Le Roi de la garbure, c’est ainsi que le propriétaire du Café des sports est surnommé. Et pour cause, c’est autour de cette soupe traditionnelle béarnaise que s’est construit la notoriété de Gaby Regagnon et de son restaurant. Dans cet univers culinaire en évolution permanente, le Chef préfère se construire une identité « en béton » autour de recettes simples mais de qualité, et cela marche. Qualité et simplicité de la cuisine Dès 6h du matin, Gaby Regagnon s’active derrière les fourneaux pour préparer sa garbure. Cette soupe de légumes traditionnelle au jambon de Bayonne mijote toute la matinée. Elle est proposée tous les jours et garde toujours le même succès. Cela démontre que ce qui est important dans la cuisine : c’est la passion du métier, l’amour des produits et le temps donné par le Chef pour la satisfaction de ses clients. Comme le roi de la garbure le dit : « ce n’est ni l’eau, ni le sel qui fait la qualité de la garbure. C’est l’os de jambon, le temps de cuisson et la quantité préparée ». La cuisine du Café des Sports prime surtout les produits de Béarn et de Chalosse. A la liste des recettes phares du Café des sports, Gaby en a ajouté trois. La Tête de veau sauce gribiche est régulièrement servie le premier vendredi du mois, la Morue persillade le deuxième, la Poule au pot la troisième et le Cassoulet le quatrième. Outre ses plats de renom, le Chef suggère à la carte du Jambon de Bayonne, des Tournedos aux cèpes ou noix de Saint-Jacques sans oublier le magret et le foie gras. De la salade landaise, de l’omelette aux cèpes et des frites maison y figurent également. Et le Chef met toujours en avant la région avec le gâteau basque maison à la crème ou à la confiture de cerise. Les Pyrénées-Atlantiques, lieu de gastronomie et de tourisme Le Café des sports siège sur la place de la république, l’ancienne place du marché aux bestiaux d’Arzacq-Arraziguet. Cette commune est située dans le département des Pyrénées-Atlantiques qui s’avère être un terroir aux richesses intarissables. Beaucoup de monuments historiques et de lieux touristiques y sont liés à la gastronomie. Cela va des châteaux de domaines viticoles aux Musées, en passant par les marchés, les cafés et restaurants qui sont des témoins vivants de la tradition gastronomique gasconne. Avec les recettes du Chef Gaby, notamment la garbure, le Café des sports est devenu à lui tout seul le symbole de toute une culture. Le Café des sports est situé non loin du Musée du jambon de Bayonne à Arzacq, un espace culturel et éducatif dédié entièrement au jambon de Bayonne, à l’histoire du cochon et de sa consommation. Une boutique est également ouverte pour trouver tous les produits du Sud-Ouest comme les paniers garnis, les coffrets gastronomiques, les plats cuisinés et évidemment le fameux jambon de Bayonne. Une visite du Moulin de Garos est aussi possible après une pause gustative chez Gaby. Celui-ci se trouve à environ 5 km du restaurant, en bordure du Luy de France. C’est l’eau de ce dernier qui fait tourner les roues du moulin lors de la mouture. Ce moulin est fortement lié au Château de Cabidos, un domaine viticole de 9 hectares. Le Sauvignon, le Chardonnay ou encore le Syrah sont les fruits de cette exploitation. Ce château est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. ...
Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...
Idéalement situé sur le port de Vannes, ce restaurant « bistrot chic » a tout juste re-ouvert le 31 janvier 2016, après d’importants travaux de rénovation. La décoration, entièrement refaite, révèle une tendance contemporaine agrémentée de touches asiatiques ; en témoignent les tableaux d’un grand maitre malaisien qui égayent les murs et la tapisserie aux motifs de fleurs japonaises. La salle dispose de 10 tables pour 30 places. Le service de qualité, les produits frais et l’accueil chaleureux forment le socle contribuant au succès du restaurant Rive Gauche. Une cuisine d’inspiration Après avoir passé plusieurs dizaines d’années en Asie, Dominique Blais a finalement décidé de se poser et d’ouvrir un restaurant à son propre compte. « Le Rive Gauche met en avant la cuisine française, revisitée avec une touche personnelle à tendance asiatique et des saveurs du monde», présente-t-il. C’est un chef qui fait une cuisine libre et un peu rebelle. Compte tenu de l’emplacement idéal du restaurant, sur le port de Vannes, celui-ci privilégie le poisson, les fruits de mer et les coquillages, sans toutefois délaisser les viandes et les volailles. Tous les produits utilisés en cuisine sont issus du terroir de la Bretagne et du Morbihan et proviennent des marchés locaux. Grâce à son inventivité et à son inspiration hors du commun, le chef parvient à sublimer ces ingrédients pour que ceux-ci livrent leur plus belle expression. Récemment, il a surpris ses convives en proposant sa papillote de fruits de mer et poissons nobles, servie avec une sauce aigre-douce à la mangue et aux agrumes, cuite et servie dans une feuille de banane. À la carte et à la cave Le restaurant Rive Gauche propose différentes formules. À 19 € et 25 €, les deux formules du midi offrent un rapport qualité-prix plus que satisfaisant. Elles sont composées de deux entrées au choix, de deux plats principaux avec une viande ou un poisson et de deux desserts. Dans la gamme des plats principaux, la papillotte de bar curry coco, mangue font le bonheur des fins gourmets. La carte du soir, à 36 € et à 42 €, se compose de trois formules différentes, avec trois entrées, trois plats principaux et trois desserts au choix. Parmi les plats les plus prisés figurent le croustillant de crevettes à l’avocat, la déclinaison au goût Asiatique. Rive Gauche étant un bistrot, la carte des vins se doit d’être en adéquation avec les suggestions culinaires. Elle est éclectique bien qu’elle privilégie davantage les cuvées de la région et des Pays de la Loire. La maison a surtout une préférence pour les vins bio ou produits par des petits vignerons passionnés. Le maitre Cuisiniers de France et la sommelière / Maitre d’hotel de Rive Gauche parcourent les salons consacrés aux vins pour sélectionner les cuvées dignes de la maison. Le parcours de Dominique Blais « La passion et le travail devraient former un seul tout », selon Dominique Blais. Le maitre Cuisinier a passé toute sa vie active à exercer dans le milieu de la restauration et de l’univers culinaire. Cela fait 30 ans qu’il parcourt l’Asie et le monde aux services de grands hôtels 5 étoiles de renommée internationale comme Starwood, Ritz ou Hyatt, où il a tenu le rôle d’Executive chef et de créateur de concept restaurant. En pratique, son travail consistait à concilier le domaine de la gastronomie de haut standing à celui du marketing. Fort de ses expériences, Dominique Blais n’a pas hésité à sauter le pas et à se mettre à son propre compte pour ouvrir Rive Gauche. ...
