Ayant son siège social à Pont de Buis dans le Finistère, le groupe Salaün est à la fois tour opérateur, réseau d’agences de voyage et autocariste. Fort de plus d’un demi-siècle d’expérience dans l’organisation de voyages, le groupe propose une expérience inédite placée sous le signe de la rencontre. Il était une fois en Bretagne... L’aventure Salaün Holidays est intimement liée à l’histoire d’un homme : Michel Salaün, le fondateur. En 1927, Michel part rejoindre les Etats-Unis pour tenter sa chance et y travaille pendant 5 ans. A son retour en France en 1932, l’idée lui est venue de faire l’acquisition d’une ferme. Après de nombreuses visites, aucune ne correspondait à ses attentes. Sur le conseil de ses amis, il décide alors d’acheter un car. « A l’époque, il y avait une réelle demande car les gens avaient besoin d’un moyen de transport pour se rendre au bal le dimanche soir, aller aux foires, aux marchés ou encore faire des excursions » témoigne Michel, le petit-fils du fondateur et Président actuel du groupe. Après le décès de son père en 1964, Yves Salaün a repris les rênes de la société familiale. Lorsqu’il était à la tête de l’entreprise, Yves a assuré la croissance interne en développant non seulement le nombre de cars mais également en allant à la conquête d’une nouvelle clientèle. En 1982, c’est au tour de Michel de faire ses preuves. « J’ai intégré l’entreprise après avoir décroché un BAC D et un DUT en transport logistique et j’ai débuté ma carrière au volant d’un car » partage-t-il. Passionné par le monde de l’autocar, Michel est tombé dedans étant petit. En effet, pendant ses vacances scolaires, il ne rate aucune occasion pour accompagner son père. Reprendre l’entreprise familiale était donc pour lui une évidence. Voyager autrement avec Salaün Holidays Faire confiance à Salaün Holidays, c’est la garantie de bénéficier d’un certain nombre d’avantages qui font toute la différence. En ce qui concerne ses équipes, le groupe privilégie une démarche basée sur la proximité et l’engagement envers tous ses clients. A chaque étape du voyage, des professionnels sont disponibles pour répondre à n’importe quelle demande. Au niveau du service, la qualité est au rendez-vous avec un savoir-faire maintes fois éprouvé tout au long de ces 85 ans d’existence. Satisfaire les voyageurs reste la priorité du tour opérateur. C’est pourquoi des milliers de « globe-trotters » l’ont choisi et n’hésitent pas à renouveler leur confiance pour vivre des voyages toujours plus enrichissants. Chaque séjour est unique que ce soit aux portes de l'Europe comme le Portugal et la Croatie ou des destinations lointaines telles que les Etats-Unis, la Thaïlande, l'Inde, le Vietnam ou l'Afrique Australe. Chez Salaün Holidays, confiance rime avec sérénité. En effet, les destinations sont rigoureusement élaborées tandis que les prestations font l’objet d’une étude très poussée. Pour ceux qui ont besoin d’être rassurés, pas de panique ! Ils ont la possibilité de souscrire une assurance voyage auprès des services de l'entreprise. Celle-ci peut inclure une assurance assistance rapatriement, une assurance annulations et bagages ou encore la garantie « fermeture d’aéroport ». Côté tarifs, les voyageurs ont droit à des conditions de prix très attractives. Qu’il s’agisse de voyages en autocar ou circuits en avion, Salaün Holidays est particulièrement reconnu pour la compétitivité de sa politique tarifaire. Un accompagnement privilégié Afin d’offrir une expérience unique aux voyageurs, la société a choisi de travailler avec les meilleurs guide-accompagnateurs francophones à travers le monde. Il s’agit de professionnels aguerris qui disposent tous d’une grande expérience du terrain et de la destination. Véritables passerelles entre une culture d’origine et un pays d’accueil, les guide-accompagnateurs constituent ...
La maison a bâti sa notoriété autour de ses vins en appellation Côtes-du-Rhône Village Sablet. « C’est un terroir de haute expression, pleine de promesses : un sol débouilli, un sous-sol de safre, un climat provençal, des levures autochtones... Et notre caractère pour sublimer le tout ! », fait valoir la propriétaire des lieux, Cheli Alberca. Un écosystème préservé Le domaine du château Cohola vit au rythme de tout un écosystème : vignes, oliviers, chênes truffiers et ruches d’abeilles. Ici, place à la culture biologique et bientôt à la biodynamie. ...
Le sang, la vie. Les règles constituent pourtant un véritable calvaire pour de nombreuses femmes. En plus de subir cet écoulement sanguin mensuel, elles doivent mobiliser un budget important pour se procurer des protections périodiques. On parle de plus en plus de « précarité menstruelle ». C'est le fait de ne pas toujours avoir les moyens d'acheter des protections périodiques. On savait que c'était un problèmes dans les pays en développement, mais de plus en plus de femmes en Europe se trouvent dans cette situation. Elles sont alors obligées d’arrêter momentanément leurs activités le temps que cessent leurs règles. Un phénomène préjudiciable au développement économique puisque des études font état de jeunes filles qui manqueraient jusqu'à 20% de leur scolarité à cause de leurs règles, et la plupart du temps, ne pouvant pas se permettre de se procurer des protections trop coûteuses. Mais ce n’est pas tout. Les serviettes hygiéniques jetables sont sources de pollution car elles ne sont ni recyclables ni biodégradables. En lançant BeautyWaps, la société A Global Vision entend apporter des solutions à toutes ces problématiques. Une solution de protection pratique et écolo Les serviettes hygiéniques BeautyWaps sont nées d’une vraie réflexion sur la manière de faciliter la vie des femmes durant leurs règles, sans que cela ait des impacts sur leur santé, sur leur portefeuille et sur l’écologie. Leur histoire est étroitement liée à celle d’une femme entrepreneure, également écologiste dans l’âme. Pour Marie Aichagui, fondatrice et CEO de l’entreprise A Global Vision, les déchets qu’elle-même générait chaque mois au moment de ses règles la peinaient. Elle a donc eu l’idée de créer ces protections féminines lavables et réutilisables jusqu’à 200 fois. « Leur utilisation permet de réduire les déchets jusqu’à 99 % ! Un gain énorme en termes de protection de l’environnement », déclare-t-elle d’emblée. Disponibles en plusieurs tailles adaptées à chaque type de flux (small, medium, large, super), ces serviettes sont nées d’un concept suédois performant, tout en relevant d’un esprit couture parisien. Elles sont élaborées selon une conception unique de textiles certifiés OekoTex (label international garantissant les qualités dermatologiques et écologiques des tissus). Côté peau, du coton absorbant et de la laine polaire, des tissus respectueux du corps, à la fois étanches et respirants, sont assemblés en strates pour une protection optimale. « Après l’accouchement de mes jumelles, mes BeautyWaps m’ont permis d'avoir des protections sûres et douces pour mes suites de couche », témoigne notre interlocutrice pour illustrer la performance de son produit. Côté lingerie, des tissus tendances antidérapants, disponibles en des motifs modernes et originaux, sont ajoutés. Par ailleurs, le système de bouton pression et les coutures structurantes permettent de rassurer les femmes actives. Après usage, il suffit de refermer la serviette et de la ranger jusqu'à la prochaine lessive, et cela sans qu'elle émette des odeurs. Empêchant l’apparition d’affection dermatologique, les BeautyWaps sont exempts de parfum, de chlore et autres produits chimiques. Un argument de taille quand on connait les derniers scandales sanitaires autour des protections périodiques, dont certaines ont révélé la présence de pesticides. « BeautyWaps est en effet une alternative saine et sûre pour les femmes qui cherchent plus de bien-être pendant leurs règles », conclut la fondatrice Marie Aichagui. Un fort engagement social Outre l’aspect sanitaire, les règles peuvent avoir un impact social néfaste, notamment dans les pays en voie de développement. Marie Aichagui s’en est rendu compte au moment d’un voyage au Kenya. Les jeunes filles rataient systématiquement l’école durant leurs menstruations, faute de disposer de protections adaptées. Leurs prix étant élevés, jusqu’à 60 % des Kenyanes ne peuvent se permettre l’achat de serviettes. Bouleversée...
