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LES ARTICLES LES PLUS LUS

Hypno-coaching ou Explorer son monde intérieur pour changer le monde

Sur le chemin du changement, il y a de nombreuses approches et cela peut être un véritable défi de choisir celle qui libèrera votre potentiel. De plus, choisir le bon professionnel est une décision importante et personnelle. Elodie Parent, Rapid Transformational Coach, s’est personnellement formée auprès de Marisa Peer, élue thérapeute n°1 en Angleterre par le magazine Tatler et qui a gagné 5 prix internationaux dont récemment le fameux Stevie Awards. Elle peut vous accompagner pour des transformations individuelles et collectives. À travers son coaching vous pourrez libérer votre énergie au service d’une prise de décision éclairée et de la puissance de votre action. Pour un accompagnement en Rapid Transformational Coaching individuel, il faut compter environ 3 séances. La première va permettre de traiter les principaux blocages qui empêchent de libérer tout son potentiel. La seconde pourra être consacrée à se connecter à sa mission de vie, ce qui fait son unicité et ainsi permettra de prendre des décisions de manière plus éclairée et en sérénité. La troisième pourra se centrer sur les manières d’intégrer la nouvelle version de soi dans la réalité du quotidien. Rapid Transformational Coaching ? Rapid Transformational Coaching (RTC) et Thérapie (RTT) relèvent d’une seule approche particulièrement innovante et créée par Marisa Peer, auteure de plusieurs Best Sellers dont Ultimate Confidence et Hypnothérapeute de la famille royale, d’athlètes olympiques et de nombreuses stars. Cette approche est reconnue par les plus grands organismes professionnels dont le General Hypnotherapy Register et The American Board of Hypnotherapy. Après 30 ans de pratique, Marisa Peer a mis au point un protocole unique permettant entre autres de se connecter à des scènes passées et des émotions enfouies, à l’origine des blocages, et de les traiter. Cela afin d’enclencher une libération en profondeur et durable. L’incroyable CAPACITE de notre cerveau à être réceptif aux suggestions Pour que l’incroyable capacité du cerveau à être réceptif aux suggestions soit activée, il faut que la personne soit en état d’hypnose. À travers des suggestions, le Rapid Transformational Coach pourra alors faciliter un travail en profondeur du client. Il peut par exemple suggérer à la personne « qu’elle rayonne la confiance en soi ». Elle va alors se voir rayonnant vraiment la confiance et ce faisant elle active concrètement toutes les ressources qu’elle a en elle dans ce but. Ce qui n’est au début qu’une suggestion s’imprime pour devenir une réalité, une nouvelle habitude. Remonter aux sources du blocage Mais cela n’est pas suffisant, si un blocage inconscient est ancré en soi, il pourra empêcher la suggestion de fonctionner. C’est en cela que RTC/RTT est une approche incroyablement efficace car elle permet de remonter à l’origine du blocage inconscient et de le traiter. Les suggestions vont ensuite pouvoir fonctionner. La session comprend trois étapes : la première consiste à plonger au plus profond de soi même pour revisiter la source d’un blocage. Lors de la seconde étape le client pourra ensuite réaliser un travail de détective pour identifier les liens entre son interprétation des scènes « visitées » et son blocage actuel. Il va ainsi commencer à changer sa relation à son vécu pour se libérer. Il va également pouvoir désactiver des émotions inconscientes qui le bloquaient. La troisième partie de la session, où le patient va simplement écouter les suggestions du RT Coach, est enregistrée afin de permettre au client/patient de repartir avec un audio unique construit sur mesure en fonction de ce qu’il s’est passé pendant la séance. Cet audio lui permettra de se mettre en autohypnose afin d’imprimer les nouvelles « habitudes ». Le mental et le corps, en parfaite connexion, peuvent faire des miracles Cette approche conduit à des changements puissants et permanents. Elle permet au cerveau de dialoguer avec le reste du corps et réciproquement. Après avoir traité l’origine du blocage, cette communication « mental-corps » devient particuli&e...

Château Loupiac-Gaudiet :
une terre de passion en AOC Loupiac

Situé à 30 min de Bordeaux sur les coteaux surplombant la rive droite de la Garonne, le Château Loupiac-Gaudiet est une propriété viticole exposée plein sud en AOC Loupiac. Entourée de vignes, le château s’étend sur un domaine d’une superficie de 29 hectares, dont 27 en production de vin blanc liquoreux et 2 en bordeaux rouge. Bénéficiant d’un sol argilo-calcaire et d’un climat marqué par des brumes matinales et des après-midis ensoleillés, les conditions météorologiques sont réunies pour favoriser le développement du Botrytis Cinerea. Un champignon qui attaque directement la graine du raisin, fait sortir l’eau à l’extérieur du fruit pour lui donner une richesse en sucre et un aspect « rôti » aux tons violacés virant au marron bleu profond lors des vendanges successives (2 à 4) qui peuvent se dérouler sur une même parcelle.  Comme nous l’explique Nicolas Sanfourche : « C’est avec toutes ces conditions que nos vins sont naturellement sucrés. Une fois que l’on a transformé une certaine partie du sucre en alcool, il nous reste du sucre naturel qui permet de faire des vins liquoreux. »  Château Loupiac-Gaudiet : des vins en AOC Loupiac L’appellation d’origine contrôlée Loupiac s’étend dans son ensemble sur 350 hectares environ et regroupe une cinquantaine de producteurs. Cette appellation est très appréciée depuis longtemps pour la justesse de son travail et pour ses vins liquoreux. Initialement reconnue par décret du 11 septembre 1936, l’appellation Loupiac porte déjà ses origines au IVe siècle, à l’époque de la Gaule romaine où le poète Ausone aimait chanter les louanges de la vigne et de ce terroir si particulier. Le vignoble est un assemblage de cépages à 90 % de sémillon et 10 % de sauvignon. Le sémillon, cépage roi des vins de Loupiac et du Château Loupiac-Gaudiet, est originaire de la Gironde. Il permet de produire des vins blancs essentiellement liquoreux de très grande qualité et ayant pour principal atout de retransmettre dans le gout de son vin l’expression de sa maturité et son côté très fruité. Le sauvignon, quant à lui, est un cépage blanc qui, en accord avec le cépage frère du sémillon, permet dans l’assemblage des vins de Loupiac d’apporter fraicheur et minéralité avec des arômes de fruits blancs. Une alchimie complexe qui permet de produire des vins de grande qualité, riches naturellement en sucre, dotés d’une structure élégante soutenue par une délicate acidité. « Nos vins se bonifient avec l’âge  et correspondent au gout que nous souhaitons y trouver », souligne Nicolas Sanfourche. « De manière générale, un vin liquoreux jeune sera davantage porté sur le fruit, plus vif, plus acidulé, plus nerveux et facile à boire. Un Loupiac d’une dizaine d’années gagne en complexité avec une palette aromatique subtile de fruits confits, d’abricot, d’eucalyptus et des notes d’agrumes. En bouche, une longueur onctueuse, ample, révélant des sucres encore bien présents, avec des sensations étonnantes et, au final, une légère acidité qui apporte un côté minéral et une fraicheur au vin. » Bien qu’ils peuvent se boire jeune, après un vieillissement de 2 ans au minimum, les vins en AOC Loupiac possèdent un bon potentiel de garde. 15 ans et plus pour les grands millésimes.   Château Loupiac-Gaudiet 2010 : un millésime de grande qualité    Comme ses vieux ainés 1929, 1949, 1959, l’année 2010 est classée parmi les millésimes d’exception à privilégier. La presse spécialisée, dont le célèbre guide des experts du vin Gilbert & Gaillard (2014), a d’ailleurs attribué au Château Loupiac-Gaudiet 2010 une note de 85/100, en le classant comme « un vin de très bon niveau, dont nous avons apprécié la typicité et la personnalité ».  Il a été également retenu parmi les 5 liquoreux à découvrir dans la Revue du vin de France de juin 2010 et a reçu deux étoiles au Guide Hachette 20...

