Dans son élégante résidence balnéaire surplombée par le Monte San Petrone, l’hôtel Orizonte propose plusieurs espaces de restauration pour y apprécier une cuisine moderne riche en saveurs locales. De l’entrée au dessert, en passant par la décoration raffinée et chaleureuse de la salle, tout y reflète un traitement minutieux des détails pour sublimer les sens. Un cadre aux multiples atouts Décorée pour prodiguer une ambiance conviviale, la principale salle du restaurant se pare de tons chauds aux notes boisées, soulignée par un parquet de teinte chocolat et égayée par des miroirs anciens. Pour profiter du spectacle balnéaire tout au long des repas, les tables se prolongent directement sur le bleu de la mer et offrent une vue privilégiée sur l’horizon, grâce à de grandes baies vitrées. Sur la Paillotte, idéale pour apprécier les grillades et les pizzas de la maison, la terrasse invite à apprécier les plaisirs gustatifs en plein air, avant de partir en promenade le long de Moriani Plage ou vers la plage de la Prunete. Disposant de 45 chambres, allant de la double ou quintuple, l’hôtel promet également de confortables nuits durant des séjours de randonnées en altitude ou de découverte historique et culinaire dans la Castagnicia, l’arrière-pays du village de Cervione. Une cuisine de qualité, des recettes inspirées Proche du village de Cervione, l’Orizonte propose des plats riches en goûts et en saveurs, grâce à un approvisionnement continu en produits locaux frais. En effet, il profite de liens privilégiés avec les producteurs locaux et se targue même de disposer d’un potager enrichi de multiples herbes aromatiques. Il propose ainsi une carte étoffée alliant modernité et tradition, en misant sur 80 % de produits du terroir pour faire naître de nouvelles saveurs. De même, l’adresse propose la découverte d’une sélection de vins corses, comme ceux du Domaine de la Punta ou du Clos d’Alzeto, spécialement choisis pour leurs qualités organoleptiques et leur histoire. ...
Épices pures ou en mélange, aromates et herbes. Les rayons d’Épices du monde déploient des produits provenant des quatre coins de la planète. Les férus de saveurs exotiques et méconnues trouveront ici leur bonheur. À ces condiments d’exception – délices d’ailleurs choisis suivant des critères de qualité rigoureux – viennent s’ajouter des épices locales défendant le goût de leur terroir. Mettre le monde dans son assiette Des épices de Madagascar à celles de la cuisine mexicaine, en passant par le célèbre piment d’Espelette, tous les goûts, les senteurs et les saveurs du monde se retrouvent dans l’éventail de produits proposés dans cette boutique en ligne. Les condiments qui y sont présentés, des plus connus à ceux qui le sont moins, sont alors une véritable invitation à un voyage culinaire fleurant bon la découverte. Grâce à ces produits de qualité, le monde s’invite dans vos assiettes. Cette enseigne de renom suggère de nombreuses recettes pour varier les plaisirs de l'apéritif jusqu'au dessert. Une gamme de 350 références triées selon la fiabilité et la renommée des fournisseurs, garantissant la traçabilité quant à l’origine de chaque produit. Cet engagement relevant de la rigueur est ainsi le gage de la qualité de chacune de ces références, aussi gourmandes les unes que les autres. Le client peut donc apprécier en toute confiance tout ce qui est cumin, curry, poivre de Kampot ou de Malabar... ...
La souplesse d’une association combinée à l’efficacité professionnelle En intégrant la Junior-Entreprise Dièse à son cursus, l’ENSIIE permet à ses élèves de réaliser missions, études et autres projets mettant en oeuvre les connaissances qu’ils auront acquises au cours de leur scolarité. « Nos clients nous sollicitent le plus souvent pour du développement web, de la création de logiciels, de la production de supports multimédia ainsi que du conseil informatique et digital. Ces derniers temps, la plupart de nos missions consistent à créer des sites web, notamment des boutiques en ligne ou encore des applications web » explique Noah Delophont, membre du pôle communication de la Junior-Entreprise Dièse. « Notre souplesse d’intervention ainsi que le vivier de talents dans lequel nous pouvons puiser constituent indéniablement deux de nos atouts. Et parce que nous nous adaptons rapidement aux besoins de nos clients, nous sommes capables de leur proposer un accompagnement qui soit véritablement ‘sur-mesure’. C’est pourquoi nous intervenons aussi bien auprès de start-ups que de TPE/PME ou encore de grands groupes comme GRDF. Et le fait que notre génération ait grandi dans un univers digital nous permet de proposer à nos clients des solutions innovantes auxquelles ils n’auraient pas forcément songé ». Si l’on devait décrypter l’ADN de la Junior-Entreprise Dièse, nul doute que l’innovation et l’enthousiasme y figureraient en bonnes places. Une réelle plus-value pédagogique Par le biais des missions qu’ils réalisent auprès de leurs clients, les membres de la Junior-Entreprise Dièse ont non seulement l’opportunité de mettre en pratique ce qu’ils ont appris mais aussi d’acquérir et de développer de nouvelles compétences. Autant de critères que ne manqueront pas de valoriser les recruteurs. « Pour certains élèves, ce sera la première fois qu’ils conduiront une véritable mission de A à Z et devront respecter des délais, tenir un budget, surmonter des contraintes techniques, etc. » précise Noah Delophont. « Mais nous ne sommes pas livrés à nous-même pour autant. Des filets de sécurité sont prévus. En cas de problème, nous pouvons demander conseil à nos professeurs, aux élèves-ingénieurs de dernière année ou encore aux anciens élèves. Parce que nous disposons de tout un réseau sur lequel nous appuyer, en cas de besoin, c’est d’une immersion progressive et en douceur dans le monde du travail dont Dièse nous permet de profiter ». En plus de les auditer annuellement afin de s’assurer qu’elles respectent bien la loi et ne mettent pas en danger le mouvement, la Confédération Nationale Junior-Entreprises (CNJE) propose d’ailleurs régulièrement des formations aux Junior-Entreprises. ...
« Faire plaisir tout en se faisant plaisir », c’est cet état d’esprit qui anime Elisabeth et Jean-Marie dans la fabrication de leurs champagnes. Ce couple issu de familles de viticulteurs mise sur sa passion et la complémentarité de ses expériences pour élaborer des cuvées d’exception issues d’ingénieux assemblages résolument affirmés, qui révèlent de belles qualités organoleptiques. Un terroir grand cru et premier cru Lancée en 2008, la maison Egrot et filles inspire l’innovation. Malgré sa jeunesse, elle compte bien s’imposer dans ce cercle très fermé qu’est la production de champagne. Exploitants chacun de leur côté dans le passé, Elisabeth et Jean-Marie ont décidé de mettre en commun leur savoir-faire pour créer cette marque « dédiée aux générations futures », affirme Elisabeth. Le fort attachement pour le terroir deviendra la ligne de conduite de ces deux vignerons. Le vignoble de six hectares implanté en grand cru et premier cru sur Ay et Louvois est cultivé de façon raisonnée, « dans l’ambition de décrocher la certification Haute valeur environnementale », confie notre interlocutrice. On y retrouve essentiellement du pinot noir, ainsi que quelques parcelles plantées en chardonnay, avec toutefois une petite précision : « on n’a pas de pinot Meunier. Ce n’est pas seulement par choix. Historiquement, nos vignes ont été déjà plantées comme ça. » Trois cuvées qui reflètent l’esprit de la maison Au rang des trésors qui font la fierté de la maison figure le millésime 2009, un champagne gastronomique, aromatique, sensuel et gourmand. Ses bulles fines, ses arômes classiques et sa belle rondeur font de ce vin un compagnon d’exception pour des accords salés et gourmands comme une viande tendre, un carpaccio de poisson et de viande, ou un fromage gras. La cave recèle aussi d’autres incontournables, comme la cuvée Brut, issue du terroir de Louvois. Scintillante par sa belle robe jaune, elle révèle fraîcheur, équilibre et harmonie, de quoi plaire aux œnophiles avertis. Un vin conseillé en apéro ou en accompagnement de produits de la mer (filets de poissons grillés, crustacés gratinés, etc.). Dernière, et non des moindres, la cuvée Extra-brut complète la trilogie, et se distingue par son nez intense et profond, suivi d’une bouche fraîche et large. Ce vin au style ambivalent constitue l’allié de tous vos grands moments de vie. ...
