Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac. Un refuge culinaire en pleine montagne Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac. Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle. L’aligot à l’honneur L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot. De nombreux menus gourmands à découvrir Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot. À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux. Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel. ...
Dans le Lot, plus précisément dans la commune d’Alvignac se trouve un restaurant de charme Chez Ernestine. « Les touristes s’y bousculent pour y découvrir les produits du terroir travaillés suivant des recettes d'antan revisitées par le chef » nous déclare Amandine Calore, maîtresse des lieux. Un chef inspiré… Cet établissement de charme doit sa renommée à son cadre « bistrot chic », mais surtout à sa cuisine traditionnelle teintée de l’inspiration de Joshua Laillier. À 28 ans, le jeune chef tient les rênes de la cuisine avec pour mots d’ordre « faire plaisir tout en se faisant plaisir ». Il fait ses armes au sein du lycée hôtelier de Souillac, avant d’acquérir toutes les bases de la gastronomie et de la brasserie en travaillant dans de nombreux établissements. Cet amoureux des bons produits du terroir se plaît à proposer des assiettes copieuses, des recettes revisitées et un visuel très festif. Ses spécialités ? « La terrine de foie gras maison en entrée, une souris d’agneau confite aux pruneaux et au pain d’épice en plat de résistance, et un tiramisu spéculos banane en dessert ». Un bon vin rouge de Rocamadour relèvera les saveurs de ces plats raffinés. Un cadre style « bistrot chic » Cette cuisine bistronomique est servie dans un cadre original « offrant une belle dualité entre modernité et tradition » selon les explications d'Amandine Calore. Les nappes en vichy, le plafond bas et l’immense bar suggèrent déjà que vous allez passer un bon moment. Les couleurs dans des teintes crème contrastent bien avec la profondeur du bois omniprésent. La devanture, avec ses pierres apparentes, souligne le charme traditionnel des lieux. À l’extérieur, la terrasse ornée de belles plantes et de parasols peut accueillir 50 couverts, et baigne l’atmosphère sous le beau temps du Sud-Ouest. ...
À travers ses différents programmes et diplômes, Le Cordon Bleu offre des opportunités uniques et ouvre les portes pour des carrières en France ou à l’international. Une équipe pédagogique à la pointe Créé en 1895 par la fameuse journaliste culinaire Marthe Distel, Le Cordon Bleu est aujourd’hui un réseau qui réunit près de 40 écoles réparties dans 20 pays à travers le monde. Ce sont 20 000 étudiants de 100 nationalités différentes qui sont formés chaque année par Le Cordon Bleu. Cette prestigieuse école dispense deux types de formations : des formations et diplômes en Arts Culinaires (cuisine, pâtisserie, boulangerie) et des formations en Œnologie et des Bachelors en Management Hôtelier International et en Management des Arts Culinaires. « Ce sont des formations dispensées par des professionnels reconnus et de grands chefs aux parcours exceptionnels », nous précise l’équipe marketing. En effet, l’institut Le Cordon Bleu Paris peut se targuer d’avoir sous la main, le chef Éric Briffard, meilleur ouvrier de France, actuellement directeur des Arts Culinaires et chef exécutif de l’institut parisien. Avec ses 35 ans d’expérience dans l’univers de la gastronomie, Éric Briffard a été récompensé à plusieurs reprises notamment de 2 étoiles au guide Michelin lors de son passage à l’Hôtel Georges V. À ses côtés, œuvre une équipe de chefs enseignants en cuisine, pâtisserie et boulangerie. Quant aux formations en management ce sont des professionnels reconnus et hautement qualifiés du milieu de l’hôtellerie et de la restauration qui forment les étudiants à devenir les managers de demain dans les secteurs de l’Hôtellerie-Restauration Des formations de haut vol Le Cordon Bleu Paris propose aux étudiants quatre formations en Arts Culinaires : le Grand Diplôme, le Diplôme de Cuisine, le Diplôme de Pâtisserie et le Diplôme de Boulangerie. Le Grand Diplôme, d’une durée de neuf mois, regroupe le diplôme de Cuisine et de Pâtisserie Le Cordon Bleu, permettant aux étudiants d’acquérir toutes les techniques des grands maitres, entre tradition et innovation. Les cours en Arts Culinaires sont prodigués de manière bilingue (français et anglais) et structurés en deux parties : une démonstration durant laquelle les étudiants observent, prennent des notes et un cours pratique durant lequel ils appliquent et reproduisent les gestes du chef. Les diplômes en Arts Culinaires évoqués ci-dessus vont permettre aux étudiants de découvrir les techniques culinaires françaises. Des techniques qu’ils pourront mettre en pratique à l’issue de leur formation, lors de stages professionnels. Le Diplôme de Boulangerie s’étale sur une durée de six mois incluant un stage obligatoire de deux mois. Il forme notamment les étudiants aux techniques essentielles de la préparation du pain. Le Cordon Bleu Paris dispense également des formations en management applique dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration ou dans les métiers du vin. L’institut de Paris propose deux bachelors (bac +3) : le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires. Ces diplômes, d’une durée de 3 ans, ont pour objectif de former de futurs managers dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Pendant leur bachelor les étudiants réaliseront plusieurs stages en entreprise à Paris ou à l’international. Parmi les partenaires de l’institut : Hôtel de Crillon, Trianon Palace, Chef Michalak, The Peninsula Paris, Sofitel Dubaï, Four Season Los Angeles, Raffles Istanbul, Taj Mahal Palace Mumbai, The Nile Ritz-Carlton, etc., les etudiants auront l’opportunité de réaliser un certificat d’une durée de 3 mois au sein du réseau d’institut Le Cordon Bleu dans le monde. À compter d'octobre 2018, le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires seront dispensés en partenariat avec une université française de renom, l’Université Paris-Dauphine. A l'issue des 3 ans, les étudiants obtiendront donc un double diplôme, celui de « Talent en Management des Arts Cu...
