécificité des terroirs et coutumes des territoires de France. Un avenir prometteur Afin d’apporter davantage de satisfaction aux annonceurs et aux visiteurs, Laurent Brunet envisage de s’entourer d’une équipe tout en apportant de nouvelles fonctionnalités à son site. ...

Abbaye de Valloires, venez voyager dans le temps en découvrant une abbaye cistercienne !

Fondée en 1158 à Argoules, à quelques kilomètres de la Baie de Somme, l’Abbaye de Valloires a conservé son état du XVIIIème siècle. Elle a été détruite et reconstruite dans un style en parfaite contradiction avec l’autorité cistercienne. L’architecture de l’abbatiale est sobre et s’oppose à la décoration intérieure baroque, œuvre de l’autrichien Simon Pfaffenhoffen et du ferronnier Jean Baptiste Veyren. En 1922, Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, y installa un préventorium, après avoir racheté l’Abbaye, pour lutter contre la tuberculose et créa l’Association de Valloires, reconnue d’utilité publique en 1925. En 1976, malgré la fin du préventorium, l’association (toujours propriétaire et gestionnaire des lieux) a poursuivi l’œuvre de Thérèse Papillon en y créant une Maison d’Enfants à Caractère Social, un Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique, un SAMAD, un SSIAD ainsi que le service des Activités Culturelles et Hôtelières. De surprenantes visites guidées De mi-mars à mi novembre sont organisées des visites guidées. L’occasion de venir visiter la magnifique église accueillant un imposant orgue sculpté de 16 mètres de haut et des anges en papier mâché suspendus. A ne surtout pas rater également, la sacristie et son parquet Versailles, ses tableaux peints par Joseph-François Parrocel. Le grand salon, la salle capitulaire, le cloitre réservent également de belles surprises visuelles. En outre, la grande boutique propose des produits régionaux, monastiques et religieux ainsi qu’un grand choix de livres et d’objets souvenirs. Un hébergement confortable et lumineux Pour les visiteurs désirant prolonger leur séjour, l’abbaye dispose de 20 chambres de différentes catégories bénéficiant chacune d’une décoration personnalisée. La plupart d’entre elles ont une vue sur les Jardins de Valloires, classés Jardin Remarquable. A la fois simples, confortables et lumineuses, elles invitent au repos dans un environnement historique. Une belle et unique expérience à vivre en couple, en famille ou entre amis. ...

Guitar Fest 2023, une édition sous le signe du succès !

Dans le centre médiéval de Montluçon, dans les anciens hôtels Chanisay et Méchain, le MUPOP attire chaque année des milliers de visiteurs passionnés de musique. Pour sa collection d’instruments de musique bien sûr, l’une des plus grandes de France, mais aussi pour un évènement en passe de devenir incontournable : le Guitar Fest ! Le Guitar Fest, l’évènement phare de la musique populaire ! Le Guitar Fest serait-il en passe désormais de devenir incontournable dans le paysage musical ? En tout cas, c’est probablement l’évènement qui rassemble le plus d’amateurs de musique et d’artistes de renom venus célébrer la guitare et son rôle central dans la musique populaire lors de sa dernière édition en octobre 2022. Pour sa deuxième édition, en octobre, avec du rock au jazz en passant par le blues et le folk, le festival promet une expérience musicale immersive pour tous les amateurs de guitare. Les concerts, les master classes, les expositions et les rencontres avec les artistes font du festival un rendez-vous privilégié pour les mélomanes, les guitaristes et les passionnés de musique. Axel Bauer, artiste français emblématique sera à l’honneur pour cette deuxième édition. Il est en effet le parrain du Guitar Fest. Figure marquante de la musique populaire française, Axel Bauer se fait connaître en 1983 avec « Cargo de nuit ». En 1992, il revient dans les charts avec « Éteins la lumière », puis en 2001 en duo avec Zazie, il signe « A Ma Place » Axel Bauer partagera son expérience et sa passion avec les participants lors du festival. Une occasion unique pour les amateurs puisque le guitariste cumule déjà aujourd’hui plus de 3 millions de disques vendus, huit albums produits et plus de sept cent concerts. Sa présence illustre l'engagement du Guitar Fest à mettre en avant les artistes talentueux et à favoriser l'échange et le partage autour de la musique et de la guitare. Le Guitar Fest, cette année, promet une programmation captivante qui comblera les attentes des amateurs de musique et des passionnés de guitare. Des artistes de renom et des talents émergents se produiront sur scène, offrant une diversité musicale qui saura séduire un large public. En 2022 déjà, le Guitar Fest avait été un énorme succès. La première édition avait en effet réuni Yarol Poupaud, ancien guitariste de Johnny Halllyday, mais aussi Philippe Almosnino « guitariste de Louise attaque » et bien d’autres encore. Le tout à l’occasion de l’exposition « Les Paul - Le Son du rock a 70 ans » où les célèbres guitares Les Paul avaient été mises à l’honneur. Réservez vos dates pour le Guitar Fest Le Guitar Fest offre bien plus que des concerts exceptionnels. Le festival propose également des activités spéciales et des expositions dédiées à la guitare, permettant aux participants de plonger dans l'univers fascinant de cet instrument emblématique. Des ateliers de guitare seront animés par des professionnels chevronnés, offrant aux amateurs la possibilité d'améliorer leurs compétences et d'apprendre de nouvelles techniques. Des conférences et des tables rondes seront également organisées, abordant des sujets variés tels que l'histoire de la guitare, l'évolution des styles musicaux et l'innovation technologique dans la fabrication d'instruments. Parallèlement, des expositions mettront en valeur des guitares emblématiques appartenant à des artistes légendaires, ainsi que des photographies et des objets rares liés à l'histoire de la musique populaire. Avec sa collection de plus de 3000 instruments de musique, le MUPOP est le premier musée de France dans le genre. L'ambiance électrisante du Guitar Fest est l'une des attentes les plus fortes pour les festivaliers. La passion partagée pour la musique et la guitare crée une atmosphère unique, où les émotions se mêlent aux sons envoûtants. L'énergie des concerts, les applaudissements enthousiastes et la communion entre les artistes et le public font de cet événement un moment inoubliable. Parmi les moments forts attendus, Axel B...