Préparé uniquement à base de produits frais et de saison, chaque plat est une belle découverte qui met à l’honneur le meilleur des produits de la Bretagne. À travers sa passion dans laquelle transparait avec raffinement l’amour du beau, la cuisine du chef Rachel Gesbert est un véritable régal pour les papilles. Il va sans dire que l’établissement travaille également les produits du terroir tels que le lièvre, le gibier ou le cabillaud. Grands moments de gastronomie Sa galette de blanc de turbo au tartare d’andouille, qui est un savoureux mélange de poisson, d’andouille et de galette de blé noir, est, en l’occurrence, « le plat magique du restaurant », comme aime l’appeler Rachel Gesbert, chef et propriétaire de l’enseigne. Mais cela n’empêche pas d’autres découvertes comme sa salade gourmande de trois crustacés, composée de tourteau, de langoustine et de homard, son ris de veau forestier, ses crêpes au Grand Marnier au beurre de caramel ou encore son millefeuille chocolat-café soufflé à la vanille, sans pour autant oublier son fromage au lait cru et son pain perdu mirabelle. Bien que, à midi, la cuisine du marché à 28 € fasse sensation auprès des convives, la maison suggère aussi de nombreuses formules aux noms évocateurs, comme le menu Perle de cristal à 39 € ou le menu Perle de nacre à 57 €, dont la différence repose sur le nombre de choix de plats. En dehors de ces menus, les suggestions du jour permettent de varier les plaisirs des clients qui viennent très régulièrement. Chaque plat se savoure autrement grâce à la très jolie carte des vins enrichie de 53 lignes de champagne et de 450 références de vins à la carte. Des grandes appellations aux petits producteurs, la sélection affirme un bel éclectisme qui fait honneur à toutes les grandes régions du pays pour satisfaire tous les gouts et toutes les envies. ...
Imaginons un peu ces milliers de fûts de chêne qui reposent patiemment ; certains, jeunes, viennent accueillir les premières distillations de l’année ; d’autres ont plus de 130 ans. Imaginons un peu cette palette d’arômes avec plus de 300 eaux-de-vie différentes prêtes à exploser en bouche. Imaginons alors toute l’élégance du métier de maître de chais, qui, à l’instar du peintre ou du parfumeur, nécessite de posséder un solfège acquis par l’expérience, le travail aiguisé des sens et la maîtrise de soi afin de produire un assemblage harmonieux de textures et de saveurs. Des cognacs raffinés… Et c’est ce savoir qui s’est forgé au fil du temps, bonifié de génération en génération, que nous propose de partager la distillerie Tessendier au travers de trois gammes de cognac (Park , Campagnère, Grand Breuil) où chacune a sa propre spécificité, sa propre histoire… Autant de variétés qui ont vocation à satisfaire tous les goûts. Une maison toujours en quête d’innovation… Pour répondre aux besoins d’une clientèle internationale aux approches gustatives et culturelles souvent très différentes, l’entreprise a toujours su renouveler son offre. En témoigne la dernière bouteille de la gamme Park, où une finition de six mois en fûts de chêne de mizunara (chêne japonais très rare et très qualitatif) apporte une synergie entre les arômes floraux typiques des crus Borderies et le côté ambré des chivas japonais. En témoigne, aussi, depuis une dizaine d’années, la création d’une gamme de rhum où s’exprime tout l’art de l’assemblage de Jérôme et Lilian Tessendier, avec notamment l’arrivée de nouveaux produits dont le Rum Saison réserve. ...
À travers une belle association de tradition et de saveurs, le Restaurant Chez Féraud (puisque c’est de lui qu’il s’agit), propose une cuisine gourmande et généreuse où la fraîcheur et l’authenticité de la Provence se conjuguent au présent jusque dans les assiettes. Un emplacement privilégié Reliant la rue Granet à la rue Loubon, la rue du Puits-Juif, où l’établissement est implanté, se trouve dans un quartier historique, ce qui fait tout son charme et sa particularité. Ce privilège constitue pour l’enseigne un atout majeur qui joue en faveur du lieu et qui fait qu’il soit particulièrement apprécié des clients. Dans une ambiance simple et bon enfant, le restaurant surprend autant qu’il séduit avec son décor intemporel, et avec juste ce qu’il faut comme dose d’audace et de curiosité. Grâce à une belle devanture joliment couverte de lierre, il est non seulement un véritable plaisir pour les yeux, mais aussi une excellente adresse, où la gourmandise et la découverte sont en parfaite harmonie. Une délicieuse cuisine aux accents de Provence Chez Féraud, c’est aussi l’histoire d’une famille de cuisiniers à l’ancienne dont le goût pour les recettes familiales s’est jalousement transmis de père en fils. C’est ainsi que derrière les fourneaux de cette belle adresse, mijotent en permanence de bons plats traditionnels aux accents du Sud pour ne citer que la soupe au pistou, la dorade royale à la provençale et les clémentines semi-confites avec, à côté, la daube et les pieds paquets marseillais ou encore les figues rôties au miel et au caramel. Un parfait accord mets-vins qui met à l’honneur des valeurs sûres comme les coteaux d'aix-en-provence et vient sublimer le tout, constituant une véritable surprise pour les papilles. ...
Cette bière était brassée au sein même de l’abbaye de Tongerlo, il y a déjà 110 ans. Hélas, la première guerre mondiale mit un terme abrupt à cette tradition, puisque l’occupant allemand réquisitionna les cuves pour en utiliser le cuivre. Après de nombreuses pérégrinations avec leur bière, les moines Prémontrés de l’abbaye trouvèrent enfin la quiétude auprès de la brasserie Haacht, en 1990. En échange de la licence accordée, la brasserie apporte son soutien à une communauté monastique des plus dynamiques de Belgique. Brasserie Tongerlo : tradition ancestrale pour une bière blonde aux aspects cuivrés et aux arômes de miel... Le choix des moines s’est porté sur une brasserie à caractère familial, qui attache une grande importance à la qualité et à l’authenticité. Cette attitude se laisse découvrir à chaque dégustation de la bière Tongerlo. Fidèle à leur devise présente sur les portes de l’abbaye du 14e siècle, « Festina Lente » (« se dépêcher lentement » en latin), les moines préconisent que cette bière brassée avec savoir se déguste avec sagesse. Bière blonde aux teintes cuivrées de fermentation haute, la Tongerlo se distingue par son délicat arôme de miel et sa douceur en fin de bouche. Elle est tout en rondeur. À noter également que, courant 2017, la bière présentera une nouvelle identité visuelle plus moderne déclinée sous trois formats : pack de 6 x 25 cl, boîte de 50 cl et bouteille de 75 cl. Aujourd’hui, l’abbaye se visite et vaut le détour. ...
