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LES ARTICLES LES PLUS LUS

La Cave d'Irouleguy : 65 ans d’excellence

Tout a débuté en 1952, lorsque neuf viticulteurs originaires du Pays Basque, s’associent pour créer une coopérative dont le but est de reconstruire un vignoble détruit par le phylloxéra ainsi que par le passage de la Première Guerre mondiale. « Aujourd’hui, la Cave d’Irouleguy, qui compte 42 coopérateurs en AOC Irouléguy, a pour volonté de perpétuer la notoriété de ce bout de terroir du Pays Basque et de mettre en valeur son produit de prédilection qui est le vin », indique Nadine Gaztambide, Directrice de la cave coopérative. AOC Irouléguy : des vins de qualité Territoire de beauté, bordé par la mer, oasis de verdure et couvert par des montagnes et des collines, les Pyrénées-Atlantiques abritent quelques trésors en matière viticole dont l’AOC Irouléguy. Incontournable dans le patrimoine gastronomique du Pays Basque, le vin d’Irouleguy tient la deuxième place après le jambon de Bayonne et le fromage de brebis. Il se distingue par la richesse de son cépage, classé en deux catégories, qui sont : les cépages noirs ; le tannat, le cabernet franc et le cabernet sauvignon et les cépages blancs : le gros manseng, le petit manseng et le courbu. L’appellation regroupe 250 hectares de vignes plantées, dont 60 % du vignoble est représenté par la cave coopérative. Onze domaines indépendants se départagent, quant à eux, les 40 %. « Selon l’INAO (Institut national des appellations d'origine), 1000 hectares de parcelle sont encore disponibles à la plantation, ce qui amène la Coopérative à redoubler d’efforts même s’il n’est pas simple de planter la vigne, puisque la culture s’effectue en terrasse », nous explique notre interlocutrice. Et elle de continuer que « malgré ces difficultés, le nombre de plantations augmente d’environ 10 hectares chaque année. » Par rapport au terroir justement, ce dernier est assez diversifié avec beaucoup de grès rouge et un peu de schiste. L’authenticité d’Irouléguy Afin d’améliorer les techniques viticoles, la cave d’Irouleguy effectue depuis deux ans une étude sur l’impact du climat sur la croissance des plantes en partenariat avec l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’ISVV (Institut des sciences de la vigne et du vin) de Bordeaux pour une durée de trois ans. Pour ce faire, elle s’est dotée de trois stations météo, trente-trois capteurs et trois pluviomètres. Les premiers résultats montrent que l’altitude constituerait le facteur prépondérant formant le terroir, et non uniquement le sol ou le climat. Forte de ses innovations, la cave est aussi très impliquée dans la préservation de l’écosystème. L’agriculture raisonnée constitue un véritable réflexe pour tous les adhérents à la coopérative. Beaucoup s’engagent aussi dans une démarche bio. « Nous avons de nombreux viticulteurs entamant une phase de reconversion. D’ici cinq ans, 50 % de la cave sera en bio », se félicite notre interlocutrice. Un environnement sain et préservé qui permettra aux jeunes générations de travailler dans les meilleures conditions. En parallèle, la cave investit énormément dans des équipements performants pour garantir la parfaite qualité de ses produits : vendanges en cagettes, réception gravitaire des raisins, … Aujourd’hui, plusieurs gammes issues de la coopérative sont à découvrir comme le Lehia, une cuvée Unique en blanc produite en très faible quantité, les cuvées Prestiges (Omenaldi enrouge et Xuri en blanc), les Incontournables (Le Mignaberry en rouge, blanc, rosé et le Kattalingorri, vin bio, en rouge et rosé) et les cuvées Plaisirs (Gorri en rouge et Argi en rosé). Parmi les produits, une attention particulière est portée pour le Mignaberry de la gamme Incontournable, facile à boire, frais et sec pour le blanc 2016, « très charmeur » pour le rosé 2016, qui est d’ailleurs cité au guide Hachette des rosés 2017-2018 et riche et harmonieux pour le rouge. ...

Publi Créations SAM - Lena Group : des organisateurs professionnels pour vos congrès internationaux

La société met également son expertise à disposition dans l’organisation d’évènements professionnels dans certains domaines économiques et techniques spécialisées – comme celui des assurances - sans oublier les Forum économiques et sur l’environnement.   Publi Créations SAM - Lena Group organise également des évènements d’envergure destinés au grand public, en collaboration avec des entités privées, publiques et gouvernementales. Un leadership confirmé dans l’organisation d’évènements au niveau international Spécialisée dans l’organisation d’évènements au niveau international, Publi Créations SAM-Lena Group est une société leader dans son domaine. Grâce à l’expérience d’Enzo Buongiorno, de Marino Lena et de Mauro Lena, ce dernier actuellement à la Direction du Groupe, Publi Créations SAM - Lena Group s’est constamment développée dans l’organisation d’évènements internationaux. Elle est aujourd’hui la seule entreprise monégasque à faire partie de l’Association Internationale Professionnelle des Organisateurs de Congrès (IAPCO). Ainsi, Publi Créations SAM - Lena Group offre des solutions sur-mesure aux clients qui font appel à ses services afin d’organiser des congrès scientifiques et dans d’autres domaines. Afin de développer ses activités, elle a fait l’acquisition en 2015 de Welcome Travel Team, l’une des plus grandes régies de destination de la Côte d’Azur. Grâce à cette acquisition, Publi-Créations SAM - Lena Group a pu développer une large gamme de services à Monaco et dans le Sud de la France. Plus tard, la société développe ses prestations dans le domaine de la communication en proposant à ses clients des services à la pointe de la technologie dans le secteur évènementiel. Le Groupe propose des solutions hybrides et virtuelles pour optimiser l’impact des conférences. Il travaille aussi dans le domaine du marketing digital et développe même des logiciels selon les besoins de ses clients. La société aide également ses partenaires à trouver des sponsors, à suivre et à analyser les résultats des congrès qu’il organise. Présent à Monaco, Milan, Londres, Budapest et Istanbul, le Groupe est en mesure d’offrir une gamme de services à 360 degrés à ses clients. L’expertise dans le domaine de l’oncologie La Biennale Monégasque de Cancérologie a été créée en 1994 par le Professeur Michel Hery. Son organisation a été confiée à Publi Créations SAM – Lena Group depuis 2005 et est source de succès croissant, d’année en année. Avec une participation initiale de quelques centaines de spécialistes, elle réunit à présent plus de 1400 participants et plus de 50 partenaires sur 4 jours, à travers un programme scientifique de haut niveau, multipiste et pluridisciplinaire. Bien que francophone, le congrès attire des experts de nombreux pays. Forts d’une première édition réussie en 2006, le Professeur Michel Hery et Publi Créations SAM– Lena Group ont décidé de créer en 2007 le Monaco Age Oncologie (MAO). Cette conférence se concentre sur l’amélioration de la prise en charge de patients âgés et attire 600 participants parmi les oncologues et gériatres francophones. Ces deux manifestations représentent les congrès francophones les plus renommés dans le domaine de l’oncologie, et ont ainsi été appelés Cours Francophones d’Oncologie pour la Biennale Monégasque de Cancérologie et Cours Francophone d’Oncogériatrie pour le Monaco Age Oncologie. Ces deux évènements sont organisés sous Le Haut Patronage de S.A.S. Le Prince Albert II de Monaco et sous l’égide du Centre Scientifique de Monaco et du Centre Hospitalier Princesse Grace.  Ces congrès bénéficient, à chaque édition, du soutien institutionnel de nombreuses institutions, centres de recherche, structures hospitalières, associations scientifiques et de patients. Plus de 65 organismes ont ainsi parrainés la dernière Biennale Monégasque de Cancéro...