Située à Lirac, une commune au cœur du Gard, cette très ancienne propriété de la famille de Régis de Gatimel a été reprise en 1995 par Henri de Lanzac. Le château du XVIIe siècle est aujourd’hui tenu par des passionnés : trois générations (le grand-père, les enfants et le petit-fils) travaillent de concert pour produire des vins en AOP Lirac mais aussi AOP Tavel et AOP Côtes-du-Rhône. Incursion au sein d’une exploitation unique… Une diversité de terroirs Le Château de Ségriès constitue une véritable vitrine pour la vallée du Rhône méridionale, en regroupant 3 AOP sur ses 58 hectares de vignobles notamment constitués de vieilles vignes. Les 43 hectares servent à la production du Lirac (rouge et blanc) tandis que les 11 hectares composés typiquement de galets roulés, de silice, d’argile, de sable et de lauzes sont dédiés au Tavel. Depuis 1995, la maison détient en fermage le Clos Jean Alesi, l'ancien pilote de F1, installé sur l’AOC Côtes-du-Rhône et qui représente environ 4 hectares. Sur ces sols à dominance argilo-calcaire, le grenache, la syrah, le cinsault, le mourvèdre, l’ugni blanc, la clairette, le bourboulenc, le picpoul et la roussanne sont cultivés dans le respect de la tradition paysanne et selon une démarche raisonnée. « Nous avons fait le choix de ne prendre que ce que la Nature nous offre. Notre rendement est certes inférieur aux autres exploitations, mais cette philosophie nous permet de garantir une belle concentration à nos vins et donc une meilleure qualité », explique la famille de Ségriès. Des vins typiques, comme autrefois Lorsque la famille reprend le Château de Ségriès, elle décide de l’exploiter sans rien changer. Après des vendanges à la main, les raisins sont travaillés dans les mêmes installations qu’en 1925, notamment dans des cuves en ciment mais avec des techniques d'élaboration plus modernes. « Fermentation et macération se font alors plus naturellement, à l’origine d’une plus fine stabilité des vins », continue-t-elle. Ainsi, la majorité se conserve facilement une dizaine d’années (en dehors du Tavel qui se garde 4 ou 5 ans). Dans la gamme des cuvées ambassadrices, le Lirac Rouge trône en tête, car il reflète le plus le terroir, selon les gérants de la SCEA. « Sur les 41 hectares utilisés pour la production de ce vin, 30 hectares sont d’un seul tenant, lovés au creux de collines. Les vignes bénéficient alors d’un bel ensoleillement et, durant la nuit, la chaleur emmagasinée pendant la journée est redistribuée. Cela aboutit à des raisins d’une maturité rare, faisant toute la particularité de nos Lirac rouges ». Cette qualité est régulièrement reconnue lors des concours de vins. En 2016, une médaille d’or a été décernée au Lirac Rouge millésime 2015, à Orange, de même qu’en 2017, à Paris et à Mâcon. En 2018, le millésime 2016 a remporté deux médailles d’or. Entre autres exemples, le Tavel Rosé 2017 s’est vu attribuer 2 étoiles au Guide Hachette des Rosés 2018. Autant de preuves d’un vif succès ! ...
La ferme est nichée dans un paysage de prairie naturelle, mais se distingue grâce à ses imposants bâtiments en pierre qui abritent la grange et l’étable réaménagée. La salle de traite ainsi que la fromagerie se dotent d’une installation et d’un équipement plus moderne, pour répondre aux exigences du cahier des charges adapté à la production et la transformation laitières. S’engager pour la qualité Idéalement situé à 900 mètres d’altitude, la Ferme la Grange de la Haute Vallée peut se permettre de gâter son cheptel de 40 vaches laitières. « En été, elles jouissent librement de l’herbe fraîche et du pâturage à fertilisation naturelle, et en hiver, elles bénéficient d’une alimentation à base de foin », explique Alain André, le gérant. Ce troupeau de race montbéliarde a été soigneusement sélectionné pour satisfaire les impératifs de qualité et les besoins économiques de l’exploitation. En moyenne, le cheptel bovin parvient à produire 260 000 litres de lait chaque année, dont 90 % sont destinées à la transformation. Afin d’offrir sa typicité propre à chaque fromage, une technologie spéciale ainsi qu'une méthode de fabrication spécifique doivent être observées de façon stricte. Ainsi, les paramètres de fabrication, incluant décaillage et durée d'affinage varient d'un fromage à l'autre. Par ailleurs, le lait cru étant indispensable pour conférer leur onctuosité aux fromages, les normes sanitaires liées à l'hygiène alimentaire et à la conservation sont rigoureusement respectées et contrôlées tout au long du processus. Une gamme de produits gourmands La Ferme la Grange de la Haute Vallée propose des fromages AOP, deux types de fromages fermiers, et du yaourt nature au lait entier. On cite le fromage AOP Salers : « Un fromage saisonnier qui se fabrique uniquement sur la période de pâturage, du mois d’avril jusqu’au mois de novembre, le lait est réceptionné directement dans une cuve en bois de chataignier qu'on appelle la gerle, obligatoire pour la fabrication du fromage Salers », fait savoir notre interlocuteur. À base de lait cru, ce fromage pressé a un goût corsé et volcanique, à l’image du terroir. L’AOP cantal de son côté se distingue par ses saveurs plus lactiques, qui se bonifient avec une légère note fruitée au fil du temps. Ce fromage se décline en cantal vieux, cantal entre-deux et cantal jeune, qui ont raflé de nombreuses fois la médaille d’or et la médaille d’argent au concours général agricole de Paris depuis l’année 2011. « On essaye de maîtriser la qualité des produits et de la maintenir », souligne le gérant. En outre, le fromage AOP bleu d'Auvergne a une texture à la fois fondante et corpulente, révélant le goût d’un fromage d’antan. Enfin, deux fromages fermiers viennent s’ajouter à l’assortiment, dont le saint-timothée, type tome de montagne et le Pignou, un petit bleu plus typé. ...
Découvrir des vins, savoir les déguster, pouvoir les acheter facilement sans frais de port : voici les 3 piliers de notre galaxie ouverte à tous les passionnés de vin. L’abonnement vin My VitiBox My VitiBox, spécialiste de la box vin, vous propose de recevoir chaque mois 2 bouteilles sélectionnées par Philippe Defleur, ancien sommelier du Palais de l’Elysée. Un livret vous fera découvrir le monde du vin et comment profiter au mieux de vos vins en optimisant le service et les accords mets et vins. Pour répondre à vos envies ou gâter vos proches avec un cadeau mémorable, vous avez le choix entre 4 formules : Mariage du Palais, Rouge passion, Invitation au voyage ou Pépites du Vignoble. Vous pourrez ainsi découvrir des vins plaisir, des vins découvertes, des vins étrangers ou encore des vins d’auteur. Vous pourrez ensuite racheter vos coups de cœur avec une réduction de 15 % ! A partir de 81 euros pour 3 mois, frais de port compris. Prodégustation : l’œnologie pour tous Depuis 17 ans, Prodégustation, n°1 des cours d’oenologie, vous accueille dans 18 villes de France pour découvrir pendant 2 ou 4 heures autour de 5 à 7 vins l’art de la dégustation. Votre guide dans ce voyage culturel et sensoriel est l’un des 20 formateurs, tous œnologues ou sommeliers de renom et ambassadeurs des grands terroirs de France. Vous aussi, rejoignez les 13 000 élèves formés chaque année par Prodégustation à l’analyse sensorielle, l’histoire viticole, l’art du service ou encore les accords mets et vins et bien plus ! A partir de 59,90 euros. Le Club Français du Vin : le vin simplement Pour profiter des meilleurs vins dans des conditions exceptionnelles, le Club Français du Vin a créé en partenariat avec Prodégustation la Carte Magnum, une offre unique pour l’achat de vins : vos frais de port offerts, des promotions permanentes sur une sélection de vins, des magnums offerts pour vos grosses commandes et bien d’autres avantages. La Carte Magnum est proposée pour 100 euros, valable 2 ans pour profiter de tous ces avantages et accéder à la sélection du premier Club d’amateurs de vins en France fondé en 1973. ...
