C’est en 1993 que Dan Yang Chen et son époux Shimin Chen lancent leur restaurant le Lys d’Or. Véritable oasis dans le XIIe arrondissement, le restaurant affiche ouvertement une décoration authentique qui s’inspire des demeures bourgeoises chinoises. Jardin intérieur, portique, bambou, fontaines et verdure y forment un cocon parfait pour déguster les spécialités culinaires asiatiques. Une cuisine en l’honneur de l’Empire du Milieu Un cadre authentique se dévoile au Lys d’Or, un lieu de rencontre avec la cuisine classique de l’ancien Empire. Le Gou Feng y est le plus représentatif de l’art culinaire chinois. Commune à toutes les régions, cette populaire marmite du pêcheur se compose de riz parfumé et d’un généreux mélange de coquilles Saint-Jacques, de pinces de crabe, de crevettes, de calamars et de légumes. Le Guo bamian, le Cheng jie si han, le Tou Feng et les nouilles pékinoises illustrent aussi cette richesse gastronomique. L’authenticité culinaire de chaque région est représentée par des plats comme les crevettes et poissons à la sauce Shanghai au gingembre, les brochettes de bœuf pékinoises, le poulet au caramel et sésame de Canton et le filet de bar épicé à la sauce Sichuan. Des créations culinaires originales à la chinoise En entrées ou plats, le Lys d’Or met en avant la créativité de son chef dans le travail du poisson, des fruits de mer, de volailles et de viandes. Les légumes et le tofu sont proposés aux végétariens, qui seront particulièrement aux anges en dégustant l’aubergine en croûte de sésame noir. La sérénité des lieux est idéale pour découvrir la légèreté des incontournables Dim Sum, raviolis et autres bouchées à la vapeur. De nombreuses spécialités de l’établissement sont présentées sur plaque chauffante, comme les succulences de canard à la sauce Sichuan. Ces plats poursuivent leur cuisson parfumée sur la table, délivrant de douces senteurs d’épices et de gingembre. Pour plus de plaisir, la maison propose une sélection de vins, du riesling au saumur-champigny, en passant par le côtes-du-rhône et le bordeaux supérieur. ...
Après une enfance passée loin de la métropole, plus précisément sur l’île de Madagascar, les frères Pire rejoignent l’Europe pour leurs études. En 1998, Adrien, Guillaume et leurs parents tombent sous le charme de ce vignoble. Mais c’est seulement en 2010 que toute la famille se retrouve à Fosse-Sèche. D’une superficie de 45 hectares d’un seul tenant, le domaine est constitué d’une quinzaine d’hectares de vignes plantées sur un sol jurassique associant silex et oxyde de fer. Dans une volonté de préserver ce terroir et d’offrir des vins les plus naturels possible, la maison pratique l’agriculture biologique depuis 2006 et biodynamique depuis 2012, et bénéficie des certifications Ecocert et Biodyvin. Sur le chemin des grandes cuvées L'une des particularités du Château de Fosse-Sèche se trouve dans sa cave, dans laquelle des cuves ressemblant étrangement à des œufs y sont entreposées. Il s’agit en fait de cuves ovoïdes fabriquées avec du béton d’argile permettant au vin d’exprimer au maximum le terroir et les cépages. De réputation noble, les cépages de la région sont répartis comme suit : 5 hectares de chenin, 9 hectares de cabernet blanc et, enfin, 1 hectare de cabernet sauvignon. Trois types de vins (AOC) - Saumur rouge, Saumur blanc et Saumur Puy-Notre-Dame - y sont produits. Nature et vin, duo mythique C’est grâce au dévouement de passionnés comme les frères Pire que l’âme du terroir de Fosse-Sèche renaît et offre aux vins toute sa splendeur. De leur cave sortent des cuvées produites à partir de vignes vieilles de plus de 60 ans, comme la Réserve du Pigeonnier 2014, un 100 % cabernet franc (rouge), complexe et fin, avec une finale longue et minérale, un vin de garde (20 ans) ; ou l’Arcane, 100 % chenin (blanc), fermenté neuf mois à basse température et élevé en cuve, dont le millésime 2015 est très ciselé. ...
À l’entrée de l’île de Noirmoutier, juste à côté du pont, La Maison sur l’Eau émerveille par sa simplicité et son élégance. La demeure au charme maritime arbore fièrement son allure au style colonial, mêlé à une certaine touche de modernité. Une promesse de voyage dans le temps, à travers vents et marées, où la détente et le plaisir sont les mots d’ordre ! Un hôtel de charme Créée en 1870, La Maison sur l’Eau est un ancien relais des voyageurs. Rénové et décoré au goût du jour tout en préservant son esprit d’antan, l’établissement est aujourd’hui un hôtel de référence à Noirmoutier, avec ses quatre étoiles bien méritées. En tout, l'hôtel dispose de deux chambres et quatre suites duplex avec vue sur la mer. À l’image de la bâtisse, chaque pièce dégage une ambiance sobre, chic et conviviale. À cela s’ajoute un écrin de verdure avec son jardin exotique, une piscine-solarium, un jacuzzi et divers autres services, dont le bateau de l’hôtel avec ski nautique à la disposition des clients, ainsi qu'un paddle et un canoë-kayak et enfin des massages sur rdv. Un restaurant gastronomique Au milieu de cet endroit féérique, les gourmets ne sont pas en reste ! En effet, La Maison sur l’Eau dispose aussi d’un restaurant gastronomique, dont les 300 m2 de terrasse offrent une vue imprenable sur la baie. Sur réservation, le chef Bruno Raballand y propose une cuisine traditionnelle à base de produits frais et de qualité issus du terroir. Au gré des saisons, la carte suggère des plats variés avec une alliance terre-mer. L’occasion pour les convives de découvrir les spécialités de la région, dont le fameux homard grillé, l’appétissant plateau de fruits de mer ou encore le succulent magret de canard de Soulans sauce miel et le filet de bar rôti sauce beurre nantais. Par ailleurs, la carte de vins recèle quelques pépites du vignoble vendéen, sans oublier les grands classiques. ...
Proposant une cuisine typiquement française inspirée des traditions gastronomiques de la région, cet établissement est le rendez-vous incontournable des fins gourmets. Dans une ambiance sympathique rappelant les anciennes auberges à l’accueil chaleureux, le chef et son équipe concoctent les meilleurs plats à base de produits du terroir. Une table d’exception dans un cadre authentique Travaillant directement avec les producteurs locaux, la maison Pergola donne la priorité aux produits frais de la région afin d’élaborer des menus aux plats authentiques. Avec une carte riche et alléchante dès le premier abord, cette table se veut être l'un des pionniers de la cuisine de qualité. Le cadre agréable et cosy des deux salles du restaurant, dotées de charmantes cheminées appelant à la convivialité, confère aux lieux une ambiance authentiquement basque. Une décoration simple mais élégante des tables, la qualité des services, et la possibilité de se restaurer sous l’ombre d’une belle terrasse : autant d’attributs qui en font une table d’exception. « Une cuisine traditionnelle revisitée » Ces propos de Jean-Marie Mir, gérant de l’établissement, mettent l’accent sur son attachement aux valeurs culinaires artisanales que le restaurant souhaite véhiculer. Parmi les plats signature que les hôtes affectionnent particulièrement se trouve l’opéra au noir de Bigorre et foie gras, ponctué d’un pain perdu, ananas poêlé à la coriandre ; tout cela accompagné d’un vin issu de la cave éclectique du restaurant. Cette cave, composée de grands crus provenant de toute la France, privilégie les vins d’exception, pour ne citer que les Bordeaux. ...