En Loire-Atlantique :
deux sites patrimoniaux à visiter sur les bords de Sèvre

Au château de Clisson : l’art militaire médiéval Forteresse du Moyen Âge, le château de Clisson est situé « sur les marches de la Bretagne » qui constituent « la frontière entre le duché de Bretagne et le royaume de France avant le début du XVIe siècle », évoque Pierre Fardel, directeur adjoint de Grand Patrimoine de Loire-Atlantique et responsable des publics. Grâce à sa position stratégique, cette forteresse permettait de contrôler un territoire complexe à la jonction de la Bretagne, de l’Anjou et du Poitou. La famille Clisson s’y établit dès la seconde moitié du XIe siècle. Le château devient ensuite la résidence du dernier duc de Bretagne, François II, qui renforce son dispositif militaire et lui donne son allure imposante. Le jeune sculpteur François-Frédéric Lemot le transforme en ruine romantique à partir de 1807. Le château de Clisson a conservé de nombreux exemples d’éléments de défense d’un château fort tels que les archères, les canonnières ou les assommoirs. Aux beaux jours, le château de Clisson propose une programmation culturelle riche et gratuite : reconstitutions historiques et spectacles vivants. Ainsi, les 16 et 17 juillet prochains, des troupes de reconstitution historique investiront le site pour faire revivre le quotidien dans un château du XIe siècle. Le château de Clisson est classé monument historique. Il est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10 h 30 à 18 h (de mai à septembre). Droits d’entrée : 3 € (plein tarif) ; 2 € (tarif réduit) ; gratuit pour les moins de 14 ans. À la Garenne Lemot : architecture et création artistique Patrimoine végétal et patrimoine monumental se mêlent dans ce paysage de 13 hectares que constitue le domaine de la Garenne Lemot. Le patrimoine monumental rassemble des fabriques. « Il s’agit de petites constructions qui permettent de décorer le paysage : temples, statues antiques, grotte dédiée à Héloïse et à Abélard, rochers gravés de citations et de poèmes, tombeau… », décrit le directeur adjoint. Une maison de style rustique à l’italienne et une villa néoclassique complètent le tableau. Au début du XIXe siècle, c’est dans l’imaginaire de François-Frédéric Lemot, sculpteur de Napoléon, que nait ce magnifique décor. Inspiré par ses séjours en Italie, l’artiste recompose des motifs proches des paysages qui l’ont tant impressionné. Il introduit notamment le pin parasol dès 1809. Dans ce cadre propice à la rêverie, des spectacles vivants sont organisés tout l'été. Le 31 juillet, un concert flottant, Le Piano du lac, se produira sur la Sèvre. Les musiciens joueront sur l’eau pendant que le public appréciera le spectacle depuis la berge. Et, chaque année, une exposition temporaire ouvre ses portes à la villa Lemot. Pour les spectacles comme pour l'exposition, l'entrée est gratuite. Ce domaine est classé monument historique. Le parc de la Garenne Lemot est en accès libre et gratuit, de 9 h à 20 h (de mai à septembre). Vivez le patrimoine ! ...

Le Château du Rivau : 
une table gourmande dans un château médiéval

Situé à 15 min de Chinon, entre Tours et Poitiers, le Château du Rivau présente l’énorme avantage d’abriter une ferme où sont plantés et cueillis ses propres légumes, ce qui lui permet une totale maitrise de leur provenance et une parfaite garantie de fraicheur. Une cuisine simple et gourmande Dans sa démarche constante de développement durable ancrée sur l’environnement, l’économie, le volet éthique et social, le Château du Rivau propose une cuisine simple préparée à base de produits frais du jardin. Derrière ses fourneaux, en cuisine, la chef Béatrice Allart déploie un impressionnant savoir-faire à travers une cuisine inventive et particulièrement saine, avec une option pour les végétariens, les végétaliens et aussi pour les intolérants au gluten. D’excellentes soupes artisanales Le Château est un établissement particulièrement réputé pour ses soupes artisanales, préparées à base des produits de la ferme du Rivau, notamment le velouté à la sucrine du Berry, une de ses soupes phares dont les habitués ne s’en lassent pas. Il s’agit d’une savoureuse soupe traditionnelle et artisanale préparée à base des produits de la ferme du Rivau, avec comme principal ingrédient la sucrine du Berry, une courge de variété autochtone, menacée de disparition et qui fait l’objet d’un plan de sauvegarde au sein du Conservatoire de la région Centre. Un salon de thé au cœur du château Tel un voyage dans le temps à l’époque de la royauté, le Château du Rivau dévoile une magnifique bâtisse à l’ambiance onirique et aux décors très contemporains, aménagée avec gout dans une belle association entre Histoire et modernité. Au milieu de ce décor, particulièrement en période de vacances scolaires, l’établissement ouvre les portes de son salon de thé, où il est possible de savourer de nombreuses variétés de thés et autres tisanes aromatisées, accompagnées de délicieux gâteaux faits maison, sans oublier des jus de fruits frais très désaltérants et du soda. Dégustation de vins Grâce à la généreuse contribution de quelques vignerons experts, une visite au Château du Rivau est l’occasion toute trouvée de déguster gratuitement d’excellents vins produits dans la région. La maison propose aussi des dégustations pour les individuels qui se déroulent d’avril à octobre et qui offrent deux formules possibles, à savoir les cépages de la Loire ou les 3 terroirs de Chinon (de type argilo-silicieux, graves ou argilo-calcaire) qui durent 30 minutes. En outre, des dégustations pour les groupes invitant à découvrir un vin de Loire ou un fromage de chèvre de Sainte-Maure-de-Touraine sont organisées dans le décor verdoyant des jardins du Rivau. Promenade ludique dans un cadre médiéval  Le Château du Rivau laisse subtilement flotter une ambiance féérique. La magnifique forteresse médiévale est entourée de 14 jardins savamment agencés et minutieusement  entretenus, où, selon les propos de Patricia Laigneau, créatrice des jardins, « chaque jardin évoque un conte de fée différent ». Baignant dans un cadre au charme authentique, il est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO… Un carnet de voyage incontournable à découvrir en famille. ...

Vous avez de nombreuses raisons de vous rendre dans le pays de Fénelon.

Rendez-vous dans le Pays de Fénelon en Périgord Noir pour l’exposition Doisneau et profitez-en pour découvrir la richesse de la région. La seule exposition permanente de Robert Doisneau au monde Les amateurs de belles photographies connaissent tous Robert Doisneau pour son travail. Savez-vous que l’Office de Tourisme du Pays de Fénelon en Périgord Noir a souhaité lui dédier une exposition permanente ? Tout commence en 1936, lorsque le gouvernement de Léon Blum crée les congés payés. Lors de ses premières vacances, Robert Doisneau en profite donc pour venir en Dordogne par le train, devenant par ce biais l’un des premiers touristes de la région. Puis, grand fan de canoë, il reviendra souvent dans la Dordogne afin d’immortaliser les sites les plus pittoresques (de Beaulieu-sur-Dordogne à Beynac). Ce sont ces photos que l’Office de Tourisme vous invite à découvrir. Entièrement gratuite, l’exposition a été mise en place en collaboration avec les filles du photographe français qui ont conservé plus de 450 000 clichés. Une bonne occasion de découvrir le Périgord vu par Doisneau à travers une sélection de 50 photos présentant, d’un côté, les plus beaux paysages de la Dordogne et, de l’autre, la vie rurale locale de l’époque. À savoir : en plus de cette exposition permanente, l’établissement veut aussi proposer plusieurs expositions temporaires de jeunes photographes contemporains afin de présenter ce qui se fait actuellement en termes de photographies. Une bonne raison de vous y arrêter pour vous renseigner sur les richesses du territoire du Pays de Fénelon tout en écrivant une carte postale et déguster une glace ou boire un café. Entre salon de thé, galerie d’art photographique et salle de réunion pour professionnels, vous découvrez un Office de Tourisme polyvalent. Les activités du Pays de Fénelon en Périgord Noir Si vous souhaitez visiter ce beau pays, le rendez-vous est donné dans cet Office de Tourisme pas comme les autres, situé dans une ancienne gare entièrement réaménagée et ouvert depuis le 30 avril. Véritable porte d’entrée de la Dordogne et du Périgord Noir, il est le point de départ de nombreux chemins qui vous mènent vers des lieux aussi charmants que typiques. En effet, tout d’abord, sachez que la voie ferrée a été transformée en piste cyclable. Puisque le train n’y passe plus depuis 1980, c’est une excellente façon de faire revivre ce trajet historique. Ainsi, 19 km de voie verte ont été créés par la Communauté de Communes et un projet d’itinérance douce est en pleine construction. Ce dernier permettra de relier Sarlat à Cazoulès par la voie de chemin de fer. De belles promenades en perspective puisqu’il se rajoute à 500 km de chemins de randonnée et 400 km de parcours de VTT. Mais ce n’est pas tout, car vous trouvez de magnifiques bourgades à proximité dont 3 plus beaux villages de France (Domme, Castelnaud-La-Chapelle, Beynac-et-Cazenac). L’occasion d’observer l’aspect architectural spécifique, à base de lauze, de la région. N’oublions pas non plus les châteaux de Salignac et de Fénelon qui valent le détour ainsi que les magnifiques jardins du manoir d’Eyrignac, les jardins d’eau de Carsac (spécialisés dans les lotus) et les jardins de Cadiot.  De plus, 3 événements importants ponctuent la saison : la Ronde des Moulins (durant le week-end de Pâques), la Ronde des Villages (mi-octobre) ainsi que la semaine de la nuit (début août). Ne repartez pas sans avoir participé à un marché gourmand Tous les visiteurs le disent : il faut avoir pris le temps de vivre l’ambiance si particulière des marchés gourmands de la Dordogne (seulement durant la haute saison, en juillet/août). En effet, vous y trouvez évidemment les spécialités de la région (truffes, cèpes, magrets de canard, salade périgourdine, produits à base de noix, etc.). Pourtant, ce qui frappe le plus, c’est le fait que des tables et des bancs ont été installés par les communes pour déguster les plats gourmands directement sur place. Les rendez-vous à ne pas manquer : - Le marché sur le thème du poi...