Petit village de montagne situé entre les Alpes du nord et la Provence, Montclar est établi aux pieds de Dormillouse à 1350 mètres d'altitude. On le décrit comme un coin de Suisse égaré sous le soleil de Provence. Dans la vallée de la Blanche entre Digne, Gap et Barcelonnette, Montclar est distant d'environ deux heures du littoral méditerranéen. La beauté du paysage y est impressionnante, avec une vue imprenable sur le lac de Serre-Ponçon. Sur ses deux versants s'étalent les pistes de ski longues d'environ cinquante kilomètres cernées par une forêt de feuillus de résineux et de mélèzes. C'est en plein cœur de ce domaine que se dresse le restaurant Le Clos Madarin de l’Hôtel Le Saint-Jean, offrant un panorama sur toute la région grâce à sa terrasse ouverte toute l'année, été comme hiver. Convivialité à l’honneur au restaurant Au Clos Madarin, rien n'a été laissé au hasard pour satisfaire les besoins des convives. Le décor, l'ambiance des lieux inspirent calme et zénitude. Dans la salle trône une cheminée imposante conférant un esprit traditionnel à l’établissement. Elle se marie bien avec le mobilier en bois qui procure une atmosphère apaisante. Le Clos Madarin fait la part belle à la cuisine provençale traditionnelle, toujours élaborée à partir de produits frais essentiellement issus du terroir. Promu Maître Restaurateur depuis août 2014, le chef du restaurant s’inspire du travail célébrissime « Auguste Escoffier » pour la création de ses plats. Rappelons que cet auteur culinaire français est à l’origine du concept de la brigade de cuisine. Le maestro des fourneaux propose une cuisine simple et maîtrisée où les produits sont majestueusement mis en valeur. En entrée, il suggère un tartare en duo de saumon Gravelax et Saint-Jacques. En plat de résistance, le Dos de lieu jaune et légumes croquants est proposé côté poisson. Côté viande, rien de tel qu’une Caillette d’agneau ail confit et jus léger. Un dessert maison achèvera ce mélodieux repas, duo de chocolat et caramel au beurre salé et son croquant de miel. Hôtel le Saint-Jean : familial par excellence A l'Hôtel le Saint-Jean, les prestations ont été faites pour satisfaire au mieux les besoins des convives (wi-fi, parking etc.). Les 25 chambres disponibles sont pourvues de toutes les commodités nécessaires au confort des clients. Les formules d’hébergement varient en fonction des besoins des clients. Ainsi, il est possible d’y séjourner en demi-pension, en pension complète par ailleurs, des tarifs préférentiels sont appliqués pour les enfants en bas-âge. Au sein de cet établissement, les familles seront décidément comblées. ...
Créé en 1983, le Château Haut Brisey est dirigé par Corine et Christian Denis. L’adhésion de la maison à la famille des « crus artisans », nouveau classement 2018 à partir du millésime 2017, a marqué l’histoire de ses vins anciennement classifiés crus bourgeois. Des vins de garde exceptionnels Le vignoble s’étend sur une surface de 10 ha. Son sol est caractérisé par des graves quaternaires mélangés à une fine couche d’argilo-calcaire. L’encépagement est composé de cabernet (70 %) et de merlot (30 %). Grâce au climat de la région, les raisins peuvent atteindre une maturité plus importante, permettant d’obtenir d’excellents vins de garde. Parmi les références proposées par la maison s’inscrivent « Château Haut Brisey » et « Les Hauts de Sestignan ». Le Château Haut Brisey 2012 fait partie en ce moment, des bons millésimes à la vente. Il a été récompensé à plusieurs reprises : médaille d'argent au Concours International de Lyon en 2016, médaille d'argent au Concours de Bordeaux 2015, médaille d'argent Prix Plaisir 2018, concours Bettane & Desseauve. ...
Priorisant les pratiques anciennes afin de préserver les saveurs du terroir, Pompon Champy se démarque par sa démarche qualité visant à proposer du champagne unique. Elle a bâti sa réputation autour de la production de ses cuvées avec des méthodes de travail authentiques et dans le respect des traditions. « Marcher dans les pas de mon père » Ces propos de Marie-Paule Pompon, héritière de la maison Pompon Champy, illustrent son attachement aux valeurs traditionnelles et familiales dans le processus de viticulture. « Mon père est arrivé à l’âge de 14 ans pour travailler chez un viticulteur, c’est là qu’il a appris son métier et qu’il a rencontré ma mère qui faisait les vendanges. Ils ont tous les deux travaillé comme salarié puis ont acquis des vignes avant de créer leur propre exploitation… C'est par leur travail et leur courage qu’ils ont créé une exploitation prospère » nous raconte Marie-Pompon. Ainsi est née donc Pompon-Champy, une marque produisant des cuvées d’exception obtenues dans le respect des cépages, essentiellement du pinot meunier, qui poussent sur les quelque quatre hectares de terrain. Une terre « travaillée par une équipe de passionnés composée notamment d'Aurélie et de Freddy» tient à souligner notre interlocutrice. Pratiques anciennes et viticulture raisonnée Le riche héritage de Pompon Champy, ce sont des « pratiques anciennes que [Paul Pompom] a apprises de gens qui travaillaient le vin dans les années 50 », toujours selon Marie-Paule. Ces méthodes traditionnelles, alliant vendanges manuelles, travail soigné de la vigne et techniques anciennes de vinification, confèrent aux cuvées de la maison le goût typé caractéristique du terroir. Lors de vos instants gourmands, laissez-vous tenter par le Brut Tradition, un champagne 100 % pinot meunier, « fruité et fort en goût, et décliné en demi-sec », selon Marie-Paule. Accompagnez vos mets raffinés d’un Brut Réserve, une cuvée équilibrée obtenue par l’assemblage des trois cépages champenois. Notez que tous ces champagnes ont été élaborés selon une démarche de viticulture raisonnée. En réduisant le plus possible l’usage d’herbicides, la maison se veut être une marque prônant la durabilité dans les pratiques agricoles. ...
