Cette exploitation de 22 ha en conversion HVE (haute valeur environnementale) est dirigée par une équipe féminine avec, à sa tête, Marielle Tadieu, gérante des lieux. Des produits récompensés De ses vignes, la Ferme de Gagnet élabore un excellent floc de Gascogne, médaillé d’or de 2012 à 2018 au Salon de l’agriculture. De ses canards élevés en liberté, la ferme confectionne du foie gras de canard, du confit, des rillettes, des pâtés, des cous farcis, du cassoulet… Mention spéciale pour le foie gras, médaillé de bronze en 2016 au Concours agricole, à Paris. ...
Où en est la recherche sur le cancer aujourd’hui ? Thierry Philip : Nous avons fait beaucoup de progrès dans la compréhension du cancer, que ce soit du point de vue des mécanismes, de la génétique ou de l’immunologie. C’est-à-dire que nous savons désormais comment fonctionne une cellule malade du cancer. Pour résumer, quand une cellule devient malade, le fonctionnement normal voudrait qu’elle s’autodétruise. Or, avec le cancer, cette cellule oublie en quelque sorte de mourir. Nous comprenons mieux aujourd’hui ces mécanismes, ce qui nous permet de mieux combattre le cancer. Nous restons conscients que la maladie est horriblement complexe : à la manière d’un fleuve qu’on souhaiterait dominer, nous avons réussi à construire un énorme barrage mais nous ne savons pas encore comment éviter la formation de petites rivières de part et d’autre… D’où la nécessité de continuer à faire avancer la recherche sur le sujet ! Quelles sont les grandes avancées en matière de recherche ? Les progrès récents concernent tout d’abord la chirurgie. D’une part, lors de l’intervention : nous pouvons désormais pratiquer des interventions sous anesthésie de 12 à 13 heures sans problème, y compris chez les personnes âgées. D’autre part, après l’intervention : si la chirurgie détruit, nous pouvons reconstruire désormais un sein, une paroi abdominale, une bouche, etc. Le traitement par rayons a également énormément progressé : nous avons réussi à augmenter son efficacité tout en limitant sa toxicité. Nous travaillons actuellement pour aboutir à des traitements très efficaces sur des durées plus courtes. Quant à la chimiothérapie, la véritable révolution consiste à pouvoir faire le portrait des anomalies pour proposer un traitement personnalisé. Et encore mieux, nous espérons que, d’ici à cinq ans, nous saurons comment modifier les défenses de l’organisme pour rejeter la tumeur : c’est l’immunothérapie. Qu’en est-il des traitements ? Nous sommes désormais capables de guérir 80 % des enfants, 60 % des femmes et 50 % des hommes. Quant aux personnes que l’on n’arrive pas encore à guérir, nous leur permettons de vivre plus longtemps avec la maladie. Comme la moitié des cancers se déclare à plus de 65 ans, un allongement de dix ans de l’espérance de vie est une avancée importante. Quels sont les grands espoirs que porte l’Institut Curie aujourd’hui ? Nous nous réjouissons d’abord d’avoir enfin dans ce pays une vraie politique de prévention. Si, par exemple, tous les jeunes de moins de 20 ans décidaient aujourd’hui de ne jamais fumer, la mortalité due au cancer diminuerait de 50 % au cours des 50 prochaines années ! Ensuite, nous avons découvert que le sport est un vrai médicament de prévention du cancer, avec une activité physique, à allure modérée, de seulement 30 minutes à raison de trois fois par semaine. Enfin, les techniques de dépistage connaissent d’énormes progrès. Or, plus le cancer est détecté rapidement, meilleures sont les chances de guérison. À l’Institut Curie, nous développons des techniques permettant de détecter des cellules anormales présentes dans le sang. Ces techniques devraient permettre d’orienter les dépistages et donc de les rendre beaucoup plus ciblés et donc plus efficaces. Quels sont aujourd’hui la place de l’Institut Curie, son rôle, ses grands projets ? L’Institut Curie est l’ancêtre des centres anticancéreux, créés par le général de Gaulle en 1945. Dès 1909, nous permettions déjà des synergies entre la recherche, les soins et l’enseignement. Notre enjeu aujourd’hui, c’est de préfigurer le centre de cancérologie moderne, celui du XXI e siècle. Un endroit où la recherche fondamentale, celle qui cherche à comprendre, est présente : nous comptons 1 200 chercheurs de 77 nationalités différent...
