Situé dans le département du Calvados, sur le littoral de la Manche, Port-en-Bessin-Huppain est réputé pour son port de pêche. Chaque année, plus de 2000 tonnes de coquilles Saint-Jacques sont ramassées par les 150 marins pêcheurs de la commune. En 2004, Port-en-Bessin-Huppain crée une manifestation autour de la coquille Saint-Jacques baptisée le Gout du Large. Pendant un week-end de novembre, de nombreuses animations sont proposées aux visiteurs. Des animations tout au long du week-end Chaque matin, le retour de pêche est fêté en ouvrant la criée habituellement réservée aux professionnels à tous les visiteurs. Coquilles Saint-Jacques et autres produits de la mer peuvent être achetés pour un moment unique à vivre. Des cours de cuisine ainsi que des démonstrations culinaires vous dévoileront comment mettre la coquille Saint-Jacques à toutes les sauces, pour le plaisir des papilles des grands comme des plus petits. Vous pouvez également profiter de ce week-end pour découvrir le port de pêche grâce aux visites guidées. Au cours de celles-ci, vous en apprendrez plus sur les différentes techniques de pêches. Si vous êtes amateur de beaux gréements, vous pourrez en admirer quelques-uns comme la Jolie Brise. Démonstrations de sauvetage en mer, démonstration de savoir faire des ramendeurs ou comment réparer les filets de pêche, exposition de maquettes de bateaux, conférence sur l'histoire de l'activité portuaire et exposition de peintures viennent compléter les diverses activités présentées pendant le « Gout du Large ». En parallèle, le festival « Musique sous les embruns » Pour que la fête soit parfaite, les spectateurs pourront retrouver une ambiance festive autour de musiciens et de musiques évoquant l’océan et les voyages. ...
L'art et la manière Les Maîtres Cuisiniers de France ont à cœur de maintenir, transmettre et développer la tradition de la grande cuisine française en encourageant l’apprentissage et en multipliant ses actions à l’international. L’association valorise la relation entre Chef de cuisine et Directeur aux formations professionnelles et techniques pour amener les apprentis cuisiniers au meilleur de leur savoir-faire. C’est avec passion que l’Association des Maîtres Cuisiniers de France organise le concours du Meilleur Apprenti Cuisinier de France depuis 1956 et s’associe de nouveau avec tous les centres de formation professionnelle et les écoles hôtelière de France pour mettre en lumière la transmission. Les futurs chefs à l'épreuve Cette 64ème édition du Meilleur Apprenti Cuisinier de France, est soutenue et parrainée par Régis Marcon. Cuisinier triplement étoilé du guide Michelin et Maître Cuisinier de France, Chef de l’Année par le Gault et Millau en 2000, élu en 2001 Auvergnat de l’année et Cuisinier de l’année par le magazine « Le Chef », également promu Chevalier de La Légion d’Honneur en 2002. Mais aussi, Président du Comité International d’Organisation et Président du Bocuse d’Or France, coach et jury après avoir été Lauréat du Bocuse d’Or (1995). Les apprentis cuisiniers vont concourir dans les treize régions de France avant d’être sélectionnés pour la Finale Nationale du Meilleur Apprenti Cuisinier de France 2017. Fin septembre débutera la concours avec la finale régionale d’Aquitaine – Limousin – Poitou Charentes, le 26 septembre au CFA de Poitiers puis la finale régionale de Provence – Alpes et Côte d’Azur le 25 octobre à l’Ecole Hôtelière d’Avignon ainsi que celle d’Auvergne Rhône Alpes, le 8 novembre au Lycée Hôtelier de Grenoble, de Centre- Val de Loire à Bourges le 15 novembre, de Bretagne le 17 novembre, d’Île de France qui le 20 novembre à l’INHAC Groupe Ferrandi-Paris, du Nord Pas de Calais le 27 novembre. La date et le lieu de nos quatre autres régions seront communiquées prochainement. À l’issue de ces épreuves, 13 nalistes seront sélectionnés pour la Finale Nationale prévue le 22 janvier 2018 à l’école Ferrandi-Paris. Face à un jury composé de 10 Maîtres Cuisiniers de France connus et reconnus, les candidats seront évalués sur les thèmes suivants à réaliser en 4 heures. Le premier plat : Soufflé d’œuf poché en croustade Le second plat : Quasi de veau poêlé, sauce porto, laitue braisée et pomme fondante Puis le dessert sera une interprétation libre autour de l’ananas et des épices. Les différentes recettes ont été élaborées avec grand soin par les Maîtres Cuisiniers de France et le thème de la finale par Monsieur Régis Marcon, lui-même. ...
Allergènes, produits chimiques, conservateurs, mauvaises graisses… Scruter l’étiquette des produits alimentaires devient monnaie courante chez bon nombre de consommateurs. Grâce à son panel de produits sains et bio triés sur le volet, la boutique en ligne Kazidomi se donne pour mission de faciliter leur quotidien mais aussi celui des personnes suivant un régime alimentaire strict. Mais avec elle, produits de qualité riment désormais avec petits prix. Une start-up belge qui monte Alors étudiante en gestion à la Solvay Brussels School, Emna Everard nourrissait déjà l’ambition de se lancer dans la conception de magasins « 100 % healthy ». Auparavant sujette à des intolérances alimentaires, cette fille de médecin spécialisé en nutrition mesure l’importance d’avoir une alimentation saine. Avec Alain, passionné d’entrepreneuriat et ayant achevé ses études à l’université MIT de Boston, Emna crée Kazidomi en avril 2016. Très vite, le projet des deux jeunes Belges séduit et trouve de nombreux contributeurs, comme le réseau Entreprendre et Solvay Entrepreneurs. En usant du crowdfunding, la start-up améliore ses infrastructures et étend son offre. Tirer profit des avantages d’acheter en ligne Kazidomi fait figure de pionnier sur Internet à travers son offre de plus de 1 000 références en produits sains et bio. Mieux qu’une simple sélection, ses articles passent par la validation de médecins et d’experts en nutrition avant d’être proposés aux internautes. Avec son système de filtrage des résultats, le consommateur souhaitant privilégier ou éliminer tel ou tel ingrédient trouvera en une seconde les produits qu’il cherche réellement. Le site met également en avant les points spécifiques de chaque référence (sans gluten, sans lactose, sans huile de palme, etc.), ce qui est utile et pratique au niveau des restrictions alimentaires. Outre l'alimentation, des catégories « Cosmétiques », « Bébé », « Maison », « Livre » ou encore « Régime spécifique » sont à découvrir sur le site. Économiser sur de bons produits Que ce soit par choix ou par nécessité, opter pour une nutrition de qualité implique généralement un coût élevé. Kadizomi met un frein à cette idée commune en permettant aux consommateurs d’avoir accès aux produits sains et bio sans qu’ils aient à payer le prix fort. En souscrivant à l’abonnement annuel de 100 €, la facture est considérablement revue à la baisse, car le consommateur réalise une économie allant de 20 à 50 % sur le montant initial de ses achats en ligne. Cette offre a d’ailleurs permis à la start-up de faire décoller son chiffre d’affaires. ...