À l’origine de la première mousse de fruit sans arôme avec zéro pour cent de matière grasse, Woos bouscule tous les codes en créant une émulsion ultralégère au goût fruité particulièrement prononcé, qui se décline en quatre parfums gourmands. À l’origine de la marque Fondée en février 2013 par le tandem Anne-Sophie Marquet et Janagan Suntharalingam, Woos est née d’un simple constat qui a joué le rôle d’un véritable élément déclencheur. Après avoir cherché sans succès des mousses de fruits sans lait ni œufs dans de nombreux commerces, Anne-Sophie, la cofondatrice de la start-up a effectué de nombreux essais en cuisine pour inventer elle-même la texture et le goût de la mousse longtemps recherchés. De fil en aiguille, l’idée de créer une start-up qui va développer une gamme révolutionnaire de mousses juste aux fruits (très distincte de la crème fouettée qu’elle était d’ailleurs loin d’apprécier) lui est venue. Son projet reçoit l’adhésion de Janagan, un ami de SciencesPo qui va l’aider à démarrer cette belle aventure pas comme les autres. Une association de valeurs et de savoir-faire Voulant se démarquer de la chantilly classique, la gamme de mousse Woos intègre une association de valeurs innovantes et particulièrement chères aux deux cofondateurs. Dans leur projet, l’innovation, la santé, le bien-être et la gourmandise jouent leur va-tout pour dévoiler une sélection de quatre mousses. La framboise plaît pour son zeste d'acidité et son parfum boisé. La version citron intense et audacieuse dénote une douce acidité. Aux fruits de la passion, la Woos décoiffe par sa mosaïque d'arômes exotiques. La Woos à la mangue, la dernière-née de la gamme, propose, quant à elle, un goût vrai et équilibré. S'adressant aussi bien aux particuliers qu'aux salons de thé, aux barmen ou aux restaurateurs, les Woos viennent sublimer les petits-déjeuners, le goûter ou le cocktail du soir à déguster en famille ou entre amis. Elles accompagnent à merveille certains desserts cuisinés ou se dégustent avec du fromage blanc. Points de vente Vous pourrez trouver les Woos à la Grande Épicerie de Paris, chez Alice Délice ainsi que dans les meilleures épiceries fines en région et sur l'e-shop de Woos. ...
Champagne Lacroix est une exploitation viticole répartie sur un ensemble de terroirs autour de Montigny, formés de parcelles de vignes de 13 hectares. Sur ses coteaux donnant sur la vallée de la Marne, l’Aisne et la vallée de l’Ardre se développent les raisins cultivés dans le respect de la terre. Des champagnes à l’image de la région Vallée de la Marne Au centre des vallées champenoises, le terroir du Champagne Lacroix est propice à la culture du chardonnay, du pinot noir et du pinot meunier. D’où en ressortent des cuvées riches en arômes. Très présent sur le terroir, le pinot meunier domine dans les encépagements. Ce détail distingue les champagnes Lacroix et lui permet de produire des vins monocépages, à l’instar de la cuvée Anthony. Par sa robe aux reflets ambrés, son nez minéral associé à des arômes d’amandes fraîches et une bouche équilibrée, elle saura plaire aux épicuriens. La cuvée Brut Tradition fait office d’ambassadrice du terroir, car elle est constituée des trois cépages : 70 % de pinot Meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. En apéritif, elle sera le compagnon idéal. Autre fer de lance de la marque : la cuvée Grande Réserve, exhalant un nez floral pour un palais généreux et épicé, qui rappelle la pomme et le pain d’épice. Une exploitation viticole exemplaire Anthony Lacroix est très à cheval sur l’entretien de la vigne et l’élaboration du champagne. Respectueux de l’écosystème, il s’attache à faire valoir la viticulture raisonnée qu’il aime faire découvrir aux touristes lors des visites. La balade, durant laquelle une explication détaillée sur la cueillette manuelle, l’élevage et la vinification de raisin est prodiguée, se déroule au cœur du terroir. Une visite qui s’achève dans le bâtiment viticole ouvert en 2010 et accueillant le centre de pressurage moderne, les caves ainsi qu’une nouvelle cuverie. À savoir que la maison innove toujours dans les moyens techniques, afin d’améliorer la qualité de ses cuvées. L’emploi de cuves en inox permet par exemple d’obtenir des champagnes plus expressifs en finesse et en minéralité. ...
Jean-François Réaud se lance dans l’aventure de la vitiviniculture en 1985. Passionné et déterminé, il agrandit progressivement l’exploitation familiale qui était à la base un vignoble de 7 ha, hérité de son arrière-arrière-grand-père Gabriel Bruneteau. À la fin des années 1990, Jean-François Réaud développe un partenariat avec des domaines voisins, afin de faciliter la commercialisation et la valorisation des vins de la Rive droite. Cette « entraide viticole » se structure et devient Vignobles Gabriel & Co, un collectif qui compte désormais 34 vignerons. Cet effectif représente plus de 1 000 ha de vignes situées majoritairement sur l’appellation Côtes de Bordeaux. Une activité fondée sur trois modèles spécifiques Dans un premier temps, il s’agit de regrouper vignerons récoltants, vignerons indépendants, producteurs et commerçants afin de faciliter la commercialisation des vins. Ce mode de coopération crée également des avantages collectifs fondés sur des échanges de services ou l’acquisition de biens en commun. Le deuxième modèle ayant inspiré Vignobles Gabriel & Co est celui du système des coopératives. Il sert notamment à « défendre les valeurs des vignerons et promouvoir la qualité de leur travail », selon les termes de Jean-François Réaud. Quant au dernier modèle, il s’approprie les principes du négoce. « Vignobles Gabriel & Co a une position de négociant dans la mesure où le collectif achète des vins pour les revendre. C’est une façon de préserver un juste rapport qualité-prix, sachant que, jusqu’alors, à Bordeaux, le prix, qui doit être relié à la qualité du produit, dépendait plutôt du marché, de la spéculation ainsi que de l’offre et de la demande », souligne fermement notre interlocuteur. Une quête d’excellence Le vigneron défend ardemment les principes d’une démarche respectueuse de l’environnement. « J’essaie de convaincre les partenaires d’aller dans ce modèle qui fera la viticulture et les vins de demain. D’ici à quelques années, je souhaite que notre collectif soit à 50 % bio ou HVE, c’est-à-dire produisant et commercialisant des vins qui respectent à la fois l’environnement et la santé du consommateur. » Par ailleurs, le collectif Vignobles Gabriel & Co tient à encourager particulièrement les vignerons ayant tout le potentiel nécessaire à la production de cuvées premium. Cette stratégie a été pensée pour promouvoir l’identité de la structure et donner ainsi aux vins des appellations de la Rive droite le pouvoir de concurrencer équitablement sur le marché. Enfin, le groupement compte faire adhérer tous ses membres à la Charte des vignerons indépendants, de manière à ce que sa notoriété s’étende à plus grande échelle. ...
Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis plus de 5 générations. En 2017, le domaine de la Vaillère en association avec Sébastien Plagne, un jeune visionnaire passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins plus complexes. Depuis, dans le chai, une petite équipe passionnée s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Carignan, Cabernet, ou encore Chardonnay pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Dans les caves du domaine… Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre également son engagement pour l’environnement. « Depuis le début de l’année, on est en Terra Vitis », précise J.-C. Dumas. L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de s’engager dans le développement durable. Le rouge-merlot Obstiné 2018 et le blanc Chardonnay 2019 sont les premiers symboles de cette démarche. Les procédures de certification bio sont en cours depuis le 1er août. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2018, 2019, un rouge grenache-syrah-carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Gabriel, également médaillé d’or en 2018 et 2019 et Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan qui a fait un bref passage en fût. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région. ...
Le Clos du Marbrier s’étend sur une superficie de 5,5 ha. Il est implanté sur le site de l’ancien atelier du marbrier, lequel est devenu actuellement le chai de vinification, où s’élaborent les vins AOC Minervois de la maison. Un terroir aux mille facettes Le vignoble est réparti entre différents types de terroirs. Les principaux composants des sols sont le grès, le calcaire et les schistes. Grâce à cette variété, Irène Prioton se fait le plaisir de cultiver plusieurs cépages, dont certains sont rares et anciens comme l’aramon, un cépage du Languedoc presque oublié. Dans une volonté de préserver la biodiversité de sa terre, elle mène une viticulture biologique. Un effort indispensable si l'on veut laisser s'exprimer le terroir à travers des vins fins et authentiques. Avoir un bon tour de main, le secret du bon vin Notre vigneronne a une façon bien particulière de travailler ses crus. « Je fais beaucoup de choses à la main. » C’est ainsi qu’elle explique son idée de décliner ses cuvées sur le thème de la « main ». Parmi les plus connues figure la cuvée « À Pleine Main », qui trouve son originalité dans la générosité de ses arômes. D’autres cuvées comme la « Haute Main » sont reconnues pour leur complexité et ont même été dignement récompensées dans les concours. ...
Dans cet établissement, la gastronomie française est à l’honneur. Benoît Hilaire et sa créativité étonnante vous feront découvrir des plats généreux et raffinés, dotés d’une petite touche personnelle à laquelle il est impossible de résister. Le décor À La Table du Huit, la décoration mise en scène par Maison Margiela inspire tradition et modernité, classicisme et avant-garde. Derrière cette façade haussmannienne créée en 1866 pour la duchesse de Rivoli, princesse d’Essling, se dévoile un univers heureux où luxe et sophistication riment parfaitement avec calme et intimité. Les portes en trompe-l’œil surdimensionnées, ainsi que les murs et le sol en béton ciré, qui tranchent avec le mobilier en lévitation et tout nappé de blanc, sont autant de détails qui rehaussent la beauté des lieux. La féerie continue dehors, dans le jardin, qui se transforme en été en une oasis de verdure et de fraîcheur. Une cuisine française inventive et généreuse Animée par le désir de rester parmi les meilleurs, l’équipe de La Table du Huit orchestre des mets généreux et raffinés suivant les quatre saisons. Présentés sur une carte courte, les plats célèbrent la cuisine française, témoignent des talents du chef Benoît Hilaire et saluent la saisonnalité des produits. Ravioles de gambas, bouillon de crevettes, lentilles du Puy en vinaigrette, croustillants de pied de cochon et terrine de canard, kumquats confits et mâche sont idéaux pour commencer votre escapade. Ensuite, il serait bien dommage de passer à côté des incontournables classiques du Huit, comme le César du Huit aux anchois ou le burger auvergnat au bacon, frites maison. La savoureuse tarte fine aux pommes, vanille de Bourbon, ou le délicieux cheese-cake aux fruits rouges n’attendent qu’à être dévorés en fin de repas. Une carte de vins des plus éclectiques En prime du décor royal et de la carte goûteuse, le sommelier de La Table du Huit a sélectionné les meilleures bouteilles, qui s’accorderont à merveille avec vos mets. Quelques grandes références issues des plus grandes régions sont au rendez-vous (Bordeaux, Loire, Jura, Bourgogne, Rhône…). La sélection de champagnes est aussi riche et variée : Dom Pérignon, Vintage, 2006, Moët & Chandon, Brut Impérial, Krug, Rosé… ...
La richesse de la gastronomie italienne ne se résume pas qu’aux pizzas et aux spaghettis. Prenez une grande inspiration : le restaurant Conti vous propose une totale immersion dans la cuisine italienne et vous la dévoile dans toute son authenticité. Ensoleillée, généreuse, conviviale, elle a tout pour vous séduire. Halte gourmande dans une ambiance de charme Prônant un décor cosy et chaleureux, le restaurant Conti vous invite à évoluer dans un espace raffiné. Banquettes de velours, grand miroir sculpté, murs tapissés de rouge, détails dorés : le cadre s’inspire des codes du théâtre vénitien. Au milieu de la salle trône des lustres en verre Murano, un pur chef d’œuvre issu de la tradition vénitienne. Avec son cadre spacieux et son climat feutré, le restaurant Conti se veut être un vrai lieu de détente aux salles intimistes. « On peut se parler sans gêner les autres » nous souffle-t-on. La meilleure de la cuisine italienne Afin de garder toute l’authenticité de ses plats, ce restaurant s’approvisionne à la source. Les produits à l’instar des fromages par exemple arrivent directement d’Italie. Les autres matières premières quant à elles sont issues des producteurs locaux. Comme les professionnels de la gastronomie aiment à défendre que « c’est le produit qui fait le plat », le restaurant Conti ne déroge pas à cette règle d’or. Un souci et une recherche permanente de la qualité qui se ressentent naturellement dans les assiettes. Une simple bouchée des Langoustines Huile de truffe noire, du Carpaccio de coquilles Saint-Jacques ou du Risotto aux truffes suffit pour vous en rendre compte ! Au Conti, les pâtes sont également à l’honneur ! La maison vous propose des pâtes fraîches, là aussi entièrement faites maison. Pour achever ce périple culinaire, rien de mieux qu’un délicieux Tiramisu fait maison. La carte des vins quant à elle rend un bel hommage à La Botte. Pour accompagner vos plats, quelques perles issues des plus grandes régions viticoles du pays vous attendent. Les vins de la Toscane et de la Sicile sont particulièrement appréciés bien que d’autres références méritent également toutes les attentions. ...