Déployé à Nantes et à Angers, cet institut prodigue des soins complets aux malades atteints de pathologies cancéreuses et qui sont à la recherche de traitements innovants. Ici, chaque patient bénéficie d’un parcours de soins personnalisé et d’un suivi thérapeutique complet. Mis à part cette prise en charge globale de qualité, l’institut accueille également les chercheurs ainsi que les professionnels de santé pouvant apporter leur contribution à cette lutte humaine grâce à leurs connaissances et à leurs expériences. Radiothérapeutes, oncologues médicaux, chirurgiens, anatopathologistes ou mêmes infirmières s’adonnent main dans la main à des activités de recherche entamées avec un partenariat solide entre le centre, le CRCINA (Centre de recherche en cancérologie et immunologie Nantes, Angers, regroupant des laboratoires INSERM et CNRS), les CHU de Nantes et d’Angers (centres hospitaliers universitaires) et d’autres institutions travaillant pour la même cause. Ainsi, l’ICO teste des molécules innovantes, adapte chaque traitement à la résistance des tumeurs, améliore les protocoles de traitement par radiothérapie et les protocoles de chirurgie, s’investit dans la médecine nucléaire et se focalise sur une thérapie de précisiontout en assurant un lien effectif entre la recherche fondamentale et la recherche clinique. Il en découle une expertise reconnue tant au niveau régional qu’au niveau national, une renommée qui fait la force de ce pôle d’excellence dans la lutte contre le cancer. Un pôle d’excellence composé d’équipes pluridisciplinaires « Ici, chaque discipline est organisée de manière à pouvoir effectuer des recherches dans plusieurs domaines à la fois », explique le Professeur Mario Campone. « La recherche est menée avec des spécialistes de ce type de pathologies, mais aussi et surtout avec des médecins et des infirmières, afin de maximiser la collecte de données cliniques et favoriser la transition entre la recherche clinique et la recherche fondamentale. » Les essais cliniques sont d’ailleurs conduits suivant une politique de qualité au niveau de chaque salarié du centre, une politique qui a valu au centre d’obtenir en 2017 la certification ISO 9001-V2015 pour son département de Recherche Clinique. Ce label de qualité garantit pour les laboratoires pharmaceutiques le savoir-faire et des résultats de haute qualité produits par l’ICO. Toujours suivant cette politique de l’excellence, le centre participe à l’évaluation des futurs nouveaux médicaments. Les équipes chargées d’effectuer les tests axent leurs essais non seulement sur l’efficacité de ces médicaments, mais également sur leur capacité à contrer la résistance des cellules tumorales aux précédents traitements. Le centre est également le premier centre français de radiothérapie et est doté d’un parc de onze accélérateurs comprenant un accélérateur peropératoire. Le perfectionnement de la radiothérapie figure d’ailleurs parmi les priorités du centre, qui voit en cette technique la technologie curative de demain. Les radiothérapeutes ont pour priorité de rendre leurs interventions efficaces tout en préservant les cellules saines non touchées par les tumeurs. Les chirurgiens, de leur côté, œuvrent également pour améliorer le traitement chirurgical de chaque patient, en misant par exemple sur des recherches en robotique. Des soins d’accompagnement psychologique, esthétiques et même kinésithérapeutiques sont également prodigués au sein de l’ICO. La prise en charge de chaque patient est de ce fait assurée par une équipe pluridisciplinaire, dont les membres s’appliquent à donner le meilleur d’eux-mêmes afin de mener à bien la lutte contre le cancer et de proposer des traitements adaptés à chaque individu, allant du diagnostic au traitement. La recherche pour sauver le plus de patients Allant de la recherche fondamentale à la recherche clinique, en passant par la recherche dite de transfert, l’ICO multiplie ses pôles d’intervention en travaillant en partenariat avec des équipes de recherche fondamentale du C...
Vous vous apprêtez à découvrir la superbe région de Porto, en Corse-du-Sud ? Le charmant hôtel 3 étoiles Capo d’Orto vous ouvre ses portes. Un établissement qui sait prendre soin de ses clients Ce qui nous frappe avec l’hôtel Capo d’Orto, c’est la volonté de l’établissement de proposer des prestations d’excellente qualité à un tarif défiant toute concurrence. Pour preuve : en réservant directement votre séjour en ligne, vous bénéficiez d’une réduction intéressante et d’un petit déjeuner à moitié prix. Trois types de chambres vous sont proposés (classique, confort et privilège) pour 2 à 5 personnes. En plus d’être spacieuses, elles offrent toutes une vue imprenable sur la mer et la montagne. À noter : vous profitez aussi d’un parking et d’une piscine chauffée à 27° toute la saison. De plus, une fois sur place, et avant de découvrir les environs, n’hésitez pas à demander conseil au patron. Il se fera une joie de vous indiquer les endroits à voir absolument et les bonnes adresses pour savourer les spécialités de l’île (nous vous recommandons spécialement les cannellonis au brocciu). En effet, en plus d’accueillir les clients avec le sourire, le gérant connait parfaitement les alentours. C’est d’ailleurs ce qui plait aux visiteurs. Une situation idéale Pour les randonneurs, les Calanche de Piana, les gorges de Spelunca et la forêt d’Aïtone sont des étapes obligatoires. Nous vous conseillons aussi réserver une sortie en mer sur l'une des compagnies de promenades en mer pour une visite guidée au sein de la réserve naturelle de Scandola, des Calanches de Piana et du Golfe de Girolata ou de louer un bateau. Il est, en effet, impossible de passer à côté du golfe de Porto, classé au Patrimoine de l’UNESCO. À savoir : pour les plongeurs de tout niveau, l’entrée de la réserve de Scandola vous propose une eau très poissonneuse. Finalement, entre deux excursions, prenez le temps de vous reposer sur la plage et laissez-vous aller. Bienvenue au Paradis. ...
L’Asie du Sud-Est figure parmi les destinations touristiques les plus prisées au monde. Elle recèle de nombreux attraits avec une multitude d’activités et de découvertes. « Ce sont des destinations très abordables, avec beaucoup d’hôtels haut de gamme à des prix accessibles », précise Pascal Bouchet, directeur d’Azygo.com. Azygo.com est une agence de voyages en ligne spécialisée dans les voyages sur mesure. Elle dispose de plus de 25 ans d’expérience dans l’organisation de voyages en Asie du Sud-Est. Afin d’assurer un accompagnement de qualité, Azygo.com travaille avec des guides locaux certifiés parfaitement francophones. « Nous avons l’avantage d’avoir tous nos experts sur place », souligne le responsable. L’Asie du Sud-Est : nature et culture à explorer L’aspect financier n’est pas la seule raison qui explique la forte attractivité touristique de l’Asie du Sud-Est. En effet, cette région est une destination au patrimoine riche et diversifié. La culture y est fortement influencée par le bouddhisme avec d’incroyables temples et vestiges antiques à explorer, comme le site d'Angkor au Cambodge ou les pagodes de Bagan au Myanmar (ex Birmanie). La région abrite une très belle nature parfois encore sauvage, des paysages somptueux qui offrent la perspective de formidables randonnées et autres activités sportives. Enfin, ces destinations sont réputées pour leurs plages et îles paradisiaques, notamment dans le sud de la Thaïlande et du Vietnam, mais aussi en Indonésie. Des découvertes inédites À travers le site Internet de l’agence Azygo.com, les voyageurs ont accès à une cinquantaine de programmes entièrement personnalisables. « Ce que nous proposons sur le site ne sont que des idées de voyages, nos offres pouvant s’adapter en fonction des demandes des voyageurs », souligne Pascal Bouchet. Déclinées par destination et par thématique, les propositions de voyages emmènent les visiteurs vers des découvertes inédites. Le circuit authentique en Thaïlande offre, par exemple, une occasion unique de découvrir cette destination sous un autre angle, loin des sentiers battus. Ce circuit suggère en effet une immersion au cœur de la vie quotidienne locale. Au programme : des rencontres avec les habitants, la visite des marchés les plus populaires ou encore des petites virées sur les fameux tuk-tuk, les samlors et autres moyens de transport locaux. Par ailleurs, le circuit prévoit une visite de la campagne thaïlandaise pour observer de près des activités artisanales telle que la distillation de l’alcool de riz ou le fumage de poisson. Sans doute l'une des plus belles destinations de la région, Azygo.com vous emmène faire un voyage à Sapa et Lao Cai, sur les hauts plateaux du Nord Vietnam. Vous pourrez parcourir les sentiers à la rencontre des ethnies Hmong, Tay et Phu La et succomberez sûrement aux charmes de cette région montagneuse atypique du Vietnam et ses fabuleuses rizières en terrasse. Dépaysement garanti! ...
