L’hôtel La Dimora, où luxe et discrétion sont les mots d’ordre, accueille ses hôtes au cœur même de la route des vins de Patrimonio. Dans un cadre au style oscillant entre modernité et authenticité, l’hôtel se veut être le pionnier du bien-être et de l’hospitalité à la méditerranéenne. Le lieu de vie au charme intemporel plonge les hôtes dans une ambiance tantôt exotique tantôt bucolique. Délices des papilles, relaxation et dépaysement sont au rendez-vous. La Dimora : l’âme corse dans un lieu d’exception Ce lieu de charme qu’est la ferme datant du XVIIIe siècle fut la résidence d’été d’un éminent personnage insulaire issu de la noblesse corse : le Comte de Morlas. Cette âme historique fut précieusement gardée en aménageant chaque recoin du lieu, à l’instar du salon au décor contemporain incrusté dans les anciennes bergeries ou de l'espace petit déjeuner situé sur l’ancien pressoir. Outre ces espaces emblématiques, chaque bâtiment et chacune des chambres de l’hôtel « ont su garder le côté initial de la pierre », selon Carole Leccia, propriétaire de cet établissement étoilé, afin de mettre l’authenticité et l’âme des lieux à l'honneur. Les matières naturelles, telles que la pierre, le calcaire ou le marbre, sont privilégiées afin de créer une belle harmonie entre le confort et la nature. Chaleureusement accueillis suivant la tradition corse, les hôtes profiteront de prestations de qualité alliant professionnalisme et convivialité dans divers aménagements intimistes, à l’instar de ceux situés au bord de la piscine chauffée. Les deux magnifiques villas privées, les suites luxueuses ainsi que les 15 chambres entièrement équipées et décorées suivant l’esprit élégant et discret de la maison deviendront un véritable havre de paix pour leurs occupants qui « auront l’impression d’être seuls au monde », continue Carole. Les férus d’activités en plein air trouveront, quant à eux, leur compte en s’adonnant à la pétanque, aux balades en montagne ou en « déambulant dans les magnifiques villages perchés » bordant l’hôtel. De plus, La Dimora propose un espace bien-être à l’ambiance cocooning et propice à la détente. Un lieu atypique privilégiant le bien-être À deux pas des plus belles plages de l’île de Beauté, les hôtes de La Dimora savoureront leur séjour en l’agrémentant de séances dédiées à la relaxation. Un espace bien-être composé d’un hammam, d’un jacuzzi extérieur et d’une salle de soins est en effet mis à disposition des invités, la détente étant l’une des valeurs sûres de l’établissement. Ceux qui aiment se faire chouchouter peuvent profiter de séances de massages relaxants, de réflexologie plantaire ou de gommages au savon noir : une gamme complète de relaxation pour se ressourcer pleinement. Selon notre interlocutrice, l’espace bien-être, dans le but de rendre hommage à la nature généreuse de la Corse, « privilégie les produits bio locaux, notamment les huiles essentielles à base d’immortelles », une plante emblématique de la région dotée de nombreuses vertus thérapeutiques et adoucissantes. L’hôtel La Dimora se veut également être un lieu d’accueil privilégié lors de séjours de charme, de voyages de noces ou lors de célébrations diverses. Une table riche des saveurs du terroir Dans le cadre exceptionnel de La Dimora, les hôtes se délecteront de plats concoctés avec passion dans le pur respect de la tradition corse. La table de l’établissement propose de belles assiettes gourmandes et raffinées obtenues en « travaillant essentiellement les produits du terroir », nous confie Carole. Le fromage traditionnel corse, la charcuterie artisanale, les fruits et les légumes locaux sont ainsi mis en avant dans la « Carte des petits mets » évolutive au gré des saiso...
L’idée de Petit Déjeuner étoilé apparaît en esquisse dans l’esprit de la fondatrice après une longue collaboration en 2014 avec le chef du plaza athénée. Son créneau était alors les cadeaux sur mesure. En rencontrant l’illustre Christophe Michalak, le concept prend forme. Proposer à la fois le goût exquis d'un chef, associé au chic d'un coffret de luxe, des produits frais et de grande Qualité le tout pour créer un moment conviviale et de bien être au bureau ou à la maison. Un cadeau pour démarrer sa journée... Des formules au choix pour démarrer du bon pied Aujourd’hui, Petit Déjeuner étoilé propose trois formules, une sous coffret individuel de luxe, l'autre en partage sur un plateau et enfin la formule sans packaging avec ou sans abonnement. « La première (formule) que nous avons créée, se présentait et se présente toujours sous forme de coffrets individuels à composer selon ses goûts, avec des pièces signés par nos chefs, dont quatre créations sucrés et une salée », précise le co-fondateur de la marque, Gary. Thé, café et jus d’orange complètent bien sûr ce petit déjeuner que le client va pouvoir composer à sa guise. Ensuite, pour répondre à des besoins de plus en plus spécifiques et variés, l’enseigne a développé une formule à la carte (sans packaging). Ici, les viennoiseries arrivent chez le client sous forme de plateau ou en vrac. Au choix, les créations sucrées – viennoiseries et autres gourmandises – des deux chefs actuels (christophe michalak et Philippe Conticini) qui collaborent avec la marque. Dans cette catégorie, tout est possible. L'on peut choisir entre différents pains – seigle, céréales, de campagne –, du cake ou de la madeleine. Panna cotta, salades de fruits de saison en verrines et fruits frais en damiers figurent également dans la carte qui se veut adaptée aux personnes recherchant des idées de petit déjeuner healthy. Plutôt salé ? Le client peut commencer sa journée avec les sélections de mini-sandwichs. Une partition pour deux chefs Si vous êtes plus nombreux, Petit déjeuner étoilé propose également de se retrouver pour un démarrage en toute convivialité grâce à la formule buffet. Un service proposé sur devis et déployé avec les dispositifs adéquats – argenterie, porcelaines, personnel est mis à votre disposition. Dans tous les cas, les offres de la marque ont été amoureusement concoctées par deux chefs de renom : Christophe Michalak et Philippe Conticini. Le premier signe, par exemple, la « Cassolette de pain perdu revisité ». Une "brioche perdue" que le pâtissier agrémente d’une crème à la vanille Bourbon. La préparation est ensuite caramélisée et grillée. Âme d’enfant retrouvée également avec le « Sablé gianduja noisettes » où le nappage gourmand donne un caractère à part au croustillant d’une pâte sablée parfaite. ...
Au château de Clisson : l’art militaire médiéval Forteresse du Moyen Âge, le château de Clisson est situé « sur les marches de la Bretagne » qui constituent « la frontière entre le duché de Bretagne et le royaume de France avant le début du XVIe siècle », évoque Pierre Fardel, directeur adjoint de Grand Patrimoine de Loire-Atlantique et responsable des publics. Grâce à sa position stratégique, cette forteresse permettait de contrôler un territoire complexe à la jonction de la Bretagne, de l’Anjou et du Poitou. La famille Clisson s’y établit dès la seconde moitié du XIe siècle. Le château devient ensuite la résidence du dernier duc de Bretagne, François II, qui renforce son dispositif militaire et lui donne son allure imposante. Le jeune sculpteur François-Frédéric Lemot le transforme en ruine romantique à partir de 1807. Le château de Clisson a conservé de nombreux exemples d’éléments de défense d’un château fort tels que les archères, les canonnières ou les assommoirs. Aux beaux jours, le château de Clisson propose une programmation culturelle riche et gratuite : reconstitutions historiques et spectacles vivants. Ainsi, les 16 et 17 juillet prochains, des troupes de reconstitution historique investiront le site pour faire revivre le quotidien dans un château du XIe siècle. Le château de Clisson est classé monument historique. Il est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10 h 30 à 18 h (de mai à septembre). Droits d’entrée : 3 € (plein tarif) ; 2 € (tarif réduit) ; gratuit pour les moins de 14 ans. À la Garenne Lemot : architecture et création artistique Patrimoine végétal et patrimoine monumental se mêlent dans ce paysage de 13 hectares que constitue le domaine de la Garenne Lemot. Le patrimoine monumental rassemble des fabriques. « Il s’agit de petites constructions qui permettent de décorer le paysage : temples, statues antiques, grotte dédiée à Héloïse et à Abélard, rochers gravés de citations et de poèmes, tombeau… », décrit le directeur adjoint. Une maison de style rustique à l’italienne et une villa néoclassique complètent le tableau. Au début du XIXe siècle, c’est dans l’imaginaire de François-Frédéric Lemot, sculpteur de Napoléon, que nait ce magnifique décor. Inspiré par ses séjours en Italie, l’artiste recompose des motifs proches des paysages qui l’ont tant impressionné. Il introduit notamment le pin parasol dès 1809. Dans ce cadre propice à la rêverie, des spectacles vivants sont organisés tout l'été. Le 31 juillet, un concert flottant, Le Piano du lac, se produira sur la Sèvre. Les musiciens joueront sur l’eau pendant que le public appréciera le spectacle depuis la berge. Et, chaque année, une exposition temporaire ouvre ses portes à la villa Lemot. Pour les spectacles comme pour l'exposition, l'entrée est gratuite. Ce domaine est classé monument historique. Le parc de la Garenne Lemot est en accès libre et gratuit, de 9 h à 20 h (de mai à septembre). Vivez le patrimoine ! ...
