A Blanquefort, à proximité de Bordeaux, aux portes du Médoc sur la Route des vins, l’Hôtel les Criquets *** réserve la meilleure qualité d’acceuil à ses convives au sein de ses chambres hautement confortables ou dans son appart’hôtel le 126. A côté de ses nombreuses activités de détente, l’établissement est connu pour son restaurant qui offre une cuisine aux bons goûts du terroir. Un chef créatif à l’infini Issu de l’école hôtelière de La Rochelle, le chef Jean-Luc Molle a fait ses armes dans un établissement étoilé du Guide Michelin, à La Rochelle. Il a ensuite pris la tête de l’établissement Les Criquets pour pouvoir pleinement s’affirmer. En collaboration étroite avec les producteurs locaux de la région, le chef met en avant une cuisine totalement improvisée où chaque jour est une occasion de mijoter une recette nouvelle et originale. Contrairement à certains restaurants, Jean-Luc Molle n’a pas de plat phare. À partir des différents produits qu’il a sous la main, il concocte ses recettes au gré des saisons, des marchés et de son inspiration du jour. D’ailleurs, le talent et la créativité du chef s’expriment à travers le menu surprise où seuls les ingrédients sont énoncés. Du reste, il faudra faire confiance au maestro en cuisine. Pour ceux qui ne sont pas trop adeptes des surprises, la carte du restaurant met en avant de succulentes suggestions. Le chef exprime une affinité particulière pour les saveurs asiatiques marquées par les goûts iodés, le sucré-salé et l’acidulé. En entrée, le choix s’effectuera entre le tartare de crevettes, la truffe noire de Brie ou le foie gras mi-cuit avec du chutney d’algues wakamé. En plat de résistance, le Filet de Dorade et Coquillages ou l’Aloyau de Veau Fèves et Petits Pois à la Française émoustillent les papilles. En guise de dessert, un Merveilleux Noisette et Praliné à la Passion ou une Sphère Chocolat Blanc Amande Framboises à l’Hibiscus apporteront un peu de fraicheur. Tous ses succulents plats peuvent se déguster dans la salle à l’ambiance cosy et à la décoration fine et élégante ou plutôt sur la terrasse, qui devient l’endroit incontournable avec l’arrivée des beaux-jours. Cet espace extérieur offre une agréable vue sur le parc arboré entourant l’établissement. Un restaurant vert En partenariat avec la chambre de commerce et de l’industrie de la ville de Bordeaux, le restaurant Les Criquets propose chaque dernier mardi du mois un « Menu (Re)Pas pour la planète ». 100% végétarien, celui-ci est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert et est uniquement cuisiné avec des légumes ou des algues. Jamais en manque d’imagination, le restaurant s’est associé avec la start-up Entomo Farm pour proposer une cuisine pour le moins innovante et originale. En effet, Jean-Luc Molle a présenté lors de manifestations, à titre expérimental pour promouvoir la protéine d’insectes, des plats comme des tartines de tapenade avec olives noires et vers de farines concassées, des burgers aux légumes de soleil avec des morceaux de criquets concassés ou encore des mélanges de chocolat blanc et de fourmis. Une cave à vins éclectique Comme tout restaurant de la région bordelaise qui se respecte, le restaurant possède une belle carte des vins. En effet, ses caves sont enrichies de près de 400 références. La majeure partie des crus est bordelaise. Toutefois, la maison a également d’autres références issues de Champagne, de la Loire et d’autres régions viticoles reconnues dans le pays. Et si le choix des accords s’avère délicat, le sommelier reste disponible pour vous conseiller. En outre, des soirées œnologiques sont régulièrement organisées, avec des thèmes précis autour des vins de Bourgogne, étrangers ou plus largement les vins de France. ...
Avec des menus changeant en fonction des produits du marché, Le Bistr’Eau Ryon propose des assiettes où les saveurs terre et mer se rencontrent. Dans un cadre bistronomique, le restaurant accueille ses clients pour leur servir les spécialités du chef qui varient selon les saisons. Une expérience affirmée dans le milieu Ayant à son compte 35 bonnes années d’expériences dans le domaine de la restauration, Alain Ryon puise son inspiration dans toute cette passion effrénée pour la cuisine. Originaire de la commune de Bressan, le chef est tombé très jeune dans la marmite. Déjà, enfant, il adorait passer du temps dans la cuisine familiale. Faisant ses débuts aux côtés du grand maitre Georges Blanc dès l’âge de 14 ans, Alain poursuit son chemin sur la Côte d’Azur avec Pierre Gleize et Roger Vergé pour s’initier à la cuisine provençale dont il tombera rapidement amoureux. Le chef cumule les expériences dans le feu de la passion et des découvertes. Ses efforts seront récompensés car il sera nommé plus jeune étoilé de France. Aujourd’hui, au sein du Bistr’Eau Ryon, il propose des plats raffinés et authentiques, reflétant ses origines et témoignant de la richesse de son parcours professionnel. Des saveurs marines s’alliant au goût des produits du terroir, soigneusement préparés et mijotés avec une véritable passion, voilà ce qui attend ceux qui viendront s’aventurer dans ce restaurant sis en lisière du beau sable blanc de la plage Saint Clair. Une carte terre mer Alain Ryon tombe littéralement amoureux de la fraicheur des produits qu’il trouve sur le marché. C’est la raison pour laquelle sa carte ne présente qu’une liste de plats assez restreinte. En effet, le chef préfère proposer le menu en fonction de ses trouvailles, pour ensuite inscrire les plats sur une petite ardoise. Quoi qu’il en soit, les suggestions du restaurant changent toutes les semaines. Comme proposition en entrée, le choix vacille entre un Tian de crabe et homard au guacamole de fèves, un Compressé de légumes au foie gras et un Tartare de thon et st-jacques. En plat de résistance, place aux poissons avec le Saint-Pierre portion rôti au fenouil sauvage & beurre blanc, le Risotto aux gambas sauvages ou le Dos de cabillaud sauvage cuit à la peau & rougail de tomates aux agrumes. Durant les mois de juillet et août, le Homard bleu sauvage entier aux tagliatelles & truffes de la Saint Jean fera voltiger les papilles des gourmets. Le restaurant n’oublie pas les amateurs de viandes et concocte un succulent Magret de canard rôti jus de miel et citrons ou encore une entrecôte race « Angus » poêlée et jus court. La carte se termine par un large choix de dessert exquis avec quelques classiques comme le fondant au chocolat ou la tarte au citron caramélisé. Le tout s’arrose d’une bonne bouteille de vin local, fourni par les petits producteurs de la région. ...
La célébration des 2 600 ans de Marseille aura été pour lui une très belle occasion de faire la promotion de cette marque de chocolat d’exception qui bouscule tous les codes en se payant le culot de porter avec audace un symbole de reconnaissance universel : le rameau d’olivier. Francesco Martorana associe l’Espérantine de Marseille au singulier concept de « gourmandise raisonnée », un petit laisser-aller gourmand qui ne peut que faire du bien. Loin de la qualification classique de « péché mignon », qui laisse supposer que manger du chocolat est culpabilisant, surtout pour les femmes, l’Espérantine de Marseille est intimement liée au bon usage de la gourmandise, c’est-à-dire, un juste équilibre entre les textures et les saveurs, avec l’envie de partager. Des ingrédients de première qualité pour une gamme de chocolats de haut vol Grâce à une sélection des meilleurs cacaos grands crus issus des maisons comme Valrhona, qui dégagent des effluves gourmands mêlés à d’authentiques saveurs, d’incroyables assemblages se découvrent et se dévoilent pour faire grandir naturellement le plaisir d’en consommer. À partir de ces nobles matières premières, L’Espérantine de Marseille produit deux gammes de chocolat : Les Espérantines et Pulsion cacao. La première est issue du très fameux et exclusif chocolat à l’huile d’olive de Francesco Martorana. Les Espérantines se sont imposées avec brio dans le cercle très restreint des chocolats de prestige et ont obtenu le prix de Cordon Bleu de la meilleure Confiserie à Paris. Une distinction bien méritée au vu de l’implication dans la recherche et la créativité de son créateur, Francesco Martorana. La seconde a été regroupée sous la bannière Pulsion Cacao, une sélection de produits de première qualité qui nous apprend à apprécier le chocolat autrement. Bien plus qu’un simple réflexe gourmand, la pulsion n’obéit à aucune règle. Avec ses différentes variétés de chocolats, Francesco Martorana a su faire naître ces pulsions dans le bon sens, des pulsions d’autant plus légitimées par d’incroyables productions « fait maison », qui, en plus de titiller les papilles, nourrissent la créativité. À travers une incroyable palette d’ingrédients, où se retrouvent des fruits secs grillés caramélisés, des chocolats noir, lait ou blanc pur beurre de cacao, ce sont des saveurs précises et tranchées qui vous poussent à retrouver le vrai goût des traditions chocolatières. Les spécificités d’un chocolat artisanal Subtil mélange de chocolat et d’huile d’olive, l’Espérantine de Marseille est un emblème de libération pour les férus de chocolat, qui peuvent décomplexer leur envie de gourmandise. Avec le rameau d’olivier, qui apporte une dimension symbolique à la marque, l’Espérantine de Marseille est un chocolat exclusif de fabrication 100 % artisanale. Un réel savoir-faire et un méticuleux travail d’assemblage et de choix contribuent d’ailleurs à son succès, ponctué par le rameau d’olivier, un symbole qui rassure et qui démontre une autre façon d’être gourmand. ...
