Cette exploitation de 22 ha en conversion HVE (haute valeur environnementale) est dirigée par une équipe féminine avec, à sa tête, Marielle Tadieu, gérante des lieux. Des produits récompensés De ses vignes, la Ferme de Gagnet élabore un excellent floc de Gascogne, médaillé d’or de 2012 à 2018 au Salon de l’agriculture. De ses canards élevés en liberté, la ferme confectionne du foie gras de canard, du confit, des rillettes, des pâtés, des cous farcis, du cassoulet… Mention spéciale pour le foie gras, médaillé de bronze en 2016 au Concours agricole, à Paris. ...
Épices pures ou en mélange, aromates et herbes. Les rayons d’Épices du monde déploient des produits provenant des quatre coins de la planète. Les férus de saveurs exotiques et méconnues trouveront ici leur bonheur. À ces condiments d’exception – délices d’ailleurs choisis suivant des critères de qualité rigoureux – viennent s’ajouter des épices locales défendant le goût de leur terroir. Mettre le monde dans son assiette Des épices de Madagascar à celles de la cuisine mexicaine, en passant par le célèbre piment d’Espelette, tous les goûts, les senteurs et les saveurs du monde se retrouvent dans l’éventail de produits proposés dans cette boutique en ligne. Les condiments qui y sont présentés, des plus connus à ceux qui le sont moins, sont alors une véritable invitation à un voyage culinaire fleurant bon la découverte. Grâce à ces produits de qualité, le monde s’invite dans vos assiettes. Cette enseigne de renom suggère de nombreuses recettes pour varier les plaisirs de l'apéritif jusqu'au dessert. Une gamme de 350 références triées selon la fiabilité et la renommée des fournisseurs, garantissant la traçabilité quant à l’origine de chaque produit. Cet engagement relevant de la rigueur est ainsi le gage de la qualité de chacune de ces références, aussi gourmandes les unes que les autres. Le client peut donc apprécier en toute confiance tout ce qui est cumin, curry, poivre de Kampot ou de Malabar... ...
Nichée au cœur d’un petit village viticole situé dans la Vallée de la Marne, la Maison Taillet a fait bien du chemin depuis la commercialisation de ses premières bouteilles en 1961. Aujourd’hui géré par la quatrième génération, ce domaine familial s’affirme plus que jamais dans sa philosophie : celle de travailler les vignes dans le respect et en harmonie avec l’environnement. En marche vers l’agriculture biodynamique Le vignoble, essentiellement meunier, s’étend sur 5,75 hectares déployés sur six communes autour de Baslieux-sous-Châtillon. Ici, tout tourne autour de ce précieux cépage et le domaine en fait sa plus grande spécialité. Éric Taillet nous partage sa conviction : « Le meunier est un raisin exceptionnel : le plus expressif, le plus fruité, le plus sain, le plus savoureux et il vieillit merveilleusement bien. »Rien que pour cela, les vignes dont l’âge moyen est de 40 ans méritent des soins plus délicats, ciblés et naturels pour leur permettre de s’exprimer pleinement. Ainsi, le domaine a choisi d’adopter la viticulture raisonnée qui se concrétise notamment par un enherbement central des parcelles et l’utilisation d’un traitement phytosanitaire certifié bio. Mais pour ses vignes, le gérant est prêt à aller au-delà des normes et du protocole imposé, quitte à créer lui-même une méthode qui s’adapte le plus aux besoins de son vignoble. « Je suis un homme de terrain, je suis d’abord à l’écoute de mes vignes, je me dois de les comprendre et de les aimer avant d’obéir à un système.» Passionnément meunier Le champagne Bois de Binson Extra Brut, exclusivement 100 % meunier, est la plus sincère expression de ce cépage de prédilection, élaborée avec les plus vieilles vignes de la parcelle Bois de Binson. Au même titre que cette cuvée emblématique, on distingue la cuvée Sur le Grand Marais, issu d’un assemblage de 90 % meunier et 10 % chardonnay sur une parcelle en complantation. Elle surprend par son équilibre parfait entre finesse et intensité, relevé par un arôme subtil d’agrumes confits et de truffé. « Ce sont les deux signatures de la maison Taillet depuis 1900. » Toujours en monocépage meunier, Le Bansionensi, vieillissant minimum 36 mois, est une cuvée haut de gamme qui fait honneur au village Baslieux-sous-Châtillon. Son nez aux notes florales suggère une bouche fraîche, fine et gourmande. Enfin, la cuvée Exclusiv’t Brut en 100 % blanc de meunier, multivintage de plus de 5 ans, dévoile une symbiose parfaite de palette aromatique marquée par un arôme très fruité. Un choix par excellence pour accompagner les plus heureux moments de vie. Pour les années à venir, Éric Taillet promet toujours et encore plus de meunier en imaginant des nouvelles cuvées parcellaires. Elles seront l’achèvement d’un travail engagé dans le sens de la nature, mettant en exergue la complicité entre la vigne et les champagnes. ...
Pressoirs de Provence a la passion du fruit. Entre ses créations classiques et ses mélanges exotiques, la société familiale fait le nécessaire pour garder l’authenticité du fruit dans la bouteille. D’ailleurs, pour Arnaud Redheuil, le dirigeant de l’entreprise, chaque jus doit donner l’impression aux consommateurs de croquer directement dans le fruit. L’occasion de voyager dans le cœur des vergers de Saint-Rémy-de-Provence, où tout a commencé. Pressoirs de Provence : une aventure familiale et humaine Nous sommes en 1982, date à laquelle la société Sojufel Provence Production commence à produire et à vendre des jus de fruits. Devant le succès de cette boisson naturelle et savoureuse, l’entreprise décide de créer la marque Pressoirs de Provence avec un seul objectif : proposer des produits authentiques tout en valorisant le travail des agriculteurs provençaux. À savoir : depuis le début, Sojufel – Pressoirs de Provence travaille avec un réseau de plus de 300 agriculteurs qui s’engagent, tout comme la société, à respecter aussi bien la qualité des fruits cueillis que l’environnement. En 2009, Arnaud Redheuil et son père reprennent l’activité afin de développer la marque tout en respectant sa philosophie. Quelques années plus tard, on peut dire que le pari est réussi puisque Pressoirs de Provence obtient de nombreuses médailles lors des dégustations à l’aveugle des différentes éditions du concours général agricole de Paris. Ainsi, la marque a su gagner, au fil du temps, la reconnaissance de ses pairs et des consommateurs. D’ailleurs, en 2015, Arnaud Redheuil sera intronisé par les disciples d’Escoffier (un réseau d’élite de professionnels de la gastronomie). Une technique de production maîtrisée prenant soin du fruit Chez Pressoirs de Provence, tout commence et finit par le fruit. Aucun ajout de conservateur, d’additif, de colorant et d’exhausteur de goût : une recette simple qui plaît aux consommateurs exigeants. Ainsi, après que la cueillette du producteur est livrée, les lots de fruits sont goûtés et analysés selon des critères précis et rigoureux (acidité, couleur, sucrosité, odeur, etc.). Puis, les fruits retenus sont lavés à l’eau claire, séchés et préparés pour le pressage. À cette étape, le jus viendra s’écouler naturellement grâce à une méthode traditionnelle et progressive. Le mélange sera même réalisé à la main. Nous en venons, ensuite, à l’étape de pasteurisation afin de débarrasser le nectar obtenu de bactéries, levures et moisissures et de bloquer, en même temps, l’oxydation. Cette phase est très importante puisque le jus ne peut être conservé à température ambiante que quelques heures seulement. Finalement, il est embouteillé sans attendre. Cela pour préserver la saveur et la fraîcheur des fruits pressés. Des jus et nectars primés livrés directement chez le consommateur À ses débuts, l’entreprise distribuait ses jus de fruits en circuit court. En effet, on ne pouvait les trouver qu’en épicerie fine, chez le primeur ou en hôtel-restaurant. Puis, la marque a voulu bousculer ses habitudes de vente en mettant en place des partenariats à long terme afin de consommer différemment le jus de fruits et le sortir de l’image classique du petit déjeuner. De plus, depuis quelques mois, il est possible de commander en ligne et de se faire expédier son jus ou nectar favori sur toute la France (à condition de commander trois bouteilles minimum). L’occasion pour les amateurs de jus de fruits frais de découvrir les spécialités de l’entreprise (telles que le jus de pomme, le nectar d’abricot ou le nectar de poire, tous les trois médaillés or). Mais aussi certains mélanges étonnants (jus pomme-cassis, pomme-orange-passion, multifruit ou encore exotique, tous médaillés or). Cela sans oublier les grands classiques qui font le bonheur des petits et des grands. Ainsi, au total, ce sont plus de 60 boissons médaillées qui attendent tous les fans de fruits sur le site. ...