Le domaine de Chelivette est un lieu chargé d’Histoire. En témoignent son château médiéval datant du XIIIe siècle, sa chapelle construite en 1620 ou encore son télégraphe Chappe de 1793. Dès les années 1600, les jésuites y ont travaillé la vigne, faisant ainsi de ce domaine un des plus anciens de la Gironde. Séduits à la fois par l’aspect patrimonial et par la beauté et les potentialités viticoles des lieux, Florence et Jacques Borel n’ont pas hésité à en faire l’acquisition en 2014. Depuis, ces derniers ont procédé à la restructuration du vignoble, tout en s’engageant sur la voie de la démarche biologique. Préserver la biodiversité La propriété couvre une superficie de 30 ha, dont 12 dédiés à la viticulture. Implantées à flanc de coteaux, les vignes profitent d’une bonne exposition. Ici, l’encépagement est dominé par le merlot, suivi du cabernet sauvignon, du cabernet franc, du malbec, du sémillon, etc.... Dans le but de préserver le patrimoine naturel, une approche biologique est adoptée. « Nous pulvérisons des tisanes et des décoctions de plantes pour traiter les vignes. Aucun produit de synthèse n’est toléré », nous indique-t-on. Au-delà de cette démarche, les propriétaires s’efforcent de mettre en place un véritable écosystème complet, où chaque élément a son rôle à jouer. « Nous reposons notre réflexion sur la notion de biodiversité, puisque c’est la Nature elle-même qui protège le mieux la vigne », explique Florence Borel. Création de couloirs forestiers, production de céréales bio utilisées comme engrais, mise en place de nichoirs à oiseaux et introduction d’animaux dans la propriété… Tout est fait pour constituer un ensemble harmonieux et autosuffisant ! Sur cette lancée, le domaine de Chelivette a amorcé sa conversion vers l’agriculture biodynamique. Les labellisations Bio et Demeter sont ainsi attendues pour 2019. Les trésors de la maison Le Château de Chelivette produit 4 cuvées exceptionnelles : Château de Chelivette (bordeaux supérieur), Château de Chelivette (bordeaux rosé), le Clairet de Chelivette et le Domaine du Télégraphe (bordeaux supérieur). Obtenue à partir d’un assemblage de merlot et de cabernet sauvignon, la première cuvée s’habille d’une robe pourpre profond. Au nez, ce vin dévoile des notes de cerises noires bien mûres. Idéal pour accompagner fromages, viandes et poissons grillés. Pour le rosé, issu de l’assemblage de merlot et de cabernet franc, il séduit par sa rondeur et sa souplesse. En bouche se révèlent des arômes de fruits des bois. La cuvée « Clairet de Chelivette », quant à elle, allie fraicheur et intensité. Très fruité, ce vin est à déguster avec des grillades, des crustacés et de la charcuterie. Enfin, la cuvée « Domaine du Télégraphe » présente un bel équilibre entre légèreté et intensité. Elle se démarque par ses parfums de fruits exotiques et mettra en valeur viandes blanches, poissons ou fromages. ...
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
Dans un style bistrot à l’esprit atelier, où la cuisine ouverte permet à toute la salle de voir le chef travailler derrière une verrière, L’Atelier Ramey fait sensation auprès des foodies parisiens en quête d’une nouvelle cantine. Le décor industriel enrichi d’objets chinés pour la plupart transporte dans un joli voyage bistrotier, où une vraie aventure culinaire vous attend. Ce petit repaire de gastronomes propose, le soir, un menu dégustation complet soupe-entrée-plat-dessert au choix à 34 €, une formule midi entrée-plat ou plat-dessert à 21 € et un menu à la carte. Sa Terrine de boudin noir poêlé céleri remoulade au raifort, sa Joue de bœuf braisée mousseline de topinambour et son Filet de bar rôti à l’olive risotto d’agrumes constituent de véritables délices pour les papilles, sans parler de son fameux Baba au rhum ananas raisins confits et son savoureux Riz au lait caramel au beurre salé tuiles dentelles à l’orange. Une riche carte de vins L’Atelier Ramey travaille directement avec le vigneron qu’il connait personnellement. Ayant l’énorme avantage de posséder un bar à vins, le restaurant se repose sur l’expérience de son sommelier Cyril Laroche pour la sélection rigoureuse de tous les vins de la maison, dont les petites pépites du Sud-Ouest et de la vallée du Rhône et de la Loire, avec une large gamme de vins nature. Pour « les petites bulles de la maison », comme les appelle si bien le propriétaire Dani Maïni, l’enseigne a choisi de travailler avec le Domaine de la Taille au Loup Montlouis-sur-Loire Triple Zéro du vigneron Jacky Blot. Pour les vins du Sud-Ouest, le choix de l’établissement s’est porté sur le Domaine d’Elian Da Ros. ...
C’est à l’angle de la rue Rambuteau et la rue Saint Martin que les férus de bonne cuisine seront accueillis dans une brasserie spacieuse et chaleureuse. Bonne ambiance, personnel qualifié et recettes authentiques sont autant d’ingrédients faisant la renommée de ce lieu où l’authenticité et la convivialité règnent en maîtres. Plaisirs du palais propres à Paris Dans un cadre raffiné mais décontracté, Le Cavalier Bleu est « une brasserie type priorisant les produits locaux produits par des producteurs afin d’élaborer des recettes simples et généreuses», explique le gérant, Thomas. Chaque plat est la promesse d’une explosion de saveurs et d’arômes. « Allant du palet de chèvre au miel au tartare de bœuf en passant par la crème brûlée, les spécialités propres à la région sont mises à l’honneur dans des plats concoctés avec passion », rajoute Thomas. Un spiritueux de la cave à vins et alcools de marques viendra débuter et clore en beauté votre repas. Une brasserie typique au goût du jour Les cocktails, les chopes de bière et les salades composées sont à déguster entre amis, en couple ou en famille dans une salle conviviale ou sur une terrasse à l’ambiance agréable. De nombreux événements sont, entre autres, organisés dans ce lieu propice à la détente, à l’instar des soirées à thème. Afin de mettre en avant la richesse vinicole du pays, « Le Cavalier Bleu met tous les mois un vin à l’honneur. Ce vin du mois sera proposé à un prix attractif afin de faire du partage le maître-mot », conclut Thomas. ...