Depuis 40 ans, L’Etale a réussi le pari de surprendre à chaque fois ses convives en proposant une cuisine traditionnelle alliant à merveille fraîcheur, goût et générosité. L'institution de Morzine L’Etale est un établissement familial qui s’est transmis d’une génération à l’autre. En 1977, les grands-parents avaient commencé par un restaurant et, aujourd’hui, c’est Vincent Baud, le petit-fils qui tient les rênes. Le restaurant n’a pas subi beaucoup de changements mais les gens l’apprécient justement pour cela. Ce côté authentique que les propriétaires ont su fièrement préserver. L’Etale c’est l’endroit où aiment se retrouver les morzinois, tout comme les vacanciers ou les saisonniers. Certains sont même devenus de grands habitués, voire des amis de la famille. Un client nous souligne que « L’Etale, c’est un endroit chaleureux et très animé ». Pour ceux qui viennent en groupe, pas de panique ! A L’Etale, il y a de la place pour tous : la plage horaire étendue et le service continu permettant de manger à toute heure dans la rue la plus animée de Morzine. Une vraie brasserie de montagne Malgré un débit très important, l’Etale met un point d’honneur sur la qualité des produits. La cuisine épluche, émulsionne, taille les légumes, poche, déglace, blanchit, poêle, goûte, dresse. Ils se plaisent à dire « A L’Etale on cuisine ! ». D’ailleurs, le fait maison est le maître mot, même pour les pâtisseries. Avec ce restaurant éclectique, vous pouvez y aller pour un repas sur le pouce le midi comme pour un festin tard le soir. Et bien évidemment, tous les budgets et les palais s’y retrouvent. C’est également démontré par la carte de vin éclectique de l’enseigne. Par ailleurs, L’Etale n’oublie pas les végétariens ni les intolérances au gluten. Ici, vous avez la possibilité de déguster une fondue ou pizza sans gluten, ce qui en ravira plus d’un. Les grands classiques français comme la soupe à l’oignon ou encore les escargots de Bourgogne sont bien évidemment sur la carte. Les viandes sont de qualité et d’une traçabilité irréprochable. Ce sont des viandes provenant des races Montbéliarde, Charolaise, Limousine ou comme la Black Angus d’Argentine et qui ont reçu le label Grass-fed, prouvant que les bovins ont été nourri exclusivement d’herbes. Les spécialités de fromages et de viandes sont également à la carte et proposées à volonté comme la potence qui est un produit phare de la maison, de la viande de bœuf flambée au whisky, le tout exécuté sous les yeux conquis des invités. Un voyage gustatif s’offre à vous grâce à des plats venus des quatre coins du monde que ce soit du Japon, d’Inde ou encore du Cambodge, et ceci au gré des envies et des inspirations du chef. En toute fin de soirée, le restaurant change souvent de visage, il devient alors très festif et régulièrement tout le monde finit par danser autour du bar. Le chef barman, est quant à lui un personnage charismatique, expert autant en mixologie qu’en chauffeur de salle. Vous l’aurez compris, l’Etale est l’endroit à ne pas louper sur Morzine. Ses maîtres mots sont Rapidité, Qualité, Authenticité et Convivialité. ...
Profitant d’une situation très convoitée en plein cœur du centre historique de la Ville des Lumières, le restaurant L’Éclat côtoie la Cathédrale, la colline de Fourvière et les rives de Saône. À l’intérieur, lustre Tom Dixon, tons boisés et formes design sont sublimés par des jeux de matières et des couverts raffinés. Vitrée, la cuisine permet à la clientèle de découvrir les talents du chef Vincent Leleu et de sa brigade. L’éclat de la cuisine à la française C’est à travers des sélections de recettes gastronomiques raffinées que le restaurant L’Éclat évoque toute l’intensité d’une cuisine riche en traditions. Du choix des produits jusqu’à la présentation artistique et moderne de chaque assiette, en passant par la maîtrise des cuissons, l’établissement garantit de vivre d’intenses découvertes gustatives. La carte propose des mets qui allient diversité et authenticité. Foie gras, merlu, rouget, cabillaud, pigeon de Pornic, bœuf et cochon s’agrémentent de champignons, de truffes et de légumes de saison. Chaque recette témoigne d’un savoir-faire respectueux des produits. Ces derniers révèlent de parfaites textures en bouche sublimées par des concentrés de saveurs. Pour l’approvisionnement, la maison collabore avec des fournisseurs triés sur le volet. « Nous avons fait le choix de ne travailler qu’avec des producteurs qualifiés et des produits de saison », nous précise le jeune chef de talent, Vincent Leleu. Celui-ci privilégie aussi bien les producteurs locaux que d’autres professionnels situés dans les autres régions, pour mettre en valeur toutes les particularités et richesses du pays. Dans la cave à vins qui est visible depuis la salle, toutes les régions sont également mises en valeur. La carte propose actuellement près d’une centaine de références, dont des bios, spécialement choisies pour être en harmonie avec les mets proposés. Une touche d’innovation personnelle Permettant de redécouvrir les standards de la cuisine traditionnelle française, le restaurant L’Éclat met en scène tout le savoir-faire de son chef Vincent Leleu. Avec talent et discipline, il élabore chaque recette avec minutie tout en respectant les valeurs d’une gastronomie ancrée dans l’air du temps. C’est à travers quatre choix de menus alliant tradition et innovation qu’il invite à voyager au sein de la culture culinaire française. Dans son ambiance design, chic et contemporaine, le restaurant propose entre autres de profiter d’agréables repas d’affaires. Servi à midi, le menu affaires à 30 € propose carotte, poire et jésus de Morteau en guise d’entrée. En plat de résistance, lieu jaune, petit pois menthe et œuf de caille feront plaisir aux fins palais. Mêlant fraîcheur et douceur, pomme, aneth et citron seront parfaits à titre de dessert. Les trois autres menus proposés respectivement à 45 €, 55 € et 75 € sont servis midi et soir. Ils permettent de goûter à des saveurs inédites, telles que la Royale d’épinards, tuile de pain et noisettes torréfiées, lard Contadino ou le bœuf en gravlax condiment fenouil anis et jus de bœuf corsé, sans oublier le merlu de ligne, terrine de chou vert brûlé jus de citron de Menton. Parmi les signatures du chef, le foie gras tartare de tomates fraises et coriandre, ainsi que le pigeon de Pornic rôti sur coffre fumé au foin et cranberries sont incontournables. L’exquise tarte Tatin circulaire aux pommes avec sa crème glacée à la vanille de Madagascar et aux cacahuètes titille également les papilles à chaque bouchée. Garante de plaisirs culinaires intenses, la succession des saveurs proposées sonne comme une véritable mélodie qui égaye les sens. Il est possible de faire découvrir cette cuisine haute en couleur aux convives de vos événements. « On fait des dîners pour les particuliers chez eux et pour des entreprises, donc des séminaires, des cocktails dînatoires », nous souffle-t-on. ...