Abbaye de Pontigny : symbole de l’esprit d’innovation cistercien

Considérée comme la plus grande église cistercienne d'Europe, cet exceptionnel patrimoine des XIIe et XIIIe siècles, témoigne de la transition entre art roman et art gothique (première utilisation de la voûte d'ogive en Bourgogne). Un prestigieux patrimoine Après la Révolution, seuls l'église et le dortoir des Convers ont été préservés. L'ensemble du domaine, acquis en 1910 par Paul Desjardins -professeur à l'Ecole Normale Supérieure- a accueilli jusqu'en 1939 un grand nombre d'intellectuels internationaux, dans le cadre des "Décades de Pontigny". A découvrir, entre autres témoins de l'innovation cistercienne, le prestigieux vignoble de Chablis, dont la réputation doit beaucoup aux moines et convers de Pontigny. ...

Un haut lieu de la culture hip-hop

Cette scène de musiques actuelles, reconnue de « mission Service public », est à la fois une salle de concert d’une capacité de 380 places et également une plate-forme de soutien aux artistes locaux. En 22 ans, il en a vu naître des talents, comme Soprano, Abd Al Malik ou Kery James, des grands noms du rap français qui jouissent d’un succès aujourd’hui planétaire.Démocratiser la philosophie de la culture hip-hopLa programmation de concerts, showcase et spectacles variés pour promouvoir les groupes et jeunes artistes émergents est la principale activité de l’Affranchi. « Ici, ils peuvent faire leur première scène, et nous allons les accompagner dans le développement de leur carrière », explique Miloud Arab, directeur de la salle de concert. Si le rap et le hip-hop sont en tête de liste, la salle s’intéresse également à la musique électro, au rock et au reggae. Dans son approche, l’Affranchi met à disposition Les Résidences, un espace artistique qui concentre des ateliers de répétition, studio d’enregistrement et résidence scénique. « Ainsi est né le projet Rookie Session, qui réunit une dizaine d’artistes autour d’un projet d’album commun.» Il accueille également l’école de DJ Akademix Marseille qui propose un stage d’initiation et de perfectionnement en DJing.Pour 2018, l’Affranchi annonce un calendrier très dynamique, où concerts, showcase, festivals de musique, contest, danse urbaine et projet multiculturel seront au rendez-vous. La nouvelle finale de Buzz Booster est l’un des événements les plus attendus. Ce concours national de la discipline hip-hop a pour vocation de dénicher les futures relèves de la musique rap en France....

Festival D'Artagnan Chez D'Artagnan à Lupiac, dans le Gers

Bienvenue chez d'Artagnan! Le festival D'Artagnan chez d'Artagnan se tient chaque année, depuis 2012, le second dimanche d'août. Il prend la forme d’une évocation vivante et animée d’une foire de village du 17ème siècle. Le jour du festival, plusieurs centaines de personnes en costumes d’époque – villageois, commerçants, artisans, bohémiennes, lavandières, paysans, musiciens, acteurs, nobles dames et messieurs en tenues d'apparat, chenapans et mousquetaires, à pied ou à cheval – investissent le village et se mêlent aux visiteurs. Le jour du festival, les visiteurs sont invités à se joindre à la troupe, comme acteurs ou comme spectateurs. Le prochain festival portera sur le thème « De Lupiac à Paris » et se tiendra Dimanche 12 août 2018. Mais tout au long de l’année, diverses animations ne manqueront pas de retracer l’histoire du personnage et de remettre son existence en contexte à travers des ateliers, le Musée d’Artagnan à Lupiac, le territoire d’Artagnan en Fezensac ou la Route européenne d’Artagnan sur laquelle vous pouvez vous lancer. D’Artagnan, figure emblématique de Lupiac et de la Gascogne Charles de Batz de Castelmore, plus connu sous le nom de d'Artagnan, naquit à Lupiac (Gers, France) aux alentours de 1613 et fut tué à Maastricht (Pays-Bas) en 1673. Il gravit au mérite les échelons jusqu'à la charge de Capitaine-lieutenant des mousquetaires du Roy, l'une des plus belles charges du royaume du « Roi Soleil », Louis XIV, plus puissant monarque d'Europe. Célèbre et respecté de son vivant, d'Artagnan fut immortalisé pour de bon et dans le monde entier grâce à trois romans d'Alexandre Dumas qui mettent en scène un d'Artagnan certes romancé et idéalisé mais très largement inspiré du personnage historique. Ces romans traduits en de très nombreuses langues et les nombreux films qui en ont été tirés continuent à être populaires à travers le monde et font de d'Artagnan l'un des héros les plus reconnus internationalement. D'Artagnan est universellement associé à des valeurs positives - compétence, habileté, fidélité à toute épreuve, bravoure ainsi que union et solidarité: « Tous pour un, un pour tous ». Lupiac, berceau de l'histoire de d'Artagnan Située dans le département du Gers, dans l'ancienne province de Gascogne, la commune de Lupiac regroupe environ 300 habitants sur 34,5 km² de paysages ruraux, verts et vallonnés. D’Artagnan y est né, autour de 1613, au Château de Castelmore. Le village de Lupiac est l'un des plus vieux castelnaux du Sud-Ouest. On y retrouve sa place centrale avec maisons à colombages et galeries couvertes. Un chemin de ronde marque l'emplacement des anciennes fortifications. Sur la place centrale se dresse l'unique et monumentale statue équestre en bronze du célèbre mousquetaire, inaugurée le 9 août 2015. Cette œuvre est le point de départ ou d'arrivée de la Route Européenne d'Artagnan  qui relie Lupiac à Maastricht (Pays-Bas) où d'Artagnan fut tué. À proximité se trouve le Musée d’Artagnan. Venez y découvrir la vie du vrai d’Artagnan. Festival D'Artagnan chez d'Artagnan 2018 – le 12 août Le thème retenu pour 2018 est « De Lupiac à Paris ». Il se focalisera sur le personnage historique de d’Artagnan, le natif de Lupiac, et sur les valeurs positives qui lui sont associées : compétence, habileté, fidélité à toute épreuve, bravoure. Un série d’animations thématiques permettront de rappeler le parcours exceptionnel et méritocratique du vrai d’Artagnan : de petit enfant de Lupiac à Capitaine-lieutenant des mousquetaires du Roi - « l’une des plus belles charges du royaume », et de Lupiac à Maastricht en passant par les nombreux hauts-lieux de la Route Européenne d’Artagnan. Comme chaque second dimanche d’août, Lupiac reprendra l’apparence d’un village gascon du XVIIe siècle pour un véritable retour aux sources. Environ 500 participants en costume d'époque feront revivre le village et se mêle...