Tout commence dans les années 1950 lorsque Gérard Soutiran, viticulteur passionné, décide d’apposer pour la première fois son nom de famille sur ses bouteilles de champagne. En 1969, Alain, son fils ainé, monte sa propre structure et développe une gamme de champagnes qu’il nomme Soutiran Pelletier. Vingt ans plus tard, c’est finalement sous l’impulsion de Valérie, la fille d’Alain, que la marque Champagne Soutiran voit le jour et la maison est aujourd’hui dirigée par Patrick et Valerie Renaux-Soutiran. Une viticulture durable La maison travaille actuellement sur un vignoble de 6 ha, dont la plupart des vignes sont plantées sur le prestigieux terroir d’Ambonnay (Marne), tandis que le reste des parcelles se répartit dans des villages classés Premier Cru, tels que Trépail, Chigny-les-Roses et Chamery. Profitant d’un ensoleillement maximal, le terroir d’Ambonnay est particulièrement favorable aux pinots noirs et aux chardonnays. « Le sol est constitué de craie affleurante. C’est cette typicité propre au terroir qui nous permet d’apporter davantage de minéralité dans nos vins », précise Valérie Renaux-Soutiran. Soucieuse de sa terre, de ses vignes et surtout très respectueuse de l'environnement, l’exploitation familiale privilégie une viticulture raisonnée : travail du sol, apport d’engrais organiques, recours à la confusion sexuelle… Côté vinification, elle reste fidèle à un savoir-faire artisanal qui s’est transmis de génération en génération. « Nous utilisons un pressoir à membrane et les jus passent par une fermentation alcoolique et malolactique à température régulée », nous explique-t-on. L’élevage se fait à la fois en cuves inox et en fûts de chêne, ce qui procure aux vins une richesse aromatique exceptionnelle. Une autre particularité de la maison : des vins vieillis en cave bien au-delà des exigences de la règlementation. « Les champagnes Soutiran vieillissent entre 5 à 9 ans avant d’être commercialisés », souligne Valérie Renaux-Soutiran. Ce temps est nécessaire aux vins pour gagner en complexité et donner aux bulles plus de finesse. Les spécialités de la maison Le domaine produit au total 8 cuvées : une cuvée Premier Cru et 7 cuvées Grand Cru. Véritable empreinte de la maison, la cuvée « signature Grand Cru » mérite tous les égards. Composé de 40 % de pinot noir et de 60 % de chardonnay, ce champagne, qui a vieilli 6 ans sur latte, séduit par sa structure aromatique affirmée, à laquelle vient s’ajouter une belle minéralité crayeuse. Ensuite, la cuvée « Perle noire » est sans doute la mieux placée « pour représenter la maison Soutiran », nous indique-t-on. Il s’agit d’un blanc de noir Grand Cru élaboré à partir de 100 % pinot noir. Riche et élégant, il se distingue par sa complexité, avec une longueur en bouche et une fraicheur remarquable. ...
Le Domaine du Somail se trouve à l’est du Minervois, à proximité de Narbonne. Une cité qui a une belle histoire à raconter car elle était la première agglomération romaine au-delà des Alpes en Gaule. À l’époque, Narbonne était déjà une région viticole. « Dans le vignoble et aux alentours, des vestiges de villas romaines ont été retrouvés et il semble que la culture de la vigne était présente depuis 2000 ans », racontent avec passion Julie et François Fabre qui possèdent le domaine. Ce duo d'artisans-vignerons sait qu’il profite d’un terroir très privilégié qui, en plus de recéler un riche passé, offre toutes les conditions nécessaires pour concevoir des vins d’excellence en AOC Minervois. La terre de prédilection du mourvèdre Le vignoble du Minervois est l’un des plus vastes du Languedoc Roussillon. Il produit majoritairement des vins rouges qui se veulent à la fois tendres et veloutés, aux arômes de fruits mûrs et de tanins soyeux. Le mourvèdre est le cépage phare de l’appellation et plaît pour la richesse de ses arômes et sa structure tannique de haute qualité. Au Domaine du Somail, il s’exprime dans toute sa splendeur au même titre que les neuf autres cépages composant le vignoble. Établies sur 16 hectares, les vignes s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire au sein d’un climat aux influences méditerranéennes. « Notre situation géographique nous permet d’avoir des vins en rondeur, ni trop puissants ni trop épicés, mais agréablement équilibrés », nous fait part Julie. Cette qualité ne résulte pas du hasard. Bien au contraire, la finesse, l’élégance et l’authenticité des cuvées sont obtenues grâce à un travail de très longue haleine respectant les préceptes de l’agriculture biologique et biodynamique. Des pratiques agricoles salutaires pour l’homme et l’environnement Sur les 20 hectares composant le domaine, 4 sont consacrés à la biodiversité. « Comme nous sommes en biodynamie, nous avons voulu avoir de la nature sauvage autour de nos vignes. Nos pourtours ont été aménagés pour créer une symbiose entre nos parcelles de vignes et l’extérieur. » Le travail des parcelles s’effectue de façon individualisée en priorisant les pratiques manuelles de la taille à la vendange. « Notre but est d’utiliser l’intelligence de la nature et de la reproduire dans nos cultures », fait savoir notre interlocuteur. Au-delà de la viticulture, cet état d’esprit qui se veut vertueux pour l’homme et l’environnement se reflète également dans les méthodes de vinification. Les vins sont sans sulfite et ne subissent aucun ajout tandis que les décantations sont naturelles. Des cuvées enchanteresses qui fleurent bon leur terroir L’assemblage des vins est aussi atypique car au Domaine du Somail, chaque cuvée révèle un cépage dominant. La cuvée « Vin de Plume » par exemple est composée à 80 % de mourvèdre et 20 % de syrah. Issue d’une culture biodynamique et d’une vinification classique en cuves en ciment brut, elle est gorgée de fruits, d’épices et de notes de garrigue et possède une capacité de garde de 5 à 10 ans. Preuve de sa qualité, ce cru a bénéficié de plusieurs distinctions : 90/100 par Robert Parker, 17/20 par Terre des vins 2020, 91 points par Wine Spectator 2020 sans compter la citation dans la Revue des vins de France 2020. La cuvée « François » va davantage exprimer toute la beauté de la syrah associée au carignan et au mourvèdre. C’est un vin fruité, intense, persistant avec une belle rondeur. « C’est une de nos plus belles réussites car il a une excellente tenue et pourtant il est dépourvu de sulfite », déclare celui qui a emprunté son nom à ce précieux nectar. Avec la cuvée « L’Authentique », le mourvèdre prime à nouveau et se combine tout en délicatesse avec la syrah. À la fois complexe et élég...