Inspirée par ses deux co-fondateurs visionnaires Paul Bocuse, référence mondiale des arts culinaires et Chef du siècle avec 3 étoiles Michelin depuis plus de 50 ans, et Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor, exemple de réussite managériale et entrepreneuriale - l’Institut bénéficie d’une aura unique de prestige en France et à l’international. Une visite au restaurant Saisons Situé dans le cadre prestigieux du château du Vivier, le restaurant Saisons propose un cadre de charme tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Il est agréable de déjeuner, aux beaux jours, sur la terrasse du château. Cet espace de repas extérieur offre une belle vue sur le parc verdoyant légèrement en vallon. Sous la responsabilité du Chef Davy Tissot - Meilleur Ouvrier de France 2004 - le restaurant Saisons est une histoire de rencontre entre tradition et modernité. Le désir de créer un souvenir, une émotion gustative et visuelle. Une cuisine contemporaine et créative Le Chef Tissot, dans sa quête quotidienne du dépassement, inspire son équipe avec rigueur et exigence, mettant un point d’honneur à proposer une cuisine aux saveurs harmonieuses selon les saisons. Par son expérience, il transmet à cette nouvelle génération ses valeurs de savoir-faire et de perfectionnement du service client afin d’atteindre l’excellence. Donner du plaisir à travers la cuisine et construire l’avenir. Les étudiants cuisinent comme dans une brigade, tels de vrais professionnels. La maison propose trois menus, variant au gré des saisons : le Partage des styles (déjeuner uniquement), la Noblesse du temps et l’Alchimie des sens. Le menu Noblesse du temps, dédié aux amoureux de la cuisine classique, revisite la tradition. L’Alchimie des sens met en avant une cuisine moderne enrichie d’audace et d’originalité. Testé durant l’été, l’entrée est marquée par un carpaccio de saint-pierre à la crème de langoustine et d’une vinaigrette de grenadille. Ce plat divinement présenté est accompagné d’une fine tuile de pain à l’encre de seiche. La suite enchaine une série de plats, où le sel et le sucre s’accordent avec grâce. Le délice de Saint-Jacques, en l’occurrence, est servi avec du berlingot, de la citronnelle et du topinambour. En pré-dessert, ils osent une version sucrée de la raviole d’agrumes, exquisément baignée dans un bouillon de cannelle. Pour le dessert, place à des notes estivales avec la pêche de vigne agrémentée de feuilles de verveine. Tout au long de ce périple culinaire, le sommelier conseille les invités sur le vin. Il guide leur choix sur le verre approprié à chaque plat. Quelle que soit leur option, ce connaisseur attentif est toujours présent pour leur suggérer le meilleur accord. ...
La bière Singha, titrant à 5°, d'alcool, a été créée en 1933. Cette lager est une bière de type pils à fermentation basse, conçue par la brasserie Pathumthani. Fruit d’un procédé de fabrication ancestral, Singha accompagne nombre de touristes et de vacanciers tout au long de leurs voyages et séjours en Thaïlande. Véritable invitation au voyage, son nom, emblème de la bière, évoque l'un des lions légendaires habitant la forêt d'Himanapant. Il est représenté sur la plupart des fresques des temples bouddhistes de Thaïlande. On trouve ce lion dans toutes les cultures asiatiques. Singha, Thaïlande : une bière d'exception marquée du sceau royal Fabriquée à partir d’ingrédients de toute première qualité, et brassée exclusivement à partir de malt d’orge, Singha est une bière au goût particulièrement riche et rehaussé de saveurs de houblon. Cette bière est idéale pour accompagner les spécialités culinaires asiatiques, mais également pour une consommation rafraîchissante et festive. La bière Singha dispose du sceau royal marqué sur son col. L’emblème officiel de la famille royale est une distinction très rare en Thaïlande, attribuée à des institutions ou des sociétés au service de la cour royale depuis un certain nombre d’années (en l’occurrence, depuis 1939). Elle souligne l’excellence du produit et la qualité de ses services dans le royaume, et en fait un ambassadeur du pays. C’est la plus haute distinction donnée à une société et un vrai motif de fierté pour la marque. La bière Singha classique est distribuée en France par la société International Beers & Beverages, importateur officiel. Un nouveau format fût de 30 litres fait son apparition en 2017. ...
Le mot fourme vient du latin et signifie « mettre en forme le cailler ». En français moderne, ce mot signifie « fromage ». De là, est apparue la combinaison des mots « fourme d’Ambert », qui signifie « fromage d’Ambert en Auvergne ». Une histoire raconte qu’à l’époque napoléonienne, des écrits de dragon autrichien témoignent de l’achat du fromage à Ambert. Une denrée ensuite jetée dans la rivière parce qu’elle était moisie. Mode de fabrication Fromage à pâte persillée, la fourme d’Ambert se caractérise par sa forme verticale, ronde et haute. Elle est produite principalement en Auvergne, sur la montagne du Puy-de-Dôme (600-1 600 mètres d’altitude), dans 5 cantons du Cantal, mais également dans 8 communes de la Loire. La fabrication de la fourme d’Ambert se fait manuellement et naturellement, respectant ainsi les techniques ancestrales de fabrication et les valeurs même de son terroir d’origine. Le lait de vache est alors mélangé avec un champignon appelé le Penicillium Roqueforti, afin d’obtenir le persillage. Vient ensuite l’étape du caillage puis, le travail en cuve (découpage et brassage). La mise en moule se fait à l’aide d’un tapis afin de préserver les grains coiffés, pour aller directement à l’égouttage, où les fromages sont retournés durant 24-48 heures. Une des étapes les plus importantes est le salage qui se fait manuellement au sel sec, puis le piquage, qui consiste à créer des trous à l’aide de grandes aiguilles, pour permettre le développement du bleu. Pour finir : le passage dans les caves d’affinage, où la fourme d’Ambert repose durant vingt-huit jours. Un goût unique aux mille recettes De ce fromage bénéficiant de l’Appellation d’origine contrôlée (AOP) depuis 1972 naissent des milliers de recettes créées par des professionnels de la gastronomie, mais également par des amateurs de la cuisine. Facile d’utilisation, il rayonne aux quatre coins de la planète par son goût de champignon et sous-bois, à la nuance fruitée. En arôme, il dégage une odeur de cave. La fourme d’Ambert s’accorde avec tous types d’aliments, chauds, froids, ou sucrés, salés et même avec des boissons, comme le mélange du cappuccino de betterave et de la fourme d’Ambert. Elle sublime ainsi toutes les créations culinaires : tartelette de fourme d’Ambert aux brocolis et caramel de pommes, magret de canard, rillettes aux noix et à la fourme d’Ambert, crème brûlée à la fourme d’Ambert. ...
Situé aux portes du Verdon à seulement trente minutes des côtes varoises, le Restaurant Le Nid a ouvert ses portes au public en 2015, à l’initiative du couple Émilie et Davy Jobard. Postée sur la route de grands domaines de vins dans le charmant village provençal de Flayosc, on peut dire que cette ancienne pizzeria a plutôt réussi son incroyable reconversion. Un établissement au nom évocateur Sous des dehors de pépinière gourmande, à la table un chouïa bourgeoise, cet établissement au nom évocateur baigne dans une ambiance intimiste, à l’image d’un parfait nid douillet, où le jeune couple de cuisiniers a bien pris ses marques. Dans un cadre cosy où émane une belle convivialité, ce restaurant au service agréable séduit par son ambiance feutrée dans laquelle on aime se retrouver en famille ou en amoureux, à la recherche de détente et de bien-être. Oui, il faut dire que la cuisine faite minute et bien tournée du chef, combinée avec l’accueil personnalisé de la maîtresse des lieux, y sont pour beaucoup. Une cuisine de marché au fil des saisons Très belle enseigne pour amoureux, le Restaurant Le Nid est un haut lieu de restauration où les compétences et l’expérience de deux talents se valent et se complètent en parfaite osmose. À travers une cuisine de marché au fil des saisons, concoctée à base de produits qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs locaux, le lieu nous embarque dans une farandole d’authentiques saveurs provençales comme on les aime. ...