Malindo : du thé et des tisanes 100 % bio

Après un parcours estudiantin en marketing, le fondateur de Malindo s’est donné pour objectif de faire découvrir à ses compatriotes le goût du vrai thé. « C’est lors de ces voyages que j’ai pu découvrir les divers arômes et senteurs de ce produit, une découverte que j’ai voulu partager autour de moi », explique-t-il. Il décide alors de monter sa propre entreprise spécialisée dans la vente de thés, de tisanes classiques et de légumes ainsi que de rooibos. Ces produits de qualité sont tous garantis sans OGM ni pesticides, le gage précieux d’une alimentation saine pour les consommateurs. La production du thé, et des autres produits proposés par l’enseigne, répond, en effet, à des normes strictes régies par l’ETP (Ethical Tea Partnership), un organisme à but non lucratif qui s’assure du caractère éthique et durable de l’exploitation d’une plantation. Tour d’horizon donc sur cette marque prônant le partage, le respect de la nature et la qualité. Une large gamme de thés haut de gamme De par sa marque, Driss Boughachiche souhaite vulgariser une culture du thé basée sur l’authenticité. « Je souhaite faire découvrir le thé brut aux Français, un produit jaune, blanc ou noir pouvant être infusé de nombreuses fois, un aspect qui peut attester de sa qualité », reprend-il. Outre le thé vert classique, la plante se décline par ailleurs en plusieurs variétés, pour ne citer que le wulong, le maté, le thé bleu ou le thé blanc. Malindo propose alors la plupart de ces variétés de thé, rares pour certains, dans une gamme riche en arômes et en saveurs, la promesse d’un voyage inédit et gourmand. Cette boisson, consommée dans certains pays d’Asie depuis des siècles, se veut, entre autres, riche d’une multitude de bienfaits, allant de ses vertus antioxydantes à ses apports esthétiques contre le vieillissement de la peau, en passant par ses actions contre les nausées et le stress. De ce fait, bienfaits et plaisirs des sens s’allient en dégustant le majestueux « From China with Love », un savant mélange de thés blancs ponctués de notes florales, ou le fameux « Passoa Colada  Bio », un délicieux rooibos à la robe rouge rubis et légèrement fruité, des thés savoureux et fleurant bon leur terroir d’origine. Des tisanes hors du commun… Avec les traditionnelles recettes de tisanes, Malindo s’est également donné pour défi de proposer des tisanes révolutionnaires, à base de légumes. « Le but est tout simplement d’apporter facilement les nutriments présents dans les légumes, et dont le corps a besoin, grâce à une tisane », dixit notre interlocuteur. « Capitaine Carotte », « Fenouil bio » ou même « Tisane pour l’allaitement » sont autant d’infusions bio, aromatisées à la main et aux multiples vertus, à déguster et à partager, en été comme en hiver. Des coffrets « Découverte », à l’instar du pack vegan, sont, par ailleurs, disponibles pour ceux qui hésiteraient face à cette large palette de choix. ...

Distillerie O’Baptiste : On reconnaît un lion à sa griffe

Les spiritueux A Valence, dans un petit entrepôt, nous faisons rapidement faire le tour du propriétaire : des alambics, coeur de la fabrication, des bouteilles en stock, prêtes à être vendues, des fûts dans lesquels vieillissent rhum et whisky. Là sont proposés pas mal de spiritueux : de l’Esprit de bière, de l’Esprit de malts, de la vodka quadruple distillation, du rhum blanc et du rhum humble, du whisky 3 ans d’âge (disponible en 2020), du London Dry gin et un apéritif à la mistelle de malts (du moût de malts), nommé Caryopse. Tout est fameux, vous ne vous tromperez pas ! Et il propose déjà un beau panel d’apéritifs et de digestifs, après seulement un an d’existence, il faut le souligner. La fabrication O’Baptiste utilise deux alambics, un de 50 et un de 300 litres. Pour chaque spiritueux qu’il fabrique, il fait deux passes (comprenez deux distillations). Ainsi, après la première macération, il obtient un brouillis, qui est ensuite re-distillé. A l’issu de cette double distillation, l’alcool titre 70 degrés. L’ajout d’eau permet d’obtenir le titrage souhaité, généralement 40 ou 45 degrés. Ses matières premières sont bio, notamment pour l’Esprit de malt qui provient de la malterie coopérative Malteurs Echos qui se situe à une quarantaine de kilomètres de Valence, en Ardèche. Les matières premières sont locales, en particulier pour l’esprit de bière, fabriqué à partir de bières artisanales locales. La seule matière première ne venant pas du Sud-Est est la mélasse de canne à sucre utilisée pour fabriquer le rhum. Elle vient de loin : d’Asie, de Thaïlande pour être précis (l’Asie est l’autre grand producteur mondial de sucre avec l’Amérique latine), mais cette mélasse est bio. Embrassez des inconnus C’est un concept vraiment déroutant : eau de vie de crachoir. Certains trouvent cela amusant, d’autre répugnant mais tous s’accordent à dire que c’est étonnant. O’Baptiste a été contacté par un festival de vins naturel qui se tenait à Paris, pour fabriquer cette eau de vie, et renouveler l’expérience d’un distillateur australien : Peter Bignell de la distillerie Belgrove, avec qui Baptiste a collaboré pour cet esprit. Il n’a pas réfléchi longtemps avant d’accepter. Ainsi, a-t-il récupérer les cuves contenant les vins dégustés puis recrachés par 1300 Parisiens. Et de là est né l’appellation « Embrassez des inconnus ». La distillation étant un processus de purification… il n’y a aucun risque sanitaire. Vous pouvez donc boire ces résidus de festival, titrant 43 degrés, en digestif. Les bouteilles seront prêtes à être vendues d’ici peu ! Les rhums Les rhums sont fabriqués à partir de mélasse de canne à sucre bio. Là où c’est beau et bon, il n’y a pas de colorant, d’additif, de sucre ou quoique ce soit. On est sur du rhum pur, qui a obtenu sa couleur (pour le rhum humble) au travers de son vieillissement. Le rhum blanc est issu d’une double distillation, puis mis en bouteille immédiatement après. Le rhum humble (ambré) a quant à lui vieilli 3 mois en fût d’acacia. Le fût d’acacia permet d’apporter des notes vanillées et caramélisées, ce qui donne un rhum rond et assez doux. Le rhum blanc est, à l’odeur, vanillé et fruité. L’arôme se révèle également fleuri et vanillé. On retrouve également des notes de fruits exotiques. Il y a également quelque chose de boisé. En clair, ce rhum est très riche en goût et s’apprécie vraiment pur. Le rhum Humble a été primé de bronze au Congrès International du rhum de Madrid en mai 2018. L’Esprit de bière Petite dégustation, on trouve un goût très présent de céréales et un peu de levures, en fin de bouche ressent légèrement du chocolat. Mais on ne retrouve pas le goût de la bière pour autant, ce n’est pas de la bière ne vous attendez pas à boire ça, vous seriez déroutés. Au nez, on perçoit un goût de malt. C’est une eau-de-vie donc c&rsqu...