Okadran : votre marketplace pour trouver de la bonne viande d’élevage français

Les Français ont aujourd’hui de nouvelles exigences en matière de consommation. Ils veulent mieux connaître les produits qu’ils mettent dans leurs assiettes. Devant ce phénomène, Roger Mechri a eu l’idée de lancer un concept innovant : une plate-forme de mise en contact direct entre éleveurs et consommateurs. « Nous ne sommes pas les premiers à offrir ce genre de services, mais nous sommes les premiers à proposer un service de livraison dans toute la France », fait savoir Roger Mechri. Le circuit le plus court de l’élevage à la table Pour lancer ce projet qui a vu le jour en 2016, le cofondateur, ancien de PayPal, a collaboré avec deux autres associés issus du monde de l’élevage et de l’e-commerce. « Nous avons mis en commun nos expériences et connaissances pour créer notre marketplace », précise-t-il. Les viandes sont sélectionnées uniquement auprès des éleveurs engagés dans une démarche responsable chez lesquels les animaux sont traités avec respect et soin durant tout le processus d’exploitation. « Aujourd'hui, 600 éleveurs sont représentés sur le site, et leur nombre augmente progressivement », nous indique-t-on. Les équipes d’Okadran se chargent de vérifier que les engagements sont bien respectés, afin de s’assurer de la conformité des produits avec les descriptions faites par les éleveurs. Pour garantir la fraîcheur des produits, la livraison est réalisée en moins de 24 heures. ...

La maison Benjamin Kuentz signe l’histoire d’un whisky "made in France"

Benjamin Kuentz imagine et écrits des whisky comme on compose une œuvre. Il s’inspire d’aromatiques dont il travaille les sensations mais aussi de ses rencontres, avec un vigneron, un céréalier, ou un maître de chai. A l’image d’un parfumeur, il cherche la note qui donnera toute sa singularité à sa création. Puis il la raconte, avec la poésie sensorielle propre aux amateurs de spiritueux. Afin d’affirmer les subtilités des terroirs rencontrés, il travaille avec plusieurs distilleries en France. Il s’entoure d’amateurs et d’artisans éclairés pour révéler ses gammes, de la réflexion à l’assemblage. Une approche littéraire et gastronomique Le whisky de la maison Benjamin Kuentz bouscule les codes pour accompagner une gourmandise bien française : "(D'un) Verre printanier" fruité, une "Fin de partie" aux notes boisées et pâtissières, un "Guip" à la robustesse des univers maritimes. Chaque édition révèle la fraîcheur et l’élégance consensuelle de cet alcool considéré jusque là comme chaud et puissant. A ce jour, six créations sont en distribution dans de nombreux restaurants gastronomiques et des caves indépendantes. Elles sont aussi commercialisées en ligne, sur le site officiel de la maison. Deux autres oeuvres ne sauraient tarder à voir le jour.  Benjamin Kuentz en est convaincu : le whisky français à de belles pages à écrire. ...

DeVinci Junior : une Junior qui a tout d’une grande !

Des résultats (plus que) prometteurs ! Implantée au sein du Pôle Léonard DeVinci, DeVinci Junior se compose à 100 % d’étudiants issus de l’École d’Ingénieurs (ESILV), de l’École de Management (EMLV) et de l’Institut de l’Internet et du Multimédia (IIM). Depuis son lancement, il y a deux ans, cette Junior qui compte parmi ses clients aussi bien des grand groupes que des PME et des start-ups, contribue à la réussite des nombreux projets qui lui sont confiés. « En 2017, DeVinci Junior a réalisé un chiffre d'affaires chiffre d’affaires qui luiu permet de se hisser parmi la tranche haute des chiffres d'affaires engendrés en unior-Entreprises » explique Nathan Gouët. « Et depuis le début de l’année, nous avons d’ores et déjà franchi le cap des 60 000 € de chiffre d’affaires signé ». Bref, vous l’aurez compris, le succès est au rendez-vous. Mais si les fées se sont clairement penchées sur le berceau de DeVinci Junior, ces Junior-Entrepreneurs « made in DeVinci » ne doivent leur réussite qu’à leurs idées (résolument créatives et novatrices), à leur esprit d’équipe (pour gagner, ils jouent « collectif ») et à l’enthousiasme dont ils font preuve.  Associer la théorie et la pratique, une plus-value appréciable Parce qu’elles donnent l’occasion à des étudiants de mettre en application l’enseignement qu’ils ont reçu et de développer leur potentiel, les Juniors-Entreprises constituent un excellent moyen d’acquérir une expérience professionnelle dans son domaine de compétences. « C’est d’ailleurs dans cette optique qu’on été créées les toutes premières Juniors-Entreprises. L’idée, c’est d’apporter la pratique à des étudiants qui, jusque-là, devaient se contenter de la théorie. De les professionnaliser » précise Nathan Gouët. « Une fois que l’on est un ‘’Junior-Entrepreneur’’, on n’est plus seulement un étudiant. On rentre véritablement dans le monde du travail ». Et pour cause, ce sont les Junior-Entrepreneurs qui gèrent, de A à Z, les projets qu’ils décrochent. Les Junior-Entreprises auraient ainsi sur les étudiants qui ont la chance d’en faire partie, l’effet d’un accélérateur de maturation professionnelle.  L’innovation et l’adaptabilité comme maîtres-mots DeVinci Junior ne manque pas d’atouts pour attirer de nouveaux clients. En effet, la structure même de DeVinci Junior lui garantit une grande réactivité. Il lui est, par exemple, possible de mobiliser rapidement de nombreux intervenants et de les faire travailler de manière transversale. « Nous disposons d’un riche vivier de talents et de compétences (ingénierie, design digital, business, marketing, commerce, finance, nouvelles énergies, etc.) dans lequel puiser » indique Nathan Gouët. « Les quelque 4 600 étudiants du pôle DeVinci sont autant de consultants potentiels ». Enfin, le fait que les étudiants soient « à la pointe des toutes dernières tendances » et proposent à leurs clients « des solutions résolument innovantes » finit de compenser - largement - les heures de vol dont certains esprits chagrins pourraient reprocher aux Junior-Entrepreneurs de manquer… ...

Musée de la Faïence et des Beaux-Arts de Nevers

Liée à l’histoire de Nevers, grand pôle faïencier depuis le XVIe  siècle, sa collection maîtresse est celle de céramiques. La plus grande salle du musée est dédiée à la présentation de cette collection d’exception. Les oeuvres, très diverses, reflètent la richesse d’une production. Pièces en faïence de grand feu du XVIe au XXe siècle, les créations exposées  dévoilent tout un pan de l’histoire d’un art, d’une activité économique mais également d’une société, art de cour au XVIe et XVIIe siècles, la faïence entre dans les maisons bourgeoises puis populaires au XVIIIe et XIXème siècle. Grands plats ornementaux, carreaux de pavage, bouteilles à décors, statues, plaques décoratives ou objets atypiques nous racontent cette épopée mêlant grande et petite histoire, savoir-faire technique et art. Une impressionnante collection de verre A cette collection s’ajoute celle de verres émaillés, dits verres filés. Cette collection de verre est la plus importante d’Europe et provient essentiellement de la Collection Loynel d’Estrie, déposée par le Musée du Louvre à Nevers en 1998. Collection insolite, elle donne à découvrir cet artisanat très prisé aux XVIIe et XVIIIe siècles et qui est aujourd’hui perdu. Nevers, foyer de formation des maîtres émailleurs, était doncle lieu idéal pour présenter ces boîtes et figurines. Fascinantes, tant par la variété des sujets abordés, scènes de genre comme scènes religieuses, que par la qualité. Les amoureux des beaux-arts trouveront aussi de quoi satisfaire leur curiosité, avec objets d’arts et tableaux de maître. Mais au-delà des œuvres, une véritable découverte du bâtiment s’offre aux visiteurs sur 2 100 m2 où se côtoient bâtiment contemporain et vestiges médiévaux. ...