C’est tout naturellement à Lyon, la ville gastronomique par excellence, que ce concours est organisé annuellement. « Situé au cœur de plusieurs régions viticoles, Lyon devient ainsi le cœur d’un événement fédérant tous les producteurs de vins et de spiritueux, étrangers ou français », nous explique Victor Gomez, directeur de l’entreprise organisatrice du concours, Armonia. Découvertes gourmandes et voyage gustatif sont donc au rendez-vous à l’occasion de cet événement célébrant la richesse et la diversité du vin, de la bière et des spiritueux des quatre coins du monde. « Placer la ville de Lyon au cœur du vin » C’est avec ses propos que Victor Gomez justifie la création de ce concours étant cette année à sa huitième édition. La réputation de cette célèbre compétition internationale est le fruit d’une riche collaboration avec des partenaires de renom à l’instar de Vitisphere, de Global Wine and Spirits, de l’Association des Sommeliers lyonnais, des Toques blanches lyonnaises et de la prestigieuse École du vin. Ce dernier, partenaire exclusif de l’édition 2017, apporte ainsi toute son expertise au service des dégustations, des conférences-débats et de la sélection des vins médaillés. Ces partenaires qualitatifs viennent ainsi forger la notoriété de ce « concours très engagé dans la gastronomie », selon les explications de Victor. En effet, cet événement se veut être l’ambassadeur d’une ville où le goût et les sens sont au cœur de la dynamique urbaine. Les membres du jury, qui, à l’issu des dégustations, récompensent les meilleurs des spiritueux, de la bière et du vin, sont composés de professionnels du vin (sommeliers, œnologues...), de chefs, d’acheteurs, et d’amateurs expérimentés. Élire le meilleur vin du monde « Le Concours international de Lyon est un des rares concours en France acceptant les vins internationaux », rappelle Victor, assurant que tous les vins du monde y sont représentés. La qualité reste toutefois le maître-mot de la sélection de ce concours qui, cette année, a été présidé par Gaëtan Bouvier, Meilleur sommelier de France. En effet, après la réception, chaque produit subit un contrôle rigoureux ponctué de vérifications documentaires poussées et parfois de tests en laboratoires avant de pouvoir intégrer les tables de dégustation. Exclusivement dédié au vin depuis ses débuts, cet événement intègre, en 2015, la bière et une multitude de spiritueux dans la compétition. À l’occasion de la huitième édition du 25 mars 2017, les bières auront été jugées dans 54 catégories différentes, et les spiritueux dans plus de 65 familles incluant les vodkas, les rhums, les liqueurs et bien d’autres encore. Plus de 800 dégustateurs, composés de professionnels et d’amateurs éclairés du monde entier ont ainsi goûté à près de 6 300 vins, spiritueux et bières afin d’élire les fleurons de chaque catégorie, récompensés ultérieurement d’une médaille. Les producteurs et les consommateurs trouveront ainsi une valeur sûre dans le caractère riche et éclectique de ce concours à l’issu duquel, « un jury cette fois-ci composé des meilleurs ouvriers de France, des meilleurs sommeliers de France et autres iront redéguster les meilleurs vins de la compétition pour désigner le meilleur vin du monde », conclut Victor. ...
L’éventail des sujets abordés, la richesse des cartes et la foule de rencontres gourmandes à laquelle le lecteur est convié en font un livre qui se savoure plus qu’il ne se lit. À la découverte des trésors culinaires nos régions Oreiller de la Belle Aurore, Demoiselles de Cherbourg à la nage, mogettes de Vendée, rigotte de Condrieu, angélique de Niort… l’inventaire des mets et délices de la cuisine française est intarissable. Que mange-t-on de bon en Provence et Côte d’Azur ? Dans quelles régions de France peut-on déguster la vesse-de-loup ou la truffe noire ? Autant de questions auxquelles gourmets et gourmands trouveront une réponse dans l’Atlas gastronomique de la France. De la fourme d’Ambert à la vanille de Tahiti, du musée de la Confiserie à l’omelette de la mère Poulard, cet ouvrage aborde trois thématiques qui recouvrent toutes les facettes des repas traditionnels français et des spécialités culinaires françaises. La première, historique, retrace les origines de la gastronomie française, de la table des rois au marché de Rungis, et décrit la manière dont elle s’inscrit au cœur de l’identité de notre pays. La deuxième partie est consacrée aux produits du terroir : des poissons, crustacés et mollusques, aux fruits, en passant par les assaisonnements, ou encore le vin et le gibier… Le troisième volet de ce livre de référence propose un véritable tour de France à la découverte des spécialités régionales et des lieux emblématiques de la gastronomie. La gastronomie, patrimoine culturel de la France En 2010, l’Unesco a inscrit le repas gastronomique des Français sur la liste du Patrimoine immatériel de l’Humanité. Le livre de Jean-Robert Pitte permet de découvrir ou redécouvrir ce trésor. Et de mettre à l’honneur le savoir-faire des artisans des métiers de bouche, éleveurs, agriculteurs, pêcheurs et bistrotiers... Une idée cadeau pour découvrir l’un des plus beaux joyaux de notre patrimoine : sa gastronomie. ...
