Au carrefour de la vertigineuse Montagne de Reims, du paysage vallonné de la Vallée de la Marne et de la Côte des Blancs, le domaine Guy Charbaut est une exploitation de 20 hectares située à Mareuil-sur-Ay à sept kilomètres d’Épernay. Soigneusement entretenu, son terroir est reconnu Viticulture durable en Champagne et bénéficie d’une certification haute valeur environnementale (HVE) niveau 3. Des champagnes sous le signe du partage Ce terroir champenois, offrant un prisme de saveurs, recèle en lui-même les meilleurs cépages de la région, dont le pinot noir, de fait très dominant, le pinot meunier et le chardonnay florissant sur ses falaises de craie. Entre cépages exclusifs et assemblages, l’exploitation s’enrichit d’une gamme de champagnes dont les raisins sont classés Premier Cru et Grand Cru, avec une production annuelle de 80 000 bouteilles. Attendant la saison des vendanges, la verdure luxuriante de la vigne est propice à un séjour œnotouristique, valorisant ainsi l’environnement et le terroir. Le domaine dépayse effectivement par tous ses attraits. Du mardi au samedi, les dîners d’hôtes gourmands sont servis dans dans un ancien cellier en craie du XIXe siècle, lustré par les reflets dorés des Champagnes longuement vieillis - en moyenne six ans - dégustés à cette occasion. L’ambiance est joviale et les leçons d’accords mets/vins ponctuent les discussions des convives venus cultiver leur palais. Les plats aussi sont de vrais délices, à base de champagne et de produits du terroir ; une cuisine empreinte de tradition familiale. Dans ces moments festifs, Xavier Charbaut dévoile quelques facettes sur ses joyaux comme la Cuvée Memory 2005 Brut Premier Cru ou encore le Blanc de Noirs 2010 Extra-brut Premier Cru. ...
Créé en décembre 2005, Quantum Genomics est une société de biotechnologie cotée en Bourse et 100 % française. L’entreprise se spécialise dans le développement de médicaments pour le traitement de l’hypertension artérielle résistante et l’insuffisance cardiaque. Deux maladies qui constituent les premières causes de mortalité dans le monde. L’enjeu est donc de taille puisque, aujourd’hui, 1 personne sur 3 est atteinte d’hypertension artérielle, tandis que 23 millions d’individus sont touchés chaque année d’insuffisance cardiaque. « 50 % des patients diagnostiqués insuffisants cardiaques décèdent dans les 5 ans », explique Anaïs Dulord, responsable de la communication. Sauver la vie de ces millions de personnes, telle est la vocation première de Quantum Genomics. Le firibastat, un médicament très prometteur Issu de 20 années de recherche, le firibastat est le tout premier médicament qui agit au niveau du cerveau afin de traiter l’insuffisance cardiaque et l’hypertension artérielle. « Nous sommes les seuls à avoir développé une nouvelle classe de molécule appelée BAPAI ou Brain Aminopeptidase A Inhibitor, un inhibiteur de l’aminopeptidase A. » Une fois absorbée, cette molécule libère le principe actif qui inhibe de manière sélective l’aminopeptidase A, empêchant ainsi la transformation de l’angiotensine II en angiotensine III. La normalisation de l’activité de l’aminopeptidase A va entrainer une normalisation de la pression artérielle et une amélioration de la fonction cardiaque. Une des innovations apportées par le BAPAI réside dans son triple mécanisme d’action permettant d’agir en monothérapie simultanément sur les reins, le cœur et les vaisseaux. Des études en cours Au niveau de l’hypertension artérielle, l’étude de phase IIb NEW-HOPE a été une réussite. En effet, les résultats obtenus ont été excellents en termes d’efficacité aussi bien qu’en termes de tolérance. Forte de ce succès, la société va maintenant initier une étude de phase III et prévoit le recrutement de 600 patients. En ce qui concerne l’insuffisance cardiaque, Quantum Genomics a débuté une étude de phase IIb appelée QUORUM et destinée à établir une véritable preuve de concept. ...
Créé vers la fin du XIXe siècle, Château Montana a fait l’objet d’une importante restructuration et a été rénové à partir de 1996. Aujourd’hui, la gestion de l’exploitation est assurée par Patrick Saurel. Une diversité de cépages Ce domaine familial travaille sur un vignoble d’une trentaine d’hectares en appellation village. « Nous avons des terroirs exceptionnels qui produisent des vins de qualité », fait savoir Patrick Saurel. Le vignoble repose sur des sols argilo-calcaires, très favorables à la culture de la vigne. Lors de la phase de restructuration, de nouveaux cépages ont été plantés et le domaine peut se targuer de bénéficier d’une belle diversité. Carignan, grenache (noir, blanc et gris), syrah, mourvèdre, merlot, cabernet sauvignon et marselan composent l’encépagement. « Notre objectif est d’apporter de la diversité aromatique dans nos cuvées », nous indique le vigneron. Respect de l’environnement Soucieux de préserver l’environnement, Château Montana est certifié HVE (haute valeur environnementale) de niveau 3. Désherbage mécanique, travail du sol, utilisation de matériels de traitement avec des panneaux récupérateurs sont autant d’efforts fournis afin de limiter le recours aux produits phytosanitaires. Côté vinification, la maison se démarque en faisant le choix de travailler uniquement le grain de raisin. Pour extraire un maximum d’arômes, une macération préfermentaire à froid est réalisée, grâce à des cuves cuve en inox thermorégulées. Les spécialités de la maison Château Montana élabore à la fois des vins doux naturels, des blancs, des rouges, mais aussi des rosés. En tout, le domaine produit 10 élégantes cuvées réparties entre 4 gammes. Parmi elles, deux cuvées se partagent le titre de « cuvée ambassadrice » : l’Astre Blanc et Silencio. La première a la particularité d’avoir subi une technique de vinification particulière qu’est le batonnage sur lies. « C’est une méthode typiquement bourguignonne, qui donne beaucoup de caractère et de complexité aux blancs », rapporte notre interlocuteur. Issu de vieilles vignes, ce 100 % grenache séduit justement par sa minéralité et sa complexité. Quant à la cuvée Silencio, celle-ci se distingue par ses notes de fruits rouges, de fruits cuits et de nuances vanillées. Elle est idéale pour accompagner viandes rouges, gibiers et fromages. ...