Pouvez-vous nous présenter Maladies Rares Infos Services ? Il s’agit d’une association composée d’une équipe de professionnels (médecins, scientifiques) et qui propose une offre globale de services : informer sur les maladies rares, soutenir les patients et leurs familles, les aider à comprendre leur maladie, les orienter dans le parcours de soins mais aussi conseiller les professionnels de la santé et de l’accompagnement social. Des formations « sur-mesure » consacrées aux maladies rares sont d’ailleurs proposées aux professionnels. Nous permettons également à nos usagers d’être accompagnés pour signaler l’effet indésirable d’un médicament. Enfin, nous avons créé, en 2011, l’Observatoire des maladies rares, dont la mission consiste à collecter des données, dont nous manquions jusqu’alors, pour mieux connaître le quotidien des patients et ainsi faire en sorte de l’améliorer. Comment répondez-vous aux questions que l’on vous pose? Par téléphone, mail ou chat. Nous proposons aussi le « réseau social patients maladies rares ». C’est une vraie révolution qui répond à un réel besoin. Sur le Forum Maladies Rares qui regroupe plus de 300 communautés en ligne, les malades mais aussi leurs proches ont la possibilité d’échanger des informations et de partager leurs expériences. Ce réseau social représente aussi une formidable porte d’entrée vers les autres ressources dédiées aux maladies rares. Et chaque année, ce sont quelque 400 000 personnes qui le fréquentent. Sur quoi porte la plupart des questions ? Elles touchent à de nombreuses problématiques. Le plus souvent, les malades et leurs familles veulent comprendre la maladie et ses conséquences. Une autre demande concerne l’orientation des malades. Un patient peut, par exemple, nous solliciter pour être aiguillé vers le centre expert compétent. Beaucoup de questions touchent aussi au lien social. À ce titre, les associations et les communautés en ligne jouent un rôle très important en permettant aux malades de rompre l’isolement. Enfin, nous traitons un grand nombre de demandes qui ont trait à l’accompagnement social des personnes malades et de leurs familles : insertion scolaire, professionnelle, prise en charge, etc. Globalement, nos usagers veulent comprendre, être informés et qu’on les écoute. En quoi l’accès à l’information pose-t-il problème ? En France, on sait produire de l’information de qualité sur les maladies rares. Le problème serait plutôt la communication pour faire en sorte que le plus grand nombre ait accès à l’information disponible et la comprenne. Car c’est là tout le paradoxe : il existe des dispositifs pour prendre en charge les personnes malades, les aider, les accompagner. Pour autant, ces dispositifs sont très peu connus, non seulement des malades eux-mêmes mais aussi des professionnels qui ne sont pas spécialisés. D’où la nécessité de communiquer pour faire savoir qu’il est possible d’obtenir rapidement une information et d’être orienté - vers un centre expert, une association, un acteur de proximité, etc. - en s’adressant à un service de référence tel que Maladies Rares infos Services ou encore Orphanet. En centralisant les informations liées aux maladies rares et en bénéficiant d’une forte visibilité, nous offrons une porte d’entrée unique aux personnes touchées par une maladie rare ainsi qu’aux professionnels avec un objectif : faciliter le parcours de santé et de vie au bénéfice de tous ses acteurs. ...
L’histoire familiale commence en 1900, à l’époque où Louise Brison continue de travailler ses parcelles, et ce, malgré un contexte défavorable en viticulture. Sa ténacité a permis aux générations futures d’hériter d’un riche patrimoine devenu un emblème de qualité et d’originalité en Champagne. Aujourd’hui, Delphine Brulez succède à son père, Francis, et ambitionne de porter haut les couleurs de ses cuvées millésimées. Sublimer la nature et en faire une alliée Sur le terroir de l’Aube, dans la Côte des Bars, la famille Brulez s’emploie à travailler son vignoble de treize hectares dans le respect le plus strict de la plante et du sol. Le pinot noir, à l’origine de la charpente, de l’équilibre et du corps des vins, y est privilégié, bien que les exploitants aient aussi un faible pour le chardonnay, gage de finesse et de légèreté. Interrogée sur les techniques particulières de viticulture utilisées dans son domaine, Delphine Brulez évoque « une démarche raisonnée qui permet de maintenir et de développer l’activité biologique du sol, et d'assurer la santé et la bonne durée de vie des plants. » La vinification, pour sa part, s’effectue en fûts de chêne avec un élevage minimum de six mois « pour apporter sa complexité et ses bulles fines au champagne, bref, tout son potentiel aromatique », déclare-t-elle. Dans une région comme la Champagne, soumise aux vicissitudes du climat, cet important temps de garde contribue effectivement à la plénitude des qualités organoleptiques des vins. Des champagnes de plaisir pour des occasions rares « C’est avec les années que naissent les légendes. » Une belle entrée en matière qui définit la gamme « Légende » produite par la maison. La vinothèque regroupe tous les millésimes créés depuis la naissance de Louise Brison. Des conditions de garde particulièrement pointues ont été mises en place dans l’optique de laisser aux vins le temps d’évoluer selon leur rythme. La gamme « Les petites sœurs », quant à elle, est disponible en trois qualités différentes, à savoir un blanc de blancs, un assemblage de chardonnay et de pinot noir, et enfin un champagne rosé de macération. « Nous avons cette chance de produire des champagnes de repas qui accompagnent toutes les occasions, ainsi que des champagnes de garde », souligne Delphine. ...