Lorsqu’ils ouvrent leur premier magasin à Montreuil-sous-Bois, Les Nouveaux Robinson sont les pionniers dans la distribution de produits bio. Ils s’installent ensuite à Neuilly et Boulogne. Aujourd’hui ils comptent 20 magasins sur toute l’Île-de-France. Leurs produits Tous les produits vendus dans les magasins Les Nouveaux Robinson sont des produits biologiques de qualité. Ils privilégient notamment des labels tels que Nature & Progrès, Demeter et Bio Cohérence qui développent des cahiers des charges plus exigeants que la certification européenne. L’approvisionnement se fait en priorité auprès de petits producteurs locaux avec lesquels ils nouent des partenariats. Pour limiter les déchets, beaucoup de produits sont vendus en vrac et donc au poids : riz, pâtes, fruits secs, diverses céréales et graines, gâteaux secs … Leurs engagements Les Nouveaux Robinson ont fait le choix, entre autres, de garantir une rémunération juste des producteurs, ainsi qu’une redistribution des richesses vers leurs salariés et sociétaires. Ils s’engagent également au niveau écologique en alimentant l’ensemble de leurs magasins en électricité verte grâce à Enercoop. Ils développent aussi une politique de recyclage et de lutte contre le gaspillage alimentaire. Ils ont ainsi mis en place, en partenariat avec l’association Cap ou Pas Cap, un garde-manger et frigo solidaire devant leur magasin installé au 212 avenue de Daumesnil (Paris 12ème). Chacun peut venir y déposer et/ou prendre librement et sans obligation de réciprocité, des denrées alimentaires. Ainsi, il tend à sensibiliser les habitants à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à favoriser le lien social et la solidarité locale. Quant au magasin d’Ivry, il donne chaque jour ses invendus à Emmaüs pour leur distribution alimentaire. L’enseigne donne également ses invendus à des associations d’étudiants qui œuvrent en faveur de l’environnement. Les Alchimistes récupèrent quant à eux les invendus du magasin de Saint-Michel pour en faire du compost local et urbain. Depuis sa création, la coopérative soutient aussi annuellement des associations à vocation écologique et sociale, comme Emmaüs, Les Amis de la Terre, Demeter, Bio Cohérence, Terre de liens, Association Coup de Main, ou encore Nature et Progrès. Les Nouveaux Robinson ont également reçu l’agrément « Entreprise solidaire d’utilité sociale », renouvelé en 2014 pour 5 ans. Cet agrément délivré par la DIRECCTE atteste d’un engagement en faveur de l’équité avec une échelle des salaires réduite et une finalité de service à la collectivité ou aux membres plutôt qu’une finalité du profit. Le Panier Robinson Les Nouveaux Robinson s’engagent aussi pour permettre au plus grand nombre d’accéder à des produits biologiques. C’est pourquoi ils ont mis en place la sélection Panier Robinson composée d’une centaine de produits de consommation courante sur lesquels ils réduisent leurs marges. Depuis janvier 2018, ils ont fait le choix d’y intégrer également deux fruits et légumes de saison et d’origine française. Tous ces produits sont facilement identifiables dans les rayonnages grâce aux étiquettes spécifiques "Panier Robinson". ...
Avec sa silhouette élégante et raffinée, le Sicambre a fière allure. Ancien navire Turque, il a été rénové dans les moindres détails pour répondre aux satisfactions des clients les plus exigeants de la compagnie Bordeaux River Cruise. Stationné le long du ponton d’honneur, entre le Miroir d’Eau et le pont de Pierre, il arbore les couleurs rouge et noir, reflétant le parfait mariage entre la simplicité et l’authenticité. Sur le pont-terrasse, les transats rappellent l’exotisme des îles et promettent des moments de détente dans un cadre d’exception. Mais le Sicambre n’a pas fini d’éblouir… A l’intérieur, la décoration épurée du restaurant témoigne toujours de ce luxe discret : des banquettes bien espacées, un mobilier modulable et un mélange réussi de couleurs. Une cuisine millésimée A bord, la cuisine est embarquée afin que tout soit préparé sur place. Le chef puise son inspiration selon la saison, les trouvailles du marché et les producteurs locaux avec lesquelles il entretient une relation privilégiée notamment en raisonnant l’utilisation des emballages plastiques. Créatif, il met en avant le produit avec simplicité mais n’hésite pas à bousculer la tradition en revisitant les recettes les plus classiques pour leur donner une note originale. Deux types de menus sont proposés par le bateau-restaurant. D’une part, le menu Estuaire est composé d’un verre d’accueil, d’une entrée unique, d’un plat du jour (poisson ou viande) et d’un dessert unique. Leur composition change au rythme de saisons. A titre d’exemple, petit aperçu des mets proposés l’hiver dernier : en entrée, une Tourte aux champignons du moment et au foie gras qui émoustille les palais. En plat principal, un choix entre un Filet mignon de porc aux noisettes, accompagné d'une purée de potiron et de sa poêlée de champignons et un Pavé d'esturgeon, purée de pomme de terre & poireaux confits, accompagné de sa sauce au vin rouge, est proposé. En dessert, une pavlova avec sa base meringuée finalise ce mélodieux repas. D’autre part, il y a le menu Garonne constitué d’un verre d’accueil, d’une entrée unique de saison, d’un plat du jour au choix du chef et d’un dessert unique. Parmi les mets goûteux déjà suggérés par le restaurant figurent le Camembert rôti, carpaccio de canard à l’orange, gratton bordelais à la ciboulette fraîche en entrée, le Suprême de canette et sa sauce aux fruits rouges, accompagné de ses pommes de terre grenaille en plat de résistance et un fondant au chocolat en guise de bouquet final. Enfin, lors d’une réception privée, le bateau-restaurant Sicambre joue la carte de la « cuisine du bout des doigts ». Ce concept transporte les convives dans une véritable dégustation continue, non seulement avec le goût, l’odorat et la vue, mais aussi et surtout avec le toucher. Pas d’assiettes individuelles ni de couverts, les plats sont directement servis sur les tables où pics en bois et serviettes remplacent les fourchettes. La carte offre une large variété de produits régionaux dits « du terroir ». A la découverte des trésors de l’Estuaire Certaines croisières vous emmènent également vers les îles de l’Estuaire et notamment au refuge de Patiras. Lieu d’escale privilégié, l’île offre un paysage riche en diversité qui mérite le détour. Sur place, une équipe de Bordeaux River Cruise réserve aux convives un accueil chaleureux et amical. Et pour les plus motivés, l’équipe propose une visite guidée du phare de Patiras. Les gourmands ne sont pas en reste : le Refuge de Patiras situé au pied du phare historique de l’île élabore une cuisine savoureuse. Tout comme au sein du bateau-restaurant Sicambre, il privilégie le « finger food » concrétisé avec des produits frais issus de la région : poissons de l’Estuaire, crevettes blanches, artichauts de Macau… Le poisson est apporté par les pêcheurs de l’estuaire et cuisiné directement. ...