Les nuances aromatiques du vin trouvent leurs origines dans trois facteurs fondamentaux : le terroir, l'intervention humaine et le cépage, qui correspond à la variété de vigne cultivée. A travers le monde, il existe une multitude de variétés de vignes, plusieurs milliers, chacune apportant ses propres traits distinctifs, ce qui engendre une diversité gustative tout aussi vaste. Tour d’horizon au Mas Costeplane, d’un domaine de 24 hectares où sont cultivés 8 cépages dont la plus vieille parcelle toujours en exploitation est un vieux Carignan planté en 1958. Le merlot pour des arômes de fruits rouges à la couleur sombre et dense Pour la petite histoire, le merlot tient son nom des merles qui apprécieraient particulièrement les baies de ce cépage. Produit dans la plupart des terroirs bordelais, le merlot a la particularité d'adoucir les effets de cépages plus tanniques comme le Cabernet Sauvignon. On le retrouve également dans le Languedoc pour la production de vins de pays rouges ou rosés. Précoce, sensible aux gelées printanières, le merlot est connu pour sa résistance à l’oïdium et sa sensibilité au mildiou, un champignon parasite qui est l’ennemi numéro 1 de la vigne puisqu’il peut engendrer des pertes importantes de rendement, de qualité du vin et affaiblissement des souches. De couleur sombre et dense, le merlot propose des arômes de fruit rouges, de chocolat, de prune, de réglisse et pour les millésimes ensoleillés des arômes plus confiturés. En mono cépage merlot, le Mas Costeplane propose un vin à la bouche juteuse à la robe rubis aux arômes de piquillos, de tabac blond et vétiver. Le chardonnay pour des arômes d’acacia, d’amande et d’agrume Cépage blanc, cultivé essentiellement en Bourgogne, le chardonnay est l’un des plus connu dans le monde. On le retrouve dans des sols argilo-calcaires. Son origine remonterait à ses racines premières au temps des croisés qui auraient ramenés de Jérusalem ce cépage. Selon la légende, ce cépage aurait trouvé ses débuts à Jérusalem, voyageant ensuite avec les croisés jusqu'en France. Cette ancienne narration (plutôt poétique) suggère que son nom pourrait découler étymologiquement de l'hébreu "Cha’ar Adonai", signifiant littéralement "les portes de Dieu". Une seconde histoire, plus simple dans sa nature, est étroitement liée au terme "chardon", une plante qui prospère dans les sols calcaires dont on retrouve l'existence dans un village en France, au cœur du Mâconnais, nommé Chardonnay. Cette connexion pourrait expliquer en partie l'importance prépondérante qu'occupe ce cépage en Bourgogne. Facile à cultiver, le chardonnay apprécie particulièrement les sols argilo-calcaires et s’adapte à toutes régions, terroirs et sols. Toutefois, les arômes des vins à base de chardonnay vont varier en fonction du terroir sur lequel il est planté. Le caveau du Mas Costeplane propose un mono cépage chardonnay sec 2022 à la robe jaune d’or brillant et aux reflets verts qui donne un vin très fin s’exprimant sur des arômes d’acacia, noisette, amande, brioche et d’agrume. Ce vin d’exception vient de recevoir 1 étoile dans le Guide Hachette 2024. La syrah, pourpre intense pour des arômes épicés de poivre, de fruits noirs et de violette La Syrah se classe au 6e rang des cépages les plus plantés au monde. Variété emblématique des vins issus de la vallée du Rhône, la Syrah suscite l'intérêt en raison de son origine énigmatique et des récits qui accompagnent son introduction en France. De plus, il s'agit d'une des variétés de raisins les plus délicates à cultiver, en raison de sa vulnérabilité face aux maladies, néanmoins, elle offre parallèlement certains des vins les plus admirés à travers le monde. Cette variété, véritable globe-trotteuse, a réussi à s'établir dans de nombreuses contrées, ce qui en fait aujourd'hui l'une des variétés de raisins les plus répandues. Et avant toute chose, il est important de noter que cette variété se désigne au féminin, sous le...
Sous la houlette d’Éric Violette, qui est à l’accueil, et son chef cuisinier écossais. La cuisine Faite Maison de ce bistrot chic se déguste dans une ambiance conviviale et amicale. La petite anecdote des lieux concerne son nom Aux 24 Colonnes, qui s’inspire de la proximité avec le Palais de Justice du Vieux Lyon. Une cuisine gourmande dans un cadre authentique Implanté dans le quartier du Vieux Lyon, classé au patrimoine mondial de l’humanité, Le Bistrot du Palais offre un cadre authentique et original, puisqu’il est installé dans une ancienne écurie de la primatiale Saint-Jean-Baptiste, qui date de 1388. Tous les matériaux du bâtiment sont faits uniquement en matière naturelle, avec du bois ou de la pierre. Rien que son plafond à la française du début du XIXe siècle mérite amplement le détour. La salle affiche un décor traditionnel et élégant. Les grandes banquettes, les tables et les chaises en bois donnent tout son cachet à cet espace intérieur. Les nombreuses surfaces vitrées donnent l’impression d’agrandir les lieux tout en conférant un air chic et rétro au restaurant. Les spécialités lyonnaises à l’honneur Le restaurant prône une cuisine faite maison, élaborée avec des produits frais et de saisons. Toutes les matières premières sont fournies par des professionnels de la région comme la charcuterie Bobosse, la fromagerie de la Mère Richard, le glacier Nardone ou le pain des Jacobins. Elles permettent au chef d’élaborer de nombreux plats gourmands qui ravissent les palais. Ici, pas de menu. Seule une carte constituée de nombreuses spécialités lyonnaises est proposée. Celle-ci change tous les 3 mois, à chaque changement de saison. Tous les plats, même les spécialités de la région, sont revisités à la façon 24 Colonnes et font la réputation du restaurant. En entrée, les convives se délecteront d’une gratinée lyonnaise, de l’œuf meurette ou d’une salade lyonnaise à base de 5 variétés de salades, de lardons, de croûtons et d’œuf poché, ou encore du Claqueret. En plat de résistance, place à l’andouillette « Bobosse » à la Beaujolaise, le blanc de Poulet de Bresse farci au boudin noir et jambon cru, la Quenelle aux queues d’Ecrevisses. Pour les desserts, la tarte pralinée, le cake à la rhubarbe et aux amandes, le soufflé au chocolat achèvent le repas en beauté. ...
Sous une valse de notes créatives et gastronomiques, le restaurant Le Lumière jouit d’un cadre romantique et hautement contemporain mettant à l’honneur le top des produits dans un décor d’une surprenante modernité. D’emblée, l’établissement accroche les regards avec sa superbe verrière ouverte sur la cour grandement ensoleillée de l’Hôtel Scribe qui, en soirée, baigne dans une belle lumière colorée. L’intérieur révèle un style inspiré des appartements haussmanniens avec de belles boiseries aux murs, des canapés de velours rouge et des images noir et blanc des premiers films des frères Lumière. Une cuisine dans l’air du temps La formule « Lumière du Jour » met en avant un menu déjeuner à 45 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, suivis d’un café. Faites vos choix entre une Terrine de canard à la chartreuse, Espuma de navet boule d’or, châtaignes grillées et compotée de figues ou une entrée du jour selon les produits du marché. Allez plus loin dans la découverte avec du Dos de cabillaud cuit sur la peau, daïkon au raifort, betterave laquée, riz d’Akita et jus de coriandre ou le plat du jour selon les produits du marché. Terminez ensuite sur la note joyeuse du dessert à la parisienne à choisir sur le chariot du Chef Pâtissier. 110 références de vins Le Lumière est également gratifié d’une carte de vins de collection comme le Coteaux du Layon du Domaine Cousin Leduc 1961. Les convives se laisseront guider par les suggestions du Chef Sébastien Crison garantissant les meilleurs accords. Parmi les évènements récurrents du restaurant, on pourra noter les Sofitel Wine Days, qui ont lieu de fin septembre à fin octobre, et qui célèbrent le vin et l’art de vivre à la française… Des occasions de découvertes et d’échanges enrichissants autour des vins de nos régions. ...