« En lisant les cartes de différents restaurants, je remarquais qu’il y avait beaucoup de vins chiliens, et pas forcément de vins d’Argentine. Or, moi qui suis originaire de ce pays et, de plus, fille de vignerons, je connaissais très bien la qualité des vins argentins ! », révèle Else Decker. La fondatrice d’Elsoli devient ainsi l’ambassadrice des vins de son pays, en créant sa propre société d’importation en 2005. Depuis, elle prend véritablement plaisir à dénicher les perles rares d’Argentine. Et elle les propose avec fierté sur le marché français, en collaborant avec différents distributeurs. De savoureux vins de terroir Selon Else Decker, le secret des bons vins argentins, c’est leur terroir. « Déjà, le vignoble bénéficie de 300 à 320 jours de soleil par an. Cela favorise la maturation des raisins. Grâce au bel écart de température qu’offre le climat, la vigne va s’enrichir en soleil pendant la journée, tandis que, la nuit, elle bénéficie de la fraicheur apportée par le vent. » Par ailleurs, les terroirs d’Argentine sont riches et variés, grâce aux différents éléments qui les composent : calcaire, argile, matières minérales... En outre, ils sont « très sains », puisque les viticulteurs privilégient des pratiques culturales nécessitant très peu de produits chimiques. En plus de révéler les particularités de leur terroir, les vins argentins symbolisent la passion et l’honnêteté du vigneron dans son travail. Des vignerons passionnés Else Decker travaille actuellement avec cinq vignerons qu’elle connait « personnellement », tient-elle à souligner. En quête de tradition et d’authenticité, elle a d’abord été séduite par les vins de la famille Roca, de Mendoza. « Quand j’ai fait déguster les vins à quelques bons restaurants et sommeliers reconnus en France, ils ont tous aimé ! À partir de là, j’ai fait venir ma première commande qui s’est vendue très rapidement. » L’aventure a continué avec Domingo Molina, dont le vignoble est situé entre 1 600 et 2 300 m d’altitude dans la vallée de Cafayate, à Salta . Cette maison a convaincu Else Decker par sa façon de vinifier le Torrontés, un cépage caractéristique de l’Argentine. Vient ensuite La Bodega del Fin del Mundo, un domaine basé à l’extrême sud de Patagonie. Ici, place à des vins de haute qualité qui arborent parfaitement les particularités du terroir « du bout du monde ». Une autre maison qu’Elsoli représente est celle des Bianchi, une famille de vignerons italiens qui se sont installés en Argentine en 1887. Leur savoir-faire est soigneusement préservé à travers leurs vins, synonymes de passion et de tradition séculaire. Enfin, la maison uruguayenne Bracco Bosca, qui doit notamment son succès à la cuvée « Ombù », un nom tiré de celui d’un arbre typique d’Uruguay. En choisissant ce domaine, Else Decker veut dépasser les frontières de son pays d’origine. « Aujourd’hui, on me demande de rapporter d’autres vins, pas seulement d’Argentine. À croire que je deviens un peu l’ambassadrice d’Amérique latine ! », conclut-elle, enthousiaste. ...
S’inspirant de leurs origines et de leur amour inconditionnel pour la gastronomie italienne, Eric et Raffi lancent leur concept avec la promesse de vous faire découvrir une cuisine ensoleillée et des pizzas à la coupe comme jamais vous n’en goûterez ailleurs à Paris. Amour pour la tradition artisanale, sélection de produits d.o.p. et un service de qualité, voici le secret! Véritable œuvre d’art Pour réussir à exprimer pleinement son talent, tout artisan qui se respecte se doit d’avoir les meilleures matières premières entre ses mains. Chez Acquerello, les farines blanches et intégrales servant à la préparation de la pâte sont sélectionnées avec le plus grand soin. Elles sortent directement du moulin d’un producteur italien. Tous les autres produits sont choisis pour leur qualité exceptionnelle allant de la mozzarella au lait de bufflonne au parmigiano (parmesan) reggiano en passant par la gorgonzola et la scamorza fumée, la pancetta (lard) italienne et la crème de truffe. Pour mettre en scène ces ingrédients, Eric se tient prêt devant son pétrin et son four (italien lui aussi) conçu spécialement pour la pizza à la coupe romaine. Ce passionné use de son savoir-faire et de ses talents de boulanger (talents appris à l’Ecole Grégoire Ferrandi et dans les meilleures boulangeries et pizzerias parisiennes)pour vous concocter une grande diversité de pizzas. Tartufo, Pancetta, Pesto : des noms évocateurs appelant à la gourmandise se découvrent dans la carte riche d’une vingtaine de variétés de pizzas (voir le menu sur le site www.pizzacquerello.fr) mais Eric est prêt à satisfaire les demandes les plus variées qui n’apparaissent pas sur la carte (chaque client à ses exigences!). Un service traiteur hors pair ! Acquerello accompagne également les particuliers ou les entreprises dans l’organisation de leurs évènements (anniversaire, réception, cocktail, buffet..). L’établissement bénéficie d’un matériel dernier cri lui permettant de rester opérationnel en toute circonstance. « Nous pouvons offrir nos services de traiteur même pour des événements dans des lieux qui sont dépourvus de cuisine et de frigo » nous souffle Raffi, la propriétaire. Acquerello s’adapte aux besoins de sa clientèle au niveau des menus proposés. Cette personnalisation de son offre est une garantie de satisfaire même les plus exigeants. Parmi les plats les plus demandés figurent les lasagnes (rouges et aux légumes), les focaccia, le petits pains tomates confites et mozzarella et bien sûr, les incontournables pizzas à la coupe. Quant aux boissons, «l’Italie s’invite aussi à table» déclare notre interlocutrice. L’occasion d’apprécier la richesse aromatique des vins du pays minutieusement sélectionnés, des boissons italiens (limonata siciliana, sodas San Pellegrino et bières italiennes). Mais Acquerello n’oublie pas le Services, avec la qualité: hygiène garantie (aller visiter leur laboratoire), ponctualité dans la livraison, possibilité de demander le service d’installation, fourniture du matériel pour buffets, personnel pour que les invités de votre événement soient servis comme il se doit en plateaux et boissons. ...