Bordeaux s’inscrit comme l’une des principales voies du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Le Château au Grand Paris faisait partie des relais accueillant autrefois les pèlerins. Édifié au XVIIème siècle, il était géré par des moines qui y cultivaient un petit vignoble. L’ancien bâtiment garde encore les traces de ce riche passé à travers la présence de quelques éléments décoratifs et architecturaux. « La maison est constituée de grandes ouvertures et d’un très haut plafond. Sur la cheminée, la fameuse coquille Saint-Jacques est encore visible », nous confie Isabelle Castenet, aujourd’hui à la tête du domaine avec son frère Christophe Langel. Un mode de production traditionnelle Le domaine Château au Grand Paris est situé à une cinquantaine de kilomètres à l’est-sud-est de Bordeaux. Il est établi sur un terroir relativement abrupt composé de coteaux avec des sols argilo-calcaires ainsi que des terres plus limoneuses à certains endroits qui jouent sur la diversification de la production. « Sur la même exploitation, nous avons plusieurs variétés de raisins qui nous permettent d’avoir des vins plus complexes », plaide notre interlocutrice. Bordeaux étant une région d’assemblage par excellence, la maison fait honneur à la tradition en réalisant également plusieurs associations. « Nos assemblages s’effectuent selon la typicité de chaque cuve et sont souvent différents pour que nous puissions toujours avoir un même produit au fil des années ». Un vin blanc aromatique et fruité pour des instants de gourmandise En travaillant de nombreuses appellations telles que l’AOC Bordeaux, l’AOC Bordeaux Supérieur et l’AOC Entre-deux-mers, le Château au Grand Paris parvient à proposer une riche gamme de cuvées aromatiques et fruitées. Et bien que le vignoble bordelais soit réputé pour ses illustres vins rouges, la maison désormais certifiée HVE a bâti sa notoriété sur son vin blanc à l’instar de la cuvée Entre-Deux-Mers. Ce vin blanc sec composé de sauvignon, de muscadelle et de sémillon plaît pour ses arômes de fleurs blanches et ses saveurs fruitées sur fond de notes de pêche et de pamplemousse. A vocation apéritive, il accompagne à merveille les fruits de mer, les coquillages, les poissons, les huîtres et les crustacés. Preuve de son excellence : ce produit est régulièrement primé par de grands guides tels que Gilbert & Gaillard. ...
Que ce soit pour un dîner en amoureux, un repas en famille ou des retrouvailles entre amis, les lieux se prêtent merveilleusement à toutes les occasions de vie. Véritable invitation au voyage, Le Caroubier propose une cuisine gastronomique marocaine particulièrement ensoleillée, avec d’authentiques saveurs d’ailleurs. Ambiance orientale dans les assiettes comme dans la salle Difficile de résister à son savoureux pigeon sucré-salé aux amandes et au miel, servi dans des feuilles de brick au four, ou à son tajine d’agneau aux amandes, pruneaux, cannelle et quatre épices à tomber par terre ! Terminez avec une douceur andalouse aux figues, dattes et écorces d’oranges confites, qui constitue un véritable délice pour les papilles ! Le Caroubier, c’est aussi l’hospitalité et le service réunis, des qualités si chères aux Marocains, et qui règnent en permanence au sein du restaurant. Le personnel est accueillant et disponible, afin de vous faire vous sentir comme à la maison. Le restaurant est privatisable pour accueillir des soirées à thèmes, selon vos préférences. Il suffit d’en formuler la demande. Pour accompagner chacun de vos repas, la maison vous invite à goûter à son excellent vin rouge marocain, le Riad Jamil de la région de Meknès, qui est élevé dans des vieux fûts en chêne… une très belle découverte. ...
Rutabago vous réconcilie avec les fourneaux en vous facilitant totalement la vie. Le concept : passez commande sur le site Internet de vos paniers prêts-à-cuisiner et ils vous seront livrés chaque semaine afin que vous puissiez mitonner de bons petits plats. En plus d’être pratique, Rutabago est une invitation à manger équilibré et surtout bio. Que demander de plus ? Paniers prêts-à-cuisiner : des produits sélectionnés avec soin Votre rythme de vie, aussi effréné qu’il est, ne sera plus une excuse pour éviter de cuisiner chez vous grâce à Rutabago. Avec ses recettes classiques ou végétariennes, la marque vous propose ses paniers prêts-à-cuisiner bio dans lesquels tout est inclus : viandes, poissons, légumes et fruits frais jusqu’aux épices et herbes aromatiques. Les producteurs fournissant les ingrédients sont triés sur le volet afin de garantir qualité et fraîcheur. « La traçabilité est importante pour nous et sera gage de fiabilité pour nos clients », fait savoir Pierre Pointard, cofondateur de la start-up. Outre les ingrédients, le panier contient un livret de dégustation qui comprend les fiches de recettes et retrace la provenance de chaque produit. Les recettes ! Parlons-en justement. Se prêtant à une véritable aventure gastronomique, elles ont été concoctées par des chefs, puis validées par une diététicienne. La cuisine française et la cuisine du monde sont également à l'honneur. Les suggestions changent chaque semaine et vous êtes ainsi certains de ne pas toujours manger la même chose. Côté timing, pas de panique, puisque la moitié des recettes ont été formulées pour que vous ne passiez pas un long moment en cuisine. « Une moyenne de vingt minutes, préparation et cuisson incluses », nous indique-t-on. Et dans l'optique de ne livrer qu'en juste quantité, les ingrédients sont pré-dosés et conditionnés de façon optimale. Il est en effet très important de spécifier que selon l'ADEME, chaque français gaspille en moyenne 20 kg de nourriture chaque année. « Consommer les paniers-recettes Rutabago permet de diviser ce taux par deux » explique Mathieu, cofondateur et responsable de la logistique. ...