Depuis sa création en 1989, Inter-Croisières a pour cœur de métier la location de bateaux pour des croisières hors des sentiers battus le long de la Charente, qualifiée de « plus beau ruisseau du royaume ». Aujourd’hui gérée par la seconde génération de la famille, la société ne cesse de renouveler et d’enrichir l’expérience séjour de ses clients en leur offrant la possibilité de se créer des parcours de voyage personnalisés. Une quinzaine de modèles de bateaux S’embarquer à bord d’un bateau de croisière, signé Nicols, rime avec sentiment d’évasion et de liberté. Conçus pour offrir le maximum d’autonomie et de confort, ces bateaux mis à disposition des estivants par Inter-Croisières ne requièrent ni permis ni expérience préalable dans la navigation. Ils ont été conçus pour s’adapter à chaque type de séjour : aventure en amoureux, vacances en famille ou pourquoi pas une virée week-end entre amis. Ainsi, la capacité et l’aménagement de chaque modèle sont pensés de façon à rencontrer les exigences de chaque clientèle.« Nous avons des modèles de bateau simples offrant le confort nécessaire et d’autres qui sont plus spacieux, dotés d’une terrasse, d’une cuisine et de salles d’eau entièrement équipées et certains peuvent aussi être aménagé d’une piscine chauffée», révèle Audrey MOTTA, aujourd’hui à la tête de l'entreprise ayant succédé à ses parents. Avant de partir, les hôtes sont briefés sur une initiation à la navigation et aux dispositifs essentiels de sécurité. Une fois le permis provisoire de navigation en poche, ils peuvent prendre le large et profiter pleinement de leur aventure. La liberté de personnaliser son voyage Le parcours imaginé par Inter-Croisières permet à tout un chacun, à sa guise et selon ses envies, de sillonner la Charente au départ d’Angoulême jusqu'à Rochefort. Autrefois desservie par un commerce fluvial de marchandises, la Charente est bordée par des villages pittoresques au charme intemporel. Dans ce décor atypique, au milieu d’une nature luxuriante, les plaisanciers peuvent s’arrêter pour explorer le patrimoine historique de Saint-Simeux et de Châteauneuf ou encore Saint-Simon, découvrir les vestiges du passé de Bassac, Jarnac, Cognac, Saintes, Rochefort. Tout au long de la descente, le fleuve se rapproche des champs de vignes, des vieux chais et des distilleries qui perpétuent l’élaboration de cognac et de pineau dans le respect des traditions ancestrales. Après cette petite parenthèse viticole, une dégustation de la gastronomie charentaise s’impose. Celle-ci se distingue notamment par ses recettes authentiques à base de fruits de mer et de Cognac. Pour varier les plaisirs au cours de la croisière, les clients peuvent s’adonner à une baignade en pleine nature ou dans l’une des petites plages aménagées qui jalonnent la Charente ainsi qu’une partie de pêche. Petit bonus, le bateau est équipé d’une échelle qui donne un accès direct à la surface de l’eau à tout moment de la journée. « Mais finalement, rien qu’être à bord d’un bateau est un moment de bonheur en soi : se perdre, se déconnecter, et savourer la quiétude du paysage », nous souffle notre interlocutrice. ...