Back Office Santé : quand chiropracteurs
et ostéopathes s’associent pour combattre l’absentéisme au travail

« Les troubles musculo-squelettiques (TMS) ne sont pas simplement des douleurs physiques dues à de mauvaises postures ou à de mauvais gestes. Ils sont également liés au stress et à l’organisation du travail en entreprise », introduit Luc Mesme, cofondateur de la société Back Office Santé. Lesdits troubles affectent notamment les membres supérieurs (épaules, cou, poignets) et l’ensemble du rachis lombaire, bien que, dans certains cas, les douleurs peuvent également se présenter au niveau des membres inférieurs (genoux, chevilles). Les TMS constituent une véritable problématique en entreprise, dans la mesure où ils favorisent l’absentéisme chez les salariés. Ces troubles auraient causé, jusqu’à l’heure actuelle, 8,4 millions de journées de travail perdues. Et les lacunes sont palpables aussi bien « humainement » que financièrement parlant. Ce constat, Luc Mesme et Nicolas Destang l’ont fait il y a sept ans alors qu’ils exerçaient encore dans leurs cabinets respectifs. « De plus en plus de gens venaient consulter en dehors du circuit médical pour des douleurs musculaires et articulaires. Ce problème nous a incités à œuvrer directement auprès des entreprises, en tant que praticiens libéraux, sachant qu’il existe une réelle demande d’intervention face aux TMS. » Ainsi est né Back Office Santé (BOS), une société de service de santé novatrice dédiée aux entreprises et spécialisée dans la lutte contre les troubles musculo-squelettes. Pionnière dans son domaine, l’entreprise enregistre plus de 850 cabinets d'ostéopathes et chiropracteurs, membres du réseau. Un service à la hauteur de toutes les demandes Se lançant le défi de réduire le taux d’absentéisme au travail, BOS décline sa méthodologie d’intervention en trois étapes. En premier lieu : le dépistage des TMS. Pour ce faire, un thérapeute est directement envoyé sur le site de l’entreprise pour s’informer auprès des patients. Un questionnaire adressé au travailleur va aider le praticien à connaitre la localisation et la fréquence des douleurs. Des tests orthopédiques seront également réalisés sur le patient en vue de compléter le diagnostic positif des TMS. Les résultats seront ensuite compilés de manière « anonymisée », tient à souligner Luc Mesme, et seront rapportés sous forme de cartographie exposant les souffrances musculaires et articulaires identifiées chez les employés de l’entreprise. Cette étape franchie, les professionnels de BOS peuvent ensuite procéder au traitement des TMS via des séances de thérapie réalisées directement sur le site de l’entreprise même. La troisième étape consiste à sensibiliser le personnel aux TMS par le biais de conférences, dont une partie théorique aidera à identifier les premiers signes et les mauvaises postures. La partie pratique servira à travailler la posture, tout en s’exerçant à renforcer et à étirer les muscles. À noter : les praticiens engagés par BOS sont soigneusement sélectionnés selon les critères de formation exigés par le ministère de la Santé en France. ...

Stempfer, toute la grandeur et l’authenticité du vin alsacien

Gérant de l’entreprise Stempfer Richard et fils, Yves Stempfer est viticulteur récoltant, c'est-à-dire qu’il ne vend que ce qu’il produit dans son exploitation viticole. D’ailleurs, depuis sa reprise du domaine, en 1999, la surface a doublé, atteignant désormais 8 hectares, tout comme la production, soit entre 40 000 et 50 000 bouteilles par an. Yves Stempfer a toujours un contact direct avec sa clientèle, et s’occupe de toutes les étapes du processus viticole, de la récolte des raisins à la mise en bouteille et l’étiquetage. Ce qui confère bien plus d’authenticité à son vin. Le sol granitique de Dambach minéralise le vin de Stempfer A Dambach, les sols sont granitiques, avec un granit rose à deux micas. Cette particularité géologique donne des vins très expressifs et très minéraux. Certains sont très parfumés mais tous sont élégants, aériens, droits et frais avec une acidité fine. Les nombreux minéraux solubilisés dans l’eau lors de la décomposition de la roche mère sont rendus accessibles pour la vigne et se retrouvent dans les vins en leur donnant un toucher de bouche cristallin, avec une belle salinité. Le climat alsacien se résume en automne à une alternance de journées chaudes et de nuits fraiches. Cette condition météorologique permet une maturation lente et prolongée des raisins. Ce qui favorise le développement d’arômes complexes et la préservation d’une acidité mûre procurant de la fraicheur aux vins. La vinification parcellaire : un gage de cohérence et d’authenticité Yves Stempfer pratique la vinification par parcelles. C'est-à-dire que les vins ne sont pas mélangés lors de la vinification. Ce qui permet d’extraire le terroir de chaque endroit à part. Et d’obtenir un assemblage cohérent, garantissant la complexité, l’expressivité et la régularité de la qualité des vins. En outre, L’avantage du vin alsacien est la grandeur de sa gamme. On trouvera toujours un plat pour bien l’accompagner, par exemple le Riesling ressort parfaitement sur du poisson ou des fruits de mer. Les autres vins proposés par Stempfer sont le Gewurztraminer, le Sylvaner et les Pinots, blanc, noir et gris. ...

Cœur des Collines Cathares : le lieu rêvé pour une réelle bouffée d’oxygène

Alors que l’année 2020 est frappée par la crise du COVID-19, les vacances à l’étranger sont évidemment compromises. Heureusement, il existe de nombreux lieux en France qui ne demandent qu’à être découverts. Le Cœur des Collines Cathares est l’un d’entre eux. Un territoire qui fait le bonheur des amateurs de randonnées et de villages pittoresques Pour trouver le Cœur des Collines Cathares, il faut se rendre entre Castelnaudary et Carcassonne. Nous nous situons donc en région Occitanie, plus précisément à 45 minutes de Toulouse. La première chose qui nous frappe, c’est le magnifique paysage qui nous entoure. Celui-ci cache d’ailleurs de nombreux sentiers de promenades qui invitent à enfiler ses chaussures ou à enfourcher son vélo pour profiter des nombreuses boucles mises en avant par l’Office du Tourisme. Ces parcours sont d’ailleurs tous référencés au sein de l’application gratuite Au Cœur des Collines Cathares qui se révèle être votre meilleure alliée si vous souhaitez partir à la découverte de ce territoire préservé. En l’installant sur votre téléphone, vous pouvez choisir entre 5 parcours de 45 minutes à 2h. Plans, contenus audio et multimédias sont alors mis à votre disposition. Idéal pour visiter à votre rythme les petits villages pittoresques disséminés au sein de ce territoire sauvage et authentique (tel que Fanjeaux), pour suivre le Sentier historique et ornithologique de Laurac le Grand ou pour emprunter le Sentier des Crêtes à Hounoux. De nombreuses activités pour tous les âges Entre deux promenades, vous pouvez vous arrêter pour déguster les spécialités régionales. Fromages, charcuteries, miels, vins de l’IGP Côtes de Prouille ou de l’AOC Malepère… après une journée en pleine nature, rien de mieux qu’une assiette bien remplie pour reprendre des forces. Il ne faut d’ailleurs manquer sous aucun prétexte les marchés nocturnes de producteurs locaux et d’artisans de juillet/août.  À cela, il faut rajouter de nombreuses activités telles que des chasses au trésor pour petits et grands, du téléski nautique, une promenade en bateau ou du canoë-kayak. Tout le monde y trouve son compte le temps d’un séjour plus ou moins long. ...

Restaurant Jaipur Café :
une expédition culinaire à la « maison des épices »

Situé rue des Messageries, dans le 10e arrondissement de Paris, le Jaipur Café est l’une de ces adresses chics parisiennes qui prônent l’art culinaire. À travers les plats indiens judicieusement épicés, parfumés, subtils et raffinés qu’il propose, cet établissement est une invitation à voyager vers une authentique destination. Des saveurs authentiques, un moment idyllique Côté fourneaux, le Jaipur Café mise sur la qualité et la fraicheur des ingrédients pour assurer un beau mariage du bon et du sain. Désireux de satisfaire toutes les envies, il a dressé un grand nombre de menus. Menu Mixte Tandoor, Gourmand, Jaipur, Wonder Box, Conseille Végétarien et d’autres formules encore sont donc à déguster sur place ou à emporter. En entrée, le chef vous réserve les emblèmes de la cuisine de l’Inde : le poulet tikka, les délicieux samoussas à la viande ou encore les oignons Bahajia, le pakora ; ces derniers feront le bonheur des végétariens. À poursuivre ensuite avec des merveilles qui mettent en valeur les épices de l’Orient : la cardamome, le tamarin, les feuilles de curry, le gingembre, le poivre et le fameux massala. C’est à vous de voir devant quelle viande vous voulez vous extasier : le bœuf Jaipur, l’agneau Shahi Korma, le poulet Punjabi ou le rata mouton. Idem pour les poissons ou les crevettes, vous n’aurez que l’embarras du choix. À moins que vous préfériez vous laisser tenter par le Biryani, un plat de 25 épices, avec ou sans viande désossée, mijoté avec du riz et servi avec une petite sauce séparée. Enfin, ne pas goûter au dessert favori des Maharajah serait bien dommage : le kulfi, une glace indienne à la pistache. Cela n’empêche pas de céder au charme du délicieux gâteau à la carotte qui se trouve être la spécialité du chef ou du Gulab Jamun. Et, surtout, ne laissez pas les noms exotiques vous effrayer car la carte explique de quoi il s’agit. La carte des vins, quant à elle, propose les grands classiques des plus riches vignobles de France mais aussi ceux de l’Inde. Cependant, peu importe la provenance des vins, un bel accord sera assuré grâce à l’éclectisme dont la cave du Jaipur Café fait preuve. Citons le Sancerre AOC Les Chataigniers, le Bourgogne Aligote AOC Noël Briday ou bien encore le Côtes-du-Rhône AOC Château de Ruth. ...