L’image du royaume de Maroc est désormais liée à celle de ses nombreux et prestigieux parcours de golf. S’il fait aujourd’hui partie des meilleures destinations golfiques du monde, c’est en grande partie grâce aux initiatives du roi Hassan-II qui a donné son nom au trophée disputé par les champions d’aujourd’hui. Néanmoins, l’essor du golf au Maroc est aussi le fruit de plusieurs années de développement et d’investissement. Plus de cent ans d’histoire Le premier parcours de golf du Maroc a vu le jour en 1914. Il s’agit du Royal Golf du Tanger. Plus tard en 1930, le Royal Golf Mohammedia, un nouveau parcours inspiré de la tradition écossaise a été créé. Le troisième parcours, celui du Royal Golf de Marrakech a ouvert ses portes 3 ans après. Mais le succès du golf marocain n’arrive qu’en 1971, sous le règne du roi Hassan-II. Passionné de golf, il crée un parcours de 45 trous, le plus grand du pays avec l’aide du célèbre architecte Robert Trent Jones Senior. La naissance du parcours Royal Golf Dar Es Salam accompagné du lancement du Trophée Hassan-II donne un vrai coup de pouce au golf marocain. Depuis, les parcours de golf, tous aussi prestigieux les uns que les autres ne cessent de se multiplier au Maroc pour en faire une destination golfique reconnue sur la scène internationale. Aujourd’hui, amateurs et golfeurs professionnels peuvent pratiquer leur sport favori dans le décor idyllique des paysages marocains. Le royaume possède plus de 40 parcours de grande qualité qui s’étendent du nord au sud du pays. Afin de perpétuer la tradition et la passion du golf héritées des souverains marocains, l’accès au golf est aujourd’hui gratuit pendant le tournoi Hassan-II. La fédération royale de golf ambitionne en effet d’élargir la base des pratiquants pour toucher tout le public quel que soit son statut social. Un produit phare du tourisme marocain Bien que la majeure partie des touristes choisissent encore le Maroc pour découvrir les villes anciennes, le golf est aussi devenu une importante source de revenus pour le secteur touristique. En effet, le Trophée Hassan-II étant inscrit dans l’European Tour, les parcours marocains sont mis sous les projecteurs et attirent de plus en plus les golfeurs d’Europe et d’autres pays. Près de la France d’où viennent 20% de ses touristes, le Maroc est la destination golfique privilégiée des français. Outre la proximité du Maroc, le choix des golfeurs est également motivé par l’existence de professionnels des séjours golf comme Parcours & Voyages. Par ailleurs, la création de parcours d’exception à travers le pays vise justement à développer le secteur touristique marocain, les golfeurs étant plus rémunérateurs que les touristes normaux. Il faut noter que les parcours de golf se développent autour d’infrastructures haut de gamme tels les resorts, les académies et les spas. Au Maroc, les emplacements de ces infrastructures permettent aussi de découvrir la richesse naturelle, culturelle et historique du pays. Les principaux parcours golfiques du Maroc Les parcours de golf du Maroc sont installés dans 7 régions aux climats et aux paysages différents. Celle de Marrakech accueille le plus grand nombre de parcours dont le plus connu est celui du Royal Golf de Marrakech. On y compte 12 parcours de 9 à 36 trous adaptés à tous les niveaux. La région d’Agadir quant à elle est marquée par des parcours de renommée internationale étendus sur une belle station balnéaire ensoleillée 300 jours par an. Dans la région de Rabat se trouve le fameux parcours Royal Golf Dar Es Salam, le premier 45 trous qui accueille le tournoi international Hassan-II. Il s’étend sur 440 hectares au cœur d’une nature luxuriante. La côte de Casablanca regroupe également un grand nombre de parcours dont celui du Royal Golf El Jadida, œuvre de l’architecte Cabell B. Robinson. Si vous cherchez un parcours de golf non loin du cœur historique du Maroc, vous pouvez choisir entre ceux de Fès, Meknès et Ifrane. Pour ceux qui veulent découvrir le premier golf du Maroc, le Royal Golf Tanger a su garder son authenticité même après la rénovation. Vous trouverez également dans la région l’un des parcours les ...
AVEKAPETI, c’est la promesse de déguster sur son lieu de travail un bon petit plat fait maison préparé avec amour et générosité par un cordon-bleu du quartier. Un concept simple mais original À l’heure du déjeuner, faute de temps, certains salariés n’ont d’autre choix que d’« avaler » au plus vite sandwichs, hamburgers et autres artifices issus de la restauration rapide. Cela n’est pas sans conséquence sur leur santé. Manger sainement avec le goût et la saveur en prime, c’est ce que leur propose AVEKAPETI. D’un côté, un voisin pétri de talent culinaire et, de l’autre, des salariés affamés qui souhaitent prendre du plaisir à manger comme à la maison. Grâce à son concept, AVEKAPETI réunit tout ce beau monde autour d’une seule et unique cause : l’amour pour la bonne cuisine. Le principe est simple : le gourmet commande en ligne un plat sur lequel il a flashé et choisit l’heure et l’adresse de livraison, ensuite il n’a plus qu’à attendre d’être livré. La livraison est assurée par le chef en personne qui habite dans les environs. Une belle occasion de faire connaissance entre voisins ! AVEKAPETI : des avantages pour tous ! AVEKAPETI donne l’occasion à des particuliers de pouvoir valoriser et exprimer leur talent en cuisine tout en leur permettant d’arrondir leur fin de mois. C’est d’autant plus intéressant pour les parents au foyer, retraités, personnes en recherche d'emploi, en reconversion professionnelle... Pour les entreprises, AVEKAPETI reste la première cantine digitale et collaborative qui peut faire en sorte que leurs salariés puissent profiter au quotidien de succulents repas faits maison à petits prix. Idéal pour des entreprises excentrées qui n'ont pas beaucoup d'offre de restauration autour par exemple. ...
Haut lieu de rencontres professionnelles en Loire-Atlantique, La Baule suscite l’intérêt par son cocktail détonnant entre plage, douceur de vivre et infrastructures d’accueil à la pointe de la technologie. Bienvenue au cœur de l’une des plus belles baies du monde. Destination d’affaires, destination bien-être Sur le littoral atlantique, La Baule est une destination d’excellence, le spot événementiel idéal faisant vivre aux collaborateurs, partenaires ou clients, une expérience mémorable dans une ambiance saine et sereine. Ici, la vaste pinède protégée forme un écrin naturel dans lequel vient se blottir la ville. À proximité, le parc naturel régional de la Brière et les célèbres marais salants de Guérande garantissent un environnement de charme à tous les grands rendez-vous évènementiels. Comment ne pas citer également les villas et hôtels articulés autour d’une mosaïque de styles qui retracent différentes époques ? Par-dessous tout, La Baule tire son charme de sa plage déroulant son arc de cercle sur 9 km. Sur l’une des plus longues plages d’Europe, l’esprit yachting bat son plein. La baie est l’endroit parfait pour pratiquer les activités nautiques et sportives à sensation. Rien de mieux pour se détendre après une séance de travail, tout en respirant l’air frais marin, idéal pour se ressourcer. Et comme la ville justifie d’une identité « tout à pied », aucun problème de déplacement ne viendra se poser. Cet environnement sécurisé, reposant et authentique constitue un gage de qualité et de satisfaction tant pour l’organisateur que les participants qui posent leurs valises sur la destination le temps du congrès. Un engagement fort dans le développement durable En plus d’appartenir au Club des Plus belles baies du monde, la ville est labellisée Pavillon Bleu, une reconnaissance internationale récompensant l’engagement de la destination en faveur de la préservation des espaces naturels et la sauvegarde de son littoral. Cette implication en matière de développement durable va encore plus loin. Le Palais des Congrès Atlantia, l’infrastructure d’accueil des manifestations professionnelles, est le premier site de France (hors Paris) à avoir été certifié ISO 20121, il constitue l’endroit parfait pour organiser un évènement durable. Entièrement rénové en 2014, cet espace est doté d’une surface polyvalente de plus de 3 500 m2, et peut accueillir jusqu’à 900 personnes dans son auditorium. Avec un parc technique à la pointe de la technologie, l’accès au wifi haut débit en fibre optique et un service multimédia innovant, fourni en collaboration avec des start-ups locales, ce bâtiment a tout d’un « palais ». Tous les participants aux évènements qui y sont organisés pourront ensuite rejoindre les 900 chambres d’hôtel situées à proximité immédiate, au cœur d’un parc hôtelier toutes catégories et de standard international, ou quelques-unes des 3 500 chambres situées sur la presqu’île. ...