A Etables-sur-Mer, une cité balnéaire des Côtes d’Armor, se trouve le restaurant Via Costa. On quitte la Bretagne pour un dépaysement total : décor exotique, ambiance d’ailleurs, mer turquoise, sable fin. L’endroit semble sorti tout droit d’une carte postale d’une plage de Bali. A l’entrée, se dresse un imposant portique orné de motifs végétaux indiens. A l’intérieur, murs en bois exotiques, paillotes, palmiers, bouddhas en pierre et transats plantent le décor : le visiteur semble pénétrer dans un de ces lieux surprenants perdus au bout du monde. Idéal pour un après-midi de détente. Le visiteur prolonge volontiers son escale au Via Costa pour le restant de la soirée. Cocktails et farniente L’après-midi est encore chaud. Il est temps de s’attabler à la terrasse du Via Costa. La carte propose des idées originales autour du cocktail. Le barman vous sert un de ces breuvages traditionnels aux vacances ensoleillées : Mojito, Cosmopolitan, Margarita. Pour des sensations plus intenses, il confectionne pour vous une des spécialités de la maison : un Daïquiri frais et acidulé, ou un Pina Colada, une mixture glacée à base de coco et ananas. Il existe également des versions sans alcool : milkshake à la vanille ou au chocolat. Les hôtes expérimentent un moment totalement zen : siroter un cocktail glacé devant une mer d’azur, avec en arrière-fond, des sons de musiques du monde. Excursion gourmande Côté assiette, le chef emmène les hôtes explorer le continent asiatique. Les ingrédients sont locaux : poisson frais breton. Les mets du terroir côtoient les plats des îles. Au départ, au choix : une cuisine tout en fraîcheur comme le tartare de Saint-Jacques de la baie et saumon fumé, ou bien des plats exotiques : accras de morue et salade de poulet Tandoori. Le voyage des papilles se poursuit avec de nouvelles surprises. La spécialité du chef ici, c’est le carpaccio. Les lamelles de bœuf marinées sont préparées et arrangées à toutes les sauces. Chaque plat est une invitation à découvrir le mariage de nouvelles saveurs. Le convive découvre des inspirations méditerranéennes : le carpaccio aux copeaux de chèvre, noix et tomates confites, ou bien le carpaccio à la mozarella di buffala et pignons de pins. Et d’autres inspirations inattendues : le carpaccio façon thaï, aux oignons rouges, pousses de soja fraîches, sésame, gingembre et coriandre. Côté lagon, les amateurs des fruits de mer retrouvent des produits frais et des saveurs totalement exotiques : wok de gambas marinées au gingembre et à la coriandre ou dos de cabillaud rôti au crumble de chorizo. Le dépaysement est assuré côté sable. Les spécialités culinaires du chef sont innovantes : tajine berbère d’agneau aux abricots et poulet Massalé à la réunionnaise. Pour le dessert, le chef suggère de gouter à des horizons lointains : traverser l’Atlantique et dévorer un véritable cheesecake new-yorkais, ou bien s’arrêter au milieu de la mer et tenter une exotic island, une ile flottante à la noix de coco et aux zestes de citron vert. Ceux qui préfèrent les charmes du pays, savoureront la douceur d’une tarte fine aux pommes, et son coulis de caramel au beurre salé. Ambiance caliente ! Pas question de rentrer chez soi pour le moment. L’équipe du Via Costa propose aux convives un large éventail d'activités, histoire de s’attarder après le repas. Des événements sont régulièrement organisés pour animer la soirée. Les convives peuvent s’initier à de nouveaux pas de danse, zumba et salsa, à l’ombre d’une paillote. A la nuit tombante, les visiteurs se laissent entraîner au rythme de la musique. DJ et groupes animent la soirée dans un climat décontracté. La programmation musicale est variée et répond à tous les goûts : jazz, reggae, musique du monde, etc. Tout le monde doit s’amuser ! Le Via Costa organise à la demande des séminaires et réceptions pour les groupes pour un minimum de 20 personnes. Les menus, à partir de 35€, permettent de se régaler dans un environnement atypique. A l’ord...
La commune de Sens, riche d’histoire, est célèbre pour ses paysages de fleurs, ses édifices, mais également pour son terroir. Au sein de cette belle localité, la Brasserie Larché est devenue, au fil des années, un patrimoine bourguignon, apprécié par les amateurs de bière. Elle fait partie des premières brasseries dans cette partie de la France, à fabriquer des bières de haute et double fermentation, ce qui consiste à jouer sur la quantité des matières premières afin d’obtenir une bière au corps plus corsé. Aujourd’hui, l’entreprise brasse dix types de bières différentes. Plus de vingt années d’histoire Depuis sa création en 1996, la Brasserie Larché fait partie des producteurs qui ont su préserver l’authenticité de sa marque. Elle reste surtout très présente en Bourgogne et un peu en France (région parisienne et PACA). « Notre zone de chalandise est restreinte mais la volonté de grandir et d’être mieux référencé au niveau national est bien réelle. » nous confie Eric Poirier, actuel gérant. Parmi les fleurons de la gamme figure la bière Alésia, 100 % bio, qui a reçu en 2016 une médaille lors du Concours général agricole dans la catégorie « Bières blondes ». La maison possède d’autres produits ambassadeurs qui font sa fierté à l’instar de la Thomas Becket Ambrée, première bière élaborée par la brasserie, à fermentation haute et refermentée en bouteille avec un ajout de miel de l'Yonne. La marque Thomas Becket se présente sous différentes déclinaisons : blonde, blanche, brune et ambrée et rousse également. De manière saisonnière : « nous brassons une bière de printemps et une bière de Noël » précise notre interlocuteur. Les amateurs pourront également se laisser tenter par la Burgindia (IPA), une bière plus houblonnée, plus pâle et plus amère au goût. Depuis peu, la Brasserie Larché intervient dans la fabrication de caramel de bière et de vinaigre de bière, faisant le bonheur des amoureux de cuisine originale. Et dans une volonté de faire découvrir son savoir-faire, elle se tient prête à accueillir le public dans le cadre d’une visite comprenant la découverte des techniques de fabrication, une dégustation et un passage en boutique. ...
Suite au décès de son mari en 2003, Brigitte Beaufort décide de changer de vie et de quitter son métier de chef de projet informatique. Elle souhaite récupérer les terres champenoises que louait son époux. Mais au préalable, elle doit retourner sur les bancs de l’école pour obtenir son diplôme d’exploitant viticole. Ce n’est qu’en 2008 qu’elle devient propriétaire d’une exploitation de 4 hectares avec 14 parcelles sur les communes de Bouzy, d’Ambonnay et de Tours-sur-Marne. En 2012, elle acquiert un bâtiment à Bouzy qu’elle fait rénover et agrandir. Il lui reste encore à faire l’acquisition de cuves pour devenir totalement indépendante. Dès le départ, Brigitte Beaufort a choisi de soigner ces cépages de Pinot noir et Chardonnay dans un processus de viticulture raisonnée et durable en prohibant les pesticides, en minorant au maximum les intrants et en privilégiant les molécules certifiées bio. Pendant la vendange, en tant que récoltant-expéditeur, elle fait presser et vinifier ses raisins chez un autre viticulteur. Par contre c’est elle qui reste maitre de l’assemblage, de la mise en bouteille, du vieillissement et du dégorgement. Avec l’aide du Syndicat Général des Vignerons, elle fait connaitre ses champagnes lors de salons professionnels en France ou à l’étranger. Plusieurs cuvées sont déjà présentes sur les tables de l’hôtel Crillon et au relais Richelieu. Ses champagnes sont également disponibles chez des cavistes, comme à St-Etienne et Béziers. Des champagnes Grand Cru Depuis le début, Brigitte Beaufort a pris le parti de ne réaliser que de petites cuvées mono-année. Avec ses 80% de raisins Pinot noir et ses 20% de raisins Chardonnay, elle crée des champagnes Grand Cru peu dosés en sucre. Par exemple, le champagne Expression Grand Cru aux fines bulles et aux parfums délicats de quetsche, ananas, citron et menthe. ...
Ce n’est un secret pour personne : La Grande Épicerie de Paris est un lieu incontournable de la gastronomie. Depuis novembre 2017, l’enseigne historique de la Rive Gauche a traversé la Seine et ouvert un nouveau magasin rue de Passy, dans le 16ème arrondissement. La Grande Épicerie de Paris : lieu de vie et de passion Rive Gauche comme Rive Droite, les rayons de La Grande Epicerie de Paris mettent à l’honneur une vaste sélection de saveurs d’ici et d’ailleurs : épicerie (thé, café, huile, pâtes, confiture etc.), produits frais (fromage, charcuterie, poissonnerie, boucherie etc.), références d’exception (caviar, foie gras ou truffe), cave (vins et spiritueux du monde), sans oublier la pâtisserie, la boulangerie et le traiteur dont les créations sont réalisées chaque jour par une centaine d’artisans passionnés dans les laboratoires, sous le magasin rue de Sèvres. Pour satisfaire tous les gourmets, La Grande Épicerie de Paris accorde une grande importance à la sélection de ses produits. C’est dans ce but qu’une équipe d’experts sillonne la France entière et le Monde à la rencontre des producteurs et artisans proposant les meilleurs produits mais aussi à la découverte d’innovations en tous genres dans le secteur de l’alimentaire : nouvelles textures, nouveaux ingrédients, packagings originaux, catégories de produits redynamisés,… La Grande Épicerie de Paris : une histoire à succès L’histoire de La Grande Épicerie de Paris débute en 1852. C’est à cette date qu’Aristide Boucicaut crée le premier grand magasin au monde : Le Bon Marché, où de nombreuses innovations virent le jour tels que la vente par correspondance, le blanc ou les soldes. Dès 1923, un « comptoir de l’alimentaire » est installé au sein du grand magasin et c’est en 1978 que La Grande Epicerie de Paris telle qu’on la connait aujourd’hui voit le jour. Depuis sa création, elle reste le lieu privilégié des gastronomes parisiens à la recherche de produits et d’expériences d’exception. Après un tour dans les rayons, chacun peut s’arrêter au choix sur l’un des comptoirs de dégustation essaimés dans les magasins (ibérique, thé et café, luxe et truffe entre autres) ou dans les restaurants : La Table de La Grande Epicerie (Rive Gauche) ou Le Rive Droite tenu par la chef Beatriz Gonzalez (rue de Passy). Lieu de découverte mais aussi de vie, La Grande Epicerie de Paris propose à ses clients une foule de services : de l’organisation d’événements, à la confection de corbeilles cadeaux sur mesure en passant par la livraison à domicile, le service voiturier ou la réservation de taxis. La Grande Épicerie de Paris sur le web La Grande Épicerie de Paris, ce ne sont pas seulement deux magasins dédiés à la gastronomie. C’est aussi un site internet complet et pratique qui met à disposition des internautes une vaste sélection de références livrables partout en France et en Europe et une multitude de recettes, tendances, d’informations sur les marques, les artisans et les savoir-faire. Prolongement de l’expérience en magasin, il regorge d’informations pratiques (plan, visite virtuelle, catalogue de produits) et de services complémentaires (demande de devis, privatisation du restaurant La Table…). ...
