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LES ARTICLES LES PLUS LUS

Jedha : un bootcamp dédié aux métiers de la Data Science

La masse de données qui circule dans le monde est si énorme que l’on aurait besoin d’un millier de forêts amazoniennes pour parvenir à toutes les transcrire sur papier. Heureusement que des solutions comme le big data existent et ont été conçus pour justement comprendre ces informations, les analyser afin d’en extraire les données utiles et essentielles au moment voulu. Jusqu’ici, la science des données reste la meilleure arme stratégique pour prédire l’avenir. Le concept Basé sur le modèle pédagogique des bootcamps, Jedha propose des formations présentielles et intensives de huit semaines pour maîtriser la data science : outils de web analytics, de data visualisation, SQL et Python appliqué au Machine Learning. Les 40 heures de cours s’alternent entre cours sur l’algorithme et statistiques d’une part, et des entraînements individuels et exercices de groupe, d’autre part.  « Nous abordons chaque module en fonction des problématiques actuelles en entreprise, de telle sorte que l’ensemble de la formation puisse apporter une solution réelle et immédiate à nos apprenants », précise Antoine KRAJNC, CEO et fondateur de Jedha. D’autres consultants externes, issus d’une dizaine d’entreprises expertes dans le métier, viennent régulièrement échanger et partager leurs propres expériences avec les étudiants. La dernière semaine du programme est entièrement consacrée à la pratique avec un projet de Data Science. L’espace de travail se transforme en un véritable laboratoire où les apprenants peuvent expérimenter les techniques acquises, confronter leurs compétences et découvrir de nouvelles possibilités dans le but de résoudre une problématique donnée, avec pour finalité bien évidemment de décrocher le certificat. Une communauté collaborative En parallèle, le bootcamp organise des workshops dans ses locaux. Quand une trentaine de personnes connaisseuses et passionnées de la data science se réunissent autour d’un sujet, cela crée une vraie émulation d’idées et de connaissances. « La première heure est dédiée à la présentation, après les participants se retrouvent autour d’une bière ou d’un petit café pour discuter et se construire un réseau. » Le public de ces events se compose de jeunes étudiants, d’entrepreneurs, mais aussi de professionnels dans le métier ou en reconversion ainsi que des data analyst confirmés. Par ailleurs, l’équipe Jedha est à même de concevoir un accompagnement sur mesure des projets d’entreprise dans le data management et data analysis. Cette formule cible au plus près les besoins spécifiques de chaque écosystème tout en développant les compétences de l’équipe interne. ...

L'Horloge gourmande :
haut lieu de la bistronomie, à Tassin-la-Demi-Lune

À  L’Horloge gourmande, les convives sont accueillis dans un cadre sobre et un esprit de maison bourgeoise. Rien de trop guindé : ici, on privilégie la simplicité avec une décoration qui tranche, entre l’ancien et le moderne. Dès l’entrée, l’immense horloge ornant le mur du fond attire forcément l’attention. Dans la salle règne une ambiance intimiste, qui invite au calme et à la détente. Objets et accessoires de décoration exposés en vitrine, intimement liés à la vie et au parcours des propriétaires, contribuent au charme des lieux. Durant l’arrivée des beaux jours, la terrasse verdoyante fait le bonheur des amoureux du grand air. Cette véranda, donnant sur l’arrière de l’établissement et annexée à la salle principale, et peut être privatisée pour les groupes à l’occasion de communions, d’anniversaires, de baptêmes ou encore de repas de famille. Le brillant parcours d’un chef passionné Le chef Olivier Roch s’intéresse très tôt à l’univers de la cuisine. Il fait ses débuts au sein du lycée hôtelier François Rabelais de Dardilly. Son BEP en poche, il suit une formation en pâtisserie, ce qui lui permettra d’intégrer une compagnie de croisières en Floride en tant que pâtissier. Il continue son parcours en exerçant notamment auprès du chef étoilé Philippe Gauvreau. C’est auprès de ce dernier qu’Olivier Roch a appris à œuvrer avec une haute technicité pour offrir des plats dignes de véritables chefs-d’œuvre artistiques. Une cuisine qui parle aux fins palais L’Horloge gourmande est spécialisée dans la cuisine de bistrot, privilégiant l’usage de produits nobles comme en gastronomie mais traités de manière plus simple. À midi, la maison propose une formule « Déjeuner » constituée de deux ou trois plats réalisés avec des produits du marché et quotidiennement mis à jour. Le chef Olivier Roch met aussi à disposition des fins gourmets deux types de menus : le menu « Horloge », à 32 €, et le menu « Tassilunois », à 45 €. En soirée, le choix se fait à la carte. Celle-ci change à chaque saison ; il existe néanmoins certains « best-sellers » qui apparaissent de manière récurrente comme le foie gras poêlé, l’onglet de bœuf black angus, le cabillaud… De vrais délices pour les papilles. Toutes ces suggestions sont élaborées avec des produits frais, rigoureusement sélectionnés. Les fonds, les jus, les fumets… tout est fait sur place. Côté vins, le chef fait appel aux services de Philippe Gerin, caviste à Condrieu. La sélection s’effectue en fonction de la carte du restaurant. En tout, une quinzaine de références mettent à l’honneur toutes les régions, dont celle de la vallée du Rhône. ...

Monsieur Appert : « devenir acteur de notre alimentation »

« Devenir acteur de notre alimentation », c’est en ces mots que Patrick Elziere explique les motivations qui l’ont poussé avec son associé Philippe Boissel à lancer la marque Monsieur Appert. Le concept : proposer des conserves préparées à base de produits du terroir. « Nous avons décidé de remettre au goût du jour les conserves qui n’ont pas toujours eu bonne presse pour en faire de très beaux produits. », fait savoir notre interlocuteur. La spécialité de la maison consiste à proposer surtout des fruits et légumes « pas toujours bien valorisés dans le commerce surtout sur le marché des conserves. » Ces matières premières sont sélectionnées selon la saisonnalité et, comme le bon vin, deviennent des millésimes. Un travail de haut niveau Les produits de la Maison Appert se distinguent pour leur qualité où le terroir est mis en avant à sa juste valeur. Récolté dans les meilleures conditions et de façon naturelle, chaque fruit et légume, issu de l'agriculture biologique et raisonnée, est travaillé artisanalement. « La priorité de la Maison Appert est de préserver au maximum l’écosystème afin de rendre à la nature ce qu’elle a donné », précise Patrick Elziere. L’étape la plus importante, qui est la transformation des aliments, est faite par une équipe de chefs créatifs, avant la mise en bocal.  De la fraîcheur gourmande Utilisant des produits nobles et typiques, Monsieur Appert désire avant tout réinventer, et transcender les Légumes et les Fruits se déclinant en plusieurs gammes : tartinades, pickles, chutneys, aides culinaire, fruits au sirop, accompagnement (ratatouille, purée de butternut par exemple).  Parmi ses produits phares figure la compotée d’oignons rosée de Roscoff, fait avec 92 % d’oignons de Roscoff (AOP), de l’ail rosé de Bretagne, de la graisse de canard, du sel, du thym, du laurier et de l'arôme naturel de fumée. S’ajoute à cela le citron de Menton confit dans son huile (artisanalement), qui accompagne bien les salades aux fruits de mer ou un bar au four. Un des produits les plus prisés par la clientèle est l’écrasée de pomme de terre, l'andouille de Guémené au beurre, qui rappelle la bonne cuisine bretonne. Pour des moments sympas et intimes, en tartine ou en apéritif toutes les recettes de la gamme Monsieur Appert ont été étudiées afin que chaque produit puisse s’adapter selon les besoins et les envies de chacun. Un concept plutôt classique et accessible à tous qui permet de goûter à la haute gastronomie chez soi avec des produits 100 % sains, nature et délicieux. À rappeler que les produits Appert sont testés avant d’être mis à la vente et que la conservation se fait naturellement sans sans additifs, adjuvants ni colorants. Une charte qualitative précise est respectée, s’appuyant sur un réseau de producteurs locaux issus d'une agriculture de qualité dans un rayon de 250 km autour du lieu de transformation. ...