Depuis sa création, Kalkin s’est investi d’une mission qui est celle d’améliorer les offres touristiques et la pratique du sport en plein air par des outils technologiques innovants, utiles et efficaces. Se distinguant par son « champ technique assez large », selon Pierre-Jean Mathivet, fondateur de la start-up et chef de projet, Kalkin œuvre dans la réalité virtuelle, la conception d’objets connectés et le développement des applications mobiles et web. Dans les coulisses, une équipe de sept personnes, spécialistes dans leur domaine respectif, allie les connaissances acquises au fil des années d’études avec le savoir-faire issu de l’expérience pour propulser les produits Kalkin sur le devant du marché. Témoin du succès de l’entreprise : la participation aux divers Salons tels que le CES de Las Vegas, le RuraliTIC d’Aurillac et de la VivaTechnology qui annonce la reconnaissance de Kalkin sur la sphère nationale et internationale. Parmi les références de l'entreprise figurent la station de La Plagne, le département du Tarn, le Pays de Salers, la diagonale des Fous sur l’île de la Réunion, Le Grand Canyon démo CES de Las Vegas… Kelmis et SloKi, les solutions phares signées Kalkin Très sollicitée par les organismes œuvrant dans le domaine du tourisme, Kelmis est une table tactile interactive qui donne une représentation visuelle d’un itinéraire sportif ou d’un territoire. « On valorise par l’intermédiaire, justement, de la réalité virtuelle et du 3D, les territoires et leurs offres touristiques », décrit avec fierté Pierre-Jean Mathivet. Adaptée pour une pose en salle et à l’extérieur, Kelmis a valu à l’entreprise le prix IGN pour le thème Valorisation du territoire. Tout aussi sollicité, mais cette fois-ci par des particuliers, SloKi est un système GPS permettant de voir en temps réel l’emplacement exact d’un randonneur ou d’un skieur qui porte sur lui un boîtier connecté à une application mobile. En cas de problème, il dispose d’un bouton d’alerte qui émettra un signal au téléphone pour demander une assistance. L’application Canoë France Outre Kelmis et SloKi, la start-up spécialiste en technologie outdoor propose une application mobile qui s’adresse aux amateurs de kayak et de canoë. Répertoriant les rivières et leurs spécificités ainsi que les bases à canoë en France, cette application répond aux besoins de ceux qui souhaitent s’aventurer quelques jours sur les rivières de l’Hexagone. Un système de géolocalisation permet de définir la position précise du canoë et les différents itinéraires à emprunter. ...
Il paraît difficile de passer à côté de cette enseigne tant son architecture interpelle le regard. Aménagé dans une ancienne cour et « greffé » entre deux immeubles, l’établissement est formé par une structure de verre et d’acier avec une devanture entièrement vitrée. À l’intérieur, les convives apprécient une belle hauteur sous plafond qui donne l’impression d’un lieu d’exception. La configuration se prête idéalement au jeu des suspensions luminaires apportant au passage un design très épuré. Les invités baignent dans une ambiance conviviale et décontractée. Pour finir sur une touche insolite, une cuisine partiellement vitrée offrant aux invités le ballet des cuisiniers virevoltant aux fourneaux. Une cuisine italienne de qualité Avec l’arrivée d’une nouvelle direction, il souffle un vent de renouveau à la Brasserie da Matteo ! Et cela se sent surtout en cuisine. « Depuis la reprise de l’établissement, il y a de cela un an, la direction a voulu proposer une cuisine italienne de qualité axée sur la fraîcheur des produits », explique l’équipe. Ainsi, la carte change tous les trois mois en fonction des produits du marché. Pour commencer, les invités auront à choisir entre une entrée chaude ou froide. Chez Matteo, les antipasti sont toujours très appréciés. La tomate et mozzarella di Bufala, le jambon cru de Parme ou encore la salade composée font le bonheur des fins gourmets. En plat principal, le chef suggère un délicieux filet de turbot avec sa sauce au salsifis et fregola sarda, un incontournable de la maison. Pour les plus gourmands, la côte de veau milanaise promet des moments de pur délice. Pour terminer comme il se doit cette escapade culinaire italienne, les douceurs de Matteo régalent petits et grands. Entre le moelleux chocolat avec sa crème de mascarpone vanillée, le cheese-cake au caramel beurre salé ou le tiramisu classique, le choix est vite fait ! Côté vin, l’établissement possède une carte très riche qui met à l’honneur les vins italiens et français. En tout, une centaine de références qui ravira les plus fins connaisseurs. ...