Le Cassissium est un site singulier et inspiré. Créé en 2001 à Nuits-Saint-Georges, à proximité des côtes viticoles, il ne tarit pas d’idées pour mettre en lumière un fruit aux nombreuses vertus parfois méconnues. Visite du musée, découverte de la liquoristerie, conception de cocktails et dégustation permettent une immersion totale dans le monde du cassis. Un parcours interactif étonnant, durant lequel les visiteurs deviennent acteurs, y compris les enfants. Un musée gastronomique ludique Implanté sur le domaine de la liquoristerie Védrenne, dont le savoir-faire opère depuis 1923, le Cassissium est composé d’une exposition permanente, d’une salle de projections, d’un espace de dégustation et d’une boutique. Ce sont ainsi 1 000 m2 qui sont dédiés à la petite baie noire. Histoire, utilisation, savoir-faire sont tour à tour présentés au public, invité à déguster les produits maison à la fin de la visite. La muséographie fait alterner histoires ludiques et jeux. Des tiroirs à ouvrir, des quizz, des écrans tactiles, des animations mécaniques permettent aux grands comme aux petits de manipuler de nombreux objets. Un film est projeté dans une salle insolite habillée de pierres, à l’image des vignes en Côte-d’Or. La star de l’histoire, Supercassis, y raconte son ascension. Trois thèmes ponctuent le parcours. Le premier consiste à découvrir le fruit via ses aspects historiques et agricoles. Le deuxième présente ses bienfaits médicaux et cosmétiques. Le troisième consiste à découvrir l’exploitation de la plante, en sollicitant les sens des visiteurs. Le tout est accessible en plusieurs langues. De la liquoristerie Védrenne à la dégustation La maison Védrenne, créée par Joseph Védrenne il y a près de 96 ans, a acquis sa notoriété grâce à son savoir-faire. Reconnue comme le plus grand chai d’eau-de-vie de Bourgogne, la liquoristerie détient tous les secrets de fabrication de la crème de cassis. Cette étape du parcours est un moment privilégié, à la rencontre d’un artisanat amoureux des arômes. La passion du fruit et l’ambiance particulière qui y règne révèlent une contribution inhérente à la renommée de la gastronomie bourguignonne. Et toutes ces senteurs donnent soif ! La visite se poursuit au bar du Cassissium. Le public est invité à déguster les crèmes, les subtils mélanges à base de cassis et de liqueurs, les liqueurs elles-mêmes ou encore les sirops pour les plus petits. Des jeux de couleurs et de matières transforment les produits disposés sur le comptoir en véritable palette artistique. Des ateliers cocktails imaginatifs Le Cassissium aime son fruit et déborde d’idées pour partager sa passion avec les visiteurs. Tous les 10 du mois, un atelier est organisé, destiné à désacraliser le cocktail, avec ou sans alcool. Le but : apprendre aux curieux à marier les saveurs, à revisiter les classiques et à composer au feeling de jolies et savoureuses boissons. Cassis et citron vert, gin et concombre, thé citron et sirop de rose, ces étonnantes associations sont infinies et se fardent de noms délicieux : Cocktail Soleil levant, Rose Mary, Crème brûlée Védrenne, etc. Les ateliers sont adaptés en fonction des saisons. L’été invite à réaliser des cocktails frais, tandis que l’hiver appelle à apprécier des cocktails plus chaleureux. Ces moments créatifs sont aussi ouverts aux enfants, initiés à la conception de cocktails dont les sirops jouent avec les couleurs de l’arc-en-ciel. Pour terminer la visite, 50 crèmes, liqueurs de fruits et sirops emplissent la boutique du Cassissium pour le bonheur des barmen et des amateurs de cocktails, d’ici ou d’ailleurs. Mojito, Blue lagoon ou encore Cosmopolitain n’ont, à ce stade, plus de secrets pour les visiteurs. Des visites à la carte Le site est ouvert à tous les publics. Mais il peut aussi être privatisé le temps d’un séminaire ou d’un évènement. Des déjeuners, des cocktails dinatoires et des visites privées sont organisés à la carte pour le to...
En plein centre-ville de Chateauneuf-en-Thymerais, se dresse Le Relais d'Aligre, un retaurant qui a su s'affirmer dans cette contrée. Ici le travail d'équipe est la règle d'or. De la fourche à la fourchette, la maison fait découvrir sa passion des bons mets. Service traiteur, menus spécifiques, Eric Canville met les petits plats dans les grands. Ce qui lui a valu d'être valorisé par le Bottin Gourmand et labellisé Maître Restaurateur. Une cuisine valorisant les produits de mer et du terroir A l'intérieur du restaurant tous les sens sont en éveil, une vraie promenade gastronomique. Le Chef cuisine des spécialités faites maison, aux gouts et saveurs authentiques propres à la région. Ayant appris auprès de son père, Éric dès son plus jeune âge fréquente une école de restauration à Mont-Saint-Aignan. A la direction de ce restaurant depuis plus d'une vingtaine d'années, il travaille en étroite collaboration avec son chef cuisinier. Sa passion pour le bon produit le pousse à s'approvisionner auprès des agriculteurs les plus proches, pour allier au mieux produits frais de saison et instinct culinaire. En collaboration avec son équipe, il est toujours à la quête du nouveau et a pour concept de faire évoluer la carte au rythme des saisons. Les spécialistés de la maison sont originales et variées. Comme entrée, le restaurant propose la Tempura de gambas, vinaigrette au fruit de la passion, salade de légumes. Pour élaborer ce délice, le chef commence par préparer la pâte à Tempura qui est un mélange d'eau, de farine et d'oeufs. Il prend soin de nettoyer les gambas, d'enlever les têtes et le boyau noir. Les gambas sont trempées dans la pâte puis mises dans de l'huile chauffée. Le tout est accompagné d'une vinaigrette faite à base de jus de fruit de la passion, d'huile d'olive et de moutarde. Il y associe des légumes émincés et des feuilles de légumes. Ce plat s'impose par sa couleur jaune, sa forte odeur d'épices, et son côté croustillant en bouche. Le restaurant se distingue également par ses plats signatures comme le mijoté de ris de veau aux girolles, crème de porto blanc. Les ris de veau sont couverts avec de l'eau froide puis chauffés à l'eau bouillante. Après les avoir pressés avec du linge propre, le chef les mélange avec des carottes et des oignons, puis y ajoute du beurre fondu à la cocotte. Il y associe les girolles nettoyées et sautées à la poêle, pour finir en versant la crème de porto blanc au-dessus. C'est un mets très raffiné en bouche et d'une couleur rosée à l'oeil. En guise de dessert, embarras du choix entre de multiples variétés à l'instar du Sorbet alcool. Un mélange d'eau et de sucre porté à ébullition et refroidi quelques instants après. Le chef y ajoute ensuite du sirop, du jus de citron et de l'alcool. A vu d'oeil le sorbet a l'air cristallisé, au gout c'est d'un dessert onctueux et alcoolisé. Au Relais d’Aligre, il est question d'une cuisine traditionnelle rehaussée par une touche de modernité. Ici, le chef et son équipe sont en perpétuelle quête d'originalité. La carte des vins Au Relais d'Aligre, du vin rouge, blanc et rosé sont proposés en fonction des gouts et des repas. La carte fait la part belle aux produits viticoles de la région, tels que l'AOC des Coteaux du Giennois. C’est un vin issu des cultures viticoles situées sur les Coteaux de la Loire. Ils sont faits sur la base du cépage Sauvignon pour les blancs, et d'une combinaison de gamay et de pinot noir pour les rouges. Pour un meilleur accord mets et vins, les vignobles de la Vallée du Rhône sont aussi à l'honneur avec des sélections comme le Delas Saint Joseph Hedonisa et le P.Amadieu Châteauneuf du Pape. ...