Dans l’intimité de l’impressionnisme au Château d’Auvers-sur-Oise

Le Château d’Auvers remet l’impressionnisme sur un piédestal, mais quel piédestal ! Une scénographie puisant intelligemment dans les ressources de la technologie, une augmentation manifeste de la réalité des œuvres, tout participe à faire de ce nouveau parcours une expérience autrement plus immersive. Plus de sensations, plus d’émotions. Rendez-vous pour une vraie communion avec Cézanne, Pissarro et consorts. Instant d’immersion dans un vrai cadre de recueillement Le Château d’Auvers était un cadre tout indiqué pour abriter une scénographie de la trempe de « Vision impressionniste ». Ayant vu le jour au temps de Marie de Médicis, l’endroit a gardé une forte empreinte de ses inspirations italiennes, même s’il a ultérieurement fait l’objet de remaniements « à la française ». En témoigne le riche contraste, sur un parc de huit hectares, de ses jardins tantôt français, tantôt en terrasses. Inscrit à la liste supplémentaire des monuments historiques depuis 1993, le château n’est pas seulement un patrimoine architectural. Pendant plus de deux décennies, il s’est investi de la mission de transmission de l’héritage artistique impressionniste. Prenant parti des avancées technologiques, le parcours de relais autorise une véritable plongée dans les exemplaires de lithographies et de peintures exposées. L’héritage transmis par le courant aux visions qui lui ont succédé est également mis en exergue dans le choix d’œuvres données à voir. ...

Background Paris : Immersion au cœur de la culture hip hop à Paris….

… A la rencontre de ceux qui font le Mouvement !

Lancé en juillet 2017 par Hugo Faivre, Background Paris est un projet de tourisme alternatif et expérientiel qui vise à interroger de nouveaux modes d’exposition, partager l’ADN artistique de cette culture et permettre l’échange entre un public international et les artistes locaux par le biais de 3 expériences indépendantes (graffiti, musique et danse). D’une durée de trois heures, chaque expérience peut accueillir 10 personnes et a un coût de 40€/pers. L’expérience « One Can » propose un street art tour ponctué par un live painting Les amateurs de graffiti et les curieux peuvent désormais participer à un street art tour, en petit comité et (re)découvrir un quartier de Paris (10ème, 11ème, 13ème, 18ème, 19ème et 20èmearrondissements) à travers son histoire commune avec les arts urbains. Cette balade urbaine se conclut par une rencontre avec un artiste graffiti dans son atelier ou directement dans la rue afin d’assister à la création en direct.  La musique hip hop à travers deux formats : intime et live L’expérience « One Beat » consacrée à la  musique donne l’occasion de découvrir l’univers d’un studio d’enregistrement pour une heure de masterclass aux côtés d’un musicien et ainsi de connaitre les dessous de la création musicale.  Pour clore cette visite en beauté, les heureux spectateurs sont invités à un événement musical hip hop dans la capitale.  Assistez à une session d’entrainement au contact des danseurs, et plongez en immersion dans l’univers d’un battle de danses hip hop Au niveau des danses hip hop, l’expérience « One Move » propose de partir à la rencontre d’un crew (collectif) de danseurs pour assister à leur session d’entrainement avant d’offrir une plongée en immersion dans l’ambiance d’un battle (compétition) où dépassement de soi et partage flottent dans l’air. Ainsi, ils dévoileront le « work in progress » de leur pratique artistique au sein de leur contexte créatif. ...

Début juin 2018, ne ratez pas la Fête de la Morue à Bègles.

Le temps d’un week-end, découvrez en famille ou entre amis la Fête de la Morue à Bègles. Une 23ème édition qui s’annonce sous les meilleurs auspices. Fête de la Morue : historique C’est en 1996 que la 1ere édition de la Fête de la Morue a vu le jour grâce à Noël Mamère. Ce rendez-vous des amateurs de gastronomie a ensuite évolué au fil des années pour devenir un événement festif incontournable de la région Aquitaine. En effet, cette ville qui s’est fait connaitre comme le principal centre morutier de France dès le 19e siècle a voulu créer cet événement afin de permettre aux locaux et aux visiteurs de déguster différentes recettes de morue dans des stands et restaurants béglais. Puis, alors que la fête se développe de plus en plus, année après année (jusqu’à atteindre 60 000 visiteurs dans les années 2000), elle s’est diversifiée en proposant de nombreuses animations ainsi que des spectacles pour les petits et les grands. Ainsi, elle est passée d’un rendez-vous essentiellement gastronomique à une grande fête conviviale associant manifestations culturelles et plaisir de savourer de la bonne morue fraiche.  Fête de la Morue : ce que vous y trouvez La Fête de la Morue offre, cette année encore, une programmation riche et variée. Peu importe vos envies, vous trouvez des ateliers, des expositions, des spectacles, des conférences et des concours au sein du Village de la Morue, en plein cœur de Bègles (de la place du 14 juillet au Stade A. Moga). Demandez dès à présent la programmation complète afin d’être sûr de ne rien rater. Sans oublier la volonté de vous permettre de revenir à La Belle Époque le temps de quelques jours. Mettez de côté les smartphones et les vêtements modernes et place aux longues robes et grands chapeaux. Chacun peut ainsi se déguiser et profiter de l’ambiance typique des années 1900 qui règne sur ce festival. Déconnexion garantie ! À noter : depuis sa création, la Fête de la Morue fait le nécessaire pour être une fête responsable. En d’autres termes, cela signifie qu’elle réalise des actions concrètes pour prendre soin de l’environnement. Cela passe par du recyclage, un tri des déchets et un partenariat avec l’association AREMACS afin de mettre en place des solutions éco-responsables tout en sensibilisant le public. De plus, les habitants de Bègles ont joué le jeu en ouvrant leur maison aux artistes. Un geste citoyen et généreux que nous nous devions de relayer. La Fête de la Morue en quelques chiffres Depuis sa création, la Fête de la Morue est devenue de plus en plus populaire, en attirant un public d’habitués auquel s’ajoutent toujours plus de curieux. Ainsi, durant les manifestations précédentes, plus de 60 000 personnes sont venues y déguster de la morue tout en s’émerveillant devant les spectacles proposés. À ce titre, sachez que 250 artistes seront présents. Une vingtaine de restaurateurs Beglais vous ouvrent les portes de leurs établissements et, sur le Village de la Morue, retrouvez les associations Bèglaises (40). Sans oublier que cette Fête est entièrement gratuite. Ce qui vous incite à venir vous rendre compte par vous-même de l’ambiance si particulière de cette manifestation gastronomique et culturelle. ...