L’appellation Seyssel est reconnue pour sa méthode traditionnelle, une démarche ancestrale qui permet à un vin de devenir effervescent. Seyssel est également un petit village de vignes, de vignobles et de vins vieux, dont les origines remontent à 2 000 ans. C'est au Ier siècle que les premiers écrits mentionnent la vigne dans la région, avec Pline l’Ancien, un philosophe romain qui vantait déjà les vins de Seyssel. Jouissant d’un climat particulièrement favorable, de mollasses sableuses et d'une bonne exposition au soleil, les vins de Seyssel se distinguent par la finesse des bulles et leur authenticité. Royal Seyssel, un vin, une histoire Dans une bouteille Seyssel, il y a du bon vin, mais il y a aussi quelque chose du passé qui dort là, c’est ce que nous raconte Gérard Lambert : « C’était un vin bu par les rois et reines qui venaient dans la cité voisine d’Aix-les-Bains. Il a été consommé par la reine Victoria et par d’illustres personnalités européennes. Il a été baptisé Royal Seyssel, en leur hommage, en 1901. » Au début, le Royal était effervescent, mais il s’est développé en vin tranquille, appelé le « Seyssel tranquille » issu du cépage Altesse. Ce vin a connu une grande période de gloire mais a vite décliné lorsqu’il fut racheté par un grand groupe. « Il y a eu une dégringolade au niveau des ventes et le site de production a dû fermer en 2007. Cette fermeture a mis en péril tout le vignoble. Tous les vignerons qui apportaient les vendanges ont aujourd’hui les larmes aux yeux », déplore Gérard Lambert. Le Royal, fleuron de l’appellation Seyssel Touché par la disparition de ce patrimoine, le couple Lambert décide de sauver une partie de leur héritage. Mal compris par son entourage, il s’engage dans ce projet fou pour « sauver l’appellation, le tissu viticole et tous les vignerons encore présents ». Il décide d’aller bien plus loin que ses confrères pour lesquels la méthode champenoise consiste pour la plupart du temps à 9-12 mois de vieillissement pour fabriquer les bulles, avant de tourner les bouteilles dans les caves à vin ou à champagne. Selon lui, pour obtenir un bon vin, il faut bien plus. Et de préciser : « Il y a beaucoup de mauvais champagnes, parce qu’ils ne les laissent vieillir qu’un an, alors que les bonnes maisons patientent 2 ou 3 ans avant de tourner les bouteilles. » Ce projet et cette vision lui donnent raison aujourd’hui. Un nectar de haute qualité sur le devant de la scène « Malheureusement, aujourd’hui, ce qu’on trouve dans les bouteilles est très souvent ACIDE, avec de grosses bulles et un dosage trop important.» En revanche, Gérard Lambert ne fait que du millésimé, c’est-à-dire qu’il ne mélange pas plusieurs années. Il laisse en moyenne vieillir ses bouteilles 4 à 6 ans, parfois même 10 ans. Cette méthode crée une qualité largement supérieure à la moyenne, avec une bulle très fine et un nectar pur. Grâce à cette ingéniosité, le Royal de Seyssel est revenu sur le devant de la scène et a été classé pour la deuxième année consécutive parmi les meilleurs effervescents au monde. Les cépages principaux sont la Molette et l’Altesse, qui donnent des vins blancs aux arômes fruités. La Cave Lambert est un petit domaine de 4 ha avec plusieurs cuvées, spécialisé dans l’élaboration de vins de Seyssel en méthode traditionnelle, mais qui offre également une large gamme de vins de Seyssel et de Savoie. À l’œil, le vin Royal Seyssel a une robe jaune avec des bulles très fines. Au nez, il est assez fruité et, en bouche, il est agréable et léger. Il est idéal à l’apéritif avec des canapés salés, des crustacés, des homards ou des langoustines. Une véritable merveille pour les papilles. ...
Situé en bordure de l’autoroute A7, au cœur du vignoble de l’Hermitage, l’ancien Restaurant Umia continue sa belle aventure culinaire sous d’autres couleurs et à travers sa nouvelle appellation Maison Gambert. Repris depuis fin novembre 2015 par Mathieu Chartron, chef passionné et créatif du sud de Lyon et non moins ambassadeur du chef triplement étoilé et grand restaurateur Guy Savoy au Caesars Palace de Las Vegas pendant plus de 7 ans, l’établissement est implanté dans le domaine de Tain l’Hermitage où il jouit d’un cadre magique et d’une excellente réputation. Une cuisine bistronomique Localisée à moins de 3 km de l’entrée de l’autoroute, la Maison Gambert séduit par sa cuisine bistronomique à la table inventive et raffinée où tout est mis en œuvre pour conquérir une large clientèle. Le jeune et talentueux chef Mathieu Chartron et son équipe s’investissent avec passion dans leur métier pour concocter de bons plats simples aux ajustements raffinés, mais aussi des plats gourmands à base de produits frais de qualité préparés avec goût et recherche. Truite marinée à la Chartreuse et betteraves multicolores, poisson du moment, purée de carottes à la citronnelle ou encore panna cotta coco-passion et fruits frais sont autant de raffinements à découvrir et à apprécier dans ce restaurant aux belles assiettes où on se sent particulièrement bien accueilli et où la satisfaction est toujours au rendez-vous. Une carte attrayante et dynamique La Maison Gambert propose une carte attrayante avec une formule entrée-plat-fromage ou dessert et un menu enfant. À travers une cuisine actuelle empreinte d’originalité, elle s’attache la fidélité d’une clientèle régulière et attire la sympathie des clients de passage qui apprécient les plaisirs de la découverte gastronomique dans ses différentes déclinaisons de couleurs et de saveurs. Parmi ses spécialités, la truite marinée à la Chartreuse et la pintade sont des plats particulièrement bien maîtrisés par la maison et qui font sa réputation. D’autres spécialités telles que le tartare de bœuf coupé minute et le cabillaud figurent également aux premières lignes des plats les plus suggérés ou appréciés. Les menus sont renouvelés chaque saison et sont adaptés en fonction des inspirations du Chef. Une équipe de choc Tous les ingrédients sont réunis au sein de la Maison Gambert pour faire de l’établissement, un lieu de rendez-vous et de retrouvailles apprécié des amoureux de la bonne cuisine et où la surprise de nouvelles découvertes culinaires tient les clients en haleine jusqu’à leur prochain passage. Grâce au dévouement d’une équipe compétente qui privilégie l’écoute, le conseil et la qualité de service, l’enseigne peut se targuer d’avoir réussi son pari. Tout cela grâce à la belle association du chef Mathieu Chartron derrière les fourneaux, de José Afonso, maitre d’hôtel, et de Benoît Chartron responsable de salle. ...