Le Rendez-Vous Saint-Germain entraîne depuis 2012 les gourmands et les gourmets dans un périple culinaire à la découverte de la cuisine de brasserie et de la bistronomie. Situé à quelques mètres seulement de Saint-Michel, l’établissement propose dès 7 h 30 une formule petit-déjeuner. Ici, liberté et détente accompagnent chaque assiette préparée avec amour et passion de la cuisine française. Un délice en plein Paris Paris, berceau mondial de la haute gastronomie. Mais que dire de sa cuisine typique de bistrot et de brasserie, qui occupe une grande place dans son patrimoine culturel ? Des plats généreusement concoctés pour le plaisir des papilles qui ne demandent qu’à livrer leurs secrets. Le Rendez-Vous Saint-Germain est l’endroit idéal pour déguster ce style de cuisine conviviale et généreuse. Y manger sainement, seul ou en groupe, ou tout simplement y boire un verre, il n’y a rien de mieux. Le chef revisite des recettes traditionnelles du bon terroir, tout en mettant en valeur ses propres créations. Un plus incontournable : tout est frais et tout est fait maison même le chocolat chaud et l'infusion. Une carte riche et équilibrée Difficile de ne pas succomber à la tentation, en voyant ces grandes bâtisses anciennes qui entourent le Rendez-Vous Saint-Germain. Sa terrasse offre une vue imprenable sur le Musée de Cluny, qui, en période d’été, redonne de la magie aux assiettes, à l’exemple de la Salade Auvergnate (jambon de pays, pommes de terre sautées, Cantal, œuf dur) ou encore de la Tarte à l'orange meringuée. Côté plats, les coups de cœur vont au velouté de fèves au lard croustillant, à l'Aïoli et ses légumes fondants ou encore au confit de canard et ses pommes de terre persillées, le tout accompagné d’un vin de propriété soigneusement sélectionné. En dessert, la maison suggère l’incontournable fondant au chocolat ou leur délicieuse crème brûlée. Différentes suggestions sont proposées chaque jour à l'ardoise ainsi qu'une formule à 15,90 euros. Le week-end, un brunch à 20 euros est servi sur réservation. ...
La maladie de Parkinson se caractérise par la disparition de certaines cellules du cerveau, les neurones dopaminergiques, impliquées dans le contrôle des mouvements. Cette maladie affecte ainsi la capacité des personnes qui en souffrent à exécuter des gestes simples de tous les jours, comme écrire, manger, se déplacer… À l’heure actuelle, la maladie ne se guérit pas. Mais il existe des traitements pour diminuer ses effets, avec des médicaments, associés à des séances de sport ou de kinésithérapie. Dans les premières années de la maladie, les patients vivent très bien avec les traitements symptomatiques, mais après dix ou quinze ans les patients présentent des troubles pour lesquels les traitements ne sont pas efficaces dans la durée. Sur le pied de guerre pour trouver des solutions curatives Si des traitements curatifs n’ont pas encore pu être trouvés, c’est parce que les mécanismes de la mort neuronale sont aujourd’hui mal compris, et par ailleurs on ne sait pas diagnostiquer assez tôt la maladie. En effet, la maladie de Parkinson se caractérise par une première phase prodromique, c’est-à-dire que, dans un premier temps, elle n’est pas visible. Et certains traitements pourraient être efficaces si l'on diagnostiquait plus tôt la maladie. Les chercheurs souhaitent donc identifier des biomarqueurs de la maladie, pour repérer au plus tôt les signes de la mort neuronale. Les effets de cette maladie sont différents selon les personnes : lenteurs, tremblements, visages figés… les symptômes sont variables. Cette hétérogénéité des troubles va en faveur de la mise en place de dispositifs de médecine personnalisée : chaque patient doit soigner sa maladie. Dans ce contexte, les jeux thérapeutiques, tels ceux développés par la startup BRAIN e-NOVATION, avec le Dr Marie-Laure Welter à l’ICM, permettent de prendre en charge les patients de manière personnalisée. Des recherches prometteuses Stéphane Hunot, chercheur à l’ICM, et son équipe, cherchent à comprendre les mécanismes à l’origine de la mort neuronale dans la maladie de Parkinson et testent l'effet protecteur de différentes molécules sur les neurones dopaminergiques. ...
Alexandre Chevrollier a créé le réseau Winetailors en 2013. Il met à disposition de ses agents affiliés une formation théorique, un backoffice logistique et commercial, une plateforme d’approvisionnement et un service règlements et recouvrement. Ces agents commerciaux servent d’interlocuteurs entre vignerons et restaurateurs. Winetailors sélectionne principalement les vins auprès de petits producteurs, de jeunes vignerons qui souhaitent développer leur distribution. Ainsi chaque mois, 1 à 4 nouveaux vignerons rejoignent l’offre de Winetailors qui est composée actuellement de 700 références avec 95% de vins français de toutes les régions de l’hexagone et 5% de vins étrangers produits dans 20 pays différents. De plus, Winetailors se charge d’acheter les vins aux vignerons, les stocke dans son entrepôt avant de les commercialiser auprès des restaurateurs, cavistes ou des bars à vins, de préparer les commandes et de les expédier. Aujourd’hui ce sont 25 agents commerciaux, exclusifs ou non exclusifs, qui sillonnent la France pour proposer cette offre unique aux restaurateurs, cavistes ou aux bars à vins. A la fin de l’année 2018, un objectif de 30 nouveaux agents expérimentés, déjà professionnels du vin, devraient renforcer l’équipe commerciale, une équipe parfaitement paritaire entre hommes et femmes. Pour son concept novateur, Winetailors a été récompensé en 2014 par le coup de cœur du trophée Oenovation devant 45 autres entreprises, trophée qui encourage l’innovation des jeunes entrepreneurs dans le secteur vitivinicole, toutes catégories confondues. Les avantages pour les restaurateurs Un applicatif informatique a été spécifiquement développé pour accompagner les agents sur le terrain. En fonction du type de cuisine du restaurant et du ticket moyen des consommateurs, ce logiciel sélectionne une liste des vins les plus adaptés à ces derniers. A partir de cette liste personnalisée et des conseils de l’agent, le restaurateur pourra effectuer un choix plus poussé à partir de la dégustation d’échantillons, puis passer commande auprès de son agent. Il sera livré dans les 72 heures suivantes. Ainsi une seule commande regroupe l’achat de vins à plusieurs vignerons via un seul interlocuteur, avec une facturation et une livraison uniques. Ce dispositif permet aux restaurateurs un maximum de simplicité, moins de contraintes et un gain de temps. En outre, Winetailors s’est investi dans la formation du personnel de salles de restaurant : par exemple comment présenter un vin, comment conseiller un client en fonction de ses goûts et du menu choisi. ...
Une salle ornée de pièces de musée authentiques, une terrasse très prisée en temps estival donnant sur un jardin verdoyant, le cadre séduit d’emblée par la vue bien dégagée sur le lac Léman et les sommets neigeux des Alpes. D’ores et déjà, les yeux se régalent de ce spectacle avant même de découvrir ce que le chef propose. Deux cartes proposées pendant toute l’année Derrière les fourneaux, le chef Gilles Vincent dirige une fine équipe rompue à l’art de la bonne cuisine pour concocter les incontournables du restaurant. Au menu : des plats typiques de la gastronomie française et des recettes inspirées de l’art culinaire asiatique pour sortir des sentiers battus. Du foie gras en entrée, du carré d’agneau servi avec ses pommes galettes et une ratatouille, des soufflés parfumés aux fruits de saison, ce ne sont que des exemples des préparations qui ne font jamais défaut dans le restaurant. Outre la carte classique, le chef et son équipe concoctent également des menus conçus avec des produits frais de saison dans une carte qui se renouvelle quatre à cinq fois dans l’année. Des formules au-delà des cartes Jamais à court de créativité, le restaurant propose des formules toutes faites à l’instar du menu d’affaires et du menu du soir. Le buffet accueille tous les jours les visiteurs désireux de satisfaire leurs palais pour un petit déjeuner, un déjeuner, un dîner et un apéritif. À la demande des clients, un segment de la salle peut être privatisé. Dans la même optique, le personnel se prêtera volontiers aux besoins d’organisation d’une animation personnalisée pour les clients célébrant un événement particulier. Un service à la hauteur de la renommée L’accueil figure parmi les points forts du restaurant. Le chef de la réception, M. Laurent Bouriot résume la ligne directrice de leur politique à ce sujet : « On est toujours à l’écoute du client et on fait tout notre possible pour le satisfaire. » Et ce tout inclut, bien sûr, le wi-fi gratuit sur place, le parking, le garage chauffé, mais aussi et surtout le large choix de grands crus pour accompagner avec goût les assiettes de viande et le filet d’omble chevalier du lac et autres spécialités du restaurant. Pour épater les convives, Toni Mittermair, le directeur propriétaire du domaine, a sélectionné près de 400 références de vins composées de bouteilles venant des caves suisses et françaises. La carte de vins très achalandée met aussi à l’honneur d'autres vins de renommée internationale, vieillis dans plusieurs pays. ...