Palais Bénédictine : l’extraordinaire histoire de Bénédictine

À Fécamp, à 2h15 de Paris et à 1h de Deauville se dresse un majestueux palais du XIXe siècle. Derrière sa façade à l’allure irrésistible, œuvre de l’architecte Camille Albert, se cachent des espaces consacrés à l’art, à l’Abbaye de Fécamp et à Bénédictine ainsi que la distillerie et les caves dans lesquelles repose la célèbre liqueur. Composée de 27 plantes et épices, sa recette fut redécouverte par Alexandre Le Grand. Ce grand visionnaire donnera à Bénédictine une renommée mondiale. Tout commence par un vieux grimoire… Entre le XVIe et le XVIIIe siècles, des moines ont créé d’innombrables élixirs en usant de techniques spécifiques de distillation et en faisant appel à leurs connaissances autour des épices et des plantes. Les moines bénédictins de l’Abbaye de Fécamp n’ont pas dérogé à cette tradition. Au sein de ce monastère, un des moines répondant au nom de Dom Bernardo Vincelli s’illustre par son haut savoir. Adepte de l’alchimie et de l’herboristerie, le personnage s’intéresse de très près aux méthodes de distillation et aux plantes, ce qui l’amène à créer un élixir de santé naturel en 1510. Ce précieux breuvage fut produit jusqu’en 1789. La Révolution française a tout ravagé sur son passage et a entraîné dans son sillage la perte d’un savoir-faire. Quant au manuscrit contenant la recette originale, il a été, par chance, préservé par un des derniers moines de l’Abbaye qui l’a confié au grand-père d’Alexandre Le Grand. En 1863, au détour de sa bibliothèque, ce négociant en vins de Fécamp retrouve ce vieux grimoire, qui retient toute son attention. Il y découvre l’intrigante recette qu’il veut à tout prix reconstituer, et y parvient après plus d’une année de travail. De là renaît l’élixir, devenu liqueur, et baptisé Bénédictine. On sait que celle-ci est composée de 27 plantes et épices dont la myrrhe, l’hysope, l’angélique, le safran, la noix de muscade ou encore le clou de girofle, mais la recette complète est tenue secrète. Pour contenir Bénédictine, pas question pour Alexandre Le Grand de choisir une quelconque bouteille. Il crée ainsi un flacon résolument élégant aux proportions et à l’allure si parfaite qu’il inspire de nombreux artistes pour ne citer que Paul Gauguin, Douanier Rousseau, Wesley Webber… Haut lieu de l’art et de l’industrie Mais créer une bouteille unique ne suffit pas. Alexandre Le Grand voit plus grand encore pour sa précieuse liqueur et décide de construire en son honneur un palais-usine. Il mène ce projet aux côtés de l’architecte Camille Albert, spécialiste du néo-gothique, et de nombreux artisants d’art, dont Marrou, génie des ferronneries et des faîtages. D’inspiration gothique et Renaissance, ce chef-d’œuvre architectural devient le lieu de production de Bénédictine ainsi qu’un musée. Il abrite effectivement une impressionante collection d'art formée par Alexandre Le Grand et composée d’un riche ensemble de peintures, ferronneries, ivoires, émaux sans oublier la bibliothèque de plus d’un millier d’ouvrages dont la plupart rédigés par des moines bénédictins. Bien entendu, une grande partie de ce sanctuaire sera consacrée à Bénédictine et à ses 500 ans d’histoire. Une salle retraçant son historique est à découvrir, exposant, entre autres, une partie des 1000 contrefaçons de Bénédictine retrouvées dans le monde. Car, oui, la liqueur attise toutes les convoitises par sa renommée mondiale et ses saveurs subtiles. Une salle des épices exposant les ingrédients composant Bénédictine est également ouverte au public. La visite continue dans la distillerie où sont entreposés les alambics en cuivre martelé dont certains datent de la fin du XIXe siècle et qui servent encore aujourd’hui à élaborer la liqueur. À savoir que le Palais en est le seul et unique lieu de production au monde. Apr&egr...

Domaine Courège-Longue :
des terroirs exceptionnels

Le nom du domaine « Courège-Longue » n'est autre que le nom d'anciennes vignes héritées de son grand-père et qui existaient bien avant mais qu'il a reprises seulement en 2012. Depuis, David conduit son vignoble en lutte biologique et s'emploie à perpetuer le savoir-faire vigneron de la famille.  À chaque cuvée, son terroir Les vins de la maison sont issus de 4 terroirs différents. On trouve un sol argilo-sableux au nord, un sol de style terrefort au sud, des graves rubéfiés et un sol argilo-ferreux. Cette diversité géologique donne naissance à des vins de caractère. ...

Appellation Duché d’Uzès : de la passion à l’excellence viticole

La jeune appellation Duché d’Uzès regroupe plus de 300 ha de vignobles étalés sur 77 communes du Gard. Les vins faisant sa fierté sont issus du travail artisanal et respectueux de différents cépages de renom tels que la Syrah, le Grenache ou le Viognier. Ces derniers, bercés par l’alternance de températures, élevées en journée et fraîches la nuit dues à l’influence des Cévennes, produisent ainsi des cuvées de caractère qui représentent fidèlement leur terroir. Une appellation et des hommes De longues années d’effort et de détermination ont précédé l’obtention de l’AOC Duché d’Uzès. Des vignerons attachés à leurs terres et à leurs traditions ont, en effet, travaillé main dans la main afin de remplir tous les critères du cahier des charges leur permettant aujourd’hui de bénéficier de l’AOC dans les 3 couleurs. Les rouges, équilibrés et dotés d’effluves tantôt fruités tantôt épicées sont d’élégants assemblages de Syrah, de Grenache ou d’autres cépages nobles puisant leurs succulences dans la garrigue. S’appréciant plus en été, les rosés se démarquent, quant à eux, par leur fraîcheur ponctuée de notes florales. Les vins blancs, issus d’assemblages complexes (Viognier, Grenache blanc, Vermentino, Roussanne) assurent, enfin, des dégustations savoureuses aux parfums  de fruits blancs avec des notes de fleurs et de fruits secs. Avec plus de 25 % de leur production en Duché d’Uzès blanc, l’Appellation Duché d’Uzès est devenue une des appellations emblématique sur cette couleur. Leur puissance aromatique se révèle parfaitement notamment lors d’accords avec la truffe noire célébrée chaque année en janvier. Toutes ces cuvées à la complexité, la finesse et l’acidité caractéristiques se dégustent au fils de la route des vins et des 22 caveaux de dégustation labellisés aussi pour la qualité de leur accueil ! ...

Karine & Jeff mettent le bonheur dans le pot

De retour d’un tour du monde où ils ont parcouru l’Amérique centrale, l’Amérique du Sud, l’Afrique, le Proche-Orient et l’Asie, Karine et Jeff Marie s’installent dans le Gers, leur département d’origine, pour créer leurs premières conserves en verre. Leur entreprise Le Bonheur est dans le Pot séduit rapidement les magasins bio du Sud-Ouest. En 2002, ils déménagent à Toulouse. Aidés par une petite équipe, ils étoffent leur gamme pour proposer 132 recettes, toujours dans des bocaux en verre. En 2011, ils font construire un nouveau bâtiment à Revel avec une immense cuisine bénéficiant de la lumière du jour. Vingt personnes en interne et vingt personnes en externe accompagnent cette aventure aujourd’hui. Désormais rebaptisée Karine & Jeff, l’entreprise s’est fait un nom à l’international, que ce soit en Suisse, aux Pays-Bas, en Belgique, au Japon, au Qatar ou encore en Amérique du Nord. Karine & Jeff sont lauréats du prix spécial de l’innovation et de l’économie dans le cadre des Septuors 2017. Des ingrédients sains et naturels… Tous les ingrédients composant les recettes de Karine & Jeff sont sélectionnés avec beaucoup de soin. Ils sont tous issus de l’agriculture biologique. Ils proviennent essentiellement de producteurs régionaux, respectant les qualités gustatives et nutritives de leurs produits. Tous les ingrédients provenant d’autres parties du monde, comme les lentilles corail de Turquie, le quinoa de Bolivie ou les épices, sont également choisis pour leur excellence éthique. Située au pied de la montagne noire, l’entreprise peut aussi bénéficier de la pureté de l’eau du parc naturel régional du Haut-Languedoc. Aucun épaississant, aucun arôme artificiel, aucun colorant, ni conservateur, que des produits sains et naturels pour une alimentation équilibrée. …pour des recettes créatives Hormis des soupes, des purées de légumes, des céréales et des légumes au naturel, vous trouverez dans la gamme Karine & Jeff de nombreuses recettes inspirées de leurs voyages. Par exemple vous pourrez vous régaler d’un tajine de lentilles et potimarron, d’une cocotte de tofu à la mangue ou accompagner votre plat d’un ketchup gastronomique. Tous les ans, une dizaine de nouvelles recettes viennent enrichir l’offre. ...