Le Domaine du Loou renaît de ses cendres en 1956 sous l'impulsion de Dominique Di Placido qui rachète les terres ayant autrefois appartenu à l’Abbaye de Saint-Victor et aux familles de l’évêque de Metz et Alexis. Aujourd'hui, l'exploitation familiale est gérée par les deuxième et troisième générations qui s’efforcent d’élaborer chaque année du vin bio d’excellente qualité. Des conditions idéales Le Domaine du Loou, établi sur le terroir en appellation Coteaux-Varois en Provence, s’étend sur une surface de 60 ha d’un seul tenant. À 300 m d’altitude, avec une exposition sud et sud-est, les vignes profitent d’un ensoleillement optimal et s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire. Elles sont également protégées du vent et des aléas climatiques grâce à la colline d’Agni et le massif de la Loube. Au niveau de l’encépagement, celui-ci se compose principalement de syrah, de cabernet sauvignon et de mourvèdre pour les rouges. Le reste est constitué de rolle et de sémillon pour les blancs et de grenache et cinsault pour les rosés. Respect de l’environnement Depuis 2009, le domaine est certifié Ecocert et privilégie les méthodes de l’agriculture biologique. « Nous sommes fiers de cette démarche Bio qui demande, certes, beaucoup de travail mais qui correspond à notre vision du travail de la vigne », souligne Audrey Dutray, petit-fille et fille des propriétaires. Quand les raisins arrivent à leur pleine maturité, le domaine procède à une vendange nocturne. « Nous vendangeons la nuit en raison de la température qui est encore fraiche. De cette manière, nous évitons la fermentation prématurée des raisins », nous explique-t-on. Côté vinification, le maintien des températures de fermentation ainsi que la réfrigération des macérations des vins blancs et rosés sont assurés par des drapeaux flottants. L’élaboration des vins se réalise dans des cuves en inox et en béton. Les cuvées emblématiques La maison est particulièrement fière de ses deux rosés : « Terres du Loou » et « Rosée de Printemps ». Obtenu à partir de l’assemblage de cinsault, de grenache et de syrah, le premier est un vin très aromatique qui surprend par sa fraicheur intense. « C’est un vin plutôt thiolé qui séduit largement notamment pour l’apéritif », dévoile Audrey. La cuvée « Rosée de Printemps » est, quant à elle, un assemblage de grenache et de syrah. « Le choix du syrah lui procure une note amylique apportant beaucoup de douceur et plus de rondeur. Il s’agit d’un rosé original, gourmand et assez gastronomique. » ...
Chez les Leconte, la passion pour la viticulture débute en 1870, à l’époque d’Onésime Leconte, qui fait l'acquisition de ses premières parcelles. Depuis, la tradition se transmet de génération en génération, jusqu’à Xavier Leconte. Nourri de sa passion, et des ambitions plein la tête, il mise tout sur la qualité et la typicité de son terroir pour obtenir des vins expressifs. Aujourd’hui, son fils Alexis veut maintenir les valeurs de la maison dans la fabrication des champagnes en ayant recours à une démarche qualitative initiée par ses ancêtres, et qui continue à porter ses fruits. Des techniques d’antan Amoureux de ses terres, Xavier Leconte a voulu partager cette passion avec ses enfants. C’est certainement pour cette raison qu’il a décidé de baptiser deux de ses cuvées L’intuition d’Alexis et le Charme d’Anaïs, pour leur faire honneur. Alexis, en tout cas, entrevoit déjà, dès son jeune âge, sa carrière de vigneron. Et c’est avec un grand plaisir qu’il reprend les rênes de l’exploitation en 2003. Comme le faisaient ses ancêtres avant lui, il soigne son vignoble et ses vins, selon les cycles lunaires. Particulièrement à l’écoute de la nature, il mise ainsi sur ce qu’elle a à offrir de meilleur, pour garantir la qualité de ses vins ; tout cela sans jamais déroger au style de la maison. Des terroirs d’exception, pour des vins expressifs Le vignoble, réparti sur 40 parcelles et établi à Troissy, Dormans, Mareuil-le-port, Vandières et Aÿ, est traité selon une démarche raisonnée, dans le respect de l’environnement et de la biodiversité. Après la récolte, les trois cépages, à savoir le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier, sont à 25 % vinifiés fûts, et le reste en cuves inox thermorégulées, preuve que, malgré un fort attachement aux gestes ancestraux, Alexis mise également sur l’innovation pour rester dans l’air du temps. Cette heureuse alliance entre tradition et modernité se découvre au sein la cuvée l’Héritage de Xavier de 70 % de pinot noir et de 30 % de pinot meunier. Appelée aussi Cuvée Prestige, elle se révèle ample et complexe. De quoi faire le bonheur des épicuriens. ...
Auvergne-Rhône-Alpes, une région gastronomique Des beignets de pommes de terre aux filets de perches en passant par la fondue savoyarde et les diots au vin blanc, la cuisine traditionnelle savoyarde est une des spécialités qui fait le charme de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ces plats s’accordent avec des vins locaux comme le Chignin Bergeron, la Mondeuse et le Seyssel. Les produits du terroir font partie du patrimoine culturel de la région. On y trouve de délicieux plats typiques comme la tartiflette, un gratin de pommes de terre et des crozets, un féculent préparé avec de la farine de sarrasin. Les spécialités régionales sont composées de charcuterie, comme la pormonaise et les attriaux, et de fromages, comme l’abondance, le beaufort, le reblochon et la tomme de Savoie. L'Auvergne-Rhône-Alpes, c’est aussi le vignoble mondialement connu du Beaujolais, qui compte 12 Appellations d’Origine Protégée. Ce sont aussi les trois AOC de la Savoie : le vin de Savoie, la Roussette de Savoie et le Seyssel. L’Auberge d’Ayze, la rencontre des spécialités savoyardes L’Auberge d’Ayze propose des plats savoyards et d’autres mets mis à l'honneur par Jean-Marc Herchelbout, le maître restaurateur qui fait valoir ses quarante années de métier. Sa femme nous conseille de les savourer avec des vins savoyards. Quelques plats La matouille est une des recettes de tommette fondue servie avec de la salade verte et de la charcuterie. Elle peut être accompagnée de vin blanc comme du Chignin Bergeron. Le gratin de filets de perches est idéal pour les clients qui ne veulent pas consommer de viande. C’est une sauce crémée, composée de queues d’écrevisses et de morilles. Il s’accorde parfaitement avec du Chignin Bergeron et du Seyssel ou de l'Ayze tranquille. Des plats principaux « L’andouillette en camisole est un des plats phares de mon mari » insiste Mme Herchelbout. C’est une recette composée d’andouillette tranchée, de beaufort, de paillasson de pommes de terre et servie avec une salade verte. Il est parfait avec une bouteille de Mondeuse. Quatre différentes fondues composent le menu, elles s’accordent toutes avec du vin blanc. La fondue suisse est servie avec de la charcuterie, la fondue aux morilles avec de la salade verte, la fondue à la tomate s’accompagne de pommes de terre et la fondue de l’Anaïs est servie avec de la salade verte. Toutes les fondues sont à l'Ayze pétillant. Le gigotin d’agneau est une cuisson de souris d’agneau servie avec un gratin de crozets. Ce plat est conseillé aux clients qui veulent savourer de la viande. Les points forts de l’Auberge d’Ayze L’accès wifi est gratuit. A l’extérieur, on trouve un parking réservé exclusivement aux clients et une terrasse ombragée, entourée de fleurs. La salle à manger est magnifiquement décorée de couleur rouge et blanc. L’Auberge d’Ayze, c’est aussi une ambiance de campagne bien contrôlée et conviviale entre les clients et les restaurateurs. « On a pu fidéliser des chefs d’entreprise, des ouvriers, des gens du village et de la région grâce à la qualité de nos produits, de notre amour du travail, de notre sincérité et notre sourire. Les touristes y viennent aussi pour savourer des spécialités culinaires locales. 60 % des repas se font sur réservation » nous explique Mme Herchelbout. ...