Une approche holistique tournée vers les résultats et le développement durable Grégory Canalès est connu à Paris, à Singapour et dans la Caraïbe pour son sérieux, son respect de la confidentialité et son attachement à réussir tous les accompagnements qu’il entreprend. Même lors des consultations en ligne, ce quadra, chef d’entreprise, pince sans rire, posé et efficace saura toujours vous recevoir dans des conditions propices à un cheminement réflexif ressourçant et dynamisant. Apaisant par son ton, son écoute et sa méthode, il vous amène vite mais sans précipitation à la raison profonde qui vous à conduit à lui. Ensuite, tout en vous écoutant avec bienveillance et sans jugement, il enchaîne les questions - et les séances - en suivant méthodiquement le fil de la stratégie d’accompagnement que vous lui inspirez. En permanence dans la recherche de protocoles adaptés à chacun de ses clients, il ne cherche ni à vous séduire, ni à vous éblouir, encore moins à vous emmener vers des solutions toutes faites ou pire, à vous vendre une méthode de coaching comme étant la solution à tous les maux. Même si l’envie vous prenait de lui demander conseil ou de chercher un guide en lui, il ne cèderait pas … tout simplement parce que ce n’est pas dans votre intérêt et, de surcroît, parce que c’est contraire à la déontologie du coach professionnel. « Le coaching est un art du questionnement, et certainement pas un art de la réponse ! », précise-t-il. Aujourd’hui, sur les 18 000 français qui se déclarent coachs, seuls 2400 sont rattachés au code de déontologie de l’une des trois fédérations de coachs. Parmi eux, 1300 adhèrent à l’EMCC FRANCE qui est le Conseil Européen du Coaching, du Mentorat et de la Supervision. Respecter le code de déontologie de l’EMCC, c’est s’engager à respecter un certain nombre de règles comme la confidentialité, le respect du client, ou le fait de devoir présenter le code de déontologie à ses clients avant de commencer le coaching. C’est aussi s’engager à être supervisé par un superviseur certifié et à s’inscrire dans un parcours de perfectionnement en continue. Vous imaginez les répercussions sur le développement et l’autonomie économique d’une région si tous les coachs de dirigeant et les coachs d’organisation de cette région étaient rattachés au code de déontologie d’une fédération de coachs et le respectaient? « Adhérer au code de déontologie de l’EMCC et s’engager à le respecter n’est pas seulement un facteur clé de réussite pour le coach, ça l’est aussi et surtout pour ses clients et, à plus grande échelle, pour l’économie d’une région. D’où mon implication active comme Délégué Régional EMCC FRANCE pour la région CARAIBE qui couvre la Guadeloupe, la Martinique, Saint-Barth, Saint-Martin et la Guyane ». Avec Grégory Canalès, vous aimerez le changement D’abord ingénieur R&D en procédés industriels spécialisé en management de l’environnement, puis consultant en conduite du changement au sein de grands projets de transformations organisationnelles, humaines et numériques, Grégory Canalès n’a jamais cessé d’étudier. Titulaire de l’Executive MBA de l’EDHEC, psychanalyste Lacanien, Coach intégratif et Superviseur intégratif de psys et de coachs, le fondateur de Kix Transformation et de Libsea a connu l’échec et la réussite. « Il n’y a pas de réussite sans échec et sans prise de risques ». « Les échecs, les difficultés et les défis de la vie sont autant d’opportunités de se révéler à soi, de se réinventer et de rebondir … ». Eclectique dans ses choix professionnels et privés, il est resté constant dans sa volonté de percer les mystères de l’âme humaine et de toujours essayer de faire émerger dans sa vie privée comme professionnelle ce qui fait sens et ce qui fait lien. « De rassembler ce qui est épars », indique-t-il...
Sur un fond de tonalités végétales, Le Lulli offre une belle luminosité à laquelle vient s’ajouter une grande verrière installée tout au long du restaurant. Transformé en un lieu du chic et du charme avec en plus « un magnifique jardin au jeu de lumières infinies», comme le décrit si bien le chef Jean-Baptiste Orieux, Le Lulli est une véritable œuvre d’art pour qui sait l’apprécier. Constitué à 50 % d’une clientèle d’affaires et à 50 % de « personnes qui recherchent un produit plus élevé qu’un restaurant traditionnel ou qu’une brasserie parisienne », l’établissement est un lieu dédié à la clientèle parisienne, un endroit « où l’on peut passer un bon moment avec un service de qualité 5 étoiles », se félicite-t-on. À 35 ans et après 12 ans d'expérience auprès du chef meilleur ouvrier de France Jean-Yves Leuranguer au Fouquet’s Barriere, Jean Baptiste Orieux a pris la tête des cuisines du grand hôtel du palais royal et de son restaurant le Lulli en juillet 2017. Une cuisine très France avec plusieurs spécialités Le restaurant Le Lulli offre à sa clientèle « une cuisine savoureuse, préparée avec des produits frais », nous précise-t-on, mais également des spécialités variées tout aussi succulentes les unes que les autres, incluant 4 entrées, 6 plats et 6 desserts. Les formules déjeuner incluent deux plats à 29€ ou trois plats à 38€ avec des propositions appétissantes à chaque semaine. Jean-Baptiste Orieux a imaginé une carte au goût du jour, construite autour de produits locaux choisis pour leurs propriétés et leurs qualités, bio ou encore sans gluten. Il offre ainsi une sélection de plats très raffinés, réalisés avec les meilleurs produits de saison. Bar pané au sésame condiment gingembre, ballotine de foie gras de canard mi-cuit et Granny Smith bio, dos de cabillaud avec chou-fleur façon risotto aux algues et craquant de sarrasin, maigre confit avec bonbon de poireaux, hollandaise au Gewurztraminer ... En dessert, on se laisse volontiers tenter par le pavlova framboise et sa meringue délicate ou l’opéra café et chocolat... biscuit croustillant »… Le Lulli, le restaurant du Grand Hôtel du Palais Royal, est RÉCOMPENSÉ POUR LA DEUXIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE EN 2017 PAR LE GUIDE MICHELIN qui lui attribue « L’Assiette MICHELIN ». ...
Initiée dans la Corse des années 90 avec la PME éponyme, l’aventure de Gloria Maris Groupe est celle d’une passion. Celle qui anime les différentes entités spécialistes de l’aquaculture marine dirigées par Philippe Riera, le PDG. La capitalisation des expertises partageant le même socle de valeurs – protection des ressources et démarche de développement durable – fait aujourd’hui la force de ce groupe qui cultive l’excellence en défendant son statut d’artisan soucieux d’offrir aux consommateurs des produits de qualité. Des espèces nobles élevées dans des fermes marines Gloria Maris Groupe prend le parti de privilégier la haute qualité aux gros volumes de production. De très faibles densités d’élevage sont pratiquées dans les fermes de pleine mer du Groupe, bien moins des 5 à 13 kg/m3 i imposées par les normes nationales. De l’alevinage jusqu’à leur taille commerciale, les quatre espèces nobles élevées chez Gloria Maris Groupe le sont en respectant leur cycle de croissance naturel. C’est un point sur lequel le PDG de Gloria Maris insiste, ses poissons grossissent à des rythmes équivalents à ceux des sauvages. « Ici pas de croissance poussée, il nous faut plus de trois ans pour qu’un bar ou un maigre arrive à sa taille de commercialisation », nous confie-t-il. Dans les bassins à terre ou les parcs en pleine eau, les poissons nagent librement. Maigres, turbots, daurades royales et bars sont soumis à un régime exempt d’OGM et de pesticides. Cette alimentation naturelle, issue de la pêche durable, peu ou pas de traitements garantit, selon l’ingénieur en aquaculture marine du Groupe, « la qualité de la chair, sa fermeté et son goût iodé ». Ce sont des critères importants pour les consommateurs lorsqu’ils veulent sélectionner ce qu’ils mettent dans leurs assiettes. Une expertise validée par de nombreux labels Les poissons élevés dans les fermes de Gloria Maris Groupe sont estampillés par 8 labels ou signes de reconnaissance, dont les labels rouge et bio. Les choix faits par la maison, en matière d’élevage, ont largement contribué à l’acquisition de ces distinctions, garantes de qualité et récompensant une volonté engagée dans la promotion d’une aquaculture haut de gamme. Dans la stratégie du Groupe, il n’y a pas de place pour les ambitions de grosses productions ni de courses au prix bas qui mettent à mal la qualité. L’audace de ses choix face à une concurrence redoutable, la maîtrise de process complexes et la volonté de s’améliorer sans cesse constituent les piliers de l’aquaculture raisonnée et d’excellence, dont le Groupe est le pionnier en France. Ses produits, affichant également le label « Origine France garantie » et certifiés « Friend of the Sea », sont recherchés par les connaisseurs et autres chefs, en Europe et au-delà. La moitié de la production du Groupe s’exporte entre autre en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, en Italie et jusqu’au Canada, ou encore au Japon... Fort de ces références, Gloria Maris Groupe ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Animé d’une volonté permanente de parfaire ses acquis, il est engagé dans différentes collaborations avec les centres de recherche, à l’instar de l’IFREMER ou de Stella Mare en Corse. ...