Situé dans les Alpes-de-Haute-Provence et ancré dans le Parc naturel régional du Verdon, Moustiers-Sainte-Marie est l'un des plus beaux villages de France. Il bénéficie d’un riche patrimoine naturel, propice aux sensations extrêmes et aux randonnées familiales. Au programme : sports nautiques, aériens, équestres, pédestres mais aussi escalade ou parapente... Nature et adrénaline Moustiers-Sainte-Marie regorge d’activités en plein air. De nombreuses associations sportives proposent des expériences uniques, entre ciel et terre. Les amoureux de l’eau ou les simples curieux peuvent y pratiquer le canoë, le paddle, le pédalo ou le bateau électrique. Les deux bases nautiques locales, La Cadeno et L’Étoile, vous mènent sur l’eau douce du lac Sainte-Croix, troisième plus grand lac de France. L’association Des guides pour l’aventure propose de découvrir notamment le « floating », consistant ici à descendre à la nage le grand canyon de Verdon. Celui-ci est le plus profond d’Europe. Pour savourer des paysages à couper le souffle, Verdon Passion, Roc N Vol, Verdon pro Climb vous conduisent au sommet des falaises et dans les gorges du Verdon. De l’escalade ou du parapente sont proposés à ceux qui veulent prendre de la hauteur. Pour ceux qui préfèrent la vitesse, des parcours en VTT sont organisés dans les champs de lavande du plateau de Valensole. Ces moments d’aventures conviennent aux grands sportifs comme aux débutants. Les accompagnements sont sur mesure. Des émotions sportives pour tous les âges Les randonnées pédestres ou équestres de Moustiers-Sainte-Marie sont un ravissement pour les sens. Sur des sentiers bordés de lavande, en haut du lac Sainte-Croix ou devant un coucher de soleil, elles s’adressent à toute la famille. Des promenades en poney sont organisées pour les enfants. Des associations proposent notamment des promenades équestres en fin de journée, afin de pouvoir admirer le coucher du soleil. Les nombreux sites géologiques permettent de découvrir les derniers 300 millions d’années d’histoire de la Terre. La diversité des écosystèmes confère au lieu une faune variée (chamois, chevreuils, vautours...) et une flore endémique splendide. Les émotions font partie intégrante d’un séjour à Moustiers-Sainte-Marie. Chaque âge y trouve son sport, chaque sensibilité y repousse ses limites. Le cadre invite au dépassement de soi. L’amour de la Nature se conjugue à l’intensité des sensations vécues. Un lieu à éprouver de tout son cœur et de tout son corps. ...
Avec des menus changeant en fonction des produits du marché, Le Bistr’Eau Ryon propose des assiettes où les saveurs terre et mer se rencontrent. Dans un cadre bistronomique, le restaurant accueille ses clients pour leur servir les spécialités du chef qui varient selon les saisons. Une expérience affirmée dans le milieu Ayant à son compte 35 bonnes années d’expériences dans le domaine de la restauration, Alain Ryon puise son inspiration dans toute cette passion effrénée pour la cuisine. Originaire de la commune de Bressan, le chef est tombé très jeune dans la marmite. Déjà, enfant, il adorait passer du temps dans la cuisine familiale. Faisant ses débuts aux côtés du grand maitre Georges Blanc dès l’âge de 14 ans, Alain poursuit son chemin sur la Côte d’Azur avec Pierre Gleize et Roger Vergé pour s’initier à la cuisine provençale dont il tombera rapidement amoureux. Le chef cumule les expériences dans le feu de la passion et des découvertes. Ses efforts seront récompensés car il sera nommé plus jeune étoilé de France. Aujourd’hui, au sein du Bistr’Eau Ryon, il propose des plats raffinés et authentiques, reflétant ses origines et témoignant de la richesse de son parcours professionnel. Des saveurs marines s’alliant au goût des produits du terroir, soigneusement préparés et mijotés avec une véritable passion, voilà ce qui attend ceux qui viendront s’aventurer dans ce restaurant sis en lisière du beau sable blanc de la plage Saint Clair. Une carte terre mer Alain Ryon tombe littéralement amoureux de la fraicheur des produits qu’il trouve sur le marché. C’est la raison pour laquelle sa carte ne présente qu’une liste de plats assez restreinte. En effet, le chef préfère proposer le menu en fonction de ses trouvailles, pour ensuite inscrire les plats sur une petite ardoise. Quoi qu’il en soit, les suggestions du restaurant changent toutes les semaines. Comme proposition en entrée, le choix vacille entre un Tian de crabe et homard au guacamole de fèves, un Compressé de légumes au foie gras et un Tartare de thon et st-jacques. En plat de résistance, place aux poissons avec le Saint-Pierre portion rôti au fenouil sauvage & beurre blanc, le Risotto aux gambas sauvages ou le Dos de cabillaud sauvage cuit à la peau & rougail de tomates aux agrumes. Durant les mois de juillet et août, le Homard bleu sauvage entier aux tagliatelles & truffes de la Saint Jean fera voltiger les papilles des gourmets. Le restaurant n’oublie pas les amateurs de viandes et concocte un succulent Magret de canard rôti jus de miel et citrons ou encore une entrecôte race « Angus » poêlée et jus court. La carte se termine par un large choix de dessert exquis avec quelques classiques comme le fondant au chocolat ou la tarte au citron caramélisé. Le tout s’arrose d’une bonne bouteille de vin local, fourni par les petits producteurs de la région. ...
La Franche-Comté est réputée pour sa cuisine traditionnelle et ses produits issus des zones géographiques du Jura occidental, des Vosges du Sud, de la plaine de Saône et de la Bresse. Les fromages, les charcuteries, les morilles, la truite du Jura et les vins sont essentiels dans la cuisine franc-comtoise. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, de la potée comtoise préparée à base de viande de salaison et de croute aux morilles cuisinée avec des morilles et des croutons de pain grillé. On y trouve aussi le vignoble du Jura, avec son célèbre cépage Savagnin. Ce vignoble produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura, des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois et des mousseux d’AOC Crémant du Jura. Un cadre enchanteur Véritable havre de paix, La Mainaz est aménagée avec délicatesse pour permettre aux personnes à mobilité réduite d’y accéder facilement. Niché au col de la Faucille, l’établissement jouit d’un panorama unique sur la chaîne des Alpes, le Mont-Blanc et le lac Léman. Dotée de 21 chambres et suites confortables dûment décorées, d’un restaurant gastronomique « la Table de la Mainaz », d’un bistrot « le Panorama », d’un bar « le 1720 » et d’une salle de séminaire entièrement équipée, la Mainaz peut répondre à toutes vos attentes. Dans un cadre naturel préservé, la Mainaz est le point de départ idéal pour découvrir cette magnifique région située entre l’Ain, le Jura et la Suisse. Vous découvrirez de magnifiques sentiers de randonnée dans des paysages exceptionnels, ainsi qu’un large éventail d’activités touristiques et sportives, dont le ski nordique et le ski alpin. Ses principaux fournisseurs sont des producteurs locaux, notamment ceux du Genevois et du Jura. La qualité des produits et l’aspect humain sont les véritables critères de sélection. La Mainaz souhaite construire des relations sur le long terme avec ses fournisseurs qu’elle considère comme des collaborateurs allant dans le même sens pour valoriser et promouvoir le Haut-Jura et ses environs. Une cuisine créative et une hospitalité garantie Le personnel est fortement qualifié. Mathieu Sagardoytho, le Chef cuisinier, a été Sous-Chef cuisinier du Bristol avant de passer au poste de Chef à L’Agapée, où il a maintenu l’étoile Michelin. On trouve aussi dans l’établissement diverses compétences dans plusieurs domaines, notamment dans l’international. L’anglais, le mandarin et le japonais sont couramment parlés. À La Mainaz, il importe de mettre en place un environnement propice au travail afin d’élaborer une cuisine créative prônant un équilibre entre tradition et modernité. « Notre but est de faire de ce restaurant une véritable institution locale, tout en restant dans un esprit familial. Le salarié arrive le matin avec le sourire et le client se sent comme chez lui. On veut concilier la tradition locale à la modernité », fait-on valoir. ...