Le vignoble de Ribeauvillé connait une histoire tourmentée. En 1895, à cause de lourdes restructurations qui mettent à mal la filière viticole, quelques vignerons décident de se rassembler en une entité unique dans une volonté d’élever le niveau de qualité de leurs produits. Dans cette optique, un mode de fonctionnement spécifique a été mis en place. Les adhérents rapportaient leurs raisins à la coopérative et, en contrepartie, ils bénéficiaient d’une rémunération. Au travers d’une équipe technique et commerciale, la cave se chargeait de la vinification, du vieillissement ainsi que de la vente. Au fil des années, elle a su renforcer sa notoriété dans le paysage viticole français. Régulièrement récompensée, elle vient d’ailleurs d’être élue cette année « Coopérative de l’année 2016 » par La Revue du vin de France. À propos de la cave La cave de Ribeauvillé regroupe une soixantaine de vignerons mais, dans les faits, ce sont 48 vignerons qui détiennent effectivement 95% de la surface totale de production. Dans les années 50, la coopérative s’est initiée à l’exportation et, aujourd’hui encore, une grande partie des débouchés se trouve à l’étranger. D’ailleurs, ses vins sont présents sur les tables de plus de 40 pays dans le monde. Dans un souci d’offrir une meilleure qualité, des sélections parcellaires ont été mises en place. Cette démarche a été adoptée dans l’optique de mettre en valeur l’ensemble des terroirs du domaine. En 2001, une charte de qualité a été signée par les coopérateurs pour que 235 hectares de vignes soient entièrement récoltés à la main. Particulièrement engagé, le domaine s’oriente également vers une démarche raisonnée ou bio, car sa priorité est de valoriser l’expression du terroir, de préserver la qualité environnementale. Les vins La Cave dispose dans ses caves de plusieurs cuvées aussi sublimes les unes que les autres. Hormis celle du clos Zahnacker, on peut citer notamment le Crémant d’Alsace La Grande Cuvée Brut, un vin fin, sec et équilibré, élaboré à partir de pinot noir et de chardonnay. Différents millésimes sont assemblés pour sa mise en bouteille. Le Gewurztraminer 2012 Grand Cru Altenberg de Bergheim Grande Réserve, est issu d’un vignoble fortement pentu au sud du Grasberg. Son terroir est riche en fossile, avec des sols marno-calcaires très caillouteux. Ce vin est long en bouche, structuré et puissant, avec des notes de litchis mûrs en nez. Le Pinot Gris Lieu-dit Silberberg, appellation Alsace Contrôlée, est de couleur jaune pâle. Ce vin, parfaitement équilibré, a été médaillé d’argent aux Grands Concours du monde 2015. Le Riesling 2014 Bio est en appellation AOC Alsace, certifié biologique par Ecocert. Son vignoble de 11 hectares n’utilise aucun traitement chimique. Œnotourisme La cave de Ribeauvillé est animée par de nombreuses activités. Chaque année, elle organise un « Rallye des grands crus », invitant le public à partir à la découverte des vignobles et des terroirs. Il s’agit d’une marche de 8 km s’effectuant à travers le vignoble, ponctuée de dégustations des cuvées et de jeux. En outre, la cave et le musée de la Vigne et de la Viticulture sont mis en avant par le biais de 2 visites guidées quotidiennes, hors weekend. Quant au caveau de dégustation, il est ouvert toute la semaine sans oublier le weekend et les jours fériés ...
Dans un paysage champêtre typique de la Marne, en contrefort du bassin de l’Île-de-France, mais aussi sur les coteaux du Sézannais, se dresse, sur un escalier de coteaux de craies d’une étendue de 25 hectares, le vignoble du champagne Launois Père & Fils. Cette oasis de grand cru est l’un des plus vastes domaines de vignerons de la côte des Blancs. Portrait du terroir et de l’exploitation En pénétrant dans le terroir, les allées de vignes offrent de beaux cépages champenois typiques de la région. Au-dessus du sol crayeux émergent les belles baies de pinot noir, de pinot Meunier et de chardonnay, prenant tout en douceur couleurs et arômes, en attendant la saison des vendanges. Dans ce cadre paisible et enchanteur, la machine du pressoir tourne, et le temps aussi. En effet, tout s’habille de neuf, comme le chai rénové récemment dans le but d’améliorer les cuvées. La thermorégulation des champagnes est ainsi optimisée grâce aux cuves en inox, et la finesse aromatique est d’autant plus relevée par la conservation en fûts de chêne. Une balade surprenante et gustative au domaine Launois Père & Fils Ouvert au public depuis 1978, le domaine propose durant l’année des journées oenotouristiques afin de tout savoir sur le terroir, l’élaboration des cuvées et les propriétaires, mais aussi sur les saveurs culinaires préparées pour l’occasion. Le voyage sensoriel commence dès les allées de vignes, et la promenade est idéale durant les vendanges. Un moment d’initiation concrète à la cueillette des raisins. Pour combler les envies gourmandes, place aux dégustations de champagnes, mais aussi aux repas gastronomiques à base de champagne concoctés par le chef dans le petit château. C’est l’endroit parfait pour déguster les incontournables comme la cuvée Grande réserve, caractéristique du terroir, ou encore le millésime et la cuvée Prestige, élaborés avec des raisins issus de vieilles vignes. Le musée, un incontournable du domaine, est un arrêt dans le temps avec ses photographies d’époque et ses expositions de machines traditionnelles. ...
Tout commence en 1945, année où René Lacave plante ses premières vignes. Par la même occasion, il se spécialise dans le greffage et la multiplication de plants de vigne et devient pépiniériste viticole. Trois générations plus tard, c’est toujours avec la même passion que la famille Lacave travaille ses terres et ses vignes. La gestion du domaine est aujourd’hui confiée à Sonia et à son frère Jérôme. Et leurs parents Francis et Michelle sont là pour apporter leur savoir-faire et leur expérience. Ici, la vigne est une affaire de famille et il n’y a aucune raison que cela change ! Honneur aux cépages locaux Le domaine de Lartigue travaille sur un vignoble d’une superficie de 51 hectares, réparti sur deux sites différents. Une partie profite des coteaux ensoleillés du Bas-Armagnac, reposant sur un sol à dominante boulbène (limon et sable), tandis que l’autre pousse sur des sols argilo-calcaires de l’Armagnac-Ténarèze. « Nous disposons de terroirs qui se prêtent particulièrement bien aux cépages locaux », précise Sonia. En effet, l’encépagement est constitué à 80 % de cépages blancs typiques de la région, tels que le colombard qui procure aux vins des côtes de Gascogne leur côté fruité et aromatique, le baco (cépage hybride unique au monde, né du croisement entre la folle blanche et le noah), l’ugni blanc, le petit manseng, le gros manseng ainsi que le chardonnay, le pinot gris et le sauvignon blanc. Les 20 % restants sont dédiés aux cépages rouges : marselan, merlot, tannat, cabernet-sauvignon et syrah. Du plant de vigne au vin Étant à la fois producteur de plants de vigne et viticulteur-récoltant, le domaine de Lartigue maitrise parfaitement toute la chaine de production. Le travail de la vigne se fait dans le respect des traditions mais aussi de l’environnement. Depuis quelques années, la famille Lacave applique une viticulture raisonnée qui donne naissance à des raisins sains et de qualité, reflétant toute la typicité du terroir. Apport d’engrais organiques, effeuillage, enherbement, techniques de piégeages appuyés par des données météorologiques fiables pour éviter l’usage d’insecticide… Le domaine ne lésine pas sur les moyens afin d’assurer une production qualitative. Certaines parcelles font même l’objet d’une expérimentation pour le moins originale. Afin d’aider les vignes à lutter contre les maladies, on diffuse tout bonnement au niveau de ces parcelles de la musique classique à des horaires bien précis. « Grâce aux effets des vibrations produites par la musique, la vigne développe une résistance face aux maladies comme l’esca qui ravage les vignobles gersois depuis une dizaine d’années », nous révèle-t-on. Côté vinification, la même rigueur et le même souci de la qualité ont poussé le domaine à combiner savoir-faire ancestral et technologie moderne. Avant d’atteindre leur pleine maturité, les baies font systématiquement l’objet d’une analyse gustative poussée. Une fois récoltés, les raisins passent par un schéma classique de vinification : d’abord une macération pelliculaire puis un pressurage pneumatique avant le débourbage, la stabulation à froid (de 10 à 12 jours), la fermentation à basse température afin de préserver la finesse des arômes. Et pour terminer, un élevage sur lies donnant lieu à des vins complexes et bien structurés. Une large gamme de produits Le domaine présente une riche gamme de produits, incluant des vins des côtes de Gascogne, des flocs de Gascogne et des armagnacs qui font la fierté de la maison. Fruités et légers, les vins de Gascogne se déclinent en blanc, rosé et rouge. Moins connu mais tout aussi savoureux, le floc de Gascogne est, quant à lui, élaboré à partir d’un mélange subtil de jus de raisin et d’armagnac. En blanc ou en rosé, celui-ci reste un produit authentique, qui fait l’objet d’une appellation d’origine contrôlée. Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et dévoile ses armagnacs, et surtout une collection exceptionnelle de vieux millésimés...