Marque haut de gamme, Miel et Miels s’appuie sur le travail et le savoir-faire d’une centaine d’apiculteurs français réunis en coopérative pour mettre en pot le meilleur de leurs récoltes. Chaque miel proposé est un produit d’exception où authenticité et traçabilité sont garanties. Ainsi pour chacun, vous pouvez connaitre l’origine botanique et géographique. Des sens mis en éveil … Dans leur petit pot conçu comme un écrin, chaque miel se déguste déjà avec les yeux en dévoilant sa couleur caractéristique. Puis dès l’ouverture, leur arôme se faufile jusqu’aux narines. Il ne reste plus qu’à déposer une goutte de miel en bouche pour que les papilles se réveillent à leur tour. Un bonheur sans cesse renouvelé avec la collection de miels proposée par Miel et Miels. … Par la délicate collection Miel et Miels Miel et Miels a imaginé 3 gammes de produits : les miels de crus, les miels de terroirs et les mariages de saveurs. Les miels de crus sont issus d’une seule variété florale. Parmi ceux-ci, vous pourrez découvrir le miel de coriandre du Cher, un miel à la robe brun clair et à la texture fondante. Mais aussi le miel de carotte du Languedoc qui se caractérise par sa couleur joliment ambrée et son goût subtilement anisé. Et pourquoi pas le miel d’érable des forêts des Ardennes, ce miel aux arômes de caramel qui a obtenu l’Epicure d’Or 2017. Les miels de terroirs sont des produits multi-fleurs spécifiques d’un territoire. La couleur sombre du miel des forêts de Sologne vous donnera sans doute envie d’y gouter. Vous découvrirez alors un miel aux arômes boisés et sauvages. Mais vous préférerez peut-être le miel des Vallées du Dauphiné pour sa robe cuivrée et son goût affirmé. Quant à la gamme Mariage de saveurs, elle mise sur l’alliance du miel et d’ingrédients naturels pour proposer des produits gourmands. Le dernier produit de cette gamme, le mariage au thé Matcha, une recette raffinée et aux bienfaits incontestables, a déjà reçu le prix de l’originalité au concours Miam Bourgogne-Franche-Comté. ...
Le Rendez-Vous Saint-Germain entraîne depuis 2012 les gourmands et les gourmets dans un périple culinaire à la découverte de la cuisine de brasserie et de la bistronomie. Situé à quelques mètres seulement de Saint-Michel, l’établissement propose dès 7 h 30 une formule petit-déjeuner. Ici, liberté et détente accompagnent chaque assiette préparée avec amour et passion de la cuisine française. Un délice en plein Paris Paris, berceau mondial de la haute gastronomie. Mais que dire de sa cuisine typique de bistrot et de brasserie, qui occupe une grande place dans son patrimoine culturel ? Des plats généreusement concoctés pour le plaisir des papilles qui ne demandent qu’à livrer leurs secrets. Le Rendez-Vous Saint-Germain est l’endroit idéal pour déguster ce style de cuisine conviviale et généreuse. Y manger sainement, seul ou en groupe, ou tout simplement y boire un verre, il n’y a rien de mieux. Le chef revisite des recettes traditionnelles du bon terroir, tout en mettant en valeur ses propres créations. Un plus incontournable : tout est frais et tout est fait maison même le chocolat chaud et l'infusion. Une carte riche et équilibrée Difficile de ne pas succomber à la tentation, en voyant ces grandes bâtisses anciennes qui entourent le Rendez-Vous Saint-Germain. Sa terrasse offre une vue imprenable sur le Musée de Cluny, qui, en période d’été, redonne de la magie aux assiettes, à l’exemple de la Salade Auvergnate (jambon de pays, pommes de terre sautées, Cantal, œuf dur) ou encore de la Tarte à l'orange meringuée. Côté plats, les coups de cœur vont au velouté de fèves au lard croustillant, à l'Aïoli et ses légumes fondants ou encore au confit de canard et ses pommes de terre persillées, le tout accompagné d’un vin de propriété soigneusement sélectionné. En dessert, la maison suggère l’incontournable fondant au chocolat ou leur délicieuse crème brûlée. Différentes suggestions sont proposées chaque jour à l'ardoise ainsi qu'une formule à 15,90 euros. Le week-end, un brunch à 20 euros est servi sur réservation. ...
Saint-Jeannet a longtemps été connu pour l’agriculture, cette commune a même été surnommée « Saint-Jeannet le Riche ». Un muscat indigène a particulièrement intéressé une clientèle parisienne avant que les vignobles, victimes de la mondialisation, ne rétrécissent. Toutefois, un vigneron résiste grâce à un savoir-faire singulier et une connaissance du terroir. Le vignoble Le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur est perché à 400 m d’altitude, à 6 km de la mer. L’exploitation s’étend sur 4 hectares. Georges Rasse n’est pas près de rompre avec son vignoble datant de l’époque romaine, même si ses confrères ont jeté l’éponge depuis longtemps. Mieux, il garde la technique que son père René lui a transmise dans la stabilisation naturelle du vin au soleil. De nouveaux cépages sont introduits aussi, après quelques expérimentations par rapport à leur résistance au climat et à leur adaptation au sol. Georges Rasse s’engage également à respecter l’environnement, en entamant sa reconversion au bio. En attendant sa labellisation, il continue de satisfaire les palais. Une technique de vinification particulière En Provence, Georges Rasse fait partie des vignerons à être convaincus des bienfaits du soleil sur le vin. Il retravaille donc une technique traditionnelle de Saint-Jeannet pour stabiliser naturellement ses crus et ainsi éviter l’utilisation du sulfite et d’intrant de type collage. Les vins sont logés pendant 3 mois à 2 ans dans des bonbonnes disposées sur la terrasse du caveau. Seules les bonbonnes en verre blanc peuvent être utilisées pour ne pas modifier le vin. Œnotourisme En collaboration avec des tour-operateurs, le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur organise des visites et des dégustations de vins. Une formule « camping à la ferme » propose 25 emplacements de tentes aux pieds des oliviers. La moitié de la production est mise en vente directement sur place. Outre les visites, le vignoble participe chaque mois d’avril à une démarche collective baptisée « La France de ferme en ferme », qui consiste à partager son métier et sa passion. Chaque année, la Fête de la musique est rythmée par un concert. Georges Rasse rencontre également les sommeliers des restaurants clients une fois par an. ...