Créée en 1905 par Charles Émile Ellner, cette maison familiale réunit aujourd’hui 3 générations qui travaillent main dans la main. En effet, les champagnes Ellner, c’est d’abord une affaire de famille. Aux commandes : Jean-Pierre Ellner, le petit-fils du fondateur est déjà bien entouré et peut compter sur la génération montante. Ses filles, Emmanuelle et Alexandra s’occupent de l’image de la marque et de la partie administrative tandis que leurs neveux Frédéric et Arnaud prennent en charge les vignes et la vinification. Depuis sa création, la maison s’est fixé une ligne de conduite : produire des champagnes de grande qualité, accompagnant tous les moments de vie. La richesse des terroirs La maison Ellner dispose de 50 ha de vignobles répartis sur l’ensemble de la Champagne : la côte des Blancs, la Montagne de Reims, la vallée de la Marne, les côtes de Sézanne et l’Aube. Les 3 cépages (pinot noir, pinot meunier et chardonnay) sont plantés sur une grande variété de terroirs. « Mais le chardonnay représente près de 50% de l’encépagement de notre vignoble », tient à préciser Gauthier Bongras, directeur commercial de la marque. Ce cépage est majoritairement présent sur les terres situées à Chouilly et Tauxières, deux villages classés Grand Cru sur la côte des Blancs. Il est aussi présent sur les côtes d’Épernay et les côtes de Sézanne. « Les sols argilo-calcaires de nos vignobles permettent d’élaborer des vins complexes tout en conservant fraicheur et tension », renchérit le responsable. Les cépages noirs (pinot noir et le pinot meunier) se concentrent quant à eux sur la Montagne de Reims et la vallée de la Marne. Enfin, la maison possède également au sud de la Champagne un vignoble de 7ha planté essentiellement en pinot noir. Ce vignoble datant du jurassique supérieur est à l’origine de vins particulièrement riches en arômes. Le style Ellner La maison pratique depuis 2001 une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum l’utilisation de produits chimiques. Côté vinification, les vins sont élevés dans des foudres de chêne qui font 20 à 25 fois la taille d’un tonneau classique. Comparée à un élevage en cuve inox, cette technique permet aux vins de mieux conserver leurs arômes d’origine. Les champagnes ne font pas non plus l’objet de fermentation malolactique. « Chez Ellner, nous donnons du temps au vin, nous ne voulons pas le vieillir artificiellement, c’est un élément vivant et moins on le secoue, plus il donne de belles choses », nous rapporte-t-on. Ici, on laisse donc volontiers ces trésors oenologiques vieillir plus longtemps, ce qui permet aux arômes de dégager toutes leurs subtilités. A titre d’exemple, l’entrée de gamme non millésimée vieillit pendant au moins 4 ans, tandis que les millésimes sont élevés sur lies en bouteille entre 10 et 12 ans. Le vieillissement se fait dans des caves traditionnelles datant du XIXe siècle et s’étendant sur 2 km de galerie. Chaque année, plus de 400 000 bouteilles y sont élevées avant d’être distribuées un peu partout en France et dans le monde, notamment aux États-Unis. Les cuvées ambassadrices Dans la liste des cuvées phares, la Grande réserve est celle qui représente le mieux la maison Ellner. Elle est obtenue par l’assemblage de 60% de chardonnay et de 40% de pinot noir. En bouche, cette cuvée surprend par sa fraicheur florale qui se double d’une nuance fruitée. À déguster, selon les envies, en apéritif ou en début de repas. Vient ensuite la cuvée Premier cru, élaborée à partir de 75% de chardonnay et 25% de pinot noir. S’habillant d’une robe or pâle, elle présente un arôme légèrement brioché. À déguster en apéritif et de préférence associée à un poisson. ...
Flashmatin : Pouvez-vous présenter l'Institut de la Vision ? Serge PICAUD : L’Institut de la Vision a pour missions principales de comprendre le fonctionnement de la vision et de prévenir les pathologies pouvant entraîner la perte de vue. Le jury international réuni par l’HCERES (Haut Conseil de l'Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur) a conclu que ce centre de recherche fait partie des meilleurs centres de recherche mondiaux dédiés aux maladies de la vision. Les vingt équipes académiques se répartissent sur cinq axes majeurs : le développement du système visuel, la génétique des maladies visuelles, le traitement des informations visuelles, les thérapies et le développement de techniques d’imagerie ainsi que de nouveaux instruments diagnostiques. Quels sont les résultats innovants et les solutions thérapeutiques qui y ont déjà été développés ? En dix ans d’existence, l’Institut a enregistré des avancées significatives dans la compréhension des maladies de la vision et le développement de stratégies thérapeutiques, dont certaines arrivent aujourd’hui au stade de l’essai clinique. Pour vous donner quelques exemples, GenSightBiologics, une start-up de l’Institut de la Vision, est en train de mener des essais cliniques sur une pathologie héréditaire appelée « Neuropathie Optique Héréditaire de Leber » (NOHL). Pour cette première mondiale par thérapie génique, les résultats montrent une amélioration durable de la vision et de la qualité de vie des patients traités. D’autres essais cliniques portent actuellement sur des implants rétiniens développés pour restaurer la vision de patients aveugles par Pixium Vision, une autre start-up de l’Institut de la vision. Leur implant photovoltaïque est actuellement en essai clinique sur des patients souffrant de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), qui peuvent à nouveau lire des mots ! Des essais cliniques très prometteurs viennent également d’être lancés avec une approche alternative, la thérapie optogénétique : nous utilisons le génome d’une algue pour transformer les neurones résiduels de la rétine en une sorte de photorécepteur. L’objectif est encore de restaurer la perception visuelle chez d’autres patients devenus aveugles. Enfin, nous avons participé à l’amélioration des traitements pour le glaucome en retirant un conservateur toxique des gouttes. Fin 2018, vous avez été labellisé IHU (Institut Hospitalo-Universitaire). Que va apporter cette nouvelle structuration ? Le premier ministre, Edouard Philippe, a en effet avalisé l’avis du jury international en attribuant au Pr Sahel la mission de construire l’hôpital de demain en ophtalmologie. Cette nouvelle structure va réunir l’Institut de la Vision et le Centre Hospitalier des Quinze-Vingts pour accélérer le transfert clinique des innovations thérapeutiques et diagnostiques. L’objectif est d’améliorer l’accès aux soins et la prise en charge des patients pour leur apporter une réponse thérapeutique, quelque soit le stade de leur pathologie. Cet objectif est extrêmement ambitieux puisque de nombreuses pathologies rétiniennes n’ont pas encore de traitement pour prévenir leur évolution vers la cécité. Nous devons également former les personnels soignants et techniques pour permettre le déploiement des innovations thérapeutiques sur l’ensemble du territoire. L'Institut de la Vision est soutenu par la Fondation Voir & Entendre et ses donateurs. Pouvez-vous nous expliquer l'importance des dons et legs pour vos recherches ? A l’Institut de la Vision, chercheurs et cliniciens travaillent pour prévenir l’évolution des maladies de la vision vers la cécité. Pour développer nos recherches et être soutenus par les agences de financement publiques, nous devons leur présenter les preuves de concept des futures stratégies thérapeutiques. Grâce à nos donateurs, nous pouvons amorcer ces projets et obtenir les preuves de concept initiales. Les dons sont donc essentiels ! Ils sont de véritables déclencheurs de la recherche et permettent aux chercheurs d’initier tous leurs t...
La jeune Maison Jeeper se veut la marque de champagne qui monte avec une forte identité et un positionnement apte à séduire une clientèle branchée ? Pas si jeune que ça puisque la marque a été lancéeen 1949. Nous l’avons racheté avec mon mari en 2009 et avons décidé très rapidement de lui créer un flacon dédié pour se différencier des autres acteurs champenois. Le temps de fabriquer un moule, de réaliser les tirages et de faire le vieillissement, les premières cuvées de notre gamme premium ne sont sorties que l’année dernière. Nous avons écoulé 170 000 bouteilles avec cette nouvelle gamme de champagne de hautes lignées aux notes élégantes et persistantes dont l’excellent rapport qualité-prix explique sa popularité grandissante. Comment est élaboré le champagne Jeeper ? Il s’agit d’un champagne d’assemblage, une sélection du meilleur de nos approvisionnements. Nous disposons en effet d’un vignoble maison de 35 hectares environ et des contrats d’approvisionnement qui représentent 180 hectares. L’ensemble de ces raisins nous permettent de faire une sélection très rigoureuse pour produire nos quatre cuvées actuellement commercialisées, sachant que deux autres (le Premier Cruet le Grand Cru) patientent encore dans les chais. On parle aussi d’un goût Jeeper, pouvez-vous nous en dire plus ? Notre communication vante en effet ce goût Jeeper qui s’appuie sur le chardonnay vieillit en futs qui apporte finesse et élégance aux champagnes, les conseils de notre œnologue maison depuis toujours et une utilisation très parcimonieuse du soufre. La forme de la bouteille participe également à la qualité de votre champagne ? Tout à fait puisque notre bouteille possède un col peu haut, limitant le volume d’oxygène dans l’espace de tête à environ le tiers d’une bouteille classique. De quoi garder intact toutes les qualités gustatives, d’assemblage et de vinification tout en se démarquant de la bouteille de champagne traditionnelle avec un flacon maison reconnaissable immédiatement. ...