En septembre 2014, Charles Danet et Agnès Peyre ont ouvert le restaurant Le Timbre, situé à proximité du Jardin du Luxembourg et du quartier Montparnasse. Ce restaurant porte bien son nom puisqu’il est agréablement étroit, de la taille d’une salle de séjour. Il peut accueillir jusqu’à 22 personnes. Les tables en bois disposées côte à côte en deux rangées renforcent l’ambiance intimiste et conviviale du lieu. Dans la cuisine ouverte sur la salle, seul le chef Charles Danet s’expose aux regards pour concocter votre repas. Après l’Australie et Bruxelles, il met toute son expérience au service d’une cuisine de bistrot personnelle et innovante. Il excelle dans les méthodes de cuisson, notamment la basse température. Pas de carte, des menus fixes L’établissement propose uniquement des menus fixes, renouvelés toutes les 2 semaines. À midi, vous avez le choix entre le menu à 23 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, et le menu à 28 €, incluant une entrée, un plat et un dessert. Le soir, également 2 formules : à 36 € avec une entrée, un plat et un dessert ou à 45 € avec 2 entrées, un plat et un dessert. Les plats phares, le pigeon désossé cuit à basse température et la poitrine de cochon caramélisée au gingembre, sont plébiscités par les clients. Mais vous pourrez peut-être y déguster un filet de merlu de ligne avec une émulsion à l'ail des ours ou un maquereau mariné, huile d'orange et eau de tomate verte. Tous ces plats sont mariés avec subtilité à des légumes de saison. Vous serez également conquis par les desserts comme les figues rôties servies avec une glace Panettone maison ou le crémeux au chocolat NYANGBO 68% et noisettes du Piémont. Notons également les fantastiques truffes noires du pays de Forcalquier en saison. Une carte des vins composée avec passion Agnès Peyre a mis sa touche personnelle pour composer la carte des vins. Elle offre une sélection de domaines qui mettent en avant le travail de vignerons de petites propriétés, travaillant en agriculture biologique, en biodynamie, ainsi que certains vins « nature ». Vous découvrirez, par exemple, La Roche aux moines de Clément Baraut, des blancs du Jura de Jean-François Ganevat, des bourgognes de Sylvain Pataille et Fanny Sabre, des vins du Basque Imanol Garay ou du Languedocien Romain Portier. Chaque jour, des vins au verre sont suggérés : 3 rouges, 3 blancs et 1 rosé. ...
La Colline aux Orchidées Les parcelles du château Bourdicotte sont adossées à une colline qui domine l'Entre Deux Mers. Le Museum d'Histoire Naturel décrit cette butte comme un affleurement calcaire remarquable pour sa diversité en orchidées de plus de 15 espèces. Ces orchidées sauvages ont besoin pour se développer d'espaces ouverts non boisés où la végétation est basse et peu dense. C'est sur cette butte que coexistent harmonieusement orchidées sauvages et les parcelles de vigne conduites en agriculture biologique du château Bourdicotte. Petite ferme et Grand terroir Bourdicotte signifie "petite ferme" et même "très petite ferme" en Gascon. La présence d'orchidées autour des parcelles de notre petite ferme confirme ce que nous savions déjà de notre terroir : un horizon cultural peu fertile propice à une production alliant faible rendement et grande qualité. L'affleurement calcaire draine l'eau de pluie mais maintien une légère humidité même lors de grande sècheresse, assurant un état de stress hydrique modéré à la vigne, garant d'une production de raisins aromatiques, sucrés et colorés et de vins subtils et équilibrés. ...
Tel un bijou dans son écrin de verdure, La Table du Château de Laléard est une belle découverte pour qui sait apprécier le caractère particulier des vieilles bâtisses. Représentant une des meilleures tables à des kilomètres à la ronde, le domaine est un véritable lieu d’exception. Une étendue de tapis vert en pleine campagne, ponctuée de magnifiques espaces arborés, fait le charme de cet établissement où la cuisine familiale est toujours à l’honneur. Privilégiant les produits de saison et de marché, l’enseigne s’attache à collaborer avec les producteurs locaux qui sont ses principaux fournisseurs. Découvrez les talents du chef Thierry Favier à travers une cuisine authentique, concoctée avec passion à partir de produits locaux et de région. Délectez-vous d’escargots, d’huitres et de foie gras pour le plaisir des papilles. Le restaurant ne dispose pas de carte proprement dite pour la simple et bonne raison que tout tourne autour des suggestions du chef Thierry Favier. En fonction des produits qu’il rapporte, un menu à l’ardoise est dressé. Le menu plafond se compose d’une entrée-plat-fromage-dessert avec, notamment, 2 choix de plats et 2 choix de desserts qui varient tous les 3 mois, c’est-à-dire à chaque saison. Des découvertes culinaires à ne pas rater En famille ou en amoureux, ne vous privez pas du plaisir de savourer son duo de foie gras maison au chutney ou encore sa gelée « Pineau des Charentes » suivie de son incontournable moelleux au chocolat de Guarana qui est une véritable découverte en matière de dessert. Une belle gamme de vins accompagne le tout, dont principalement le Baudry Vieilli, un excellent vin de région. Mais cela n’empêche pas qu’on y trouve aussi du cognac ou du Pineau des Charentes par exemple… L’enseigne a bâti sa renommée sur la relation de confiance qu’elle a entretenue avec les petits producteurs qui lui proposent d’excellents vins biodynamiques ou sans soufre également. Soigneusement sélectionnés par Thierry Favier en personne, les vins sont issus de maisons et de producteurs avec qui le château a l’habitude de travailler. ...
Idéalement situé sur le port de Vannes, ce restaurant « bistrot chic » a tout juste re-ouvert le 31 janvier 2016, après d’importants travaux de rénovation. La décoration, entièrement refaite, révèle une tendance contemporaine agrémentée de touches asiatiques ; en témoignent les tableaux d’un grand maitre malaisien qui égayent les murs et la tapisserie aux motifs de fleurs japonaises. La salle dispose de 10 tables pour 30 places. Le service de qualité, les produits frais et l’accueil chaleureux forment le socle contribuant au succès du restaurant Rive Gauche. Une cuisine d’inspiration Après avoir passé plusieurs dizaines d’années en Asie, Dominique Blais a finalement décidé de se poser et d’ouvrir un restaurant à son propre compte. « Le Rive Gauche met en avant la cuisine française, revisitée avec une touche personnelle à tendance asiatique et des saveurs du monde», présente-t-il. C’est un chef qui fait une cuisine libre et un peu rebelle. Compte tenu de l’emplacement idéal du restaurant, sur le port de Vannes, celui-ci privilégie le poisson, les fruits de mer et les coquillages, sans toutefois délaisser les viandes et les volailles. Tous les produits utilisés en cuisine sont issus du terroir de la Bretagne et du Morbihan et proviennent des marchés locaux. Grâce à son inventivité et à son inspiration hors du commun, le chef parvient à sublimer ces ingrédients pour que ceux-ci livrent leur plus belle expression. Récemment, il a surpris ses convives en proposant sa papillote de fruits de mer et poissons nobles, servie avec une sauce aigre-douce à la mangue et aux agrumes, cuite et servie dans une feuille de banane. À la carte et à la cave Le restaurant Rive Gauche propose différentes formules. À 19 € et 25 €, les deux formules du midi offrent un rapport qualité-prix plus que satisfaisant. Elles sont composées de deux entrées au choix, de deux plats principaux avec une viande ou un poisson et de deux desserts. Dans la gamme des plats principaux, la papillotte de bar curry coco, mangue font le bonheur des fins gourmets. La carte du soir, à 36 € et à 42 €, se compose de trois formules différentes, avec trois entrées, trois plats principaux et trois desserts au choix. Parmi les plats les plus prisés figurent le croustillant de crevettes à l’avocat, la déclinaison au goût Asiatique. Rive Gauche étant un bistrot, la carte des vins se doit d’être en adéquation avec les suggestions culinaires. Elle est éclectique bien qu’elle privilégie davantage les cuvées de la région et des Pays de la Loire. La maison a surtout une préférence pour les vins bio ou produits par des petits vignerons passionnés. Le maitre Cuisiniers de France et la sommelière / Maitre d’hotel de Rive Gauche parcourent les salons consacrés aux vins pour sélectionner les cuvées dignes de la maison. Le parcours de Dominique Blais « La passion et le travail devraient former un seul tout », selon Dominique Blais. Le maitre Cuisinier a passé toute sa vie active à exercer dans le milieu de la restauration et de l’univers culinaire. Cela fait 30 ans qu’il parcourt l’Asie et le monde aux services de grands hôtels 5 étoiles de renommée internationale comme Starwood, Ritz ou Hyatt, où il a tenu le rôle d’Executive chef et de créateur de concept restaurant. En pratique, son travail consistait à concilier le domaine de la gastronomie de haut standing à celui du marketing. Fort de ses expériences, Dominique Blais n’a pas hésité à sauter le pas et à se mettre à son propre compte pour ouvrir Rive Gauche. ...