Sébastien Labails | Bonjour, je m’appelle Sébastien Labails, je suis le gérant des vignobles de Maxime. Maxime est le propriétaire de nos trois propriétés en Graves et en Saint-Émilion ; il m'a confié les clés de ses vignobles pour gérer tous les aspects allant de la production à la commercialisation. La Une | Et comme tout vignoble, j'imagine que le vôtre a une jolie histoire à nous raconter ? S L | L'histoire du vignoble commence en 2001 pour Maxime, qui tombe littéralement amoureux du château Tourteau Chollet et de son pin de 250 ans ainsi que du château Grand Lartigue, puisqu'il fait l'acquisition de ces deux châteaux en 2001. Maxime est diplômé en expertise comptable, mais son rêve a toujours été de pouvoir faire du vin. Grâce à son diplôme et ses compétences techniques, il a pu acquérir ces deux châteaux après deux ans de recherches. C’est en 2018 que Maxime Bontoux m’a confié la gérance des deux châteaux pour pouvoir développer les activités à la fois au niveau de la production et de la commercialisation. Et pour pouvoir produire le mieux possible, chez vous, on cultive Bio non ? S L | Nous sommes engagés environnementalement : Terra Vitis depuis 2005, nous avons également été le premier vignoble des Graves, en 2012, à être certifié HVE (Haute Valeur Environnementale) à la suite du Grenelle de l'environnement. Également depuis 2019, nous sommes certifiés BEE FRIENDLY, les amis des abeilles : nous sommes très restrictifs en termes d'utilisation d'insecticides, puisque nous les avons tous bannis. Pour lutter contre les verres de grappes nous utilisons dorénavant la confusion sexuelle. Nous nous sommes également engagés dès 2021 en agriculture biologique. Nous avons donc franchi le pas, ce n'est pas facile puisque nous sommes quand même à Bordeaux qui connaît un climat avec des précipitations importantes. Ce qui est délicat c'est de pouvoir protéger les vignobles en agriculture biologique tout en maintenant une récolte saine et de qualité ainsi qu’avec une quantité satisfaisante. Une reconversion donc sur votre agriculture, mais toujours de grands vins, vous nous les présentez ? S L | Au niveau de la gamme des vins, nous avons construit celle-ci de la même façon à la fois sur Saint-Émilion et dans les Graves puisque nous avons en vin rouge : un rouge uniquement élevé en cuve, puis un rouge 50 % barrique et enfin un rouge 100 % barrique. En plus de cela, nous avons deux blancs : notre grand vin blanc « 1760 », 100 % élevé en barrique et ressemblant à s’y méprendre aux grands crus classés de Pessac Léognan ainsi que notre vin Tourteau Chollet blanc. En plus de cela, pour compléter cette gamme, nous avons un vin sans sulfite ajouté qui s'appelle « C’est pas G… » et dans lequel, nous avons réalisé un assemblage de 25 % de chacun de nos cépages rouge : merlot, cabernet sauvignon, petit verdot et Malbec. Il s’agit de notre porte-étendard pour dénoncer le réchauffement climatique. Alors une chose est sûre, c'est que la qualité de vos vins n'est plus à prouver. Entre autres, vous avez été médaillé d'or à Paris, à Bruxelles, cité maintes et maintes fois au guide Hachette et c'est pour ça que nous pouvons retrouver vos vins à certaines tables de grand restaurant. Quelle porte faut-il que je pousse pour pouvoir à la fois déguster un excellent plat avec un de vos excellents vins ? S L | Nous sommes mis en avant dans certains grands restaurants comme le restaurant « Saison » de l'institut Paul Bocuse à Lyon. Nos vins sont également référencés chez « Fauchon » à Paris avec le « 1760 » en rouge et en blanc qui est largement apprécié par l'ensemble des équipes de l'hôtel « Fauchon ». Et si l'on parlait maintenant un petit peu de millésime, millésime exceptionnel comme sur le Ferrand Lartigue par exemple en 2012, pour les autres vins, vous aurez peut-être un millésime à nous conseiller ? S L | Alors sur le Ferrand Lartigue c'est effectivement le millésime 2012 qui est exceptionnel, ma...
En 2013, Mee Godard rachète un domaine de 5 ha implanté sur l’AOC Morgon. Cette œnologue de formation a su en très peu de temps tirer le meilleur du terroir pour produire des vins rouge d’exception. Une affaire de patience Au pied de la colline Côte du Py, ce vignoble planté en gamay fait maintenant 6,5 ha. Ici, de vieilles vignes sont cultivées sur trois parcelles différentes : Corcelette, Grands Cras et Côte du Py. La méthode de travail est résolument tournée vers le bio mais la reconversion se fera à son rythme. En effet, pour Mee Godard, le travail du vin est surtout une question de patience. Pas étonnant que les 5 cuvées du domaine subissent une macération longue de 3 semaines. ...
On raconte que même le Prince de Galles raffolait de la fameuse recette du canard à la presse au XIXe siècle. Des petits plats à déguster en amoureux jusqu’aux illustres menus festifs, le canard à rôtir séduit les gourmets pour devenir un produit d’exception présent sur toutes les tables. L’excellence est à l’honneur Promu et défendu par le CICAR, le canard à rôtir a davantage gagné en qualité. Grâce aux initiatives de ce comité interprofessionnel réunissant les différentes familles de la filière canard, l’ensemble de sa chaîne de production est de plus en plus amélioré. Des agriculteurs aux abattoirs, en passant par l’alimentation des animaux, tout a été pensé de manière à mettre en valeur la noblesse de cette viande. Des procédés rigoureux qui garantissent une viande tendre, au goût unique un peu musqué et irrésistiblement savoureux. Mais, de nos jours, la saveur ne suffit plus. Manger équilibré est quasiment la norme. Et pour cela, les vertus nutritionnelles du canard à rôtir sont inégalables. Riche en nutriments, vitamines, fer, phosphore, sélénium, cuivre et acides gras mono-insaturés, il confère une belle alliance du bon et du sain. Un produit à cuisiner à toutes les sauces L’autre atout du canard à rôtir réside dans la facilité de sa préparation. Cette viande se marie parfaitement avec plusieurs sortes de produits : légumes, fruits secs, morilles, épices..., ce qui permet de la cuisiner au gré des inspirations. En entrée ou en apéritif (comme le sushi de filet de canard ou les tapas d’aiguillette), elle met l’eau à la bouche. En plat, quelle que soit la saison (comme les aiguillettes de canard à la sauce soja et riz à la cannelle ou le tournedos de canard et sa poêlée de légumes minute), elle fait valser les sens. De surcroît, le comité CICAR a fait en sorte que les découpes du canard à rôtir soient les plus variées possible, afin que les attentes et besoins de tout un chacun soient satisfaits. On cite par exemple les aiguillettes, la cuisse, le filet ou le tournedos. Il n’y a aucun doute que le canard à rôtir a déjà gagné ses lettres de noblesse. Il a même charmé la clientèle de l’éminent restaurant La Tour d'Argent à Paris, avec la fameuse recette du canard au sang. Les grandes étoiles de la gastronomie ne tarissent pas d’éloges sur ce produit. « L’aiguillette a une texture très fondante, très moelleuse », s’exclame la célèbre chef Soizic Rescamp. Le chef renommé et conseiller culinaire Tugdual Debethune raconte pour sa part : « … Je reviens un peu sur le fameux canard à l’orange. Pourquoi cette recette est-elle devenue emblématique ? C’est parce que les saveurs se marient bien. Le canard aime tout ce qui va être miellé, sucré, acidulé, ainsi que tout autre arôme un peu floral. » ...