Des petits plats français sentant bon le terroir. Une ambiance bistrot insufflée du pur esprit loft. Des recettes magnifiant le frais, relevées de sauces étonnantes. Ces trois ingrédients font le succès du Moustache, le plus new-yorkais des bistrots parisiens, classé dans le top 100 de la capitale. Escapade savoureuse dans une déco surprenante Un jeu de miroirs et de skateboards tapisse le mur de cet espace juste suffisant pour accueillir 45 convives. Dans ce décor pop art, on se retrouve pour des moments intimes autour de petits plats légers et frais mais pleins de surprises. Le secret de la maison : des produits de saison sélectionnés chez les producteurs locaux. Le chef les inscrit dans une partition de saveurs célébrant les fastes de la bistronomie française, dispersant ici et là des notes asiatiques. Viandes marinées et Bo bun titillent alors le palais qui se laisse surprendre, au détour, par une sauce au tamarin, juste à tomber. ...
Michel Monbouché vient d’une lignée de vignerons, et a voulu étendre l’exploitation familiale en rachetant la propriété en 1989. Envoûté par le charme de ce domaine viticole, le couple a progressivement entrepris une restructuration du vignoble de façon à l’adapter aux exigences qualitatives recherchées. Aujourd’hui, le domaine travaille 60 hectares de vignes, soigneusement répartis sur des terroirs à dominance argileuse et argilo-calcaire. Comprendre et aimer le terroir Les vignes du domaine sont situées sur des terroirs très variés et confèrent ainsi une certaine typicité à chaque vin. « Des analyses de sols faites sur l’ensemble du vignoble bergeracois m’ont permis d’adapter les cépages aux différentes types de sols et d’ainsi tirer profit au mieux des caractéristiques de notre terroir », explique Michel Monbouché. Les cépages blancs à l’instar de sauvignon, sémillon, et muscadelle, prédominent le vignoble à 65 %. Les rouges sont issus des cépages merlot, cabernet franc et cabernet sauvignon. Le Château Ladesvignes applique les méthodes de l’agriculture raisonnée depuis plusieurs années. Certifié QUALENVI en 2011 et Haute Valeur Environnementale en 2013, le domaine mise sur une stratégie axée sur la préservation de l’environnement et la transparence des traitements des vignes. Toujours en quête de l’excellence, cette année le couple s’est engagé dans une démarche de reconversion pour obtenir le label Agriculture Biologique, « afin d’assurer la pérennité du sol et de la biodiversité ». Un engagement pris naturellement par ces amoureux de la terre et des vignes. Des vins haut de gamme Les vins AOC Bergerac se déclinent en blanc sec, en rosé et en rouge. Le côtes-de-bergerac rouge, un vin plus charpenté et de longue garde, ainsi que le côtes-de-bergerac moelleux 2016, un vin doux légèrement sucré, viennent compléter la liste. La cuvée emblématique reste sans conteste, le monbazillac Automne, plusieurs fois cité dans le guide Hachette des vins et récemment récompensée Médaille d’or au Concours général agricole de Paris 2017. «J’élabore ce vin uniquement les années où la nature nous permet d’avoir la pourriture noble bien sûr mais surtout le passerillage sur nos cépages sémillon et muscadelle, telles 2011 ou 2015 », dévoile notre interlocuteur. Il sera ensuite vinifié en barrique de 18 à 24 mois. Ce vin blanc liquoreux revêt une robe jaune or et enveloppe un arôme accentué de fruits confits. À la dégustation, il offre une attaque marquée et tout en finesse, avec une note de fraîcheur sensiblement sucrée. Idéal pour les amateurs de grands liquoreux. ...
C’est au bord du couloir rhodanien que le Beaujolais accueille les amoureux du bon vin, les férus d’histoire mais également les passionnés de la nature. Arpentez ainsi la fameuse route des vins pour découvrir les 12 appellations d’exception : les dix crus, les Beaujolais Villages et les Beaujolais issus du cépage Gamay, aux saveurs agrémentées de forêts aux cimes tutoyant le ciel, de villages en pierres dorées, de formations géologiques imposantes et inédites, de châteaux révélant tout leur mystère ainsi que de vallées envoûtantes bercées au rythme d’une nature généreuse. La nature dans toute sa splendeur D’est en ouest, du nord au sud, le Beaujolais vous réserve des surprises qui vous rempliront d’amour et d’admiration pour cette terre bénie. Le Sud, avec ses villages sertis de vignes, aux bâtisses faites de pierres dorées, vous offre un spectacle inoubliable illuminé par les rayons révélateurs du soleil. Les terres viticoles aux paysages vallonnés du Nord, riches de panoramas appelant à la détente, seront également l’occasion de s’adonner à la visite des domaines viticoles, aux promenades dans les vignobles, mais aussi à la dégustation des fameux vins du Beaujolais. Rejoignez maintenant l’Ouest boisé de Douglas, les plus hauts pins d’Europe, contrée propice aux balades et aux randonnées avec plusieurs pistes VTT, d’ultra-trail et de chemins de randonnée. Également appelé poumon vert d’Europe, ce Beaujolais vert est la promesse d’un dépaysement en communion avec mère nature. Découvrez, entre autres, sur votre chemin, 146 villages d’exception dont Oingt, classé plus beau village de France, des châteaux de la Renaissance, des églises romanes ainsi que de nombreux musées, à l’instar du musée Paul Dini dédié à l’art de la région Rhône-Alpes. Flânez également dans le centre-ville de Villefranche-sur-Saône, capitale historique du Beaujolais dotée de monuments historiques tels que Notre Dame des Marais, un fleuron du patrimoine beaujolais. ...