Sept bonnes raisons de venir en Côtes-d’Armor !

Côtes dArmor : des sites d’exceptions 1. On y trouve des sites d’exceptions comme… la côte de granit rose, les Sept-Îles, la plus grande réserve ornithologique de France, l’île de Bréhat et sa réserve de plantes tropicales en plein air, le cap Fréhel, le Fort-la-Latte. Sans oublier les richesses architecturales des villes médiévales comme Dinan ou Moncontour. 2. Les grandes marées exceptionnelles permettent de voir émerger de multiples îles le long de la côte. Ces grandes marées donnent lieu à des randonnées insolites, notamment dans la baie de Saint-Brieuc où la mer peut reculer jusqu’à 7 km ! Une excellente occasion de pêcher à pied. 3. La gastronomie ne vous coupera jamais l’appétit ! Pensez aux fameuses coquilles Saint-Jacques tout juste sorties de l’eau, à l’huître, à la moule de bouchot. Sans oublier la galette de blé noir ou le far breton. Bon appétit ! Côtes dArmor : terre de randonnée 4. Les Côtes-d’Armor sont une terre de randonnée… pour toute la famille. Sur le littoral ou à l’intérieur des terres, chacun trouve son chemin de nature, ce qui fait du département un immense terrain de jeu à ciel ouvert ! 5. Aller dans les Côtes-d’Armor, c’est aussi vibrer au son de la musique… Traditionnelle avec les bagads, mais pas seulement : les villes comme Saint-Brieuc ont des bars-concerts, tandis qu’à la belle saison les festivals se bousculent à l’agenda ! 6. Une autre bonne raison, ce sont bien sûr les Costarmoricains eux-mêmes. Ils sont les ambassadeurs de leur territoire. Accueillants et ouverts, ils sauront vous indiquer tous les bons plans ! 7. Septième bonne raison : les Côtes-d’Armor sont une destination très accessible. À moins de 2 heures de chez vous ! En route ? ...

Grosperrin : des cognacs d’une finesse rare

Installée au cœur de l’appellation « Cognac », la Maison Grosperrin est la dernière maison de cognac située à Saintes, dans le département de la Charente-Maritime. Cette société indépendante ne cesse de parfaire sa prestigieuse collection et se nourrit d’une culture d’excellence et d’authenticité depuis 1992. Respecter un savoir-faire « Nous pratiquons le négoce comme il se pratiquait autrefois au XIXe siècle », nous souffle le propriétaire, Guilhem Grosperrin. Son métier est de rechercher auprès des viticulteurs (mais assez peu, puisque ces derniers à Cognac ne possèdent qu’une très petite partie des stocks de la région) des héritages, des distilleries, ou auprès d’indivisions de propriétaires retraités ou décédés, des cognacs anciens, souvent millésimés, et toujours rares. Ces Cognacs exceptionnels peuvent provenir de distilleries et d’exploitation aujourd’hui disparus. Tous ont leur histoire à raconter, étroitement liée à l’histoire des hommes qui les ont produits et conservés. Ce travail de sélection n’est qu’une partie du métier, puisque c’est dans les chais de la Maison GROSPERRIN que ces eaux-de-vie rares vont poursuivre leur lente maturation pendant 10, 15 ou 20 ans et progressivement révéler leur identité propre et leur caractère unique. C’est cette personnalité affirmée, façonnée par l’histoire de chaque cognac, que la maison s’attache à développer. Pour ce faire, la maison possède un vrai savoir-faire en matière de vieillissement, et préserve aussi ses cognacs des adjuvants tels que sucre, caramel et boisé. Les cognacs de la maison sont commercialisés auprès des meilleurs établissements de France et des importateurs spécialisés dans le haut de gamme à l’étranger. Le cognac, symbole du luxe et incarnant à la perfection l'art de vivre à la française est d'ailleurs dignement mis en lumière par le fameux photographe d'art Stephane Charbeau à travers ses photographies insolites. La Maison GROSPERRIN ouvre ses portes Visiter Grosperrin, c’est plonger dans un monde à part, presque un sanctuaire. « Les découvertes se passent dans une ambiance vraiment intimiste en petit groupe, c’est une immersion dans le monde confidentiel de Cognac. » Guilhem Grosperrin lui-même consacre un temps précieux pour expliquer la philosophie de la maison et faire découvrir la collection. Les visites commentées commencent par les chais historiques récemment rénovés pour comprendre le parcours des cognacs depuis leur arrivée en barriques jusqu’à l’embouteillage. Une dégustation sur fûts et au laboratoire s’enchaîne ensuite. La visite se clôture par un passage en boutique, où les visiteurs peuvent acheter directement les produits de cette collection exclusive. ...

La Table de Chapaize :
une cuisine conjuguée au féminin

Dirigé par deux femmes, Sandrine Delannoy et Catherine Lauriot, le restaurant La Table de Chapaize s’est fait connaitre pour sa cuisine moderne et savoureuse. Sandrine, en salle, et Catherine, en cuisine, ont mis en commun leur savoir-faire et leurs compétences dans ce bel établissement situé au pied de l’église romane de Chapaize, un trésor architectural datant de la première moitié du XIe siècle. Un cadre cosy Dirigée autrefois par Gilles Bérard, un chef de renom, La Table de Chapaize a désormais à sa tête Catherine et Sandrine, qui ont inauguré les lieux en juillet 2013. Dès l’acquisition, les nouvelles propriétaires n’ont pas tardé à transformer l’établissement à leur image. La salle est décorée de façon sobre et élégante : la mezzanine offre une ambiance intimiste et discrète, tandis que la grande salle apporte chaleur et convivialité. Ce cadre cosy et confortable est propice à l’accueil de groupes d’amis ou de familles. Le mariage de deux talents Le parcours des deux maitresses des lieux est pour le moins étonnant. Ayant auparavant exercé dans le secteur des industries, Catherine, la chef, a entamé sa reconversion en suivant une formation à l’école hôtelière de Chagny. Elle a poursuivi son apprentissage en se perfectionnant auprès des meilleurs chefs et formateurs. Auparavant ingénieure agronome, Sandrine, son associée, exprime un fort attachement pour les produits du terroir et une passion pour les vins. D’ailleurs, elle n’a pas manqué d’enrichir ses contacts dans ces deux domaines pour élaborer les cartes du restaurant. Ensemble, ces deux passionnées se sont fixé un seul objectif : faire plaisir à leurs convives. Le plaisir des yeux, le bonheur du goût À La Table de Chapaize, les saveurs fraiches sont à l’honneur. La chef aime surprendre en variant sa façon de cuisiner. Les spécialités de la maison sont le sucré-salé et la terrine de foie gras maison mi-cuit, qu’il est d’ailleurs conseillé de commander en avance. Les menus changent tous les mois pour permettre aux convives de découvrir d’autres saveurs. La maison propose une première formule à 27 €, composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert ou de fromage. Un menu à 33 € est également servi. Les suggestions dépendent des produits frais disponibles sur le marché ou fournis par les producteurs locaux. Pour cette formule, les gastronomes seront séduits par les saveurs du foie gras maison et son chutney servi en entrée. En plat principal, le filet de veau accompagné d’un jus aux baies de genièvre et d’une mousseline de céleri comble les fins palais. Enfin, en dessert, le cheese-cake au fromage frais de lys coulis de framboise attise la curiosité. À l’occasion des fêtes, La Table de Chapaize élabore des menus spéciaux : Saint-Valentin, Pâques, Fête des mères... Les grands évènements de l’année sont dignement célébrés par des formules spéciales qui sortent tout droit de l’imagination de la chef. ...