La maison Fredestel est dans la même famille depuis cinq générations. Depuis 2008, Ghislain et Estelle Olivier ont repris l’exploitation des vignobles, qui s’étendent sur 2,98 hectares et sont répartis sur 28 parcelles. Ils sont plantés principalement de cépages chardonnay mais aussi de pinot noir. Une viticulture durable Vignerons indépendants, Ghislain et Estelle ont choisi de pratiquer une viticulture durable en adoptant des méthodes agricoles raisonnées. Pour ce faire, ils limitent les apports chimiques, réduisent l’usage d’intrants, soignent l’enherbement et travaillent le sol par labourage, obligeant les vignes à aller puiser leurs ressources en profondeur. Cette exploitation familiale est d’ailleurs certifiée haute valeur environnementale. Ainsi, elle peut proposer aux consommateurs des produits de qualité tout en respectant l’environnement. Toutes les étapes de l’élaboration des champagnes sont effectuées au domaine. Les vendanges sont faites à la main avec sélection des raisins. Après pressurage, le jus de raisin ainsi obtenu est vinifié dans des cuves en inox. Le vin va ensuite vieillir en cave avant d’être mis en bouteille. Leur gamme de champagnes La maison Fredestel produit environ 22 000 bouteilles par an. L’exploitation commercialise plusieurs cuvées de champagne. La Perle Blanche se caractérise par sa composition 100 % chardonnay extra-brut sans assemblage, avec une robe dorée, présentant un parfum fruité d'orange, de citron et de kiwi. Il est parfait pour l’apéritif. Le champagne Tradition est issu d’un assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Il est disponible en brut ou en demi-sec. Quant au champagne Les Agapes, avec 50 % de pinot noir, 20 % de chardonnay et 30 % de chardonnay en fût de chêne, il révèle plus particulièrement des notes de fruits à chair, comme la pêche et la poire. Ils produisent également du ratafia, un apéritif à base de vin. Les champagnes Fredestel sont exclusivement en vente à la propriété. Visiter le domaine Vous pouvez visiter le domaine sur rendez-vous tous les jours de la semaine. La visite est suivie d’une séance de dégustation. ...
L’histoire des Vignoles Galineau & Fils démarre au XIXème siècle. À l’époque, un certain René Galineau s’intéresse aux métiers de vigneron et réussit à transmettre cette passion à ses descendants. En 1968, Michel et Marie Claude prennent la tête du domaine en investissant dans des moyens techniques de production pour élaborer des vins qui subliment leur terroir. Succédant à ses parents, Dominique Galineau représente la nouvelle génération. Il arrive en 2003 et amène avec lui une nouvelle vision de la viticulture qui préconise de meilleures pratiques environnementales. La méthode géophile pour soigner les vignes Les Vignobles Galineau & Fils ont pris leur quartier sur la commune de Pellegrue, à l’extrême est de la Gironde dans l’Entre-Deux-Mers et à quelques encablures de Saint-Émilion. Ils possèdent un domaine de 55 hectares de vignes, dont 54 sont consacrés à la production de vins rouges en AOC Bordeaux Supérieur et l’hectare restant à l’élaboration d’un vin blanc en AOC Entre-Deux-Mers. « Nous avons la chance d’être établis sur un terroir fabuleux qui culmine à 125 mètres d’altitude, soit le point le plus haut de la commune », déclare Isabelle Galineau, épouse de Dominique. Cette situation géographique combinée aux sols argilo-calcaires et argilo-limoneux donnent des crus très atypiques, à la fois gourmands et élégants. Après avoir travaillé ces sols durant de longues années selon les préceptes de la culture raisonnée, le domaine passe à la vitesse supérieure en s’engageant dans une conversion bio. « Nous avons opté pour la méthode géophile qui consiste à installer une flore microbienne dans le sol pour qu’il puisse devenir autonome et générer sa propre défense immunitaire sans intervention humaine. » Ce procédé passe par l’utilisation de plantes, de tisanes de compost, de champignons vivants et de diverses bactéries qui vont aider le sol à se régénérer. « Notre objectif est clairement de retourner à l’existant », fait savoir Isabelle. Des monocépages et des vins d’assemblage à découvrir Comme beaucoup de maisons viticoles bordelaises, les Vignobles Galineau & Fils conçoivent plusieurs monocépages. Parmi les fleurons de la maison figurent la cuvée « Les Perles Noires - Malbec », un 100% malbec. Car le domaine est l’un des rares à Bordeaux à travailler ce cépage oublié. Le vin à la belle robe pourpre révèle des arômes floraux, de cassis et de violette. Il est fruité et dévoile des tanins souples avec une longue finale en bouche. Toujours dans la gamme des monocépages, place à la cuvée « Les Perles Noires – Petit Verdot », un autre cépage peu travaillé dans la région. Ce vin rouge se veut également fruité, confituré et épicé avec beaucoup de volume en bouche et des tanins riches et charnus. Du côté des vins d’assemblage, les cuvées « Bellevue Favereau » et « Bois de Favereau » représentent les fers de la lance du domaine. Ils obtiennent régulièrement des récompenses au Concours Général Agricole, au Concours de Bordeaux, au Challenge International du Vin, etc. Dernier et non des moindres : le blanc issu à 100% du sauvignon blanc. Cette cuvée « Perles Blanches de Galineau » en AOC Entre-Deux-Mers séduit pour ses notes d’agrume et de fruits exotiques. Ce cru accompagne à merveille les viandes blanches, les poissons, les fruits de mer et les fromages. Nos vins et cuvées sont vendus dans le monde entier. ...
