Paléo Toi-même propose une solution unique et originale : des en-cas sains, gourmands et nutritifs. Si à l’origine le concept était destiné aux femmes actives, reines du grignotage mais qui tiennent à leur ligne, ces petites gourmandises à forte teneur en nutriments et en bonne graisse conviennent tout aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Un concept novateur Partant du principe que les oléagineux et les fruits séchés recèlent de trésors pour la santé, Pascal Baup, le fondateur de Paléo Toi-même a saisi cette opportunité pour en faire un concept novateur : des en-cas anti-grignotage car selon lui, « s’il faut grignoter en cas de petits creux, autant le faire intelligemment ». C’est ainsi qu’il se lance dans cette aventure, épaulé par Laurence Salomon, chef culinaire et naturopathe de profession qui lui fait part de ses précieux conseils pour assortir les produits de façon à optimiser les apports nutritifs et informer sur leurs vertus à travers des fiches nutritionnelles. Forte de ses 13 ans d’expérience au sein de son restaurant Nature & Saveur à Annecy, elle propose aussi des idées recettes à base de leurs produits. Des produits gourmands et pleins de ressources empreints d’un retour à la vie saine A l’image des snacks, barres de céréales et autres gâteaux préparés, ce ne sont pas les propositions qui manquent sur le marché. Pourtant, c’est Paléo Toi-même qui a pensé à allier gourmandise, santé et bien-être. Avec sa large gamme d'en-cas gastronomiques à base de fruits séchés et d’oléagineux, de chocolat cru, de baies, de muesli… les plaisirs sont variés et tout le monde y trouve facilement son bonheur. Les produits sont issus de la culture biologique, non transformés, exempts de conservateurs, pesticides, herbicides et autres perturbateurs endocriniens à effets délétères sur la santé. De plus, ils sont vegan et sans lactose avec des valeurs nutritives intenses qui ne sont plus à vanter. Contrairement aux goûters industriels, les offres de Paléo Toi-même sont dépourvues de sucres rapides, facteurs de prise de poids et de maladies. « On a l’offre la plus diversifiée » souligne Pascal Baup. Plus de 100 choix sont proposés. Ils sont disponibles sur la boutique en ligne et sur abonnement avec des box personnalisables au gré de toutes les envies car « les goûts des uns et des autres doivent être pris en compte », se plaît à dire notre interlocuteur. Impossible de les citer tous, mais à titre d’exemples, des produits atypiques comme les figues zagros bio, le Fenelar offrent des expériences gustatives à part. Des fruits séchés bio comme les bananes, litchis, fraises, des baies de goji qualifiées de super-aliment grâce à leur forte teneur en fibre et en nutriments ravissent également les épicuriens. Les Blissballs, fibreux et à effet coupe-faim, composés de canneberges, dattes, amandes crues, noix de cajou crues, raisins sultanine, noix de coco, baies d'acaï sont très plébiscités. Leurs apports combinés font de ce produit une collation idéale pour les enfants en pleine croissance. Paléo Toi-même propose aussi des coffrets de poche pratiques et non encombrants. Des petites boites réalisées avec du fer blanc et barquette en APET, des matériaux fiables qui se glissent facilement dans tous les sacs à main et les cartables, pour transporter ces collations d’exception. ...
De Nice à Marseille, en passant par Perpignan, les oliveraies françaises du Midi, destinées à la production d’huiles recouvrent un petit terroir de 13 départements sur l’arc méditerranéen. Cette limitation territoriale est toutefois compensée par la riche variété d’espèces qui y croissent. On en dénombre plus d’une centaine. Un petit terroir riche en contrastes Les oliviers français, et partant les huiles que l’on en extrait, ont du caractère. Et pour cause ! Les régions de production abritent une centaine de variétés endémiques à l’Hexagone. La tanche, la grossane, la picholine, la salonenque, pour n’en citer que quelques-unes. Certaines de ces variétés ne se rencontrent même qu’à l’échelle de quelques communes. Autre trait distinctif du terroir français, l’importante « sentimentalité autour de l’olivier » pour reprendre les propos d’Alexandra Paris. Les oliviers sont entretenus par des agriculteurs mais aussi par des « oléiculteurs familiaux » dont certains cultivent jusqu’à 300 pieds, juste par passion. La non-homogénéité des bassins oléicoles rajoute aux contrastes qui font les traits du terroir national. Les huit appellations d’origine figurant au répertoire français illustrent cette diversité. Celle-ci se retrouve tant dans les variétés plantées que dans les pratiques de culture. Et c’est dans cette diversité que l’huile d’olive française puise sa fierté. Entre les huiles variétales et les AOP, les spécificités aromatiques des huiles du terroir font l’objet d’une attention soutenue. Mission que s’attachent notamment à faire découvrir aux gourmands comme aux curieux des organismes comme l’Afidol, l’association des professionnels de l’olive en France. Petite échelle de production, grande typicité aromatique La France se distingue par sa production confidentielle qui est annuellement d'environ 5 000 tonnes d’huile d’olive. La consommation à l’échelle nationale avoisine pourtant les 105 000 tonnes. Cette rareté à la source n’altère pas moins la qualité du bien. Loin de là : les variétés concourent à créer une multitude d’arômes et de goûts, caractéristiques protégées par des appellations d’origine, pour certaines huiles. L’huile d’olive de Nice, par exemple, se distingue par ses notes marquées d’amande. Ou encore celle de la Vallée des Baux-de-Provence où dominent l'artichaut et les notes poivrées... Pour s’y retrouver dans cette large typicité aromatique, les professionnels classent les huiles d’olive françaises en trois familles de goût (subtil, intense, à l'ancienne). Dans chacune d’elles, les déclinaisons sont encore multiples dans les odeurs évoquées comme dans le comportement en bouche du produit. Chacune de ces huiles ayant une affinité particulière avec un plat donné, qu’il soit chaud ou froid, le répertoire de produits laisse finalement place à une immensité de possibles. Pour en savoir plus : huiles-et-olives.fr. ...
Fidèles à la tradition de fabrication de la moutarde de Meaux® Pommery® débutant au XVIIe siècle, Les Assaisonnements Briards défendent l’authentique au sein d’une structure volontairement maintenue familiale. L’envergure du fabricant n’empêche pas ses moutardes et vinaigres de s’arracher les votes des épicuriens du monde entier. Loin de là… Une longue tradition dans le brassage des moutardes Historiquement, Les Vinaigreries du Lion appartenaient autrefois à la même famille qui fabrique aujourd’hui la tant convoitée moutarde. Ils fournissaient en vinaigre le fabricant de la fameuse moutarde de Meaux® Pommery® depuis 1865. De par la supériorité de la qualité du vinaigre, le meunier de la moutarde de Meaux® Pommery® transmit à cette même famille les secrets de fabrication de cette célèbre moutarde. Depuis, cette haute référence culinaire héritée des chanoines n'a pas été entamée et reste très prisée des épicuriens. Servie autrefois à la table des Rois, elle se retrouve aujourd’hui dans les plus grands palaces et tables de restaurants étoilés. Près de 4 siècles plus tard, les produits se déclinent dans des packagings plus modernes et de taille plus réduite s'adaptant ainsi au mode de consommation actuel. Garants d’un voyage sans heurt sous toutes les latitudes, ces derniers sont toujours conditionnés dans des écrins en grès permettant de les protéger contre les UV et les chocs de température. Les versions gustatives, elles, se font plus osées, étonnantes, à l’instar de la moutarde au miel Pommery®, best-seller de la maison. Le fabricant la recommande par exemple pour rehausser les viandes telles que l’agneau, le veau, boeuf et bien d’autres préparations culinaires… Infiniment vinaigre Les Assaisonnements Briards n’ont pas, pour autant, abandonné la filière vinaigre. La maison a développé toute une gamme de vinaigres d’alcool et de vin, aromatisés par macération naturelle de fruits et d’aromates depuis un siècle et demi. On y retrouve dans des contenants en grès ou en verre, des saveurs comme le vinaigre d’alcool aux framboises, citron vert, fruit de la passion ou encore le vinaigre de vin aux herbes de Provence, estragon, etc. ...