Située à environ 80 km de Paris, au milieu d’un vaste vignoble à perte de vue, la Maison Baron Albert continue de pérenniser un savoir-faire acquis depuis 1947. Elle exploite actuellement un terroir de 55 hectares, reparti sur sept villages autour de la Vallée de la Marne. Deux labels amplement mérités Le vignoble est composé des trois principaux cépages champenois : le pinot meunier, le chardonnay ainsi que le pinot noir. La Maison utilise plusieurs types de viticulture, selon le cépage travaillé, le soin apporté au sol et le type de champagne recherché. En adoptant progressivement des procédés mécaniques dans le traitement de son vignoble, les sœurs Baron ne se contentent pas de pratiquer une viticulture raisonnée mais aspirent à surpasser le concept. Certifiée Viticulture Durable en Champagne et Haute Valeur Environnementale, en 2016, la Maison Baron Albert témoigne d’un grand attachement à la préservation de la biodiversité. « On fait vraiment très attention à l’environnement, au sol, aux Hommes et au site, tout est scrupuleusement contrôlé quand il s’agit du traitement de nos vignes », explique avec fierté Claire Baron, petite-fille du fondateur de la Maison. L’art du champagne Les deux types de gamme élaborés par les Champagnes Baron Albert reflètent fidèlement le terroir et l’esprit des trois sœurs : les Ambassadrices, composées de quatre cuvées classiques, et les Coquettes, celles qui sont vinifiées différemment. Deux cuvées se distinguent du lot grâce à leur personnalité captivante et raffinée. D’abord, L’Universelle, élaborée avec 70 % de pinot meunier, le cépage phare de la Maison, et 30 % de chardonnay. Bien frais et fruité, cette Cuvée représente toute l’élégance du champagne. Elle se déguste idéalement à l’apéritif, avec des fruits de mer ou des sushis. La Symbolique de son côté, la dernière création, est composée exclusivement de pinot meunier. « Brut nature, c’est vraiment toute la pureté du pinot meunier qui est mise en lumière, c’est notre produit haut de gamme », décrit Claire Baron. Travaillée comme le faisait notre grand-père et dans les règles de l’art, cette cuvée est une édition exclusive et numérotée. ...
Brasseur d’idées et de bières depuis plus d’un siècle, la Brasserie Duyck se met dans l’air du temps et dévoile ses bières modernes au look branché. Après la Gamme Dégustation lancée en 2017, la Brasserie Duyck innove avec une nouvelle gamme de bières. Avis aux amateurs : la gamme Jenlain de type IPA débarque ! Avec trois saveurs particulières au choix, chacun y trouvera, à coup sûr, son bonheur. Une histoire de famille Tout commence en 1900, l’année où Léon Duyck installe pour la première fois une salle de brassage dans les Flandres, à Zegerscappel. Vingt ans après, Félix Duyck décide de suivre les traces de son père, en installant sa propre ferme-brasserie à Jenlain, un petit village situé à 10 kilomètres au sud-est de Valenciennes. Félix Duyck est à l’origine de la célèbre « bière de garde », qui fera non seulement la notoriété de la maison Duyck mais aussi celle de tout un village. Et c’est également lui qui a eu la brillante idée de conditionner les bières Jenlain dans des bouteilles… peu communes. En 1950, face à la raréfaction des bouteilles disponibles au sortir de la guerre, Félix et son fils Robert trouvent une solution pour le moins originale : vendre leur produit en se servant des bouteilles champenoises. Soixante ans plus tard, la brasserie a gardé ces fameuses bouteilles non sans y avoir apporté quelques touches de modernité. Mais si la maison Duyck a su conserver toute son authenticité, elle la doit en grande partie à son indépendance. Restée aux mains de la même famille, elle est l’une des rares brasseries historiques de la région à avoir su honorer ses valeurs de persévérance et d’indépendance. Jenlain Ambrée, le fer de lance de la maison La première bière de la Brasserie Duyck dénommée « Jenlain Ambrée » a largement contribué à son succès. Véritable signature de la maison, on retrouve dans cette « bière de garde » un style et un savoir-faire unique au monde. Pour confectionner sa bière iconique, la Brasserie Duyck applique la même recette depuis ses débuts. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette bière de fermentation haute, non pasteurisée, possède un gout inimitable. S’habillant d’une robe cuivrée, elle dévoile des arômes de fleurs et de caramel, de fruits cuits et de malt légèrement grillés. Largement reconnue pour la dégustation, la « Jenlain Ambrée » peut être aussi un compagnon idéal en cuisine. Trois nouvelles saveurs En 2014, l’arrivée de Mathieu Duyck, cinquième génération, impulse une nouvelle dynamique et un vent de fraicheur au sein de la brasserie familiale. Sa philosophie ? Faire preuve d’innovation tout en gardant l’esprit et le style propre à la maison. Misant sur le côté design et moderne, Mathieu Duyck dote la marque d’une nouvelle identité visuelle. Résultat, des bouteilles à la forme épurée associées à un packaging tout en sobriété et en élégance. En parallèle, la maison lance une nouvelle gamme de bières de type IPA (type ale, brassé avec du malt pâle), incluant trois recettes originales qui offrent chacune des expériences gustatives différentes. À commencer par la « Summer » ! Celle-ci est élaborée à partir d’un assemblage de houblon « barbe rouge », qui lui apporte des arômes de fruits rouges ainsi que du houblon « centennial » procurant des notes fruitées agrumes. Avec un taux d’alcool de 3,8 %, la « Summer » séduit par sa légèreté, sa douce amertume et son côté fruité. Ce qui en fait une boisson d’été de premier choix. Quant à la « Session », deuxième bière de la gamme, la recette se compose de houblon « Citra » et « Chinook », apportant respectivement des saveurs d’agrumes citronnés intenses et des notes herbacées vertes et boisées. Cette bière blonde présente une am...