Érigé au XIIIe siècle par la famille Gosset, le Château la Chenevière constitue l’un des lieux les plus emblématiques de la Normandie. Consacré auparavant à la culture du chanvre et l’élevage de poulains, il est entièrement restauré en 1988 par Marie-Françoise et Thomas Dicker pour devenir le plus grand restaurant-manoir du Nord-ouest français. Le château associant romantisme, harmonie et élégance abrite un hôtel cinq étoiles de vingt-neuf chambres ainsi qu’un restaurant gastronomique baptisé Le Botaniste. L’endroit rêvé pour découvrir les saveurs de la cuisine normande dans un cadre cosy et spacieux. Le Botaniste : ode à la gastronomie Le Botaniste émoustille les papilles exigeantes grâce à sa cuisine fine et maîtrisée qui se concentre sur des produits fermiers normands. Le chef Didier Robin travaille en étroite collaboration avec les producteurs locaux ainsi qu’avec les jardiniers du château pour s’assurer de la parfaite fraîcheur de ses ingrédients. Grâce à cette rigueur dans la sélection des matières premières, il peut élaborer une carte et trois menus qui chantent le répertoire de la gastronomie française. En entrée, Didier Robin suggère les Noix de Saint-Jacques aux champignons lentins, parfum d’ails des ours, larme de chou kale et graines de lin torréfiées. Ce plat se déguste idéalement avec du vin pouilly-fumé blanc La Doucette. En plat de résistance, les convives peuvent se délecter du Bœuf, cœur de filet aux épices « fruits des bois », carottes de couleur, pulpe de betterave Crapaudine et vinaigre de Banyuls chocolat. Une succulence qui s’apprécie volontiers avec du vin Château Gloria Saint-Julien. Dans le registre des desserts, les saveurs subtiles de La ruche, une gourmandise sous forme de sphère de nougat glacé poire et miel, tuile miel et son chaud de poire aux épices complètent le mélodieux repas. A noter que le miel ayant servi à créer ce dessert est directement issu des ruches élevées par la maison. Entre ces plats emblématiques, le chariot de fromages est à ne rater sous aucun prétexte, car il constitue l’une des signatures de la maison. La sélection a été effectuée auprès de certains fermiers locaux comme Xavier Godmet de La Boîte à Fromage. ...
La propriété familiale existe depuis 5 générations. En 2015, Laurent reprend les rênes avec l’objectif de « réaliser les plus grands vins possibles », nous confie-t-il. Le vigneron profite de la localisation géographique privilégiée de son terroir pour signer des Grands Crus d’exception issus de l’appellation Gevrey-Chambertin et des cuvées de finesse et d’élégance de l’appellation Bourgogne. Le vignoble se trouve effectivement au cœur des Côtes de Nuits, sur les hauteurs du village de Gevrey-Chambertin et s’étend sur une superficie de 6,5 hectares. Ces hauts-lieux bourguignons sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui constitue une preuve irréfutable de leur richesse et de leur singularité. Un vigneron responsable et passionné Dans son travail, Laurent s’évertue toujours à prendre en considération l’héritage à laisser aux générations futures. C’est pourquoi le domaine opère dans le strict respect de l’environnement. L’adoption d’une démarche raisonnée dans la gestion des vignes est antérieure à l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale niveau 3 (HVE 3). Depuis toujours, la maison exploite ses terres dans un souci d’instaurer l’harmonie entre l’homme et la nature. Elle a aussi fait le choix d’opter pour des rendements faibles dans une volonté d’obtenir des vins plus concentrés capables d’exprimer la quintessence de leur terroir. Les récoltes s’effectuent à maturité optimale. « Nous attendons notamment que les raisins atteignent un niveau de sucre adapté afin d’arriver à un meilleur équilibre possible », explique le vigneron. Des vins de parfums et de matières À l’issue des vendanges manuelles, le pinot noir, le chardonnay et l’aligoté subissent un processus de vinification en cuve inox d’une durée de 15 jours puis un élevage en fûts de chêne entre 12 et 18 mois en fonction des appellations travaillées. De ces méthodes prônant un savoir-faire séculaire naissent des cuvées authentiques et généreuses qui tiennent toutes leurs promesses. Parmi les best-sellers de la maison figurent les cuvées Les Carougeots et Vieilles Vignes, du 100 % pinot noir qui se veut charmeur et expressif. ...
Le mécanisme du moulin tourne encore, non pas pour moudre le grain mais pour servir de valeur ajoutée au repas des convives dans les salles. L’eau qui actionne la roue vient de la petite rivière du Garon qui longe la terrasse. C’est un aperçu de ce qui attend les gourmets durant une pause gustative au restaurant Le Petit Meunier. Les assiettes et les vins y sont d’une grande variété, alliant tradition et modernité. Une qualité issue de la tradition Jérôme privilégie une cuisine du marché, donc très variée. Il travaille aussi bien les poissons que les viandes et légumes. Le Petit Meunier se trouve à Messimy, petite commune sise à côté de Thurins connu comme étant la capitale de la Framboise. Ce fruit fait donc partie des produits phares de la maison et reste très apprécié en dessert. Le restaurant Le Petit Meunier est particulièrement exigeant sur la présentation des assiettes, mais surtout sur la qualité et la fraîcheur des produits. Pour s’en procurer, les propriétaires favorisent le circuit court en construisant des relations avec les producteurs locaux. Ils font même partie d’une association de producteurs et de restaurateurs de la région. Le restaurant présente une carte gastronomique qui change tous les six mois, des plats du jour ainsi que différents menus tels que le menu des saveurs, le menu des délices, le menu prestige et le menu enfant. Pour une belle entrée en matière, le Chef suggère des Saint Jacques juste poêlées et croquettes de pied de porc pannées accompagnées d’une crème aux lardons et romarin. C’est une recette qui plait énormément aux gourmands et gourmets car elle incarne un parfait mariage entre terre et mer. En plat principal, il faut choisir entre des assiettes de poissons comme le Pot au feu de Lotte, gambas et légumes oubliés ou les préparations à base de viandes telles que le Cœur de Ris de veau sauté à l’ail, servi avec le jus corsé de veau. En dessert, le sablé spéculoos avec sa mousse mascarpone et ses framboises fraîches est un clin d’œil de Jérôme Gagneux à Thurins. Pour accompagner tout cela, la maison suggère des vins très variés. Parmi la sélection, le Coteaux-du-Lyonnais issu domaine du Clos Saint Marc fait partie des plus prisés. Un cadre à l’image de la cuisine Comme la cuisine, le cadre allie également l’ancien et le moderne. Dans une salle aux poutres et murs de pierres apparentes, les convives peuvent manger au coin de la cheminée en contemplant le mécanisme du moulin à travers la grande baie vitrée. Les douces vibrations de la roue accompagnent cet instant gourmand. L’ambiance est beaucoup plus moderne mais tout aussi chaleureuse dans l’autre salle. La réception d’évènements Le restaurant Le Petit Meunier est disponible pour différentes réceptions personnalisées, avec buffet ou à la carte. Il accueille les repas d’anniversaire, les réunions de famille ou les fiançailles. D’autres évènements se sont également déroulés au Petit Meunier comme la 30ème Soirée Network du Club Plaisirs Gourmands, des chefs d’entreprises qui veulent développer leur réseau professionnel et leur business à travers la gastronomie. Dernièrement, l’établissement a organisé un « repas dans le noir » un geste de solidarité au profit de l’Ecole des chiens guides d’aveugles à Marcy l’étoile. ...