Fondée en 1989, la société Actiforge perpétue une histoire coutelière thiernoise longue de six siècles. En effet, depuis le XVème siècle, Thiers est reconnue comme étant le plus grand centre français de production coutelière. Dès le XVIIème siècle, ses couteaux s’exportaient même jusqu’au Moyen orient. En 1855, l’activité coutelière du bassin thiernois occupe 25 000 personnes, connaissant ainsi un essor phénoménal. Aujourd’hui, l’industrie thiernoise fabrique encore près de 70% des instruments tranchants produits en France, ainsi que 85% des couteaux Laguiole, faisant de Thiers, plus que jamais, la capitale nationale de la coutellerie. Actiforge assure cette continuité par son existence et son exigence. Des couteaux personnalisables Actiforge offre la possibilité de personnaliser son couteau pour avoir une pièce unique. Le client choisit la matière du manche du couteau dans les matériaux les plus classiques ou les plus luxueux comme du fossile de mammouth, de la turquoise ou du coquillage. Le choix de la lame va du plus traditionnel acier au carbone jusqu’au plus prestigieux acier de Damas. Le ressort (dos du couteau) peut être gravé par des lettres et la mouche, ciselée à la main, peut porter toute ornementation demandée spécialement. Les idées des clients permettent à Actiforge d’avancer. Ainsi, la société a créé dernièrement un couteau pour les pèlerins. La mouche traditionnelle a laissé la place à une coquille de Saint-Jacques de Compostelle. Une constante recherche de l’esthétique Si la forme du couteau Laguiole est fixée depuis 1850, cela n’empêche pas Actiforge d’étudier de nouvelles lignes respectant l’ergonomie et l’équilibre qui ont fait la qualité et la renommée de ce couteau. La gamme des Laguiole Oiseaux illustre parfaitement cette recherche esthétique. Celle des Laguiole Design rajeunit le couteau sans le dénaturer. Les mouches stylisées offrent une ligne plus épurée et moderne. Allier tradition et modernité est le but que s’est fixé la Société Actiforge. Le JEMA (Journées Européenne des Métiers d’Art) organisé par la ville de Thiers est la vitrine de l’artisanat d’art. Actiforge s’inscrit dans cette quête où par son geste la main façonne et relie l’humain pour fabriquer de la pérennité et du sens. ...
Création de salles, formation des maitres du jeu, accompagnement en communication… The Great Escape Game Location fournit un service complet à destination des professionnels qui souhaitent se lancer sans risques sur le marché très prometteur de l’escape game. Des expériences de jeu différentes Basé à Montpellier, The Great Escape Game a ouvert ses portes en 2006 à l’initiative d’Hélène Henry et de sa sœur Marie. « Nous avons commencé avec deux salles et nous avons récemment ouvert la quatrième », déclare Hélène Henry pour expliquer le plein essor de son activité. Depuis la création de leur espace game, les deux sœurs ont fait en sorte que les offres proposées puissent convenir à un large public et notamment les familles. Pari réussi. Grâce à des scénarios bien ficelés et des décors réalistes, The Great Escape Game a vite acquis une notoriété auprès d’un public varié. Les quatre salles de jeu (the Ring, l’Abattoir, le Cachot et les Recrues) proposent des expériences différentes. Dans chacune d’elles, les joueurs y trouvent leur bonheur, qu’ils soient amateurs ou aguerris, parents ou enfants ou bien encore salariés d’entreprise. Sur ce point, notre interlocutrice précise : « Une de nos spécificités est que nous disposons d’un format inédit de 2 ou 3 joueurs dans la salle “le cachot”. Mais comme nous avons quatre salles, on peut aussi recevoir jusqu’à une vingtaine de personnes pour des team-building. » Un concept unique dédié aux professionnels Aujourd’hui, monter une salle d’escape game peut s’avérer très couteux en termes de temps mais aussi d’argent. The Great Escape Game Location est actuellement la seule structure qui propose des locations de salles d’escape game dédiées aux professionnels. Véritable pionnier en la matière, The Great Escape Game Location propose des services clé en main incluant la création d’un scénario adapté, la mise en place de la salle et de toutes les installations (ambiance sonore, décoration, énigmes, etc.), la formation complète des maitres du jeu, la gestion du stock des consommables et l’accompagnement en communication. « Pour les professionnels, nous allons jusqu’à mettre en place leur site Internet, en leur proposant notre expérience en graphisme à travers des visuels et des textes accrocheurs pour mieux promouvoir leurs activités », souligne la cofondatrice. Grâce à cette offre innovante, les professionnels peuvent être rassurés sur la rentabilité de leur escape game. D’autant plus que les salles ont été testées et approuvées plusieurs fois au préalable. Deuxième avantage, la formule peut s’adapter à toutes sortes d’activités. « Un hôtel peut, par exemple, ouvrir une salle d’escape game. Ce sera un service complémentaire pour sa clientèle », suggère Hélène Henry. « Cela peut concerner également des stations de ski, des clubs de vacances, des centres commerciaux et même des municipalités. » ...