Auray est un bourg dynamique morbihannais dont le paysage change au gré des marées. La beauté et le calme du port de Saint-Goustan imprègnent les promeneurs venus sillonner les berges pour trouver un moment de sérénité. L'église de Saint-Gildas classée monument historique tout comme l'hôtel de ville datant du XVIIIème siècle, les maisons à colombage, le pont Saint-Goustan, le Vallon du Reclus, La Petite Forêt forment le riche patrimoine architectural, historique et naturel de la ville. Au-delà des sites et monuments, Auray a la chance d'abriter l'une des meilleures tables de la région. Au restaurant Terre Mer, on cultive l'excellence dans l'assiette mais aussi dans l'accueil. Anthony Jehanno, globe-trotter et artisan du goût Le goût pour la cuisine, Anthony Jehanno l’a acquis dès sa plus tendre enfance. Adolescent, il obtient son BEP à Sainte-Anne-d’Auray. Sa passion et ses talents le conduiront rapidement vers les plus hautes marches de ce métier d’exception où l’attend sa première place de chef à Montmartre, au sein de l’établissement Moulin de la Galette. Telle une locomotive, plus rien alors ne l’arrête. Il est sollicité par le groupe Ducasse pour l’ouverture d’un nouveau restaurant situé sur les Champs-Elysées. Après avoir sillonné Londres et les Etats-Unis où il a exercé comme consultant, ce globe-trotter choisit de déposer définitivement ses valises dans le Morbihan, sa terre d’origine. De là commence une merveilleuse et nouvelle aventure qu’il vivra aux côtés de son épouse, Anne-Sophie Jehanno. Ensemble, le duo complice façonnera leur nouvel établissement à leur image. Ici, rien de trop guindé. La charmante maison de granit livre une décoration chic et raffinée, juste ce qu’il faut. Premier détail qui focalise l’attention : les murs en pierre et les poutres apparentes qui confèrent tout son charme à la salle. Une cuisine actuelle Dans cette atmosphère élégante et cosy, Anthony Jehanno et sa brigade œuvrent pour flatter vos papilles. Les produits du terroir et de la mer de la région sont à l’honneur. Le jeune chef Morbihannais travaille en étroite collaboration avec plusieurs petits producteurs afin de sublimer à sa manière les trésors locaux et de saison. Le produit est en majesté. Cela débute par un foie gras poêlé qui se décline en de multiples accompagnements selon la saisonnalité. Mais cette fois-ci, vous le dégusterez bien avec du kiwi jaune et de l’ail noir. Enchaînez ensuite avec un dos de chevreuil amandes airelles ou un filet de Saint-Pierre salsifis champignons et « cazette ». Au dessert, laissez-vous tenter par les tartelettes du chef dont l’expérience en pâtisserie transparaît avec brio dans l’assiette. Les saveurs de cette cuisine actuelle, équilibrée et goûteuse sont sublimées par une puissante carte de vins. Bien que les propriétaires expriment une préférence pour les vins de Bourgogne, la cave se compose d’autres belles références issues de l’Alsace, de Bordeaux, de Gascogne, de la Loire, du Rhône. ...
Les cuvées Claude Thuillier et Filles sont composées des valeurs familiales chères à une maison artisanale héritée de pères en filles. Priorisant les méthodes traditionnelles d’élaboration du champagne utilisées depuis des siècles, cette marque fêtant ses 41 ans cette année élabore ses champagnes avec attention et patience. Au programme : bulles fines, fraîcheurs et arômes ! « Faire dans la continuité des traditions » Ces propos de Claudette Thuillier, l’une des héritières de l’exploitation, rappellent le parcours authentique de cette maison. En véritables amazones du vin, les filles Thuillier se distinguent par leur maîtrise parfaite du processus d’élaboration et par leur attachement au côté artisanal. La famille Thuillier, tout en tenant à moderniser leur exploitation, a choisi de remettre à jour les méthodes de vinification en fûts tout en continuant à utiliser des procédés traditionnels comme le dégorgement à la volée ou encore le remuage en pupitre. Tout cela pour produire des cuvées de qualité à l’instar de la Cuvée Spéciale, un assemblage classique au goût affirmé et englobant toutes les saveurs du terroir. Accessibilité et convivialité sont au rendez-vous En matière d’activités œnotouristiques, le domaine des Thuillier accueille ses hôtes dans un cadre typiquement champenois. Au programme : visite des quelque six hectares de vignoble, dégustations, visite des caves... Claudette, toujours dans un souci d’hospitalité, propose par ailleurs de se loger sur place dans un gîte dans le village, cela afin de vous assurer une immersion totale dans le pays du bon vin. En pleine conversion en vue de l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), la maison Thuillier priorise, entre autres, le respect de la nature, un engagement assurant la vérité du goût de ses cuvées. ...
À travers une cuisine aux saveurs du Sud préparée à la minute, cette belle adresse située au cœur du plus vieux quartier de Marseille n’a pas fini de créer la surprise. Embarquant avec la plus grande facilité les gourmands comme les gourmets, l’enseigne propose les meilleurs des plats marseillais avec, comme signature, le coup de patte d’un jeune chef à l’inspiration créative. Entre tradition et modernité Décoré avec goût, notamment avec de beaux clichés de Marseille d’hier et d’aujourd’hui, ce restaurant à la cuisine inspirée porte bien son nom. Rivalisant avec les grands, cette adresse bien connue de la cité a reçu la nouvelle distinction « l’Assiette » du guide Michelin 2016. Dans une ambiance simple et conviviale, il propose un véritable cocon où tradition et modernité se marient dans une juste proportion. Se voulant plus chaleureuse, elle s’offre une seconde jeunesse pour un cadre plus moderne aux touches méditerranéennes. Un bel accord mets-vins Grâce à une carte originale qui change toutes les semaines, l’établissement est en mesure de proposer une cuisine d’instinct et de marché aux formules gourmandes qui laisse place à une véritable découverte culinaire. Laissez-vous tenter par sa tartine de sardine, son croquant de légume pour ouvrir l’appétit avant de continuer avec son thon mi-cuit minestrone à la provençale et pour terminer sur une note sucrée, son délicieux dessert choco-passion. À travers un bel accord mets-vins, l’adresse permet également de découvrir les meilleurs des vins du monde et de région tels que les vins de Provence, du Rhône, de Bourgogne et les bordeaux. ...