Faire en sorte que ses clients (re)deviennent pilotes de leurs vies Si certains rêvent leur vie, d’autres, en revanche, la subissent… À ces derniers, Isabelle Bouvier propose de reprendre le contrôle de leur existence. « Quand je coache un client » précise-t-elle, « je mets tout en oeuvre pour qu’il ose débrancher le pilotage automatique, repasse en mode ‘’conduite’’ et reprenne les commandes. En le reconnectant avec son « GPS intérieur » ®, je lui donne les moyens de retrouver son autonomie, d’exprimer qui il est vraiment et de donner le meilleur de lui-même ». De son propre aveu, il arrive pourtant que les demandes formulées ne soient pas très claires. « Mes clients se présentent parfois devant moi avec des symptômes, sans questions précises » explique Isabelle. « Ensemble, nous allons alors analyser la situation de départ afin d’identifier leur problématique, de déterminer la destination qu’ils souhaitent atteindre, d’étudier le meilleur moyen de s’y rendre et de définir des indicateurs de réussite. Car si l’on se fixe pour objectif d’aller en Corse mais que l’on atterrit en Sardaigne, d’aucuns s’en contenteraient, bien sûr. Sauf que la destination finale n’aura pas été atteinte. Définir des indicateurs de réussite permet alors de savoir que l’on est pas arrivé(e) à bon port. Et qu’il faut aller encore plus loin ». Douce et ferme à la fois Dans le cadre de son activité de coach professionnelle, Isabelle allie la douceur à la fermeté. « J’aime à me comparer à l’épicéa, cet arbre dont le bois, à la fois souple et résistant, sert à confectionner des violons. » Car tout en se mettant au service de ses clients, cette coach n’hésite pas, si le besoin s’en fait ressentir, à leur faire quitter leur zone de confort. « Je les fais se sentir suffisamment en sécurité pour qu’ils osent sortir des sentiers battus et explorent leurs failles ». L’idée n’est donc pas tant de transporter le coaché d’un point A à un point B, mais bien qu’il se réapproprie en conscience et en confiance son avenir et (re)devienne pilote de sa vie. « Selon moi, un coach est un copilote, un compagnon de route. Son rôle consiste à faire en sorte que son client développe son potentiel, explore - en toute sécurité - de nouveaux horizons pour qu’il vive sa vie et arrête de la subir. En cohérence avec soi-même Si beaucoup de ses clients consultent Isabelle Bouvier suite à un bouleversement, qu’ils l’aient choisi (une reconversion professionnelle, par exemple) ou, au contraire, subi (transformation de leur entreprise, licenciement…), une proportion croissante de la demande s’articule désormais autour du besoin de s’accomplir. « De plus en plus de personnes sollicitent mon expertise pour que je les aide à être en cohérence avec elles-mêmes, à s’aligner. Dans leur vie, tout va bien mais pour une raison indéfinissable, elles ont le sentiment que ça pourrait aller mieux. Sans avoir aucune idée de la façon d’y parvenir… Mon travail de coach consiste alors à les reconnecter à leurs rêves afin de les concrétiser... Progressivement, au fil des séances, mes clients vont alors se retrouver, (re)découvrir leur liberté d’action, se réinventer, se redéfinir ». ...
Le Psychotraumatisme, une blessure psychique inscrite dans le corps Suite à un événement traumatisant, le stress peut entraîner plusieurs symptômes : insomnies, dépression, angoisses et phobies, dépendances, maux de tête et douleurs résistantes aux traitements. La réaction traumatique s’inscrit alors dans le corps, à l’insu du patient qui ne peut la verbaliser. Ce processus morbide est la « Dissociation », notion élaborée par le grand psychologue français Pierre Janet [1859-1947]. La Dissociation fragmente la personnalité en plusieurs parties qui contiennent les mémoires résiduelles « gelées » des traumatismes, sous forme d’émotions, de sensations physiques, de perturbations sensorielles, de feed-backs et de comportements bloqués dans le passé. L’enjeu, pour le thérapeute, est de reconstituer l’unité de la personnalité en libérant le patient de ces mémoires dysfonctionnelles pour le ramener « au présent ». Première phase : surmonter l’évitement des souvenirs traumatiques. « Pour continuer à vivre normalement », précise Françoise Pasqualin, « la victime met en place toute une stratégie d’évitement de tous les déclencheurs susceptibles de réactiver ses angoisses. Mais cet état d’alerte permanent épuise le patient. Plus le trauma est violent, plus la Dissociation sera marquée. C’est pourquoi, dans leurs consultations à Strasbourg* et Paris**, Françoise Pasqualin et Bernard Mayer ont à cœur de valoriser le modèle dissociatif élaboré par Janet, reconnu depuis – en particulier aux USA – comme le fondateur de la psychotraumatologie moderne. * Cabinet F. Pasqualin, 1 place de l’homme de Fer 67000 Strasbourg Tel : +33 (0)3.22.50.40.47 / mail : ietsp.pasqualin@gmail.com ** Cabinet B. Mayer, 41 rue Boissière 75116 Paris Tél : +33 (0)1.44.05.05.90 / mail : mayerbernard@free.fr Redonner à Pierre Janet la place qu’il mérite « Dans nos cabinets respectifs » évoque Françoise Pasqualin, « nous nous sommes aperçus, avec Bernard Mayer, que les techniques que l’on nous avait enseignées ne permettaient pas d’obtenir les meilleurs résultats thérapeutiques, notamment parce que les symptômes prennent leurs sources dans des zones du cerveau difficiles à atteindre par les thérapies purement verbales. Nous avons souhaité, Bernard et moi-même, chercher des réponses thérapeutiques plus larges pour répondre aux symptomatologies complexes et résistantes de nos patients. Or, les conclusions auxquelles nous avons abouties nous ramenaient aux travaux étonnamment modernes et riches sur le plan théorique et du traitement du psychotraumatisme de Pierre Janet. Contrairement à Freud qui a réduit le traumatisme au trauma « imaginaire » ou phantasme, Janet s’est concentré sur le trauma « réel ». Relativement peu connu en France, Pierre Janet est pourtant une figure majeure du psycho-traumatisme Outre-Atlantique. « C’est pour rendre hommage à ses travaux et lui redonner la place qu’il mérite que nous avons créé l’Association Française Pierre Janet » (AFPJ, à visiter sur pierre-janet.org) précise Françoise Pasqualin. Une association aussi jeune que dynamique, où ressources documentaires et vidéos permettent d’en savoir plus sur Janet, son œuvre, et – surtout – la riche actualité de ses travaux pour la clinique contemporaine. Les formations de l’IETSP s’adressent aux professionnels de la santé français en leur proposant des approches thérapeutiques novatrices et pertinentes, dans le traitement des psychopathologies dont celles en rapport avec les troubles post traumatiques. Une approche concrète, pragmatique et tournée vers l’efficacité Car depuis sa création en 2007 par Françoise Pasqualin et Bernard Mayer, l’IETSP forme en France de nombreux professionnels de la santé. Ces praticiens pourtant déjà expérimentés viennent y actualiser leurs connaissances pour répondre à des demandes de traitement sur des psychopathologies résistantes et en partic...
La supervision, garantie d’un coaching de qualité Si la formation que reçoit un coach professionnel est importante, la supervision dont il fera l’objet tout au long de sa carrière l’est tout autant. « L’idée, c’est de favoriser un travail sur soi mais aussi en soi du professionnel (coach, formateur, consultant, éducateur, etc.) qui accompagne son client » explique Martine Volle, fondatrice de Present Consulting, sa société qui propose, depuis plus de 20 ans, des prestations de coaching et de supervision. « Par le biais d’un dialogue réflexif mais aussi d’un apprentissage collaboratif, la supervision permet ainsi de réfléchir sur soi-même et de prendre du recul, tout en restant dans un cadre professionnel ». Car pour être en mesure de dispenser un accompagnement efficace, un coach doit pouvoir évoquer, lors de ses séances de supervision, les éventuelles difficultés qu’il rencontre. Il doit également s’efforcer d’analyser son ressenti et de questionner son geste professionnel. « Dans le cadre de mon activité de supervision » précise Martine Volle, « j’interviens à différents stades. Au niveau du geste professionnel de l’accompagnant, c’est à dire de sa façon de faire, qu’il s’agisse des outils qu’il utilise, des compétences qu’il met en oeuvre ou encore des règles éthiques qu’il doit respecter. Mais j’aide également l’accompagnant à être en parité tout en gardant une juste distance avec son client, à ne pas trop s’impliquer et garder conscience des risques de ‘’transferts’’, de projections ou de reflets sur lui. Un coach n’est pas une machine mais un être d’émotions. Et s’il se fait happer par la situation de son client, un coach risquera de perdre son discernement. Et son accompagnement perdra en efficacité… ». En veillant sur la sécurité morale de l’accompagnant et en vérifiant que son geste est correctement effectué, le superviseur s’assure donc que le coach est toujours apte à accompagner ses clients. De plus en plus d’accompagnants veulent se former à la supervision Conscients du rôle capital que joue la supervision dans tout processus d’accompagnement, un nombre croissant de professionnels franchissent désormais la porte de l’école IDSUP, l'Institut du Développement de la Supervision que Martine Volle a ouverte, il y a quatre ans de cela. « Les motivations des accompagnants qui décident de suivre la formation que je propose sont diverses » explique Martine Volle. « Certains jouissent d’une certaine séniorité dans leur métier et sont régulièrement sollicités pour du mentoring. Ils décident alors de se professionnaliser et de développer des compétences spécifiques de supervision. D’autres ne souhaitent pas nécessairement devenir superviseurs lorsqu’ils s’inscrivent à ma formation. Mais ils estiment à juste titre, d’ailleurs - que cette démarche les aidera à prendre du recul par rapport à leur propre pratique professionnelle. Enfin, parmi les participants, je compte des personnes qui, sans être coachs, accompagnent tout de même des processus de changement dans des entreprises et veulent réfléchir à ces processus ». À l'issue de leur formation, les alumni, devenus superviseurs certifiés, peuvent entrer dans la Community IDSUP qui favorise la R&D sur la supervision. ...