Chez Mamie Lise : les saveurs du terroir savoyard

L’établissement propose un cadre rustique montagnard garantissant un accueil chaleureux et convivial. Trois salles aux décors de charme invitent à découvrir la gastronomie et les produits du terroir qui font la réputation de la Haute-Savoie. Sur une grande terrasse, l’on savoure les trésors culinaires proposés chez Mamie Lise en se laissant bercer par le lac d’Annecy qui mêle sa fraîcheur à celle des montagnes.   Une cuisine traditionnelle aux couleurs de la région Aux portes de la Vieille Ville d’Annecy, le restaurant Chez Mamie Lise dévoile la riche tradition culinaire de la Haute-Savoie. Sa cuisine rend hommage à la générosité du terroir à travers une sélection soignée de charcuteries, de poissons et de viandes. Les spécialités fromagères sont notamment à l’honneur : reblochon, manigodine, beaufort, morbier et chèvre. Des entrées jusqu’aux desserts, la conception des plats proposés traduit une réelle passion pour la cuisine. « Je suis quelqu’un de très passionné, la cuisine c'est toute ma vie ! », déclame le chef du restaurant. Des spécialités et des saveurs à la savoyarde  L’établissement a, entre autres, bâti sa réputation grâce à ses fondues, raclettes et autres tartiflettes. La fondue savoyarde aux trois fromages, la Manigodine cuite et fumée au bois de hêtre ainsi que l’Ercheu de jambon de montagne illustrent parfaitement la cuisine de chez Mamie Lise. Les poissons du lac d’Annecy sont également bien représentés avec, entre autres, les goujonnettes de féra en croûte de manigodine et le rôti de lotte au jambon de montagne. Par ailleurs, l’entrecôte Simentahl, le magret de canard mulard et le carré d’agneau sont à ne pas rater. ...

Sport et santé, Hopale a les clés

Ils sont plus de 200 sportifs à franchir chaque année la porte de la Fondation Hopale. Situé à Berck-sur-Mer, sur la Côte d’Opale, le site accueille footballeurs, basketteurs, judokas ou encore coureurs. Toutes disciplines confondues, ils viennent des clubs régionaux mais aussi de la France entière et de l’étranger. Ils sont nombreux à solliciter les médecins et chirurgiens hopaliens, afin de bénéficier d’un plateau de rééducation hautement spécialisé et dédié aux sportifs, le tout face à la mer. Les soins dispensés sont de qualité et l’établissement dispose désormais d’une certaine notoriété. Une prise en charge de A à Z Ligaments croisés, lésions du ménisque, instabilités d’épaules, tendinites, rupture du tendon d’Achille et autres blessures musculaires sont autant de pathologies qui guettent les sportifs. Matthieu Bataille, judoka français, en a fait les frais en 2008. Alors qu’il remporte le bronze un an avant aux championnats du monde, le sportif se blesse au ligament latéral interne. L’opération est inévitable. La rééducation se déroulera dans la station de Berck-sur-Mer, à la Fondation Hopale. « Ma famille vit dans le secteur, ce qui avait initialement motivé ma décision. Je ne l’ai jamais regrettée car j’ai été très bien suivi. Même si les journées étaient chargées entre la kinésithérapie, la préparation physique et la balnéo ! » Ce choix sera payant. Trois ans plus tard, en 2011, Matthieu Bataille remporte l’or mondial par équipe. « Nous sommes l’un des rares établissements où l’on peut tout faire », affirme le Dr Jérémie Caudin, médecin de médecine physique et de réadaptation. « De l’acte chirurgical à la rééducation, en passant par la réathlétisation, tout est sur place. »  En plus de la rééducation, un sportif de haut niveau a besoin de s’entretenir et, à la Fondation Hopale, il peut profiter d’appareils de musculation, de tapis de course, dont un tapis antigravité, d’une balnéothérapie, avec bains froids et chauds, de jacuzzis... Les athlètes sont chouchoutés afin qu’ils retrouvent au plus vite le chemin de la guérison et des compétitions.  « Quatre mois après sa sortie, le sportif est invité à revenir », ajoute le Dr Antoine-Xavier Malliopoulos, chef du département de rééducation orthopédique, traumatologie, rachis, appareillage et rééducation du sportif. « On lui fait alors un test isocinétique, qui permet de connaître la force développée par le patient. Suivant les résultats, un programme de reconditionnement musculaire est possible. Nous utilisons différentes techniques de pointe pour d’autres pathologies, comme les ondes de choc ou l’injection de facteurs plaquettaires pour les problèmes de tendons. » La Fondation possède également un service appareillage qui complète cette chaine de soin et de rééducation. On y fabrique, par exemple, des masques pour que les sportifs puissent recommencer l’entrainement sans crainte, après une fracture faciale, et on y adapte aussi des fauteuils roulants ou des kayaks pour la pratique du handisport. Bientôt un Institut du Sport de référence  C’est l’objectif affiché pour les mois à venir. La Fondation Hopale aimerait tendre vers une structure entièrement consacrée au monde du sport. Jusqu’alors, la prise en charge des sportifs était possible, notamment, grâce à l’association Hopale Sport Santé, créée en 2013. « L’une des missions est de promouvoir la prévention de la blessure », précise le Dr Malliopoulos. « Par exemple, grâce à une évaluation dynamométrique effectuée en début de saison dans différents clubs de la région. Cela permet de mesurer le risque de blessure et de le corriger si besoin. »  Cette prévention sera accentuée et renforcée avec la naissance de ce projet d’Institut du Sport, qui proposera des stages de préparation physique aux sportifs aguerris, valides ...

Du Rhône : maître chocolatier suisse depuis 1875

La maison Du Rhône voit le jour dans la Genève du dernier quart du XIXe siècle et s’y construit rapidement une belle renommée. Déjà, la fine fleur de la société genevoise ne jurait que par les pralinés de l’enseigne. Celle-ci poursuivra une expansion constante pendant les décennies suivantes, jusqu’à conquérir le monde avec ses créations, à la fin des années 60. Qualité, authenticité et innovation constante sont au cœur de la tradition multi-séculaire que défend âprement l’équipe réunie autour de Jean-Pascal Sérignat, le maître chocolatier actuel au sein de la prestigieuse maison. 140 années au cœur du métier La relocalisation de la maison Du Rhône, rue de la Confédération, en 1976, n’était qu’une procédure. Le savoir-faire du maître chocolatier genevois s’est maintenu – traditionnel, artisanal – bien que l’enseigne se tourne résolument vers les nouveaux besoins de son époque. Dans cette démarche, l’authenticité des produits livrés constitue le fil conducteur des choix de l’artisan. Quand certains en sont à rajouter des additifs chimiques pour répondre à des soucis de rendement industriel, Du Rhône s’y refuse. Qualité et fraîcheur obligent, les fèves sont rigoureusement sélectionnées là où l’on trouve les meilleures : Afrique de l’Ouest, Amérique du Sud. Entre ces fèves et les gâteries pour lesquelles la maison est fameuse, des processus sont subtilement exécutés et rigoureusement respectés, année après année. À l’issue de ce ballet immuable des matières et des méthodes, les consommateurs accèdent à des gammes de produits délicats pour lesquels les grands de ce monde ont, un jour, fondu. Le shah d’Iran, les Eisenhower, les Churchill et autres Colette et Grace Kelly étaient parmi les illustres adeptes des douceurs signées Du Rhône.    Une trilogie gourmande à part Il n’y a pas un Du Rhône qui ne saurait séduire les papilles d’un vrai féru de chocolat. Truffes, palets et florentins rivalisent d’arguments pour faire fondre ceux qui tentent – bien inutilement – de résister. Ces derniers rehaussent les saveurs corsées du chocolat par un mariage arrangé avec des oranges confites ou du miel. Les palets distillent des effluves d’ailleurs pour faire voyager du Brésil en Papouasie, en passant par Madagascar. Dans ce doux méli-mélo, trois produits sortent du lot pour leur personnalité exceptionnelle qui a rapporté à l’enseigne de prestigieuses récompenses. La ganache intense du « Coline » a séduit le jury du Salon international des chocolatiers de Genève. Il en va de même des notes de thé de Chine et d’Earl Grey qui relèvent la ganache de l’« Impérial ». Gault&Millau était impressionné par la recette centenaire et secrète du « Mocca glacé ». ...