AVEKAPETI, c’est la promesse de déguster sur son lieu de travail un bon petit plat fait maison préparé avec amour et générosité par un cordon-bleu du quartier. Un concept simple mais original À l’heure du déjeuner, faute de temps, certains salariés n’ont d’autre choix que d’« avaler » au plus vite sandwichs, hamburgers et autres artifices issus de la restauration rapide. Cela n’est pas sans conséquence sur leur santé. Manger sainement avec le goût et la saveur en prime, c’est ce que leur propose AVEKAPETI. D’un côté, un voisin pétri de talent culinaire et, de l’autre, des salariés affamés qui souhaitent prendre du plaisir à manger comme à la maison. Grâce à son concept, AVEKAPETI réunit tout ce beau monde autour d’une seule et unique cause : l’amour pour la bonne cuisine. Le principe est simple : le gourmet commande en ligne un plat sur lequel il a flashé et choisit l’heure et l’adresse de livraison, ensuite il n’a plus qu’à attendre d’être livré. La livraison est assurée par le chef en personne qui habite dans les environs. Une belle occasion de faire connaissance entre voisins ! AVEKAPETI : des avantages pour tous ! AVEKAPETI donne l’occasion à des particuliers de pouvoir valoriser et exprimer leur talent en cuisine tout en leur permettant d’arrondir leur fin de mois. C’est d’autant plus intéressant pour les parents au foyer, retraités, personnes en recherche d'emploi, en reconversion professionnelle... Pour les entreprises, AVEKAPETI reste la première cantine digitale et collaborative qui peut faire en sorte que leurs salariés puissent profiter au quotidien de succulents repas faits maison à petits prix. Idéal pour des entreprises excentrées qui n'ont pas beaucoup d'offre de restauration autour par exemple. ...
L’École de Boulangerie d’Aurillac a été créée en 1990 par Christian Vabret, désireux de promouvoir et de transmettre le savoir-faire des Meilleurs Ouvriers de France en boulangerie ou en pâtisserie. Aujourd’hui l’École Christian Vabret forme aux métiers de boulanger et de pâtissier, que ce soit par des formations initiales telles que le CAP ou par des stages professionnels. Tous les élèves préparant un CAP Boulanger, un CAP Pâtissier ou un CAP Boulanger-Pâtissier suivent des cours enseignés par des formateurs confirmés. Dans de spacieux locaux, ils peuvent acquérir les connaissances de base et bénéficier d’équipements modernes. Ces formations durent de 7 à 14 mois, elles sont complétées par des stages pratiques en entreprise. L’École Christian Vabret Boulangerie - Pâtisserie - Cuisine permet à 95% de ses élèves d’obtenir le CAP Boulangerie ou le CAP Pâtisserie. CAP Cuisine Deux nouvelles formations vont voir le jour à partir de janvier 2018 en collaboration avec l’Institut Paul Bocuse : le CAP Cuisine et le CAP cuisine-pâtisserie. Ces formations s’adressent à des adultes âgés de plus de 21 ans, en reconversion professionnelle. La formation pour l’obtention du CAP Cuisine dure 7 mois avec 7 semaines de stage en entreprise. 14 élèves peuvent s’inscrire et participer à chaque session. Pour celle concernant le CAP cuisinier-pâtissier, elle s’étale sur 14 mois avec 15 semaines de stage en entreprise, et accueille 14 participants à chaque session. Dans ce territoire où les produits du terroir tiennent une place importante, l’arrivée de professionnels de l’Institut Paul Bocuse et de leur expérience culinaire lyonnaise sera un plus pour les nouveaux élèves. Des formations courtes De nombreuses formations courtes de remises à niveau ou de perfectionnement sont dispensées tout au long de l’année. Elles s’adressent essentiellement aux professionnels mais aussi aux amateurs. Par exemple, en cette fin d’année le stage Galettes et bûches ou le stage Pains et Douceurs des fêtes sont proposés aux professionnels. Ils sont animés le plus souvent par des meilleurs ouvriers de France. Humanitaire Tous les trois ans, l’Ecole Christian Vabret, accueille 2 jeunes chinois de l’association Shanghai Young Bakers, association visant à offrir un métier aux plus défavorisés. Lors de leur passage à l’École Christian Vabret, ces jeunes apprennent le métier de formateur en Boulangerie ou en Pâtisserie et à leur retour en Chine, ils deviennent les formateurs de cette association. ...
A l’occasion de la 35ème édition, qui se tiendra en décembre prochain, les organisateurs de cette foire mythique, des bénévoles uniquement, ont souhaité varier les plaisirs et les sensations en alliant détour gourmand, expérience humaine et escapade culturelle. Des animations ludiques, des découvertes inédites et des rencontres inoubliables avec plus de 150 producteurs sont au programme. Véritable ode au savoir-faire local, a Fiera di a Castagna figure fièrement parmi les ambassadeurs de l’authenticité corse, une île riche d’un patrimoine culturel et culinaire exceptionnel et digne d’intérêt. La culture corse au goût de châtaigne C’est durant le premier week-end de décembre que se tient traditionnellement cette foire emblématique, la plus ancienne de l’île, rendant hommage à la châtaigne. En farine, grillée, fraîche ou préparée autrement, la châtaigne se redécouvre à chaque bouchée, se savoure différemment et s’admire au gré de stands disposés sur une surface couverte de 3 000m². Découvrez ainsi les nombreuses particularités gourmandes de ce produit fascinant aux mille déclinaisons. Toutefois, même si l’évènement tourne principalement autour de ce délice faisant la fierté de l’île de beauté, de nombreux aspects de l’agriculture, de la culture et de l’artisanat local sont abordés tout au long des trois jours de foire. De plus, chaque année, des artisans et des producteurs agricoles, venant de différentes régions et territoires, sont invités à la foire afin de faire découvrir et partager leurs savoir-faire. "Cette année, ce sera aux piemontais de Venasca, village jumelé avec Bocognano, de venir présenter leurs produits agro-alimentaires, allant du miel à la pâtisserie, aux côtés de forgerons catalans qui effectueront une démonstration de forge durant la foire", nous explique Denis Moretti, président du Foyer rural de Bocognano "U Castagnu", association membre de la Fédération des Foires rurales, agricoles et artisanales de Corse (FFRAAC) en tant qu’organisatrice de l’évènement. Tout au long du week-end seront proposés aux visiteurs des animations musicales, des visites guidées (moulin, musée …), des dégustations de produits ainsi qu’une initiation à la cuisine corse. Un programme convivial riche en partage et en émotions… Un hommage à la production locale Cette manifestation qui accueille pas moins de 15 000 visiteurs chaque année répond à un cahier des charges très strict. En effet, toujours selon Denis Moretti, "aucun revendeur n’est admis, seuls les producteurs peuvent présenter leurs propres produits, cette foire étant une exposition du savoir-faire local tant sur le plan artisanal qu’agricole". Les bénévoles, chargés de son organisation, tiennent également à mettre les traditions culinaires corses en avant. Le brocciu, le vin et le miel, tous détenteurs d’une AOC, les fromages de chèvre et de brebis fermiers, les huitres du littoral corse et la charcuterie artisanale locale… Autant de produits, présentés par les producteurs eux-mêmes en bons ambassadeurs de la richesse de leur territoire. « Des plats typiques rappelant les saveurs traditionnelles corses seront, entre autres, préparés dans le restaurant de foire », reprend notre interlocuteur. Rendez-vous immanquable des amoureux de l’âme corse et des gourmands, la Fiera di a Castagna est un véritable gage d’authenticité. ...