Auvergne-Rhône-Alpes, une région gastronomique Des beignets de pommes de terre aux filets de perches en passant par la fondue savoyarde et les diots au vin blanc, la cuisine traditionnelle savoyarde est une des spécialités qui fait le charme de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ces plats s’accordent avec des vins locaux comme le Chignin Bergeron, la Mondeuse et le Seyssel. Les produits du terroir font partie du patrimoine culturel de la région. On y trouve de délicieux plats typiques comme la tartiflette, un gratin de pommes de terre et des crozets, un féculent préparé avec de la farine de sarrasin. Les spécialités régionales sont composées de charcuterie, comme la pormonaise et les attriaux, et de fromages, comme l’abondance, le beaufort, le reblochon et la tomme de Savoie. L'Auvergne-Rhône-Alpes, c’est aussi le vignoble mondialement connu du Beaujolais, qui compte 12 Appellations d’Origine Protégée. Ce sont aussi les trois AOC de la Savoie : le vin de Savoie, la Roussette de Savoie et le Seyssel. L’Auberge d’Ayze, la rencontre des spécialités savoyardes L’Auberge d’Ayze propose des plats savoyards et d’autres mets mis à l'honneur par Jean-Marc Herchelbout, le maître restaurateur qui fait valoir ses quarante années de métier. Sa femme nous conseille de les savourer avec des vins savoyards. Quelques plats La matouille est une des recettes de tommette fondue servie avec de la salade verte et de la charcuterie. Elle peut être accompagnée de vin blanc comme du Chignin Bergeron. Le gratin de filets de perches est idéal pour les clients qui ne veulent pas consommer de viande. C’est une sauce crémée, composée de queues d’écrevisses et de morilles. Il s’accorde parfaitement avec du Chignin Bergeron et du Seyssel ou de l'Ayze tranquille. Des plats principaux « L’andouillette en camisole est un des plats phares de mon mari » insiste Mme Herchelbout. C’est une recette composée d’andouillette tranchée, de beaufort, de paillasson de pommes de terre et servie avec une salade verte. Il est parfait avec une bouteille de Mondeuse. Quatre différentes fondues composent le menu, elles s’accordent toutes avec du vin blanc. La fondue suisse est servie avec de la charcuterie, la fondue aux morilles avec de la salade verte, la fondue à la tomate s’accompagne de pommes de terre et la fondue de l’Anaïs est servie avec de la salade verte. Toutes les fondues sont à l'Ayze pétillant. Le gigotin d’agneau est une cuisson de souris d’agneau servie avec un gratin de crozets. Ce plat est conseillé aux clients qui veulent savourer de la viande. Les points forts de l’Auberge d’Ayze L’accès wifi est gratuit. A l’extérieur, on trouve un parking réservé exclusivement aux clients et une terrasse ombragée, entourée de fleurs. La salle à manger est magnifiquement décorée de couleur rouge et blanc. L’Auberge d’Ayze, c’est aussi une ambiance de campagne bien contrôlée et conviviale entre les clients et les restaurateurs. « On a pu fidéliser des chefs d’entreprise, des ouvriers, des gens du village et de la région grâce à la qualité de nos produits, de notre amour du travail, de notre sincérité et notre sourire. Les touristes y viennent aussi pour savourer des spécialités culinaires locales. 60 % des repas se font sur réservation » nous explique Mme Herchelbout. ...
Entre deux visites d’endroits historiques et de monuments bordelais, tels que la Halle des chartrons qui domine la place du marché, l’église Saint-Louis des Chartrons, la place des Quinconces, le muséum d’Histoire naturelle à côté du jardin public et le musée d’Art contemporain de Bordeaux, optez pour une pause déjeuner au restaurant Chez Dupont. Cadre, cuisine, service : tout est fait pour vous satisfaire. Un accueil à bras ouverts Chez Dupont existe depuis 1988, c’est une institution et une valeur sûres du quartier des Chartrons. Habituée à la gestion de ce restaurant qui ne désemplit pas, la petite équipe de Chez Dupont reste aux petits soins avec les clients. La gentillesse de l’accueil et l’efficacité du service marqueront les mémoires. Les personnes qui aiment les rencontres seront à l’aise dans cette bonne ambiance familiale. Tout cela se passe dans un cadre à l’allure de vieux bistro. Il serait dommage de ne pas parler de cette terrasse chauffée qui peut accueillir jusqu’à 40 convives et, pour votre plus grand soulagement, la circulation se fait rare dans le quartier. Cerise sur le gâteau : pour 10 à 12 personnes, vous pouvez aussi profiter de l'intimité d'une belle salle à manger avec fauteuils club et cheminée. Nouvellle salle et chambres d’hôtes Chez Dupont a ouvert une nouvelle salle il n’y a pas si longtemps, celle-ci se trouve juste en face. L’atmosphère chaleureuse et conviviale de l’établissement principal se fait également ressentir dans ce bistro. Les murs de pierres nues rendent authentique ce lieu qui offre plus d’intimité pour les repas de réunions professionnelles ou les évènements familiaux. Le bistro peut accueillir jusqu’à 25 personnes assises, 30 pour un apéritif dinatoire. Vous devez prolonger votre passage à Bordeaux de quelques jours ? Chez Dupont s’est doté depuis trois ans de 5 chambres d’hôtes et d’un appartement, où volupté et raffinement sont au rendez-vous. Installées dans un immeuble du XVIIIe siècle, les chambres rénovées n’ont pas perdu leur charme d’antan, tout en garantissant le confort moderne. Une cuisine bistronomique La cuisine de Chez Dupont se distingue par son authenticité, sa stabilité et sa fraicheur. Six cuisiniers professionnels, incluant le chef Christophe Caris et une pâtissière à temps plein, s’activent tous les jours pour du « fait maison », à la plus grande satisfaction de vos papilles. C’est la riche expérience de cette équipe qui garantit la régularité de la qualité des plats proposés par la maison. Situé entre gastronomie et brasserie, le restaurant mise sur l’exception du produit frais et de saison rigoureusement choisi chez des fournisseurs passionnés par leur métier. Prise d’assaut à l’heure du déjeuner, la maison suggère un menu composé de trois entrées, trois plats et trois desserts, qui changent tous les jours selon les trouvailles du marché. À la carte, laissez-vous tenter par le carpaccio de Saint-Jacques et chair de tourteau à la coriandre. En plat de résistance, l’épaule d’agneau de lait des Pyrénées cuite à basse température fera voltiger vos papilles. Plutôt poisson ? Dans ce cas, dégustez la belle sole de la criée de Royan pour un pur moment de bonheur. En bouquet final, le baba au rhum Havana Club vous convaincra. ...