EnvitéRA se veut comme une interface entre la recherche académique et les acteurs socioéconomiques. Concrètement, la plateforme, portée par le GIS Envirhônalp, s’appuie sur les équipes de recherche académique (médicales, environnementales et des sciences humaines et sociales) pour guider les acteurs socioéconomiques, en leur fournissant des données et des méthodes, et créer des synergies dans le domaine de la santé-environnement. « Notre objectif est de centraliser, de synthétiser et de diffuser des informations sur la thématique », indique Valérie Canivet, responsable de l’animation de la plateforme. « Nous stimulons ainsi les rencontres et les échanges, tout en identifiant les besoins et en aidant au montage des projets. » Cette dynamique n’aurait pu voir le jour sans le soutien, dès le départ, de la Région Rhône-Alpes et de la DREAL, rejointes aujourd’hui par l’Agence régionale de la santé. De multiples partenaires EnvitéRA a ciblé des thématiques d’intérêts comme les pesticides, les nanomatériaux ou l’aménagement du territoire en rapport aux enjeux de santé-environnement. « Concernant les pesticides, dont la France est le premier consommateur, bien que ne disposant d’aucun registre, une phase pilote a été réalisée pour connaître les acteurs disposant de données géoréférencées ou localisables traitant des pesticides et un prototype de géocatalogue a été développé. » Ce travail se poursuit, en collaboration étroite avec son partenaire, l’Unité Cancer Environnement du Centre Léon Bérard, dirigée par le Dr Béatrice Fervers. En termes d’actions, la plateforme a par exemple soutenu, en 2015, le workshop « Nanoparticules, biologie, environnement et santé » sur le campus de Saint-Martin-d’Hères et a apporté son soutien à l’Association de veille et d’information civique sur les enjeux des nanosciences et des nanotechnologies (AVICENN), qui se mobilise pour assurer une veille citoyenne sur les nanomatériaux. N’oublions pas ses liens avec la fondation scientifique Rovaltain, dont l’objectif est de soutenir la recherche en écotoxicologie aux niveaux national et international. L’action de la plateforme EnvitéRA en est complémentaire : elle se situe sur l’animation scientifique de la communauté régionale. Rapprocher acteurs socioéconomiques et recherche académique En plus de consolider ces différents projets, et alors que le troisième PRSE est en cours de construction, EnvitéRA en développe de nouveaux. L’un de ses objectifs est de rapprocher plus encore les acteurs socioéconomiques, et notamment les TPE-PME, du milieu de la recherche académique via un nouveau dispositif. « Il pourrait notamment permettre de financer la présence de stagiaires (niveau master 2, stage de 6 mois) au sein de ces entreprises pour développer des réflexions sur la thématique santé-environnement. » EnvitéRA, avec le soutien d’Envirhônalp, a aussi un rôle majeur à jouer avec la fusion des Régions Rhône-Alpes et Auvergne. L’appel à projets d’EnviteRA, dont la date limite était fixée au 15 décembre, privilégiait notamment les projets développant un partenariat entre les deux Régions. ...
C’est à l’issue de nombreux brassages fructueux, réalisés dans le petit village de Bazincourt-sur-Epte, qu’ils lancent leurs toutes premières recettes. « Nous avons commencé par trois recettes et, [avec le succès de ces dernières], nous avons agrandi notre production », dixit Antoine. Une nouvelle brasserie est alors créée à Gisors, en Haute-Normandie, un lieu entièrement dédié à la production de bières hautes en couleur. En découlent alors deux gammes de produits empreints d’humour et adulés des connaisseurs. La vraie bière de terroir Dans le but de produire une vraie bière de terroir, les deux entrepreneurs ont peaufiné leur savoir-faire et leur maîtrise du processus de brassage en s’inspirant des techniques de fabrication artisanales. Ainsi, la bière produite n’est pas pasteurisée et ne contient ni arômes ni épices. Tout le processus d’élaboration, allant de l’infusion des céréales à la fermentation en fûts et en bouteilles, se fait, par ailleurs, sur place et les matières premières sont collectées dans des coopératives agricoles françaises. « Avec l’orge et le houblon 100 % français, nous avons également notre propre souche de levure que l’on cultive à la brasserie. Cette levure donne le goût caractéristique, qui fait la signature de nos produits. » Des bières légèrement fruitées aux saveurs uniques découlent ainsi de cette passion pour l’authenticité. ...
À la suite d’un voyage à l’étranger, les trois amis, Deborah, Nathaniel et Guillaume, décident de redonner vie au restaurant Les Philosophes, qui était anciennement une brasserie célèbre des années 60, et d’apporter un concept innovant : un bar où l’on peut se servir soi-même. Trois espaces pour trois ambiances Depuis sa reprise en 2017, Les Philosophes baigne ses visiteurs dans trois ambiances différentes à travers son bar, sa brasserie et ses salons dont la décoration revêt une touche « travaillée et recherchée », selon Ellie Makris, Responsable de la Communication et du marketing. La brasserie invite les clients dans un voyage temporel vers les années 20 avec les tables en marbre, en cuivre et en bois, les papiers peints et les objets décoratifs au ton anthracite. Au bar, le thème des années 20 est maintenu, mais avec un côté cosy très prononcé grâce aux tables hautes et les tabourets en rotin, les fauteuils en velours et le carrelage à l’ancien. À l’étage, c’est tout un univers doux et chaleureux avec ses murs framboise et ses parkas à l’ancienne, qui accueille des réunions, séminaires, événements et cocktails. En cuisine, les grands classiques revisités Les « plats de grand-mère revisités », telle est la description de la cuisine proposée à la Brasserie, selon les mots d'Ellie Makris. Le chef revisite les préparations traditionnelles françaises avec les produits locaux et de saison dans une carte qui change tous les 3 mois. La signature de la maison : les Tartares fait-maison, de viande ou de poissons, préparés devant les clients et accommodés aux condiments de leurs choix. La nouveauté du moment est représentée par les Tartares flambées qui promettent des saveurs à embraser le palais. Pour le déjeuner, le restaurant propose le menu du jour entrée-plat-dessert qui ravira les fins gourmets. Tous les dimanches, les gourmands invétérés viennent au Philosophes pour prendre le brunch dans une ambiance conviviale qui donne l’impression d’être chez soi ou chez des amis. Des vins et des champagnes Outre les boissons servies habituellement dans les restaurants, Mme Makris affirme avec fierté que Les Philosophes possède une « carte de vin très fournie ». Des bouteilles suisses, françaises et nature s’alignent aux côtés des 20 références de champagnes dans le bar où les clients choisissent leur breuvage à leur convenance, comme s’ils étaient « chez des amis ». Ils prennent eux-mêmes leurs verres, leurs bacs à glaçons et piquent à la planchette tapenade, fromage ou légumes, bref l’apéro qui leur fait envie avant de regagner leurs places. C'est ce concept de « se servir soi-même » dans une ambiance détendue et festive que les fondateurs veulent aussi faire profiter à la clientèle. ...