Le Carré Rouge : délices et saveurs

Le Carré Rouge est situé dans les quartiers des Carmes, au cœur de Toulouse. Cet établissement, renommé et récompensé récemment par une toque au Gault & Millau, ravit les palais avec des plats gastronomiques recherchés et savoureux. Le chef Jules Frank, passionné, aime surprendre ses convives avec des recettes respectant la saisonnalité. Cadre sympathie et accueil agréable Le chef Jules Frank élabore une cuisine traditionnelle délicate revisitée, en sélectionnant des produits frais du marché. Ses mets sont à savourer dans un cadre chic et intime, pour un instant consacré à la découverte de nouvelles saveurs.L’établissement a été rénové et redécoré par l’architecte Véran Émilie. Cette jeune spécialiste apprécie particulièrement l’architecture contextuelle et sensorielle. Pour ce restaurant, elle a choisi un décor boisé allié à un travail graphique sophistiqué, tout en gardant l’esprit cosy. La salle principale est spacieuse et comporte des mobiliers colorés ainsi qu’une vaisselle moderne. Les banquets adossés aux murs et les chaises assurent le confort aux invités. Le coin VIP, quant à lui, est réservé aux soirées jazz. L’intimité se construit grâce à un fond musical très calme et une lumière légèrement tamisée. Excellente adresse, excellent repas Le chef présente des plats très soignés avec une subtile association de goûts et de couleurs. Il élabore une carte et des menus qui changent à chaque saison. Côté carte, le cordon bleu a personnalisé lui-même celle du soir qu’il a nommée « Carte du soir, au rythme du printemps ».À l’honneur ce jour-là, un gaspacho et tuile de pesto servi en entrée. Vient ensuite le gigot d’agneau, sauce gastrique à la sauge, fenouil rôti, pomme de terre « chérie ». En guise de dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Côté menu, la maison en propose trois au choix : le menu découverte, le menu du soir et le menu du Carré rouge. Elle sert également une formule du midi en deux déclinaisons. « Le classique », à 10 €, donne le choix entre une entrée et un plat ou un plat et un dessert. « Le complet », à 13 €, est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. En musique La maison organise toutes sortes d’évènements à vivre entre amis ou en famille. Dans l’espace VIP ,les repas sont accompagnés d’un concert de jazz and blues. L’année dernière, l’établissement a été animé d’une soirée spéciale « piano-contrebasse » avec Thibaud Dufoyet Thibaud Saulas. Le restaurant est également privatisable et peut accueillir des fêtes comme les anniversaires, les communions, les baptêmes et les mariages mais aussi les buffets de soirées et de réunions professionnelles. Nouveauté : Le carré rouge proposera à partir du dimanche 9 octobre, un brunch dominical composé de pancake maison, de jus de fruit frais (pressés ou centrifugés), d’une gamme de thés et d’assiettes autour de la mer. Une déclinaison de viennoiserie et d’œufs travaillés de différentes manières sera aussi au programme. ...

Hôtel et restaurant de l'Abbaye royale de Fontevraud :
profitez d'un lieu magique

Trois monastères subsistent de l’ancienne Abbaye royale de Fontevraud. L’hôtel et le restaurant ont investi l’un d’eux, le Prieuré Saint-Lazare, qui fut successivement une léproserie, un hospice pour religieuses et l’hôpital de la prison. Le restaurant : une explosion de textures et de saveurs Le restaurant a pris plus particulièrement possession du cloitre et de la salle capitulaire. Le chef Thibaut Ruggeri, Bocuse d’or Monde 2013, confectionne une cuisine française raffinée et créative. Il privilégie le terroir et les saisons, en partant de produits locaux majoritairement bio ou cultivés dans le potager du domaine. Vous pouvez choisir entre 3 menus, avec la possibilité de l’accompagner d’un verre de vin en accord avec chaque plat. Vos enfants ne seront pas en reste grâce au menu Robin des bois. Votre repas débutera inexorablement par une soupe, chaude ou froide suivant la saison, principalement à base de végétaux. Elle rend hommage à toutes les religieuses ou tous les prisonniers ayant un jour séjourné à l’Abbaye. Ensuite, vous pourrez vous régaler d’une Révolution du potager, une entrée à base de légumes et de plantes aromatiques. À l’automne, elle se compose, par exemple, de châtaignes, de chou-fleur et de légumes racines du jardin. Découvrez également le très apprécié Champignon de Paris à Fontevraud, un plat qui marie champignons blancs et blonds, crus et cuits, associés à du foie gras, pour une explosion de textures et de saveurs en bouche. En plat, poisson, volaille ou gibier sont régulièrement à l’honneur. En dessert, savourez le surprenant et délicieux Citron jaune-Olives noires, une crème brulée revisitée au gout subtil. La carte des vins privilégie les vins de Loire, de Saint-Nazaire à Sancerre, avec une grande place accordée aux vins d’Anjou et aux vins de Saumur, notamment Les Fines Bulles de Saumur, un crémant exceptionnel. Le restaurant souhaite surprendre les convives par la qualité de ces vins. L’hôtel : un moment inoubliable L’hôtel 4 étoiles met à disposition 54 chambres, dont 6 chambres familiales. Les designers Patrick Jouin et Sanjit Manku ont travaillé sur les matières et les couleurs pour offrir une décoration épurée, dans le respect de ce lieu historique. Tout invite au recueillement pour un moment inoubliable. Les chambres sont toutes du même niveau de confort, bien insonorisées, avec le même mobilier, composé notamment d’une literie spécialement conçue par Biosense en latex, coton et lin bio. Seule leur surface est différente, puisqu’elle s’adapte à la configuration du lieu (de 17 à 24 m²). Deux salons sont accessibles avec bibliothèque et machine à café. Les hôtes pourront déguster leur petit déjeuner dans la salle capitulaire. Ils pourront également s’approprier l’ensemble du domaine pendant leur séjour. Quel ravissement de déambuler la nuit dans les bâtiments, dans les jardins, loin de la foule de la journée ! Une façon de s’imprégner véritablement de l’ambiance sereine et reposante, de l’environnement pour des souvenirs à jamais gravés. Évènementiel à l'Abbaye royale Pensez à l'Abbaye royale de Fontevraud pour organiser vos évènements. La configuration du site permet d’accueillir des réunions de 6 à 2 500 personnes, des séminaires. Les repas peuvent soit être pris au restaurant de l’Abbaye, soit être confectionnés par un traiteur extérieur. Sont également proposées des offres d’activités à réaliser au sein de l’Abbaye. Bien sûr, le lieu peut aussi être loué pour des mariages. ...

Domaine Saint Andrieu : les vins rosés
de la Provence dans toute sa splendeur   

Ce sont Jean-Paul et Nancy Bignon, les heureux propriétaires du Château Talbot, grand cru classé Saint-Julien dans le Médoc, qui ont découvert ce trésor niché au cœur de la petite commune de Correns (Var). Il a fallu quinze années de travaux de restructuration pour hisser à l’international le domaine Saint Andrieu au rang des meilleurs ambassadeurs de l’appellation côtes-de-provence et de coteaux-varois-en-provence. Immersion dans cet univers exceptionnel.   Une démarche respectueuse de l’environnement  « Le domaine Saint Andrieu est immense. Nous sommes sur 650 hectares de terrain, isolés au milieu d’une Nature immaculée, entourés de collines, de champs d’oliviers et de quelques vieilles fermes », décrit Jean-Pierre Marty, directeur général du Château Talbot. Le vignoble fait 29 hectares, où sont plantés grenache, syrah, cinsault, mourvèdre et rolle pour faire honneur à la région. Il est morcelé en plusieurs parcelles. Une partie située au nord-ouest accueille l’aire d’appellation coteaux-varois sur un terroir agréablement exposé au mistral. Une seconde partie est consacrée à l’appellation AOC côtes-de-provence, essentiellement en sol argilo-calcaire favorable au drainage naturel. « En haut plateau, nous pouvons avoir jusqu’à 400 m d’altitude. La rencontre du climat méditerranéen avec la douceur continentale procure une belle fraicheur aux vignes. » Labellisé HVE (haute valeur environnementale), le domaine Saint Andrieu s’est engagé dans une démarche respectueuse de l’environnement en conduisant l’ensemble de son vignoble en lutte raisonnée. Cette philosophie s’applique essentiellement dans le travail du sol qui se fait mécaniquement mais également dans le traitement des vignes, bénéficiant d’un soin ciblé, grappe par grappe. « Quand vous êtes à Saint Andrieu, c’est la Nature qui s’impose à vous et pas autrement », déclare avec conviction Jean-Pierre Marty. Les cuvées de la maison Provence oblige, le rosé domine près de 85 % de la production annuelle de la maison. Celle-ci gravite autour de 150 000 bouteilles. La gamme se décline en 6 cuvées, 3 couleurs en AOC côtes-de-provence et 3 couleurs en AOC coteaux-varois-en-provence, avec une cuvée confidentielle baptisée Lily Rose. Le Domaine Saint Andrieu Rosé 2017, en appellation côtes-de-provence, se distingue par son assemblage issu des plus belles récoltes de grenache (44 %), cinsault (38 %) et syrah (18 %). Un nez exquis aux notes de fruits exotiques accompagne une bouche ronde et voluptueuse, agrémentée par une pointe d’agrumes. Sa belle vivacité se termine sur une finale élégante. Il se déguste idéalement avec la cuisine du terroir, en accompagnement avec des petits farcis de Provence ou des Saint-Jacques grillées à la provençale. Toujours en rosé, la maison fait découvrir sa cuvée ambassadrice signée Cuvée confidentielle Lily Rose AOC côtes-de-provence. Celle-ci est confectionnée essentiellement à partir de mourvèdre et de rolle, vendangés en septembre 2005. « Cette cuvée est réservée aux restaurants gastronomiques et aux cavistes qui cherchent du rosé de haut de gamme », nous souffle-t-on. D’une grande pureté, Lily Rose est un vin riche, tendu avec une belle minéralité et une agréable longueur en bouche. Une collection rare et limitée à 1 800 bouteilles. En raison de leur singularité, les vins du domaine Saint Andrieu sont très prisés par les restaurants gastronomiques ou étoilés. La Potinière du Palais, à Cannes, L’Hôtel Cheval Blanc, à Courchevel, ou encore le Bacon, à Antibes, ont ainsi choisi d'inclure les cuvées du domaine Saint Andrieu dans leurs caves à vins. ...