Lançon de Provence, la commune où s'étend le vignoble et l'oliveraie, située à quelques kilomètres de Salon-de-Provence et d'Aix en Provence. Cette exploitation, devenue l'un des porte-étendards du vin et de l'huile d'olive provençale, doit sa réussite à un travail de longue haleine et un savoir-faire qui se transmet de père en fils. La famille Cheylan a fait de la qualité, la différence et l'innovation, sa devise. Ce qui lui a valu des récompenses. Elle est primée au salon de l'Agriculture depuis 1996 pour son huile d'olive qui est la plus médaillée de France, et s'est distinguée par un prix d'excellence au concours français des œnologues pour ses vins. Une vinification associant modernité et tradition Robert et Noëlle Cheylan sont devenus propriétaires du Château Virant en 1974. Dès lors, ils ont entrepris une profonde remise en état des bâtiments et du vignoble, dans une optique d’amélioration qualitative du vin. La démarche pour obtenir ce précieux sésame est la lutte raisonnée, elle empêche l'utilisation maximale des produits chimiques. Ici, le processus de vinification allie à souhait modernité et tradition. La récolte des fruits bien que mécanisée se fait aussi à la main. Une fois les récoltes effectuées, elles sont acheminées en cave pour un pressurage direct en vue de l'obtention des vins blancs et rosés. Par contre les rouges ont besoin d'une période de cuvaison, qui est l'élément déclencheur de leur fermentation. Le jus obtenu après pressurage est retravaillé dans une cuve en inox ou en barriques de chêne pour être mieux élevé. Le domaine fait la différence prioritairement avec 12 types de vin et produit principalement du rosé. Le cœur de gamme est la cuvée Château Virant, à l'exemple du blanc qui est issu de l'assemblage des cépages nobles , à savoir le Chardonnay, le Sauvignon blanc et l’Ugni blanc. A l’œil ce vin est d'une robe claire et d'une minéralité particulière due à une touche d'agrumes et de fruits blancs. Le rosé de la même cuvée est essentiellement composé de Grenache et de Cabernet Sauvignon. D'un visuel clair, en bouche il est assez vif, équilibré et ponctué par des notes de fruits rouges. Ce vin est vivement conseillé pour des repas méditerranéens et des apéritifs. D'autres cuvées traduisent mieux l'identité du terroir et les vertus du climat de la région, en l'occurrence le rosé de la Cuvée Tradition. Plus haut de gamme, il est soutenu et à forte dominante de fruits rouges tels que les framboises et les cerises. Il s'accorde parfaitement avec des poissons grillés ou marinés. Des particularités qui pèsent leur poids Le vignoble et l'oliveraie sont implantés sur une zone géographique microclimatique aride et sèche où les surfaces des feuilles sont en permanence soumises à une forte canicule, aidant à l'épanouissement des cultures. Le terroir est bercé par un vent sec et froid, le Mistral, favorable à un bon état sanitaire des fruits. Le climat méditerranéen qui couvre la zone s'harmonise parfaitement avec la faible pluviométrie obligeant ainsi à des vendanges précoces, dès la première quinzaine du mois d'aout. Château Virant est aussi un domaine à explorer de fond en comble pour mieux connaître la culture de la vigne et de l’olive. Les tenanciers promeuvent l'oenotourisme à travers des visites guidées en groupe ou individuelles , l'organisation de réceptions, séminaires et réunions au sein même du domaine, mais aussi des instants ludiques à l’instar de l’invitation de "Mado la Niçoise" dans le courant de l'été. ...
L’accréditation, un gage de qualité donné aux clients des coachs professionnels Face à la prolifération des coachs en tous genres (en séduction, en immobilier, etc.) dont certains sont d’ailleurs de coach que le nom, il est parfois difficile de s’y retrouver… Pour pallier cet état de fait et permettre aux véritables coachs professionnels de se démarquer, l’EMCC France peut, sous conditions, leur attribuer une accréditation. Ce document apporte la preuve que celui qui s’en prévaut répond aux critères d’exigence et de qualité requis. Ce faisant, il garantit également à ses clients qu’un coach dispose d’un niveau de compétence élevé. Délivrée après un examen minutieux du dossier (quota d’heures de pratique à respecter, témoignages « clients » à fournir, etc.), cette accréditation résulte d’une démarche volontaire effectuée par un coach désireux de disposer d’une preuve reconnue de son sérieux et de son professionnalisme. Elle se superposera alors aux diplômes ou aux certifications déjà obtenus et valorisera l’expertise qu’il aura acquise dans le domaine - devenu très compétitif - du coaching. Valoriser le métier de coach professionnel Regroupant plus de 8 500 coachs, mentors et superviseurs répartis sur toute l’Europe, l’EMCC met tout en oeuvre pour valoriser le métier de coach et accompagner le développement de sa professionnalisation. Pour rejoindre cette organisation, un coach devra ainsi justifier d’une pratique effective et déontologique de son métier. Et par le biais des activités qu’elle organise tout au long de l’année (groupes de réflexion, d’échanges de pratiques, conférences, colloques, etc.), l’EMCC France contribue à partager les bonnes pratiques entre ses quelque 1 059 adhérents au 31 décembre 2017. Accompagner le changement Parce que le monde change, le coaching professionnel doit changer avec lui. Notamment en s’adaptant aux mutations que connaît actuellement le monde du travail (transformation digitale, essor de la mondialisation, etc.). C’est la raison pour laquelle le prochain colloque annuel de l’EMCC France a pour thème « la métamorphose ». S’articulant autour des transformations auxquelles nous sommes tous confrontés et des changements de postures que ces mutations impliquent, cet événement majeur du monde du coaching rassemblera plus de 1 000 personnes (dirigeants, DRH, mentors, coachs professionnels, consultants, formateurs…) sur deux jours. Des conférences s’y dérouleront, ponctuées d’ateliers expérientiels qui seront l’occasion, pour leurs participants, de mettre en pratique, de façon concrète, leur connaissance du coaching. ...
2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...
Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...
Se lancer dans le saut en parachute avec l’assurance d’un accompagnement personnalisé en toute sécurité, c’est l’opportunité offerte par VIP Parachutisme à travers ses différents coffrets. Bonus de l’enseigne : tout le monde est bienvenu, même au-delà de 100 kg (sauf contre-indication médicale). Vous révélez l’un des plus beaux trésors du monde : « VOLER » Grâce à son expérience de vingt années de pratique dans le monde du parachutisme, sans l’ombre d’une hésitation, il vous « embarquera » pour un moment de vie sans précédent. Philippe Malié, fondateur de VIP Parachutisme vous entraînera avec passion, entre Terre et Ciel dans son « Open Space » à 4000 m d’altitude pour Vivre Intensément et Passionnément le parachutisme. Un art de vivre qui conjugue désir de découverte, stimulation, challenge et dépassement de soi. Une alliance subtile d’énergie et de palpitations à vivre sans limites… Confiance en soi requinquée et lâcher prise assurée. À partir de 15 ans, de 45 à 110 kg (sauf contre-indication médicale), bénéficier des capacités d’écoute et d’expertise des moniteurs. ...