Le restaurant Ker Soazig est né dans une volonté de mettre en avant les produits du terroir breton, de valoriser le circuit court et les produits de saison et, par-dessus tout, de prouver qu’il est tout à fait possible de manger bio sans forcément se ruiner. Particulièrement engagé dans cette démarche, Philippe Le Duff a lancé cette crêperie et ce bistrot breton en hommage à sa grand-mère Soazig Kersauson, dont le souvenir plane dans les moindres recoins de cet établissement au charme simple et naturel. Que du bio, que du frais « De la fourche à la fourchette », une notion qui prend tout son sens dès que l’on se met à décortiquer un peu le mode de fonctionnement du restaurant. Afin de respecter son engagement dans le développement durable et dans une optique de promouvoir une alimentation de qualité, Philippe Le Duff a créé la Ferme des loges (proche de Rennes), au sein de laquelle il cultive son propre blé noir 100 % bio (utilisé pour la fabrication des galettes). ILe blé est ensuite moulu à la meule de pierre, comme autrefois, ce qui préserve toutes ses qualités nutritives et gustatives. Pour le reste, la maison ira les chercher auprès des producteurs locaux. Elle travaille aussi en étroite collaboration avec des fournisseurs bio comme Biocoop. Des recettes d’hier et d’aujourd’hui « 100% bio, Ker Soazig essaie aussi d’être 100 % bon. » La carte a été construite selon des recettes inspirées de Soazig Kersauson, la grand-mère de Philippe. Véritable fermière bretonne, elle a su préserver les secrets de la bonne cuisine d’autrefois, qui contribuent aujourd’hui au succès du restaurant. Vous pourrez ainsi retrouver la fameuse crêpe épaisse, « Fraz Pitilig », un dessert typiquement breton. Des menus pour tous les budgets Premier restaurant certifié 100 % bio en France, Ker Soazig est aussi l’un des rares établissements à proposer des tarifs réellement adaptés à tous les budgets. Ainsi, pour moins de 10 €, il sera possible de déguster un menu composé d’un plat et d’un dessert. Le menu enfant, quant à lui, est tarifé à moins de 8 €. Toutes ces suggestions gourmandes se dégustent dans un décor intemporel à l’image de la Bretagne. Dans ce restaurant atypique, on se promène à la découverte de la maison Soazig à travers la remise, l’espace grenier constitué de mobiliers authentiques chinés dans les brocantes ou encore la salle centrale, dont le style est inspiré de son ancienne salle à manger. ...
La Bourgogne-Franche-Comté, une région de bonne cuisine La Bourgogne-Franche-Comté produit des escargots, le bœuf charolais et le poulet de Bresse qui servent à la préparation de plats délicieux comme le filet de bœuf charolais aux champignons et le poulet de Bresse à la crème aux truffes. Le comté, fromage produit en Franche-Comté, est un des plus utilisés dans la cuisine française. La région se veut être une des régions françaises les plus connues en matière de bonne cuisine. Les spécialités régionales sont, entre autres, le bœuf bourguignon et le coq au vin. Elle est aussi connue pour son vignoble qui compte plus de 80 AOC de Bourgogne et celui du Jura qui produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura ainsi que des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois. Le Rabutin, de père en fils Le Rabutin est un restaurant pizzeria traiteur ouvert en 2000 par M. Funès. Armé d’une quarantaine d’années d’expérience culinaire, il y travaille depuis 2002 avec son fils Mickael. Le restaurant charme par sa proximité avec le château de Bussy-Rabutin et le Muséoparc d’Alésia, dans la ville d’Alise-Sainte-Reine. À l’extérieur de l’établissement, on trouve une terrasse fleurie et ombragée. L’intérieur est magnifiquement décoré selon le gout du propriétaire. En effet Mickael Funès est passionné de Harley Davidson. « À partir du moment où le client entre dans le restaurant, il entre chez moi. Je l’ai décoré sur un thème un peu rétro, un peu Harley », nous explique-t-il. Le restaurant compte aussi un bar et dipose d’une salle des fêtes à proximité, qui accueille des concerts sur invitation et bien d’autres évènements. Une cuisine familiale et traditionnelle bourguignonne Le Rabutin propose des pizzas à l’andouillette et à l’époisses avec des huiles d’olive méticuleusement sélectionnées et des farines importées d’Italie. Mais le restaurant fait de la cuisine traditionnelle bourguignonne son véritable point d’honneur. Mickael Funès utilise 98 % de produits frais comme le bœuf charolais de Bourgogne, le poulet de Bresse, les betteraves, les concombres, les tomates, les œufs. Il s’assure bien évidemment que ce sont des produits locaux de qualité. « Nous proposons des assiettes très généreuses avec des produits de qualité. Nous servons du label Charolais de Bourgogne », souligne-t-il. Il travaille aussi avec des producteurs locaux bien connus comme Ma très bonne glace. Le Rabutin, c’est aussi un service traiteur avec des buffets campagnards, dont des plateaux de charcuterie issues du Jura, du Doubs et du Morvan. Pour l’entrée, le choix est vaste. Les œufs cocotte à la dijonnaise sont une cuisson d’œufs frais dans une petite cocotte, dans un four à pizza à très haute température. En fin de cuisson, on y rajoute une petite sauce crème à la moutarde à l’ancienne. Il sont servis avec des mouillettes et s’accordent parfaitement avec du vin blanc. La terrine de campagne maison est une terrine de campagne traditionnelle faite à base de gorge de porc et de foies de volaille. Cette entrée est dressée avec une tranche de terrine, un petit bouquet de salade verte à l’huile d’olive bio et au vinaigre balsamique, ainsi que des framboises. Elle s’accorde parfaitement avec le Boisset Bourgogne. Pour le plat principal, la tête de veau traditionnelle est cuisinée avec du veau Charolais de Bourgogne et servie chaude avec sa sauce Gribiche et des pommes vapeur. Les œufs en meurette sont des œufs pochés dans du vin rouge, égouttés, servis sur un crouton de pain aillé et nappés d’une sauce au vin rouge. Ils sont parfaits avec des vins d’appellation Maranges comme les Clos Roussots. La mousse au chocolat, la crème caramel, la crème brulée au grand marnier, la tarte aux fruits de saison et la crème de cassis de Dijon sont les principaux desserts du Rabutin. ...
Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien ! À la fois gite et maison d’hôtes L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer. Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise. Une cuisine simple et savoureuse À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril. Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés. La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat. L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années. ...