Dans un décor authentique à l’ambiance décontractée, l’enseigne perpétue une tradition vieille de plusieurs années en continuant à recevoir des diners d’artistes, mais aussi des diners en famille, en amoureux ou entre amis. Observant une fermeture hebdomadaire le dimanche, le restaurant est accessible du lundi au vendredi, de 12 h à 14 h 30 et de 19 h à 23 h 45, et le samedi, de 19 h à 23 h 45. L’avantage étant que jusqu’à une heure avancée de la nuit, il vous est encore possible de profiter des plats généreux à base de produits frais et de saison proposés par l’établissement. Le rendez-vous des fines bouches Proposant une cuisine traditionnelle française, La Cloche d’or vous invite à découvrir son menu à la carte entre 40 et 50 €, avec un menu du soir à 2 plats + 1 dessert à 34,50 €, sa formule midi à 2 plats à 28 € et celle à 3 plats à 31 €. Laissez-vous tenter par son délicieux camembert rôti avec ciboulettes, ses coquilles Saint-Jacques en saison ou son fumé de saumon, sans oublier sa fameuse côte de bœuf, mais aussi sa joue de cochon au curry jaune et riz basmati. Comme desserts, ne ratez surtout pas sa fameuse mousse au chocolat ou encore à sa tarte fine aux pommes qui sont particulièrement renversantes. Dans un bel assortiment de vins essentiellement issus de petits propriétaires, La Cloche d’or prend soin d’effectuer elle-même ses sélections, sans faire appel à des cavistes, en proposant un choix d’une quarantaine de références. Une carte plutôt éclectique, qui se marie bien avec ses plats. ...
C’est à Champillon, un village de la vallée de la Marne, que la famille Méa vit de sa passion pour la vigne et le vin. Sur son vignoble riche de nombreux hectares et implanté dans les terroirs les plus notoires de la région champenoise, elle travaille ces cépages dans le respect de l’écosystème et de l’environnement. La production reste confidentielle. La maison préfère se concentrer sur la qualité selon une démarche orientée sur l’excellence. Pour sa marque, Alexandre Méa, dirigeant de Champagne Carbon, a voulu associer le passé et le présent, la technologie et la perfection, en proposant un emballage exceptionnel pour son nectar. Un packaging à forte identité « Il a fallu près de quatre ans de recherche et développement pour pouvoir sortir la bouteille », révèle le fondateur. Et quelle bouteille ! Celle-ci casse les règles en se recouvrant entièrement d’une fine couche de carbone. En plus de protéger le vin et de l’aider à mieux vieillir tout en le respectant, cet habillage procure une différence énergétique au nectar qui a la chance d’être issu des meilleurs terroirs champenois. Pari gagné en tout cas pour le vigneron et son équipe. Le flacon recouvert de matière carbonique symbolise un univers technique marqué par la performance et la puissance. Il n’a donc pas fallu longtemps à Champagne Carbon pour se faire remarquer dans des secteurs prestigieux où ce matériau est privilégié à l’instar du sport automobile. Depuis 2017, la maison est en effet partenaire de la Formule 1. En 2019, elle devient champagne officiel de la maison Bugatti. Bien que le succès ait été fulgurant, la maison continue de miser sur une approche « modeste » dans son travail, mettant en valeur la tradition champenoise et le savoir-faire familial. Des cuvées qui marquent tous les esprits Alexandre Méa précise que « chaque bouteille est réalisée et habillée à la main. À la suite de la vinification, la production nécessite une dizaine d’étapes différentes. Un délai d’une semaine au moins est nécessaire pour produire une bouteille. » De ce procédé long et complexe naissent plusieurs cuvées millésimées. Parmi les incontournables de la maison, le Champagne Carbon Brut, composé de 50 % de chardonnay, de 25 % de pinot noir et de 25 % de meunier. Lumineuse dans sa belle robe or, la cuvée exprime des notes salines au nez. En bouche, place à des saveurs gourmandes et délicates, associant beurre caramélisé salé, arachide, boisé fin et viennoiserie. ...
Fromage au lait de vache entier, à la forme unique et au goût authentique, fabriqué dans le respect de traditions ancestrales, le Langres doit sa renaissance dans les années 1950 à quelques fromagers passionnés. Ses origines Connu depuis le XVIIIe siècle, le Langres est évoqué pour la première fois par le prieur des dominicains de Langres. Un siècle plus tard, un livre dédié à la production fromagère le compare au Maroilles et au Livarot. Alors qu'à l’origine il est fabriqué essentiellement pour une consommation familiale et locale, la production de Langres s'élève à près de 1 000 tonnes à la fin du XIXe siècle. Les fromages sont alors expédiés vers Paris, vers l'est de la France, et parfois même vers la Suisse. Cette période florissante voit le développement du Langres jusqu'au début du XXe siècle, avant qu'il ne tombe dans l'oubli et manque de disparaître dans les années 1950. Parce qu'il est un savoir-faire préservé, le Langres a obtenu en 1991 sa reconnaissance en appellation d’origine contrôlée (AOC), puis en 2012, celle d'appellation d’origine protégée (AOP) grâce à la mise en place d'un cahier des charges strict. Un bon fromage artisanal La fabrication du Langres n'a que peu évolué au fil du temps. La première étape de la fabrication est l'emprésurage au cours duquel le lait est mis à cailler. Lorsque le caillé est suffisamment ferme, il est tranché avant d'être mis dans des moules où il s'égouttera pendant environ 24 heures. Démoulés, les fromages sont salés à sec et séchés sur grille. Lors de l'affinage, ils sont frottés avec une solution additionnée ou non de rocou. La fontaine du Langres, cette petite cuvette à son sommet, est sa caractéristique essentielle. Elle est obtenue naturellement, car le fromage n'est jamais retourné au cours des différentes étapes de sa fabrication, mais toujours posé du même côté. Traditionnellement, certains Langres sont affinés au marc de Bourgogne ou de Champagne, versé dans la fontaine. Comment déguster le fromage de Langres ? L'AOP Langres est un fromage à la pâte fine et fondante et à l'odeur de crème. Sa saveur, d'abord fruitée et lactique (goût de yaourt, de crème), devient plus typée avec l'affinage du fromage, mais toujours sans outrance. S'il est avant tout un fromage de plateau, traditionnellement servi en fin de repas, le Langres révèle également toutes ses saveurs en cuisine : chausson de volaille au Langres, profiteroles au Langres, croustillant de Langres… Son association avec un vin de cépage chardonnay est idéale. ...