Cisbio est spécialisé dans les technologies, les produits et les services pour le diagnostic in vitro et la recherche dans les sciences du vivant. Elle propose de nombreux dosages pour le diagnostic de cancers, de maladies métaboliques ou auto-immunes. Dans le domaine de la recherche, elle a mis au point une méthode de détection par fluorescence en milieu homogène (HTRF) et a développé une offre d'essais et de services à destination des chercheurs impliqués dans la découverte de nouveaux médicaments. Sur la base de ce savoir-faire et de plus de 200 brevets déposés, Cisbio commercialise aujourd'hui plus de 500 essais et réactifs pour accélérer les projets de recherche de ses clients et partenaires. Un rôle important dans l’économie Cisbio emploie plus de 200 personnes, dont 40 chercheurs ayant une formation scientifique en chimie, en biologie cellulaire et moléculaire ou en biophysique. Basé à Codolet, dans le Gard, Cisbio possède des filiales à Boston, à Shanghai et à Tokyo et dispose d’un réseau de distributeurs qui commercialise ses produits dans le monde entier. Cisbio joue un rôle important dans l’économie de la région Occitanie, en créant de nombreux emplois et en ayant un rôle actif en matière de formation, ainsi qu'au travers de ses partenariats avec les instituts de recherche et les universités de Montpellier et de Marseille. 2016 : création de Ze Lab Dans le courant de l’année 2016, fort de son expérience et de ses compétences aussi bien scientifiques que commerciales, Cisbio a décidé de mettre en œuvre une nouvelle structure, Ze Lab, afin d’aider et d’accompagner des startups à se développer. Pour bénéficier de cet accompagnement, les candidats doivent déjà avoir testé et validé leur concept, établi un business model et être dans une phase de finalisation de recherche, d’industrialisation ou de commercialisation. Ils doivent travailler dans des domaines d’activités bien spécifiques tels que la recherche de thérapeutiques ciblant les maladies infectieuses, le diabète, l’oncologie ou les maladies rares. Cisbio souhaite que les startups rejoignant Ze Lab se concentrent sur leur cœur de métier dans les meilleures conditions possibles. Pour cela, elle va en particulier les accompagner au niveau de l’organisation de la structure, sur la mise en place d’un business plan, sur l’étude de marché ou sur la recherche de fonds. Ainsi, mettre en place une organisation de recherche et développement performante, définir une stratégie claire, développer et commercialiser les produits, structurer les équipes, rechercher et trouver des investisseurs sont au cœur du package proposé par Cisbio. Un écosystème déjà présent et un réseau international Certains critères sont déterminants pour la sélection de ces entreprises émergentes comme la qualité de l’équipe, une offre ayant une valeur ajoutée identifiable et une forte motivation. Quelques startups ont déjà déposé leur dossier pour rejoindre Ze Lab. Ils sont à l’étude auprès du comité de sélection de Cisbio. Les sociétés retenues pourront intégrer pendant 3 mois à 2 ans un espace mis à leur disposition avec bureaux, plateaux techniques et salles de réunion. Elles peuvent ainsi bénéficier de tout l’écosystème déjà présent sur place et, potentiellement, d’un réseau commercial international. ...
On le dit peu, mais l’Etat recrute encore ! « Et notamment des cadres, insiste François Chambon, directeur de l’Institut Régional d’Administration de Metz (IRA). Les administrations engagent des réformes, et justement, elles ont de plus en plus besoin d’attachés d’administration pour les piloter. » Pour préparer les futurs cadres de l’Etat à assumer leurs fonctions et leur mission de service public, il y a l’IRA. Soit cinq établissements en France, situés à Lille, Lyon, Nantes, Bastia… et Metz. L’établissement messin accueille des étudiants de la toute nouvelle région Grand Est, ainsi que d’Ile-de-France. Trois voies de recrutement existent. Le concours externe pour les étudiants d’un minimum de bac + 3 (même si la plupart sont dans les faits titulaires d’un Master 1 ou 2) attire chaque année environ 700 candidats qui passent les épreuves entre février et mai. Seuls 70 d’entre-eux sont admis. Le concours interne est accessible aux fonctionnaires qui ont au moins quatre ans de service public : une cinquantaine rejoignent l’IRA chaque année. Enfin, il y a le Troisième concours, ouvert aux salariés du privé ou à ceux qui ont exercé un mandat électif pendant au moins cinq ans : 7 à 8 personnes intègrent la promotion de l’IRA par ce biais.« Nous avons donc ainsi 130 personnes par promotion, avec des profils et des âges très variés, du jeune étudiant au quinquagénaire qui souhaite donner une nouvelle orientation à sa carrière ». La formation s’effectue ensuite durant une année… mais elle n’est pas seulement théorique. Quatre mois de stage sont obligatoires afin d’appliquer les compétences acquises. Cette année est rémunérée : les élèves externes bénéficient d’un traitement mensuel brut d’environ 1 590 €, les élèves interne ou issus du troisième concours touchent en moyenne à 1 770 €. Administration scolaire, centrale ou territoriale A l’issue de la formation, les élèves deviennent attachés d’administration. « Trois univers principaux s’ouvrent à eux, reprend François Chambon. L’administration scolaire et universitaire pour administrer le système éducatif français ; l’administration territoriale de l’Etat, c’est-à-dire les préfectures, sous-préfectures, directions régionales comme la Direccte ou la Dreal, où ils mettent en place les politiques publiques ; l’administration centrale, c’est-à-dire les services centraux à Paris, dans les différents ministères où ils participeront à des missions d’expertises, et à l’élaboration des projets de lois, de décrets, etc ». Les domaines d’intervention sont variés : ressources humaines, gestion budgétaire, juridique, management, etc. « A la sortie, chacun de nos élèves - sous réserve qu’il ait réussi sa formation – se voit proposer un poste par l’administration. Chaque années, les élèves ont eu des affectations essentiellement réparties entre le Grand Est et l’Ile-de-France.» Une formation à l’IRA permet aussi d’accéder à de plus hautes fonctions à terme : par la voie de la promotion interne et par concours, les attachés d’administration peuvent ensuite devenir directeur de préfecture, administrateur civil, sous-préfet, conseiller de tribunal administratif, conseiller de chambre régionale des comptes ... ...