« Privilégier l’agriculture locale et travailler en direct avec les producteurs », tel est le credo de Mon-panier-de-campagne.fr, projet à l’initiative de Nathalie Bottan, qui, souhaitant privilégier la nourriture locale dans son alimentation, a décidé de collaborer avec de petits producteurs de la région toulousaine et permettre ainsi aux locavores comme elle de bénéficier, au quotidien, de produits frais et de saison. Aujourd’hui reprise par Julie Lechat, cette épicerie en ligne de produits locaux, créée en 2010, a su faire de plus en plus d’adeptes au fil des années. Ne se cantonnant pas uniquement à offrir des produits de qualité à ses clients, le site marchand propose un vrai service de proximité. Un panier de courses personnalisable Sur le site Mon-panier-de-campagne.fr, les particuliers font leur choix sur une sélection de produits alimentaires issus de la ferme en composant eux-mêmes leurs paniers. Les laitages, viandes, poissons, fruits et légumes mis à disposition sont fournis directement par de petites exploitations triées sur le volet. Outre la qualité gustative de leurs produits, ces dernières ont été sélectionnées pour leur mode de production artisanale, fermière ou bio, ainsi que leur proximité, c’est-à-dire à Toulouse et ses environs. À travers cette démarche écoresponsable, Mon-panier-de-campagne.fr contribue à valoriser l’économie locale. Des idées de recettes Faciliter la vie grâce à des paniers contenant préalablement tous les aliments nécessaires à un menu hebdomadaire et proposer diverses recettes, c’est la bonne idée qu’a eue ce marché de producteurs en ligne pour une meilleure consommation des aliments qu’il propose. Julie Lechat réfléchit elle-même à des menus journaliers en se basant sur la sélection de produits à suggérer aux consommateurs. De l’entrée au dessert, tout est pensé pour aider ceux-ci à mieux consommer les bons produits de la ferme et pour maximum 5 euros par repas complet et par personne. Mais privilégiant toujours les goûts du consommateur, Mon-panier-de-campagne.fr leur offre la possibilité de supprimer ou d’ajouter des articles sur ces paniers-là. Une logistique bien pensée En optant pour le circuit court comme mode de distribution, Mon-panier-de-campagne.fr use d’une livraison assurant la bonne conservation des produits commandés. « Les clients passent commande le week-end et jusqu’au lundi 14 h pour une livraison en fin de semaine », nous fait savoir Julie Lechat. « Les commandes sont préparées le lendemain et livrées à domicile le jeudi ou le vendredi suivants », continue-t-elle en nous expliquant le fonctionnement de son service. Par ailleurs, le site assure le respect de la chaîne du froid en maintenant les commandes acheminées dans un camion frigorifique. Et pour l’emballage de ses paniers écoresponsables, Mon-panier-de-campagne.fr opte pour des sacs en cabas réutilisables limitant l’impact environnemental. ...
Pionniers d’une ère nouvelle, ces producteurs engagés créent la Fromagerie de la Meix en 1985 pour transformer leur lait, puis Est Distribution Biogam pour vendre et distribuer leurs produits et d’autres produits 100% issus d’agriculture biologique sous la marque Biogam. Biogam, c’est une communauté, une famille mais aussi un acteur historique et incontournable de la filière laitière biologique en France. Dans les années 60, alors que l’agriculture biologique n’en est qu’à ses balbutiements, les agriculteurs fondateurs décident, en effet, d’installer la fromagerie au sein du GAEC de la Meix avec la volonté de faire connaître leur activité et leurs produits. Un pari réussi pour ces pionniers des produits laitiers bios de A à Z. Grâce à leur persévérance, leur enseigne fait désormais figure de référence dans les réseaux spécialisés bios historiques. Allant du fromage à la crème fraîche, en passant par le yaourt, chaque produit est le reflet d’une passion commune pour la consommation saine et le respect d’une fabrication artisanale. Collecte, transformation et valorisation Voilà près de 50 ans que la Fromagerie de la Meix est l’ambassadrice du bio dans la Lorraine. En effet, allant des critères de sélection des matières premières au processus de transformation, chaque maillon de cette chaine de valeur, véritable filière de proximité, est rigoureusement contrôlé afin d’assurer la traçabilité et l’authenticité des produits. « Nous nous fournissons en lait exclusivement auprès d’une quarantaine de producteurs que nous suivons depuis des années. Nous ne prenons jamais de lait auprès d’autres producteurs afin de pérenniser ce circuit de qualité », assure le gérant, Monsieur Laurent Berthomieu. Outre cette collecte basée sur la durabilité et la fiabilité, la transformation du lait répond à un savoir-faire artisanal et fidèle aux traditions, loin des méthodes utilisées dans le secteur industriel. « Ici, le lait est stérilisé en autoclave et le yaourt est fermenté très lentement en cuve. En découlent alors du lait et du yaourt ivoire à la texture douce et onctueuse », reprend Monsieur Berthomieu. D’ailleurs, l’unité d’embouteillage de Biogam à Reillon est, aujourd’hui, la seule de sa catégorie à être exclusivement biologique sur tout le territoire français. De plus, le fromage tient une place importante dans cette gamme bio grâce notamment à l’Emmental, fromage à pâte pressée cuite au lait thermisé ou au lait cru, des fromages à pâte pressée non cuite, à l’image de la Mimolette jeune, « une Mimolette vieille seulement de trois mois et dotée d’un goût de noisette et d’une texture plus souple » nous indique-t-on, et des fromages à pâte molle à croûte fleurie, tel que le Brie pasteurisé. Le respect des saisonnalités, des prairies et de l’alimentation des vaches laitières contribue à la noble qualité de ces produits laitiers traditionnels, sains, goûteux et représentant la richesse du terroir lorrain. Des délices, qui sont valorisés dans les réseaux de distribution dédiés uniquement aux produits bios. ...
Origine - Qualité – AOC - maîtres mots chez Cartron Judith Cartron, première femme à piloter l’entreprise a succédé à son père Xavieren 2011. Fière de ses racines, elle aime à rappeler l’héritage de la Bourgogne au travers du savoir-faire ancestral familial. Croquer dans le fruit est la promesse de la Maison.Aussi, pour y parvenir, le liquoriste sélectionne les meilleures variétés, assurance de puissance aromatique et d’excellence. Chaque fruit est alors récolté à pleine maturité, cassis Noir de Bourgogne, framboises Lloyd Georges, pêches de vigne, poires williams, abricots des Monts du Lyonnais, melon, mirabelles de Lorraine…, des fruits charnus et juteux.Cette exigence,Cartron l’applique à toute sa matière première, le gage d’un produit haut en goût qui réveille nos papilles. Parmi les incontournables de sa gamme de liqueurs et eaux-de-vie de fruits, citonsla Crème de Cassis de Bourgogne Double Crème Joseph Cartron, fleuron de la maison dont sa grande puissance aromatique sculpturale nappe verre et palais. En 2015 elle a reçu comme sa Crème de Cassis de Bourgogne 15° l’appellation indication géographique Cassis de Bourgogne véritable gage de qualité pour les amateurs de crèmes de cassis haut de gamme. Cette IG souligne l’excellence et la territorialité du produit dont la recette est gardée secrète de père en fille. Mais il y a aussi le Marc et la Fine de Bourgogne et leurs AOC…. un héritage qui se partage avec plaisir. Secrets de fabrication et trésor de goût Cartron un savoir-faire ancestral qui innove On connait Cartron par ses classiques, sa double crème de cassis, ses crèmes de fruits, ses eaux-de-vie de poire william, de vieille prune, son marc et sa fine de bourgogne et ses liqueurs de fruits bien ancrés sur notre territoire. Le distillateur aime aussi à se distinguer par son originalité. Il innove au travers de recettes uniques apportant un petit plus qu’il aime vous laisser découvrir. Ses dernières créations, ses liqueurs de thé rooibos, vert, fumé, sa crème de mirabelle, sa liqueur de sureau et la dernière-née, la liqueur de violette sont les muses des barmen.« Le consommateur comme les barmen aiment les nouveautés. L’innovation est primordiale, elle fait partie de notre ADN, de la marque Cartron qui aime surprendre et se positionne en véritable architecte du goût. » souligne Judith Cartron pour qui créativité est avant tout aussi synonyme de goût. ...