Alfons Mucha s’affiche à la Maison Bergès-Musée de la Houille Blanche en Isère

A Lancey, petite commune située à 15 km de Grenoble au pied du massif de Belledonne, la Maison Bergès-Musée de la Houille blanche vous accueille depuis 2011 pour vous faire découvrir la personnalité d’Aristide Bergès dont l’action va être décisive dans le développement industriel de la région au début du XXe siècle. Aristide Bergès, un industriel hors du commun … Cet entrepreneur a été un élément moteur du développement industriel dans la région. Au départ, pour faire fonctionner sa papeterie, il met en place des conduites forcées pour capter l’eau dans la montagne. Par la suite il produit de l’électricité et permet à toute la vallée du Grésivaudan de bénéficier de l’éclairage né de cette nouvelle énergie qu’il nomme lui-même la « houille blanche ». … mais aussi un collectionneur d’art Cette maison-musée est également très marquée par l’art. Papiers peints Art nouveau, programme ornemental empreint d’éclectisme, hall d’honneur garni de marbre et de mosaïques, tableaux et dessins de Maurice Bergès, fils cadet d’Aristide, ingénieur et artiste à ses heures perdues, peuvent y être observés. L’exposition temporaire « Alfons Mucha et les Bergès, une amitié » Sous le prisme de l’amitié, l’exposition temporaire sur Alfons Mucha complète toutes les œuvres déjà présentes de l’artiste dans cette maison, comme l’affiche « L’Automatique » créée à partir de « La Rêverie » pour la promotion du papier photographique fabriqué aux papeteries Bergès, des portraits d’Aristide Bergès, des dessus de portes, une série de verres peints, la chambre qu’il occupa pendant ses séjours, des peintures sur toile, des pastels, etc. Sur les 100 m² de l’exposition, vous pourrez découvrir en plus la correspondance entre ce célèbre affichiste tchèque et la famille Bergès, des cartes avec dédicaces, des évocations des œuvres disparues, une vingtaine d’affiches de la Bibliothèque Forney à Paris ainsi que des calendriers publicitaires. ...

Street Art City, haut lieu de la création visuelle urbaine

En Auvergne-Rhône-Alpes, dans le département de l’Allier, à Lurcy-Lévis se trouve Street Art City, un site unique et pérenne entièrement dédié à cette expression artistique strictement visuelle. Un haut lieu de création, pensé le 22 janvier 2015 et livré aux artistes du monde entier, s’étendant sur 10 hectares et disposant de 13 bâtiments dont 7 000 m2 construits et 22 500 m2 de murs et façades en perpétuelle évolution, garantissant l'éternelle résurrection d'un patrimoine unique à offrir aux générations futures. Peu à peu, une monumentesque œuvre collective métamorphose ce site orphelin assurant son éternelle résurrection en apportant au public, depuis 2017,  un nouveau regard sur cet art jusqu'ici urbain. Un ADN conforme à celui de la Villa Medicis La philosophie de Street Art City est de libérer l’esprit créatif en repoussant les limites matérielles. Ici, l’art est  un puissant vecteur d’enrichissement intellectuel et de lien humain. Véritable «résidence tremplin» Street Art City accueille les Artistes en leur offrant des conditions propices à l'expression de leur talent. L’Artiste bénéficie d’un accompagnement personnalisé lui permettant de se dépasser tout en préservant son identité et son unicité, ce qui apportera également une valorisation de ses créations et une reconnaissance sur le marché de l'Art et la vente de ses œuvres. La ligne artistique de Street Art City impose comme critères indispensables l’équilibre la diversité des œuvres, la qualité graphique et l’esthétisme des compositions. Street Art City se veut aussi un laboratoire expérientiel et une base de pérennisation proposant une immersion totale mais aussi un carrefour de rencontres et un lieu de ressources et de transmission. Hôtel 128, endroit désaffecté ou sévit la créativité L’Hôtel 128 est un bâtiment de 4 étages, abritant 128 chambres, comme son nom l’indique. Et un endroit où l'on ne dort pas mais où l'on rêve le street art, les yeux grand ouverts. Aujourd'hui désaffecté, il est entièrement livré aux Artistes du monde entier selon un cahier des charges bien précis. Ainsi, chaque année de mars à août, les Artistes interviennent en investissant une chambre afin d’y créer leur univers du sol au plafond en passant par les murs, et en intégrant leurs  toiles. Dès le 1er septembre le nombre de chambres réalisées au cours du printemps-été précédent est ouvert aux visiteurs. Expérience unique, l’Hôtel 128 donne l’occasion d'être immergé au cœur de l’œuvre. Et d’enrichir le visiteur du message, de l'histoire, du mystère et de l'étonnement provoqués par chaque ambiance. ...