Le Domaine des Maravilhas travaille à la fois les AOP Lirac (un cru des côtes-du-rhône), le Laudun (un côte-du-rhône villages) et le Châteauneuf-du-Pape. Il est planté sur un sol argilo-calcaire en côteaux, avec des galets roulés en surface, qui ont la propriété de restituer aux vignes la chaleur emmagasinée durant la journée. Une viticulture respectueuse de la Nature Avant d’être un mode de culture, la biodynamie est un état d’esprit, une philosophie auxquels Jean-Frédéric Bistagne, vigneron passionné, adhère pleinement. « Depuis toujours, j’ai eu envie de faire une viticulture biodynamique, respectueuse de la terre et de la vigne. Et j’ai eu la chance de reprendre un domaine qui l’était déjà depuis plus de vingt ans », confie-t-il. Ce type de viticulture n’est pas étranger à la vivacité et à la bonne potentialité de garde des vins produits au sein du domaine. En dehors des impératifs des appellations, « nous faisons le choix de minimiser le recours aux intrants et produits de défense pour la vigne et la cave, bien en-deçà des cahiers des charges de l'agriculture biologique », souligne Jean-Frédéric Bistagne. Pour lui, l’équilibre organique des sols et des vignes est primordial. C’est pourquoi les intrants sont bannis au profit des préparations biodynamiques de prêle, d’ortie, de valériane... Il joue sur l’interconnexion entre animaux, terre et plantes, et fait même appel à un troupeau de moutons pour brouter dans ses vignes. « Nous faisons en sorte que la vigne soit la plus équilibrée possible pour que, dans son environnement, elle soit capable de se défendre seule avec le moins d’intrants possible. » Des vins tout en élégance À partir des cépages historiques des côtes-du-rhône (grenache, syrah, mourvèdre, cinsault et bourboulenc, clairette), le Domaine des Maravilhas élabore des vins élégants. Quatre cuvées sont ainsi en AOP Laudun (Maestral blanc et rouge, Bessalena et Le Passage). Grâce aux contraintes de production, d'encépagement et de vinification, ces vins sont d'une qualité constante. Les arômes sont subtils et prononcés, et les tannins plus fins et profonds. Ceux qui cherchent un vin avec un meilleur potentiel de garde sont largement servis. Du côté des Lirac, six cuvées font honneur à l’appellation : La Pierre de Josette, Pradau blanc, rosé et rouge, Antécédence et Canto-Bruno. Mention particulière pour cette dernière qui montre la qualité exceptionnelle du mourvèdre sur ce terroir. Mais si une cuvée mérite tous les éloges, ne serait-ce que pour son côté atypique, c’est certainement l’Espirito en AOP Châteauneuf-du-Pape. En effet, cette appellation habituellement issue d'un assemblage à base de grenache, s’exprime à merveille avec la syrah. La cuvée Alice, une pépite de cinsault en Vin de France, révèle, quant à elle, l’aptitude de ce cépage à produire un vin léger, fruité et gourmand, lorsqu'on ne le fait pas surproduire. ...
Le Chant des Oliviers accueille ses convives dans un cadre décoré par le fameux Yannick Cinnelli. L’établissement de 52 couverts s’affiche ainsi dans un style baroque contemporain ; une véritable invitation à table. L’ambiance est à son apogée tous les premiers samedis du mois, quand le guitariste Willy éblouit les convives en interprétant le meilleur du répertoire musical français. Le fait maison à l’honneur « Cuisine du sud ou cuisine du soleil », un concept que le maître des lieux, Albert Eddassouki, se plaît à associer à la cuisine concoctée dans son restaurant. Les plats sont élaborés avec des produits frais, fournis et sélectionnés par des personnes de confiance, proches du propriétaire lui-même. « Aucun plat de l’industrie agroalimentaire ne sera servi dans votre assiette. Nous préparons tout nous-mêmes », lit-on sur la carte. Dans la gamme des entrées, notre attention se porte sur la salade de poulpe avec des oignons, un mets préparé avec des olives noires, de la coriandre ou encore des pommes Grammy Smith. Dans le registre des plats, le restaurant a bâti sa notoriété avec la noix de Saint-Jacques à l’orange purée. Un plat agrémenté d'un lot d’ingrédients de choix comme les épinards, les échalotes ou l’orange flambée au Grand Marnier avec de la purée de pommes Vitelotte à l’huile d’olive à la truffe. Pour le dessert, le Tiramisu Rose, une spécialité importée directement de Marrakech qui doit sa saveur aux biscuits de Reims roses, est une vraie invitation à la gourmandise. Une large sélection de vins Vins blancs, vins rosés, vins rouges… le restaurant Le Chant des Oliviers dispose d’un large choix cadrant parfaitement avec les saveurs de la cuisine du soleil. On note surtout certaines références, comme le bordeaux du Château Victoria, ainsi que le Saint-Joseph de la Vallée du Rhône. ...
Gérant de l’entreprise Stempfer Richard et fils, Yves Stempfer est viticulteur récoltant, c'est-à-dire qu’il ne vend que ce qu’il produit dans son exploitation viticole. D’ailleurs, depuis sa reprise du domaine, en 1999, la surface a doublé, atteignant désormais 8 hectares, tout comme la production, soit entre 40 000 et 50 000 bouteilles par an. Yves Stempfer a toujours un contact direct avec sa clientèle, et s’occupe de toutes les étapes du processus viticole, de la récolte des raisins à la mise en bouteille et l’étiquetage. Ce qui confère bien plus d’authenticité à son vin. Le sol granitique de Dambach minéralise le vin de Stempfer A Dambach, les sols sont granitiques, avec un granit rose à deux micas. Cette particularité géologique donne des vins très expressifs et très minéraux. Certains sont très parfumés mais tous sont élégants, aériens, droits et frais avec une acidité fine. Les nombreux minéraux solubilisés dans l’eau lors de la décomposition de la roche mère sont rendus accessibles pour la vigne et se retrouvent dans les vins en leur donnant un toucher de bouche cristallin, avec une belle salinité. Le climat alsacien se résume en automne à une alternance de journées chaudes et de nuits fraiches. Cette condition météorologique permet une maturation lente et prolongée des raisins. Ce qui favorise le développement d’arômes complexes et la préservation d’une acidité mûre procurant de la fraicheur aux vins. La vinification parcellaire : un gage de cohérence et d’authenticité Yves Stempfer pratique la vinification par parcelles. C'est-à-dire que les vins ne sont pas mélangés lors de la vinification. Ce qui permet d’extraire le terroir de chaque endroit à part. Et d’obtenir un assemblage cohérent, garantissant la complexité, l’expressivité et la régularité de la qualité des vins. En outre, L’avantage du vin alsacien est la grandeur de sa gamme. On trouvera toujours un plat pour bien l’accompagner, par exemple le Riesling ressort parfaitement sur du poisson ou des fruits de mer. Les autres vins proposés par Stempfer sont le Gewurztraminer, le Sylvaner et les Pinots, blanc, noir et gris. ...