Caroline Barroux | Alors, j’ai repris l’exploitation familière en 2004, le château Barrabaque, qui est une propriété de 10hectares en appellation Fronsac-Canon-Fronsac. Et l’histoire de ce domaine commence en 1936 avec monsieur Achille Noël qui cultivait une vigne exclusivement rouge. Comment votre domaine a évolué et quel type d’agriculture vous y pratiquez maintenant ? C B | Alors, c’est une propriété qui appartenait à mon grand-père et ma mère a pris le relais jusqu’en 2004. C’est une exploitation avec principalement des rouges puisque l’appellation Fronsac-Canon-Fronsac ce sont des rouges, et dans les années 2000, j’ai diversifié en faisant du blanc et du rosé. Alors, on est en agriculture raisonnée maintenant depuis plus de 25 ans puisque c’est une démarche que ma mère avait démarrée fin des années 80, qui, ces dernières années ont permis de tenir la certification HVE Haute Valeur environnementale, mais cette certification n’a fait que mettre un mot, j’allais dire sur les pratiques éco responsables que l’on a depuis maintenant plus 25 ans. Une agriculture raisonnée depuis très longtemps pour plusieurs types de cépages, un sauvignon et un sémillon blancs, un rouge merleau, cabernet franc, cabernet sauvignon et petite particularité pour le domaine Barrabaque du Malbec, alors comment est-ce qu’on assemble tout ça chez vous ? C B | Alors, les vins de Barrabaque sont tous des vins d’assemblage, le prestige en est majoritairement merlot du cabernet franc et du malbec. Le château Barrabaque tradition, ce sont les trois cépages, j’allais dire majoritaire de notre appellation, merlot cabernet franc et cabernet sauvignon et puis ensuite la cuvée divins 50% malbec et 50% merlot. Les blancs c’est 2/3 sauvignon et 1/3 sémillon. Alors la particularité du caprice de Caroline c’est qu’il est vinifié en barrique, ça donne un vin un peu atypique dans la mesure où il y a à la fois beaucoup de fruits de fraîcheurs, et quand même une complexité qui est amenée par l’élevage en barrique. Et quant aux rosés, c’est un rosé de saignée, la méthode traditionnelle de production de rosé à Bordeaux et qui est un assemblage 50% merlot 50% cabernet. Et avec tous ces assemblages, nous obtenons vos sept vins, vous nous en parlez ? C B | Alors, nous avons d’abord le rosé qui s’appelle le rosé de Barrabaque, en blanc nous faisons deux blancs différents, le caprice de Caroline qui est vinifié en barrique et le gourmandise certaines années et en particulier les années où nous avons des jeunes vignes parce qu’une jeune vigne ne pourra pas faire l’objet du caprice de Caroline. Et ensuite sur les rouges, nous avons quatre rouges principaux la cuvée Hugo qui est, j’allais dire notre entrée de gamme sans vieillissement en barrique, ensuite nous avons le château Barrabaque tradition, le château Barrabaque prestige et pour finir, une cuvée atypique qui s’appelle le Barrabaque Divin. Et pour parler un peu de votre grand-père grâce à qui tout ça a débuté, qu’est-ce qu’il disait sur les millésimes ? C B | Mon grand-père dirait qu’on reconnaît les bons vignerons, les petits millésimes parce qu’un bon vigneron va faire un bon tous les ans. Les millésimes exceptionnels, on en a forcément, c’est 2015 ça va être 2016, ça va être 2018, 2019, mais des millésimes plus difficiles comme 2014, 2012, et bien quand on fait un grand vin, j’allais dire qu’on peut reconnaître si on a un bon vigneron en face de nous. Une parole sage de votre grand-père. Alors, si moi cet été, pour encore mieux apprécier mes vacances je veux venir visiter votre domaine, comment ça se passe ? C B | Alors nous, on peut s’adapter à toutes les possibilités, j’allais dire qu’on est une des rares propriétés ouvertes au public sept jours sur sept parce que nous habitons sur place. Pour les gens qui ne connaissent pas, on peut faire la visite des cuviers, des chais à barrique et terminer par une dégustation, bon les clients qui connaissent finalement ils viennent déguster les nouveautés et ensuite, on propose également des ateliers de dégustations depuis un an maintenant Et je suis sûre que de déguster vos v...
La niche fréquentée par La ligue des gentlemen est de plus en plus courue. Pour se singulariser, l’enseigne développe son concept autour de deux axes. Visuel, par les maîtres de jeux qui font l’accueil et l’accompagnement dans des tenues de gentlemen et de ladies. Par le contenu ensuite, les scénarios des énigmes font appel à des références et des lieux nantais. Quatre scénarios en salles pour toutes les trempes de joueurs La ligue des gentlemen décline l’idée générale de l’escape game dans quatre scénarios originaux et plus riches en rebondissements les uns que les autres. Ils traversent les époques pour autoriser une expérience immersive selon le goût de chacun. Dans « Vol chez LU », place à la combinaison des indices pour voler au secours d’un malheureux Lefèvre Utile victime d’une malhonnêteté. Objectif : remettre la main sur sa fabuleuse recette en investissant le domicile du négociant qui la lui a subtilisée. Prévue pour rassembler trois à cinq joueurs, cette énigme figure dans les niveaux d’entrée de la maison et est accessible aux handicapés. Même niveau de difficulté pour le même nombre de joueurs mais dans un autre registre. Les joueurs se mettent dans la peau du méchant. Qu’ils se rassurent toutefois : ils doivent se plier à cette exigence pour une très bonne cause. Il s’agit de tester l’efficacité du nouveau dispositif, supposé de haute sécurité, du musée du château. Mission : dérober l’écrin du cœur d’Anne de Bretagne. Dans le duel entre technologie et esprit de logique humaine, difficile de tabler sur celui qui sortira gagnant. Aux fins limiers de niveau intermédiaire, La ligue des gentlemen confie une mission de haut vol. Car c’est dans la cour des mafieux qu’ils sont appelés à mettre leurs talents en œuvre. Riche en péripétie, la mission « Clair de lune » s’adresse aux aventuriers qui n’ont pas peur de nager en eaux troubles. Entre intégrer la loge privée d’une chanteuse de cabaret de renom et mettre la main sur des livres de compte compromettants, il y a de quoi avoir des sueurs froides. Le scénario est accessible par groupe de deux à quatre joueurs. Dans « Loiseleur », il ne faut pas avoir froid aux yeux et afficher au moins 14 ans d’âge pour être de la partie. Les choses prennent effectivement une tournure corsée. Pour défendre la réputation de la ligue, neutraliser l’ennemi peut figurer au programme. Au même titre que les autres missions en salle, celle-ci doit être exécutée en soixante minutes chrono. L’escape game en live dans la ville Au mois de mai à octobre, indépendamment du jour, La ligue des gentlemen donne à ses jeux d’aventure une autre tournure. La ville nantaise devient le terrain de jeux, pour une expérience unique d’escape game grandeur nature. En plus de l’observation, de la logique et de la cohésion du groupe, une autre compétence est sollicitée, l’orientation. Plus toniques et plus élaborés, les deux scénarios de cette catégorie rassemblent les joueurs autour d’énigmes surchargés d’adrénaline. L’un consiste à anticiper les gestes d’un tueur en série afin de préserver ses victimes. L’autre à défier les adeptes d’une secte satanique de mettre la main sur le complément d’un manuscrit décrivant des rites de magie noire. En famille, entre amis ou collègues, d’intenses moments d’animation sont à prévoir durant les deux heures imparties pour arriver en fin de parcours. ...