Champagne Rollin : faire dans la pure tradition champenoise

Nous sommes en 1982. Issu de la lignée des premiers vignerons de la famille Rollin, attachés à leur terre et produisant du vin pour les plus grandes maisons de champagne, Monsieur Rollin décide de créer sa propre marque en produisant des cuvées typiques du terroir au sol argilo-calcaire de la vallée de la Sarce. Sa fille, Sandrine Braux et son mari Eric Braux, ont repris le flambeau en 2010, et perpétuent cet héritage en mêlant tradition et modernité. Des cuvées purement traditionnelles D’emblée, nous nous retrouvons dans un vignoble de six hectares sur lequel sont cultivés les deux principaux cépages champenois, avec la prédominance du pinot noir. Une fois les vendanges manuelles effectuées, ces cépages subissent une transformation suivant un procédé de vinification artisanale. La maison tient à préserver les traditions, tout en accélérant le processus de modernisation. S’ensuit alors la production de 8 cuvées différentes de qualité aux goûts relevés rappelant la diversité des saveurs du terroir champenois. Du champagne de qualité en préservant l’environnement Parmi les cuvées d’exception de la gamme Rollin, la cuvée Grande Réserve sort du lot. Il s’agit d’un champagne élégant et mature à souhait, ponctué de notes trés fruitées. Pour un apéritif, optez pour l’Or Noir, un 100 % pinot noir équilibré et doté d’une finesse aromatique sans égal. Ce champagne de qualité est élaboré suivant des procédés respectueux de l’environnement, ce qui a valu à la maison Rollin l’octroi du label national de viticulture durable « Terra Vitis » en 2012. ...

Maison de Champagne Henri Goutorbe : de pépiniériste à créateur de grands vins de Champagne. 

Partez à la découverte de la Maison Goutorbe : une entreprise familiale spécialisée en création de champagnes de grande qualité. Passion et savoir-faire : les deux piliers pour créer d’excellents vins Pour revenir aux origines du champagne Henri Goutorbe, il faut revenir au début du 20e siècle. Alors pépiniériste, la famille Goutorbe (par le biais d’Henri et René Goutorbe, père et fils) décide de commercialiser du vin de Champagne. Les enfants de René Goutorbe le rejoignent quelques dizaines plus tard pour agrandir et améliorer l’exploitation avec toujours cette même volonté de créer de grands vins de Champagne. Le travail effectué sur la vigne et le domaine favorise l’obtention des labels Haute Valeur Environnementale (HVE) et Viticulture Durable en Champagne (VDC). ...

Repaire de Bacchus : le sacre du Printemps

Depuis le 10 janvier, Le Repaire de Bacchus a pris ses quartiers sur les toits de Paris, au sein d’un univers dédié au meilleur de la gastronomie et de l’artisanat. Un défi passionnant pour l’enseigne qui intègre là une formidable vitrine internationale sans rien perdre des valeurs qui la caractérisent depuis sa création.Sur 200 mètres carrés, soit un espace quatre fois plus vaste que celui de ses boutiques habituelles, cette 40ème adresse propose la plus alléchante et prolifique route des vins hexagonale qui soit. 1500 références de vins, 350 références de spiritueux et 100 bières exclusivement françaises Dans un décor accueillant, sobre et chic, aux couleurs de l’enseigne, elles y sont savamment mises en scène. Dès l’entrée, un magnifique bar d’époque Napoléon III, ancien bar de l’Académie du Vin fondée par Steven Spurrier et Michel Dovaz, dédié aux champagnes donne le ton. On peut y savourer des références renouvelées régulièrement à partir de 10 € la coupe. Puis l’on parcourt toutes les régions de France : si l’on retrouve des références historiques de l’enseigne, cette nouvelle adresse a aussi adapté son offre à une demande qui ne sera pas celle d’une clientèle de quartier. -Plus de Bordeaux : c’est notamment le cas des grands crus classés, dont les 1er Grands Crus Classés que l’on peut dénicher dans 7/8 millésimes incontournables. -Une superbe sélection de Bourgogne : les climats les plus prestigieux de la côte de Beaune et de la Côte de Nuit ou du Chablisien sont présents à travers des vignerons ou des maisons emblématiques. Les Comtes Lafon, Domaine Leroy, Raveneau, Roumier, Dugat-Py, Dauvissat, Chevalier, la Romanée-Conti font rêver bien sûr, mais l’amoureux de bourgognes trouvera aussi largement son bonheur avec des pépites moins célèbres donc plus accessibles et judicieusement choisies. -Les autres régions telles que la Loire, la Vallée du Rhône, l’Alsace, la Champagne ou la Provence équilibrent leur offre entre quelques références emblématiques, découvertes et vignerons historiques de l’enseigne. Ainsi des cuvées Silex de Dagueneau, Château Rayas et Château Beaucastel dans plusieurs millésimes, la maison Trimbach côtoie une sélection de vins accessibles conçus pour un pur plaisir hédoniste bien dans l’ADN de l’enseigne. -Une gamme de prix très large pour tous les budgets : l’on déniche les bouteilles les plus accessibles à 5 euros et une grande partie de l’offre se situe entre 8 et 20 euros. Même si cette 40ème boutique intègre l’univers du luxe, elle n’en a pas perdu pour autant ce qui constitue l’âme de la chaîne : celui d’un caviste artisanal de rue proche de ses clients. -Une offre en magnum conséquente : chaque région s’assortit en moyenne d’une vingtaine de références proposées en magnum, un format très attractif et prestigieux. Et sans oublier les demi-bouteilles. De la rue des Acacias au Printemps du Goût Le Repaire de Bacchus, c’est 35 ans d’aventure humaine saupoudrée d’un grain de folie. Lorsque Dominique Fenouil créé son premier Repaire de Bacchus, en 1983, c’est un peu grâce à la coupe du monde de football 1982 ! Directeur de la promotion chez Radiola, il imagine de récompenser les meilleurs clients avec des caves à vin et part sillonner le vignoble, une passion chez lui. Budget : l’équivalent de 2 millions d’euros. Il prend goût à cette activité et créé donc l’année suivante une boutique, en réalité, plutôt un club d’amis épicuriens à la recherche de bons vins, pas forcément les moins chers du marché, puis s’installe rue des Acacias, dans le 17ème arrondissement de Paris. Rappelons qu’à cette époque, on prédisait la mort du caviste, laminé par l’émergence de la grande distribution. « Je me disais qu’il y avait un marché pour les amateurs. De fait, ça ne désemplissait pas : notre premier bénéfice, l’équivalent de 80 K€, représentait l’équivalent de 2 Porsche &agra...