À travers la journée de l’agroalimentaire, SOFIE souhaite « montrer le potentiel du territoire à accueillir des entreprises qui travaillent dans l’agroalimentaire ». La 2e édition de l’événement économique ainsi dépeint par Bénédicte Brienne, directrice de l’organisme, mettait à l’honneur la filière brassicole. Une journée pour célébrer le potentiel d’un territoire Sa situation privilégiée dans les Hauts-de-France fait de la Flandre et du Pays de Saint-Omer un territoire stratégique, jouissant d’un accès direct sur nos voisins européens. La santé économique générale de cet espace de près de 2 000 km² est au beau fixe, grâce aux nombreux groupes et PME qui ont déjà compris ses atouts et sont installés ici de longue date. La disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée, incluant beaucoup de jeunes, joue particulièrement en sa faveur. Dans ce contexte économique florissant, l’agroalimentaire tient une place à part pour le territoire. L’exportation des produits alimentaires transformés place effectivement les Hauts-de-France au deuxième rang, à l’échelle nationale. Une performance soutenue sur le territoire de SOFIE par les 5 000 emplois consacrés à cette filière, qui affiche un dynamisme certain, entre les commerces de gros et les entreprises de transformation. Danone - entreprise agroalimentaire mondiale - , Bonduelle – référence de longue date dans la transformation et la conservation de légumes – , ainsi que Delacre – le roi des cigarettes russes –, figurent parmi les gros pontes actifs sur le territoire. C’est sur toutes ces forces territoriales que la journée agroalimentaire du 19 octobre a voulu attirer l’attention, avec un clin d’œil sur une filière particulièrement performante : la filière brassicole de la bière. Le premier pôle brassicole indépendant de France « Le territoire est le premier pôle brassicole indépendant de France », déclame, non sans fierté, François Motte, président de SOFIE. Deux opérateurs sont notamment à l’origine de ce palmarès. Brassant plus de 3 000 000 hectolitres par an, la Brasserie de Saint-Omer génère quelque 185 emplois. Elle a été récemment rejointe par la Brasserie Goudale qui a réalisé un investissement de 80 millions d’euros en 2016. Les brasseries de taille plus modeste contribuent pareillement au dynamisme du pôle qui est présent d’amont en aval. Le houblon continue, en effet, d’être cultivé sur quelques sites du territoire. En aval, la production brassicole génère des consommations parallèles en matière de verres, cartons, etc. Les 40 millions de verres à bière écoulés par Arc sur le marché illustrent clairement le succès local de l’industrie de la bière. ...
Dans un monde de plus en plus connecté où le numérique occupe une place de choix dans des domaines variés, pourquoi la restauration devrait-elle faire exception ? Prenant conscience de l’atout majeur que pourrait constituer le digital dans la promotion des CHR, Geoffrey Cuberos, le fondateur de Tastycloud profite de l’aubaine pour en faire « la solution » qui révolutionne le domaine de la restauration. L’origine du concept C’est à l’issu de 2 ans d’étude du marché des CHR au sein d’une école supérieure de commerce, que Geoffrey Cuberos entame une brillante carrière en créant la société TastyCloud à Paris. Il part du concept qu’une bonne communication de base ne peut qu’être rentable pour un prestataire de service. Il a su tirer les leçons de ses multiples expériences personnelles à l’étranger et allier ses acquis sur le marketing sensoriel et expérientiel durant l’apprentissage. Cette démarche lui a valu une expertise infaillible en termes de création de stratégies pour l’acquisition et la fidélisation des clients. C’est ainsi que la start-up innovante a déjà bénéficié de la confiance de plusieurs clients restaurateurs et hôteliers pour la gestion de leur menu digital, à l’image des Turbulentes, Courtepaille, Ibis, Le Bal Courchevel ou encore les Dim Sum Cantine et Dim Sum Montmartre. Ses prestations s’adressent aux cafés-hôtels-restaurants en remplaçant la classique carte papier, par des menus sur tablettes tactiles à présenter au client pour qu'il fasse son choix. Le menu digital : de nombreux avantages au service de la croissance économique des CHR Les menus digitalisés sont clé en main étant donné que TastyCloud prend tout en charge, depuis la fourniture de la tablette l'offre entrée de gamme Archos 10,1″ à l'offre premium Samsung Galaxy 10,1″ full HD, jusqu'à l'application finale. Un photographe professionnel shoote tous les menus, cocktails et boissons de sorte à les mettre visuellement à leur avantage car, selon le fondateur Geoffrey Cuberos : « on mange d’abord avec les yeux… ». Des traducteurs professionnels spécialisés dans l’univers culinaire traduisent les menus parmi 25 langues pour aider les clients étrangers dans leur compréhension de la carte. Un véritable atout pour les restaurateurs situés en zone touristique. Le menu digital est une manière de rendre le consommateur plus actif dans sa consommation. Mais c’est aussi une bonne façon de le rassurer car toutes les infos qui lui sont utiles seront accessibles depuis le menu tactile, à l’instar des accords mets/vins et des allergènes. Il choisit les intolérances qui le concernent et celles-ci s’afficheront sur les plats concernés. Quant aux photos, elles font découvrir aux clients l’ensemble des menus et les aident à les comprendre en moins de 10 secondes, en plus de donner envie par des apparences alléchantes. Elles vont rassurer le client sur le côté visuel et lui donner une idée de la quantité des plats. Rassurés, les clients consomment davantage. L’augmentation du chiffre d’affaire de 10 à 30 % est assurée. « On considère que nous sommes une source de revenu au quotidien pour le restaurant », se plait à affirmer notre interlocuteur. Avec les menus classiques, il n'est pas rare de voir un restaurateur dépenser de 3000 à 5000€ par an pour renouveler sa carte papier. TastyCloud lui permet d’investir dans autre chose car toutes les modifications qu'il souhaite apporter se font en un clic, que ce soit pour une simple correction ou des rajouts de produits. Pareillement, si des produits ne sont plus en stock, la carte peut être mise à jour à tout moment. Une synchronisation automatique facilite toutes les modifications qui se font automatiquement sur le site, sur le menu ainsi que toutes les plateformes où il est exposé. La perte de temps n’existe plus. La solution qui se démarque du lot Etant un complément digital au service, le menu digitalisé n'a pas pour vocation de se substituer au serveur réel pour la simple raison que l'accueil des clients et le service sont primordiaux. Toutefois, le service reste personnal...