Vannes a bâti sa réputation autour de ses sites etpaysages historiques comme la fameuse cité médiévale, le célèbre Palais des arts, les maisons datant du XVe siècle, les quais bordés d’arbres et le célèbre port de plaisance. Cette ville abrite la plus belle baie du monde alliant terre et mer : le golfe du Morbihan. C’est dans ce cadre paradisiaque que s’est installé l’hôtel 4 étoiles Best Western Plus Centre Vannes au sein duquel se trouve le restaurant Côté Patio. Un chef jeune et créatif Au sein durestaurant Côté Patio, le nouveau chef Keveen Gac surprend ses convives par sa créativité et la justesse de sa cuisine. « Ce jeune passionné est quelqu’un de très humble mais qui a énormément de talents », relate Quentin Coisne, responsable du restaurant. Keveen Gac a débuté son apprentissage en 2007 dès son brevet professionnel en poche. Il a commencé à exercer au sein au restaurant l’Angélique à Versailles, puis a continué son parcours à La table du président d'EADS à Paris, dans le 16e. Il exerce ensuite ses talents dans de nombreuses brasseries autour de la capitale. Il aime surprendre et se plait à élaborer une cuisine simple. « Mettre en valeur nos produits locaux, cuisiner du frais et du fait maison, voilà quelque chose qui lui tient à cœur », affirme toujours Quentin Coisne. Le charme au cœur de Vannes Le Côté Patio offre une atmosphère à la fois cosy et décontractée. « La décoration est dans un esprit contemporain », décrit le responsable. L’intérieur affiche une élégance à la française. Pour le mobilier, les matériaux naturels ont été privilégiés. Les couleurs sobres dominent pour conférer un style résolument raffiné à la salle.À l’extérieur, les hôtes profitent d’un cadre ensoleillé et reposant sur la terrasse. Du jardin aromatique situé en faceémanent des senteurs estivales agréablesqui procurent du bien-être. Une cuisine gourmande aux saveurs locales Le chef concocte des plats innovants. Dans cette optique, il utilise des produits frais et locaux qui surprennent les fins gourmets. Sa carte évolue au rythme des saisons. « Notre souris d’agneau confite est une vraie spécialité du chef que les clients apprécient. Le restaurant propose aussi des plats originaux avec une petite touche sucrée-salée qui plait beaucoup», spécifie Quentin Coisne. En entrée, le tartare de lieu à l'huile d'argan régale les papilles. En plat de résistance, la souris d’agneau confite ou le cabillaud en croûte de sésame et pavot, crème de carottes jaunes au cumbawa révèlent une science des produits et leur vraie nature. Le fraisier breton ou le financier et panna cotta pina colada sont pleines de saveurs gourmandes. La maison dispose d’un menu nommé « Menu Patio ». Il est composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert à sélectionner dans la carte. Le chef propose aussi une formule intitulée « Inspiration du moment », concoctée selon son humeur et la disponibilité des produits. ...
Le Château Croque-Michotte est riche d’un passé qui remonte à 1906. À l’époque négociant en vins et en Cognac, Samuel Geoffrion s’intéresse au métier de vigneron. Il est séduit par le terroir de Saint-Émilion et décide de faire acquisition de quelques parcelles. À son décès, sa fille Hélène Geoffrion-Rigal reprend les rênes. Avec ses enfants et petits-enfants, elle crée un Groupement Foncier Agricole (GFA) qui est désormais propriétaire et exploitant. La gérance est assurée par Pierre Carle depuis 1992 qui s’est investi de la mission de sublimer ce terroir selon des pratiques éco-responsables. Par amour de la terre Dès son plus jeune âge, Pierre Carle savait qu’il voulait devenir vigneron. « À quatre ans, en me baladant dans les chais, je me souviens de cette odeur qui restera à jamais gravée dans mes mémoires. De là, j’ai su que je souhaitais travailler dans ce milieu », nous confie-t-il des souvenirs plein la tête. Le destin en a voulu autrement puisqu’il finit par suivre un cursus d’ingéniorat puis en architecture avant d’évoluer dans une entreprise spécialisée dans la pose de matériels de chemins de fer où il restera 14 ans. En dépit de ce changement de vocation, Pierre n’en oublie pas son rêve d’enfance. À la retraite de l’ancien maître de chai du Château Croque-Michotte, il s’engage dans une reconversion pour prendre la direction des cultures des vignes et de la vinification. Il agrandit le vignoble de 13,7 hectares situé à l’ouest de Saint-Émilion et faisant la frontière avec Pomerol. Bénéficiant d’une situation géographique privilégiée, le terroir se trouve à proximité de voisins prestigieux tels que Pétrus, l’Évangile, Gazin, Corbin Michotte, Cheval Blanc ou encore La Dominique. Un cahier des charges en agriculture biologique Le sol composé de graves et de sables sur socle argileux est propice au développement du merlot, du cabernet franc et du cabernet sauvignon. « Depuis plusieurs années, nous avons arraché les parcelles et replanté en cabernet franc pour augmenter la proportion, car ce cépage a plusieurs avantages : il est tardif et moins sensible aux gelées tardives, il est plus tannique ce qui permet d’avoir une bonne matière surtout lors d’élevages avec un gros pourcentage de barriques neuves pour masquer le goût de bois. Ce cépage peut se vendanger plus tard et supporte la surmaturité, ce qui donne plus de souplesse. L’acidité est plus élevée pour que les vins soient moins sensibles à l’oxydation et aux attaques bactériennes. » Le domaine s’évertue également à limiter au maximum les rendements pour permettre aux vignes d’être plus résistantes aux bactéries et pour gagner en concentration dans les vins. Grâce à des méthodes culturales respectueuses de l’environnement, il obtient la certification Ecocert dès 1999. « Soit 14 ans avant tous les crus classés de Bordeaux », fait savoir notre interlocuteur. Un mode de production résolument innovant Depuis qu’il gère le Château Croque-Michotte, Pierre Carle a apporté un vent d’innovation dans les méthodes de production. À l’issue des vendanges manuelles, les grappes sont transportées dans les chais pour être sélectionnées à l’aide d’un procédé ultramoderne par « tri optique ». Les graines vertes et les résidus végétaux sont ciblés par la machine puis refoulés vers l’extérieur. Seules les bonnes graines sont récupérées et véhiculées jusqu’aux cuves. « Notre signature est de produire des vins sans sulfites ajoutés au cours de la vinification et des premiers mois d'élevage. À la place, nous avons recours à des levures concurrentes qui empêchent les bactéries de saccager le mou ». Les vins sont ensuite élevés dans des barriques de chêne français à grain fin en provenance des meilleures forêts. L’élevage s’étend sur une période de douze mois. De ce long processus naît la Cuvée Croqu...