Restaurant Truffes folies : quand les truffes prennent le pouvoir…

Installé pas loin de la tour Eiffel, le restaurant Truffes folies accueille ses clients dans une ambiance feutrée, sobre et pleine de cachet. En amoureux ou en famille, ceux en quête de saveurs authentiques seront ravis de prendre place sur les tables de cet établissement de charme pour une (re) découverte des différentes déclinaisons de ce champignon de luxe. Une panoplie de combinaisons possibles… follement atypique ! En déployant des recettes revisitées, cet établissement parisien choisit la truffe comme produit de prédilection. Toujours considérée comme « une pépite d’or de la gastronomie », elle y est disponible en différentes variétés, de la truffe noire du Périgord considérée comme la reine des truffes et recherchée pour son goût marqué, en passant par la truffe blanche, plus douce, jusqu’à la truffe d’Italie au parfum très typé. La meilleure qualité est sélectionnée auprès de producteurs locaux afin d'offrir des plats aux saveurs intrigantes et envoûtantes. La carte vante différentes recettes, des associations peu communes, mais comme par magie, le goût est toujours rendez-vous. L’œuf cocotte aux truffes, le bon vieux risotto paré de ses pétales de truffes, et en dessert le tiramisu revisité à la truffe, feront un déjeuner idéal. Côté vin, la carte simple mais complète compte une dizaine de références. Un établissement qui n’a jamais fait comme les autres Tandis que les grandes maisons présentent la truffe comme un produit de luxe inaccessible au plus grand nombre, le restaurant nous prouve finalement que manger ce mets d’exception sans se ruiner est possible. Accessible à toutes les bourses, l’endroit offre une cuisine mi-bistrot, mi-gastronomique. Et pour encore plus de proximité, maintenant il est possible de commander à emporter. Le restaurant Truffes folies tire également sa renommée de son épicerie fine. Mais là encore, l’originalité est le maître-mot. Le chef Bocciarelli a concocté effectivement une sélection de produits qui sortent des sentiers battus et qui invitent à découvrir la truffe autrement. Ketchup à la truffe noire pour vos frites, le miel aux truffes pour accompagner vos tartines, ou même le pop-corn goût truffe lors de vos soirées cinéma en famille. Plus de soixante produits sont élégamment présentés sur les étagères de l’épicerie fine pour surprendre vos papilles. ...

Destination Saône & Loire : promouvoir l’attractivité touristique de la Saône-et-Loire

En Saône-et-Loire, environ 3 000 acteurs touristiques incluant sites touristiques, hébergeurs, activités et équipements de loisirs bénéficient d’une promotion touristique relayée grâce aux supports promotionnels de l’agence. Consciente à la fois des richesses du patrimoine naturel et du paysage viticole de la région, cette dernière a décidé de concentrer ses efforts sur le développement de deux filières porteuses que sont l’oenotourisme et le vélotourisme. Un vignoble riche en diversité Le vignoble de Saône-et-Loire est le plus méridional de Bourgogne. Il s’étend sur une large bande de 50 km de longueur et 50 km de largeur. « Nous avons la chance d’être le plus grand vignoble de Bourgogne-Franche-Comté en termes de superficie », précise Arnaud Durix, président de Destination Saône & Loire. Mais le véritable atout de ce territoire réside essentiellement dans sa diversité. En effet, il se compose de 5 vignobles : les Maranges Côte de Beaune (inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2015), le Couchois, la Côte Chalonnaise, le Mâconnais et le Beaujolais. En tout, il abrite une trentaine d’AOC, comptant des appellations prestigieuses comme Maranges, Pouilly-Fuissé, Givry, Moulin-à-Vent et Côtes du Couchois. Côté production, 45 % des vins d’appellation de Bourgogne sont issus de Saône-et-Loire. Des vins de qualité exceptionnelle à l’image des Mâcon blancs et les vins rouges de la Côte Chalonnaise. Dans leur jeunesse, les premiers exhalent des parfums de fleurs du printemps tels que l’aubépine ou l’accacia. En prenant de l’âge, ils dévoilent des arômes de sous-bois, de noisette, de miel et de pain grillé. Quant aux rouges de la Côte Chalonnaise, ceux-ci sont souvent profonds, au fruité croquant, évoluant vers des notes d’épices douces. « La force de nos vins vient de leurs richesses aromatiques », fait valoir Arnaud Durix. Un haut lieu de l’œnotourisme La Saône-et-Loire possède de nombreux atouts en matière d’œnotourisme. La région abrite notamment de sites intéressants tels que le Hameau Dubœuf et le Château de Chamirey, véritables fleurons de l’œnotourisme local. « Ce sont des sites importants en termes de fréquentation touristique », nous indique-t-on. Premier œnoparc de la vigne et du vin créé en Europe, le Hameau Dubœuf, situé à Romanèche-Thorins, propose aux visiteurs un voyage inédit dans l’univers de la vigne et du vin. D’une manière ludique, les secrets des vignobles, leurs origines ainsi que les différentes techniques sont dévoilés au public. Une collection impressionnante d’objets rares, des spectacles d’animation et des attractions insolites (cinéma dynamique, cinéma en 3D…) feront le bonheur des petits et des grands. Quant aux œnophiles, ceux-ci ne rateront sous aucun prétexte les séances de dégustations. Deuxième pépite du département, le Château de Chamirey a la particularité d’offrir des activités variées. Il dispose d’un domaine viticole (visites suivies de dégustations), d’espaces de séminaires pour les entreprises et d’une chambre d’hôtes, le tout en plein cœur de la Côte Chalonnaise. Sans oublier également les balades organisées dans les vignes. Ces deux sites, labellisés Vignobles & Découvertes, permettent d’apprécier les potentialités du département d’un point de vue œnotouristique. Des conditions d’accueil optimales En choisissant la Saône-et-Loire pour destination de voyages, les touristes sont assurés d’être accueillis dans des conditions optimales. Grâce à un important vivier de structures labellisées Vignobles & Découvertes, les visiteurs profitent d’une offre touristique complète qui leur permet de faciliter l’organisation de leur séjour et de les orienter sur des prestations de qualité. « Notre ambition est de valoriser les professionnels labellisés Vignobles & Découvertes par le biais d’actions d’animation et de promotion menées auprès des touristes », souligne Arnaud Dur...

Champagne Gratiot-Delugny : Respect des saveurs d'Antan et de l'Authenticité

Dans une perpétuelle quête d’excellence, la maison de champagne Gratiot-Delugny a su apporter à ses vins un caractère unique reflétant terroir, gestes ancestraux et authenticité familiale. Depuis 1946, chaque génération a participé à l’évolution des champagnes en misant sur la passion et le savoir-faire traditionnel.   Un terroir de caractère D’une superficie totale de 10 hectares, le vignoble est réparti sur trois communes, à savoir Croûttes-sur-Marne, Nanteuil-sur-Marne et Charly-sur-Marne. S’y développent les trois cépages champenois, à savoir le Pinot Meunier, qui est à l’origine de caractéristiques fruitées et aromatiques avec une touche de vinosité ; le Chardonnay, offrant finesse et élégance aux vins ; et enfin le Pinot Noir, source de puissance et garant de vins à la structure solide.   Soucieuse de préserver l’environnement et de laisser au terroir la possibilité de s’exprimer pleinement, la famille Gratiot-Delugny opte pour un mode de viticulture raisonnable. Ses terres aux sols argilo-calcaires font l’objet d’une vendange de 90 et 100 jours en septembre, après floraison. Un pressurage traditionnel des raisins est ensuite réalisé au domaine.  Des champagnes alliant finesse et générosité La maison a développé six cuvées avec une production de 90 000 à 100 000 bouteilles par an. À découvrir : la cuvée Réserve à 80 % Meunier et 20 % Pinot Noir, le terroir authentique, qui est un champagne long en bouche, parfait pour l'apéritif sur de petites bouchées salées. La cuvée Sélection, issue d’un assemblage de 60 % Chardonnay et 40 % Pinot Noir, est un champagne vif et aux bulles fines, qui se déguste à tous les moments de la journée. La cuvée Millésime sera appréciée lors de vos soirées entre amis et accompagnera parfaitement les petites douceurs sucrées. La cuvée Histoire d'Hommes, quant à elle, est composée de 90 % Chardonnay et 10 % Pinot Noir. Elle est vinifiée en fûts de chêne et dévoile des petites notes briochées qui s'accorderont à merveille avec des mets de caractère, comme des terrines de gibier. ...