Ouvert en 1986, le restaurant est établi dans une petite maison traditionnelle de 34 couverts, entièrement refaite, où seules les poutres ont subsisté. L’extérieur rustique et convivial offre un intéressant contraste avec l’intérieur, qui présente un décor épuré et moderne. La salle affiche une prédominance de couleurs vives qui apportent énormément de dynamique. Les tonalités rouges des chaises et du comptoir des années 70 sont adoucies par les tons clairs des nappes et des pans de mur blancs. Tout comme dans les grands restaurants gastronomiques, la table élégante est dressée au millimètre près. La passion d’une famille Mis à part Wilfried, le sommelier, et Laura, la serveuse, l’équipe du restaurant est composée des membres de la famille Gutleben. Marie est en salle et assure un accueil chaleureux à tous les convives. Ses enfants, Romain et sa sœur jumelle Laurine, quant à eux, s’occupent des fourneaux. Après ses études en restauration, Laurine a fait ses armes dans le restaurant étoilé le Chambard mais également à Roanne chez les fréres Troisgros triplement étoilé au guide Michelin. Elle décide ensuite de revenir dans sa ville natale, pour y prendre les rênes avec son frére de la cuisine du restaurant familial. En 2010, elle est sacrée une des meilleures apprenties de France. Romain, quant à lui, brille aussi par son riche parcours : le Maximilien à Zellenberg, une étoile au Michelin où il fait ses armes. Tout comme sa soeur, ils décident de mettre en avant leurs talents et leurs savoir-faire au service de l’établissement La Vieille Forge : une histoire de famille...Cette équipe de choc ne serait pas ce qu’elle est sans Rémy, le père, qui a un œil sur tout, au service de ses convives. Des menus raffinés et savoureux À La Vieille Forge, quatre menus sont proposés. La formule « Découverte » flirte avec le haut de gamme et se compose essentiellement de produits nobles : œuf parfait, foie gras poêlé, homard fraicheur du moment, ris de veau… Les amateurs de surprise se laisseront guider par le talent de Laurine et de Romain au travers du menu « Épicure », décliné en 5 services, et élaboré selon l’inspiration des deux chefs en cuisine. À midi, les choix oscilleront entre le menu à 28 €, composé d’une entrée, d’un plat et d’un fromage ou d’un dessert, et la formule à 31 €, offrant deux choix d’entrées, plats et desserts. Quant à la carte, elle n’est jamais figée. Le restaurant a pour habitude de la changer régulièrement. Toutefois, certains plats particulièrement appréciés des clients sont maintenus chaque saison, comme le foie gras de canard confiture choucroute servi en entrée. En résistance, place à l’incontournable ris de veau rôti à la saltimbocca, accompagné d’un mousseux de pomme de terre à la truffe, sauge et câpres. En guise de dessert, la sphère de chocolat crémeuse note exotique et pistache en éclats apporte la note de douceur qu’il faut pour clore en beauté ce repas. Ici, chaque assiette est présentée de manière soignée et élégante. Décidément, à La Vieille Forge, le plaisir des pupilles compte autant que celui des papilles. ...
Le restaurant la Table de Mai Ly offre un voyage gastronomique à travers ses plats asiatiques. La chef propose des plats qui font découvrir toutes les subtilités de la richesse gastronomique vietnamienne. Une adresse incontournable pour ceux qui veulent gouter à des saveurs venues d’ailleurs dans un cadre convivial aux couleurs de l’Asie. Une chef expérimentée Neige est originaire d’Hanoï, capitale du Vietnam. Elle a développé sa passion pour la cuisine dès son enfance. Après avoir fait ses études dans son pays natal, elle fait ses armes dans le milieu de la restauration auprès de sa famille pour qui la cuisine est un véritable art de vivre. Elle a par la suite ouvert son propre restaurant la Table de Mai Ly qui porte son nom, puisque « Mai Ly » signifie Neige en vietnamien officiel. Dans cette aventure, elle sera épaulée par Richard, son époux qui assure l’accueil et le service en salle. La complicité et la ferveur de ce duo de choc contribuent au succès de ce restaurant authentique. Une atmosphère chaleureuse aux couleurs de l’Asie Le restaurant reflète l'atmosphère chaleureuse, colorée et détendue typique de l’Asie. « On a préféré quelque chose de simple qui nous rappelle un peu le Vietnam » décrit Richard. A l’intérieur, les convives seront conquis par le cadre original et le décor de bois laqué incrusté de nacre. La salle climatisée est embellie par les tables et chaises impériales sans oublier la fontaine et l’aquarium qui renforcent le charme de l’établissement. Un style privilégiant le rouge et le noir ponctué par une touche asiatique domine tant à l’intérieur que dehors. Sur la terrasse justement, le cadre agréable du patio vietnamien ombragé ainsi que la présence d'une statue de Bouddha et des pagodes en bambou emmènent les convives vers une nouvelle destination. Les spécialités vietnamiennes à l’honneur Le restaurant La Table de Mai Ly propose une cuisine vietnamienne fait maison qui est élaborée sous les yeux des convives. « La cuisine est ouverte et rien n’est préparé à l’avance. Tout est transformé sur place, ce qui garantit la fraîcheur de nos plats» raconte Richard. Les spécialités de la maison sont les crevettes noix de coco, les célèbres nems, les samoussas, les rouleaux de printemps, les raviolis à la vapeur... Le cordon bleu propose également du " Bo Nuong ", de la viande ou du poisson mariné au barbecue et des saucisses grillées qui ne sont servies qu’à la terrasse. La chef aime aussi surprendre ses hôtes avec le délicieux Crevette Thanh Hoa préparé à partir de crevettes décortiquées cuites juste à point et accompagnées d’une sauce aigre-douce, qui émoustille leurs papilles. ...
WinWinks valorise l’excellence hôtelière en commercialisant les services haut de gamme comme de véritables expériences auprès d’une cible locale : dégustation de vins, cours de cuisine, dîner gastronomique étoilé, brunch, mixologie, fitness et spa, locations de salles de réunion… Chacun peut y trouver son bonheur et réserver une expérience unique dans l’un des plus grands hôtels. La plateforme mise sur une démarche de proximité à travers un catalogue exhaustif d’activités et d’offres exclusives packagées en transformant les écrins luxueux en véritable lieux de vie. Les utilisateurs peuvent choisir une expérience en fonction du lieu, de l’ambiance ou encore selon leur centre d’intérêts, grâce à une navigation fluide et intuitive. Des activités pour tous les goûts « On a aujourd’hui une vingtaine de prestigieux hôtels partenaires référencés sur notre site », fait savoir le fondateur de WinWinks. Parmi la sélection figurent le Lancaster Paris sur les Champs-Élysées, le Terrass Hôtel à Montmarte, le Novotel Paris Bercy, le Paris Marriott Ambassador, le COQ Hôtel et le fameux Buddha Bar dans le VIIIeme. Chacun des établissements met à disposition leurs services annexes dans le but d’attirer la clientèle extérieure en devenant une référence pour des sorties tendances et exclusives. Mais l’enseigne va encore plus loin et devance ses concurrents grâce à la création d’événements sur-mesure et des offres packagées au sein des hôtels pour répondre aux attentes des utilisateurs. « Nous élaborons nous-mêmes des offres pour notre plate-forme en considérant le lieu géographique de l’établissement, son identité et sa capacité d’accueil, et nous assurons l’organisation et la logistique de A à Z », nous détaille Gilles BIKO RO BIEKO. Et le concept séduit, comme en témoigne le succès du Yogafterwork au Novotel Paris Centre Bercy ou encore la Raclette Party entre amis pour le COQ Hôtel, des événements phares signés WinWinks. Du gagnant-gagnant La plate-forme est une aubaine pour les établissements hôteliers qui veulent gagner en visibilité, conquérir de nouveaux clients potentiels et dynamiser leurs chiffres d’affaires. « Elle apporte de la plus-value aux activités déjà proposées par les hôtels mais qui ont été peu exploitées et ouvre aussi un univers de nouvelles possibilités », explique notre interlocuteur. D’un autre côté, les particuliers en quête d’un moment de bonheur à eux n’ont plus besoin de chercher bien loin pour satisfaire leurs envies de luxe et d’évasion. ...