Désireuse de préserver l´environnement et d´améliorer davantage la qualité des trois cépages cultivés, dont le pinot noir, le pinot Meunier et le chardonnay, la famille Lecomte a adopté la viticulture raisonnée. Et quand un tel terroir d´exception s´allie avec d´aussi rigoureuses méthodes, quand le savoir-faire se conjugue à la passion, les champagnes promettent saveur et raffinement. Les trésors phares de la maison En parfait écrin du champagne, la marque Lecomte Père et Fils produit quelque 70 000 bouteilles, classées en huit cuvées différentes chaque année. Parmi ses bijoux œnologiques se distinguent deux cuvées, devenues emblèmes de la maison, le Darling et le Brut Tradition. Le Darling, lui, se veut surprenant. Élaboré à 100 % avec du pinot Meunier, le Darling est une cuvée très fruitée, qui convient aux palais les plus exigeants. Harmonieux assemblage des trois cépages champenois que sont le pinot noir, le pinot Meunier et le chardonnay, et vieilli pendant trois ans dans les caves, le Brut Tradition est le champagne de tous les instants. Il peut être le roi de l´apéritif, mais il embellit également les repas, et particulièrement les viandes blanches et les poissons. De robe jaune or pâle avec une bouche révélant des arômes de fruits rouges, il accompagnera tout aussi parfaitement les desserts aux fruits rouges. Des instants « pétillants » au cœur des vignes Au sein de son domaine, la famille Lecomte ne se contente pas de produire des champagnes à faire pâlir d´envie les œnophiles. Elle a aussi ouvert les portes au public, offrant ainsi ce passionnant univers à ceux qui souhaitent le découvrir. Le domaine organise plusieurs journées portes ouvertes tout au long de l´année, au cours desquelles les gens peuvent se promener dans les vignes, découvrir l´histoire du village et du domaine, visiter la cave du champagne Lecomte ou même s’initier à la dégustation. Une balade en Cadillac au cœur des vignes et du vignoble y est aussi proposée. C´est la manière idéale d´admirer le paysage, d'apprendre davantage sur le vin et de se détendre, le tout en même temps. ...
Première information à retenir : le vignoble de Gaillac est le deuxième plus vieux vignoble de France. Les Romains ont choisi la région pour sa belle exposition au soleil et sa situation au croisement des influences méditerranéennes et océaniques, qui confère aux vins une belle concentration aromatique. L’héritage de la passion Lors de son rachat en 1997, le Domaine de la Chanade était tout juste un domaine fermier doté d’un petit caveau. Grâce à la passion de la viticulture qu’il a développée au contact de son grand-père, Christian Hollevoet va monter de toute pièce le domaine, et y mener une restructuration générale, depuis les vignes jusqu’à la cave. A son tour, il a transmis cette passion à son fils Julien qui, d’ores et déjà, commence à prendre les rênes du domaine. « La passion du vin m’a été transmise par mon père. J’ai commencé très tôt par des tâches au domaine, à apprendre petit à petit le métier, pour le suivre dans sa passion », raconte le viticulteur. Une équipe de choc « Le métier de vigneron est un métier vraiment rude, où il y a beaucoup de travail. Pour exercer cette profession, il faut avoir de la passion, du mordant. C’est aussi un métier très créatif et c’est ce qui m’a plu, il faut vraiment y croire » s’enflamme Julien Hollevoet à l’évocation de son métier. Aujourd’hui, ils sont quatre en tout et pour tout à s’occuper des quarante hectares de vignes du domaine. Damien Miralles, maître de chai, présent au sein de l’équipe depuis 2001, Jean-Luc Treilhes, le responsable de culture, dans le monde du vin depuis près d’une trentaine d’années et bien entendu Christian Hollevoet. Un contrat de confiance Au Domaine de la Chanade, une charte de travail rigoureuse est appliquée afin de produire dans le pur respect de l’homme et la nature : « Nous avons fait le choix de produire un vin naturel, c’est un contrat de confiance avec le client », explique Julien. « Nous travaillons comme les vignerons qui travaillent en agriculture biologique. Nous n’utilisons pas de pesticides et réalisons du travail mécanique. Même s’il faut faire des traitements à base de soufre et de cuivre, des doses très faibles sont utilisées » poursuit-il. Car n’oublions pas que le soufre est à l’origine de maux de tête s’il est dosé en trop grande quantité. Par ailleurs, aucune levure exogène n’est ajoutée pour la fermentation des vins, et spécifiquement pour les rouges, la mise en bouteille se fait sans filtration ni collage. La Griffe by Chanade Produire des vins simples à boire et surtout naturels, tel a toujours été le crédo du Domaine de la Chanade. La gamme de vins proposée par son équipe, dénommée « La Griffe by Chanade », suit bien évidemment cette ligne de conduite. Cette gamme est composée des trois cuvées suivantes : « Domaine de la Chanade » en blanc, blanc doux, rouge et rosé, les « Cuvées Galien » et la « Cuvée Ultime R&L ». Fleuron des vins du domaine, les « Cuvées Galien » déclinées en rouge et blanc AOC Gaillac, sont des vins élaborés de façon très méticuleuse. Ils sont issus de raisins de grande qualité, vinifiés avec les levures naturelles du fruit et finalement affinés en barriques de chêne français. Annuellement, le domaine produit en tout dans les environs de 120 000 bouteilles majoritairement vouées à l’exportation. Les vins du domaine peuvent notamment se trouver aux Etats-Unis, en Angleterre, en Belgique, en Grèce et même en Chine. ...
Aujourd’hui, nombre de consommateurs font attention à ce qu’ils mettent dans leur assiette. La volonté de manger des plats sains et légers, bénéfiques pour la santé, prend le dessus. Implanté à Névez, dans le Finistère, en Bretagne, le restaurant gastronomique Ar Men Du est conscient de cette nouvelle exigence. C’est pourquoi il propose une invitation tout à la fois à la gourmandise et aux menus bio : deux concepts qui se marient à merveille ! Un restaurant étoilé Michelin au cadre idyllique Pierre-Yves Roué, propriétaire des lieux, a su choisir un emplacement au cadre idyllique pour son restaurant. Le sens du service y trouve toute sa signification avec une équipe efficace et à l’écoute pour répondre au plus près aux demandes de la clientèle. Les prestations incluent également un service de petit déjeuner majoritairement fait maison, un luxe que les clients peuvent se permettre sur les lieux ! Dans un décor intimiste à l’ambiance élégante, le restaurant Ar Men Du offre une vue imprenable sur la mer. Au fil de leurs découvertes gastronomiques, les clients n’ont qu’une envie : celle d’y retourner pour retrouver des plaisirs gustatifs oubliés ou découvrir de nouvelles saveurs insoupçonnées, qui font rêver et voyager. L’esprit de famille à l’honneur, dans un tandem gagnant Dans les coulisses de l’Ar Men Du interviennent un talent culinaire : Jean-Marie Le Guen, ancien second de cuisine qui a pris la relève et remplace désormais son père Patrick Le Guen, une figure bien connue du carré des 3 toques Gault & Millau. Bien qu’il ait aujourd’hui laissé sa place à son fils, Patrick reste malgré tout présent en cuisine. Dans un bel esprit de famille, le duo travaille de concert pour proposer une cuisine raffinée, à la cuisson légère, où les légumes faits à la minute trouvent naturellement leur place. Ces ingrédients sont associés à la valeur sûre des produits de terre et de mer bretons, dans un concept résolument bio. Une pause gustative au cœur de la Bretagne Le chef s’est bâti une réputation dans l’art de préparer des plats aux saveurs authentiques et raffinées. Pour une halte gourmande au cœur de la Bretagne, l’Ar Men Du propose une carte riche en produits du terroir, fournis directement par des producteurs locaux. C’est aussi la garantie d’une qualité bio, exigée par le métier. Poitrine de porc aux ormeaux, turbot au jus de viande, tartares de bar de ligne et sashimis bretons font partie des plats signatures qui font la réputation de la maison, sans oublier le subtil ris de veau et le dessert d’agrumes raffiné. Une cave à vins d’exception Pierre-Yves Roué peut s’enorgueillir d’avoir réussi le défi de constituer une cave à vins particulièrement bien fournie, qui n’a rien à envier à celle d’autres établissements. En effet, le restaurant Ar Men Du est aujourd’hui en mesure de proposer une carte de près de 600 références, privilégiant deux régions phares réputées pour leurs vignobles, qui sont notamment les Pays de la Loire et la Bourgogne. La passion du métier aidant, toute l’équipe de l’Ar Men Du se fera un plaisir de servir des vins d’exception, qui accompagneront différents repas de famille ou de fête. ...