Le Domaine du Somail se trouve à l’est du Minervois, à proximité de Narbonne. Une cité qui a une belle histoire à raconter car elle était la première agglomération romaine au-delà des Alpes en Gaule. À l’époque, Narbonne était déjà une région viticole. « Dans le vignoble et aux alentours, des vestiges de villas romaines ont été retrouvés et il semble que la culture de la vigne était présente depuis 2000 ans », racontent avec passion Julie et François Fabre qui possèdent le domaine. Ce duo d'artisans-vignerons sait qu’il profite d’un terroir très privilégié qui, en plus de recéler un riche passé, offre toutes les conditions nécessaires pour concevoir des vins d’excellence en AOC Minervois. La terre de prédilection du mourvèdre Le vignoble du Minervois est l’un des plus vastes du Languedoc Roussillon. Il produit majoritairement des vins rouges qui se veulent à la fois tendres et veloutés, aux arômes de fruits mûrs et de tanins soyeux. Le mourvèdre est le cépage phare de l’appellation et plaît pour la richesse de ses arômes et sa structure tannique de haute qualité. Au Domaine du Somail, il s’exprime dans toute sa splendeur au même titre que les neuf autres cépages composant le vignoble. Établies sur 16 hectares, les vignes s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire au sein d’un climat aux influences méditerranéennes. « Notre situation géographique nous permet d’avoir des vins en rondeur, ni trop puissants ni trop épicés, mais agréablement équilibrés », nous fait part Julie. Cette qualité ne résulte pas du hasard. Bien au contraire, la finesse, l’élégance et l’authenticité des cuvées sont obtenues grâce à un travail de très longue haleine respectant les préceptes de l’agriculture biologique et biodynamique. Des pratiques agricoles salutaires pour l’homme et l’environnement Sur les 20 hectares composant le domaine, 4 sont consacrés à la biodiversité. « Comme nous sommes en biodynamie, nous avons voulu avoir de la nature sauvage autour de nos vignes. Nos pourtours ont été aménagés pour créer une symbiose entre nos parcelles de vignes et l’extérieur. » Le travail des parcelles s’effectue de façon individualisée en priorisant les pratiques manuelles de la taille à la vendange. « Notre but est d’utiliser l’intelligence de la nature et de la reproduire dans nos cultures », fait savoir notre interlocuteur. Au-delà de la viticulture, cet état d’esprit qui se veut vertueux pour l’homme et l’environnement se reflète également dans les méthodes de vinification. Les vins sont sans sulfite et ne subissent aucun ajout tandis que les décantations sont naturelles. Des cuvées enchanteresses qui fleurent bon leur terroir L’assemblage des vins est aussi atypique car au Domaine du Somail, chaque cuvée révèle un cépage dominant. La cuvée « Vin de Plume » par exemple est composée à 80 % de mourvèdre et 20 % de syrah. Issue d’une culture biodynamique et d’une vinification classique en cuves en ciment brut, elle est gorgée de fruits, d’épices et de notes de garrigue et possède une capacité de garde de 5 à 10 ans. Preuve de sa qualité, ce cru a bénéficié de plusieurs distinctions : 90/100 par Robert Parker, 17/20 par Terre des vins 2020, 91 points par Wine Spectator 2020 sans compter la citation dans la Revue des vins de France 2020. La cuvée « François » va davantage exprimer toute la beauté de la syrah associée au carignan et au mourvèdre. C’est un vin fruité, intense, persistant avec une belle rondeur. « C’est une de nos plus belles réussites car il a une excellente tenue et pourtant il est dépourvu de sulfite », déclare celui qui a emprunté son nom à ce précieux nectar. Avec la cuvée « L’Authentique », le mourvèdre prime à nouveau et se combine tout en délicatesse avec la syrah. À la fois complexe et élég...
Toute l’année, les familles se rendent avec plaisir à Praz de Lys Sommand face au Mont-Blanc. Une station estivale qui mêle sport et culture Dans la brochure fournie par l’Office de Tourisme, nous trouvons la mention « Terre d’aventure ». C’est un concept qui résume bien à lui seul le point fort de la station Praz de Lys Sommand en été. Les amateurs de randonnées en montagne s’en donnent à cœur joie grâce aux 9 parcours (entre 5 et 50 km). Idem pour les fans de vélo qui peuvent, au choix, louer un VTT classique ou un vélo à assistance électrique pour parcourir, entre autres, le Col de la Ramaz et la Voie Verte (au bord du Giffre). Les traileurs ne sont pas en reste puisque deux défis les attendent : Montée des Pavés (5,5 km/770 m D+) et Verticale de Pertuiset (5,6 km/960 m D+). Sans oublier les nombreuses visites de patrimoniales telles que le site départemental de la Chartreuse de Mélan, de style gothique. De plus, cette année, Mieussy, berceau du parapente, fête les 40 ans du premier vol en parapente. Une excellente excuse pour découvrir les sensations incroyables offertes par cette activité. Une station de ski familiale pour tous les niveaux Créée en 1972, la station Praz de Lys Sommand est une des seules de Haute-Savoie à être située à plus de 1400 mètres d’altitude. Profitant d’un domaine skiable comportant une cinquantaine de descentes (vertes, bleues, rouges et noires), chacun y trouve son bonheur. À savoir : grâce à ses 90 enneigeurs, la neige est assurée durant toute la saison. Le ski alpin n’est évidemment pas la seule activité du domaine. Le ski nordique est aussi à l’honneur avec 60 km de pistes (vertes à noires). Sans oublier de nombreuses activités hors ski tel que la luge pour les plus jeunes, le trail blanc, leWINGJUMP, les chiens de traîneaux (station-étape de la Grande Odyssée Savoie-Mont-Blanc), le Fatbike, etc. Au rang des expériences extraordinaires à faire au moins une fois dans sa vie, nous vous conseillons aussi le Raid Igloo 2018 et l’apéro tipi-que. ...
Sous une valse de notes créatives et gastronomiques, le restaurant Le Lumière jouit d’un cadre romantique et hautement contemporain mettant à l’honneur le top des produits dans un décor d’une surprenante modernité. D’emblée, l’établissement accroche les regards avec sa superbe verrière ouverte sur la cour grandement ensoleillée de l’Hôtel Scribe qui, en soirée, baigne dans une belle lumière colorée. L’intérieur révèle un style inspiré des appartements haussmanniens avec de belles boiseries aux murs, des canapés de velours rouge et des images noir et blanc des premiers films des frères Lumière. Une cuisine dans l’air du temps La formule « Lumière du Jour » met en avant un menu déjeuner à 45 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, suivis d’un café. Faites vos choix entre une Terrine de canard à la chartreuse, Espuma de navet boule d’or, châtaignes grillées et compotée de figues ou une entrée du jour selon les produits du marché. Allez plus loin dans la découverte avec du Dos de cabillaud cuit sur la peau, daïkon au raifort, betterave laquée, riz d’Akita et jus de coriandre ou le plat du jour selon les produits du marché. Terminez ensuite sur la note joyeuse du dessert à la parisienne à choisir sur le chariot du Chef Pâtissier. 110 références de vins Le Lumière est également gratifié d’une carte de vins de collection comme le Coteaux du Layon du Domaine Cousin Leduc 1961. Les convives se laisseront guider par les suggestions du Chef Sébastien Crison garantissant les meilleurs accords. Parmi les évènements récurrents du restaurant, on pourra noter les Sofitel Wine Days, qui ont lieu de fin septembre à fin octobre, et qui célèbrent le vin et l’art de vivre à la française… Des occasions de découvertes et d’échanges enrichissants autour des vins de nos régions. ...