Ce lieu mythique érigé en 1889 comme hôtel particulier a été pendant longtemps le refuge attitré de plusieurs visiteurs prestigieux pour ne citer que Boris Pastoukhoff, Robert Capa, Clark Gable ou encore Grace Kelly. Un personnage en particulier a façonné l’histoire de cet établissement prestigieux. Marlene Dietrich, éprise pour l’hôtel parisien, s’y est installée trois ans à partir de 1937. Elle y reçoit régulièrement un ami, Monsieur. Grand voyageur, Monsieur parcourt la France à la découverte des terroirs et des campagnes. Chaque mois, quand il revient à Paris, il s’empresse de lui partager ses trouvailles sur les vins, les beaux produits, les paysages… Une cuisine traditionnelle et authentique En hommage à cette belle part d’histoire qui fait le charme et le mystère de l’hôtel Lancaster, son restaurant a été rebaptisé Monsieur. Les travaux ont été entièrement repensés en 2013. Le cadre est en symbiose avec le nouveau concept mis en place depuis l'été 2017 : celui de proposer une cuisine de tradition empreinte d’authenticité. Les meubles, les éléments de décoration, les couleurs taupe, or et sable… tout est fait pour plonger les convives dans une atmosphère familiale et chaleureuse sublimée par l’élégance et le classicisme épuré qui font l’identité de l’hôtel. Dans ce cadre renversant, la clientèle est invitée à découvrir chaque mois une nouvelle région. Ce concept permet d’aller à la rencontre des spécialités culinaires qui font toute la richesse du pays. Aux manettes de ce nouveau projet : le chef Sébastien GIROUD. De septembre à octobre, il met à l’honneur la région Occitanie. En novembre, rendez-vous en Bourgogne pour une halte dans le Beaujolais, le Jura ou encore la Franche-Comté. En décembre, les spécialités du Grand-est et de la Champagne sont délicieusement mises en scène par le chef… Une valse de saveurs éveillant tous les sens sera ainsi proposée tout au long de l’année pour inviter les fins gourmets à aller de surprises en surprises. Tour de France à la cave Ici, les assiettes sont le fruit de l’union d’un talent inimitable, d’un attachement aux traditions culinaires et de l’amour des beaux produits issus de nos terroirs. Outre les menus, Monsieur Restaurant met aussi chaque mois une région à l’honneur dans la sélection de vins proposée aux convives. La cave à vins de plus de 600 références se prête ainsi au jeu du voyage en valorisant un vin régional ainsi qu’une maison de Champagne. A l’image d’un homme passionné par la cuisine française visitant chaque contrée pour y découvrir des produits d’exception, les convives feront des découvertes inédites à l’occasion de ces instants terroirs. Afin de les entraîner dans cette aventure typiquement française et résolument gourmande, le restaurant propose, entre autres, plusieurs rendez-vous hebdomadaires, à l’instar d’une dégustation d’un vin de région, d’une soirée jazz ou d’un atelier cocktail ludique et propice au partage. ...
La Junior Entreprise Hepia : un tremplin professionnel pour les étudiants qui en font partie Sauf à ce que vous ayez passé les deux dernières années reclus sur une île déserte (et encore…), ça n’a pas pu vous échapper : les Junior-Entreprises ont le vent en poupe ! Implantées au sein de grandes écoles ou d’universités, ces associations à but non lucratif permettent à des étudiants de passer de la théorie de la pratique en intervenant auprès de « vrais » clients. Basée à Genève, en Suisse, la Junior Entreprise Hepia permet ainsi aux étudiants de l’école du même nom, spécialisée dans le paysage, l’ingénierie et l’architecture, de mettre un pied à l’étrier et de rentrer dans monde du travail en adoptant une posture professionnelle. « Parce qu’elle est calquée sur les filières de l’école, notre offre de compétences est très large » précise Maxime Chapellier, le président de la Junior Entreprise Hepia. « Nos consultants sont capables d’intervenir dans des domaines tels que l’agronomie, l’architecture du paysage, le génie mécanique, la micro-technique, l’architecture, l’informatique, la micro-technique et le génie civil. Et bien que la communication et le design ne fassent pas partie des matières enseignée à l’Hepia, certains de nos étudiants n’hésitent pas à faire valoir des compétences qu’ils ont acquises en dehors de l’école ». Parmi les mandats qui ont déjà été confiés à cette Junior-Entreprise figurent, par exemple, le développement d'un instrument biomédical permettant de mesurer les différents paramètres de l'oeil ou encore la conception d’un rasoir révolutionnaire. « Il s’agit d’un rasoir qui sera aussi efficace qu’un coupe-chou de barbier mais plus simple d’utilisation ». La Junior-Entreprise, un système « gagnant-gagnant » Le principal atout de la Junior Entreprise tient au fait qu’en permettant à ses membres de perfectionner leurs compétences, d’accumuler de l’expérience et d’enrichir leur réseau professionnel, elle optimise considérablement leurs chances de trouver un emploi correspondant à leur formation. Véritable incubateur de talents, la Junior-Entreprise Hepia n’échappe pas à la règle. Mais ses clients y trouvent eux aussi leur avantage. « Nous n’avons pas encore été formatés par le monde du travail. C’est pourquoi nous portons un regard neuf sur les problématiques qui nous sont soumises par nos clients » explique Maxime Chapellier. « Pour cette raison, les solutions que nous leur proposons sont résolument innovantes. Quant à nos tarifs, ils sont plus avantageux que ceux d’une entreprise lambda. En revanche, il peut arriver que nos délais de réalisation soient un peu plus longs. En effet, nos consultants étant des étudiants, lorsqu’ils réalisent des missions, c’est en marge de leurs cours ». ...
Cette plateforme se dote de trois équipements, co-financés par le Fonds européen de développement économique et régional (FEDER), tous à la pointe de la technologie : un spectromètre de résonance magnétique nucléaire liquide haut champ de 500 MHz équipé d’une cryosonde, un spectromètre de masse triple quadripôle et un microscope électronique à transmission. Localisés sur le site Triolet de l’Université de Montpellier puis sur le futur campus Balard, ces appareillages scientifiques dédiés aux analyses et aux caractérisations d’échantillons d’origine naturelle ou synthétique sont aussi accessibles à d’autres disciplines à l’instar de la physique et de la biologie. Ces nouvelles technologies sont capitales pour la connaissance approfondie et l’exploration des fonctions et propriétés innovantes des molécules et matériaux développés dans le cadre de recherche de haut niveau tant avec le secteur académique que privé. Elles constituent des étapes clés pour lever des verrous technologiques et contribuent à l'attractivité et au développement économique régional. Les technologies analytiques au service de la santé Les applications relevant de la santé sont au cœur des préoccupations du Pôle Chimie Balard qui développe et propose des technologies analytiques et expertises afférentes indispensables aux chercheurs montpelliérains dont les activités s’inscrivent dans la thématique « Thérapies innovantes et ciblées – Diagnostic », domaine de recherche transversal et pluridisciplinaire (chimie/biologie/clinique) prioritaire en région. L’étude et la compréhension des mécanismes d’action des biomolécules pour le traitement des pathologies humaines et animales qui font partie des problèmes sanitaires majeurs (infectieuses dont la tuberculose, le paludisme et la toxoplasmose, cardio-vasculaires, dégénératives, cancer...) ainsi que la caractérisation des biomarqueurs, molécules clés en diagnostic, sont essentielles pour concevoir la médecine moléculaire de demain. Une grande part de ces recherches s’est conclue par des publications de haut niveau, des brevets et surtout des avancées en matière de thérapie par le développement de médicaments actuellement en phase d’essai clinique. Grâce aux instruments dernier cri, la communauté scientifique montpelliéraine dispose ainsi d’outils analytiques hautement complémentaires et compétitifs contribuant à l’essor de la science tant en recherche fondamentale qu’appliquée se concrétisant par de très nombreuses publications scientifiques de renommées internationales et par la création de start-up qui proposent des services innovants dans le développement de médicaments. Vers une dynamique commune des disciplines L’existence de la Plateforme d'Analyse et de Caractérisation (PAC) du Pôle Chimie Balard et de ses technologies haut de gamme représente un atout majeur, non seulement pour les projets des chimistes du site montpelliérain, mais aussi pour ceux d’autres communautés académiques intéressées (biologistes, cliniciens, pôle Rabelais, etc.). Elle contribue également à la promotion de la collaboration et de l’interface entre les différents domaines d’étude. Les projets de coopération entre le pôle Chimie Balard et les équipes de recherche du Centre de Coopération Internationale en Recherche (CIRAD) et de l’Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) pour l’identification de nouvelles molécules issues d’extraits naturels de plantes en sont la preuve parfaite. Pour la promotion des acteurs économiques locaux L’importance stratégique de la Plateforme d'Analyse et de Caractérisation (PAC) du Pôle Chimie Balard pour l’économie locale n’est plus à prouver. Grâce aux 3 nouveaux équipements, les PME et TPE régionales bénéficient d’un accès direct à un centre de mesures et d’analyses de haute technologie à proximité de leurs activités. Les prestations analytiques proposées et les progrès qu’elles impliquent renforcent la comp&ea...