CHÂTEAU DEFFENDS : SON PROPRIÉTAIRE D’officier parachutiste des Troupes de Marine à vigneron indépendant, le parcours du propriétaire actuel du domaine du Deffends est une histoire passionnante à écouter. Au cours des années 1990, la Famille Vergès s’intéressa à ce château. Renouant avec une tradition viticole familiale en provenance des Pyrénées-Orientales, du plateau du Capcir puis des plaines de la côte Vermeille. Xavier Vergès quitte les formations militaires auxquels il appartient depuis plus d’une quinzaine d’années et se plonge dans la gestion de la belle Dame du Deffends. Le vignoble poli par le Mistral a commencé à prendre quelques rides mais jouit toujours d’une excellente réputation. La mission est simple et ardue à la fois : lui offrir une seconde jeunesse. Pour ce faire, il s’entoure d’une équipe de techniciens passionnés qui se chargent de l’épauler dans la réfection du vignoble, l’élaboration de vins de qualité et la gestion quotidienne du vignoble. Il recrute d’anciens militaires de son entourage qu’il reconvertit au travail de la vigne. La famille Vergès, actuelle propriétaire de ce lieu ancestral, perpétue avec passion les traditions instaurées jadis par ses aïeux. CHÂTEAU DEFFENDS : HISTORIQUE Nous sommes au 16° siècle : le Domaine situé sur la Commune de Carnoules en bordure du massif des Maures est bâti par la congrégation des soeurs Ursulines du Sacré Coeur de Jésus. Celles-ci se consacrent à l’éducation des filles ainsi qu’aux soins des malades et des nécessiteux. La Bastide centrale porte alors le nom de « Fulconier ». Le lieu-dit du « Deffends » composé de terres agricoles riches et fertiles est alors le garde à manger du village de Carnoules. On y trouve principalement la culture de la vigne, des oliviers et des arbres fruitiers. C’est au 19° siècle que l’exploitation agri-viticole sera appelée alors dans sa globalité le domaine du Deffends et sera acquis par le célèbre homme de loi Toulonnais, Noël Blache. Avocat de profession, passionné d’agronomie, il orchestrera la création de caves coopératives dans tout le Var. En 1870, il est élu Maire de la ville de Toulon. La légende dit que Noël Blache, homme politique varois et avocat célèbre du XIXe siècle, passionné d’agronomie avait acquis le Château Deffends pour s’éloigner des bruits du grand port. Il se dit même qu’il avait grand mal à quitter son domaine. CHÂTEAU DEFFENDS : LE TERROIR Au cours des siècles, le Château DEFFENDS sera réputé pour ses vins de grande qualité aussi structurés qu’élégants. Site privilégié bâti sur des terrasses de graves argilocalcaires, le Château domine la plaine des Maures. Orientés vers la mer, les 30 hectares de vignes s’organisent sur une douce inclinaison, caressée paisiblement par un soleil puissant, lui conférant ainsi son caractère immuable. Une légère brise maritime accompagne lentement les raisins vers leur maturation. Ce terroir affirmé, au coeur de l’Appellation Côtes de Provence, offre aux passionnés des vins d’exception. CHÂTEAU DEFFENDS : MÉTHODE DE VINIFICATION Classés en AOC Côtes de Provence et maintes fois récompensés dans les guides et Concours nationaux, les vins du Deffends sauront vous séduire par leurs qualités et leur élégance. Caractérisés par un subtil mélange entre typicité et finesse, ils donnent des millésimes d’excellence. La réfection du Vignoble engagée par Xavier Vergès a vu le renouvellement de 60% du vignoble en dix ans. L’introduction de nouveaux cépages a permis de diversifier la palette des assemblages. Ainsi, nous voyons pousser des Sémillons, des tibourens, du cabernet sauvignon, du vermentino à côté de nos traditionnels grenaches, cinsaults, syrahs et des éternels carignans. La conduite du vignoble en agriculture raisonnée de type « terra vitis » devient vite une évidence. Les rendements sont globalement moyens à faibles suivant l’âge des vignes, permettant un joli travail qualitatif et une belle sélection de j...
Au cœur du village de Bourgvilain, l’auberge Larochette séduit par son décor unique mais simple. A l’extérieur, la façade artistiquement dressée attire instinctivement le regard des passants. Durant les beaux jours, la terrasse ombragée et fleurie permet de profiter pleinement de la beauté du paysage et de s’imprégner à l’atmosphère de la région. En rouge et crème, l’intérieur de l’auberge reflète le parfait équilibre entre le luxe et la simplicité. Les meubles anciens réaffirment le côté « vieille auberge » de l’établissement tandis que les objets de décoration contemporaine, signés Faïencerie de Charolles, témoignent de l’esprit jeune et moderne de ses nouveaux propriétaires, Céline Becker et Nicolas Guillaume. Dotés d’un esprit artistique, ils exposent plusieurs toiles de Marie Ecochard et de Thedy sur les murs, pour le grand plaisir des passionnés d’art. Et pour couronner le tout, la bougie allumée sur chaque table et le feu qui crépite de la cheminée apportent une touche chic & cosy à l’ensemble. Une symphonie culinaire Depuis une centaine d’années, l’auberge Larochette est un lieu emblématique de la ville de Bourgvilain. Aujourd’hui encore, l’auberge continue à maintenir les valeurs qui ont fait sa fierté : une cuisine gourmande dans un cadre chaleureux. En cuisine, le chef Nicolas fait preuve de justesse et propose des plats à la fois traditionnels et créatifs. Les convives auront le choix entre trois menus différents selon leurs envies en plus d’un menu du jour servi tous les midis et constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. Avec le menu tradition, ils redécouvriront le goût authentique des produits fermiers du terroir grâce aux plats simples et savoureux préparés avec passion par le chef. A l’honneur : une salade de pomme de terre, maquereau fumé maison accompagné de roquette suivi d’un suprême de poulet, déclinaison de patate douce, jus de poulet au miel de pissenlit et baies de Goji. Avec le menu du terroir charolais, ils pourront déguster aux plats phares de l’auberge comme l’entrecôte charolaise juste poêlée accompagnée d’un gratin dauphinois ou encore, en dessert, le fameux soufflé chaud aux fruits de la passion. Dans le menu gourmand, le chef les invite à découvrir des plats semi-gastronomiques et raffinés comme la mousse légère de crustacé accompagnée d’un crabe royal en salade et d’un espuma d’avocat ou encore du Rouget barbet doré aux poireaux, accompagné d’une soupe de poissons. Dans les assiettes, le chef cherche surtout à exposer le goût et les saveurs en laissant les produits s’exprimer. Et pour assurer la qualité de ses créations culinaires, il se montre particulièrement exigeant sur le choix des produits qu’il utilise et s’approvisionne autant que possible auprès des producteurs locaux. Par ailleurs, il veille à ce que chaque plat s’accorde avec la bonne collection de vins, régionaux et venus d’ailleurs, de l’établissement. D’ailleurs, les convives pourront même choisir deux ou trois bouteilles en même temps puisque la carte propose des vins en demi-bouteille. Un talent à découvrir Du haut de ses trente ans, le chef Nicolas fait preuve d’une grande maturité. A la tête de l’auberge depuis janvier 2015 avec sa compagne Céline, il s’est rapidement démarqué et s’est bâti une très bonne réputation qui grandit à une vive allure. D’ailleurs, moins de douze mois après son ouverture, l’auberge Larochette a obtenu son bib gourmand et sa fourchette auprès du Guide Michelin. Pour Nicolas, la cuisine est avant tout une passion. En quête de l’excellence, il ne cesse de se réinventer et de tester de nouvelles saveurs pour emmener ses convives vers un voyage culinaire inédit. ...
Implanté dans les Alpes-Maritimes, dans un bâtiment indépendant de Saint-Laurent-du-Var, Horus Pharma voit le jour en 2003 suite à l’initiative de deux passionnés d’ophtalmologie et de docteurs en pharmacie : Martine et Claude Claret. Outre leurs compétences dans le domaine pharmaceutique, ces derniers bénéficient également d’une expertise poussée en recherche et développement ainsi qu’en business development. Depuis sa création, Horus Pharma enrichit sa gamme de produits dédiés aux soins oculaires et de la paupière en élaborant des techniques de fabrication révolutionnaires qui combinent efficacité et innocuité. Il se positionne à présent comme un acteur de pointe en matière d’innovation en ophtalmologie et en dermatologie, notamment dans le secteur biopharmaceutique et la commercialisation de produits sans conservateur. Militant du « sans conservateurs » Afin de se faire une place parmi les mastodontes à l’international, les laboratoires pharmaceutiques Horus Pharma développent en permanence des produits inoffensifs pour l’œil, répondant parfaitement aux besoins des patients et des praticiens. Fort de vingt-cinq ans d’expérience dans l’ophtalmologie, l’entreprise familiale poursuit une démarche novatrice appuyée par le savoir-faire d’une équipe dédiée, dont l’objectif est de formuler des produits nouvelle génération respectant la santé de l’œil, la paupière et leurs annexes, donc des produits sans conservateurs. De la R&D naît l’innovation Outre l’expertise, l’innovation constitue le pilier de la croissance des laboratoires Horus Pharma. Pour eux, elle passe avant tout par des recherches approfondies et permanentes afin d’offrir aux patients des produits thérapeutiques efficaces et sans effets indésirables. Chaque année, les dirigeants de l’entreprise consacrent 10 % de leur chiffre d’affaires à la Recherche et au Développement et envisagent d’augmenter ce pourcentage jusqu’à 15 % d’ici 2020. Parmi les fruits de la R&D d’Horus Pharma, figurent de nombreux brevets à l’instar de l’Epifree® Technology. Cette méthode de fabrication particulière est basée sur une technique de stérilisation à basse température permettant de conserver la qualité microbiologique des actifs tout en excluant les produits chimiques. Vient ensuite le brevet Free System®, un procédé de flaconnage pour collyre élaboré en partenariat avec le CEMEF (Centre de mise en forme de matériaux). Il permet d’éviter l’intégration des conservateurs aux formulations des flacons et offre une utilisation facile grâce à l’ergonomie de ceux-ci, surtout par les personnes âgées. Les laboratoires Horus Pharma développent et commercialisent entre autres une large gamme de produits comportant aussi bien des médicaments que des DM (dispositifs médicaux) et des compléments alimentaires. À part les champs d’expertise couverts auparavant, notamment l’ophtalmologie, la micronutrition oculaire, l’affection des paupières et la contactologie, ils intègrent actuellement une nouvelle division chirurgie dans leur R&D qui propose différentes solutions chirurgicales, périchirurgicales et pour l’assistance au diagnostic des maladies de l’œil. ...