Lancé en septembre 2017, par Christelle Sol et Pascal Dubourgnoux, deux quadras épicuriens et désireux de créer leur propre entreprise, Miamz’y est une application mobile gratuite permettant de commander des plats à emporter dans des restaurants traditionnels. Une véritable alternative aux fast food permettant à tous ceux n’ayant pas le temps de cuisiner ou de s’asseoir au restaurant de déguster des plats de qualité. L’application est disponible sur iOS, Android et via le site internet. Miamz’y rentre désormais dans une phase de croissance, comptant dès cette année élargir son offre à tout le territoire Auvergne-Rhône-Alpes. D’ici trois ans, le service sera opérationnel sur tout l’hexagone. Un concept innovant et intelligent Plébiscité par plus de 51% des français (d'après l'Étude Next Content : « Click and collect, les principaux enseignements »), le « click and collect » est un service permettant aux consommateurs de commander en ligne pour ensuite retirer leur article dans un magasin de proximité. Miamz’y est la première start-up à utiliser cette solution dans le domaine de la restauration, ce qui en fait un concept inédit en France. En pratique, l’application permet à ses utilisateurs de commander et d’aller récupérer leur plat à l’heure voulue dans le restaurant sans aucune attente et sans payer de frais de livraison. De plus, les plats du jour de chaque restaurant sont mis en ligne quotidiennement sur l’application. Variés et peu onéreux, ils offrent la possibilité aux consommateurs de manger rapidement pendant la pause déjeuner. Une solution adaptée à la taille des villes et aux restaurateurs Les fonctionnalités de l’application Miamz’y ont été conçues afin de répondre aussi bien aux besoins des habitants de grandes métropoles que des villes de taille moyenne telles que Clermont-Ferrand. Elle concerne également tous les oubliés de la livraison habitant dans les petites villes aux alentours. Grâce à l’application, il est possible de découvrir rapidement les restaurants disponibles le long des trajets quotidiens par exemple, il suffit de renseigner son itinéraire « Travail – Maison » pour savoir où commander le soir en rentrant du travail. Les besoins des restaurateurs sont également pris en compte, puisqu’ils ont étroitement collaboré au développement de l’application Miamz’y. Le résultat de cette alliance permet de moderniser et de dynamiser toute une économie grâce à un nouvel outil numérique permettant d’attirer de nouveaux clients. ...
WinWinks valorise l’excellence hôtelière en commercialisant les services haut de gamme comme de véritables expériences auprès d’une cible locale : dégustation de vins, cours de cuisine, dîner gastronomique étoilé, brunch, mixologie, fitness et spa, locations de salles de réunion… Chacun peut y trouver son bonheur et réserver une expérience unique dans l’un des plus grands hôtels. La plateforme mise sur une démarche de proximité à travers un catalogue exhaustif d’activités et d’offres exclusives packagées en transformant les écrins luxueux en véritable lieux de vie. Les utilisateurs peuvent choisir une expérience en fonction du lieu, de l’ambiance ou encore selon leur centre d’intérêts, grâce à une navigation fluide et intuitive. Des activités pour tous les goûts « On a aujourd’hui une vingtaine de prestigieux hôtels partenaires référencés sur notre site », fait savoir le fondateur de WinWinks. Parmi la sélection figurent le Lancaster Paris sur les Champs-Élysées, le Terrass Hôtel à Montmarte, le Novotel Paris Bercy, le Paris Marriott Ambassador, le COQ Hôtel et le fameux Buddha Bar dans le VIIIeme. Chacun des établissements met à disposition leurs services annexes dans le but d’attirer la clientèle extérieure en devenant une référence pour des sorties tendances et exclusives. Mais l’enseigne va encore plus loin et devance ses concurrents grâce à la création d’événements sur-mesure et des offres packagées au sein des hôtels pour répondre aux attentes des utilisateurs. « Nous élaborons nous-mêmes des offres pour notre plate-forme en considérant le lieu géographique de l’établissement, son identité et sa capacité d’accueil, et nous assurons l’organisation et la logistique de A à Z », nous détaille Gilles BIKO RO BIEKO. Et le concept séduit, comme en témoigne le succès du Yogafterwork au Novotel Paris Centre Bercy ou encore la Raclette Party entre amis pour le COQ Hôtel, des événements phares signés WinWinks. Du gagnant-gagnant La plate-forme est une aubaine pour les établissements hôteliers qui veulent gagner en visibilité, conquérir de nouveaux clients potentiels et dynamiser leurs chiffres d’affaires. « Elle apporte de la plus-value aux activités déjà proposées par les hôtels mais qui ont été peu exploitées et ouvre aussi un univers de nouvelles possibilités », explique notre interlocuteur. D’un autre côté, les particuliers en quête d’un moment de bonheur à eux n’ont plus besoin de chercher bien loin pour satisfaire leurs envies de luxe et d’évasion. ...