La Font des Pères produit des vins AOC Bandol, IGP Mont-Caume et Côtes-de-Provence. Des élixirs qui ont la particularité d’être à la fois fins et complexes, dotés d’une belle ampleur et d’une grande fraicheur. Un terroir unique Dans ce vignoble se trouvant à quelques kilomètres des côtes méditerranéennes, les vignes sont implantées sur une colline taillée en restanque. Jouissant d’une exposition nord, celles-ci s’épanouissent sur un sol caillouteux, tout en bénéficiant de l’influence de la mer. Ici, le mourvèdre, cépage rouge typique des bords de la Méditerranée, règne en maitre absolu. « C’est un cépage qui murit assez tard. En combinant richesse et puissance, il procure au vin un relief aromatique unique », souligne Philipe Chauvin, le propriétaire actuel. Le reste de l’encépagement se compose de grenache, de cinsault, de carignan, de clairette, de bourboulenc, de rolle et d’ugni blanc. L’excellence comme leitmotiv Le domaine privilégie les vendanges manuelles dans la mesure où elles permettent de trier les raisins au niveau de chaque parcelle. « Afin d’assurer une qualité optimale, il nous arrive de vendanger une seconde fois avec quelques jours d’intervalle », nous confie-t-on. Côté vinification, les rouges, issus des plus vieilles vignes du domaine, subissent une longue macération avant d’être élevés 18 mois en foudre, en demi-muid ou en barrique d’au moins deux vins. Au niveau des blancs, ceux-ci font l’objet d’une macération pelliculaire à froid, afin d’extraire le maximum d’arômes. Un élevage sur lies est ensuite réalisé pour apporter davantage de structure et de rondeur. Quant aux rosés, les raisins ayant servi à leur élaboration ont été refroidis dans une chambre froide juste après la récolte. L’objectif de cette opération est de préserver les arômes. Les spécialités de la maison La Font des Pères propose au total 7 cuvées différentes. Parmi ses spécialités, les vins de Bandol font particulièrement la fierté du domaine. De l’aveu même du propriétaire : « Bien qu’il s’agisse d’une petite appellation, sa renommée est incontestable. » Issu de l’assemblage de mourvèdre, de grenache et de cinsault, le rosé La Font des Pères 2017 dévoile des notes de buis, de fleurs, d’agrumes, tout en présentant une jolie trame minérale. Pour le blanc La Font des Pères 2017, celui-ci est obtenu à partir de 55,4 % de clairette, 39 % de bourboulenc et 5,6 % de vermentino. Le nez s’ouvre progressivement, avec finesse, sur une trame florale associée à des notes d’aubépine et de fruits blancs. Enfin, le rouge est issu à 90 % de mourvèdre et à 10 % de grenache. En bouche, ce vin est suave, équilibré, mêlant la fraicheur exprimée par les notes de rose et de mentholé à une finale structurée, avec des tanins enrobés, à la tonalité café, chocolat et pain grillé. ...
Du 2 au 6 novembre 2018, Paris réunit pour la première fois patients, médecins et chercheurs du monde entier spécialisés sur les neurofibromatoses. Au menu de ce congrès médical, des exposés, des échanges, des séances d’information, mais également un concert caritatif dont les recettes seront versées au profit de la Fondation dans l’optique de booster le financement de la recherche. Tout sur les neurofibromatoses Les neurofibromatoses sont des maladies génétiques neurologiques classées rares et incurables. En France, environ 15 à 20 000 personnes seraient touchées et cela concerne une naissance sur 3 500. Les neurofibromatoses se transmettent à l’enfant par l’intermédiaire des gènes de l’un des parents mais, dans d’autres cas, elles surviennent par mutation génétique spontanée. La maladie se présente sous plusieurs types dont la plus fréquente est la NF 1 appelée également « maladie de Von Recklinghausen ». La NF 2 ou « neurofibromatose acoustique » est quant à elle beaucoup plus rare. D’autres types sont également recensés : la schwannomatose, NF segmentaire ou encore le Syndrome de Legius. La NF 1, la plus connue, affecte particulièrement la gaine des nerfs et peut se manifester sous des formes très variées : cutanée, osseuse, gliomes des voies optiques …« Les médecins disent qu’elle a une expressivité extrêmement variable ce qui rend la recherche de traitement très difficile », précise Jean-Michel Dubois, président de l’A.N.R (Association Neurofibromatoses et Recklinghausen). Chez de nombreux enfants atteints, des difficultés d’apprentissage et des troubles cognitifs sont assez récurrents. Pour faire face à ces maladies, l’association A.N.R ne ménage pas ses efforts. Créée en 1986, celle-ci a pour objectif de regrouper, fournir des informations pertinentes et soutenir la recherche à travers le financement de projets. De par ses actions, l’association entend également appuyer les médecins intervenant dans les centres de compétences et de référence. « Nous organisons des manifestations pour pouvoir engranger des fonds destinés à la recherche », indique notre interlocuteur. La Fondation CAP NF Bien que reconnue d’utilité publique, l’A.N.R dispose de capacités et de moyens limités qui ne lui permettent pas de travailler sur le long terme. Afin de disposer de moyens plus conséquents, notamment au niveau du financement, l’association a impulsé la création d’une fondation. C’est ainsi qu’en janvier 2017, la Fondation CAP NF – combattre les tumeurs de l’enfant et de l’adulte – voit le jour. Créée sous l’égide de la Fondation de France, elle a été mise en place afin de servir d’outil pérenne pour la collecte des fonds et soutenir efficacement la recherche. La Fondation CAP NF a pour mission de stimuler les initiatives destinées à assurer l’amélioration du diagnostic, la prévention, la recherche, le traitement et la connaissance des neurofibromatoses. En outre, elle intervient sur des campagnes d’informations destinées non seulement à la communauté médicale mais aussi au grand public. En matière d’événement, la fondation organise chaque année une rencontre nationale lors de la journée neurofibromatoses. « Nous essayons d’aller un peu partout en France, c’est l’occasion de rencontrer des malades, des familles, ou encore des équipes médicales et d’échanger avec eux », confie le président. Un événement de portée mondiale L’année 2018 sera à marquer d’une pierre blanche pour la lutte contre les neurofibromatoses en France. En effet, pour la première fois, Paris a l’occasion d’accueillir un congrès médical de portée mondiale au sein de la Maison de la Chimie du 2 au 6 novembre 2018. « Nous sommes partie prenante de cet événement et il faut dire que nous avons milité pour que cela se passe à Paris », nous dévoile le président de l’A.N.R. Le congrès se tient sous le parrainage du ministre de la Santé, la maire de Par...
Entre lacs, cascades, falaises, montagnes enneigées ou verdoyantes… autant prévenir tout de suite, les randonneurs n’auront que l’embarras du choix face aux multiples possibilités qu’offrent les Pyrénées ! Les débuts de Randonades Créée entre 2003 et 2004, Randonades est une agence de voyages réunissant quatre accompagnateurs en montagne. Tous des hommes expérimentés qui connaissent parfaitement le terrain ! « Certains opéraient déjà depuis une dizaine d’années », souligne Bruno Marin, l’un des fondateurs de l’agence. Afin de se démarquer de la concurrence, les quatre compères décident d’un commun accord de n’opérer que sur un secteur géographique bien délimité. « Le but du jeu était volontairement de restreindre l’activité géographique au massif des Pyrénées et à l’ensemble des massifs des Pyrénées », explique Bruno Marin. Un concept qui a fait mouche auprès des randonneurs qui viennent d’horizons divers (une cinquantaine de pays environ). Un large choix de circuits Selon les envies et les possibilités, l’agence peut suggérer des offres adaptées avec plus d’une trentaine de circuits au choix. L’une des particularités des Pyrénées, c’est la possibilité de pratiquer des activités à n’importe quelle période de l’année. Les circuits suggérés varient en fonction de la saison. Sur la période « Automne-Hiver-Printemps », Collioure Cadaquès est devenu un incontournable pour les randonneurs. Créé il y a vingt ans par les fondateurs de Randonades, ce circuit propose une traversée des Pyrénées sur l’axe nord-sud avec comme point de départ Collioure. Au fur et à mesure du parcours, les randonneurs découvrent un paysage agréablement contrasté : vignes et jolis ports de pêche alternent avec de petites criques secrètes, ou encore de charmants petits villages aux couleurs chatoyantes. Si vous recherchez un décor atypique, le désert des Bardenas Reales est le plus indiqué avec ses paysages singuliers sculptés par l’érosion mais également ses vastes plaines parsemées d’étangs. En été, la face est des Pyrénées se prête merveilleusement bien à la pratique des randonnées en montagne. Au programme, un grand tour et une ascension du Canigou ! Côté nord, les randonneurs découvriront les trois grands cirques pyrénéens avant d’admirer le canyon d’Ordésa et la Brèche de Roland. ...
Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire, qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire, les nations sans État, comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans... En fait, à tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. » Éditions Yoran embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions, « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français-roumain, français-lituanien, français-basque, français-gaëlique écossais, français-corse : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 16 nouveaux livres. » L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région, avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture, ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...