Des rues pittoresques, des bâtiments médiévaux, mais aussi une salle de théâtre, autant d’atours qui symbolisent aujourd’hui Pézenas. Cette salle de théâtre a été créée au XIXème siècle et a rouvert ses portes en 2012 après plusieurs rénovations. C’est dans cette salle de théâtre que l’académicien Marcel Pagnol avait alors déclaré « Si Jean-Baptiste Poquelin est né à Paris, Molière est né à Pézenas ! ». Aux origines de Molière, le plus grand dramaturge français Grand représentant de la culture française, Molière est connu pour son aisance dans la critique de la société. Né en 1622 à Paris, Jean-Baptiste Poquelin ou Molière est un comédien et un auteur de pièces de théâtre prolifique aussi emblématiques que L’Avare, le Bourgeois Gentilhomme ou encore Les Fourberies de Scapin. N’ayant pas voulu suivre les traces de son père qui était un fortuné tapissier, il a souhaité faire carrière dans le monde du théâtre. Il monte alors sa propre troupe nommée l’Illustre Théâtre. Avec une grande détermination, il fait le tour de la France pendant douze ans avec sa troupe et revient à Paris avec une pièce de théâtre qui a su charmer le roi Louis XIV. A sa mort, le roi lui dédie d’ailleurs la création de la Comédie française qui regroupe les troupes de théâtre de l’époque dont l’Illustre Théâtre. En 1653, Molière fait l’une des plus grandes rencontres de sa vie à Pézenas. C’est en effet dans cette ville qu’il rencontre le Prince de Conti à l’occasion des Etats Généraux du Languedoc. Il y retournera souvent avec sa troupe et ce sera dans cette ville que naîtront ses personnages les plus emblématiques. Molière s’illustrera également par ses diatribes humoristiques sur les conflits de pouvoir. On retiendra ainsi Tartuffe, une pièce révoltante qui révèle les mensonges de certains religieux. Ou encore Le Misanthrope, où Molière se moque des personnes fortunées et de leurs manières. Molière meurt quelques jours après s’être produit sur scène à 51 ans, en interprétant la pièce Le Malade Imaginaire. Pézenas, une ville authentique à découvrir Situé dans le département de l’Hérault, en région Occitanie, Pézénas est une ville dont les origines remontent au VIIè siècle avant notre ère. Située à 20 kilomètres de la mer Méditerranée, elle regorge d’incroyables trésors architecturaux avec plus d’une trentaine d’immeubles inscrits ou classés aux Monuments Historiques. On y retrouve notamment la Chapelle des Pénitents noirs, bâtie à la fin du XVIème siècle. Chapelle qui fut rénovée et transformée en salle de théâtre au XIXème siècle. Ou encore la chapelle du couvent des Ursulines qui contient des mobiliers éminents, ainsi que la collégiale Saint-Jean. Dans cette collégiale, on retrouve ainsi des orgues datant du XVIIème siècle mais aussi de nombreux objets sacrés. Le musée de Vulliod Saint-Germain renferme des souvenirs précieux, dont le fauteuil de Molière. C’est dans ce fauteuil, qui appartenait à son ami le barbier Gély, qu’il cherchait l’inspiration pour les caractères des personnages dans ses comédies. Le musée possède aussi un médaillon décrivant Molière en Saint Jean-Baptiste avec un exemplaire du « Don Juan » à la main. Hormis cela, on y trouve de merveilleuses tapisseries, des œuvres d’art et une collection de faïences. Les différents événements à ne pas rater Aujourd’hui, Molière vit toujours dans le cœur des Piscénois et différents évènements sont créés au nom de cet auteur. La ville de Pézenas organise chaque année en juin un festival nommé Molière, le théâtre dans tous ses éclats. Pour rendre hommage à L’Illustre Théâtre qui s’est produit deva...
Marie-Line et Michel Roche, les propriétaires commencent à faire des travaux à partir de 1988 pour construire un petit restaurant, puis une partie hôtellerie en 2002. Pour optimiser l’ambiance et le charme du lieu, ils aménagent l’extérieur d’un jardin personnalisé et mettent aussi sur pied une jolie terrasse ombragée. Les clients de l’Auberge y viennent pour « passer un bon moment et se reposer en même temps. », d'après Michel Roche. Aujourd'hui, l'établissement compte 60 places assises, 11 chambres et 4 suites. Une ambiance douce L’Auberge Bienvenue porte bien son nom. Son magnifique jardin fleuri et verdoyant reflète d’ores et déjà son accueil chaleureux. Ses murs extérieurs de couleur naturelle et les auvents roses présagent une ambiance conviviale, où il fait bon vivre. L’intérieur n’en est pas moins coquet et chic. Des belles arcades surplombent la salle, le bois modernisé apporte élégance et raffinement. Les chambres, quant à elles, sont décorées avec goût, bien spacieuses et confortables. Une cuisine originale Au piano : Michel Roche se plaît à revisiter les recettes traditionnelles pour en faire ressortir des plats savoureux. Il ne cuisine que des produits frais, en grande partie issus du terroir. Ses sauces, dont il est le seul à connaître le secret, relèvent le goût de ses assiettes, ce qui lui vaut d’ailleurs d’être primé par plusieurs guides culinaires, tels que Logis, le Guide Michelin, le Bottin Gourmand et le Gault et Millau. Les menus sont tous attirants, l’entrée la plus prisée est la demi-mangue rôtie et son escalope de foie gras poêlée. En résistance, le filet de sandre rôti au four avec sa sauce rehaussée de vin savennières crée une explosion de saveurs qui séduit tous les palais. Pour finir en beauté, le parfait glacé au Cointreau et ses zestes d’orange confits est un incontournable « que l’on a régulièrement à la carte, ce dessert est très sollicité», souligne le maître des lieux. Une carte de vins élaborée au rythme des saisons vient valoriser chaque plat. En été, les vins du Val de Loire sont mis à l’honneur, tandis qu’en hiver, les Bordeaux et Bourgognes prennent le relais. « Il y a de quoi satisfaire les clients, autochtones comme plaisanciers », conclut notre interlocuteur. ...