La volonté d’honorer une cuisine solennelle et raffinée est au cœur de toutes les prestations de ce traiteur parisien. Livraison des plateaux-repas dignes des plus grands restaurants étoilés ou organisation d’un buffet, cocktail, petit déjeuner ou brunch forment les principales offres destinées aux entreprises et aux particuliers, avides de découvrir les subtilités de la cuisine Grand Siècle. Honneur au Potager du Roi Cuillère d'Argent ne cesse d’innover pour répondre aux exigences de ses clients friands de produits frais, locaux et, surtout, authentiques. Ainsi, dans une volonté de s’inscrire dans une démarche éthique et écoresponsable, l’artisan créateur gastronomique a signé un partenariat avec l'ENSP Potager du Roi. Construit entre 1678 et 1683 par Jean-Baptiste La Quintinie pour le compte de Louis XIV, ce site classé jardin remarquable et monument historique est enrichi d’une grande diversité de fruits et légumes qui subliment les repas concoctés par Cuillère d'Argent. Le service traiteur et le Potager du Roi s’engagent dans une collaboration qui s’efforce à conserver ce site de culture historique. « La Maison mécène le Potager du Roi, accompagne les jardiniers dans l’amélioration du site de culture », explique Gaëlle POGGIALE, présidente de la société. « Deux fois par an, je travaille avec mes chefs artisans et les jardiniers du Potager du Roi sur de nouvelles recettes, toujours basées sur la cuisine Grand Siècle », continue-t-elle. Documentation, recherche historique, briefing sont nécessaires pour finaliser la carte des menus. Un travail de longue haleine que l’équipe réalise néanmoins avec passion. Partager l’art de vivre à la française Cuillère d'Argent a bâti sa réputation autour de ses plateaux-repas élaborés selon un savoir-faire culinaire artisanal. Très appréciés au moment des repas d’affaires, les plateaux-repas Luxe représentent le produit phare de la maison. Plusieurs choix sont proposés par le traiteur parmi lesquels figure le « Romarin du Levant ». Le festin commence par du canard du Sud-Ouest. En plat de résistance, les cuisses de véritable poulet locavore de ferme du Luteau farcies aux champignons feront le bonheur des gourmets. Et pour clôturer le tout, rien de tel qu’une tarte à la chair de poire du Roi-Soleil. Le plateau-repas « Combawa du Potager du Roi », lui, est composé de saumon écossais issu d’une aquaculture responsable, du beurre cru du fromager-crémier Beillevaire, accompagné des végétaux du Potager du Roi. « On a cette volonté de travailler avec des ingrédients vraiment de très belle qualité », explique Gaëlle POGGIALE, en présentant fièrement ses produits. Les plats sont ensuite présentés dans un joli coffret fabriqué à partir d’assiettes en bois clair naturelles et biodégradables et de carton élaboré avec du bois issu d’une démarche responsable de gestion durable de forêt. À l’intérieur, on découvre un set de couverts de style Louis XV avec un verre lustré et élégant, et de la lingette rafraîchissante à la lavande royale. "Nous défendons les valeurs de la fabrication française : le coffret est fabriqué en France, le verre vient du Nord Pas de Calais vient de Cristal d’Arc et les couverts de Normandie" reprend notre interlocutrice. À côté de la préparation et de la livraison des plateaux-repas, Cuillère d'Argent développe aussi une expertise dans l’organisation des réceptions. Des menus pétillants entre tradition et modernité et élaborés toujours selon les préceptes de la cuisine Grand Siècle sont à l’honneur. « Nous privilégions les ingrédients de saison, locaux et aussi de qualité remarquable », ajoute Gaëlle POGGIALE. Petit déjeuner, pause-café, brunch et snack-chic, cocktail déjeunatoire, buffet, repas servis à l’assiette, Cuillère d’Argent témoigne d’une grande polyvalence, au service de particuliers et d'entreprises. ...
Initié à l’époque des arrières grands parents de Marc Dupraz, le domaine applique la méthode de culture dite de « vignes en lyre » sur une partie de son vignoble : « cinq hectares sur dix sont cultivés selon cette méthode. Encore peu utilisée en France, elle est assez répandue en Suisse » explique Marc Dupraz. Son avantage est qu’elle permet d’obtenir des raisins à maturité optimale lors des vendanges quelles que soient les années. Depuis 1998, Marc cultive son domaine en agriculture raisonnée « Nous faisons beaucoup d’efforts et voulons nous tourner vers le biologique, le pas va se faire naturellement. A part un ou deux changements, on ne fera pratiquement rien de plus. C’est pour cela que nous allons commencer la conversion des 2017» précise-t-il. Des cépages typiquement savoyards L’encépagement du vignoble est composé de variétés typiques de la région, dont la Jacquère qui n’existe pratiquement qu’en Savoie. Ce cépage, à la base de l’appellation Vin de Savoie, est à l’origine de la rondeur et le fruité du vin ainsi que sa tendance à une bonne évolution dans le temps. « Il s’agit d’un cépage rustique et assez capricieux, il demande beaucoup de rigueur au travail » précise Marc. Pour ses vins rouges, le domaine utilise uniquement la Mondeuse, un cépage également endémique de la région. Rustique et montagnarde, cette variété n’est autorisée et recommandée en France que dans la région des Vins de Savoie. Proche de la Syrah génétiquement parlant, il rappelle cependant le Pinot en dégustation. Il donne des jus qui vont sur la myrtille et la framboise, et offre une grande capacité de vieillissement aux vins dont il est issu, lorsqu’il est travaillé avec soin. Des vins gastronomiques Les 10 hectares de vignes cultivées par le domaine sont déclinée en quelques cuvées très riches et fruitées. Celles-ci profitent de qualités gustatives exceptionnelles qui en font des vins de gastronomie parfaits et choisis par plusieurs restaurants étoilés de toute la France. Parmi elles figurent « Les Terres Blanches » Vin de Savoie Apremont, qui est un vin d’une complexité rare, avec un côté calcaire très prononcé en bouche qu’il tire de son terroir et une longueur et un gras naturel conféré par la Jacquère. « il est vrai que nos clients sont surpris des qualités de nos Jacquère mais nous sommes confortés dans nos choix stratégiques , les vins à base de ce cépage sont liés à un grand avenir, si le raisin récolté est exceptionnel » acclame Jérémy le fils de Marc nouvellement installés depuis 2011 Seul vin rouge produit par le domaine, « La Mondeuse » est élevé en cuve, qui confèrent au vin des tanins extrêmement présents, et qui se fondent très bien dans le temps. « En dégustation jeune, ce vin est très épicé, avec une teneur en fruit mais avec le temps, entre quatre ou cinq ans minimum, nous arrivons déjà sur un vin complexe avec beaucoup plus de maturité et d’équilibre et qui peut se garder entre dix et douze ans » explique avec passion Marc Dupraz. Barbecue et Vin, ou la façon de déguster les vins autrement Tous les premiers vendredis du mois de cette période estivale (Avril à septembre), le Domaine Dupraz organise un évènement dénommé « Barbecue et Vin ». « Découvrir les vins d’une manière assez différente, autrement qu’avec des fromages et des charcuteries, voilà l’objectif » s’exclame Jérémy Dupraz. Cet évènement permet en effet de découvrir et déguster les vins du domaine autour d’un barbecue au milieu des vignes. Le caveau reste aussi ouvert au grand public toute l’année du jeudi au dimanche ou vous pourrez déguster un casse-croute vigneron avec les produits locaux sélectionnés par la famille. Bien évidemment les vignes peuvent être visitées par les amateurs de vins pendant les beaux jours. ...