En 2013, Mee Godard rachète un domaine de 5 ha implanté sur l’AOC Morgon. Cette œnologue de formation a su en très peu de temps tirer le meilleur du terroir pour produire des vins rouge d’exception. Une affaire de patience Au pied de la colline Côte du Py, ce vignoble planté en gamay fait maintenant 6,5 ha. Ici, de vieilles vignes sont cultivées sur trois parcelles différentes : Corcelette, Grands Cras et Côte du Py. La méthode de travail est résolument tournée vers le bio mais la reconversion se fera à son rythme. En effet, pour Mee Godard, le travail du vin est surtout une question de patience. Pas étonnant que les 5 cuvées du domaine subissent une macération longue de 3 semaines. ...
Excellente adresse pour découvrir les délices de l’Orient, l’établissement vous fait voyager de la Thaïlande au Cambodge. À travers des recettes inventives ou sinon traditionnelles, avec juste ce qu’il faut comme mariage de couleurs, de textures et d’épices du bout du monde, le chef met les petits plats dans les grands pour ravir vos palais et vous plonger dans un véritable dépaysement culinaire, le temps d’un repas. Des plats aux saveurs atypiques Le Rotanah vous réserve son lot de surprises en mettant le meilleur dans vos assiettes. Laissez-vous tenter par son Tartare de bœuf cru à la façon thaïe, son Croustillant de papaye aux crevettes ou encore sa Soupe de poulet à la citronnelle qui sont d’authentiques découvertes en matière d’entrées. Dans le registre des plats, optez pour ses Crevettes au curry rouge, son canard au basilic ou son poisson entier pimenté façon thaïe. Enfin, savourez son Riz gluant à la mangue fraiche, son Flan thaï au lait de coco ou encore son Riz noir au flan, en guise de desserts. Confortablement installé au centre de Paris, Le Rotanah est un « restaurant familial », selon les dires de Mme Un. Issue d’une famille de restaurateurs et fille d’un chef cuisinier, elle compte à son actif près de 20 années d’expérience dans le domaine. « Tous les cuisiniers qui sont passés chez nous ont été formés par notre famille », rajoute-t-elle, avec, bien sûr, déjà une base culinaire obligatoire. En plus de proposer une belle carte de vins spécialement sélectionnés par son époux M. Un, Le Rotanah propose également deux marques de bières spécifiques qui contribuent énormément au succès de l’établissement, à savoir le Singha et le Kingdom. ...
Revivez en famille la bataille de Verdun grâce à l’événement-spectacle « Des Flammes à la Lumière » réalisé par Connaissance de la Meuse. De la bataille de Verdun à nos jours Créée en 1982, l’objectif de l’association Connaissance de la Meuse est de mettre en valeur l’histoire et le patrimoine meusien. Parmi ses actions les plus connues (et spectaculaires), « Des Flammes à la Lumière » se concentre sur la Première Guerre mondiale avec un focus sur la sanglante bataille de Verdun. Le public assiste donc à une évocation historique faisant la part belle aux affrontements entre soldats français et allemands, à la vie dans les tranchées ou encore au quotidien des civils des deux côtés du Rhin. Mais ce n’est pas tout ! Car, d’après son metteur en scène, Jean-Luc Demandre, les spectateurs sont invités à redécouvrir des événements depuis l’Armistice jusqu’à aujourd’hui, dont la réconciliation entre la France et l’Allemagne. Un spectacle impressionnant pour toutes les générations Nul besoin d’être fervent amateur d’histoire pour apprécier à sa juste valeur cette création originale et particulièrement émouvante qui, depuis sa création, a enthousiasmé 530 000 spectateurs. Prenant place dans une grandiose carrière à ciel ouvert, l’association n’hésite pas à nous en mettre plein les yeux avec des effets spéciaux impressionnants, 250 acteurs-figurants, mais aussi un véritable travail avec le son à 360 degrés, les 1 000 projecteurs ou encore les décors. Le metteur en scène nous confie d’ailleurs que, ce qui touche les participants de la manifestation, c’est d’entendre des spectateurs de mêmes familles, mais de générations différentes, discuter entre eux des faits historiques qui leur ont été présentés. Ainsi, ce spectacle est aussi un lien intergénérationnel. Les modifications par rapport à la version 2019 Depuis sa création, le spectacle change et évolue afin d’inciter les spectateurs à revenir, année après année. Déjà, en 2019, les prouesses techniques avaient époustouflé les milliers de personnes venues assister au plus grand spectacle d’Europe consacré à la Grande Guerre. En 2020, Jean-Luc Demandre nous indique que le public doit se préparer à être surpris une nouvelle fois. Parmi les nouveautés de cette édition, une scène nous place dans une tranchée allemande lors d’une attaque française. De plus, un nouveau final a été créé cette année encore. Sans oublier des modifications au niveau de la mise en scène, des effets spéciaux, du mapping et des projections d’images. Une raison, s’il en fallait une, de revenir ou, si vous ne connaissez pas le travail impressionnant de cette association, de le découvrir. ...