À travers un cadre intimiste aux couleurs chaudes qui caractérisent si bien le Sud, l’enseigne est une très belle découverte à retenir au cœur de Paris. Situé dans le 18e arrondissement, juste au pied de la Butte Montmartre, cet authentique restaurant italien mérite qu’on s’y arrête. Dans un décor où se marient si bien la brocante, le cinéma et la musique, le savoir-faire italien transparait aussi bien dans le service que dans les plats. Il est vrai qu’au Bugigattolo, tout le monde met la main à la pâte ! C’est d’ailleurs dans ce bel esprit de famille que la Nonna, Patricia et les enfants Jean et Enzo souvent présents dans la salle ont habitué le restaurant afin d’y maintenir l’ambiance bon enfant, au grand plaisir des clients ! Vive la dolce vita Comptant déjà de nombreux habitués, ce petit coin sympathique est une excellente adresse où il fait bon s’attarder pour prendre un verre et calmer les petites et grandes faims. Laissez-vous embarquer par sa cuisine traditionnelle aux légères touches de malice, qui met à l’honneur des plats de terroir revisités, avec toujours une pointe de surprise, là où on s’y attend le moins et cela au premier coup de fourchette ! Ses pâtes fraiches et sèches constituent un vrai délice pour les papilles avec, bien sûr, ce fameux croquant « al dente » spécifique aux vraies pâtes italiennes… Les savoureuses pizzas accompagnées d’une petite sauce relevée préparée à la minute ou les délicieux raviolis dont seul le chef a le secret sont aussi à ne pas rater. Il Bugigattolo, c’est surtout une cuisine à base de produits frais, où les plats sont préparés sur place et mitonnés juste comme il faut. Pour offrir le meilleur dans vos assiettes, le restaurant privilégie la cuisine de marché, gage de fraicheur et de qualité. Chaque plat est empreint d’une touche personnelle qui le caractérise et c’est ce qui fait toute la différence ! ...
Ce qui donne ce goût de craie à l’appellation Saumure-Champigny ? Ce sont ses tuffeaux, des formations géologiques de couleur blanche ou jaunâtre contenant quelques paillettes de mica blanc. Sur cette partie de la vallée de la Loire, se blottit Turquant où caves et grottes sont si nombreuses qu’on y compterait le plus grand nombre en France. C’est aussi ici que depuis trois générations, Denis Retiveau cultive son raisin pour produire six cuvées différentes ainsi que sa passion immodérée pour la navigation. Entre Turquant et Montsoreau, 10 km à l’Est de Saumur sur les bords de la Loire, il possède le domaine des Champs-fleuris. Un terroir viticole qui au milieu d’un climat océanique produit près de 200 000 bouteilles par an. Passionné depuis l’enfance par la viticulture, il reprend le domaine familial en 1995 après un brevet technique agricole en viticulture et œnologie. Des vignes qui s’étalent sur 29 hectares et où le vin rouge a pour spécificité sa densité, son côté charnu et élégant. Des vignes de 40 ans d’âge pour un saumur d’exception Avec 6 cuvées différentes, le domaine des Champs-Fleuris produit différents vins en mélangeant moderne et tradition. Les cépages alternent entre Cabernet franc (96%) et Cabernet-Sauvignon (4%) pour les rouges et on y retrouve les appellations Coteaux de Saumur, Crémant de Loire, Saumur Blanc et Saumur Champigny ainsi que du Saumur Rosé. Les vendanges y sont faites mécaniquement avec le tri embarqué et tapis élévateur dans le respect du raisin. Le vin fraîchement pressé est conservé dans de l’inox régulé et des fûts de chêne. Dans ces fûts, les vins sont conservés au moins un an. Une sensibilité particulière pour ce fruit produit sur des plants dont certains ont plus de 70 ans d’âge. Le terroir lui est certifié haute valeur environnementale. Le vignoble s’applique ainsi à utiliser des traitements conventionnels pour une culture raisonnée. Ainsi en 2021, sur 10 traitements, 8 ont été effectués en « bio ». Les grains profitent ainsi du climat océanique et produisent des vins légers et fruités. On y retrouve aussi des grands vins de garde, quand les raisins sont plus riches en sucre et que la macération est plus longue. ...
Installant ses vignes en cave coopérative en 2003, Stéphane GUILLEMIN donne un tournant à son activité viticole à partir de 2007 en créant sa propre exploitation avec l’aide de sa femme Lucie. Il fait acquisition d’un vignoble de 25 hectares répartis sur les communes de Clessé, Viré, Péronne et Verzé. La grande diversité de son terroir lui offre toutes les latitudes pour travailler plusieurs appellations telles que Viré-Clessé, Mâcon-Péronne, Mâcon-Verzé, Mâcon-Villages, Crémant de Bourgogne et Bourgogne rouge. L’appellation Viré-Clessé sous les feux des projecteurs L’AOC Viré-Clessé est reconnue à partir de 1998 et s’étend sur les terroirs de l’AOC Mâcon Villages. Vifs et frais aux arômes de fruits, les vins blancs issus de cette appellation font partie des fleurons produits par le Domaine Guillemin Stéphane et Lucie. Parmi ces pépites figure ainsi la cuvée éponyme, un chardonnay généreux dévoilant de belles notes de fruits mûrs, d’agrumes et de fleurs. En bouche, elle se veut harmonieuse, suave, ronde et minérale sur fond de saveurs épicées et fruitées. Un superbe cru qui donne relief et consistance aux fruits de mer, aux poissons, aux crustacés, au fromage de chèvre ou aux viandes blanches grillées. Une alliance entre tradition et modernité Pour produire ses vins raffinés et expressifs, le domaine a fait le choix d’adopter une viticulture raisonnée. Aujourd’hui certifié Haute Valeur Environnementale (HVE), il signe sa différence en mettant en avant un savoir-faire traditionnel associé à l’utilisation de technique moderne qui réduit au maximum l’usage d’intrants phytosanitaires. ...