Le nouveau musée de la Carte postale explore la Bretagne d’hier et d’aujourd’hui

Un voyage dans l’Histoire de la Bretagne : voilà ce que vous propose le musée de la Carte postale, récemment installé au sein du Quatro, nouveau centre culturel de la ville de Baud, dans le Morbihan. Une visite qui vaut le détour, ne serait-ce que pour découvrir une collection de plusieurs milliers de cartes postales qui replonge le visiteur dans l’ambiance de la région à la fin du XIXe et tout au long du XXe siècle.  Musée de la Carte postale de Baud​ : entre passé et présent Sur 240 m2 d’exposition, le curieux pourra y admirer les images figées des paysages, des villes et villages mais aussi se pencher sur les correspondances échangées par nos aïeux avec ces petites écritures serrées… La nouvelle scénographie du « Carton voyageur », contemporaine et interactive, mêle à la fois photographies anciennes et diaporamas, films d’époque et dessins, objets et musique, tout en explorant les multiples facettes du quotidien des Bretons au siècle dernier.  Le parcours permanent, baptisé « Bretagne recto-verso », propose un va-et-vient entre passé et présent et souligne une culture bretonne créative et vivante. Il se prolonge par une exposition temporaire consacrée en 2016 aux carnets de croquis de l’artiste peintre Charles Homualk.  Que l’on soit seul ou en famille, plusieurs parcours de visite sont proposés pour suivre un thème particulier ou picorer selon ses envies. À ne surtout pas manquer : la 3D des années 1900 et le studio photo. ...

Musée des Ursulines : un lieu emblématique pour conjuguer l’Art au présent

Nouvellement imaginé comme un parcours en trois espaces dédiés à différentes collections labellisées "Musée de France", le Musée des Ursulines donne à parcourir l’Art, de l’Antiquité à nos jours. Ouvert au public depuis 1968, le lieu se réinvente tout en préservant l’intégrité de ses pierres. Expositions permanentes ou temporaires, ateliers mais aussi restauration d’oeuvres battent en son cœur, en écho à ceux des oeuvres dont il assure l’existence hors du temps. Des collections exceptionnelles dans un environnement inspiré Découvrir l’histoire archéologique de Mâcon ou la vision qu’en eurent plusieurs peintres. Parcourir l’œuvre d’Alphonse de Lamartine, l’amitié entre Henry Havard et Claude Monet. Le Musée des Ursulines éclaire tour à tours les artistes du Bourguignon, rendant à la mémoire ceux qu’elle avait oubliés. Un autre de ses espaces révèle des œuvres occidentales du XVIème au XXème siècle, dont la collection Art déco d’Henry Havard, spécialiste de l’art hollandais.  Néoclassicisme, orientalisme, cubisme. Les courants et les univers se succèdent, contés avec passion par l’équipe et la conservatrice Michèle Moyne-Charlet. Tous sont reliés par une muse commune : le voyage. Visites guidées, interdisciplinarité, conférences, ateliers de création dirigés vers tous les publics dont les scolaires : voilà un musée tout aussi inspiré que les artistes qu’il expose. A contempler, mais aussi à vivre, quel que soit l’âge des visiteurs. ...

Le Théâtre du Chêne Noir : une maison d’artistes

L’auteur et metteur en scène Gérard Gelas a fondé le Théâtre du Chêne Noir en 1967 à Avignon, un lieu d’accueil de spectacles, mais aussi une compagnie de création qu’il dirige depuis. Sa première pièce, La Paillasse aux seins nus, dont le tout jeune Daniel Auteuil – alors totalement inconnu –devait tenir le premier rôle, est censurée en 1968. Mais la jeune troupe reçoit le soutien de Maurice Béjart, du Living Theatre et de bien d’autres encore, tels qu’Ariane Mnouchkine qui lui prête le Théâtre du Soleil en 1971. C’est aussi l’année où le Théâtre du Chêne Noir s’installe dans la chapelle désacralisée du XIIIe siècle qui l’abrite aujourd’hui encore. Un superbe écrin qui accueille des dizaines de milliers de spectateurs chaque saison. Théâtre du Chêne Noir : la programmation Y sont programmés des grands noms du théâtre (Charles Berling, Denis Lavant, Jean-Louis Trintignant, Zabou Breitman, Richard Bohringer, Emma de Caunes, Philippe Avron, Laurent Terzieff, Thierry Lhermitte, Isabelle Carré, Judith Magre, Philippe Caubère, Jérôme Savary, Didier Bezace…) mais aussi de jeunes artistes, notamment dans le cadre du Fest’Hiver, un festival de théâtre (au cœur de l’hiver, comme son nom l’indique !), qu’il a créé avec les directeurs des autres Scènes permanentes d’Avignon. Gérard Gelas y crée également nombre de ses spectacles, et adapte des auteurs tels que Mishima, Eschyle, Arrabal, Perrault, Quint, Musset, Beaumarchais, Artaud… Dernièrement, il crée Histoire vécue d’Artaud-Mômo, d’après la Conférence du Vieux-Colombier d’Antonin Artaud, Confidences à Allah de Saphia Azzeddine (Molière de la Révélation féminine pour Alice Belaïdi), Si Siang Ki de Wang Che-Fou à l’invitation de la Shanghai Theatre Academy, dont il devient professeur honoraire, Riviera d’Emmanuel Robert-Espalieu avec Myriam Boyer, Les Derniers Jours de Stefan Zweig de Laurent Seksikavec Patrick Timsit et Elsa Zylberstein, Le Lien d’Amanda Sthers avec Chloé Lambert et Stanislas Merhar, Un cadeau hors du temps de Luciano Nattino avec Claire Borotra et Jacques Frantz… ...

Yoran embanner, l’éditeur breton engagé

Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire, qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire, les nations sans État, comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans... En fait, à tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. »  Éditions Yoran embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions, « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français-roumain, français-lituanien, français-basque, français-gaëlique écossais, français-corse : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 16 nouveaux livres. »  L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région, avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture, ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...