« TOURISTES CURIEUX, AMATEURS DE VINS, ENTREPRISES, VENEZ DÉCOUVRIR, COMPRENDRE ET APPRENDRE LA DIVERSITÉ DES VINS DE CHAMPAGNE » Entourée de ses adhérents et implantée au cœur du vignoble, l’Ecole des Vins de Champagne vous invite à la découverte des vins de Champagne. Soutenue par la profession, elle est complémentaire aux actions de promotion et d'accueil mises en œuvre par les différentes maisons de champagne, coopératives, viticulteurs ainsi que par l'interprofession. Tout au long de l'année,plusieurs sessions ludiques et pédagogiques sont proposées au grand public qui vont de l'initiation à la dégustation simple jusqu’à un parcours plus approfondi mêlant dégustation, gastronomie, visites et découverte du vignoble. Lors de ces « cours de dégustation », comme le souligne Étienne Monet, directeur de l’établissement, l’institut tient à « faciliter la transmission du savoir par le biais de termes et de techniques faciles à retenir ». La Villa Bissinger est le lieu de dégustation de prédilection avec une cave pédagogique riche de plus de 250 références. Cette mosaïque de pinot noir, de pinot meunier, de chardonnay et d’assemblage « fera comprendre au public le potentiel de diversité que nous offre les vins de Champagne », toujours selon Étienne Monet. Une formation enrichissante au cœur de la Champagne Allant des journées découvertes aux programmes personnalisés, en passant par les parcours initiatiques, l’Institut international des vins de Champagne offre des prestations variées, « à la carte », selon vos envies. Entre amis, en famille ou avec des collègues, déambulez ensemble au pays du champagne en découvrant ses Hommes, ses Vins et la richesse de son histoire. ...
Au restaurant Sens Uniques, les plats classiques ont cédé leur place aux petites portions onctueuses, faites maison... signées Frédérick Lyard. A partir des produits disponibles selon la saison, cet ambassadeur de l’originalité mettra dans vos assiettes des alliances authentiques et des saveurs inédites. Une ambiance au goût de « chez soi » Avec la nouvelle décoration dont la gérante Emma Azoura en est l’artiste, fini l’atmosphère guindée. Le restaurant Sens Uniques baigne désormais dans une ambiance conviviale, cosy et chaleureuse. Le blanc du mur et des chaises et fauteuils dépareillés en bois et kilim se marient parfaitement avec la couleur sombre du bar et des tables. Emma n’a pas fait les choses à moitié pour confectionner, dit-elle, « un cadre plus tendance, plus design, une sorte de cocon où les convives se sentiront comme à la maison ». La lumière, les couleurs, chacun des éléments décoratifs, les détails dans son ensemble ont été minutieusement pensés pour un résultat visuellement plaisant. Un écrin de l’authenticité Au Sens Uniques, des mini-plats aux goûts différents sont préparés dans le respect des produits. « Allier mais pas dénaturer les matières premières » affirme Frédérick Lyard. Et durant la semaine, l’ardoise qui change chaque jour au gré du marché et des inspirations satisfera sans aucun doute toutes les envies. Pour commencer le repas, la maison recommande l’une de ses spécialités : le foie gras mi-cuit à l'armagnac et miel d'acacia, chutney rhubarbe et pommes reinettes infusées à la Corona. Le talent du chef vous sera ensuite confirmé par le délicieux Cabillaud rôti, cresson, noisette et orange. Enfin, passer à côté de la Poire, marron, fève de tonka, un des desserts incontournables, est impensable. En prime, le restaurant et son équipe accueillent également sa clientèle à bras ouverts le dimanche. Un brunch à la carte y sera proposé où il est possible de composer soi-même son menu au rythme de son appétit. Une belle carte de vins Un tel régal ne peut s’accompagner que d’un bon vin ! Et pour cela, la cave du Sens Uniques fera le bonheur de ses convives. Pas moins de 139 références de vins : des grandes appellations mais aussi des « bonnes choses des petits producteurs » selon les termes d’Emma Azoura. « Il y en aura pour tous les goûts et tous les budgets » se félicite-t-elle. ...
À Saint-Ciers-sur-Gironde, dans le département de la Gironde, près du port des Callonges se trouve un petit endroit calme et paisible propice à la dégustation de la bonne cuisine et d'une carte de cocktails élaborée par notre chef barman. Un cadre hors du temps La bâtisse en bois et les poutres apparentes renforcent vraiment l’idée de cabane. La salle lumineuse et épurée offre une vue imprenable sur l’estuaire. Cette guinguette du bout du monde est une cabane ostréicole aménagée offrant une invitation à une escapade romantique et conviviale. « C’est un endroit familial où on dîne au calme », nous confie l'équipe composée de Hugues, Cédric, Dorothée et Vincent. Sans plus attendre, venez prendre un apéritif au coucher du soleil, bercé par un rythme jazzy et ponctué par les clapotis de l’eau… un moment de détente inoubliable. Une cuisine au gré des marées… « Ici, on sert une cuisine bistronomique, simple et délicieuse, où des produits du terroir sont mis en valeur » nous disent-ils. L’estuaire de la Gironde est le plus grand d’Europe et regorge d’une grande variété de poissons migrateurs, au goût authentique et estival. Au restaurant, vous pourrez déguster notamment le bar, le carrelet ou plie, la crevette grise, la sole ou encore le mulet. La carte est alimentée par les produits frais du jour. Parmi les spécialités du chef, figure la salade césar en entrée, suivie du filet de poisson du jour et des œufs au lait en guise de dessert. Un bordeaux blanc « Prestige » du Domaine Cassard accompagnera à merveille ce repas aussi délicieux que copieux. ...
Une petite soif ? Laissez-vous surprendre par le goût inimitable des jus de fruits Elite naturel ! Parfaits pour toute la famille, ils sont à consommer sans modération. Un partenariat « juteux » Active depuis 1975, Elite naturel est une entreprise familiale de boissons implantée en Turquie. À partir de 2003, elle s’est lancée dans le bio et s’illustre rapidement dans le domaine. Devenue leader des jus de fruits bio, la société a acquis depuis une renommée mondiale. Une notoriété qu’elle a su développer en partenariat avec la société Colibri. Cette dernière étant l’importateur distributeur de la marque Elite naturel. Colibri dispose d’un vaste réseau de clients auprès desquels il peut promouvoir non seulement sa propre marque mais également les marques Elite naturel. « Colibri travaille avec 90 % des magasins bio de France, y compris des épiceries fines, des pharmacies et quelques restaurants », souligne Béatrice Claman, la responsable commerciale. Des produits toujours plus innovants Constamment à la recherche de nouveaux goûts à proposer aux consommateurs, Elite naturel ne cesse d’innover ses produits. Aujourd’hui, l’entreprise peut se vanter de disposer d’une riche gamme de jus bio aux saveurs surprenantes : cerise, pastèque, abricot, mulberry, myrtille, melon… autant de délices pour les papilles ! Béatrice Claman explique fièrement : « On arrive à proposer des jus extraordinaires qui n’existent pas en France. » Mais le produit « star » de l’entreprise reste sans conteste le jus de grenade bio. Une nouvelle variété a justement été lancée sous le nom de grenade « Pink ». Sa douceur et sa couleur rose naturelle offrent un réel plaisir pour les sens. D’un point de vue purement gustatif, les consommateurs apprécieront du 100 % pur jus, sans ajout de sucre ni d’eau. En outre, c’est « le seul jus de grenade équitable au monde », rajoute Béatrice Claman. Ce qui en fait un produit vraiment exceptionnel. ...
Le restaurant S’Zwilling Stuebel, établi depuis 1998 dans la rue Kuhn, dans le quartier de la Gare, à Strasbourg, est tenu par Joan et Maxime Bitzner. Un couple complice et polyglotte, qui se fait un plaisir à recevoir les convives venus de la région mais aussi de lointaines contrées. Ici, esprit de partage et valeurs culinaires traditionnelles sont à l’honneur. Le riche parcours du chef S’inspirant de ses voyages en Asie, notamment la Chine qu’il affectionne particulièrement, puisque son épouse en est originaire, Maxime Bitzner invite à la découverte d’une cuisine française revisitée qui se réserve quelques petites touches exotiques. C’est avec fierté qu’il nous confie : « Ma cuisine est influencée par les endroits que j’ai parcourus. » Il aime ainsi explorer les saveurs et les produits exotiques pour perfectionner ses créations culinaires. Sortant de l’école hôtelière de Strasbourg, ce chef passionné a effectué sa formation dans le Gers et a acquis ses premières expériences dans le Var, à Bordeaux, à Nancy et dans le nord de la France. Après avoir exercé un temps au Château de Pourtalès, il décide de poser ses valises à Strasbourg pour y ouvrir son propre restaurant. Fort de ses nombreuses années d’expérience, il propose une cuisine française, s’ouvrant au monde et préparée avec des produits frais. « Mon objectif est de ne jamais dénaturer le produit, de lui laisser sa plus belle expression », raconte-t-il. Une cuisine aux mille et une saveurs Pour les travailleurs pressés du midi, S’Zwilling Stuebel propose une formule à 10 € composée d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Pour ceux qui souhaitent déguster les spécialités régionales, un menu à 26 € met à l’honneur les saveurs du terroir. Pour le printemps, la maison réserve à ses convives une carte gourmande et savoureuse. En entrée, la déclinaison de pommes de terre à l’huile de noisette égaye déjà les papilles des plus gourmands. Le repas se poursuit avec une gibelotte de lotte rôtie au basilic accompagnée de petits légumes. Au dessert : rien de tel qu’une mousse au chocolat et coulis de fruits rouges ou un tiramisu à l’italienne maison pour apporter de la douceur à ce repas mélodieux. Côté vins, la carte privilégie les grands millésimes d’Alsace comme le riesling grand cru et du pinot gris. Et pour accompagner les gibiers agrémentés de sauces légèrement corsées, rien de tel que les côtes-du-rhône et les bordeaux, qui prennent une place importante dans la gamme des vins. ...