Champagne Taittinger : une aventure pétillante

L’histoire des champagnes Taittinger commence en 1734 quand Jacques Fourneaux entame son activité de négociant en vins. C’est à cette époque que les vins effervescents commencent à s’imposer. Il travaille alors avec des abbayes bénédictines qui possèdent les plus beaux vignobles champenois. La famille Fourneaux s’associe au début du XIXe siècle avec la famille Forest pour continuer à produire des grands crus millésimés comme le Vin de Sillery ou le Vin de Bouzy. En 1932, suite à la crise de 1929, Pierre Taittinger rachète le château de la Marqueterie. Cette propriété dont les vignobles sont plantés en chardonnay et en pinot noir appartenait à la maison Forest-Fourneaux. Avec l’aide de son beau-frère Paul Evêque, ils créent la marque Taittinger et développent la production de champagne. Sous la présidence de François, le troisième fils de Pierre, la Maison Taittinger installe son siège social sur la butte Saint-Nicaise. Il y est toujours établi aujourd’hui. En 2006, Pierre-Emmanuel Taittinger rachète la maison de champagne éponyme après un court passage dans le giron de Starwood Capital. Ses enfants Clovis, directeur du département export, et Vitalie, directrice artistique, l’accompagnent dans cette entreprise familiale. Aujourd’hui, les vignobles se composent de multiples parcelles réparties sur 288 hectares, avec 37 crus différents et une prédominance du cépage chardonnay. La maison Taittinger emploie 220 personnes et produit six millions de bouteilles par an dont 70 % sont distribuées à travers le monde. Visite des caves Saint-Nicaise : un vrai parcours historique Après la diffusion d’un film vidéo présentant l’histoire de la maison, un guide vous présentera les secrets de la production du champagne. Ce voyage dans le temps vous mènera tour à tour dans les vestiges de l’abbaye Saint-Nicaise datant du XIIIe siècle, puis à dix-huit mètres de profondeur, dans de somptueuses crayères gallo-romaines faisant partie des coteaux, maisons et caves de champagne inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. À l’issue de la visite des caves, vous pourrez admirer la Taittinger Collection. L’ensemble des différentes bouteilles sont décorées par des artistes de renom, tels que Roy Lichtenstein ou Victor Vasarely et plus récemment le photographe brésilien Sebastião Salgado. La dégustation : un instant de plaisir La Maison Taittinger vous offre la possibilité de choisir entre différentes formules de dégustation qui vous permettront de déguster une ou plusieurs cuvées. L’instant Premier : la cuvée Brut Réserve issue d’un assemblage de 40 % de chardonnay, 35 % de pinot noir et de 25 % de pinot meunier, vieilli de trois à quatre ans en cave. Cette formule coûte 19 €. L’instant Dévoilé : vous pourrez goûter en plus du Brut Réserve un autre champagne de la Maison Taittinger. Le Prélude Grands Crus  assemblé à partir de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir, une cuvée aux saveurs d’agrumes et de pêche blanche. Le Prestige rosé composé de 30 % de chardonnay et de 15 % de vin rouge tranquille, un champagne plus fruité, vif et gourmand. Ou encore le Brut Millésimé 2012, à l’intensité aromatique étonnante procurée par les vins de première presse de chardonnay et de pinot noir. Cette formule coûte 30 €. L’instant Signé : là, vous aurez l’occasion de découvrir, en plus du Brut Réserve, le fleuron de la maison Taittinger, la cuvée Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Ce Blanc de Blancs issu exclusivement de la prestigieuse côte des Blancs est vieilli dix ans dans les caves de l’Abbaye Saint-Nicaise, le temps nécessaire pour élaborer un champagne exceptionnel à la fois tout en finesse et en maturité. Cette formule coûte 40 €. L’instant Absolu : vous pourrez savourer trois flûtes dont une flûte de Brut réserve, une flûte de Prestige rosé ou Prélude Grands crus ou Brut Millésimé, et une flûte de Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Cette formule coûte 45 €. ...

Le Galion : ode à la culture de la canne à sucre martiniquaise

Situé au cœur de la sous-préfecture de la Martinique ou « l’île aux fleurs », à Trinité, entre la commune du Robert et la presqu’île de la Caravelle, le domaine agricole Le Galion se trouve à environ un kilomètre de Fort-de-France. C’est dans un environnement paisible et enchanteur que l’usine accueille les visiteurs pendant la période de production sucrière en leur proposant des dégustations de ses produits, notamment du sucre roux et du rhum agricole. Une sucrerie martiniquaise séculaire Construit entre 1861 et 1865 par Émile Bougenot, un jeune ingénieur de 23 ans mandaté par l’ancien propriétaire des lieux, le site de production sucrière actuel a lancé sa première véritable campagne en 1864 après un prétest fructueux un an auparavant. Son nom est tiré de la rivière éponyme se trouvant à proximité de l’usine, qui autrefois faisait office de lieu de ravitaillement en eau potable aux navires espagnols : les Galions. Depuis le succès de sa campagne, la sucrerie du Galion perpétue la culture de la canne à sucre en produisant et en commercialisant ses produits à l’international, « essentiellement en Europe », précise Marcel Marie-Sainte, le propriétaire actuel. À la découverte d’une nouvelle aventure Chaque année, Le Galion ouvre ses portes au grand public afin de lui faire découvrir le secret de fabrication du sucre roux et de rhums agricoles, « de l’arrivée de la canne à sucre dans l’usine jusqu’à la sortie du sucre, les visiteurs composés d’un groupe de quinze personnes, vont découvrir une véritable magie », révèle le propriétaire. Une visite guidée d’environ une heure est assurée par une hôtesse. Au programme : découverte de l’histoire de la canne à sucre, du domaine agricole, de l’usine centrale à vapeur du Galion, ainsi que des dégustations et des projections vidéo au sein de la boutique du domaine, un espace détente aménagé juste à l’entrée. Lors de la visite, « il est possible d’échanger avec les opérateurs à leur poste de travail », continue notre interlocuteur. Une unité sucrière hors du commun En Martinique, Le Galion est la seule unité de production sucrière qui fonctionne 365 jours sur 365 depuis 1899. Il propose deux types de produits exclusivement martiniquais, dont le sucre « Le Galion » et ses déclinaisons « Cassonades », ainsi que les rhums « Grand Fond Galion » et le « Grand Arôme ». Ces derniers sont obtenus par fermentation naturelle du saccharose, « sans apport d’aucun élément, ni ferment ni levure », ce qui fait leur originalité explique Marcel Marie-Sainte. Étant donné que le processus dure au moins huit jours afin de maintenir en vie les souches bactériennes, l’usine est en activité toute l’année générant ainsi une production annuelle de 500 000 à 600 000 litres de rhums. Quant au sucre roux, il est élaboré à partir de cannes 100 % locales. ...