Le chef Francesco Bertuna rapporte à Paris toutes les bonnes saveurs italiennes pour concocter des plats succulents. Il privilégie la création de recettes originales, revisitées ou classiques, élaborées uniquement avec des produits frais et de saison. Une singularité qui impressionne les convives. « Le restaurant propose 2 ou 3 plats du jour qui changent chaque jour. Les clients ne mangent jamais la même chose », indique le chef. En entrée, la salade de crevettes aux pousses d’épinard s’invite dans l’assiette. Cette suggestion fraiche et raffinée est assaisonnée d’huile d’olive, de vinaigre balsamique, sel et poivre. Une petite sauce à la cannelle légèrement sucrée l’accompagne. En plat de résistance, le choix s’annonce large. Entre le Risotto au champignon shiitaké, courgette et aneth et la Linguine au maquereau, fenouil et raisin sec, anchois, câpres et chapelure toastée, les papilles seront définitivement comblées. « Le tout à déguster avec un bon Renosu Rosso ou un vin de chez Marco Dettori », conseille Francesco Bertuna. Car sa carte de vins fait la part belle aux bouteilles italiennes réputées pour la richesse de leurs arômes et de leurs saveurs. Le voyage culinaire s’achève avec une classique tarte à la ricotta, ce célèbre fromage italien à pâte fraiche qui s’utilise dans des préparations aussi bien sucrées que salées. L’alliée favorite de tous les gourmands. Destination l’Italie À table, une généreuse coupelle d'huile d'olive et des baguettes fraiches accueillent les convives. Dans ce cadre très soigné de l’Olio Pane Vino, la clientèle plonge dans une atmosphère cosy et conviviale. Avec ses murs en pierres apparentes, sa décoration intérieure, où le blanc et la couleur crème dominent, rappelle le charme de l’Italie. Les photos en noir et blanc qui ornent les lieux et le mobilier tout en bois, du parquet au sol, créent un design épuré. La lumière intimiste et les longues tables procurent une ambiance parfaite pour les soirées entre amis ou en famille. Une adresse idéale pour des soirées privatisables ou à thème. ...
Le Chai Saint-Sauveur se veut être un grand restaurant néanmoins accessible à tous les budgets. Le Chef Jérôme Verrière revisite les plats traditionnels tels que le ris de veau. « C’est le plat phare du restaurant » déclare Elodie Trassard, la maitresse de maison. Ici, la fraicheur des ingrédients est privilégiée, avec une préférence particulière pour les produits locaux. Une cuisine française traditionnelle Plusieurs menus sont proposés le midi, allant d’un simple plat du jour à une Entrecôte et Frites Maison, en passant par les formules incluant entrée, plat et dessert. Le soir, les menus laissent place à la carte. L’Œuf en meurette et ses petits croûtons se fait remarqué parmi les entrées. Du côté des plats, il serait tout à fait normal d’hésiter entre le Risotto poêlé aux gambas accompagné de sauce crustacé et la Souris d’Agneau à la purée au beurre. Et en dessert, les tartes au citron, caramel au beurre salé et tartelette framboise et sa crème légère raviront les gourmets. Tout est fait-maison, sauf la glace qui accompagne le Coulant chocolat au jus passion. Les vins du Chai Que serait un Chai sans vins ? Pour accompagner le repas, le Chai Saint-Sauveur suggère des crus issus du Sud-Ouest, Languedoc, Vallée du Rhône, Bordeaux, Pyrénées orientales et Bourgogne. Avec ses 22 références en rouge, 7 en blanc et 3 en rosé, chacun trouvera sa préférence en accord met-vin. La maison organise aussi quelques fois des dégustations de vins en compagnie des producteurs. Et grâce à sa licence de caveau, elle peut vendre les bouteilles à emporter. Un cadre agréable dans la salle Les couleurs chaudes comme le rouge et la prédominance du bois donnent à cet endroit une ambiance chaleureuse. Les étiquettes illustrant différents domaines viticoles qui couvrent les murs plongent la salle dans l’univers du vin. Eclairée par la grande baie vitrée, la salle révèle un esprit bistro-chic avec la présence de tables hautes confortables disposées de manière à offrir des espaces personnels parfaitement raisonnables. Eloignée du comptoir, la partie du restaurant constituée de tables basses quant à elle est propice au calme, idéale donc pour les dîners romantiques en amoureux. Un espace extérieur à l’ambiance sereine Installé sur une place aux allures de village, le restaurant le Chai Saint-Sauveur a le privilège de bénéficier d’une terrasse blottie au cœur d’un environnement verdoyant. Ce haut-lieu de rendez-vous des toulousains est équipé de fauteuils, de canapés et de tables basses. Un cadre sympathique parfait pour l’apéro. Le quartier est calme et la circulation est rarement dérangeante. Privatisable, la véranda peut recevoir en exclusivité jusqu’à 40 personnes assises pour un instant repas, 55 si les convives restent debout. A noter que le restaurant offre aussi des repas de groupe adaptés aux différents budgets. Des tapas se déclinant en de multiples variétés peuvent être concoctés sur demande. ...
Le Grenier à sel est un restaurant qui s’entoure d’une note de fraicheur empreinte d’exotisme, dans un décor aux reflets d’Asie et d’ailleurs. L’établissement baigne dans une ambiance conviviale aux arômes parfumés, qui ravit particulièrement la vue et le palais. Il bénéficie d’un cadre aux fleurs généreuses et aux végétations verdoyantes, ponctué par une cuisine savoureuse et inventive préparée sur place. Le restaurant est une invitation aux découvertes culinaires, avec de belles associations faites de produits locaux et de saveurs du monde. Un cadre à l’ambiance chaleureuse Grâce à « une déco entièrement refaite en 2010 », Le Grenier à sel s’est offert une seconde jeunesse, selon les explications de Michelle Godin, la maitresse des lieux. L’établissement jouit par ailleurs d’un cadre remis au gout du jour avec « une ambiance plutôt intime, des couleurs chaudes et un parquet en bois de chêne », recueille-t-on également comme description. Sa très belle terrasse extérieure ornée d’oliviers vient joliment conforter un décor conçu et pensé pour la convivialité et la relaxation, des critères qui confèrent au lieu un cachet particulier. Le cadre particulièrement fleuri et rafraichissant, le parfum des lauriers et les senteurs enivrantes des fleurs locales, les couleurs chatoyantes d’un décor en bois sont d’authentiques merveilles pour les sens. Cuisine du terroir revisitée Attentif à tous les gouts et particulièrement à l’écoute des demandes de la clientèle, Le Grenier à sel fait référence à une « cuisine semi-gastronomique aux saveurs différentes et très parfumées, mais où les plats ne sont pas forcément épicés », continue Michelle Godin. Une cuisine française aux touches subtiles et retravaillées, qui séduit même les plus exigeants. Le restaurant a su exploiter avec succès une présence de 22 ans dans la région rétaise pour instaurer une excellente relation de confiance avec les producteurs locaux ou des régions environnantes, notamment en matière de fruits, de légumes et de poissons, un atout majeur qui prévaut dans la sélection de ses produits. Pour les inconditionnels de la cuisine traditionnelle, le terroir a toujours sa place en cuisine, relevé de petites touches personnelles qui font la particularité de la maison. ...