C’est en 1668 que le marquis de Vauban, de son vrai nom Sébastien le Prestre, conçoit les premiers plans de l’édifice pour en faire une place forte redoutable de l’époque. La citadelle faisait autrefois office de caserne pour les soldats du roi Louis XIV, puis prison d’État et camp de prisonniers de guerre avant d’être transformée en dépôt militaire. Elle a dû subir de nombreux travaux de rénovation et de restauration afin de conserver son architecture authentique d’antan. Chargée d’histoire, ce lieu unique en son genre tient sa promesse : celle d’un patrimoine vivant fort en émotions. Un patrimoine séculaire revisité Érigée au sommet d’une colline entourée elle-même de sept collines et enfermée par une boucle de la rivière du Doubs, la forteresse surplombe la capitale comtoise, Besançon, de plus de cent mètres et offre un panorama impressionnant depuis ses remparts. Elle s’étend sur douze hectares et abrite trois musées labellisés « Musées de France » dont le Musée de la Résistance et de la Déportation, un musée d’histoire fondé en 1971 par Denise Lorach, ancienne déportée, le Musée comtois, où sont exposées depuis 1948 l’histoire et l’ethnographie bisontines, ainsi que le Muséum de Besançon dont « la particularité est de réunir en son sein des secteurs animaliers très variés afin d’illustrer toute la richesse de la biodiversité », souligne Marie-Pierre Papazian, responsable Marketing en charge des Relations Médias. Avec ses richesses naturelles et ses particularités uniques, la Citadelle, elle, a été classée au titre de monuments historiques français en 1924 et est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2008. Elle compte parmi les sites touristiques et culturels les plus visités de la région Bourgogne-Franche-Comté. Parmi les plus belles citadelles de France telles que celles d’Arras et de Longwy, elle est reconnue comme la plus belle et accueille plus de 270 000 visiteurs par an avec des centres d’intérêt éclectiques : découverte du patrimoine, de l’histoire, des musées, de la biodiversité, des spectacles… Par ailleurs, la Citadelle doit sa renommée à son créateur, l’architecte Vauban. Issu de la petite noblesse bourguignonne, ce dernier devient ingénieur militaire du roi Louis XIV en 1653 jusqu’à sa disparition en 1707. A ce titre, il édifie les plans des fortifications, assure la défense ou le siège des places fortes et participe personnellement aux actions de guerre lorsque cela s’impose. Vauban a beaucoup voyagé pour mener à bien ses projets ; on estime qu’il parcourait pas moins de 4 000 km par an. À la fois créatif et plein d’imagination, « il a su utiliser la particularité géographiques des lieux et les renforcer pour faire de la citadelle de Besançon une forteresse imprenable », précise notre interlocutrice. Une destination touristique aux mille facettes La Citadelle de Besançon propose toute l’année plusieurs activités destinées au grand public. Artistes, historiens et scientifiques conjuguent passion et savoir-faire pour renouveler les programmes en permanence. Au cœur de la forteresse, dans la chapelle Saint-Étienne, un spectacle multimédia est proposé pour permettre aux visiteurs de plonger dans l’histoire de la citadelle et de la capitale comtoise. Sur d’immenses surfaces de projections et tout autour des spectateurs, les siècles défilent, les personnages apparaissent et s’interpellent dans une gigantesque fresque historique. Depuis le temps de Jules César au Moyen Âge, en passant par les règnes de Charles Quint et de Louis XIV jusqu’aux périodes les plus tumultueuses de l’histoire de la forteresse, les présentations interactives et ludiques invitent à voyager dans le passé. En outre, les deux « chemins de ronde », longs d’environ 600 mètres, sont des lieux incontournables pour admirer le paysage exceptionnel : vieille ville de Besançon, collines verdoyantes et vues imprenables du méandre du Doubs. Pour compléter la visite, la citadelle vous convie en petit groupe et sous la conduite d’un guide à d&...
Au TOP des villes idéales pour « changer de vie » A la 4ème place du classement Météojob et Meilleurtaux.com, Rouen se distingue par ses opportunités professionnelles traduites par le nombre d’offres en CDI et son pouvoir d’achat immobilier (rapport prix/logement et salaire médian). A l’heure où les modes de travail évoluent, qualité et accessibilité des logements, bureaux, coworking sont des atouts majeurs. Idem pour l’A/R à Paris, facile dans la journée. Située entre Paris et Le Havre, l’activité économique est multifilières : 1er port céréalier ouest européen, 2ème région en chimie médicinale et 3ème productrice de médicaments. Les grandes majors de l’assurance attirent les métiers de la fintech, assurtech… Territoire pionnier aussi dans la mobilité qui expérimente en 1ère européenne des véhicules autonomes sur routes ouvertes. Logistique, santé, agro-alimentaire, tertiaire à haute valeur ajoutée, écotechnologies ne sont pas en reste. Nombre de collèges et lycées posent les jalons d’une bonne formation des enfants. 11 écoles d’enseignement supérieur, 1 université réputée, 1 CHU à la pointe et Neoma Business School (Top 5 des écoles françaises et 28ème place Européenne pour le Financial Times) forment les talents de demain. Performance, expériences et transformations des secteurs économiques, cette vitalité séduit les entrepreneurs et investisseurs intéressés par la créativité et un cadre de vie propice à l’épanouissement personnel. Historique et décontractée Le temps libre, celui des week-end, des vacances se vit pleinement. Partout, les enfants ont la part belle : les activités sont riches et multiples. Un moment en terrasse, à l’Opéra de Rouen Normandie, un concert en bord de Seine, un temps aux musées avec les merveilleuses collections. Flaubert, Monet, Jeanne d’Arc résonnent mondialement. Chaque année, 4 millions de touristes découvrent l’histoire de la ville et ses alentours où la gastronomie est une signature : restauration et hôtellerie de haut niveau complètent cette offre très qualitative. Œuvres classiques, œuvres éphémères : toute l’âme de Rouen se retrouve dans sa candidature Capitale européenne de la culture pour 2028. ...
Ouvert en 1986, le restaurant est établi dans une petite maison traditionnelle de 34 couverts, entièrement refaite, où seules les poutres ont subsisté. L’extérieur rustique et convivial offre un intéressant contraste avec l’intérieur, qui présente un décor épuré et moderne. La salle affiche une prédominance de couleurs vives qui apportent énormément de dynamique. Les tonalités rouges des chaises et du comptoir des années 70 sont adoucies par les tons clairs des nappes et des pans de mur blancs. Tout comme dans les grands restaurants gastronomiques, la table élégante est dressée au millimètre près. La passion d’une famille Mis à part Wilfried, le sommelier, et Laura, la serveuse, l’équipe du restaurant est composée des membres de la famille Gutleben. Marie est en salle et assure un accueil chaleureux à tous les convives. Ses enfants, Romain et sa sœur jumelle Laurine, quant à eux, s’occupent des fourneaux. Après ses études en restauration, Laurine a fait ses armes dans le restaurant étoilé le Chambard mais également à Roanne chez les fréres Troisgros triplement étoilé au guide Michelin. Elle décide ensuite de revenir dans sa ville natale, pour y prendre les rênes avec son frére de la cuisine du restaurant familial. En 2010, elle est sacrée une des meilleures apprenties de France. Romain, quant à lui, brille aussi par son riche parcours : le Maximilien à Zellenberg, une étoile au Michelin où il fait ses armes. Tout comme sa soeur, ils décident de mettre en avant leurs talents et leurs savoir-faire au service de l’établissement La Vieille Forge : une histoire de famille...Cette équipe de choc ne serait pas ce qu’elle est sans Rémy, le père, qui a un œil sur tout, au service de ses convives. Des menus raffinés et savoureux À La Vieille Forge, quatre menus sont proposés. La formule « Découverte » flirte avec le haut de gamme et se compose essentiellement de produits nobles : œuf parfait, foie gras poêlé, homard fraicheur du moment, ris de veau… Les amateurs de surprise se laisseront guider par le talent de Laurine et de Romain au travers du menu « Épicure », décliné en 5 services, et élaboré selon l’inspiration des deux chefs en cuisine. À midi, les choix oscilleront entre le menu à 28 €, composé d’une entrée, d’un plat et d’un fromage ou d’un dessert, et la formule à 31 €, offrant deux choix d’entrées, plats et desserts. Quant à la carte, elle n’est jamais figée. Le restaurant a pour habitude de la changer régulièrement. Toutefois, certains plats particulièrement appréciés des clients sont maintenus chaque saison, comme le foie gras de canard confiture choucroute servi en entrée. En résistance, place à l’incontournable ris de veau rôti à la saltimbocca, accompagné d’un mousseux de pomme de terre à la truffe, sauge et câpres. En guise de dessert, la sphère de chocolat crémeuse note exotique et pistache en éclats apporte la note de douceur qu’il faut pour clore en beauté ce repas. Ici, chaque assiette est présentée de manière soignée et élégante. Décidément, à La Vieille Forge, le plaisir des pupilles compte autant que celui des papilles. ...