A la suite à la fusion de la Bourgogne et de la Franche-Comté, la nouvelle région a voulu rassembler les forces du territoire en unifiant les deux Agences économiques historiques à savoir l’ARD (Franche-Comté) et l’ARDIE (Bourgogne) en une seule entité. De cette initiative est née en 2017, l’Agence Économique Régionale de Bourgogne-Franche-Comté (AER BFC). L’AER BFC est une Société Publique Locale (SPL) chargée d’une double mission : favoriser les créations économiques et d’emplois et assurer le développement économique régional en intervenant auprès des entreprises et des territoires. Accroître les activités économiques du territoire Société Publique Locale, l’AER BFC est composée d’actionnaires publics dont la Région Bourgogne-Franche-Comté qui en est majoritaire. L’actionnariat est également détenu par les EPCI (Établissement Public de Coopération Intercommunale) régionaux : plus d’une cinquantaine sont entrés au capital de l’Agence. Ainsi, avec près de la moitié des EPCI régionaux, la gouvernance de l'Agence assure la représentation de 73% de la population. « Nous œuvrons pour le compte de nos actionnaires notamment de la Région qui assure l’essentiel de notre chiffre d’affaires. Le pilotage régional est organisé à partir des orientations du schéma régional de développement économique, d’innovation et d’internationalisation (SRDEII) qui a été adopté par la Région et qui définit clairement les missions de l’agence économique », nous explique Arnaud Marthey, Président de l’AER BFC. Ce SRDEII détermine les priorités régionales et a été imposé par la loi NOTRe qui selon les précisions de notre interlocuteur « donne désormais des compétences fortes à la Région, le chef de file du développement économique local mais également aux intercommunalités ». Lesdites orientations incluent entre autres des plans d’actions visant à apporter un soutien aux TPE et PME. Accompagner les entreprises existantes dans leur croissance constitue justement l’une des priorités de l’AER BFC. Pour booster le développement des filières et des entreprises, l’Agence mise sur des méthodes finement pensées. A titre d’exemple, elle est actionnaire dans près de 57 entreprises cotées en bourse basées en Bourgogne-Franche-Comté lui permettant de se placer au cœur des décisions stratégiques prises au sein de celles-ci. La gouvernance de l'AER BFC est aussi en train d’évoluer pour y associer des chefs d’entreprises et des représentants du monde entrepreneurial, au sein d’une instance spéciale, pour bénéficier de leur expertise de terrain. Dans tout cet élan, l’AER BFC contribue aussi au développement de l’innovation et de l’éco-innovation. « Nous avons à cœur de favoriser la compétitivité de nos entreprises, leur permettre d’évoluer dans leurs pratiques, dans les nouvelles technologies et dans plusieurs domaines innovants », fait savoir Arnaud Marthey. Le territoire compte notamment 5 pôles de compétitivité : Nuclear Valley, Plastipolis, Pôle des MicroTechniques, Pôle Véhicule du Futur et Vitagora. Il abrite trois villes labellisées French Tech : Besançon, avec la labellisation HealthTech ; Chalon-sur-Saône, avec la labellisation IOT Manufacturing ; et Dijon, avec la labellisation FoodTech. Une de ses filières phares est l’énergie avec l’Hydrogène. La région a la chance d'être détentrice d’une labellisation « Territoire Hydrogène » qui lui permet d’être un vrai laboratoire pour cette énergie d’avenir. Cette filière profite notamment de la forte dynamique en matière de recherche. Il faut dire que la région possède des atouts considérables. « Nous avons près de 6000 chercheurs avec un ratio de chercheurs privés parmi les plus importants, nous disposons de 14 centres d'excellence mondial et 51 unités de recherche en Région &...