Visite guidée à La Grande Saline de Salins-les-Bains

En apparence, vue de l’extérieur, tout semble banal, mais en ce lieu insolite tout se passe sous terre. Dès les premiers pas franchis à la Grande Saline de Salins-les-Bains, les visiteurs sont conviés à une exploration fascinante de la galerie souterraine médiévale, une immersion dans les méandres du temps. Ici, on la surnomme « la cathédrale ». Une cathédrale par ses dimensions plus grande que Notre-Dame de Paris ! Inscrite aux Monuments Historiques depuis 1971, cette galerie dévoile les secrets de l'exploitation du sel à travers les siècles. Un parcours initiatique en visite guidée montrant ainsi les différentes étapes de la production de sel et offrant au public un aperçu concret du travail des sauniers, une mémoire ouvrière, à travers des artefacts historiques et des outils anciens exposés. Un travail pénible malgré des avancées techniques et industrielles importantes.    La Grande Saline au fil des siècles Aux prémices de son exploitation, au VIIIe siècle, la Grande Saline tirait profit des sources naturelles salées en surface. Recueillies à l'aide d'un système de perche à balancier, les eaux salées révélaient après évaporation une concentration similaire à celle de l'eau de mer, soit environ 40 grammes de sel par litre. À partir du Xe siècle, ces eaux furent canalisées vers deux puits creusés à une profondeur de 13 mètres. Le puits d’Aval, le puits d’Amont et le couloir souterrain qui les reliaient furent sécurisés au XIe siècle par une imposante voûte de pierre, évoquant une cathédrale souterraine, s'étirant sur 165 mètres de long et s'élevant à 10 mètres de hauteur. Grâce à ces nouvelles installations souterraines, la concentration en sel doubla, atteignant environ 80 grammes de sel par litre, et la production annuelle passa de 4 000 à 14 000 tonnes par an ! Au milieu du XVIIIe siècle, des pompes hydrauliques, actionnées par des roues à augets animées uniquement par la force de la rivière salinoise, la Furieuse, furent installées dans ces puits. Ce système fut en partie préservé lorsqu'au XIXe siècle, des forages permirent d'atteindre la couche de sel gemme à une profondeur de 246 mètres. La saumure obtenue était alors chargée à 330 grammes de sel par litre d'eau, dépassant la salinité de la Mer Morte. Passant à l'étape de l'évaporation, la saumure était acheminée en surface dans les bâtiments spécialement dédiés à cette opération. Il s'agissait de la production de sel ignigène, à partir du feu issu d’une utilisation importante de bois provenant de forêts avoisinantes et occupant au travail plus de 4000 sous-traitants dont en grande partie des forestiers. Après plusieurs heures de cuisson dans d'immenses cuves métalliques nommées "poêles", le sel était récolté manuellement par les sauniers dans des conditions extrêmes de chaleur, avec des températures atteignant près de 50°C et un taux d'humidité variant entre 70 et 80%. Le labeur était si intense que les ouvriers pouvaient perdre jusqu'à 20 kilos en deux mois. Une fois récolté, le sel était ensuite entreposé dans les greniers où il était stocké et conditionné en grains dans des tonneaux, ou plus couramment sous forme de pains de sel appelés salignons. Le site de la Grande Saline préserve l’ensemble des installations et outils illustrant chaque étape de la production de sel : sa galerie du Xie siècle, sa grande roue et sa pompe du XIXe siècle, et la dernière poêle à sel de France. Bien plus qu'un simple musée, la Grande Saline incarne aujourd’hui la mémoire d’un savoir-faire unique au cœur du Jura, plongeant les visiteurs au cœur même de l'Histoire. Une richesse faites d’hommes, d’ingéniosités techniques au service de cette industrie pour défier la Nature mais aussi d’Art, de culture et de religion avec par exemple au Ve siècle, le Miracle de l'eau par Saint Anatoile. (Lire notre article). Ici, chaque élément raconte une histoire impressionnante et émo...

Musée de l'Hospice Comtesse : un joyau architectural et patrimonial incontournable à Lille

Situé au cœur historique de la ville, en bordure de l’ancien lit de la Basse Deûle et du port, l’Hospice Comtesse reste l’un des derniers témoignages lillois de l’action des comtes de Flandres. Fondé en 1237 par la comtesse Jeanne de Flandres dans l’enceinte de son propre palais, l’Hôtel de la Salle, l’hôpital est placé sous la protection de la Vierge. Cette fondation lilloise s’inscrit naturellement dans ce large mouvement de création d’asiles hospitaliers qui se multiplient au cours des XIIe et XIIIe siècles, dans les comtés de Flandre et du Hainaut, à l’image des hôpitaux Saint-Jean de Bruges (1180), Notre-Dame de la Bijloke de Gand ou Notre-Dame à la Rose de Lessines (1260). Patrimone emblématique de l'Histoire de la ville Conformément aux vœux de la fondatrice, l’hôpital accueille des malades, des pauvres et des pèlerins. Régulièrement agrandi pour répondre aux besoins d’hébergement croissants des populations en errance, cette institution hospitalière a été richement dotée au fil des siècles. Ce qui lui permet de disposer de ressources suffisantes afin de faire face aux dépenses de fonctionnement et d’assumer pleinement son rôle charitable. En 1796, suite à la Révolution et aux évolutions de la médecine, l’autorité municipale remodèle l’assistance publique : toutes les fondations hospitalières lilloises sont réorganisées. L’Hospice Comtesse devient un hospice pour les vieillards - les «Vieux-Hommes» - et les orphelins dits «les Bleuets», tandis que les malades sont regroupés à l’hôpital Saint-Sauveur. Un lieu d'une grande richesse artistique Après avoir découvert l'ancienne salle des malades, la chapelle et le jardin médicinal, le visiteur entre dans la maison de la communauté des sœurs augustines qui avaient en charge l’accueil et le soin des malades. Plusieurs salles d’ambiance telles que la cuisine, le réfectoire ou la lingerie s’y succèdent et rappellent tout autant la vocation hospitalière que l’intimité d’une maison flamande des siècles passés. Si le réfectoire, avec son mobilier au décor opulent, restitue l’ambiance solennelle de l’ancien hôpital, la cuisine avec ses innombrables carreaux de faïence bleue – près de 4000 ! – fait revivre le quotidien des lieux. À l’étage, vous partez à la rencontre de l’histoire de Lille et de la vie lilloise. Les collections exposées dans l’ancien dortoir des religieuses tissent le portrait de Lille du XVIe siècle à la Révolution française. Sculptures sur bois, peintures et documents graphiques décrivent le paysage urbain lillois sur plusieurs centaines d’années ; les galeries de portraits des comtes de Flandre et des ducs de Bourgogne ou encore les clefs de la ville soulignent le contexte historique et politique de Lille au travers des siècles. Les importantes corporations de métiers, qui rappellent le passé marchand de la cité, sont racontées, par exemple, par des objets traditionnels comme les bannières ou encore par le tableau La Procession de Lille peinte par François Watteau. Les œuvres de cet artiste mais aussi de son père, Louis Watteau, sont de précieux témoignages de la ville et de la vie lilloise sous l’Ancien Régime. À la fin du parcours, les deux superbes globes, céleste et terrestre, du cartographe vénitien Vincenzo Coronelli, évoquent l’engouement pour les voyages et les découvertes scientifiques des XVIIe et XVIIIe siècles. Ancré dans le paysage et l’histoire de Lille, le musée de l’Hospice Comtesse invite, chaque année, les visiteurs à découvrir, le temps d’une exposition, des artistes contemporains ayant un lien avec la ville mais aussi des grandes présentations thématiques dans lesquelles les collections du musée sont mises à l’honneur. Un musée en constante évolution  Le rez-de-chaussée et le premier étage des collections permanentes du musée ont fait l’objet d’une remise en beauté durant l’année 2022, à l’occasion du 60e anniversaire du musée. Un parcours renouvelé, plus valorisant pour les œuvres dont certaines ont ét&eacu...