Maison La Mauny, générosité et richesse aromatique L’histoire de Maison La Mauny débute en 1749 quand Ferdinand Poulain, comte de Mauny, débarque sur l’île et épouse la fille d’un riche planteur qui possédait des terres dans la petite ville de Rivière-Pilote. Il devient ainsi propriétaire d’une exploitation agricole à qui il donne son nom. Avec la terrible crise de l’industrie sucrière de 1820, la distillerie se développe et commence à produire du rhum agricole élaboré à partir du pur jus de cannes du domaine, utilisées jusque-là exclusivement pour la production de sucre. Presque cent ans plus tard, les frères Bellonnie reprennent le domaine pour ensuite s’associer à la famille de négociants marseillais, les Bourdillon. On est en 1996 quand le groupe commence les démarches nécessaires pour faire des rhums martiniquais les premiers, et jusqu’à aujourd’hui les seuls, rhums certifiés AOC au monde. Maison La Mauny travaille depuis toujours ses rhums dans l’art complexe de l’assemblage pour exalter une large palette d’arômes et une générosité particulière. Le maître de chai de la Maison, par petites touches, comme un peintre avec leur palette, sélectionne les fûts et élabore les meilleurs assemblages pour exprimer toutes les subtiles particularités de la situation géographique des plantations dans ce qu’elles offrent de plus généreux. Situées dans une vallée verdoyante à la terre rouge argileuse, les cannes ici se gorgent de sucre dans une chaleur et une humidité particulière. Cela leur confère des notes aromatiques très fruitées, que l’on rencontre dès les rhums blancs, mais qui s’expriment encore plus délicatement dans les vieux rhums. Riche de son histoire et de son authenticité, Maison la Mauny est une distillerie dite « fumante » c’est à dire une distillerie toujours en activité pendant la période de la récolte de la canne qui a lieu de mi-février à fin juin. La visite guidée se fait en petit train où vous découvrirez le savoir-faire des hommes qui perpétuent, d’année en année, les méthodes traditionnelles d’élaboration des rhums agricoles Maison La Mauny. A la Cabane à rhum, vous serez initiés aux ti-punchs et cocktails, et apprendrez tout sur l’art du vieillissement en dégustant les rhums vieux d’exception. Les rhums Trois Rivières, élégance et puissance aromatique C’est sur le site de Rivière Pilote que la précieuse colonne à distiller originelle de Trois Rivières a été déplacée pour garantir la qualité et la singularité de ses rhums. Fondée en1660 par Nicolas Fouquet, la plantation Trois Rivières fait partie des plus anciennes de la Martinique. Située au sud de l’île, surplombant la mer des Caraïbes, Trois Rivières bénéficie d’un microclimat aride qui diffère totalement de celui de Maison La Mauny. Cette situation géographique exceptionnelle renforce la concentration en sucre de ses cannes réellement exceptionnelles. Ce terroir du Sud s’exprime pleinement dans le Trois Rivières Cuvée de l’Océan, dont les cannes élevées sur l’Anse Trabaud à Ste Anne affichent autant leur forte sucrosité que l’intensité des notes iodées portées par les Alizés Visible de loin au milieu des champs de canne, un moulin à vent indique l'emplacement des Plantations Trois Rivières. Ce site est un lieu de découverte pédagogique, des procédés de distillation du rhum mais aussi de l'histoire de la Martinique. Un savoir-faire d’exception Dès la coupe, les cannes sont immédiatement apportées à la distillerie pour préserver toute leur fraîcheur. On en extrait le pur jus qui va fermenter pendant 24 à 48 heures. C’est dans la colonne à distiller, unique à Trois Rivières, que le jus des cannes se transforme en « esprit du rhum » ruisselant doucement le long des parois. Le rhum blanc, qui sort entre 65 et 75%, sera ensuite réduit au degré d’alcool voulu avant d’être commercialisé. Les rhums vieux, quant à eux, doivent vieillir au minimum tr...
Après une escapade au musée d’Oléron, à la citadelle du château d’Oléron ou à l’issue d’une séance de char à voile ou de stand-up paddle, une petite pause gourmande s’impose. Pour cela, rien de tel que le restaurant Les Alizés qui salue dans chacun de ses mets la saisonnalité des produits. Et cerise sur le gâteau : le fait maison est y privilégié. Le charme et les saveurs d’Oléron Cette salle à l’ambiance cosy et chaleureuse, « qui fait penser à une cabane », selon Stéphane Auger, chef et propriétaire, mettra en appétit tous les convives. Pour les amoureux du soleil, un patio a été installé à l’extérieur et les accueille durant l’arrivée des beaux jours. Là, sous l’ombre, ils peuvent profiter en même temps des caresses de la lumière, de la brise de l’océan et des saveurs d’Oléron. La maison se spécialise surtout dans la cuisine traditionnelle raffinée. Pour commencer, l’entrée 9 huitres Fines de Claire Marennes Oléron, emblème incontournable de l’ile, mérite d’être dégustée. Stéphane Auger propose ensuite de rendre hommage à la qualité exceptionnelle des produits offerts par les pêcheurs du coin à travers la recette de la Chaudrée du littoral en cocotte. Le Chou Brest-Paris sauce chocolat lait noisette ou encore la Trilogie de sorbet maison seront concoctés pour couronner somptueusement le repas. En prime, 4 menus différents (Marché, Charentais, Plaisir, Enfant) ont été établis afin que la clientèle puisse se laisser tenter par d’autres délices. Côté vins, « le terroir est à l’honneur », s’exclame le chef. À ne pas rater : les vins de pays Ile d’Oléron comme le Cotinard ou Les Perles. Une sélection de vins de Loire, de Bourgogne, de Bordeaux ou de Bergerac enrichit aussi la carte de l’établissement. ...
Paléo Toi-même propose une solution unique et originale : des en-cas sains, gourmands et nutritifs. Si à l’origine le concept était destiné aux femmes actives, reines du grignotage mais qui tiennent à leur ligne, ces petites gourmandises à forte teneur en nutriments et en bonne graisse conviennent tout aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Un concept novateur Partant du principe que les oléagineux et les fruits séchés recèlent de trésors pour la santé, Pascal Baup, le fondateur de Paléo Toi-même a saisi cette opportunité pour en faire un concept novateur : des en-cas anti-grignotage car selon lui, « s’il faut grignoter en cas de petits creux, autant le faire intelligemment ». C’est ainsi qu’il se lance dans cette aventure, épaulé par Laurence Salomon, chef culinaire et naturopathe de profession qui lui fait part de ses précieux conseils pour assortir les produits de façon à optimiser les apports nutritifs et informer sur leurs vertus à travers des fiches nutritionnelles. Forte de ses 13 ans d’expérience au sein de son restaurant Nature & Saveur à Annecy, elle propose aussi des idées recettes à base de leurs produits. Des produits gourmands et pleins de ressources empreints d’un retour à la vie saine A l’image des snacks, barres de céréales et autres gâteaux préparés, ce ne sont pas les propositions qui manquent sur le marché. Pourtant, c’est Paléo Toi-même qui a pensé à allier gourmandise, santé et bien-être. Avec sa large gamme d'en-cas gastronomiques à base de fruits séchés et d’oléagineux, de chocolat cru, de baies, de muesli… les plaisirs sont variés et tout le monde y trouve facilement son bonheur. Les produits sont issus de la culture biologique, non transformés, exempts de conservateurs, pesticides, herbicides et autres perturbateurs endocriniens à effets délétères sur la santé. De plus, ils sont vegan et sans lactose avec des valeurs nutritives intenses qui ne sont plus à vanter. Contrairement aux goûters industriels, les offres de Paléo Toi-même sont dépourvues de sucres rapides, facteurs de prise de poids et de maladies. « On a l’offre la plus diversifiée » souligne Pascal Baup. Plus de 100 choix sont proposés. Ils sont disponibles sur la boutique en ligne et sur abonnement avec des box personnalisables au gré de toutes les envies car « les goûts des uns et des autres doivent être pris en compte », se plaît à dire notre interlocuteur. Impossible de les citer tous, mais à titre d’exemples, des produits atypiques comme les figues zagros bio, le Fenelar offrent des expériences gustatives à part. Des fruits séchés bio comme les bananes, litchis, fraises, des baies de goji qualifiées de super-aliment grâce à leur forte teneur en fibre et en nutriments ravissent également les épicuriens. Les Blissballs, fibreux et à effet coupe-faim, composés de canneberges, dattes, amandes crues, noix de cajou crues, raisins sultanine, noix de coco, baies d'acaï sont très plébiscités. Leurs apports combinés font de ce produit une collation idéale pour les enfants en pleine croissance. Paléo Toi-même propose aussi des coffrets de poche pratiques et non encombrants. Des petites boites réalisées avec du fer blanc et barquette en APET, des matériaux fiables qui se glissent facilement dans tous les sacs à main et les cartables, pour transporter ces collations d’exception. ...
Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...
Bonjour Christopher Hermelin. Christopher Hermelin | Bonjour. 1822 donc il y a 200 ans maintenant, c’est l’année où tout commence. Alors pouvez-vous nous parler de Monsieur Louis Nicolas fondateur de la célèbre enseigne Nicolas. C H | Louis Nicolas fait partie de cette génération des entrepreneurs du XIXe siècle, à l’heure de l’âge d’or de l’économie française. Je rappelle que le XIXe siècle c’est Haussmann, c’est les grands travaux, c’est la révolution industrielle. C’est un véritable génie du commerce, qui va reprendre plein d’idées à droite et à gauche, et qui va ouvrir et développer une chaîne de magasins qui va littéralement exploser à Paris en quelques années. Il va créer la chaîne telle qu’on la connaît aujourd’hui, parce qu’en 200 ans, il y a beaucoup de choses qu’il a institué et qui ont assez peu évolué. Il a surtout institué le fait que l’on puisse acheter une bouteille de vin dans un magasin. Comment ça se consommait le vin à l’époque ? C H | La consommation du vin à l’époque était assez simple. Soit il se consommait à la taverne, soit les gens aisés achetaient des tonneaux, ils les mettaient dans leur cave, ils avaient des carafes et allaient tirer le vin. La pratique industrielle de la bouteille n’était pas là. Louis Nicolas a l’idée de lui-même d’embouteiller, pour faciliter l’accès au vin. C’est ce qui va faire son succès. Offrant ainsi l’opportunité au particulier d’avoir plus facilement accès à ce vin-là, en termes d’achat et en termes de stockage et de consommation. Et comme une idée de génie n’arrive jamais seule, Louis Nicolas a l’idée de lancer la livraison de vin à domicile. C H | Alors grande révolution, on pense toujours que la livraison à domicile c’est Amazone, et bien non, c’est une entreprise française. Le vin est un produit lourd, même mis en bouteille, il le reste. Ils vont donc mettre en place un ensemble de moyens, qui s’adressent principalement à une population aisée, il faut le reconnaître au début. Ce sera des livraisons faites par des porteurs, des cavistes. Et un ensemble de moyens tout au long des siècles va être utilisé. On va avoir le porteur, on va avoir les charrettes à chevaux, et puis par la suite avec la motorisation, vont naitre les triporteurs à moteur, qu’on trouvera dans les années 50/ 60, les camions et tout un ensemble de livraison. Ce qui est toujours le cas au XXIe siècle. Aujourd’hui on a service de livraison de proximité. Si vous demandez à votre caviste de vous livrer il pourra le faire. Et plus les années passent, plus Nicolas se développe. Comment la famille Nicolas a compris qu’il fallait ouvrir autant de magasins dans une seule ville ? C H | Très vite, la famille Nicolas va comprendre l ‘enjeu de la proximité. Au XXIe siècle on parle de proximité, rurale, urbaine, on parle de tout ça. Mais très vite ils vont comprendre que les gens se déplacent assez peu. L’investissement va être fait, à l’époque à Paris, pour mailler le territoire. Avec un modèle économique assez intéressant, puisque les cavistes qui sont logés en général, par couple, au-dessus des caves. Et c’est modèle qui va perdurer pendant des décennies des décennies. On a aujourd’hui encore des cavistes, qui travaillent en couple, et qui résident à proximité ou au dessus de leur cave. Et ça va contribuer, à la fois avec les produits, le maillage, et ce modèle social, à développer l’enseigne et à multiplier les points de ventes dans Paris pour répondre à la demande des clients parisiens. Et l’histoire ne s’arrête pas là, puisqu’en 1895 c’est Etienne Nicolas, fils de Louis Nicolas qui reprend l’affaire familiale. C H | Louis Nicolas génie du commerce, de l’industrialisation etc., Etienne Nicolas, ça va aussi être un génie mais de la publicité. Il a une passion pour les arts, il a une passion pour le vin. Il va chercher à faire connaître cette entreprise et à développer principalement ...
Des moments de détente passés dans un cadre luxueux, entourés des personnes qui comptent. Voilà le tableau qui attend les hôtes dans les antres du Vienna House Dream Castle. Derrière ses façades de palais d’antan, l’établissement accueille familles et couples dans de grands espaces aux lignes épurées. Matin et soir, les tables sont dressées dans une ambiance bon enfant pour apprécier les saveurs authentiques de la gastronomie française et internationale. Le Vienna House Dream Castle : une nouvelle expérience chaque jour Sa situation privilégiée à deux pas des parcs Disneyland® Paris donne au Vienna House Dream Castle l’esprit féerique que sous-entend son nom. La maison décline l’accueil sur le mode du confort et de l’hospitalité, bien sûr. Une bonne dose d’enchantement parachève la signature de l’enseigne, conçue autour du thème des Trois Mousquetaires. De quoi combler les petits et faire retrouver leur âme d’enfant aux plus grands. Les familles sont accueillies avec une tendresse particulière dans les chambres dédiées, équipées de lits superposés et de lit double. Les 397 chambres et suites de l’hôtel sont toutes équipées d’air conditionné individuel et de literie hypoallergène. Les occupants privilégiés des trois suites expérimenteront un séjour unique sur le thème de la chevalerie tout en accédant aux installations les plus modernes. Un espace bien-être et spa est accessible à tous les clients de l’hôtel qui concluront avantageusement des journées riches en émotions autour des activités proposées à proximité. Les professionnels désirant programmer des banquets et des conférences dans un cadre d’exception ont le choix entre neuf salles de réception. Entièrement équipées des outils techniques de rigueur, elles donnent toutes sur un cadre parfaitement reposant. Des saveurs intemporelles au Musketeer’s L’heureuse remontée au temps des chevaliers se poursuit jusqu’au moment du dîner, servi en buffet de 18 h 30 à 22 h 30. Une ambiance résolument médiévale enveloppe la salle du Musketeer’s, déclinée aux couleurs des Trois Mousquetaires. Le ton est donné. Ici, on mange en toute convivialité, en se délectant des saveurs qui ont, de tout temps, fait les fleurons de la gastronomie française. Les produits nobles et rigoureusement sélectionnés, c’est le moment de tous les (re)découvrir. L’on dégustera ses petits plats dans la salle même où le personnel – en costume d’époque pour faire bonne mesure – sert jusqu’à 198 couverts. Par beau temps, les soixante places extérieures feront le bonheur des vacanciers qui désirent savourer les joies simples d’un petit vent frais. Au Vienna House Dream Castle, rien n’est plus précieux que le sourire d’un enfant comblé. Le restaurant de l’hôtel leur concocte, sans souci, les plats qui leur font le plus envie. Pour tous, un room service est assuré de 11 h à 23 h, pour savourer son repas froid ou chaud dans le doux abri de sa chambre. Démarrer du bon pied par un tour au Sans Souci Les journées bonne humeur à la façon Vienna House Dream Castle commencent par un petit-déjeuner dans les règles de l’art au Sans Souci. Le buffet, composé de plats froids et chauds, y est servi de 7 h à 11 h. C’est aussi le moment de renouer avec les rituels des baguettes bien chaudes et autres viennoiseries dont la France a le secret. ...