Le 1er janvier, la communauté de communes est devenue une communauté d’agglomération. Que cela change-t-il en termes culturels ? Annick Guinot : Il y a deux principales nouveautés. Désormais, l’agglomération prend en charge directement les deux musées labellisés musées de France du territoire : l’Écomusée du Haut-Beaujolais, à Thizy-les-Bourgs, et le musée Barthélemy Thimonnier de la machine à coudre et du cycle, à Amplepuis. Nous avons également pris la compétence des écoles de musique. En les gérant, la COR va pouvoir les mettre en réseau au niveau de l’administration, du recrutement, de la mise à disposition de professeurs, etc. Autre changement : vous vous impliquez encore plus dans les festivités du territoire… → Jusqu’alors, nous donnions des subventions aux associations organisatrices d’événements. Désormais, nous serons co-organisateurs ou organisateurs de manifestations, comme Cafés en fête, le Festival de la bande dessinée, etc. Nous sommes partenaires avec le CCAB et le Théâtre de Villefranche. Enfin, pour la Biennale de la danse, la COR fait partie des 12 groupes retenus pour le défilé. Nous prenons en charge l’organisation des répétitions, des ateliers de confection des costumes et de construction des chars. Pourquoi ce souhait de s’impliquer plus ? → Nous souhaitons répartir la culture de manière équivalente sur tout notre territoire. En apportant une offre complémentaire à ce que font déjà les 34 communes. Chez nous, la culture est essentielle et, d’ailleurs, dans un contexte de baisse des dotations de l’État, elle n’est pas une variable d’ajustement. La convention « Retissons le territoire » avec la DRAC s’inscrit aussi dans cette démarche… → Oui, la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) a repéré les territoires où il y avait un besoin d’offres culturelles. « Retissons le territoire » s’appuie sur la mémoire de l’industrie du textile et se traduira par des spectacles, du cinéma, des expositions photographiques ou avec des plasticiens, etc. ...
À travers un esprit chalet aux matériaux bruts, où se fondent des bardages en bois de châtaigner, le restaurant se démarque par ses épaisses tables en bois brut, sa cuisine ouverte, qui permet de voir ce qui se passe aux fourneaux, et son esprit comptoir, qui dégage une ambiance conviviale et chaleureuse ; sans parler de la table d'hôtes en bois massif dédiée aux grandes occasions ou aux réceptions privées. La satisfaction vaut franchement le détour. Vous y découvrirez une excellente cuisine à base de produits frais et de saison essentiellement, avec de très belles viandes maturées d’ici et d’ailleurs, dont les goûts authentiques vous feront voyager, des États-Unis à l'Argentine, en passant par la France ou l'Australie. Le nouveau lieu de prédilection des gourmands En collaboration avec notre chef spécialisé dans la viande d’exception, qui maîtrise l’art de tailler les viandes en de très beaux quartiers, le restaurant est en mesure de proposer une carte riche et variée, qui change à chaque saison, et également une carte des vins aux accords qui se marient à merveille avec les viandes, à savoir le Roc d’Anglade du Pays du Gard ou encore les grands Bordeaux. Pour ceux qui ne sont pas friands de viande, l’enseigne a toujours un poisson frais au retour du marché, avec, à côté, la possibilité de manger végétarien si la demande est formulée. Découvrez tous les midis une formule du jour variée entrée-plat, plat-dessert ou entrée-plat-dessert. Laissez-vous tenter par son filet de bœuf normand maturé, concocté par le chef, servi avec des épices diverses, ou par sa côte de bœuf espagnole maturée huit semaines sur l’os, particulièrement fondante et persillée à souhait, pour une aventure gustative hors du commun. Terminez par une touche agréable avec son cheesecake au spéculons fait maison, absolument renversant ! ...