Sur les coteaux au sud de Reims, au cœur de la côte des Noirs, à Ambonnay, la maison H. Billiot et fils est implantée sur l’un des cinq premiers grands crus en champagne. Le vignoble, tourné plein sud, se compose de pinot noir (75 %) et de chardonnay (25 %), qui sont répartis en 18 parcelles sur une superficie totale de 4,70 hectares. Sur son vignoble, Laetitia Billiot revendique un travail à l’ancienne et de façon raisonnée. « On continue à labourer nos terres, à éviter le désherbage et à traiter uniquement si besoin est », déclare-t-elle. Champagne H. Billiot et fils : l’expression d’un terroir La maison H. Billiot et fils révèle les typicités de ses terres à travers ses sept cuvées, « qui viennent toutes d’Ambonnay et qui offrent des caractéristiques très fruitées avec énormément d’arômes », confie la vigneronne. Dans son élan, elle ajoute « qu’au domaine, on clame la puissance de ce terroir à Ambonnay. Sur fond de notes très aromatiques, ce sont des vins qui restent très fins et trés délicats. » Parmi ces nectars qui remplissent nos caves figurent les cuvées de prestige Julie et Laetitia dont les secrets de fabrication sont jalousement gardées. Une nouvelle cuvée Essence de Billiot rejoint la gamme cette année, pur Blanc de Noirs d'Ambonnay, puissance des pinots en bouteilles numérotées uniquement disponibles sur réservation. L’œnotourisme, une activité pétillante Satisfaire sa clientèle est une priorité pour la maison H. Billiot et fils. À la demande de ses convives, la maison organise des visites du terroir, organisées sur l’un des plus beaux points de vue d’Ambonnay, avec en prime, la dégustation d’une bouteille fraîche. Pour les esprits curieux, la maison propose aussi un circuit qui permet, en plus de découvrir le domaine H. Billiot et fils, de visiter le musée du champagne ou d’autres maisons avoisinantes. ...
Après une rénovation salutaire, le restaurant La Casserole s’est taillé une place en or dans le cœur des gourmets d’Alsace. En parfait maitre d’hôtel, Cédric Kuster est aux petits soins avec ses convives pendant que Jean Roc, son chef, officie aux fourneaux. L’authentique qui ravit les yeux À La Casserole, le ton beige se marie harmonieusement avec les articles décoratifs qui ornent l’endroit pour former un écrin authentique, raffiné, contemporain et lumineux. Sublimée par des objets uniques signés par de talentueux artistes, la salle du restaurant est une véritable œuvre d’art à elle toute seule. Les murs sont estampillés par des créations de la Londonienne Helen Amy Murray. On aperçoit aussi de beaux services en cristal Baccarat, de l’argenterie Saint Louis, des tissus de la manufacture italienne Rubelli… Bref, un décor de haute voltige qui forme une heureuse harmonie avec une cuisine aussi raffinée que savoureuse. Une cuisine classique empreinte d’inspiration À vrai dire, Cédric Kuster ne se contente pas de recevoir dans un lieu à couper le souffle. De succulents mets qui en disent long sur les talents du chef Jean Roc sont également au rendez-vous dans son restaurant (avec le service qui va avec, bien sûr !). « On essaie de former une belle unité entre la cuisine que l’on propose et le décor », raconte Cédric. Les ingrédients, rythmés par les saisons et fournis en majeure partie par les producteurs locaux, sont retravaillés et combinés afin d’en faire des plats classiques teintés d’originalité. Plusieurs formules sont donc proposées : menus Déjeuner, Découverte, Bruits de casserole et Saveurs iodées (un menu qui prône uniquement les produits de la mer). En entrée, savourez le foie gras de canard de la ferme Schmidt avec son confit de chou rouge, panais mariné aux noisettes. Ensuite, le homard décliné en deux services témoigne de toute l’inventivité du chef. Le homard sera préparé de deux manières bien distinctes et servi en deux temps. Le croustillant au chocolat de Madagascar accompagné d’une glace au sésame noir garantira une fin gourmande à ce repas. Une cave à vins riche et variée En matière de vins, La Casserole dispose d’une carte digne des plus grands restaurants. Riche de 1 200 références, sa cave saura garantir un bel accord mets et vins. Grandes appellations et producteurs issus de toutes les régions de France sont à l’honneur : le Muscat Les 3 Demoiselles de Mélanie Pfister représente l’Alsace, le Chassagne-Montrachet « Grandes Ruchottes » de Bernard Moreau transporte en Bourgogne, les Châteaux L’Angelus 1983 pour la région bordelaise… ...
Véritable emblème des Antilles françaises, Karukera® est une marque de rhum déjà présente en Guadeloupe à la fin du XXe siècle.C’est alors la première marque de rhum en Grande-Terre qui sera reprise plus tard par Grégoire Hayot, héritier de générations de producteurs qui depuis 1788 ont marqué l’histoire du rhum et du sucre des Antilles Françaises Ce dernier, en partenariat avec François Longueteau, héritier et acquéreur de la distillerie éponyme et des plantations de canne à sucre du Domaine du Marquisat de Sainte-Marie, décide en 2006 de donner vie à la rhumerie karukera pour produire des rhums Vieux au Domaine. Rhum d’artisan, pur jus de canne La fabrication du rhum Agricole fait intervenir successivement différentes opérations : la récolte de la canne à sucre, l’extraction du jus de ses tiges, la préparation du mout, la fermentation, la distillation et la maturation des distillats. L’expression du terroir est une signature des rhums Karukera® : La canne à sucre provient des plantations du Domaine et toutes les opérations de la fabrication du rhum sont réalisées sur place au Marquisat de Sainte-Marie. Une fois la récolte effectuée, la transformation se fait sans additif, sans acidification et sans complémentation. La fraicheur de la canne et la préservation de la flore bactérienne permettent la fermentation et la formation des arômes. L’eau-de-vie obtenue est ainsi dotée d’un fort potentiel aromatique qui s’exprime pleinement au terme du vieillissement en fûts de chêne. Parmi les fleurons de Karukera, le rhum Blanc l’Intense qui a bénéficié d’une maturation longue, offre une expression à fort degré et gourmande du rhum Blanc Karukera "canne bleue". ...
L’Auberge L’École, au cœur des Monts du Lyonnais, est installée dans une ancienne école du hameau de Bouchala et gérée par un sympathique couple : Denis et Christine Peralta. Denis est aux fourneaux tandis que Christine, en salle, est aux petits soins pour les clients. Un décor au charme incontestable C’est en 2010 que le couple reprend l’école, qui avait été fermée en 1983 puis mise en location à des particuliers pendant plusieurs années. Il la transforme en restaurant, tout en gardant des éléments de décor de l’école, une façon de revivre la chaleur conviviale et d’évoquer les instants de l’enfance. Sur une énorme ardoise sont écrits les bons petits plats au choix. Équerres et crayons de couleur disposés un peu partout renforcent le style de la salle. Les photos de classe de 1930 à 1983, tels des tableaux de souvenir, racontent l’historique des lieux. Dans la cour de récréation transformée en agréable terrasse, les convives retrouvent la bonne et vieille marelle ainsi qu’un beau jardin doté de plantes aromatiques. Aujourd’hui, l’Auberge L’École est labellisée « Qualité tourisme ». Elle dispose d’une quarantaine de places en intérieur et d’une trentaine en extérieur. La salle est également privatisable, notamment les weekends, pour recevoir les groupes dans la limite d’une trentaine de personnes. De bons plats faits maison Denis Peralta a auparavant exercé dans le milieu de l’hôtellerie, plus précisément dans la gestion d’une chambre d’hôtes. Plus tard, il entame sa reconversion et s’intéresse à l’univers de la cuisine. Après l’acquisition de son auberge, il effectue une formation et sera encadré par de grands chefs. Aujourd’hui, il se plaît à sublimer à sa manière les produits du terroir. À l’Auberge L’Ecole, tout est frais et fait maison, de quoi amplifier les saveurs des délicieuses propositions culinaires concoctées par ce chef passionné. Les papilles se délecteront de la charcuterie faite maison, de la volaille fermière, des escargots, des tripes bio... Il n’y a pas véritablement de menus mais, à la place, une formule libre composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, à seulement 25 €, est proposée. On pourra se laisser tenter par un délicieux fondant aux herbes avant de continuer sur un duo de poissons à l’Américaine et finir avec un crumble pomme-noix. Les vins répondent aussi à l’appel au travers de la sélection proposée par les maîtres des lieux pour rehausser le goût des différents plats. Côtes-du-Rhône, Côtes-de-Provence, Saint-Joseph, Mâcon… il y en a pour tous les palais. ...