Champagne Klepka Sausse : l'exigence de la qualité, devise de la maison

C’est au cœur de la côte des Blancs, à Oger, que la maison Klepka Sausse, du nom des époux Klepka et Sausse, fondateurs de la marque en 1976, produit le meilleur du terroir. Les Grands crus de la marque sont issus d’un vignoble au sous-sol crayeux dédié exclusivement à la culture du Chardonnay. Laurent Klepka, héritier de cette marque prestigieuse, nous emmène dans un voyage au cœur de l’excellence champenoise. La qualité et l’excellence comme maîtres-mots Priorisant la bonne qualité des vignes et du raisin, la maison Klepka Sausse est le pionnier du champagne de haute gastronomie. La marque, maintes fois récompensée, perpétue l’art et la tradition champenoise dans le but de concevoir des cuvées de qualité. En étant « dans la mouvance de la viticulture durable », selon Laurent, elle privilégie la production de cuvées respectueuses de l’environnement, authentiques et exquises de par la conservation des arômes et des saveurs du terroir. À la découverte du métier La famille Klepka accueille ses hôtes dans un cadre enchanteur et authentique appelant au partage et à la découverte de leur riche héritage passionnant. En partenariat avec l’office de tourisme d’Épernay, la maison Klepka Sausse propose des « visites de cave, des visites parcellaires ainsi que des visites du vignoble », selon Laurent. Une immersion dans le métier est également proposée au travers d’activités diverses ayant pour but, toujours selon le vigneron, de faire « glisser les visiteurs dans la peau d’un vigneron champenois ». Les hôtes s’attèleront ainsi au travail viti-vinicole et pourront même parrainer un plant de vigne qu'ils mettront en terre eux-mêmes. À la suite des séances de dégustation, « un diplôme non officiel attestant de leur participation à cette Viti Vini Expérience » leur sera, par la suite, distribué par Laurent lui-même. Un reportage photo fera également partie des cadeaux offerts à l’issue de cette expérience authentique et inoubliable. ...

Accompagner le mieux-vivre et le bien-être par les équipements de maintien à domicile

Rayonnant grâce à ses 1 500 collaborateurs et appuyée d’un réseau 25 000 professionnels de santé, ORKYN' est reconnu comme un acteur référent dans le secteur de la santé à domicile en France. Son appartenance au groupe industriel français Air Liquide lui donne la responsabilité de garantir une qualité, une sécurité et une éthique irréprochable sur l’ensemble de ses prestations. Fêtant ses trente-cinq années d’expérience, la société affiche à la fois une forte expertise et une grande capacité d’innovation pour optimiser toujours davantage l'accompagnement des personnes atteintes d’une maladie chronique ou en perte d’autonomie au domicile. ORKYN' mobilise une expertise technique transversale pour fournir des solutions adaptées à chaque patient en tenant compte de ses attentes mais aussi de son environnement. Ecoute, conseil, qualité de la relation humaine sont au coeur de son métier pour apporter le meilleur accompagnement. Identifier tôt les besoins pour préserver son autonomie « En France, on estime aujourd’hui à près de 500 000 le nombre de patients en perte d’autonomie, le plus souvent liée à l’âge. Alors que plus de 90% des plus de 75 ans vivent à leur domicile et que la moitié d’entre eux vivent seuls, ils s’exposent à un risque de chutes ou d’accidents domestiques », rapporte Anne-Claire de Clerck, directrice de l’activité Maintien à domicile. Le rôle d’ORKYN' est de sécuriser le cadre de vie mais aussi d’apporter confort et praticité, autant pour le patient que pour l’aidant. Notre interlocutrice insiste sur le fait qu’« il est important de savoir s’équiper suffisamment tôt et au juste niveau. Dès le début de la perte d’autonomie, avoir recours à un équipement médical permet de maintenir la capacité à faire, à se mouvoir et ralentit par conséquence la perte d’autonomie ». Ainsi, ORKYN' développe un savoir-faire pour évaluer et anticiper à court terme les besoins, proposer les solutions techniques les plus adaptées et lever les réticences éventuelles aux équipements du maintien à domicile, réaliser l’installation au domicile puis  informer et former les personnes concernées et leur entourage. En outre, des ergothérapeutes sollicités à la demande sont à même de réaliser une évaluation précise du degré d’autonomie et de conseiller sur les équipements et gestes à adopter pour sécuriser l’accès et le déplacement dans le domicile.  Apporter des solutions et équipements de maintien à domicile adaptés Les équipements installés à domicile par ORKYN’ conjuguent confort, praticité et surtout sécurité. Le lit électrique à hauteur variable est l’un des équipements du maintien à domicile majeur  d’ORKYN', qu’Anne-Claire de Clerck qualifie d’ « élément central qui va limiter considérablement les chutes, en apportant du confort et de l’autonomie au patient ». Doté d’un relève-buste et d’une potence, celui-ci facilite les mouvements du quotidien (se relever, s’asseoir, se lever...) grâce à un simple bouton de commande. Cet équipement couplé à des solutions complémentaires telles que le fauteuil releveur, le lève-personne... apportent une grande assistance aux aidants et sécurisent la manipulation du patient. « Nos techniciens spécialistes dispensent une formation à domicile et des conseils personnalisés à chaque installation », fait-elle savoir. ...

#SIALPARIS2018 : laboratoire de l’innovation alimentaire

7200 exposants de 109 pays, 160 000 visiteurs de 194 pays, 120 délégations, 21 secteurs d’exposition. Au Salon International de l’Alimentation, on ne voit les choses qu’en grand. Depuis 1964, cet évènement organisé par Comexposium rassemble les acteurs mondiaux de la filière agro-alimentaire en quête d’inspiration. Pour cette édition 2018, SIAL Paris place la barre encore plus haute en concoctant plusieurs nouveautés. A l’avant-garde de l’alimentation Tous les deux ans, SIAL Paris devient la vitrine de l’offre alimentaire mondiale en révélant les produits alimentaires issus des quatre coins du monde allant des boissons, à l’épicerie fine, en passant par les produits diététiques ou encore les produits traiteurs et plats cuisinés. De simples ingrédients ou des produits transformés qui aiguisent la créativité de chefs de renommée internationale invités à faire leur show dans l’espace « La Cuisine ». Ici, en plus des démonstrations culinaires, la nouveauté 2018 concerne l’organisation quotidienne de cours de cuisine à l’adresse des visiteurs. Les 100 meilleurs produits sont également récompensés à SIAL INNOVATION. Un jury hétéroclite a été rassemblé pour l’occasion, avec des professionnels de la restauration ainsi que des experts de l’alimentation et évidemment Yannick Alléno, parrain de cette édition 2018.  En écho de SIAL INNOVATION, SIAL Paris 2018 présente en exclusivité un nouvel univers baptisé Future Lab. Projetant les idées et thèmes à l’horizon de l’innovation alimentaire, cette zone située à l’entrée du hall 6 se déclinera en trois univers. En premier lieu, le #foodlab 2030, un tunnel immersif et expérientiel où des scénarii futuristes développant les quatre thèmes abordés dans l’étude sur les grandes tendances du Food en 2030 réalisée par SIAL et AlimAvenir seront à découvrir. Puis, #Rising start-ups, un espace dans lequel 50 entreprises triées sur le volet auront l’opportunité de participer au salon. Enfin, #VR LAB ou « quand la planète food rencontre la réalité virtuelle ». Dans tout cet élan, l’évènement sera au coeur d’un phénomène majeur : l’Alternative Food. Les acteurs de ce secteur en plein boom échangeront et découvriront les innovations et opportunités de l’alimentation de demain, plus saine et respectueuse de la nature et de l’homme. A ne pas rater : l’Alter’Native Food Forum au cours duquel des visites guidées sur le thème de la santé et des ingrédients alternatifs seront organisées. ...