En 1953, alors que l’appellation Buzet n’existe pas encore, un groupe de viticulteurs s’allie pour former la coopérative Les Vignerons de Buzet. La coopérative Les Vignerons de Buzet représente aujourd’hui 95% de l’appellation Buzet. Elle s’engage à vinifier et commercialiser des vins issus de pratiques responsables et durables. Une démarche responsable et durable à tous les niveaux « Nous sommes une coopérative fortement engagée sur le thème du développement et de la transition agroécologique », introduit Mariane Riboulet, responsable de la communication chez Les Vignerons de Buzet. Depuis 12 ans maintenant, cette philosophie est appliquée de la vigne à la bouteille. A cet effet, les vignes sont conduites en agriculture raisonnée et certains traitements chimiques sont supprimés. Ce qui signifie : zéro engrais chimiques, zéro désherbants chimiques résiduaires, zéro produits CMR (cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques). Et comme la coopérative veille méticuleusement à la préservation de l’écosystème, les insecticides nocifs pour les abeilles, dont les néonicotinoïdes, sont également bannis du cahier des charges. Par ailleurs, la question de l’économie d’énergie est réellement prise au sérieux. Les Vignerons de Buzet misent notamment sur les couverts végétaux afin de mieux gérer la ressource en eau dans les vignes. Toutes ces initiatives sont volontaires et vont au-delà de l’aspect environnemental. « Ces démarches écoresponsables ne se limitent pas au niveau du traitement des vignes », ajoute Mariane Riboulet. « Nous nous employons à ce que tout le processus d’élaboration du vin soit conforme à notre vision. C’est pourquoi nous travaillons aussi à l’écoconception de nos bouteilles, cartons, coffrets, etc…». Des vins pour tous « Baron d’Ardeuil » est un vin représentatif de la coopérative. « C’est la cuvée historique de la maison », nous confie notre interlocutrice. Le Baron d’Ardeuil se décline en rouge et en blanc. Baron d’Ardeuil rouge est issu de terroir de graves et d’argilocalcaires où les cépages Merlot, Cabernet Franc et Cabernet Sauvignon s’enracinent harmonieusement. Baron d’Ardeuil rouge est un vin plutôt puissant, boisé sans excès. De son côté, la cuvée Petit Baron se révèle être une porte d’entrée dans l’univers des vins de Buzet. Lancée en mars 2019, sur les trois couleurs (rouge, rosé et blanc), la gamme Petit Baron est née d’une volonté de donner une place à la chouette Chevêche d’Athéna, espèce protégée qui accompagne les viticulteurs des Vignerons de Buzet depuis longtemps car elle a été réintroduite dans le vignoble. Guidés par la chouette, Les Vignerons de Buzet reversent 1% des bénéfices générés par les ventes de cette cuvée en soutien à des initiatives environnementales, via l'organisme "1% for the Planet". La coopérative a également développé des vins sans sulfites ajoutés. Cette fois-ci, on dit non au soufre ajouté, additif qui a désormais rejoint le rang des allergènes. Parmi les ambassadrices de cette gamme de vins figure la cuvée "Sans", qui se décline en vin sans sulfites ajoutés rouge, rosé et blanc. Dans l’atelier du vigneron Les Vignerons de Buzet proposent une visite guidée dans le vignoble. L’animation est assurée par un viticulteur et un apiculteur qui se feront un plaisir d’exposer le cœur de métier de la coopérative. « Ces experts expliqueront respectivement toutes nos pratiques culturales liées à la transition agro-écologique. Les visiteurs découvriront, par exemple, comment sont préservés les insectes pollinisateurs, notamment les abeilles », éclaire Mariane Riboulet. Notons que la coopérative est engagée dans le label Bee Friendly qui promeut fervemment la protection des abeilles. Cette balade pédestre s’achève par une séance de dégustation où les visiteurs peuvent apprécier les vins et les produits du terroir en toute convi...
A Aix-en-Provence, à une centaine de mètres au nord du centre-ville, le restaurant l'Esprit de la Violette vous accueille dans un cadre raffiné et agréable. Dès l'entrée, le grand jardin au design graphique et parfaitement entretenu donne le ton. Si vous préférez prendre votre déjeuner bercé par le chant des cigales, la terrasse extérieure n'attend plus que vous. Mais sachez que l'intérieur vous promet autant d'élégance. Ici, rien de trop pompeux. On reste dans un esprit sobre tout en raffinement avec de jolis jeux de lumière. Les nappes de tables noires ébène tendent à surprendre. Mais passée cette première impression, la décoration contemporaine et recherchée se révèle dans toute sa splendeur. Marc de Passorio, retour de l’étoile L'histoire de l'Esprit de la Violette commence en 2014. Alors que Jean-Marc Banzo décide de mettre en vente son établissement, Marc de Passorio saute sur l'occasion et reprend le restaurant sur un coup de cœur. Un projet qui lui tient terriblement à cœur puisqu'il choisit d'abandonner ses autres activités pour s'y consacrer exclusivement. Une passion et un dévouement qui seront rapidement récompensés. En 2014, il reçoit le prestigieux prix du Gault & Millau d’or en PACA puis en 2015, un rêve d'enfant se concrétise : le chef est consacré par une étoile Michelin. Un titre qui vient aussi récompenser sa cuisine inventive, généreuse et un brin décalé. Car il faut dire que ses créations culinaires savent amuser nos papilles. Entre émotion et éblouissement, découvrez le foie gras de canard cuit au torchon délicatement accompagné d'une pâte de calisson d'AIX " feuille de poire " . La carte des desserts est tout aussi mélodieuse. L' " After Eight " Millésime été 2015 Chocolat Samana Grand Cru République Dominicaine par exemple achèvera de vous convaincre. Toutes ces succulentes suggestions sont minutieusement préparées avec des produits de saison. Le chef puise sa source d'inspiration sur les étals des marchés d'Aix et travaille avec beaucoup de producteurs locaux. Une manière de rendre hommage à la richesse des produits du terroir. Au cours de ses innombrables périples aux quatre coins du monde, il a aussi rapporté des trésors qui viennent ajouter une note d'innovation à sa cuisine. Entre originalité, raffinement et générosité A l'Esprit de la Violette, il existe plusieurs manières originales de déguster votre repas. Investissez, pour un délicieux moment entre amis, l'impressionnante cathédrale des vins. Il s'agit d'une salle spécifique dédiée aux vins où de nombreuses bouteilles sont agencées façon " cathédrale ". A découvrir également, le carré VIP, un espace intimiste directement installé dans la cuisine qui est propice aux dégustations en tout genre. Vous y verrez le chef et sa brigade à pied d'œuvre. Une découverte et une expérience sous le signe du partage que vous n'oublierez pas de sitôt. Car pour Marc de Passorio, transmettre sa passion est essentiel. D'ailleurs, il organise aussi des cours de cuisine accueillant débutants ou amateurs éclairés. Décidément, ce chef dynamique est présent partout, même là où on l'attend le moins. En 2015, l'Esprit de la Violette accueille un événement pas comme les autres où gastronomie et haute couture forment un heureux mariage. A cette occasion, la maison de couture Sandrine Godin a présenté sa collection tandis qu'en cuisine, le chef a concocté un dîner digne de ce nom associant modernité, tradition, excellence et élégance. Mais ce n'est pas tout ! Il lui arrive aussi d'organiser des soirées littéraires avec des écrivains incluant bien sûr, un menu qui surpasse aisément toutes les exigences. ...