En 1992, Corinne Chevrier-Loriaud, 4e génération de vignerons, fait l’acquisition du domaine Château Bel-Air La Royère. Entourée par une équipe à 90 % féminine, celle-ci s’est fixé une mission : redonner au cépage malbec ses lettres de noblesse. Une palette de terroirs En conversion biologique depuis 2016, ce vignoble de 12 ha est réparti sur diverses parcelles avec chacune un terroir spécifique. Ici, les cépages merlot (60 %), malbec (39 %) et cabernet sauvignon (1 %) poussent soit sur des sols sablo-graveleux, soit sur des sols argilo-calcaires. Grâce à cette diversité, le domaine a la possibilité de réaliser d’intéressants mélanges et de produire des vins complètements différents. Des vins devenus une référence La maison produit aujourd’hui 5 vins rouges et 1 vin blanc. Parmi eux, 2 cuvées partagent le titre de « cuvée ambassadrice » : le « Château Bel-Air La Royère » et « L’Esprit de Bel-Air La Royère ». Élaborée à partir de très vieilles vignes, le « Château Bel-Air La Royère » est un assemblage de merlot (65 %) et de malbec (35 %). Ce vin puissant et structuré a bénéficié de 20 à 22 mois d’élevage en barrique. En bouche, on trouve une explosion de fruits rouges associée à des notes vanillées. Ce vin sublimera des plats de viandes rouges ou du fromage. « L’Esprit de Bel-Air La Royère », quant à lui, est obtenu à partir de merlot (90 %), de malbec (5 %) et de cabernet-sauvignon (5 %). Présentant des tanins souples et soyeux, il séduit également par ses notes de fruits noirs et un boisé élégant. Les vins du domaine Château Bel-Air La Royère sont régulièrement cités par Bettanne & Desseauve, le Guide Hachette ou encore La Revue du vin de France. ...
Créée en 2001 à l’initiative des parents et des enfants Geoffrey et Renaud, l’entreprise Péhu Guiardel & Fils exploite un vignoble dans l’Aube et dans La Marne. Vignerons indépendants dotés d’un grand savoir-faire séculaire, les Péhu travaillent les trois cépages régionaux, faisant de leurs champagnes des produits à savourer avec délectation et en toute occasion. Pour les visiteurs de passage dans la côte des Bar, le domaine propose une salle de dégustation dans un cadre chaleureux et convivial. Un champagne, trois villages Chez les Péhu, le champagne est à la fois une passion et un héritage transmis depuis cinq générations. « Anciens habitants de Verzenay et Rilly-la-Montagne, mes parents disposaient à l’époque d’un vignoble dans la Montagne de Reims où nous cultivons encore quelques parcelles. Vers les années 70, ils sont venus s’installer dans l’Aube pour investir dans Les Riceys », relate Geoffrey Péhu, l’actuel dirigeant du domaine. L’entreprise familiale exploite actuellement un domaine de cinq hectares où le pinot noir accapare environ 75 % de la surface cultivée. Le reste est consacré au meunier et au chardonnay pour l’élaboration des champagnes d’assemblage. Chaque année, la maison enregistre une production moyenne de 10 000 bouteilles destinées à la consommation locale et/ou étrangère. Quatre cuvées bien contrôlées Soigneusement manipulés dans les règles de l’art, les quatre principaux champagnes de la marque respectent une chaîne de fabrication stricte depuis la vendange au pressurage, en passant par l’assemblage jusqu’à la mise en bouteille. « Toutes les interventions sont rigoureusement notées sur un cahier des charges pour répondre aux exigences de la certification HACCP », atteste notre interlocuteur. Composé de 80 % de pinot noir et de 20 % de chardonnay, les champagnes bruts et demi secs de Péhu Guiardel & Fils conjuguent rondeur, caractère et élégance. On les apprécie volontiers à l’apéritif ou aux desserts. Quant au rosé, il est constitué de vin brut et de 15 à 16 % de vin rouge. Après vieillissement, on obtient un champagne plein de fraîcheur à la mousse légère et subtile renfermant des arômes fruités. Le blanc de blancs, lui, est fabriqué uniquement avec du chardonnay des Riceys et se reconnaît par sa grande fraîcheur. Côté Verzenay, l’incomparable cuvée Émotion s’invite à toutes les tables pour faire le bonheur des connaisseurs grâce à son caractère fruité et sa complexité. ...
Situé sur la route des stations de skis des Pyrénées, au croisement des départements de l’Aude, de l’Ariège et des Pyrénées Orientales, le Rucher de l’Ours s’est implanté dans un environnement idéal pour les abeilles. Ainsi, ses 300 ruches peuvent être déposées au rythme des saisons et des floraisons près du littoral méditerranéen, dans les garrigues ou plus haut dans les montagnes. Tous les miels sont ensuite récoltés dans le plus pur respect de la tradition apicole. Une grande diversité de miels Les 5000 clients réguliers savourent toujours avec autant de plaisir les miels produits par le Rucher de l’Ours. Outre les classiques miels d’acacia, de sapin ou de châtaignier, vous pourrez découvrir par exemple le miel de rhododendron, un miel clair légèrement parfumé, le miel de bruyère blanche au gout typique de caramel, le miel de lavande stoechas aux arômes puissants, ou encore le miel de garrigue-thym, un miel toutes fleurs à dominante de thym. Mais aussi des miels produits en plus petite quantité : le miel d’arbousier et le miel de sarrasin. En tout, le rucher de l’Ours propose 22 sortes de miels différents. Les autres produits de la ruche Bien d’autres produits de la ruche sont disponibles au Rucher de l’Ours, comme le pollen de fleurs, la gelée royale ou encore le propolis. Ainsi que des produits transformés tels l’hydromel un apéritif vieilli en fut de chêne, des bonbons, des savons, du nougat et 8 sortes de pains d’épices. Visite et vente Vous pouvez visiter la miellerie tout au long de l’année. Vous y découvrirez leurs différents produits. Mais vous pouvez également les commander via leur site Internet. Votre commande sera traitée avec beaucoup de soin et vous sera envoyée très rapidement. Voua avez également une chance de les rencontrer sur les marchés de Noël de la Défense, d’Amiens, de Neuilly, de Perpignan, de Toulouse ou encore de Montpellier. ...
Amoureux de Brooklyn et de sa mixité, Yann Bourgeois a décidé de se réapproprier l’esprit de ce quartier de NYC. Il a ainsi créé 4 « diners » à Paris, des endroits devenus le QG préféré des foodies. Que des ingrédients d’exception Depuis la mise en place du premier Bedford, ces bistrots de quartier se sont vus régulièrement attribuer une place d’honneur parmi les meilleurs burgers de Paris et bars à cocktail. Leur secret ? C’est l’esprit sur lequel est fondé leur concept : « Bon, sympa, pas cher et avec des produits de qualité et une démarche d'approvisionnement responsable », assure Yann Bourgeois. Les produits sont choisis sur des critères d’excellence : des oeufs et des légumes bio, des steaks hachés d’Aubrac (meilleure viande de France), du pain et des desserts issus de la prestigieuse boulangerie Rachel’s. Un palace des burgers Le restaurant gâte les sens avec ses savoureux burgers, ses salades, ses bagels, ses tapas à l’américaine et une partie grill avec entrecote, steack de thon, pave de saumon... Les plus gourmands peuvent même se laisser tenter par un brunch les weekends et les jours fériés jusqu'à 18h. Non stop sont servis le Bagel Lox (saumon, cream cheese, tomate, oignons), le Burger royal Bedford, le Chuck Norris burger, le Brooklyn chicken burger, le Classic cheeseburger à 7€ et la salade Chinatown (chou rouge et chou chinois, poulet grillé, sauce sésame, céréales, coriandre). ...