Domaine de la Navicelle : des vins biodynamiques à l’esprit méditerranéen

Afin de donner un nouvel élan au vignoble, les propriétaires des lieux ont fait appel à Jannick Utard. Issu d’une lignée de vignerons, ce dernier débarque au domaine en 2006. Assez rapidement, il s’attèle à mettre l’exploitation sur la voie de l’excellence à travers l’utilisation de méthodes de culture biologique et biodynamique.  Un terroir propice aux grands vins rouges Le vignoble de 20 ha du Domaine de la Navicelle, situé entre mer et montagne, est implanté sur le terroir exceptionnel de la Colle Noire. Les vignes sont en restanque sur des sols d’argile lourde et un sous-sol rocailleux de calcaire, de grès et de schistes. « Cette typicité est très bénéfique pour la vigne puisque, en raison de la très grande capacité de rétention de l’argile, les raisins ne souffrent pas de la chaleur de l’été et atteignent facilement leur maturité optimale », explique Alice Euvrard, directrice commerciale. Une viticulture saine Certifié bio en 2014 et Demeter en 2017, le domaine met en avant des pratiques culturales saines en vue de préserver l’environnement. Ici, l’objectif est d’intensifier au maximum les échanges entre la vigne et le milieu dans lequel elle vit. De cette manière, la plante développe une vitalité et une résistance face aux maladies et autres agressions. « 90 % du vin se fait d’abord à la vigne. Avoir de beaux raisins d’une maturité optimale, c’est vraiment la base de notre travail. » Côté vinification, la maison se distingue par des techniques qui autorisent très peu d’intervention pour conserver un maximum de fruits et de fraicheur. En outre, elle se sert des levures indigènes présentes naturellement à la vigne et au chai. « Nous ne mettons pas de CO2 dans les cuves, ce qui fait que nos vins ne contiennent que très peu de sulfites », souligne Alice Euvrard. Au niveau des blancs, la vinification et l’élevage sur lies fines se font en fûts d’acacia, permettant d’obtenir des notes plus subtiles que ce que l’on obtient avec le chêne.  Des vins qui reflètent le terroir Grâce aux différentes particularités du terroir de la Colle Noire, les vins de la maison sont riches, complexes et se dotent d’une belle fraicheur. Remises au goût du jour, les gammes du Domaine de la Navicelle célèbrent aujourd’hui l’esprit méditerranéen avec des étiquettes qui évoquent le monde marin. Parmi les spécialités proposées, « Indigo » représente le cœur de gamme de la maison. Il s’agit de 3 nectars (blanc, rouge, rosé) qui magnifient à la fois cépages et terroir. Le blanc, élaboré à partir de rolle, séduit par ses notes de pamplemousse, de fruits blancs et de fenouil. Le rouge, composé de grenache, de syrah et de mourvèdre, révèle des arômes de fruits noirs comme la cerise, de garrigue et de tabac blond. En bouche, ce vin très frais présente des tanins fins et veloutés. Enfin, le rosé, à base de tibouren, de grenache, de cinsault et de syrah, est un parfait équilibre entre matière et fraicheur. Un vrai rosé de gastronomie qui sublimera des mets exotiques et les poissons de la Méditerranée ...

Le Pré de l’Hiver – L’adresse à retenir pour vos séjours en Lozère

Situé en Occitanie, au nord-ouest de la Lozère, Le Pré de l’Hiver accueille les touristes et les vacanciers venus de tous horizons pour se ressourcer. Installé au cœur de la nature, il offre aux visiteurs de précieux moments de détente et de découverte, un environnement serein, bien loin des tumultes des villes. Outre l’hébergement, le Pré de l’Hiver est aussi le point de départ de plusieurs randonnées et excursions à Margeride, au Malzieu-Ville et leurs alentours. Le Pré de l’Hiver : un gîte pour les amoureux de la nature Si vous êtes à la recherche de l’endroit idéal pour vous reposer en Lozère, le Pré de l’Hiver vous ouvre ses portes. Ce gîte de caractère est soigneusement aménagé pour accueillir les familles et les couples désirant retrouver la sérénité de la campagne. Le Pré de l’Hiver se trouve à environ 1h30 de voiture à partir de Clermont-Ferrand. Le gîte met à la disposition des visiteurs 4 chambres d’hôtes spacieuses dont la décoration reflète bien les thèmes qu’elles portent. Si vous séjournez dans la chambre « Romantique », vous serez tout de suite enveloppé dans la douce ambiance créée naturellement par les matériaux choisis pour la décorer. Parquet en chêne, draps en lin couleur lavande qui sentent le parfum des fleurs et d’autres petits détails s’ajoutent à une jolie vue sur les cascades et aux chants des oiseaux. Les 3 autres chambres appelées respectivement Campagne, Voyage, Faune et Flore sont toutes aussi expressives et invitent à la détente. Le gîte est ouvert toute l’année et peut accueillir jusqu’à 11 personnes. Mises à part ses chambres, le Pré de l’Hiver dispose aussi d’un grand salon où tous les convives peuvent se réunir autour du poêle. On y trouve également une pièce de vie avec un salon ainsi que d’un coin pour préparer les randonnées. Pour profiter du soleil et du paysage naturel de la région, le gîte possède également deux grandes terrasses. De quoi se relaxer tout en jouissant de la vue sur une nature verdoyante tout autour. Attraits touristiques et activités dans la région Le Pré de l’Hiver se trouve parmi les meilleurs hébergements du Malzieu-Ville. Au cœur de la vallée de la Truyère, Malzieu-Ville détient le label des plus beaux villages de France. Cette cité médiévale date du XIIIè siècle. Rénovée, elle a su garder son authenticité et invite les touristes à découvrir les anciens remparts, les tours et les portes fortifiées du temps où elle était la place forte du Gévaudan. On notera la Tour de l’Horloge qui était un ancien donjon avant de devenir une prison pendant la guerre de religion. Elle offre un panorama de 360° sur Le Malzieu et ses alentours. La Tour de Bodon qui sépare les remparts Est et sud de la ville offre aussi une vue panoramique sur toute la ville. Elle abrite aujourd’hui l’Office de Tourisme de la région et une salle d’exposition du chemin de ronde. Le site médiéval d’Apcher et le viaduc du Garabit méritent également une visite. Outre les lieux historiques, le massif de la Margeride accueille les sentiers de la Bête et de la Résistance pour les passionnés d’aventures. Les grands espaces sauvages de la région abritent par ailleurs les loups du Gévaudan et la Réserve des bisons d’Europe. Les cours d’eau et les lacs, quant à eux, invitent les familles à pratiquer de nombreuses activités divertissantes. Le plus difficile sera de faire le choix entre le farniente, la pêche, le canoë, le paddle ou encore le catamaran. Ne manquez pas de visiter le Mont-Mouchet et la Cascade du Déroc, le Pré de l’Hiver peut organiser pour vous ces randonnées et ces balades en voiture ou en VTT à partir du gîte. ...

Restaurant Le Petit Manoir :
les saveurs du Vietnam au cœur du vieux Périgord

Rendez-vous incontournable des amoureux de mélanges culinaires, Le Petit Manoir allie savamment gastronomie périgourdine et asiatique. Les délices du terroir agrémentés d’une touche vietnamienne y sont appréciés dans un cadre exceptionnel et enchanteur alliant ère médiévale et subtile modernité. La cuisine Périgord-Asie dans toute sa splendeur Au Petit Manoir, les produits faisant la renommée du Périgord sont mis en avant avec un subtil zeste vietnamien. Les recettes locales et la tradition culinaire sont remises aux goûts de l’Asie avec, à la clé, un harmonieux mélange de succulences gastronomiques d’ici et d’ailleurs. Truffes, canards et épicerie fine trouvent ici une alliance de prédilection dans des assiettes sublimes en bouche et appelant au régal. Découvrez cette singularité en dégustant une brioche de curé, suivie d’un magret cinq parfums et d’une gourmandise au chocolat et aux marrons, dans l’une des deux salles rustiques ou à l’ombre de la terrasse, tous propices à la détente. La fusion culinaire pour tous Enfants, végétariens, fins gourmets : tous trouveront leur bonheur gustatif dans cette table riche de ses diversités. Dans ce lieu dont l’art est reconnu par le Collège culinaire de France, la fusion est l’affaire délicieuse de tous les hôtes qui souhaitent découvrir une tradition revisitée à la manière originale d’un chef vietnamien. Chaque instant de plaisir qui en découlera sera accompagné d’un vin de Bordeaux ou d’un vin local issu d’une cave riche d’une centaine de références. ...