Depuis le 10 janvier, Le Repaire de Bacchus a pris ses quartiers sur les toits de Paris, au sein d’un univers dédié au meilleur de la gastronomie et de l’artisanat. Un défi passionnant pour l’enseigne qui intègre là une formidable vitrine internationale sans rien perdre des valeurs qui la caractérisent depuis sa création.Sur 200 mètres carrés, soit un espace quatre fois plus vaste que celui de ses boutiques habituelles, cette 40ème adresse propose la plus alléchante et prolifique route des vins hexagonale qui soit. 1500 références de vins, 350 références de spiritueux et 100 bières exclusivement françaises Dans un décor accueillant, sobre et chic, aux couleurs de l’enseigne, elles y sont savamment mises en scène. Dès l’entrée, un magnifique bar d’époque Napoléon III, ancien bar de l’Académie du Vin fondée par Steven Spurrier et Michel Dovaz, dédié aux champagnes donne le ton. On peut y savourer des références renouvelées régulièrement à partir de 10 € la coupe. Puis l’on parcourt toutes les régions de France : si l’on retrouve des références historiques de l’enseigne, cette nouvelle adresse a aussi adapté son offre à une demande qui ne sera pas celle d’une clientèle de quartier. -Plus de Bordeaux : c’est notamment le cas des grands crus classés, dont les 1er Grands Crus Classés que l’on peut dénicher dans 7/8 millésimes incontournables. -Une superbe sélection de Bourgogne : les climats les plus prestigieux de la côte de Beaune et de la Côte de Nuit ou du Chablisien sont présents à travers des vignerons ou des maisons emblématiques. Les Comtes Lafon, Domaine Leroy, Raveneau, Roumier, Dugat-Py, Dauvissat, Chevalier, la Romanée-Conti font rêver bien sûr, mais l’amoureux de bourgognes trouvera aussi largement son bonheur avec des pépites moins célèbres donc plus accessibles et judicieusement choisies. -Les autres régions telles que la Loire, la Vallée du Rhône, l’Alsace, la Champagne ou la Provence équilibrent leur offre entre quelques références emblématiques, découvertes et vignerons historiques de l’enseigne. Ainsi des cuvées Silex de Dagueneau, Château Rayas et Château Beaucastel dans plusieurs millésimes, la maison Trimbach côtoie une sélection de vins accessibles conçus pour un pur plaisir hédoniste bien dans l’ADN de l’enseigne. -Une gamme de prix très large pour tous les budgets : l’on déniche les bouteilles les plus accessibles à 5 euros et une grande partie de l’offre se situe entre 8 et 20 euros. Même si cette 40ème boutique intègre l’univers du luxe, elle n’en a pas perdu pour autant ce qui constitue l’âme de la chaîne : celui d’un caviste artisanal de rue proche de ses clients. -Une offre en magnum conséquente : chaque région s’assortit en moyenne d’une vingtaine de références proposées en magnum, un format très attractif et prestigieux. Et sans oublier les demi-bouteilles. De la rue des Acacias au Printemps du Goût Le Repaire de Bacchus, c’est 35 ans d’aventure humaine saupoudrée d’un grain de folie. Lorsque Dominique Fenouil créé son premier Repaire de Bacchus, en 1983, c’est un peu grâce à la coupe du monde de football 1982 ! Directeur de la promotion chez Radiola, il imagine de récompenser les meilleurs clients avec des caves à vin et part sillonner le vignoble, une passion chez lui. Budget : l’équivalent de 2 millions d’euros. Il prend goût à cette activité et créé donc l’année suivante une boutique, en réalité, plutôt un club d’amis épicuriens à la recherche de bons vins, pas forcément les moins chers du marché, puis s’installe rue des Acacias, dans le 17ème arrondissement de Paris. Rappelons qu’à cette époque, on prédisait la mort du caviste, laminé par l’émergence de la grande distribution. « Je me disais qu’il y avait un marché pour les amateurs. De fait, ça ne désemplissait pas : notre premier bénéfice, l’équivalent de 80 K€, représentait l’équivalent de 2 Porsche &agra...
Discrètement lovée sur les hauteurs de Biarritz, la demeure blanche aux volets rouge vif donne du pétillant et de la dynamique à ce quartier calme. C’est bel et bien à cet endroit que le couple Rosier exerce sa passion depuis 2008. Elle, meilleure ouvrière de France ; lui, grand chef passionné. Ensemble, ils relèvent avec brio le pari de proposer une cuisine gastronomique qui plaît pour sa constance et sa simplicité. Une cuisine à quatre mains, harmonieuse, où chacun des chefs met en valeur les produits qui lui tiennent à cœur, en veillant à leur laisser leur plus belle expression. Bienvenue au restaurant Les Rosiers. Meilleure ouvrière de France Le choix de ces volets rouges n’est pas le fruit du hasard. Car, après un détour vers la maison familiale de la chef, on sait d’où vient l’idée. En réalité, tout cet amour qu’elle voue pour la cuisine, Andrée Rosier la doit à ses parents, notamment à sa mère qui se plait à travailler les produits du terroir pour concocter des plats typiques du Pays basque. Après avoir effectué une formation hôtelière à Biarritz, en 1994, elle fait ses débuts dans le milieu professionnel à titre de commis au sein de la Villa Eugénie de l’Hôtel du palais de Biarritz. Le destin a voulu qu’elle y rencontre l’homme qui deviendra son époux : Stéphane Rosier. Grâce à son talent, ce grand gaillard à lunettes séduit les plus grandes maisons, dont l’Hôtel du palais où il exerce en tant que 1er sous-chef de cuisine durant 4 ans. Il a également exercé dans le célèbre restaurant 2 étoiles La Chèvre d’or, à Eze. En 2007, c’est la consécration pour Andrée Rosier certes, mais aussi pour son époux qui n’a cessé de l’épauler. Elle est la première femme à obtenir le titre de meilleure ouvrière de France. Ce défi relevé, elle s’en fixe un nouveau : ouvrir son propre établissement. De là est né Les Rosiers. Quand la simplicité s’allie à la perfection Le couple Rosier concocte une cuisine gastronomique concrétisée dans le respect des traditions culinaires régionales et qui fait totalement honneur à sa distinction. Car n’oublions pas que, en 2009, l’établissement a reçu la prestigieuse étoile au Guide Michelin. Chaque matin, Andrée et Stéphane se rendent ensemble au marché pour trouver les produits qu’ils sublimeront le midi. Parmi les plats à ne manquer sous aucun prétexte : ce succulent crabe en fine gelée de crustacées, caramel de fenouil et pomme verte, que l’on sert en entrée. En plat principal : une belle assiette de filets de rougets cuits à l’unilatéral, daube de cochon et châtaigne en crépinette, frites de polenta, sauce vin rouge. En bouquet final : un moelleux au chocolat, glace crémeuse au gingembre, écume de lait à l’huile de cacahuète. Vos palais n’en reviendront pas. Le duo Rosier possède une technique et une maitrise imparables, qui lui permettent de mettre en valeur le produit brut, sans jamais le dénaturer. Toutes ces belles propositions culinaires sont rehaussées par une carte des vins éclectique, suggérée par le maitre d’hôtel, Pierre Ransinangue. ...