À travers ses différents programmes et diplômes, Le Cordon Bleu offre des opportunités uniques et ouvre les portes pour des carrières en France ou à l’international. Une équipe pédagogique à la pointe Créé en 1895 par la fameuse journaliste culinaire Marthe Distel, Le Cordon Bleu est aujourd’hui un réseau qui réunit près de 40 écoles réparties dans 20 pays à travers le monde. Ce sont 20 000 étudiants de 100 nationalités différentes qui sont formés chaque année par Le Cordon Bleu. Cette prestigieuse école dispense deux types de formations : des formations et diplômes en Arts Culinaires (cuisine, pâtisserie, boulangerie) et des formations en Œnologie et des Bachelors en Management Hôtelier International et en Management des Arts Culinaires. « Ce sont des formations dispensées par des professionnels reconnus et de grands chefs aux parcours exceptionnels », nous précise l’équipe marketing. En effet, l’institut Le Cordon Bleu Paris peut se targuer d’avoir sous la main, le chef Éric Briffard, meilleur ouvrier de France, actuellement directeur des Arts Culinaires et chef exécutif de l’institut parisien. Avec ses 35 ans d’expérience dans l’univers de la gastronomie, Éric Briffard a été récompensé à plusieurs reprises notamment de 2 étoiles au guide Michelin lors de son passage à l’Hôtel Georges V. À ses côtés, œuvre une équipe de chefs enseignants en cuisine, pâtisserie et boulangerie. Quant aux formations en management ce sont des professionnels reconnus et hautement qualifiés du milieu de l’hôtellerie et de la restauration qui forment les étudiants à devenir les managers de demain dans les secteurs de l’Hôtellerie-Restauration Des formations de haut vol Le Cordon Bleu Paris propose aux étudiants quatre formations en Arts Culinaires : le Grand Diplôme, le Diplôme de Cuisine, le Diplôme de Pâtisserie et le Diplôme de Boulangerie. Le Grand Diplôme, d’une durée de neuf mois, regroupe le diplôme de Cuisine et de Pâtisserie Le Cordon Bleu, permettant aux étudiants d’acquérir toutes les techniques des grands maitres, entre tradition et innovation. Les cours en Arts Culinaires sont prodigués de manière bilingue (français et anglais) et structurés en deux parties : une démonstration durant laquelle les étudiants observent, prennent des notes et un cours pratique durant lequel ils appliquent et reproduisent les gestes du chef. Les diplômes en Arts Culinaires évoqués ci-dessus vont permettre aux étudiants de découvrir les techniques culinaires françaises. Des techniques qu’ils pourront mettre en pratique à l’issue de leur formation, lors de stages professionnels. Le Diplôme de Boulangerie s’étale sur une durée de six mois incluant un stage obligatoire de deux mois. Il forme notamment les étudiants aux techniques essentielles de la préparation du pain. Le Cordon Bleu Paris dispense également des formations en management applique dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration ou dans les métiers du vin. L’institut de Paris propose deux bachelors (bac +3) : le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires. Ces diplômes, d’une durée de 3 ans, ont pour objectif de former de futurs managers dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Pendant leur bachelor les étudiants réaliseront plusieurs stages en entreprise à Paris ou à l’international. Parmi les partenaires de l’institut : Hôtel de Crillon, Trianon Palace, Chef Michalak, The Peninsula Paris, Sofitel Dubaï, Four Season Los Angeles, Raffles Istanbul, Taj Mahal Palace Mumbai, The Nile Ritz-Carlton, etc., les etudiants auront l’opportunité de réaliser un certificat d’une durée de 3 mois au sein du réseau d’institut Le Cordon Bleu dans le monde. À compter d'octobre 2018, le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires seront dispensés en partenariat avec une université française de renom, l’Université Paris-Dauphine. A l'issue des 3 ans, les étudiants obtiendront donc un double diplôme, celui de « Talent en Management des Arts Cu...
7200 exposants de 109 pays, 160 000 visiteurs de 194 pays, 120 délégations, 21 secteurs d’exposition. Au Salon International de l’Alimentation, on ne voit les choses qu’en grand. Depuis 1964, cet évènement organisé par Comexposium rassemble les acteurs mondiaux de la filière agro-alimentaire en quête d’inspiration. Pour cette édition 2018, SIAL Paris place la barre encore plus haute en concoctant plusieurs nouveautés. A l’avant-garde de l’alimentation Tous les deux ans, SIAL Paris devient la vitrine de l’offre alimentaire mondiale en révélant les produits alimentaires issus des quatre coins du monde allant des boissons, à l’épicerie fine, en passant par les produits diététiques ou encore les produits traiteurs et plats cuisinés. De simples ingrédients ou des produits transformés qui aiguisent la créativité de chefs de renommée internationale invités à faire leur show dans l’espace « La Cuisine ». Ici, en plus des démonstrations culinaires, la nouveauté 2018 concerne l’organisation quotidienne de cours de cuisine à l’adresse des visiteurs. Les 100 meilleurs produits sont également récompensés à SIAL INNOVATION. Un jury hétéroclite a été rassemblé pour l’occasion, avec des professionnels de la restauration ainsi que des experts de l’alimentation et évidemment Yannick Alléno, parrain de cette édition 2018. En écho de SIAL INNOVATION, SIAL Paris 2018 présente en exclusivité un nouvel univers baptisé Future Lab. Projetant les idées et thèmes à l’horizon de l’innovation alimentaire, cette zone située à l’entrée du hall 6 se déclinera en trois univers. En premier lieu, le #foodlab 2030, un tunnel immersif et expérientiel où des scénarii futuristes développant les quatre thèmes abordés dans l’étude sur les grandes tendances du Food en 2030 réalisée par SIAL et AlimAvenir seront à découvrir. Puis, #Rising start-ups, un espace dans lequel 50 entreprises triées sur le volet auront l’opportunité de participer au salon. Enfin, #VR LAB ou « quand la planète food rencontre la réalité virtuelle ». Dans tout cet élan, l’évènement sera au coeur d’un phénomène majeur : l’Alternative Food. Les acteurs de ce secteur en plein boom échangeront et découvriront les innovations et opportunités de l’alimentation de demain, plus saine et respectueuse de la nature et de l’homme. A ne pas rater : l’Alter’Native Food Forum au cours duquel des visites guidées sur le thème de la santé et des ingrédients alternatifs seront organisées. ...