Écomusée de la Truffe : pour tout découvrir sur ce fabuleux champignon

Tout d’abord installé en plein centre du bourg de Sorges, l’écomusée de la Truffe a déménagé en juillet 2010 dans une ancienne ferme rénovée datant du XIXe siècle, à l’entrée du bourg. Sur environ 300 m², il se situe au 1er étage du bâtiment, au-dessus de l’office de tourisme et à côté du centre de documentation pour les passionnés de truffe. Ici, vous allez pouvoir découvrir tous les secrets de ce champignon. Caractéristiques de la truffe noire du Périgord La truffe est un champignon se développant sous terre, entre 5 et 20 cm de profondeur, au pied d’un arbre tel que chêne ou noisetier. Elle préfère les sols calcaires. On compte jusqu’à 40 espèces de truffe. D’un diamètre entre 2 et 7 cm, la truffe noire du Périgord est en forme de tubercule de couleur brun noirâtre avec une surface bosselée. Elle est récoltée en hiver, de novembre à février. Sa chair est ferme. Elle a une odeur forte, très aromatique. Grâce à son goût subtil, elle est très appréciée pour sublimer de nombreuses préparations culinaires. Environ six à dix tonnes sont produites chaque année dans le Périgord. Visite de l’écomusée de la Truffe Lors de votre visite de l’écomusée de la Truffe de Sorges, vous traverserez plusieurs salles avec vitrines et panneaux explicatifs, vous découvrirez dessins et schémas qui vous éclaireront sur les différentes espèces, vous comprendrez l’association de l’arbre et du champignon, vous apprendrez comment s’effectue le cavage, c’est-à-dire la récolte des truffes. Mais aussi vous pourrez apprécier le matériel du parfait trufficulteur et visionner une vidéo sur son savoir-faire. À la sortie, place à la gastronomie avec des vidéos de recettes de cuisine, puis avec la boutique où vous pourrez trouver une belle palette de produits régionaux. Des tablettes sont disponibles pour accompagner votre visite : des visites adultes, des visites enfants et traduites en plusieurs langues. Ou vous pourrez opter en été pour une visite guidée. L’écomusée est accessible aux handicapés. Le sentier des truffières Si vous souhaitez approfondir votre découverte de la truffe, vous pouvez emprunter le sentier des truffières, long de 3,5 kilomètres, qui vous permettra de vous immerger dans la faune et la flore spécifiques des truffières. Grâce aux différents panneaux explicatifs, vous constaterez la diversité des lieux de production de ce champignon (le plan est disponible au musée). Des visites guidées sont organisées en juillet et août  les mardis et jeudis après-midi. ...

Musée Escoffier de l'Art Culinaire : dans la maison natale de l’empereur des cuisines

À 13 ans, il caresse le rêve de devenir sculpteur. Son destin en décide autrement et le jeune Escoffier finit par intégrer le restaurant niçois de son oncle où il fait ses armes. De là débute l’extraordinaire ascension d’un des plus grands cuisiniers de la gastronomie française. En 60 ans de carrière, ce père de la cuisine moderne bouleverse le paysage culinaire français par ses idées avant-gardistes. Initiateur de l’hôtellerie de luxe internationale et de la grande cuisine française avec son plus fidèle ami et partenaire César Ritz, Auguste Escoffier est à l’origine du système des Brigades en cuisine encore en vigueur aujourd’hui. Il est à l’initiative des menus à prix fixe utilisés dans les restaurants et a créé des recettes mythiques pour ne citer que la fameuse Pêche Melba. Il est aussi l’auteur du « Guide Culinaire », une bible incontournable pour tous ceux qui apprennent le métier. Un panorama complet de la gastronomie française Les traces de ce parcours exceptionnel sont précieusement gardées au cœur du Musée Escoffier de l’Art Culinaire. Ce bâtiment provençal du XVIIIème siècle abrite dix salles d’exposition réparties sur 300 m2. À découvrir : une collection de 150 menus anciens et modernes, l’art pâtissier avec notamment les œuvres d’art en sucre et en chocolat, une riche documentation sur l’art culinaire, le bureau du Maître sans oublier les ustensiles et objets d’époque. ...