L’exploitation viticole du Château du Raux est une propriété de 30 hectares, comprenant une belle maison de XVIIIe siècle et un vignoble groupé autour des bâtiments. Elle est située à proximité de la Gironde, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc, entre Pauillac et Margaux. La maison est réputée pour son Cru Bourgeois, médaillé à plusieurs reprises, issu de ce domaine familial transmis de génération en génération depuis 1879. Un sol béni de Dionysos Le champ viticole de la maison s’étend sur 20 hectares, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc. Il appartient à Patrick Bernard et à sa famille depuis des générations. Leur vigne, renouvelée au fil des ans, est vieille d’un quart de siècle. À cet âge idéal, les récoltes sont moins abondantes, mais elles donnent des grappes de raisin plus concentrées. Ce sont ces vieilles vignes qui contribuent à produire les meilleurs vins. Bénéficiant d’un sol sablo-graveleux d’excellente qualité et pauvre en minéraux sur un mètre de profondeur, leur terre favorise la lente croissance de la vigne, tandis que le sous-sol en argile assure une alimentation hydrique régulière. Une telle combinaison donne des vins rouges d’exception, aux arômes puissants, à la fois complexes et persistants. Le climat bordelais, en outre, offre les conditions nécessaires pour parfaire cette entreprise familiale : du soleil, un vent d’automne, un hiver sans gelées et un printemps relativement humide. Ce cadeau de la nature, associé à un grand professionnalisme, est garant de la grande qualité de chaque millésime du Château du Raux. Des millésimes d’exception Le vin du Château du Raux bénéficie du climat chaud de la région, avec une bonne répartition des précipitations et une période sèche propice à la vendange. Le merlot et le cabernet-sauvignon, cépages traditionnels en Haut-Médoc, expliquent la belle couleur intense, la puissance, l’élégance et la souplesse présentes dans tous ses millésimes. Le millésime 2013, en l’occurrence, se démarque par la richesse de ses arômes. Le nez est marqué par des notes épicées de type clou de girofle, des notes boisées, sous forme vanillée. Le soupçon de fruits mûrs et de notes boisées qui attisent la gourmandise est également présent dans le millésime 2012. Son attaque puissante reste, cependant, son atout vu qu’elle promet un grand potentiel de garde. Quant aux papilles adeptes des bouches rondes et souples, le millésime 2011 est un excellent choix. Peu ouvert, à la structure fine, aux tanins souples et aux arômes discrets, ce vin séduit par sa rondeur et sa souplesse. Il figure dans « Bordeaux, le millésime 2011 » de Jacques Dupont (Le Point, mai 2012), qui lui a attribué la note 14. Le même auteur a également donné la même note à son cadet, le millésime 2010, dans « Bordeaux, le millésime 2010 » (Le Point, mai 2011). Le millésime 2010 partage la même bouche tendre et légère que son aîné, mais se distingue par son arôme de cassis. ...
Pierre Vandendriessche, décorateur originaire de Lille, a acheté au départ, Le Château de Courban, uniquement pour en faire une maison de famille. Le destin veut, cependant, que cette demeure solitaire devienne une infrastructure hôtelière. Elle commence à héberger des chasseurs venus de loin et évolue au fil du temps. Le château dispose aujourd’hui de vingt-quatre chambres et suites de charme, d’un pigeonnier amménagé sur deux étages, d'un Spa Nuxe, sauna, hammam, jacuzi, hydroget, salle de soin individuelle et salle de soin en duo, de jardins en cascade, d'une piscine à double débordement et d'un restaurant Gastronomique. Du haut de ses quatre étoiles, le château de Courban reste fidèle à son esprit de maison de famille. La maison crée ainsi un lien unique avec ses hôtes à travers l’ambiance conviviale qui y règne, les soins NUXE et surtout la cuisine inventive du jeune chef étoilé TAKASHI KINOSHITA. Cap sur cet endroit enchanté qui fait partie de la collection Les Collectionneurs (le nouveau Château Hôtel Collection groupe Alain Ducasse). Un restaurant gastronomique Hébergée dans dépendance aménagée comme une orangerie, le restaurant invite les visiteurs à une parenthèse gourmande. Ce restaurant gastronomique s'est vu récompensé à plusieurs reprises pour la qualité de sa cuisine. Il a à son actif une étoile au Guide Michelin, deux toques et Jeune Chef Espoir au Gault et Millau, Grande Table 2017 par la région Bourgogne Franche Comté, en plus d'être élu Grande Table par le groupe Alain Ducasse. Les grandes baies vitrées laissent la lumière naturelle inonder toute la salle, et permettent également aux visiteurs de visualiser le décor extérieur. Une grande terrasse en bois, s'ouvre sur un jardin en cascade verdoyant. De plain-pied avec le gazon, elle offre un espace terrasse accessible à tous en saison. Ceux qui aiment manger ou se détendre en plein air peuvent en bénéficier, surtout lors des journées ensoleillées. La nuit tombée, le site rayonne d'une beauté féérique. Des lustres et lampadaires illuminent l’intérieur, tandis que le jardin dévoile sa splendeur sous l’éclairage extérieur. Ce cadre au jeu de miroir, d’une capacité de plus de 100 couverts, est parfaitement privatisable. Il peut accueillir des réceptions, des mariages, des réunions de familles, des séminaires ou des banquets, à condition d'être reservé bien à l’avance... Un enchantement de saveurs Avec le chef Takashi Kinoshita aux fourneaux, les hôtes peuvent compter sur une gastronomie hexagonale agrémentée de zeste nippon. La maison propose trois menus où les produits du terroir et du potager sont privilégiés : le « Découverte », le « Saveurs » ou le « Dégustations » en sept escales. Ce dernier varie selon la saison et l’humeur du chef, mais réserve toujours d’agréables surprises. Comme mise en bouche, il met en avant les plats phares de la maison, et toujours du potager comme les asperges sauvages chatillonnaises, le Veau de l'Aubes ou encore les champignons et truffes de Bourgogne. Les convives auront certainement un coup de cœur pour le bœuf charolais, un nom iconique de la tradition bourguignonne. Au Chateau de Courban, il est préparé à la japonaise et maturé pendant quinze jours. La viande devient ainsi tendre et juteuse. Elle est accompagnée à l'occasion d'une sauce de sésame noire et de vin rouge. La chef pâtissière Sea Hasegawa sert ensuite une collection de desserts aux saveurs légères, peu sucrée qui fait la touche japonnaise. Près de 300 références de vins Jean-Noël Rahmani, le sommelier, conseille les convives avec une harmonie de vins et spiritueux. Pour accompagner viandes, poissons, crustacés, fromages et desserts, il propose une variété de Bourgogne Blanc, de Bourgogne rouge et bien évidemment de champagnes du vignoble voisin. Egalement à l'honneur, des Crus de la France entière et même de l'Oregon... Le choix est large, vu que la cave dispose de plusieurs centaines de références mettant les vignes de la région à l'honneur. ...