Établi dans les Pyrénées orientales, au cœur du Roussillon, le Domaine Clos Saint Georges jouit d’une situation privilégiée dans le terroir particulier « Les Aspres ». Le vignoble de 120 hectares certifié Haute Valeur Environnementale produit une gamme de cuvées en rouge, blanc et rosé sous les appellations AOP Côtes du Roussillon, AOP Côtes du Roussillon Villages "Les Aspres", IGP Vin de Pays d'Oc, IGP Côtes Catalanes. Le rouge à l’honneur La cuvée de Pierre, un rouge millésimé de 2010 fait particulièrement la fierté du domaine. Ce vin de garde sous l’appellation AOP Côtes du Roussillon Villages « Les Aspres » est passé par un élevage long, comme tous les vins de l’appellation. « Les Aspres ne sont mis sur le marché qu’après 7 à 8 ans », précise Claude Ortal, propriétaire des lieux. Ce vigneron indépendant pur et dur et passionné par son métier est épaulé dans son ouvrage par son épouse, Dominique Ortal. Elle est l'une des rares à avoir été nommée par Monsieur le President de la République, Chevalière de l'Ordre National de la Légion d'Honneur au nom de la viticilure. ...
Idéalement situé au bord de l’Yonne et niché dans un petit village paisible, l’établissement dégage un charme intemporel. À l’intérieur, le mélange du style champêtre et moderne intrigue, et les tableaux des artistes peintres locaux qui viennent orner le mur blanc captivent toutes les attentions. Dans cet endroit chaleureux, Laure et David accueillent les clients, habitués ou simplement de passage sur l’autoroute, et les invitent à passer un moment convivial autour d’une bonne table. Privatisable, l’endroit se prête à divers événements familiaux ou non tels baptêmes ou anniversaires avec une capacité d’accueil de cinquante personnes en restauration traditionnelle. En revanche, lors des soirées à thèmes comme la « fête de la musique » ou « Garçon la note », qui est un événement en partenariat avec l’Office du tourisme de l’auxerrois, cette capacité s’étend à une centaine de personnes, étant donné que les festivités ont lieu à l'extérieur. Les spécialités maison Laure, chef en cuisine, n’y est pas allée par quatre chemins dans la création de sa carte. Celle-ci est succincte mais l’excellence de la cuisine bourguignonne y est bel et bien au rendez-vous. Laure sait initier ses clients à de belles découvertes culinaires en mettant en scène et sans jamais les dénaturer les produits de saison frais, issus des producteurs locaux. « Nous varions régulièrement les assiettes, mais nous restons toujours sur les produits et les recettes du terroir », fait-elle savoir. Notre passionnée appose sa signature dès l’entrée, en proposant les fameux escargots avec une sauce chaource, la salade accompagnée de croustillants de pieds de cochon, ou encore le foie gras maison sur toast. Pour les plats, les clients ont le choix entre un classique à l’instar de l’entrecôte et ses frites maison, ou une suggestion plus originale qui ne déroge pas au style traditionnel de la maison comme l’andouillette façon « grand-mère ». À noter que la carte suggère toujours un plat à base de poisson en sauce selon l’arrivage et un plat de viande rouge. Côté dessert, le vacherin à la framboise est un incontournable. C'est un sorbet framboise accompagné de meringue, chantilly et coulis de fruits rouges, le tout servi dans un bocal. Voilà un dessert qui clôture cette expérience gustative sur une note bien gourmande. Au plus près de la région Locavore dans l’âme, le couple a sélectionné le meilleur des vins bourguignons et icaunais pour accompagner les plats. Chablis « Vieilles Vignes » et chablis 1er cru « Côte de Léchets », les emblématiques de la région se distinguent parmi la liste. « Nous avons également le bourgogne Irancy du Domaine Cantin», souligne David. Pour les vins blancs locaux, le restaurant travaille avec d'autres domaines tels que Daniel-Etienne Defaix, Race, Giraudon, et Les Coeuriots. En vins rouges, il se fournit auprès des domaines Cantin, Giraudon, Gabrielle et Martin. Concernant les rosés, les fournisseurs attitrés sont les domaines Vignot et Giraudon. Le champagne quant à lui vient du domaine Roland Champion. Aussi, pour s’approvisionner, les fournisseurs locaux sont privilégiés à l’instar de la fabrique d'escargots située à Bassou 89400. ...