Champagne Lacuisse : premier cru du terroir de Sermiers

Plus qu’une passion et une tradition, la viticulture est un véritable héritage familial chez les Lacuisse depuis des générations, puisque « notre grand-père, Julien Lacuisse, exploitait déjà des vignes avant les années 60 », souligne Christian Lacuisse, actuel Président de la SAS. L’entreprise familiale commence l’exploitation du champagne à partir de 1966 suite à l’initiative de deux descendants de Julien Lacuisse. « Nos cuvées sont actuellement classées premier cru et sont élaborées selon les normes de la viticulture raisonnée pour limiter les impacts sur l’environnement », poursuit notre interlocuteur. Pour le plaisir des amateurs de grands crus, la maison propose sept variétés de cuvées, à déguster au sein du domaine dans un cadre convivial et chaleureux. Un domaine coopérateur en plein essor Installé dans le village de Sermiers, à quelques minutes de Reims et d’Épernay, le domaine Lacuisse fait partie intégrante du terroir champenois. Il dispose d’un vaste vignoble qui s’étend sur 17 hectares où trois types de cépages sont cultivés, dont 70 % de pinot meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. Le sous-sol de celui-ci, riche en calcaire, est essentiellement composé d’argile, de sables siliceux et de marnes, permettant ainsi aux cépages d’exprimer nettement leurs arômes et saveurs. La maison a une capacité de production annuelle de 150 000 bouteilles, dont 45 000 vendues en étiquette terminée. Pour obtenir ce résultat, le processus de fabrication se déroule en deux temps : le pressurage, la vinification, l'assemblage et la mise en bouteille des cuvées s’effectuent avec des coopérateurs locaux, tandis que les travaux comme le remuage, le dégorgement et l’ajout de la liqueur finale s’effectuent au sein de la propriété, « ce qui fait de nous un domaine coopérateur », explique le propriétaire. Une gamme de cuvées à la hauteur de toutes les attentes Qu’il s’agisse de célébrer un grand événement ou une simple réception, la maison Lacuisse propose sept variétés de cuvées qui ravissent les papilles. Dans la catégorie des entrées de gamme figure la cuvée Tradition qui a obtenu la médaille d'argent au dernier concours International des vins de Lyon, composée de 70 % de pinot meunier, 20 % de pinot noir et 10 % de chardonnay. Intense et aromatique en bouche, elle se déguste à l’apéritif ou en accompagnement de fruits secs exotiques et « représente l’encépagement de notre propriété enregistrant une vente annuelle de 20 000 bouteilles », nous fait savoir Christian. Parmi les cuvées emblématiques du domaine se démarquent la cuvée spéciale, la cuvée millésime, mais surtout « la cuvée du cosson qui a obtenu la médaille d’argent au concours agricole de Paris cette année », précise notre interlocuteur. Cette dernière est obtenue par assemblage de 70 % de chardonnay et 30 % de pinot noir uniquement, contrairement aux cuvées demi-sec (encépagement identique à la cuvée tradition) et grande réserve qui, elle, est constituée de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. ...

Le Hamac : pour trouver son coin de paradis en Guadeloupe

La Guadeloupe ne cesse d’émerveiller. Cette île papillon séduit les amoureux de voyage, d’escapade, de l’océan, de montagne, de la nature sauvage, de la culture et de la cuisine antillaise. Véritable écrin de trésors, la Guadeloupe est une destination idyllique qui se savoure intensément et sans limites pour vivre la magie qu’elle a à offrir. C’est pourquoi Jean Nussbaumer a fondé Le Hamac, une centrale de réservation vouée à la satisfaction et au bien-être des voyageurs, pour leur offrir la meilleure expérience qui soit. Offrir du rêve et de l’évasion Forte de ses longues années d’expérience dans le secteur du tourisme, l’équipe a pu développer une connaissance pointue et une maîtrise parfaite de la destination Guadeloupe. « Nous sommes une petite structure à taille humaine, on connaît très bien nos offres et l'on est en mesure de satisfaire personnellement notre clientèle », soutient le fondateur. Le Hamac est un prestataire de location saisonnière de villas privées et bungalows, mais aussi une centrale de réservation de gîtes, d’appartements et d’hôtels. L’agence met à disposition de sa clientèle, particuliers ou professionnels, plus d’une centaine de propriétés privées, soigneusement choisies pour leur emplacement, leur cadre et leur confort. La Kaz Maracudja*** située à Rifflet – Deshaies et installée à 200 m de la plage de la Perle, figure parmi la sélection. Elle est perchée dans les arbres, blottie au cœur d’un jardin tropical aux parfums exotiques enivrants, et se dote d’une grande piscine, d’un spa, d’une terrasse ouverte sur une grande clairière. Seuls le bruit des vagues et les cris d’oiseaux peuvent rompre le silence qui règne dans ce bout de paradis. Non loin de là, la Villa Mangotine **** et la Villa Ti-Pêcheur ***** offrent une autre expérience unique au sein d’un hébergement de luxe. Les hôtes apprécieront l’exclusivité de la vue sur la mer des Caraïbes et l'île de Montserrat tout en profitant du confort moderne de maisons de standing : cuisine entièrement équipée, chambres climatisées, espace séjour avec salle à manger et bar, wi-fi. Les villas, ouvertes sur l’extérieur,  donne un accès direct à la piscine et au transat, pour se prélasser après une longue journée de balade ou d’excursion. Notre interlocuteur fait savoir que « ces propriétés sont dans les plus haut de gamme proposées dans la région ». Les Villas Amazonia et Palmire, outre leur charme et prestations luxueuses, sont idéales pour accueillir les familles plus nombreuses. À préciser que les propriétés s’étendent sur les plus belles plages immaculées de Guadeloupe : Deshaies, Sainte-Rose, Pointe-Noire, Gosier, Sainte-Anne jusqu’à Le Moule. S’entourer des meilleurs collaborateurs Le Hamac étoffe sa gamme de prestations par la location de voitures, en travaillant étroitement avec ses partenaires de choix. Ce sont notamment LASCAR, EUROPCAR  et RENT@CAR, qui partagent tous la même volonté d’assurer un service impeccable à la clientèle. « Ils font preuve de sérieux et proposent un accompagnement vraiment personnalisé. Cela apporte une valeur ajoutée à l’ensemble de nos offres. » Les voyageurs seraient plus sereins de savoir que cette centrale de réservation s’associe également avec un partenaire d’assurance APRIL VOYAGES, l’allié des professionnels du tourisme. D’autres prestataires locaux rejoignent aussi la liste, tels Les Balades de Keila, Bleu Blanc Vert, ou encore des partenaires sélectionnés qui offrent des massages bien-être à domicile, tous sont à même d’enrichir encore plus votre séjour. En outre, Le Hamac est actuellement membre à l’Association professionnelle de solidarité du tourisme (APST). ...

Restaurant La Grande Ourse : une cuisine de saveur 100 % gourmande

Pénétrez dans le cadre accueillant de l’établissement, où différents espaces n’attendent que vous. Au gré des saisons, préférez l’espace élégant et raffiné du restaurant et de son patio, avec ouverture sur le jardin, ou optez pour l’écrin de verdure de la terrasse, où se mêlent les parfums subtils des figuiers, des mandariniers et des fleurs de jasmin. Banquets, séminaires et autres événements festifs y sont également les bienvenus. Une cuisine sans frontière À travers une cuisine contemporaine et ouverte au monde, dont le succès n’est plus à démontrer, le restaurant La Grande Ourse n’a rien à envier aux autres enseignes, avec, comme mots d’ordre, le respect de la gastronomie de terroir et la volonté de préserver les valeurs et l’authenticité des goûts ; le tout présenté dans une formule à deux cartes, carte d’hiver et carte d’été. Découvrez un large choix de produits du terroir mais aussi des spécialités Terre-Mer comme des Ravioles à la truffe Blanche d’Alba, sauce Napolitaine, parmesan 18 mois d’affinage ou des Moules de Bouchot Saint Michel, à la crème ou au piment d’Espelette et gingembre entre autres. Poisson ou Crustacés du jour, selon arrivage, seront également de la partie pour ravir vos papilles, suivi d'un irrésistible fondant au chocolat ou profiteroles faits maison, ou encore le café gourmand appelé « Surprise du chef », qui n'est jamais tout à fait le même à chaque fois.   Le restaurant La Grande Ourse, c’est aussi une très belle carte de vins, qui met à l’honneur non seulement les vins de France, mais aussi des vins d’origine espagnole. Les vins du Domaine Pellehaut Family réserve ou le Domaine de Laffite Teston Ericka Pacherenc Blanc sec du Vic-Bilh sont proposés au choix, au même titre que les vins de la Vallée du Rhône Crozes Hermitage - Paul Jaboulet ou les Bordeaux du Château Picard - Saint Estèphe. ...