Champagne Claude Cazals : le meilleur de la Côte des Blancs 

Dans la famille Cazals depuis quatre générations, le goût du bon champagne se fait ressentir de par la qualité exceptionnelle des cuvées de la marque. Avec des méthodes oscillant harmonieusement entre modernité et artisanat, la maison Cazals est une « maison familiale, très conviviale […] et forte de traditions héritées de père en fille », selon Camille Crochet, Sales Manager Marketing de la marque. Un vignoble riche en histoire C’est Ernest Cazals, alors tonnelier, qui fonde la maison Cazals en 1897 en choisissant un terrain noble et ouvert pour ses premières vignes. Un clos de 3 hectares, acquis par son fils Olivier Cazals dans les années 1930, va par la suite venir s’ajouter au domaine familial, donnant ainsi naissance aux 10 hectares de vignes classées Premier et Grand crus de la maison Cazals. Parmi les cuvées ambassadrices de la marque, appréciez les « grands crus d’exception nés de vignes de plus de cinquante ans », continue Camille. Délectez-vous ainsi de la Chapelle du clos, un 100 % chardonnay léger aux saveurs suaves, ou du millésime Clos Cazals doté d’une large palette de goûts et d’une mosaïque de succulences typées. Une passion et un héritage à préserver La maison Cazals, dans un élan d’engagement envers l’environnement, se trouve dans une phase de transition vers l’agriculture durable, avec la « volonté de certifier le clos Haute Valeur Environnementale (HVE) », reprend Camille. Outre cette promesse noble, la famille tient à préserver un patrimoine unique qui leur a été légué par leurs ascendants. Tout le processus de production, allant des vendanges à la maturation dans les caves voûtées en passant par la vinification en fûts de chêne, se fait ainsi suivant les méthodes artisanales utilisées dès la création de la marque. ...

HOTEL des VENTES de COULOMMIERS

Maître Dapsens-Bauve et Maître Bouvier, experts judiciaires et commissaires-priseurs se relayent pour animer 90 ventes aux enchères par an (vente courante, vente classique, vente de prestige, vente thématique, vente volontaire ou judiciaire, vente caritative....) et réaliser vos expertises et estimations dans le cadre d’inventaires après successions, tutelles, déménagements… La vente aux enchères publiques est ouverte à tous. Vous pouvez  tous venir  acheter ou vendre aux enchères. Le conseil, l'expertise et la prisée sont un préalable indispensable pour valoriser vos biens. Depuis plus de 20 ans, l’Hôtel des Ventes de Coulommiers s’attache à démocratiser les ventes aux enchères et à présenter à la vente les trésors de vos greniers, objets d’un autre temps, du quotidien d’un autre siècle. Tout se vend, tout s’achète de 15 € à 100.000 € et plus. L'Hôtel des Ventes de Coulommiers accueille depuis 2012, l'équipe de l'Emission de télévision "Un Trésor dans votre Maison". Généralistes par vocation et spécialistes par passion Maître Dapsens-Bauve et Maître Bouvier se partagent l'ensemble des spécialités du marché avec le soutien d'experts spécialisés si nécessaire. Bijoux, orfèvrerie, horlogerie, céramiques, numismatique, philatélie, tableaux des XIXe et XXe siècles, Art Contemporain, vins et alcools, jouets, mobilier et objets d'art des XVIII, XIX et XXe siècles, ont déjà fait l'objet de jolies ventes. Les Trésors sont rares, il faut savoir les identifier et les mettre en valeur auprès d'un large public de collectionneurs ou amateurs. Les ventes domaniales Par ailleurs, Maître Bouvier anime 4 à 5 fois par an, les ventes domaniales de bijoux, montres et objets précieux à Saint Maurice (94) dans le cadre de sa mission de service public auprès de la Direction d’Interventions Domaniales (DNID). Toutes les grandes maisons telles Rolex, Audemars Piguet, Cartier, Breitling, Omega, Vacheron Constantin, Hermès… ont été largement représentées dans ces ventes d’exception à l’instar de la très rare et exceptionnelle montre bracelet Histoire de Tourbillon 5 en or rose signée Harry Winston adjugée à 134.000€ ou ces trois diamants (9 carats, 10 carats et 14 carats)  adjugés à 261.000€. Les « Cavernes d’Ali Baba » ou les ventes « Collections Collectionneurs » Ces ventes sont l’occasion de découvrir à petits prix la richesse de notre patrimoine artistique, de notre savoir-faire et savoir-vivre à la Française. De 100 € à 1000 € vous repartez avec un objet de qualité, une œuvre d’un artiste de talent, un meuble atypique, un grand Cru Classé, une montre Vintage, un bijou signé….. Toutes les ventes aux enchères sont retransmises en Live pour permettre une plus grande diffusion et une meilleure publicité auprès d'un public ciblé. ...

Le Centre des Congrès de Rennes
métropole sort de terre

Une ville qui change de visage Au cœur de la vieille ville bretonne, utilisant le bâti historique du Couvent des Jacobins dont il emprunte le nom, le nouveau Centre des Congrès de Rennes vient parachever toute une série d’investissements de la ville afin de se placer dans l’élite des destinations d’affaires françaises. Notamment en termes de mobilité, la ville est reliée au réseau de lignes à grande vitesse pour lui permettre d’être connectée, bien entendu à Paris en moins d’une heure trente, mais aussi au reste des grandes métropoles françaises en un très peu de temps. Les déplacements sur rails vont se prolonger au sein de la ville avec la création récente d’une seconde ligne de métro qui fait le lien entre la gare LGV et le Couvent des Jacobins. Signe de l’importance accordé par la ville à la création du Centre des Congrès, les deux lignes métropolitaines de la ville ont été pensées pour se croiser en deux points ; à la gare, et place Sainte-Anne devant le Centre des Congrès. Ces séries d’investissements et bien d’autres, dont la refonte totale récemment de la gare elle-même, concourent au positionnement de la ville et de son rayonnement dans un secteur fortement concurrentiel. Un outil pour demain Plusieurs dimensions façonnent les singularités et les particularités de ce projet. Déjà l’accolement du Centre au Couvent des Jacobins, lieu emblématique de la ville pour la diffusion et le partage des connaissances dès le Moyen Âge, qui crée une légitimité et une filiation entre deux époques distantes. Ensuite la situation même du Centre, au cœur historique de la capitale bretonne, avec toutes les commodités que cela suppose en termes de restaurations, logements, bars et hôtels pour les participants. On est très loin de l’image des autres Centres des Congrès plus classiques, souvent excentrés, obligeant à multiplier les transports afin de s’y rendre ou pour continuer un meeting dans un bon restaurant. Ici, tout est accessible à pied, entre deux rendez-vous, on trouve le temps de profiter de l’ambiance toute particulière de Rennes et de ses quartiers historiques. À cela, il faut ajouter qu' « Étant un Centre des Congrès nouveau, il profite des choix technologiques les plus récents. On garantit à nos clients organisateurs d’événements, et à leurs clients congressistes, une très grande capacité de communication entre les pièces, par exemple la liaison en full duplex entre toutes les salles sans branchement supplémentaire. C’est un centre extrêmement moderne par les technologies qu’il embarque avec lui », explique J.F Kerroc’h, directeur général de Destination Rennes. Un engagement total de tous les acteurs d’un territoire  Ce centre n’arrive pas d’un seul coup dans un paysage vierge, mais accompagne une réflexion de tous les acteurs de la chaîne de l’accueil du territoire. « Nous avons constitué un conseil des acteurs du tourisme et des rencontres professionnelles qui assoit ses activités dans l’ambition d’accueil du territoire. De ces réflexions menées collectivement, on a retiré une proposition, pour les organisateurs, composés de 35 engagements. Un de ces engagements est de garantir, jusqu’à trois ans avant la tenue d’un événement, les chambres qui y sont associées. C’est une garantie économique puisque l’on s’engage sur les prix. » Le démarrage de ce Centre des Congrès est un travail collectif de la chaîne tourisme, mais il mobilise aussi des acteurs académiques et économiques, afin de faire réussir le projet et le propulser dans une dimension supérieure. L’enjeu est d’offrir à ces acteurs un outil moderne afin de prendre des initiatives et de porter des candidatures dans leurs réseaux à l’accueil de congrès. « Tout le monde est solidaire de la qualité de la destination. On s’est efforcé de construire des systèmes d’alliances avant même la tenue du premier congrès. C’était une condition préalable », termine J.F Kerroc’h. ...