À travers ses processus productifs calqués sur des écosystèmes naturels, Nutreets est à même de produire non seulement en quantité mais également en qualité. Cela dans le strict respect de l’environnement en évitant les pollutions liées aux intrants d’azote et de nitrates tout en préservant nos ressources qui ne sont pas infinies. Une production riche en qualité et en goût Dans un souci de préservation de l’environnement, Nutreets a développé des techniques de production inspirées de l’aquaponie. Cette dernière est connue comme étant une méthode de production biologique qui exploite la complémentarité entre pisciculture et autres cultures en hydroponie. Le principe est simple : l’eau provenant de l’aquarium est acheminée directement jusqu’au bac de culture. Une fois dans le bac, les plantes la purifient en assimilant les éléments nutritifs essentiels à leur développement. L’eau purifiée retourne à l’aquarium et le cycle peut reprendre, ce qui permet une importante économie d’eau. Jusqu’à maintenant, Nutreets s’est contentée de produire les grands classiques tels que les herbes aromatiques (basilic), les jeunes pousses (épinard, mâche, mizuna, roquette), les salades (batavia, feuille de chêne rouge, feuille de chêne blonde, laitue). En ce qui concerne les fruits, Nutreets produit des fraises, framboises, groseilles, melons. Enfin, des choux et des légumes variés tels que les aubergines ou les courgettes composent l’essentiel de la production. Celle-ci est naturelle et ne nécessite ni engrais ni pesticide. Côté pisciculture, anguille, black-bass, esturgeon, perche et Sendre constituent les principales espèces qui sortent de l’aquarium. Des systèmes de production innovants Que ce soit pour les particuliers ou pour les professionnels, Nutreets propose des systèmes de production qui sont adaptés à leurs activités. À commencer par le NutreetsGreenhouse System qui a été pensé pour les maraîchers en « serre verre ». Ce système est constitué de trois modules de production et permet d’atteindre des performances élevées qui se traduisent par une importante polyculture, une très bonne qualité gustative et nutritive, un rendement optimal et des cycles raccourcis. Les pisciculteurs ne sont pas en reste, effectivement, le NutreetsAquaclean System a été élaboré spécialement à leur égard. Ce système est basé sur un mécanisme de traitement des eaux combiné à des modules de production maraîchère. Le but étant de valoriser les effluents issus de la pisciculture. Résultat : une production totalement soutenable avec 0 % de rejet en azote sur l’activité piscicole, un système productif efficace entièrement écologique et une diversification des revenus. Le NutreetsEcoleaf System, quant à lui, est idéal pour la production de légumes feuilles et de poissons. Le point fort de ce système réside dans son adaptabilité à tout type de lieu. Il permet, entre autres, de réaliser 90 % d’économie en eau, de ne pas recourir aux intrants tout en bénéficiant de rendements très élevés. Enfin, conçu pour les particuliers, le Nutreets Free Garden se compose d’un bassin et d’un potager en réseau fermé. Avec ce système, plus besoin d’arroser, de désherber, d’utiliser des engrais et d’autres pesticides. Il suffit de nourrir les poissons et d'attendre que les fruits et légumes soient arrivés à maturité pour les cueillir. Si tous ces systèmes proposés par Nutreets connaissent aujourd’hui un franc succès, c’est en raison de leurs avantages qui peuvent se résumer en deux grands points, à savoir : d’un côté, la soutenabilité écologique (association favorable de cultures, renouvellement des terres, absence de produit chimique et une économie importante d’eau) et, de l’autre, l’efficacité agronomique (fraîcheur des produits, qualité gustative et nutritive, productivité continue et production locale). ...
Tristan Larsen, vigneron, travaille 15 hectares de gamay noir plantés en coteau, en adoptant une pratique culturale saine. Une vinification spécifique Pour offrir des cuvées uniques, la maison opte pour une vinification parcellaire. Après égrappage, chaque sélection parcellaire est associée à un type de cuve adapté avant de subir un élevage prolongé. Le domaine vient de construire un nouveau cuvage. Il permet d'élaborer les vins du domaine en Morgon, tous vinifiés climat par climat, parcelle par parcelle. Parmi les nectars proposés, « Les charmes » et « Le clos » sont incontournables. Le premier présente une harmonie et une belle palette aromatique ; le second est structuré et dévoile des tanins concentrés. ...
Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro. Manger simple mais bien… Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons. Le vin, une passion Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux. ...
Passionné par sa région et animé d’une vision avant-gardiste dans l’élaboration de ses champagnes, Pierre Laurent se veut « créateur de bien-être » en proposant des cuvées les plus naturelles possible, manifestant les typicités du terroir, le tout selon une démarche écoresponsable. Tradition, plaisir et partage sont autant de valeurs héritées de père en fils, qu’il ambitionne de véhiculer. Au plus proche de la nature L’histoire de la maison de champagne Pierre Laurent existe depuis 5 générations et la création de la marque fut en 2010. Issu d’une lignée de viticulteurs, Pierre Laurent veut perpétuer la tradition familiale et implante ses vignes sur les coteaux de la vallée de la Marne, plus précisément au sein des terroirs de Saulchery, Charly-sur-Marne, Azy-sur-Marne, Crouttes-sur-Marne et Domptin. Le vignoble, d’une superficie totale de 4,5 hectares, est planté des trois cépages champenois dans le respect des gestes ancestraux. Le domaine est effectivement l’un des rares à encore travailler la terre par le cheval. En effet, le tassement du sol provoqué par le passage des tracteurs entraîne un phénomène d’imperméabilité et empêche le développement correct des insectes et micro-organismes. Avec ce procédé traditionnel, le sol est mieux alimenté en eau et en minéraux, gage de la bonne santé des vignes. Dans une volonté de préserver ce précieux héritage qu’est le terroir de la vallée de la Marne, Pierre Laurent a aussi opté pour une viticulture raisonnée, avec pour ambition de décrocher les certifications Haute valeur environnementale et Viticulture durable. « C’est un travail qui requiert des connaissances, de la patience et du temps, mais les résultats en valent la peine », déclare-t-il. Cette forte implication et cet attachement à des notions comme la qualité et le bien-être ont été couronnés de succès, puisque les champagnes de la maison sont aujourd’hui disponibles dans l’un des endroits les plus prestigieux du pays : le château de Versailles. Les royales cuvées investissent Versailles Pour clôturer en beauté la découverte de la résidence des rois de France réputée pour sa perfection et son glamour, une halte dans la boutique de souvenirs est de rigueur. Quelques flacons signés Pierre Laurent trônent fièrement sur les rayonnages. Les deux cuvées, Louis XIV et Marie-Antoinette, ont brillamment su trouver leur place dans ces lieux mythiques. La cuvée masculine Louis XIV se démarque déjà de par son packaging d’un bleu doux. Constitué de 40 % de chardonnay, 40 % de pinot noir et 20 % de pinot Meunier, ce champagne plaît pour ses bulles fines et son nez puissant et fruité, complété par une bouche arrondie et douce. Il s’apprécie en apéritif ou servi avec des plats légers, comme un rouget à l’oignon rouge et à la menthe. La cuvée Marie-Antoinette, quant à elle, sera plus à l’image de la femme. Elle arbore des tons glamours par ses tonalités rose pâle. « Durant mon voyage au Japon en février 2015, j’ai découvert qu’ils étaient passionnés du sakura, le cerisier. J’ai donc choisi sa couleur rose pour cette cuvée, afin de plaire un peu plus aux Asiatiques », confie le vigneron. Ce champagne, fait à 50 % de pinot Meunier, 30 % de pinot noir et 20 % de chardonnay, a bénéficié d’un vieillissement de quatre années en cave. Il ouvre sur des arômes de figues et de dattes, suivis de notes florales et minérales qui en font un bel allié sur des desserts gourmands comme les crèmes vanillées caramélisées ou les pralines. ...