Epsilon Escape :
pour un événement d’entreprises d’exception

Séminaires, team-building ou lancements de produits, l’équipe Epsilon saura faire de votre visite un moment mémorable fait de surprises, d’amusement et d’esprit d’équipe. Le concept est simple mais innovant, le room Escape. Inspiré de jeux vidéo, le but est de s’échapper d’une pièce close, la fameuse chambre du patient n° 8. Résolutions d’énigmes, mystères à découvrir, jeux de réflexion… Aux équipes de tout faire pour révéler tous les secrets de cette chambre et espérer en échapper… La chambre du patient n° 8 Inspirés des énigmes et de la réflexion caractérisant l’univers de l’escape game, Florent Steiner et Guillaume  Natas, deux amis ingénieurs et passionnés de jeux vidéo, décident de créer cet univers parallèle scénarisé d'une histoire digne des plus grands thrillers. « À l’arrivée, les participants sont accueillis par un membre de l’équipe qui va leur expliquer le principe, les règles de sécurité et le scénario », nous explique Guillaume Natas. Dans un décor plus vrai que nature, nous nous retrouvons ainsi plongés dans les années 90, plus précisément en 1992. On raconte alors que le patient de la chambre n° 8, dont le docteur Edmond Epsilon avait la charge, s’est échappé par on ne sait quel moyen. Cette chambre prétendument située dans un hôpital psychiatrique, la clinique Sinople, sera ainsi le terrain de jeu des équipes, composées de 3 à 5 joueurs, qui joueront seules ou contre d’autres groupes. Tout est pensé afin de plonger chaque équipe dans le monde psychiatrique des années 90 : lit avec menottes, chambre à l’aspect froid, vieille télévision… « Propulsés dans cette histoire inspirant l’aventure, les joueurs devront ainsi découvrir comment ce patient a réussi à s’échapper de cette pièce », reprend notre interlocuteur. À l’aide d’un Maître de jeu, ou game manager, interagissant de l’extérieur avec les joueurs pour les aider en cas de besoin, chaque équipe aura en tout soixante-dix minutes pour trouver la solution et sortir de cette pièce. Des énigmes devront être résolues, des objets déplacés et des secrets dévoilés par la réflexion, l’observation, la logique et bien sûr l’esprit d’équipe. À découvrir absolument… Des prestations au-delà du jeu Au-delà de l’aspect ludique du jeu, un team-building ou un séminaire organisé autour d’un escape game sera l’occasion de découvrir les facultés et les limites de chacun. Le jeu, à la difficulté bien mesurée, contribuera, en effet, à développer l’esprit d’équipe tout en vous permettant d’identifier, aux côtés du game manager, les personnes leaders capables de mener des équipes par une bonne prise d’initiative. « Véritable révélation de la personnalité grâce à la mise en difficulté, ce jeu vous assurera de découvrir vos collaborateurs sous un nouveau jour », continue-t-il. Mis à part le côté ludique, les locaux d’Epsilon Escape disposent de salles de réception pouvant accueillir une centaine de personnes en cocktail. Les services vont ainsi de l’organisation d’une seule partie d’escape game, avec, en plus, le rafraîchissement dans un salon, de la privatisation intégrale du lieu. Ces prestations haut de gamme et sur mesure peuvent, par ailleurs, être agrémentées d’animations diverses dans le cadre de la formule clé en mains. ...

Magic Makers : le langage de programmation, un jeu d’enfants !

En proposant ses ateliers de programmation informatique, Magic Makers poursuit deux objectifs : d’une part, mettre les enfants dans une posture d’acteur vis-à-vis de la technologie en leur permettant, de manière ludique, d’exprimer leur créativité et d’autre part, leur donner les moyens de comprendre et de les préparer au monde de demain. Interrogé sur les raisons qui l’ont poussé à lancer ce projet innovant, la fondatrice Claude Terosier nous explique que « l’enjeu est de permettre aux enfants d’inventer leur métier étant donné  que 85% des métiers de 2030 n’existent pas aujourd’hui ». Tout sur Magic Makers Basée à Paris, Magic Makers a été créée en 2012. A l’époque, ancienne étudiante de Télécom Paris Tech, Claude Terosier cherche vainement des ateliers de programmation pour son fils. Convaincue qu’il est possible d’apprendre la programmation de manière simple et ludique, cette ingénieure décide de créer Magic Makers en proposant des ateliers de programmation créative dédiés aux enfants. Leader et pionnière dans le domaine, Magic Makers mobilise aujourd’hui plus de 40 animateurs et organise 150 ateliers par semaine à raison de 1000 inscriptions hebdomadaires. Depuis sa création, environ 10 000 enfants ont pu bénéficier de ses ateliers. « Comme pour un cours de musique, les enfants peuvent s’inscrire toute l’année ou bien suivre des stages pendant les vacances », nous indique-t-elle. Une pédagogie active « Apprendre à coder pour apprendre à créer », c’est en s’appuyant sur cette approche innovante que la start-up construit sa pédagogique. En effet, la démarche veut que l’enfant devienne acteur de son apprentissage. C’est le principe même de la pédagogie dite « active ». « Nous nous sommes inspiré de la pédagogie active du MIT et nous utilisons « scratch », un outil de programmation simplifié », précise Claude Terosier. Mais que l’on ne s’y trompe pas, l’objectif n’est pas de transformer les enfants en véritable « crack » de la programmation ! Ici, l’important, c’est de créer tout en s’amusant.  Au cours d’un atelier, l’animateur montre deux ou trois exemples et c’est au tour des enfants de créer leur propre projet : dessins interactifs, jeux vidéo, robots...Tout est prétexte à leur imagination. Les enfants expérimentent, apprennent de leurs erreurs et partagent leurs acquis avec les autres. « En cas de blocage, les enfants posent des questions et l’animateur les aide pour qu’ils trouvent eux-mêmes les réponses ». ...

L’AFDIAG au côté des Intolérants au Gluten et des hypersensibles non cœliaques

Quelle a été la thématique abordée pour la première campagne ?  Brigitte Jolivet : La première campagne que nous avons faite date de septembre 2013. Elle s’est portée sur le thème « Cuisiner sans gluten en collectivité ». Nous avons lancé cette première opération de sensibilisation sur la base d’un constat interpellant. Actuellement, en dépit des multiples moyens déployés depuis de nombreuses années en termes d’information, une large partie du grand public n’arrive pas encore à faire la différence entre allergie, intolérance et mode bien être. La banalisation du régime ne permet pas toujours de déjeuner en collectivité. C’est dans ce contexte de « mal-information » que nous avons mené la campagne « Cuisiner sans gluten en collectivité ». Ce premier volet s’adresse aux professionnels de la restauration collective, les cantines scolaires, cantines d’entreprise, hôpitaux, etc., mais peut également être utile en restauration commerciale. L’objectif étant de renseigner sur les contraintes de la réalisation de repas sans gluten. Un guide pratique a été mis en ce sens à la disposition des acteurs de la restauration collective pour leur servir de support d’accompagnement. Enfin, côté partenariat, nous avons pu bénéficier de nombreux soutiens, notamment de la part de la fondation Groupama, le Programme national pour l’alimentation, le Programme national nutrition santé ainsi que la société Sodexo. Qu’en est-il du diagnostic sur l’intolérance au gluten ? Pour vous donner une idée précise, aujourd’hui la prévalence de la maladie cœliaque (ou intolérance au gluten) est estimée à 1% de la population, mais seulement 10 à 20 % ont été détectés avec les tests diagnostiques validés. Nous avons donc lancé, en 2014, à l’occasion des 25 ans de l’association, la deuxième campagne « Bien diagnostiquer l’intolérance au gluten » qui est orientée davantage vers les généralistes et les professionnels de santé. Avec le concours des membres de notre comité médical, des documents ont été réalisés comprenant notamment une brochure explicative sur la démarche de diagnostic et une affiche destinée aux salles d’attente pour le public. L’affiche en question a pour objectif de faire passer un message clair : « Ne supprimez pas le gluten avant d’avoir effectué les examens nécessaires au diagnostic. » À partir du moment où les gens se mettent au régime sans gluten, le diagnostic est biaisé. Dans un second temps, nous avons posé, via mail, un certain nombre de questions à des médecins généralistes. Les questions portaient essentiellement sur les critères diagnostiques et les symptômes pouvant amener au diagnostic de la maladie cœliaque. Résultat : sur plusieurs questions, il y a eu moins de 50 % de bonnes réponses. Cela prouve que des efforts restent encore à faire au niveau du diagnostic. Comment être sûr d’avoir le bon diagnostic ? La difficulté réside dans le fait que les symptômes liés à la maladie peuvent être identiques avec ceux d’une autre pathologie. En effet, il est important de souligner que ¼ des maladies cœliaques ont d’abord été diagnostiquées pour un syndrome de l’intestin irritable. D’où l’intérêt de la campagne « Certaines choses peuvent être similaires… et pourtant différentes », lancée fin 2017. Cette campagne d’information est diffusée chez les médecins, les pharmacies, et principalement dans les laboratoires d’analyses médicales. L’objectif est de fournir des informations pertinentes aux professionnels de la santé et leur permettre ainsi d’établir le bon diagnostic. Sur ce troisième volet, nous sommes en cours de réalisation avec une première phase réussie. La prochaine étape verra la réalisation de la phase numérique. En termes de diagnostic, la campagne reprend le même message délivré dans le second volet en mettant l’accent sur le fait qu’il...