C’est à Paimpol, au cœur de la Bretagne, que cette conserverie élabore des recettes succulentes tartinables destinées à sublimer les apéritifs. À déguster entre amis, en famille ou entre collègues, « ces tartines artisanales à vocation gastronomique apportent un vrai plaisir en bouche », nous explique Yann Trébaol, propriétaire de la conserverie. S’exportant, entre autres, à l’international, la Paimpolaise s’affiche aujourd’hui parmi les meilleurs de son domaine avec des nouveautés tous les ans et, en prime, des coffrets cadeaux disponibles tout au long de l’année. Des tartines ambassadrices du terroir Perdue entre terre et mer, la Bretagne reste une région riche de ses traditions, de son histoire et de sa gastronomie. La Paimpolaise Conserverie tient ainsi à révéler ce que cette région a de meilleur à offrir grâce à un éventail de produits artisanaux, allant des tartinables aux soupes, en passant par les tapas disponibles en plusieurs formats. « Élaborées de A à Z dans nos ateliers, les tartinables sont faites à base de poissons, de coquillages et de crustacés, afin d’animer les apéros », reprend le gérant. Fumés ou cuits, assaisonnés ou nature, ces fruits de mer, allant des moules au thon, sont savamment mariés à des produits de la terre tels que le gingembre, le citron, le champignon ou la coriandre. Ces mariages ingénieux, fidèles à l’identité tantôt marine tantôt terrestre de la Bretagne, révèlent toute la fraîcheur et la subtilité des produits de la mer ainsi que la douceur des herbes et des condiments. Agrémentez ainsi vos instants gourmands de tartines de rigadell et aile de raie à la coriandre. Accompagnés de vins, ces toasts allient harmonieusement fraîcheur marine et saveurs propres au terroir. « Les tartinables de haute qualité que nous produisons valorisent la Bretagne et rehaussent l’économie de toute la région », continue notre interlocuteur en précisant le fait que toute la chaîne de production est approvisionnée de produits locaux. Découvertes culinaires inédites, extase gustative et plaisirs du palais se retrouvent ainsi dans chaque bouchée des tartinables de cette conserverie dont la réputation est acquise au-delà des mers. Tapas et soupes : autant de recettes artisanales à découvrir Mis à part les tartinables, la conserverie de Paimpol mise également sur des produits emblématiques tels que les tapas ou les soupes. Les tapas apéritives, déclinées en plusieurs recettes s’adaptant à tous les goûts, s’apprécient autour d’un verre à l’occasion de vos instants conviviaux appelant à la gourmandise. Faisant le bonheur des gastronomes, des amateurs de bonne cuisine et des amoureux des délices de la mer, chaque portion de tapas, notamment celle en format 100 g, révélera ce côté « ensoleillé » et quelque peu fougueux de la Bretagne. Pour ce qui est des soupes, ces dernières sont concoctées de manière artisanale, toujours fidèles à l’identité authentique de la gamme de produits de la Paimpolaise Conserverie. Allant des traditions typiquement bretonnes, à l’instar de la fameuse soupe de poisson, aux innovations gastronomiques, pour ne citer que les veloutés de coquillages et les soupes sont ici l’affaire gourmande de tous ceux qui aiment allier goût du vrai et innovation culinaire. ...
L’hôtel a fait appel à Philippe Starck pour revisiter ses espaces imprégnés de surréalisme, ainsi qu’à Alain Ducasse, dont la cuisine nourrit l’âme des lieux depuis 2013. Restaurant le Meurice – Alain Ducasse : à la découverte de la « cuisine de l’essentiel » Le Restaurant le Meurice Alain Ducasse vous invite à découvrir la « cuisine de l’essentiel », orchestrée avec talent par le chef exécutif Jocelyn Herland. Une cuisine contemporaine, qui reste fidèle à la vérité du produit, et dont l’excellence, l’élégance et l’expérience sont les maîtres mots. Une fois passé la porte du restaurant, vous êtes immédiatement plongé dans un univers inspiré du Salon de la Paix du Château de Versailles. Récemment revisitée par Philippe Starck, la décoration sublime le classicisme des lustres en cristal, des fresques et des miroirs anciens par la modernité des fauteuils Knoll – réédition du célèbre modèle Tulip d’Eero Saarinen – revêtus de cuir blanc, de la sculpture originale en verre de Murano d’Aristide Najean, des chariots de service et des paravents en bronze et inox. Les grandes fenêtres laissent les regards se perdre rue de Rivoli et vers le jardin des Tuileries. Cet hiver, le chef Jocelyn Herland vous propose une superbe Courge butternut, châtaignes et truffes noires, aux couleurs chatoyantes, un Homard breton, salsifis braisés, hibiscus. Vous pourrez succomber à l’un des merveilleux desserts du chef pâtissier Cédric Grolet, comme le Vacherin contemporain aux agrumes, qui a remporté le prix du meilleur dessert aux Lebey de la gastronomie 2016. Le Dalí, la brasserie chic du Meurice Au restaurant Le Dalí, dans un décor chic et décontracté, avec des clins d’œil à l’univers surréaliste de l’illustre peintre, Alain Ducasse et Jocelyn Herland font dialoguer la grande tradition des brasseries parisiennes et les cuisines de la Méditerranée. Un voyage qui débute par la Catalogne, avec des spécialités comme les Patatas bravas ou le Riz nerone, calamar et potiron, et qui se poursuit en Italie avec le Culatello de porc noir de Massimo Spigaroli, tout droit venu d’Émilie-Romagne, ou encore la Caponata de légumes. Les « Intemporels », comme la Sole à la grenobloise, épinards sautés ; la Salade Dalí, composée de cœur d’artichaut, d’œuf de caille et de piquillos ; le burger Pop Art ; ou, pour les déjeuners sur le pouce, le délicieux Club sandwich au homard, ne sont pas oubliés. Le Tea-Time Au Dalí, tous les après-midi, passez à l’heure anglaise autour d’un délicieux Tea-Time composé des traditionnels scones et finger sandwiches, et des pâtisseries signature du talentueux chef Cédric Grolet, comme les incontournables Fruits sculptés ou le Paris-Brest Noisette, surprenant de légèreté, de douceur et d’intensité. Le bar 228 Le chef barman William Oliveri vous attend au 228 pour vous préparer d’excellents cocktails, comme le Bellini. Un lieu de rendez-vous incontournable, cosy et intimiste, dont l’atmosphère évoque celle des clubs anglais. ...
Duprat Concept, filiale du groupe Amaury est l'interlocuteur rêvé pour donner un goût d’aventure et d’inédit à des séminaires, team-building et journées incentive grâce à ses prestations sur mesure. Avec un riche catalogue d’activités oscillant entre découverte, exploration, aventure et inventivité, chaque programme est proposé en favorisant l’expérience unique, en adéquation avec les attentes des entreprises. Fédérer grâce à la créativité « Notre mission est de créer des programmes de loisirs en étant le plus créatif possible », explique Monsieur Yves Duprat, le fondateur. En effet, au-delà de la simple réunion d’entreprise, plusieurs occasions peuvent pousser un groupe à se réunir. Il est ainsi primordial d’adapter les services aux besoins relatifs à ces raisons, « le but étant de créer du sur-mesure en développant des activités correspondant entièrement à ce que recherchent les entreprises », continue-t-il. Une large palette de programmes est alors mise à leur disposition, allant de l’offre sport et aventure (remake de Koh-Lanta, Choc des Champions, Raft Trophy…) au pack construction et création (Pimp My Kart, Chaloupe & Construction), en passant par le programme exploration et découverte (balades en quad, en buggy ou en Nosmoke…). Les collaborateurs s’en donneront à cœur joie à l’occasion de courses d’obstacles, de jeux d’évasion grandeur nature ou d’autres programmes nécessitant entraide et esprit d’équipe. Ces activités ludiques, culturelles et sportives peuvent, par ailleurs, être organisées pour des groupes allant de 5 à 1 500 personnes, et ce, partout en France. ...