Champagne C.Garnotel : de grands champagnes depuis 1899

L’histoire de la maison C. Garnotel commence en 1899, quand Louis Adam a décidé d’exploiter le vignoble qu’il a hérité de son père. La passion de la vigne s’est transmise de père en fils et aujourd’hui c’est Christophe Garnotel, de la troisième génération, qui continue à préserver la notoriété de cette maison familiale. Tel un artisan, il façonne chaque cuvée en respectant fidèlement la tradition du métier et un savoir-faire ancestral. Un dévouement qui a valu à la propriété une réputation enviable, dépassant les frontières. Là où tout commence Avoir un vignoble en premier cru installé sur Rilly La Montagne est un symbole : celui de l’excellence. Car pour élaborer des champagnes d’exception, il faut un terroir d’exception. « Nous exploitons actuellement un vignoble d’une dizaine d’hectares, intégralement en premier cru, dont la moitié est dédiée au pinot meunier. » Le reste du vignoble est en chardonnay et en pinot noir. À Rilly La Montagne, le sous-sol a la spécificité d’être crayeux qui confère aux vignes une qualité rarement inégalée. Combiné à un ensoleillement équilibré, ce terroir permet aux raisins de développer pleinement leur typicité naturelle jusqu’à maturation optimale. Toutes les conditions sont réunies pour obtenir des cuvées plus saines et plus expressives, à l’image des caractéristiques du terroir. « En blanc, on va avoir des champagnes légers avec des fines bulles et des champagnes avec une puissance aromatique pour tout ce qui est assemblage », souligne Christophe Garnotel. En harmonie avec l’environnement Pour conserver la richesse de son terroir, la maison Champagne C. Garnotel évolue dans le sens de la viticulture raisonnée. La démarche mise sur la prévention afin de réduire l’utilisation des produits phytosanitaires sur les vignes. Ici, le désherbage se fait mécaniquement et le traitement insecticide repose sur la méthode biotechnique de la confusion sexuelle. De la même manière, les actions de protection contre les maladies de la vigne sont renforcées avant même que celles-ci aient le temps de se développer. Christophe Garnotel soutient que « c’est un engagement qui demande un contrôle journalier de l’état des vignes pour apporter les soins adaptés au bon moment ». Une fois les récoltes vendangées manuellement, elles passeront par la vinification traditionnelle champenoise. Les cuvées de la maison Fruit d’une succession complexe de savoir-faire et d’assemblage, le Brut Grande Réserve incarne l’identité de la maison. Ce brut sans année est élaboré avec 40 % de pinot meunier, 30 % de pinot noir et 30 % de chardonnay.  Sa belle robe dorée témoigne de son élégance. Son nez agréablement fruité suggère une bouche ample et une fraîcheur intense. En bouche, il est souple, gourmand, généreux et d’une rondeur tentatrice. Idéal pour accompagner les apéritifs et amuse-bouche. La note de 85/100 attribuée par le guide des vins Gilbert et Gaillard signe sa grandeur. « Il s’agit là de notre cuvée de référence, celle qui donne le ton sur notre maison de champagne. » Au même titre que cette cuvée emblématique, la cuvée Louis Adam en monocépage chardonnay premier cru se distingue par la symbiose parfaite de sa palette aromatique. Élaboré en hommage au fondateur de la maison, ce champagne est le lien vivant entre l’histoire de la propriété et les vignes. Son arôme de fruits à chair blanche est agrémenté d’une délicate note briochée. À la fois moelleuse et légère, la texture de ce champagne dévoile une fraîcheur finement parfumée. Il est coté à 89/100 par le guide Gilbert et Gaillard. Le Brut Blanc de Blancs est aussi sur du 100 % chardonnay. D’une robe jaune clair, il est apprécié pour sa bouche complexe, qui joue sur des notes tantôt crémeuses tantôt opulentes. Elle s’achève sur une belle vivacité et sur une finale subtilement saline. Le Brut Esprit Rosé est élaboré essentiellement en ...

Le Clos Gautier, un domaine Provençal authentique

Créée en 2003, l’exploitation a été reprise en 2011 par Gilles Pedini, niçois de longue famille, amoureux de sa région Provençale et passionné par le monde du vin. Le Clos Gautier produit aujourd’hui trois cuvées en Côtes-de-Provence et le Campé d’Enroch en IGP Var Argens. Le domaine propose aussi de l’huile d’olive issues des oliviers multi centenaires de la propriété. Terroir et cépages typiques du Var Le vignoble du Clos Gautier s’étend sur une superficie totale de 33 hectares, au sein d’un terroir typique de la région, se distinguant par une terre argilo-caillouteuse avec un sous-sol argileux. Une partie des parcelles du domaine est située sur le terroir prestigieux de Mouton-Gautier. Grâce, notamment, à ce sous-sol en argile qui retient l’eau en profondeur, les pieds de vigne ne sont pas touchés par la sécheresse, ce qui garantit une maturation continue et linéaire des raisins pour des vins équilibrés. Sur les 33 hectares du Clos Gautier, 80 % des vignes sont dans l’appellation Côtes-de-Provence AOP et le reste en Vin de Pays du Var d’Argens IGP. L’exploitation possède aussi quelques parcelles exceptionnelles de vieilles vignes plantées en 1941 sur 2 hectares et en 1949 sur 6 hectares. Ces deux parcelles sont particulièrement soignées, et exclusivement vendangées à la main, car destinées à l’élaboration de cuvées haut de gamme. En outre, une replantation a été effectuée sur 5 hectares de vignes, en 2011, dans une démarche qualitative et de marche vers le bio. Quant aux cépages, ils sont représentés par la syrah, le grenache, le cinsault, le carignan, le rolle et l’ugni blanc. Quelques pieds de cabernet-sauvignon et de mourvèdre sont également présents Agriculture raisonnée Le Clos Gautier applique une agriculture raisonnée dans toutes ses démarches de production. Pour ce faire, les produits phytosanitaires sont employés de manière très limitée et sont remplacés dans la mesure du possible par des produits naturels tels que le soufre, le cuivre ou l’huile essentielle d’orange. Un îlot de 8,5 hectares autour de la cave est en cours de conversion en bio. La vendange ne s’effectue qu’à maturité optimale des raisins, avec des rendements inférieurs à la législation afin de garantir des jus plus riches. À la cave, les matériels de vinification sont à la pointe de la technologie : cuves en inox thermorégulées, pressoir pneumatique et cuves en béton unimoulées -sans joints- avec contrôle de la température. Les coups de cœur du domaine Parmi toutes les cuvées du domaine, la plus prestigieuse et la plus noble est sans aucun doute le Clos du Château AOP Côtes-de-Provence. Issue des vieilles vignes du vignoble, elle est élevée en barrique bordelaise de chêne durant 11 mois avant d’être embouteillée. Le millésime 2013 a été médaillé d’or lors du Concours des vignerons indépendants 2015 de Paris et médaillé d’argent au Decanter World Wine Awards de Londres. En 2014, la cuvée s’est étoffée d’une gamme de blancs élevée avec bâtonnage des lies fines dans des fûts de 400 litres et dotée de bouchons en liège naturel extra. Cette dernière a déjà remporté une médaille d’argent au Concours général agricole de Paris en 2015. La cuvée Oser, issue de vignes de 40 ans, n’est pas en reste. En bouche, ce vin a une agréable rondeur avec des notes de fruits rouges. Il peut être servi en apéritif et accompagne savoureusement des plats en sauce. Au dernier Decanter World Wine Awards de Londres, le millésime 2014 a été couronné de la médaille d’or. ...

vous invite à faire un véritable voyage culinaire

La cuisine toscane vous ouvre ses portes grâce au restaurant Il Conventino a Marignolle, au sein de la Villa Tolomei. Un menu en constante évolution Que vous séjourniez à la Villa Tolomei ou non, le restaurant Il Conventino a Marignolle vous accueille tout au long de l’année. Lieu de villégiature des amoureux de la cuisine toscane, il vous offre une carte d’exception et une ambiance unique. Pour ce faire, le chef et son équipe utilisent des produits frais cultivés dans leur domaine privé ou fournis par les producteurs locaux. En effet, il faut savoir que l’hôtel dispose de nombreux oliviers, d’une vigne, d’arbres fruitiers et d’un potager. De ce fait, les olives, les fruits et les légumes sont cueillis sur place. Ils s’en servent d’ailleurs pour fabriquer leur propre huile d’olive ainsi que des vins blancs et rouges (Chianti, Chardonnay et Sangiovese). En salle ou en terrasse, vous profitez d’un service de grande qualité et d’une vue magnifique, avec Florence à l’horizon. Que ce soit pour une occasion spéciale, un déjeuner d’affaires, un diner romantique ou un repas familial : le restaurant accueille les fins gourmets à la recherche de plats typiques et créatifs. Des recettes classiques réinterprétées La raison qui pousse les personnes à réserver une table dans ce restaurant haut de gamme : sa capacité à réinterpréter les plats italiens florentins. C’est une véritable explosion de saveurs en bouche tout autant qu’un voyage en région toscane. Nous vous recommandons tout spécialement le plat signature du Chef. C’est l’exemple typique d’une recette traditionnelle revisitée avec succès en mariant habilement viande toscane traditionnellement fumée, herbes aromatiques et produits du potager. Un véritable chef-d’œuvre culinaire qui éveille tous vos sens.   ...