Musée de Millau et des Grandes Causses :
pérenniser la mémoire des hommes des Grandes Causses

Connu depuis le XIXe siècle, le site archéologique de Graufesenque situé au confluent des rivières Le Tarn et La Dourbie suscite l’intérêt de nombreux archéologues. Parmi eux figure l’abbé Hermet, qui entreprend des fouilles plus scientifiques au début du XXIe siècle, suivi de Louis Balsan et Alain Vernhet dans les années 60-70. Un sanctuaire gaulois s’y trouvait jusqu’au début du Ier siècle après J.-C., puis des Romains s’y sont installés. Ces derniers produisaient de la céramique Sigillée rouge, brillante et étanche qui était utilisée dans tout l’Empire romain. Ils l’ont même exportée tout autour du bassin méditerranéen, jusqu’en Afghanistan, en Inde et en Mauritanie. L’importance de cette céramique est au centre de certains événements importants organisés sur le site de la Graufesenque, comme les journées de l’Antique. Un musée de territoire Le musée regroupe des richesses patrimoniales qui ont été découvertes sur le territoire de Millau et des Grandes Causses. Il abrite des collections paléontologiques, dont "le plus emblématique est le plésiosaure de 200 millions d’années" selon le conservateur. Ensuite, les collections de la préhistoire : une série d’habitats et d’éléments de vie d’hommes préhistoriques qui ont élu domicile dans des grottes autour de Millau. Les collections de céramiques gallo-romaines fouillées sur le site de Graufesenque qui constituent le fond des collections d’archéologie classique y sont aussi conservées. L’autre moitié du musée est consacrée à une présentation de la ganterie du XVIII au XXe siècle : 5 000 paires de gants, des modèles, des catalogues et des instruments de fabrication. En effet, la ville de Millau a été la capitale de la ganterie pendant près de 150 ans. ...

ChimEco : une chimie par et pour la nature

C’est Claude Grison, professeur de chimie bio-organique à l’université de Montpellier, qui est à l’origine de cette initiative innovante inspirée de l’écologie. L’objectif de son laboratoire, travaillant en partenariat avec le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), est « de combiner chimie et écologie afin de trouver des solutions écologiques, durables et inspirées de la nature et de résoudre les problèmes environnementaux liés à la dispersion des métaux de transition, non biodégradables », nous explique-t-elle. Les plantes, grâce à leurs propriétés extractives, figurent parmi ces solutions révolutionnaires qui guideront la chimie de demain. Une chimie verte au service de l’écologie Le tarissement des ressources mondiales de minéraux primaires et stratégiques est aujourd’hui une grande problématique environnementale et économique. La demande en éléments métalliques ne cesse de s’accroître alors que les ressources deviennent de plus en plus rares. Un phénomène qui pousse les exploitants à user de pratiques diverses d'extraction et d'exploitation conduisant inévitablement à la pollution des milieux naturels. « Dans une volonté de réhabiliter de façon écologique ces zones polluées, nous avons développé des phytotechnologies telles que la phytoextraction, la rhizofiltration ou la biosorption. L’idée est d’utiliser les capacités extractives de certaines plantes, terrestres et aquatiques qui peuvent extraire les métaux du sol, des systèmes aquatiques, des effluents industriels et les stocker par la suite dans leurs feuilles ou leurs racines », nous explique Claude Grison. Un problème continue pourtant à persister : il n’existe jusqu’alors aucun procédé destiné à valoriser cette biomasse riche en Éléments traces métalliques (ETM). Pour que cette biomasse ne soit plus perçue comme un déchet, Claude Grison et son équipe ont planché sur un moyen de recycler les ETM emmagasinés dans les plantes. Une approche intitulée « écocatalyse », qui permet à la biomasse riche en ETM de ne plus être un déchet, a été créée. « Désormais, ces déchets indésirables seront innovants et utiles en chimie écologique », se félicite la scientifique. ...

La Vieille Forge

Ouvert en 1986, le restaurant est établi dans une petite maison traditionnelle de 34 couverts, entièrement refaite, où seules les poutres ont subsisté. L’extérieur rustique et convivial offre un intéressant contraste avec l’intérieur, qui présente un décor épuré et moderne. La salle affiche une prédominance de couleurs vives qui apportent énormément de dynamique. Les tonalités rouges des chaises et du comptoir des années 70 sont adoucies par les tons clairs des nappes et des pans de mur blancs. Tout comme dans les grands restaurants gastronomiques, la table élégante est dressée au millimètre près.  La passion d’une famille Mis à part Wilfried, le sommelier, et Laura, la serveuse, l’équipe du restaurant est composée des membres de la famille Gutleben. Marie est en salle et assure un accueil chaleureux à tous les convives. Ses enfants, Romain et sa sœur jumelle Laurine, quant à eux, s’occupent des fourneaux.  Après ses études en restauration, Laurine a fait ses armes dans le restaurant étoilé le Chambard mais également à Roanne chez les fréres Troisgros triplement étoilé au guide Michelin. Elle décide ensuite de revenir dans sa ville natale, pour y prendre les rênes avec son frére de la cuisine du restaurant familial. En 2010, elle est sacrée une des meilleures apprenties de France. Romain, quant à lui, brille aussi par son riche parcours : le Maximilien à Zellenberg, une étoile au Michelin où il fait ses armes. Tout comme sa soeur, ils décident de mettre en avant leurs talents et leurs savoir-faire au service de l’établissement La Vieille Forge : une histoire de famille...Cette équipe de choc ne serait pas ce qu’elle est sans Rémy, le père, qui a un œil sur tout, au service de ses convives. Des menus raffinés et savoureux À La Vieille Forge, quatre menus sont proposés. La formule « Découverte » flirte avec le haut de gamme et se compose essentiellement de produits nobles : œuf parfait, foie gras poêlé, homard fraicheur du moment, ris de veau… Les amateurs de surprise se laisseront guider par le talent de Laurine et de Romain au travers du menu « Épicure », décliné en 5 services, et élaboré selon l’inspiration des deux chefs en cuisine.  À midi, les choix oscilleront entre le menu à 28 €, composé d’une entrée, d’un plat et d’un fromage ou d’un dessert, et la formule à 31 €, offrant deux choix d’entrées, plats et desserts.  Quant à la carte, elle n’est jamais figée. Le restaurant a pour habitude de la changer régulièrement.  Toutefois, certains plats particulièrement appréciés des clients sont maintenus chaque saison, comme le foie gras de canard confiture choucroute servi en entrée. En résistance, place à l’incontournable ris de veau rôti à la saltimbocca, accompagné d’un mousseux de pomme de terre à la truffe, sauge et câpres. En guise de dessert, la sphère de chocolat crémeuse note exotique et pistache en éclats apporte la note de douceur qu’il faut pour clore en beauté ce repas. Ici, chaque assiette est présentée de manière soignée et élégante. Décidément, à La Vieille Forge, le plaisir des pupilles compte autant que celui des papilles. ...