Découvrez de véritables peintures préhistoriques à la grotte du Pech Merle

Située sur la commune de Cabrerets dans le Lot, la grotte du Pech Merle a été découverte par trois enfants en 1922. L’abbé Amédée Lemozi, curé préhistorien du village, s’attelle rapidement à l’étude des peintures et gravures. Dès 1926, elle est ouverte au public. En 1952, elle est classée monument historique. La grotte du Pech Merle La grotte du Pech Merle recèle de remarquables œuvres préhistoriques, extrêmement bien conservées, dans un site naturel de toute beauté. Lors de la visite de cette grotte, vous parcourrez à partir d’une entrée artificielle une grande partie de la galerie inférieure. Vous serez alors plongés dans la même atmosphère et la même acoustique que nos ancêtres il y a 30.000 ans, à une température quasi constante de 12°C. Vous serez éblouis par les « Chevaux ponctués », cette magnifique représentation de deux silhouettes de chevaux, peinte il y a 29.000 ans. Mais aussi par la « Frise noire » et les nombreux dessins de bisons et de mammouths. Vous pourrez également observer des mains au pochoir, des empreintes de pas ou encore découvrir des ossements d’ours des cavernes et de hyènes. Au niveau géologique, vous pourrez admirer de belles et grandes salles dans un décor naturel de stalagmites et stalactites ainsi que des disques de calcite ou une toupie, des formations assez rares. Pour la préservation des peintures, le nombre de visiteurs est limité. Il est donc important de réserver ses places avant de se déplacer. Le musée de Préhistoire Le musée Amédée Lemozi est installé sur le site depuis 1981. Ici, vous aurez accès à deux salles d’exposition permanente : une consacrée à l’art pariétal du Quercy, l’autre à la préhistoire dans la région. Vous pourrez également visionner dans la salle de cinéma un film documentaire sur les peintures de la grotte, salle accessible aux personnes à mobilité réduite. ...

La Maison de La vache qui rit : incursion dans un siècle d’histoire

La Maison de La vache qui rit, créée en 2009, se situe à Lons-le-Saunier, sur le site même de la première usine de la marque à ses débuts en 1921. Elle s’étend sur une superficie d’environ 2 000 m², avec une surface extérieure de 1 300 m² transformée en un parcours en plein air comportant divers jeux et animations ludiques pour les enfants. Une mise en scène vivante Bien plus qu’un simple musée, La Maison de La vache qui rit est aujourd’hui un véritable lieu de vie qui offre une belle rétrospective de l’évolution de la marque. « Sur le projet, nous avons collaboré avec un collectif d’architectes qui s’appelle Encore Heureux, une équipe très engagée et pleine d’imagination », souligne Laurent Bourdereau, le directeur de la marque. Elle arbore désormais une nouvelle identité, plus artistique, plus innovante, et toujours aussi amusante ! Après ce bain de jouvence, La Maison de La vache qui rit offre une découverte encore plus enrichie, présentée sous divers angles allant du parcours historique de la marque jusqu’aux ateliers création, en passant par de nombreuses séquences audiovisuelles et objets publicitaires. C’est d’abord un espace très artistique et animé, grâce aux nombreuses affiches, illustrations, expositions à thème et expositions permanentes reprenant les anciens packagings, dont la fameuse première boîte commercialisée. En outre, un parcours multimédia explique en détail le mode de fabrication de ces délicieuses portions La vache qui rit, et les visiteurs peuvent même s’adonner à une séance de dégustation pendant les ateliers cuisine. « Les enfants sont ensuite conviés à l’étage pour participer à une session d’art manuel de transformation d’emballage, dans une ambiance très créative et interactive », continue notre interlocuteur. Bref, La vache qui rit est une marque à partager en famille ! ...

En Loire-Atlantique :
deux sites patrimoniaux à visiter sur les bords de Sèvre

Au château de Clisson : l’art militaire médiéval Forteresse du Moyen Âge, le château de Clisson est situé « sur les marches de la Bretagne » qui constituent « la frontière entre le duché de Bretagne et le royaume de France avant le début du XVIe siècle », évoque Pierre Fardel, directeur adjoint de Grand Patrimoine de Loire-Atlantique et responsable des publics. Grâce à sa position stratégique, cette forteresse permettait de contrôler un territoire complexe à la jonction de la Bretagne, de l’Anjou et du Poitou. La famille Clisson s’y établit dès la seconde moitié du XIe siècle. Le château devient ensuite la résidence du dernier duc de Bretagne, François II, qui renforce son dispositif militaire et lui donne son allure imposante. Le jeune sculpteur François-Frédéric Lemot le transforme en ruine romantique à partir de 1807. Le château de Clisson a conservé de nombreux exemples d’éléments de défense d’un château fort tels que les archères, les canonnières ou les assommoirs. Aux beaux jours, le château de Clisson propose une programmation culturelle riche et gratuite : reconstitutions historiques et spectacles vivants. Ainsi, les 16 et 17 juillet prochains, des troupes de reconstitution historique investiront le site pour faire revivre le quotidien dans un château du XIe siècle. Le château de Clisson est classé monument historique. Il est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10 h 30 à 18 h (de mai à septembre). Droits d’entrée : 3 € (plein tarif) ; 2 € (tarif réduit) ; gratuit pour les moins de 14 ans. À la Garenne Lemot : architecture et création artistique Patrimoine végétal et patrimoine monumental se mêlent dans ce paysage de 13 hectares que constitue le domaine de la Garenne Lemot. Le patrimoine monumental rassemble des fabriques. « Il s’agit de petites constructions qui permettent de décorer le paysage : temples, statues antiques, grotte dédiée à Héloïse et à Abélard, rochers gravés de citations et de poèmes, tombeau… », décrit le directeur adjoint. Une maison de style rustique à l’italienne et une villa néoclassique complètent le tableau. Au début du XIXe siècle, c’est dans l’imaginaire de François-Frédéric Lemot, sculpteur de Napoléon, que nait ce magnifique décor. Inspiré par ses séjours en Italie, l’artiste recompose des motifs proches des paysages qui l’ont tant impressionné. Il introduit notamment le pin parasol dès 1809. Dans ce cadre propice à la rêverie, des spectacles vivants sont organisés tout l'été. Le 31 juillet, un concert flottant, Le Piano du lac, se produira sur la Sèvre. Les musiciens joueront sur l’eau pendant que le public appréciera le spectacle depuis la berge. Et, chaque année, une exposition temporaire ouvre ses portes à la villa Lemot. Pour les spectacles comme pour l'exposition, l'entrée est gratuite. Ce domaine est classé monument historique. Le parc de la Garenne Lemot est en accès libre et gratuit, de 9 h à 20 h (de mai à septembre). Vivez le patrimoine ! ...