Véritable ode à la musique populaire, le MuPop nous fait redécouvrir cette musique que l’on écoute tous les jours. Lieu incontournable de l'Allier, le Musée de la musique populaire emporte le visiteur à la découverte de la musique populaire du XVIIIème siècle à nos jours. Le MuPop : la musique si elle nous était contée ! La cité médiévale de Montluçon accueille l’un des endroits les plus emblématiques de la région de l’Allier. Construit par l’architecte Philippe Tixier en lieu et place des anciens hôtels particuliers Méchain et Charnisay, le Musée de la Musique Populaire ou MuPop plonge le visiteur au cœur de l’univers de la musique. Dans une architecture entre modernité et renaissance, les concepteurs du musée ont voulu croiser les époques. L’hôtel Chamisay a ainsi été restauré dans le respect de son intégrité patrimoniale. Quant à l’hôtel Méchain, victime du temps, a lui pris un tournant plus contemporain. Pour accueillir le visiteur, cela commence avec un parcours musical immersif. Muni d’un casque et d’un capteur, le visiteur conçoit lui-même sa visite en pointant son capteur vers les 150 points d’écoute répartis à travers le musée. 8 heures d’instruments en tout genre qui permettent de redécouvrir la musique populaire du XVIIIème siècle à nos jours. Baptisé SEM ou système d’écoute mobile individuel, on passe des musiques traditionnelles d’il y a 400 ans à la fanfare, suivi du bal populaire avant de partir à la rencontre de la musique électrique, Elvis, Johnny et jusqu’au Hard-Rock et au Métal. Afin de rendre l’expérience toujours plus enrichissante, le MuPop propose également un parcours instrumental enrichi et un parcours numérique interactif. Dans ce dernier, cinq écrans tactiles invitent le visiteur à tester ses connaissances sur les instruments phares de la musique populaire. De la vielle à nos jours ! Le MuPop, c’est d’abord l’histoire d’un musée vieux de plus de 50 ans. Tout commence en 1959, lorsque le musée de Montluçon dans l’enceinte du château des Ducs de Bourbon, était alors dédié à l’histoire et l’ethnologie locale. Conçu par Jean Favier, le musée conservait en son sein des vielles. Instruments de musique atypique, les vielles étaient selon Jean Favier spécifiques à la région en matière de musique locale. Dans les années qui suivirent, face à une collection de plus en plus croissante le musée de Monluçon devient le Musée des vielles. Dans les années 90, la collection s’étend d’abord aux cornemuses de Jean-Michel Renard, puis viennent les rejoindre en 1997, des guitares électriques de toutes sortes. Au fil des années, d’expositions en expositions, le MuPop devient le véritable porte étendard de la musique populaire. Mais le Mupop, ce ne sont pas que ses instruments. C’est aussi un endroit où l’on peut voir comment à évoluer la musique au fil des années. Des posters, des instruments, des vidéos sont aussi présents dans chaque salle. Des machines électroniques comme le jukebox et le scopitone sont aussi exposées. Symboles de la musique rock, on se laisse emporter dans une autre époque. A la recherche d’un nouveau monde, on y retrouve aussi un local de répétition d’un groupe punk de la région parisienne. A l’intérieur tout y est du synthétiseur en passant par le violon ou encore la batterie. On y retrouve même des mégots de cigarette et des cannettes de bière ! Pourquoi visiter le MuPop Derrière son aspect formel, le MuPop est un véritable lieu d’échange. On y incite les visiteurs à expérimenter, à toucher. On peut tester les instruments de musique comme les guitares avec des amplis. On vit l’exposition. Le musée réserve toujours de nouvelles expositions à découvrir : sur différents thèmes comme les costumes des artistes, leurs albums. Le musée est aussi un lieu d’échange où on peut se faire de nouveaux amis. On peut y rencontrer des amateurs et des passionnés de musique et partager ses expériences. Les amateurs de danse sont aussi les bienve...
Créée en 2001 à l’initiative des parents et des enfants Geoffrey et Renaud, l’entreprise Péhu Guiardel & Fils exploite un vignoble dans l’Aube et dans La Marne. Vignerons indépendants dotés d’un grand savoir-faire séculaire, les Péhu travaillent les trois cépages régionaux, faisant de leurs champagnes des produits à savourer avec délectation et en toute occasion. Pour les visiteurs de passage dans la côte des Bar, le domaine propose une salle de dégustation dans un cadre chaleureux et convivial. Un champagne, trois villages Chez les Péhu, le champagne est à la fois une passion et un héritage transmis depuis cinq générations. « Anciens habitants de Verzenay et Rilly-la-Montagne, mes parents disposaient à l’époque d’un vignoble dans la Montagne de Reims où nous cultivons encore quelques parcelles. Vers les années 70, ils sont venus s’installer dans l’Aube pour investir dans Les Riceys », relate Geoffrey Péhu, l’actuel dirigeant du domaine. L’entreprise familiale exploite actuellement un domaine de cinq hectares où le pinot noir accapare environ 75 % de la surface cultivée. Le reste est consacré au meunier et au chardonnay pour l’élaboration des champagnes d’assemblage. Chaque année, la maison enregistre une production moyenne de 10 000 bouteilles destinées à la consommation locale et/ou étrangère. Quatre cuvées bien contrôlées Soigneusement manipulés dans les règles de l’art, les quatre principaux champagnes de la marque respectent une chaîne de fabrication stricte depuis la vendange au pressurage, en passant par l’assemblage jusqu’à la mise en bouteille. « Toutes les interventions sont rigoureusement notées sur un cahier des charges pour répondre aux exigences de la certification HACCP », atteste notre interlocuteur. Composé de 80 % de pinot noir et de 20 % de chardonnay, les champagnes bruts et demi secs de Péhu Guiardel & Fils conjuguent rondeur, caractère et élégance. On les apprécie volontiers à l’apéritif ou aux desserts. Quant au rosé, il est constitué de vin brut et de 15 à 16 % de vin rouge. Après vieillissement, on obtient un champagne plein de fraîcheur à la mousse légère et subtile renfermant des arômes fruités. Le blanc de blancs, lui, est fabriqué uniquement avec du chardonnay des Riceys et se reconnaît par sa grande fraîcheur. Côté Verzenay, l’incomparable cuvée Émotion s’invite à toutes les tables pour faire le bonheur des connaisseurs grâce à son caractère fruité et sa complexité. ...
Au Moyen Âge, Pierrefeu-du-Var, situé dans le triangle d’or des vins Côtes-de-Provence, formé de Pierrefeu, de Puget-Ville et de Cuers, était déjà réputé pour la qualité exceptionnelle de ses vins. Un terroir complexe Les 22 hectares de vignes du Clos Real se trouvent sur un terroir schisteux très particulier et varié, constitué notamment de schiste, de quartz, de feldspath, de gneiss et de schiste bleu. Les parcelles du vignoble se trouvent sur des terrasses en altitude particulièrement difficiles à cultiver et dont le sous-sol très pauvre est enclavé dans le maquis. Il faut remarquer que, sur la production totale de vins réalisée dans l’Hexagone, celle du vin de schiste ne représente que 5%. Installées dans la vallée fluviale du Réal Martin, les vignes du domaine sont par ailleurs soumises à un microclimat unique, méditerranéen et à tendance continentale. Concernant les cépages de l’exploitation, ils sont conformes aux exigences de l’appellation Côtes-de-Provence. Grenache noir, syrah, vermentino, cinsault, carignan noir connu pour apprécier les sols schisteux et mourvèdre en petite quantité sont présents sur le domaine. Les cépages de vigne sont en moyenne âgés de 19 ans ; toutefois, certaines parcelles comportent des vieilles vignes âgées de 50 ans, voire de 100 ans pour les raisins blancs. La biodynamie au service de l’agriculture et de la vinification Au Clos Real, la méthode d’agriculture mise en pratique est biodynamique. Dans les faits, cela signifie non seulement que les produits phytosanitaires chimiques sont proscrits, mais aussi que l’usage des produits dits naturels comme le cuivre ou le soufre sont drastiquement limités afin de préserver au maximum l’environnement. Pour lutter contre les attaques de parasites et les maladies, des tisanes et des décoctions de plantes dynamisées avec de l’eau sont utilisées. S’agissant de la vendange et de la vinification, le Clos Real procède à la méthode de sélection microparcellaire : les cépages d’une même parcelle sont vendangés et vinifiés ensemble, contrairement à la méthode classique où seuls les mêmes cépages sont vendangés et vinifiés ensemble. Cette pratique était celle qu’employaient les moines au Moyen Âge, qui avaient compris que cette mixité avait un effet bénéfique sur le goût, la couleur, la saveur et la texture des vins. Du fait de la déclivité importante du terrain, seule la vendange manuelle est possible à pratiquer et elle s’effectue en suivant le calendrier lunaire. Le concept de biodynamie est encore et toujours présent à la cave, où le travail est un compromis entre tradition et modernité. Les vins sont élaborés dans des cuves en inox avec deux méthodes thermiques opposées. Dans la réalisation de la presse, aucune pompe ni pressoir ne sont utilisés, car c’est la gravité qui est mise à contribution avec ces caves disposées sous forme de succession d’étages. Au final, on obtient un vin d’une complexité anodine avec une forte empreinte de son terroir. En raison de tous ces facteurs contraignants (biodynamie, petite surface et structure du sol), la production annuelle du Clos Real est faible, avec moins de 600 hectolitres par an. Toutefois, ce faible rendement permet de favoriser la qualité des vins. ...