Blanc, simple, linéaire, reposant, il est l’endroit idéal pour se poser et réfléchir dans le cadre d’une réunion professionnelle. Entouré de vignes, au calme, il est également le lieu propice au repos du weekend après une semaine de dur labeur. Que l’on décide de profiter de l’agrément de la piscine, de celui du spa ou encore des largesses de Bacchus ou des plaisirs de la table, ce lieu réserve des surprises à chacun. Passez le portail d’entrée et venez découvrir le mariage du confort et des matières contemporaines avec celui de la pierre de taille blanche utilisée pour construire la bâtisse dès le 13°siècle. Passez côté jardin et découvrez la vue magnifique sur la vallée, apercevez au loin la montagne noire et sur la colline en face les tours trapues du Château de Mauriac, demeure des anciens rivaux des seigneurs de Salettes. Laissez-vous bercer par le silence et le chant des oiseaux, laissez-vous baigner par les rayons bienfaisants du soleildu sud-ouest. Des hommes célèbres, d’autres inconnus mais des hommes qui ont fait l’histoire du lieu Depuis le XIIIe siècle, ce Château en a vu des hommes, le Comte de Toulouse, Le Général d’Hautpoul (qui est né dans la tour), Toulouse Lautrec (le lieu a appartenu à sa famille). Au final, Roger Le Net achète la propriété en 1994, avec le château alors en ruines. L’idée folle de la rénovation vient très vite et c’est lui qui fera de ce qui n’était plus qu’un vague témoignage du passé un Hôtel restaurant où il fait bon vivre. Aujourd’hui l’équipe du Château de Salettes vous accueille simplement, et n’a qu’une envie : vous faire plaisir... Quand Bacchus rencontre un disciple d’Auguste Escoffier Le chef propose une cuisine gastronomique, moderne. La carte et les menus suivent le cours des saisons et l’équipe du restaurant cherche toujours quel vin va sublimer le plat, le défi et la recherche de l’accord parfait : « l’équilibre » vin plat (ou accord mets et vins) est proposé pour tous les menus. Découverte des vins du domaine, des vins de Gaillac, de vins de France et même, pour les « aventuriers » J de vins étrangers ! ...
La Font des Pères produit des vins AOC Bandol, IGP Mont-Caume et Côtes-de-Provence. Des élixirs qui ont la particularité d’être à la fois fins et complexes, dotés d’une belle ampleur et d’une grande fraicheur. Un terroir unique Dans ce vignoble se trouvant à quelques kilomètres des côtes méditerranéennes, les vignes sont implantées sur une colline taillée en restanque. Jouissant d’une exposition nord, celles-ci s’épanouissent sur un sol caillouteux, tout en bénéficiant de l’influence de la mer. Ici, le mourvèdre, cépage rouge typique des bords de la Méditerranée, règne en maitre absolu. « C’est un cépage qui murit assez tard. En combinant richesse et puissance, il procure au vin un relief aromatique unique », souligne Philipe Chauvin, le propriétaire actuel. Le reste de l’encépagement se compose de grenache, de cinsault, de carignan, de clairette, de bourboulenc, de rolle et d’ugni blanc. L’excellence comme leitmotiv Le domaine privilégie les vendanges manuelles dans la mesure où elles permettent de trier les raisins au niveau de chaque parcelle. « Afin d’assurer une qualité optimale, il nous arrive de vendanger une seconde fois avec quelques jours d’intervalle », nous confie-t-on. Côté vinification, les rouges, issus des plus vieilles vignes du domaine, subissent une longue macération avant d’être élevés 18 mois en foudre, en demi-muid ou en barrique d’au moins deux vins. Au niveau des blancs, ceux-ci font l’objet d’une macération pelliculaire à froid, afin d’extraire le maximum d’arômes. Un élevage sur lies est ensuite réalisé pour apporter davantage de structure et de rondeur. Quant aux rosés, les raisins ayant servi à leur élaboration ont été refroidis dans une chambre froide juste après la récolte. L’objectif de cette opération est de préserver les arômes. Les spécialités de la maison La Font des Pères propose au total 7 cuvées différentes. Parmi ses spécialités, les vins de Bandol font particulièrement la fierté du domaine. De l’aveu même du propriétaire : « Bien qu’il s’agisse d’une petite appellation, sa renommée est incontestable. » Issu de l’assemblage de mourvèdre, de grenache et de cinsault, le rosé La Font des Pères 2017 dévoile des notes de buis, de fleurs, d’agrumes, tout en présentant une jolie trame minérale. Pour le blanc La Font des Pères 2017, celui-ci est obtenu à partir de 55,4 % de clairette, 39 % de bourboulenc et 5,6 % de vermentino. Le nez s’ouvre progressivement, avec finesse, sur une trame florale associée à des notes d’aubépine et de fruits blancs. Enfin, le rouge est issu à 90 % de mourvèdre et à 10 % de grenache. En bouche, ce vin est suave, équilibré, mêlant la fraicheur exprimée par les notes de rose et de mentholé à une finale structurée, avec des tanins enrobés, à la tonalité café, chocolat et pain grillé. ...
Au cours de ces dernières années, la Vendée est devenue la nouvelle destination de la gastronomie. Et pour cause, le département abrite les meilleurs restaurants en Pays de la Loire, dont la Table du Boisniard, le restaurant gastronomique du Château du Boisniard. Une référence en Vendée Depuis son ouverture en 2011, la Table de Boisniard est un restaurant gastronomique de référence en Vendée. Titré « Maître Restaurateur » depuis 2012, il est aussi reconnu comme étant une « Valeur sûre » par le Bottin Gourmand. Et à son actif, il dispose de trois fourchettes et un couvert au guide rouge Michelin. Actuellement, l’établissement convoite l’étoile ! Ce qui ne devrait plus tarder, puisque toutes les cartes sont entre ses mains : un endroit unique et idyllique, alliant l’élégance de ses origines du XVe siècle à la modernité de la décoration contemporaine ; un personnel aussi sympathique que réactif, orchestré par Emmanuelle Gautier ; et un moment d’épicurisme assuré par le jeune et talentueux chef, Valentin Morice. De la gastronomie maîtrisée Selon leurs envies, les convives pourront choisir entre le menu Découverte et le menu Dégustation. À 42 euros, le premier propose une entrée, un plat et un dessert. Quant à la dégustation, un même menu est servi à l’ensemble de la table pour 72 euros. Pour les plus pressés, un menu Affaires à 33 euros est disponible le midi du mercredi au vendredi. Par ailleurs, le chef propose aussi une carte qui évolue au gré des saisons et des produits disponibles sur le marché. Il est à noter que tous les plats et menus proposés par l’établissement sont labellisés « fait maison », y compris le pain. Quant à sa carte de vins, elle met à l’honneur ceux des Pays de la Loire, sans négliger les autres régions. ...