L’ADEME estime que la France jette plus de 10 millions de tonnes de déchets alimentaires chaque année. Dans le but de réduire ce chiffre, les initiatives ne manquent pas : sensibilisation intensive, adoption d'une loi obligeant la grande distribution à distribuer les invendus, création de 5000 nouvelles associations, etc... « Dans ce combat, nous avons fait le choix de positionner la lutte contre le gaspillage alimentaire sous l’angle de la valorisation, telle une reconnaissance des engagements des commerçants », fait savoir Franck Nganiet, CEO et cofondateur Care Eat. Il explique comment l’innovation de cette startup va contribuer à la nouvelle ère du zéro déchet et de l’économie solidaire. Un label, un engagement, une reconnaissance « Le label n’est que l’aboutissement des initiatives déjà prises par les commerçants. Nous avons matérialisé dans un cadre méthodologique les leviers d’actions pertinents adaptés à la typologie des commerces de bouche », explique notre interlocuteur. Élaboré avec une centaine de commerces indépendants, ce cahier des charges définit 14 catégories d’évaluation et 112 points de contrôle. L’idée est de proposer aux établissements partenaires les outils leur permettant de s’auto-évaluer, d’exécuter, mais aussi, de mesurer l’impact de leur pratique anti-gaspillage, le tout en temps réel. Le deuxième volet de l’action Care eat consiste à valoriser ces initiatives. « Il s’agit de permettre aux consommateurs d’identifier les commerces engagés dans son territoire », déclare l’équipe Care Eat. Étiquette apposée sur la devanture, espace Web et mobile, référencement dans le premier annuaire des professionnels engagés dans la lutte contre le gaspillage alimentaire ou encore supports de communication font partie des outils à disposition des adhérents. Enfin, la startup offre gratuitement sa plateforme numérique (tableau de bord, fiches d’actions, cadre méthodologique numérisé, etc.) permettant aux commerces de se rapprocher du zéro déchet. Impact économique, environnemental et social Le fait que la solution apporte une rentabilité économique durable peut déjà suffire comme argument. En effet, en agissant sur la chaine production-achat-vente, la gestion des stocks, le recyclage, la démarche qualité et plus encore, l’accompagnement Care Eat propose un modèle d’organisation de pratique éco-responsable sur la question du gaspillage alimentaire. « Au-delà de cette dimension financière, le label garantit l’engagement zéro déchet de nos clients. C’est une visibilité certaine auprès des consommateurs, et surtout des "consom’acteurs" (20% des consommateurs), dans sa zone géographique », souligne Franck Nganiet. Autrement dit, le concept fédère toute une communauté autour des valeurs écoresponsables pour réduire l’empreinte du gaspillage alimentaire en France et, ainsi, dans le monde. Comme axe de développement, Care Eat envisage de lancer bientôt une application mobile qui va permettre la collecte de produits de qualités, à un prix symbolique, aux personnes à revenu modeste. Cette démarche s’inscrit pleinement dans l’engagement social de la startup qui vise à agir au-delà de ses ambitions économiques et environnementaux. Source : https://www.novethic.fr/lexique/detail/consom-action.html ...
Le projet OniMegiri a été lancé à l’initiative de Aïnama Dominique Nayatie. Cette ancienne graphiste de jeux vidéos a depuis toujours voué une passion pour la restauration. En 2016, elle décide de monter sa propre affaire et se lance dans la restauration rapide, plus précisément dans le street-food. Elle choisit alors d’allier ses deux passions et commence son activité en allant à la rencontre du public dans les salons de jeux vidéos ou de cosplay. Assez rapidement, un produit fait l’unanimité auprès des clients : le onigiri. « Au début, c’était un produit parmi d’autres que nous proposions mais, à force de demandes de la part de nos clients, nous en avons fait notre spécialité », déclare Naya. Qu’est-ce que le onigiri ? Pouvant se décliner à l’infini, les onigiris sont de délicieuses boulettes de riz japonais vinaigré, enveloppées d’une feuille d’algue nori. À la viande, au poisson, aux légumes, grillés, fourrés ou nature, ils se dégustent à tout moment et en toute convivialité. À côté de ce produit phare, OniMegiri réserve également de nombreuses autres surprises pour les gastronomes curieux. « Notre objectif est de partager et de faire découvrir aux gens des produits encore peu connus », indique notre interlocutrice. D'ailleurs, « OniMegiri » signifiant la balade des démons, l'enseigne a fait le choix de faire découvrir ses produits en se déplaçant dans des salons comme dans le Sud du pays notamment, ou bien dans des lieux de rencontre ou de rassemblements de gameurs et de cosplayeurs ainsi que d'autres amoureux de la culture nippone. OniMegiri sera également présent au Toulouse Game Show et au Tarbes Geek Festival au mois de décembre. Des saveurs surprenantes Naya ne se contente pas seulement de sublimer la cuisine asiatique, puisqu’elle prend aussi un malin plaisir à mélanger les saveurs. Afin de s’en convaincre, il suffit de gouter le curry japonais au cœur de canard flambé, véritable plat signature de la maison. « Nous proposons une cuisine franco-asiatique, c’est-à-dire un mélange des saveurs d’Asie au sens large, avec l’Inde, le Cambodge, la Chine, le Japon, le Vietnam, et des saveurs du sud-est de la France », rapporte la fondatrice d’OniMegiri. Pour accompagner ces intéressantes découvertes, la maison suggère différentes boissons, dont les boissons traditionnelles telles que le saké ou le thé. Côté douceurs, OniMegiri met à l’honneur la pâtisserie japonaise avec les fameux dorayakis (sorte de pancake accompagné traditionnellement d’une garniture de pâte de haricot rouge appelée « anko »). Chez OniMegiri, la plupart des produits proposés sont bio et faits maison. « Pour les sakés, par exemple, nous proposons de faire découvrir de petites productions familiales où tout se fait encore de manière artisanale. » Pour la livraison, la maison fait confiance à des leaders de la livraison de repas à domicile tels que Just Eat, Uber Eats et aussi Deliveroo à partir de la première quinzaine du mois de novembre 2018. Face au scandale du gaspillage alimentaire, l'enseigne veut apporter sa pierre à l'édifice pour lutter contre ce fléau. Ainsi, OniMegiri s'engage à travailler de manière éco-responsable à tous les niveaux de sa chaîne de transformation et adhère au projet zéro gachis. Cet engagement s'est cristallisé avec son passage par l'application Too Good To Go qui lui permet entre autre de lutter contre le gaspillage alimentaire, mais surtout de donner l'opportunité aux gens dans le besoin de manger de la bonne nourriture et un repas chaud. Toujours au plus près de sa clientèle, OniMegiri envisage prochainement d'étendre ses services aux commandes à emporter. Les commandes pourront ainsi se faire par téléphone à des prix très attractifs, et peuvent être récupérées au labo. Non seulement cette démarche s'inscrit en réponse aux demandes d'une clientèle variée, mais cette proximité avec les clients vise également à faire découvrir à cette der...