Créée en 1962 par Serge Copin, l’exploitation familiale est reprise en 1992 par sa fille aînée, Jocelyne, et son époux, Jean-Marc Legouge. De là naît Champagne Legouge-Copin, situé sur les coteaux sud de la vallée de la Marne, à 20 km d’Épernay. Entre tradition et innovation, le domaine prône l’authenticité et la qualité de ses cuvées, qui promettent une expérience gustative hors du commun. Une perle de la vallée de la Marne Créatrice de style et d’émotions, la maison Legouge-Copin sait flatter les papilles des amoureux de champagne. En grands passionnés, Jean-Marc et Jocelyne s’attachent aux valeurs de convivialité, de simplicité et d’authenticité, qui rythment leurs activités, de la vigne aux vins. Le vignoble, situé à Vandières, s’étend sur cinq hectares et comprend les trois cépages champenois, à savoir 75 % de Pinot Meunier, 20 % de Pinot Noir et 5 % de Chardonnay. Dans une volonté de préserver la qualité et la typicité de leur terroir, ainsi que l’environnement et la biodiversité, les propriétaires ont opté pour une viticulture raisonnée. « Nous utilisons le moins possible de désherbants. Nous labourons nos parcelles de vignes et dans les coteaux, nous privilégions l’enherbement », confie Jocelyne. Le Rosé de saignée, un champagne d’exception La maison travaille en collaboration avec un groupement de vignerons pour la vinification et l’élaboration des bouteilles. Les sept cuvées ont été créées avec patience et savoir-faire, pour qu’elles puissent révéler leur propre personnalité et une qualité régulière. Parmi ces bijoux qui font la fierté de l’entreprise s’inscrit le Rosé de saignée Brut. Dans le respect de la tradition ancestrale, les raisins sont macérés dans leur jus durant environ une dizaine d’heures, jusqu’à obtenir une coloration naturelle et libérer une myriade d’arômes riches et puissants. Autre incontournable : le Brut millésime 2011 Inspirations, « un nom pour exprimer la passion qui lie le vigneron et l’amateur, à travers les créations et les sensations ». Ce champagne, synonyme de puissance et de maturité, assure une belle expérience sensorielle. Un 100 % Chardonnay, la cuvée À fleur de Note millésime 2008, quant à elle, est l’un des fleurons de la gamme. Ce champagne alliant délicatesse et musicalité aromatique offre un nez plein et gourmand, une bouche riche et charnue, le tout sublimé par des bulles fines garantes de fraîcheur. ...
À travers une belle association de tradition et de saveurs, le Restaurant Chez Féraud (puisque c’est de lui qu’il s’agit), propose une cuisine gourmande et généreuse où la fraîcheur et l’authenticité de la Provence se conjuguent au présent jusque dans les assiettes. Un emplacement privilégié Reliant la rue Granet à la rue Loubon, la rue du Puits-Juif, où l’établissement est implanté, se trouve dans un quartier historique, ce qui fait tout son charme et sa particularité. Ce privilège constitue pour l’enseigne un atout majeur qui joue en faveur du lieu et qui fait qu’il soit particulièrement apprécié des clients. Dans une ambiance simple et bon enfant, le restaurant surprend autant qu’il séduit avec son décor intemporel, et avec juste ce qu’il faut comme dose d’audace et de curiosité. Grâce à une belle devanture joliment couverte de lierre, il est non seulement un véritable plaisir pour les yeux, mais aussi une excellente adresse, où la gourmandise et la découverte sont en parfaite harmonie. Une délicieuse cuisine aux accents de Provence Chez Féraud, c’est aussi l’histoire d’une famille de cuisiniers à l’ancienne dont le goût pour les recettes familiales s’est jalousement transmis de père en fils. C’est ainsi que derrière les fourneaux de cette belle adresse, mijotent en permanence de bons plats traditionnels aux accents du Sud pour ne citer que la soupe au pistou, la dorade royale à la provençale et les clémentines semi-confites avec, à côté, la daube et les pieds paquets marseillais ou encore les figues rôties au miel et au caramel. Un parfait accord mets-vins qui met à l’honneur des valeurs sûres comme les coteaux d'aix-en-provence et vient sublimer le tout, constituant une véritable surprise pour les papilles. ...
Perpétué par des artisans de Langres venus s’installer à Nogent entre le 17e et le 18e siècle, le savoir-faire coutelier de la Haute-Marne a son musée dédié depuis 1991. La noblesse des matériaux, comme la diversité des objets réalisés, constitue la marque de fabrique de la coutellerie de Nogent. Couteaux, limes, etc. Place Charles de Gaulle, le musée abrite une collection rassemblant tout le patrimoine coutelier nogentais. Celui-ci se caractérise par une remarquable diversité quant aux savoir-faire et aux matériaux exploités. Proposées dans un cadre moderne, avec sonorisation, les expositions permanentes révèlent des répertoires recouvrant des usages très variés. Ici, le bois précieux, l’écaille ou la nacre rehaussent le manche des couteaux de table et autres couteaux fermants. Ailleurs, les métiers – boucherie, charcuterie – se révèlent dans la singularité des couteaux qui leur sont dédiés. Les pendules sont vite remises à l’heure quand se déploient les pièces chirurgicales telles que burins, gouges, pinces et bistouris. La coutellerie d’origine a effectivement ouvert la porte à de nouvelles applications contemporaines autour du métal. Les outillages (enclumes, marteaux, martinets, matrices…), ainsi que les instruments de toilette comme le cure-oreille ou la pince à ongles trouvent alors naturellement leur place. Des expositions temporaires à thème La vie du musée est aussi ponctuée par les expositions temporaires qu’il organise, à l’instar des « outils de jardin », au programme des saisons 2017 et 2018. Cette institution met l'accent sur le savoir-faire sans second développé par les couteliers du bassin nogentais dans la fabrique d’outillages à main, dont les outils de jardins font partie. Les actes quotidiens de l’horticulture sont à l’honneur à travers les catégories d’outils déclinés, à savoir la coupe, la greffe et le multifonctionnel. ...