IETR : des innovations majeures en matière d’électronique et de télécommunications 

Impliqué dans des thématiques de recherche au cœur de la société de l’information et de la communication, l’Institut d’Électronique et de Télécommunications de Rennes est l’un des rares instituts présents sur toutes les longueurs d’onde en électronique. Ses axes de recherche se déclinent autour de 10 thèmes majeurs : systèmes rayonnants complexes ; matériaux fonctionnels ; systèmes de communications numériques ; signal et électronique embarquée ; analyse et codage d’image 2D et 3D ; prototypage rapide ; automatique des systèmes hybrides ; dispositifs électroniques ; capteurs intégrés ; propagation et localisation et télédétection active (radar) et passive (hyperspectrale). Une pluri-expertise reconnue nationalement, mais aussi à l’international, qui est le fruit d’une recherche multi-établissements (CNRS, Université de Rennes 1, INSA de Rennes, Université de Nantes et CentraleSupélec Campus de Rennes) et multi-sites (Rennes, Lannion, Saint-Brieuc, Saint-Malo, Coëtquidan, Nantes, Angers et la Roche-sur-Yon). Rattaché à l’Institut des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes (INSIS) du CNRS, ce laboratoire du Grand Ouest, soutenu par les collectivités territoriales, accueille des chercheurs associés par convention d’accueil (UBO, ESEO, CEREMA-Nantes).  Une recherche sur les systèmes de télécommunications au sens large La recherche amont sur les systèmes de télécommunication au sens large est la force de l’IETR qui intervient aussi bien au niveau dispositifs et matériels (antennes, circuits micro-ondes, sondeurs de canal, implantation sur DSP, FPGA, dispositifs électroniques, capteurs et circuits intégrés...), systèmes (haut débit, sans fil, systèmes sur puce, radiologicielle, modulation/démodulation, multiporteuses, techniques d’étalement de spectre, propagation [indoor, outdoor, radiomobile, ionosphérique, etc.]...) et matériaux pour la conception et la réalisation de systèmes antennaires et dispositifs hyper-fréquences innovants.  Au-delà de la qualité de ses recherches, reconnu au travers de nombreuses collaborations contractuelles régionales, nationales ou européennes, l’IETR, membre du LabEx Comin Labs et de l’IRT B-Com, participe activement aux pôles de compétitivité Moveo, i-trans et Aerospace Valley et est très fortement impliqué dans les pôles Images & Réseaux, iD4Car et Mer Bretagne, ainsi que dans plusieurs réseaux régionaux. Plus de 170 contrats de recherche ont impliqué ses chercheurs depuis les quatre dernières années. La valorisation de ses travaux se manifeste par le dépôt de 37 brevets prioritaires et 22 extensions de 2008 à 2013, mais aussi par le transfert de technologies via la création de 12 start-ups depuis 1986.  Des plateformes technologiques dernier cri En plus de ses plateformes technologiques, l’IETR dispose dans le domaine des « Antennes » de nombreuses infrastructures métrologiques de pointe dont certaines uniques en Europe et accueille la salle blanche du Centre Commun de Microélectronique de l’Ouest reconnue centrale proximité NanoRennes par le CNRS. L'IETR vient d'acquérir le système aéroporté PIMA (plateforme d'ingénierie multimodale aéroportée) qui en fait une plateforme académique unique en Europe.  ...

Château La Croix du Merle : complicité entre un vigneron et sa vigne

Situé au sud-est de Saint-Émilion, le Château La Croix du Merle est né de la passion de Marien Negre, un amoureux de ses terres et un vigneron expert qui décide de reprendre les rênes du domaine en 2006. Son objectif est de faire de ce terroir une référence dans la production de vins authentiques.   Un domaine prestigieux Le domaine possède un vignoble de 2 hectares, composé de plusieurs petites parcelles. Les vignes ont chacune leurs particularités et bénéficient d’un sol argilo-sableux au pied des coteaux. Ce type de sol est souvent sec, et très drainant, ce qui permet de limiter l’excès d’eau. Le terroir est cultivé en monocépage 100 % merlot. Il s’agit d’un cépage utilisé pour la réalisation d’un vin concentré et fruité (notes de cassis, fruits rouges bien mûrs), dans le but de le rendre plus souple et plus aromatique.   Un vignoble récompensé « Le Saint-Émilion Grand Cru 2010 a gagné 2 étoiles au Guide Hachette des vins 2013. Il est issu d’un vignoble de 2 hectares établi sur un sol argilo-sableux qui permet de produire des vins colorés et corsés », explique Marien Negre. La fabrication de cet excellent vin commence avant tout par un tri sélectif et des vendanges manuelles. Après le broyage pour obtenir le moût, les raisins subissent ensuite une vinification en cuve bois tronconique inversée. Enfin, pendant environ 12 mois, ils sont élevés dans des barriques de chêne français neuf. « C’est un vin né d’un seul merlot, il est encore très jeune et a besoin de mûrir trois ou quatre années avant d’être dégusté », conseille Marien. Le Saint-Émilion Grand Cru charme l’œil par une robe d’un rubis brillant à reflet grenat dans sa jeunesse. Le nez est dominé par des notes de petits fruits rouges très concentrés et ce bouquet dégage un délicat arôme de vanille, de figue, de crème de griottes, de pruneau cuit et d’amande grillée. En bouche, la richesse aromatique du bouquet se retrouve au palais, les tanins sont très présents, les saveurs de cerise, de cassis et de sureau envahissent les papilles. Avec sa force et son élégance, ce vin peut être servi avec des viandes rouges ou blanches et légumes (secs, verts ou grillés), du gibier et champignons, des gratins jambon et fromage. ...

Le restaurant de l’hôtel Belle Vue vous offre une cuisine savoureuse et inventive.

Que vous soyez de passage pour une nuit ou pour un séjour plus long, arrêtez-vous au restaurant de l’hôtel Belle Vue, à Fouesnant. Ouvert tous les jours pour les pensionnaires et du mercredi au dimanche pour les gastronomes de passage, apprêtez-vous à découvrir des plats originaux et délicieux. Le cadre et l’emplacement : une bonne raison de manger au restaurant Belle-Vue Que vous soyez adepte de randonnée ou en visite dans la région, vous tomberez sous le charme du cadre idyllique de ce restaurant. En effet, vous vous trouvez en bord de mer. Ce qui vous permet de profiter d’une magnifique vue panoramique sur la baie de Forêt-Fouesnant. De ce fait, c’est tout l’Océan Atlantique qui s’offre à vous pendant votre déjeuner (accueil de 12 h 30 à 13 h 30) ou diner (accueil de 19 h 30 à 21 h). Idéal pour se mettre en appétit avant de savourer des mets variés et gourmands. À savoir : la salle du restaurant se trouve face à la mer. De plus, il est possible de déjeuner en terrasse (en fonction de la météo et de la période de l’année). Les visiteurs apprécieront la vue imprenable sur la baie de la Forêt-Fouesnant. Que ce soit pour un diner en amoureux, un repas familial ou entre amis ou bien un déjeuner d’affaires, vous apprécierez tout autant le décor chaleureux que le service. Attention toutefois : il vaut mieux réserver pour être sûr d’avoir une table. Les propriétaires préférant accueillir moins de monde afin de prendre le temps de s’occuper de tous leurs clients. C’est grâce à tout cela que le restaurant a obtenu les récompenses 3 cocottes au guide des Logis et 2 fourchettes au guide Michelin.  Restaurant Belle Vue : des produits frais et une carte évolutive Après avoir profité du paysage unique qui s’offre à vous, il ne vous reste qu’à goûter les plats proposés par l’établissement. Attention : explosion de saveurs en perspective ! En effet, le chef étant curieux de nature, il aime tout autant utiliser des produits frais qu’il s’est procurés auprès de producteurs locaux que réaliser des associations originales entre éléments de la région et produits extérieurs. Ainsi, en règle générale, la carte change quatre ou cinq fois durant la saison, en fonction des arrivages. Évidemment, en vous arrêtant dans ce restaurant, vous trouverez du poisson et des fruits de mer (véritable spécialité du coin grâce aux nombreux ports de pêche environnants), mais aussi quelques créations intéressantes qui démontrent l’originalité du chef et son talent. Nous vous conseillons la volaille récupérée chez le volailler local et le fromage breton. Un vrai régal ! Si vous aimez prendre un verre de vin avec votre plat, vous apprécierez la carte étoffée et les bouteilles sélectionnées avec attention auprès de producteurs régionaux. À noter : Anne et Yves Kervénez proposent aussi des repas de famille commandés et vous accueillent pour des anniversaires, des communions ou des mariages. L’occasion de célébrer un heureux événement tout en profitant du bon rapport qualité/prix de ce restaurant.  Yves Kervénez : un chef surprenant et généreux En plus d’être cogérant de l’établissement familial, Yves Kervénez en est aussi le chef. Ainsi, chaque fois que vous vous rendez au restaurant Belle Vue, ce sont ses plats que vous prenez plaisir à déguster. Vous apprécierez tout autant son côté curieux qui se ressent dans sa cuisine que sa façon de travailler les produits frais à sa disposition. Son talent : créer des recettes originales sans dénaturer le produit tout en restant autant attentif à leurs saveurs qu’à leurs présentations. Ce qui démontre chez lui une volonté de bien faire et une grande générosité. Midi et soir, tout au long de l’année, il se démène avec son équipe en cuisine pour satisfaire les envies et les goûts de chaque visiteur. Ce n’est pas pour rien que de nombreux clients fidèles du coin s’y rendent souvent ! Surtout que les maitres des lieux font leur possible pour venir discuter...