De nombreuses personnes ont déjà tenté l’expérience de la spiruline en tant que complément alimentaire. Et vous ? Des produits de qualité 100% français Pour les personnes qui ne connaissent pas la spiruline, il faut savoir que c’est une "micro-algue" spiralée de couleur bleu-vert. Intégrée à l’origine dans l’alimentation de nombreuses populations primitives, elle est aujourd’hui appréciée pour ses valeurs nutritionnelles. Elle regorge, en effet, de vitamines, de minéraux et de protéines. Elle est d’ailleurs considérée comme un « super aliment » utilisé pour lutter contre les carences et la malnutrition dans les pays en développement. D’après, l’OMS, c’est même le « meilleur aliment pour l’humanité au 21e siècle ». En France, elle est consommée en tant que complément alimentaire. Ainsi, que vous l’achetiez sous forme de paillettes, concassée, en comprimé, en gélule ou déjà préparée (sous forme de pâte par exemple), elle vous fournit tout ce dont votre corps a besoin. Idéal pour les sportifs qui veulent améliorer autant leur résistance que leur endurance, elle répond aussi aux besoins quotidiens des végétaliens (pour son incroyable apport en protéines et vitamine B12), des femmes enceintes (surtout celles sujettes à des carences en fer et vitamine A) et des séniors (pour une meilleure vitalité et une amélioration des défenses naturelles). Tout le monde peut apprécier à sa juste valeur les bienfaits de la spiruline. Algosud : un producteur français expert Depuis plus de 18 ans, l’entreprise française Algosud propose une offre de qualité pour se démarquer de ses nombreux concurrents. Ayant fait le choix de produire de la spiruline 100% française afin de fournir à ses consommateurs des articles d’excellentes qualités, elle répond parfaitement aux normes en vigueur. C’est ce qui la différencie d’une large majorité d’entreprises du secteur qui ont préféré l’industrialisation et la production à l’étranger. En faisant confiance à Algosud, chaque consommateur trouve ainsi des références de haute qualité, produites sous contrôle d’un laboratoire indépendant. Vous voulez en savoir plus ? L’entreprise partage, en toute transparence, sa charte qualité et ses résultats d’analyse sur son site. ...
Moins sucrés qu’un soda et plus savoureux que de l’eau : testez la kombucha 100% naturelle de Jubiles. La Kombucha : la nouvelle boisson tendance Aujourd’hui, quand vous ne voulez pas boire d’alcool, vous avez le choix entre des boissons (trop ?) sucrées ou de l’eau. La kombucha se positionne parfaitement entre ces deux catégories ! Originaire de Chine et consommée là-bas depuis des milliers d’années, vous découvrez une boisson naturelle qui s’obtient à partir de fermentation de thé au moyen de souches de kombucha. Jubiles les aromatise ensuite avec des jus frais réalisés dans son atelier afin de proposer des recettes aussi légères que succulentes. Par exemple : thé noir citron vert menthe, thé vert pomme curcuma et thé vert citron gingembre. Légèrement pétillante et réputée pour fournir de nombreux bienfaits au corps humain (renforcement du système immunitaire, amélioration de la digestion, effet anti-inflammatoire, etc.), elle répond aux besoins et envies de tout le monde. Mais ce n’est pas tout ! Car Jubiles propose aussi des jus de fruits et de légumes bio conservés dans des bouteilles bio dégradables (fabriquées à partir de résidus de canne à sucre). Pour essayer, rendez-vous dans un magasin bio près de chez vous (toutes les adresses sont sur le site) et achetez votre boisson en format snack de 25 cl ou en bouteille de 75 cl. Jubiles : une jeune entreprise éco-responsable La création de Jubiles remonte à 2017. À l’origine du projet, 4 personnes : Alexandre, Claire, Antoine et François. Comment leur est venue l’idée de cette boisson ? Ce sont les problèmes de santé d’Alice, la mère d’Antoine, qui sont à la base de tout. En effet, pour dépasser cette épreuve, celle-ci a modifié ses habitudes alimentaires et s’est mise à consommer quotidiennement des boissons brutes qu’elle réalisait elle-même telle que la Kombucha. Et les résultats furent surprenants. Le quatuor décida donc de passer à l’étape supérieure en proposant cette boisson au grand public tout en sensibilisant à l’impact d’une bonne alimentation sur la santé. Mais, là où le petit groupe innove, c’est dans leur charte qualité. Proposée en toute transparence sur leur site, on observe que chaque étape de production est pensée pour avoir un impact minimal sur l’environnement. Du procédé de fabrication utilisant des ingrédients biologiques de première qualité à la distribution en voiture électrique : tout est réfléchi en amont pour garantir un processus le plus durable possible. A ce titre, Jubiles met actuellement en place une démarche RSE afin d’obtenir l’agrément Bio ED (Bio entreprise durable) mis en place par le Synabio. Prochaine étape de l’entreprise : multiplier les partenariats et, surtout, approfondir la connaissance et le procédé de la Kombucha en s’impliquant dans un programme de recherche. ...