Ne cherchez plus ! La demeure d’hôtes familiale Haec Otia est faite pour vous. Au milieu d’un vaste parc de 6 000 m², à deux pas du centre-ville, Haec Otia se trouve aussi à une dizaine de minutes de la plage, dans un environnement calme et aéré, propice à la détente et à la concentration. Idéal, si vous souhaitez, par exemple, organiser des séminaires de cohésion. Dans cet « esprit de travail » optimal, une place prépondérante est accordée à l’élégance. Peu importe la chambre (ou suite) où vous allez séjourner, vous aurez toujours le plaisir d’y découvrir un véritable univers inspiré de la haute couture. La chambre Kelly et son salon chaleureux ; la chambre Courrèges, imprégnée de blanc ; la suite Mademoiselle Gabrielle et son superbe bow-window ; la suite Monsieur, alliant le chic et l’élégance de Dior ; la suite Ralph’s, qui vous invite au voyage ; ou encore les gîtes Hélène de… et Majorelle de Y… À vous de choisir ! Élégance du service, élégance de la décoration mais aussi et surtout « élégance du cœur » dans la manière dont Haec Otia va vous accueillir ! Votre espace de travail Un dossier lourd ou un bilan à terminer ? De nouveaux objectifs à fixer pour votre équipe ? Dans votre salle de réunion, tout est minutieusement organisé et préparé. Réunion de direction, lancement de produit, exposition : chez Haec Otia, les possibilités sont multiples. À la recherche d’une atmosphère de quiétude et de bien-être ? Ce lieu est fait pour vous. L’attention particulière accordée à la qualité de votre accueil ne pourra que vous séduire : vous et l’ensemble des collaborateurs que vous convierez… La capacité d’accueil est de 17 personnes. Sur place : piscine spacieuse et couverte, et hammam. ...
L’établissement est situé dans le centre-ville de Bordeaux, afin de répondre aux besoins de proximité. Il est le fruit du regroupement de trois établissements historiques de Bordeaux. Avec une importance particulière accordée au développement durable, les locaux neufs et adaptés participent à l’objectif d’amélioration de la qualité de la prise en charge et des conditions de travail en proposant un environnement confortable et adapté. La Nouvelle Clinique Bel Air est un pôle de référence pour de nombreuses spécialités : la chirurgie du rachis, la médecine et la chirurgie urologique, la chirurgie cancérologique, la chirurgie esthétique-plastique et reconstructrice, la chirurgie maxillo-faciale, la chirurgie ophtalmologique, la chirurgie ORL face et cou, la chirurgie orthopédique, la chirurgie stomatologique, la médecine du sommeil et la radiologie. La Nouvelle Clinique Bel Air est également dotée d’un centre de chirurgie réfractive et d’un plateau d’explorations fonctionnelles ophtalmologiques. Ses équipements Afin de proposer un parcours adapté, la clinique dispose de 800 m2 de consultation et d’un service de radiologie. 120 lits et places accueillent chaque jour les patients. Des espaces familles et détente sont à disposition. Un centre autonome de la chirurgie de la cataracte favorise cette prise en charge de très courte durée pour plus de confort. Un plateau technique performant est composé de dix salles opératoires, de deux salles d’endoscopies, et d'une stérilisation. Des équipements performants pour toutes les spécialités, pour une chirurgie de qualité. La qualité de l’offre de soins 102 praticiens libéraux et 170 salariés travaillent chaque jour à la bonne prise en charge des patients. L’écoute tout au long du séjour du patient est une priorité. Les parcours patients sont adaptés pour favoriser les séjours de courte durée et l’ambulatoire. La Nouvelle Clinique Bel Air accueille chaque année près de 20 000 patients, pour 60 % d’entre eux en ambulatoire. La clinique est l’établissement qui accueille le plus de patients en ambulatoire dans la région. Les circuits et organisations sont donc favorisés. ...
Passer le cap du rêve à la réalité, c’est avec ambition, courage, travail que ce citadin parisien, passionné de longue date par le monde viticole a créé en 2018, un nouveau vin de Faugeres , le domaine de Monthélys . Un pari un peu fou qui aujourd'hui connaît ses premiers succès. Néo-vigneron, Henri Monteux, ancien imprimeur de métier, était à la recherche d’un grand terroir dans son département de cœur, l’Hérault ; il est tombé très vite amoureux des paysages du Piémont des Cévennes, à Faugères. Un terroir à prédominance de schiste Situé au cœur du village médiéval de Cabrerolles, dans le Parc naturel du Haut-Languedoc, perché à 300 mètres d’altitude, le domaine de Monthélys s’étend sur cinq hectares. Sur ce terroir spécifique, au croisement de la nature et de la montagne, le domaine bénéficie de tous les bienfaits du climat méditerranéen et de l’éclat du schiste présent dans le sol qui apporte son caractère et sa note de fraicheur aux vignes. C’est d’ailleurs cette typicité géologique singulière du schiste, signature du terroir de l’Appellation d’Origine Protégée Faugères, qui fait l’authenticité des crus du domaine de Monthélys…. une singularité des nuances de schiste, reflétée sur les étiquettes de ses crus, promettant déjà une dégustation ensoleillée, fruitée et empreinte d’émotions, pour accompagner les plats à une tablée ou tout simplement autour d’un apéritif. Des cuvées d’inspiration Les vins phares du domaine de Monthélys reflètent l’esprit du domaine et l’identité de ce terroir empreint d’histoire. Pour les Rouges, les cépages sont le grenache, la syrah, le mourvèdre, et le carignan. Les vins y sont solaires, gourmands et croquants comme la cuvée « Gris de schiste », couleur rubis, à dominante de grenache. Les crus arborent également des notes d’élégance comme « Bleus de schiste « (syrah récoltée en pleine maturité, mourvèdre et grenache) ou encore « Ors de schiste « puissant et complexe. Le Blanc est un assemblage de grenache blanc et de marsanne, aux arômes floraux, de poire, de pêche. Une certaine rondeur s’exprime en bouche, s’épanouissant par une belle persistance. Le Rosé, aux jolies notes d’agrumes et de groseille vient compléter la gamme. Une conversion en bio Engagé, prônant l’esprit de l’authenticité, respectueux du terroir et de l’environnement, le fondateur du domaine de Monthélys n’utilise ni herbicides, ni pesticides sur ses terres. Les vendanges se font à la main à juste maturité dans des cagettes traditionnelles. Il préfère d’ailleurs des élevages plus discrets en cuve que ceux en barriques. Dans cet esprit de conservation et de préservation de l’environnement, le domaine en est à sa troisième année de conversion en agriculture bio. La vendange 2021 de son vin Faugeres sera certifiée 100% Bio. ...