Champagne Jacques Chaput et fils : la marque à la salamandre

Sur la Côte des Bars, Champagne Jacques Chaput bénéficie d’un terroir exceptionnel établi sur un sol composé de marnes calcaires du kimméridgien, sur lesquels les trois cépages champenois se développent dans d’excellentes conditions sur un vignoble de 13,50 hectares. Grâce à une rigoureuse sélection des raisins et des assemblages issus d’un travail précis, la maison parvient à produire une gamme de champagnes exhalant des arômes typiques qui ravissent les palais les plus exigeants. De la vigne aux vins L’élaboration de champagne est un art qui se transmet de génération en génération au sein de la famille Chaput. Dans les veines de ces vignerons passionnés, ce n’est plus du sang qui coule, mais du vin. Au fil des années, la famille a acquis un savoir-faire traditionnel qui lui permet de produire de grandes cuvées. Ces champagnes associant finesse et élégance ont acquis une réputation qui dépasse les frontières de la France. Sur 100 000 cols produits chaque année, une partie de la production est effectivement exportée vers l’international, notamment aux États-Unis, « qui constituent un nouveau marché », raconte Jacky Chaput, l’héritier de ce riche patrimoine. Cette notoriété, la maison l’a acquise grâce à un travail strict qui débute dans les vignes. « Nous pratiquons une viticulture raisonnée avec une approche la plus naturelle possible. Quoiqu’il en soit, tous les vignerons seront d’ici peu amenés à recourir à des pratiques plus respectueuses de l’environnement et de la biodiversité », tient-il à préciser. L’authenticité d’un terroir La création de ce domaine familial dans les années 50 par le père de Jacky a été un challenge. « Nous sommes sur un terroir qui n’était pas très connu dans les années 60, 70 ou 80. Cette partie de la Champagne a gagné rapidement ses lettres de noblesse, et dorénavant, de nombreux domaines de la Côte des Bars remportent d’innombrables médailles et récompenses et sont mis à l’honneur », se félicite Jacky. Aujourd’hui, le vigneron tient à offrir le meilleur de cette terre qui se reflète dans ses cuvées. Parmi les plus emblématiques de la maison, il cite la cuvée blanc de noirs, composée à 100 % de pinot noir et qui est le vin qui « a remporté le plus de récompenses ». Le vigneron, pour sa part, est plus attaché à sa Cuvée L’Authentic, « qui fait partie de celles que j’ai créées et lancées lorsque je suis revenu sur le domaine familial », indique-t-il. ...

Appellation Duché d’Uzès : de la passion à l’excellence viticole

La jeune appellation Duché d’Uzès regroupe plus de 300 ha de vignobles étalés sur 77 communes du Gard. Les vins faisant sa fierté sont issus du travail artisanal et respectueux de différents cépages de renom tels que la Syrah, le Grenache ou le Viognier. Ces derniers, bercés par l’alternance de températures, élevées en journée et fraîches la nuit dues à l’influence des Cévennes, produisent ainsi des cuvées de caractère qui représentent fidèlement leur terroir. Une appellation et des hommes De longues années d’effort et de détermination ont précédé l’obtention de l’AOC Duché d’Uzès. Des vignerons attachés à leurs terres et à leurs traditions ont, en effet, travaillé main dans la main afin de remplir tous les critères du cahier des charges leur permettant aujourd’hui de bénéficier de l’AOC dans les 3 couleurs. Les rouges, équilibrés et dotés d’effluves tantôt fruités tantôt épicées sont d’élégants assemblages de Syrah, de Grenache ou d’autres cépages nobles puisant leurs succulences dans la garrigue. S’appréciant plus en été, les rosés se démarquent, quant à eux, par leur fraîcheur ponctuée de notes florales. Les vins blancs, issus d’assemblages complexes (Viognier, Grenache blanc, Vermentino, Roussanne) assurent, enfin, des dégustations savoureuses aux parfums  de fruits blancs avec des notes de fleurs et de fruits secs. Avec plus de 25 % de leur production en Duché d’Uzès blanc, l’Appellation Duché d’Uzès est devenue une des appellations emblématique sur cette couleur. Leur puissance aromatique se révèle parfaitement notamment lors d’accords avec la truffe noire célébrée chaque année en janvier. Toutes ces cuvées à la complexité, la finesse et l’acidité caractéristiques se dégustent au fils de la route des vins et des 22 caveaux de dégustation labellisés aussi pour la qualité de leur accueil ! ...

Le renouveau de la formation professionnelle

Un accord national interprofessionnel à la fin de l’année 2013, une loi le 5 mars 2014… voici maintenant venu le temps d’appliquer les nouveaux dispositifs de la formation professionnelle. Ces nouvelles mesures, portées et soutenus par la CFDT ont un double objectif : sécuriser le parcours professionnel des salariés et des demandeurs d’emploi avec une meilleure formation et qualification ; renforcer le développement et la compétitivité des entreprises.   Des nouveautés avec trois dispositifs Parmi les nouveautés, trois dispositifs sont notamment intéressants pour le grand public. Le Compte Personnel de Formation : jusqu’à 150 heures de formation Le Compte Personnel de Formation : remplace le Droit individuel à la formation (DIF), lancé en 2009, mais qui a été un échec. Alors que le DIF se limitait à 120 heures de formation, le CPF peut monter jusqu’à 150 (à raison de 24h de crédit d’activité professionnelle par an). Et surtout, ces heures peuvent être intégrées et compléter une formation plus longue. Le Compte Personnel de Formation, dont chacun bénéficie depuis le 1er janvier 2015,  réalise de bons débuts dans la région Occitanie. 41 000 personnes en ont déjà profité, dont 35 000 demandeurs d’emploi et 6 000 salariés. La grande majorité des bénéficiaires (25 000 personnes) sont aujourd’hui les 26-49 ans. La durée moyenne de formation est de 186 heures pour les salariés et 520 heures pour les demandeurs d’emploi. Le conseil en évolution professionnelle : vous vous interrogez sur votre avenir au sein de votre entreprise ? Sur votre réorientation de carrière ? Un nouveau dispositif émerge avec cette loi : le conseil en évolution professionnelle. Chaque salarié et demandeur d’emploi a un accès gratuit à du conseil,  effectué par un opérateur désigné (APEC, Pôle Emploi, Missions locales, Cap Emploi et Fongecif). Ce conseil est réalisé en trois étapes : la première est plus généraliste, la seconde affine le projet tandis que la troisième cible une formation. Se former tout au long de la vie professionnelle L’entretien professionnel tous les deux ans : jusqu’en 2014, l’entreprise était présumée avoir rempli ses responsabilités en justifiant annuellement avoir dépensé au moins 0,9% de sa masse salariale annuelle brute pour des actions de formation. Cela évolue. Les employeurs sont tenus de s’entretenir tous les deux ans avec leurs salariés. Désormais, l’entreprise devra faire un état des lieux individuel tous les six ans : a-t-elle proposé une action ou formation qualifiante au salarié ? Le salarié a-t-il progressé en terme de salaire ou de poste ? A-t-il obtenu une certification ? Si deux des trois items ne sont pas respectés, l’entreprise sera pénalisée. La gouvernance évolue aussi La formation professionnelle a également connu des modifications dans sa gouvernance. Le COPAREF (Comité paritaire interprofessionnel régional pour l’emploi et la formation) a remplacé la COPIRE (Commission paritaire interprofessionnelle régionale pour l’emploi). Cette instance regroupe les partenaires sociaux (organisations salariales et patronales). Elle a une grande responsabilité, notamment celle d’inscrire les formations éligibles au Compte Personnel de Formation. « Il y a eu quelques bras de fer, sourit Stéphane Bonnetain, secrétaire régional CFDT Emploi-Sécurisation des parcours professionnels, et co-président du COPAREF. Les Régions voulaient que l’intégralité des Plans Régionaux de Formation soient repris dans les listes éligibles au CPF, nous voulions remplir notre mission en toute objectivité. Mais nous en avons repris un grand nombre. »  Autre structure nouvelle : le CREFOP (Comité régional de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnelles) remplace le CRE et le Ccrefp. Cette organisation quadripartite est invitée à donner son avis sur les politiques d’orientation, la formation professionnelle, la cohérence des différents programmes et plans de formation dans la région. Après quelques tensions dues à la fusion des régions et aux logiques de territoire, « on ...