Restaurant Les Santons : hommage à la gastronomie méditerranéenne

Aujourd’hui, le restaurant Les Santons est devenu une affaire familiale, depuis que Stéphanie Girard a décidé de rejoindre son père Claude Girard juste après ses études. C’est en 2001 qu’elle prend officiellement les rênes de l’établissement aux côtés de son mari Julien Allegre, qui est également chef en cuisine et détenteur du titre Maître cuisinier de France. Cinquante ans d’histoire et de goût La culture et la tradition culinaire méditerranéennes sont restées intactes dans la famille Girard depuis déjà cinquante ans. L’établissement faisant partie des meilleures tables de France, se démarque pour son charme, mais surtout pour sa carte bien complète. Maison provençale au cadre classique ancien, avec une terrasse qui offre une vue sur le golfe de Saint-Tropez, le restaurant Les Santons est l’adresse qu’il faut absolument connaître pour savourer le goût d’une authentique cuisine provençale à la touche moderne. Des grands classiques du Sud Le restaurant Les Santons puise dans la richesse des produits du terroir pour mettre en scène une belle carte rythmée par la saisonnalité. Le menu parfait y commence par une tarte fine de saint-jacques au caviar Baeri, suivi d’un ris de veau rôti au petit croûton. Un repas qui s’achève par un classique : le baba au rhum à la crème chantilly vanillée. Comme le spécifie si bien Stéphanie Girard, « nos suggestions de plats changent le plus régulièrement possible en fonction des arrivages du marché et de la saison ». Comprenez donc que vous ne trouverez pas tout le temps les mêmes plats à la carte. Et c’est tout ce qui fait la différence ! Côté vins, le restaurant flatte les palais exigeants en proposant ses trouvailles issues de petits producteurs, mais aussi de quelques grandes maisons. À l’honneur, les côtes-de-provence qui « marchent le plus et qui s’ajustent bien aux tonalités provençales de notre cuisine », signale Stéphanie.   ...

Algofly : Un comparateur de vol innovant et performant

Fondé en 2015, Algofly est un pure player, un service exclusivement en ligne et entièrement gratuit dont le rôle est de trouver les meilleurs tarifs malgré la fluctuation incessante des prix. Grâce à la création d’alerte, il est capable d’indiquer où et quand acheter afin d’aider ses utilisateurs à accéder aux meilleurs prix. Un moteur de recherche rapide et efficace En un clic, Algofly parvient à comparer l’offre de plusieurs centaines de voyagistes et de compagnies aériennes. Son moteur de recherche rassemble tous les tarifs de la totalité des acteurs du secteur du voyage, ce qui lui permet de trouver un prix à un moment précis. En outre, chaque réponse, à la demande d’information émanant d’un visiteur, s’accompagne d’un conseil d’achat personnalisé permettant à l’internaute de connaitre l’évolution future du prix en question. Par exemple, si l’utilisateur trouve un billet d’avion coutant 500 euros, Algofly le prévient aussi que ce tarif durera 3 semaines avant d’augmenter. La création d’alerte : Une solution novatrice Algofly se distingue des autres comparateurs grâce à son système d’alerte unique en son genre. En effet, le moteur de recherche remplace l’utilisateur dans sa quête en respectant ses critères de recherches et le prévient à l’instant où le billet d’avion atteint le prix demandé. De plus, l’outil crée et met à disposition un graphique de suivi quotidien afin d’analyser les évolutions de prix en temps réel. Enfin, et ce, grâce à son algorithme, le programme intelligent calcule le moment idoine pour acheter les billets et envoie un email afin de prévenir l’acheteur lorsque le prix est statistiquement au plus bas. ...

Le laboratoire « Métabolisme du cholestérol et innovations thérapeutiques » en pointe contre le cancer

En 2013, les travaux de l’équipe de Marc Poirot et Sandrine Silvente-Poirot ont fait grand bruit : « Nous avons identifié le premier dérivé du cholestérol qui est suppresseur de tumeurs. Cette molécule, la Dendrogénine A, empêche la création d’un autre dérivé, l’OCDO, que nous avons récemment caractérisé, et qui lui, au contraire favorise la progression tumorale. La Dendrogénine A a donc un effet considérable » Bloquer la production du dérivé favorisant le cancer Depuis, les chercheurs toulousains vont beaucoup plus loin. En identifiant les enzymes et les cibles de ces molécules, ils en ont appris beaucoup plus sur leur fonctionnement, ce qui à terme devrait avoir une influence majeure dans le traitement de certains cancers et leur diagnostic. « Aujourd’hui, nous savons doser et bloquer le dérivé favorisant le cancer par différentes stratégies. Cela ouvre des perspectives thérapeutiques dans les cancers où elle est produite en grande quantité, comme les cancers du sein». Marc Poirot et Sandrine Silvente-Poirot ont pour objectif de faire bénéficier aux patients des avancées de leurs recherches. Voilà pourquoi ils collaborent étroitement avec les cliniciens de l’oncopole toulousain, Florence Dalenc, Fréderic Courbon et Christian Recher, et sont à l’origine de la création de la start-up Affichem, chargée de développer des molécules thérapeutiques innovantes et des biomarqueurs théranostics. «Avec cette start-up, nous développons plusieurs familles de molécules à fort potentiel thérapeutique» reprend Marc Poirot. Les tests précliniques avec la Dendrogénine A ont donné des résultats très prometteurs qui devraient déboucher sous peu sur des essais cliniques. La preuve que Toulouse est au cœur de la lutte contre le cancer. ...

Champagne Michel Gonet : pour l’amour d’un grand cru

Une vie sauvée grâce au champagne. C’est l’histoire de Michel Gonet, qui, à cause d’une dysphasie, ne peut rien avaler. Il ingurgite alors quelques gorgées de ce précieux nectar, qui, par miracle, aident à soigner ses troubles. « Le champagne m’a sauvé… », s’exclame-t-il.  De là commence une passion pour ce vin pétillant, qu’il partage avec toute sa lignée. Sophie et ses frères Frédéric et Charles-Henri Gonet forment les dignes héritiers de ce riche patrimoine. Une réflexion permanente sur la qualité Michel Gonet installe des outils de production plus modernes dans son domaine à partir de 1973. Depuis, la maison continue de viser l’excellence en perfectionnant constamment la qualité du travail en cave et dans les vignes. Elle mise sur la diversité de son terroir pour produire des champagnes purs, racés, au caractère unique. Originaire de la côte des Blancs, fief des grands crus, Champagne Michel Gonet a la chance d’être installé sur un terroir plein est, qui procure de la longueur, de la finesse et de l’élégance aux vins. Les vignes situées à Oger, à Mesnil-sur-Oger, à Vindey, à Mongueux et à Fravaux sont composées de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Si, pour la plupart des vignerons, les problèmes climatiques engendrent d’innombrables contraintes, Sophie Gonet reste optimiste : « Avec le phénomène de réchauffement climatique, les raisins atteignent plus facilement la maturité, sans le besoin de rajouter beaucoup de dosages. L’acidité due au manque de maturité est ainsi évitée. Nous obtenons des champagnes plus naturels. » Des champagnes monocépages au caractère affirmé Fleuron de la maison, le Blanc de blancs Grand Cru 2009 reflète parfaitement le terroir, puisqu’il s’agit d’un monocépage de chardonnay. Issu des grands crus de la côte des Blancs, il exprime un caractère racé avec des arômes minéraux et floraux, tout en délicatesse et en élégance. À 100 % de chardonnay également, la cuvée Authentique 2004, provenant de vieilles vignes du Mesnil sur Oger, fait la fierté de la famille Gonet. Distillant de puissants arômes de vanille avec une belle association de fruits exotiques et d’épices, cette cuvée sublime les mets sucrés et salés, et tous les plats exotiques. D’ailleurs, dans une optique d’initier les amateurs à la dégustation de ses divins nectars, la maison organise des repas associant mets et champagnes. Des visites de cave et des initiations à la dégustation sont également proposées tout au long de l’année, sur rendez-vous de préférence. ...