Situé dans les Alpes-de-Haute-Provence et ancré dans le Parc naturel régional du Verdon, Moustiers-Sainte-Marie est l'un des plus beaux villages de France. Il bénéficie d’un riche patrimoine naturel, propice aux sensations extrêmes et aux randonnées familiales. Au programme : sports nautiques, aériens, équestres, pédestres mais aussi escalade ou parapente... Nature et adrénaline Moustiers-Sainte-Marie regorge d’activités en plein air. De nombreuses associations sportives proposent des expériences uniques, entre ciel et terre. Les amoureux de l’eau ou les simples curieux peuvent y pratiquer le canoë, le paddle, le pédalo ou le bateau électrique. Les deux bases nautiques locales, La Cadeno et L’Étoile, vous mènent sur l’eau douce du lac Sainte-Croix, troisième plus grand lac de France. L’association Des guides pour l’aventure propose de découvrir notamment le « floating », consistant ici à descendre à la nage le grand canyon de Verdon. Celui-ci est le plus profond d’Europe. Pour savourer des paysages à couper le souffle, Verdon Passion, Roc N Vol, Verdon pro Climb vous conduisent au sommet des falaises et dans les gorges du Verdon. De l’escalade ou du parapente sont proposés à ceux qui veulent prendre de la hauteur. Pour ceux qui préfèrent la vitesse, des parcours en VTT sont organisés dans les champs de lavande du plateau de Valensole. Ces moments d’aventures conviennent aux grands sportifs comme aux débutants. Les accompagnements sont sur mesure. Des émotions sportives pour tous les âges Les randonnées pédestres ou équestres de Moustiers-Sainte-Marie sont un ravissement pour les sens. Sur des sentiers bordés de lavande, en haut du lac Sainte-Croix ou devant un coucher de soleil, elles s’adressent à toute la famille. Des promenades en poney sont organisées pour les enfants. Des associations proposent notamment des promenades équestres en fin de journée, afin de pouvoir admirer le coucher du soleil. Les nombreux sites géologiques permettent de découvrir les derniers 300 millions d’années d’histoire de la Terre. La diversité des écosystèmes confère au lieu une faune variée (chamois, chevreuils, vautours...) et une flore endémique splendide. Les émotions font partie intégrante d’un séjour à Moustiers-Sainte-Marie. Chaque âge y trouve son sport, chaque sensibilité y repousse ses limites. Le cadre invite au dépassement de soi. L’amour de la Nature se conjugue à l’intensité des sensations vécues. Un lieu à éprouver de tout son cœur et de tout son corps. ...
BPN a été créé en 2007 dans le dessein de construire un climat favorable à l’essor et à la compétitivité des entreprises adhérentes. Le conseil d’administration composé de 19 « patrons » bretons sous la houlette de son Président Bruno Pivain, industriel breton, coordonne les activités du cluster, imagine des solutions factuelles et efficaces afin de « répondre au mieux aux besoins des membres », selon les propos d’Anne-Marie Cuesta, la déléguée générale de BPN. Pour ce faire, le cluster élabore des axes stratégiques relatifs au renforcement de la performance des entreprises pour rester compétitives sur le marché national et international, le renforcement des capacités des ressources humaines à travers les formations, la facilitation de l’accès aux outils industriels et portuaires pour faire-valoir les entreprises. Sous l’impulsion d’un conseil d’administration proche des entreprises, de multiples actions convergentes sont mises en œuvre et notamment pour la promotion de la marque lancée par le cluster, les « shelti Breiz » des containers 100% Breton et très innovants. Parmi les actions phares de BPN, citons les BtoB organisés régulièrement, là aussi le modèle du cluster a fait école et ce n’est aujourd’hui pas moins de 2 business booster par an qui sont organisés par et pour les entreprises, mais BPN c’est également une veille commerciale quotidienne qui s’est soldée en 2017 par « 60 327 alertes envoyées aux entreprises, pour 688 appels d’offres » selon la déléguée générale. Sans oublier l’évènement phare, PRO&MER le 1er salon de l’emploi et de la formation aux métiers de la Mer, car pour le cluster les compétences sont l’atout 1er des entreprises dans l’optimisation de la compétitivité. Un cluster « tête », deux commissions « supports », trois clusters « piliers » Au bout de plus de dix ans d’existence, BPN a largement dépassé le domaine de la construction, de la réparation et de la conversion navale. Aujourd’hui, cette branche qui prend également en charge les navires et les équipements militaires de défense représente l'un des piliers qui composent BPN. L’année 2012 a été marquée par le lancement de la seconde branche : les énergies marines renouvelables ou EMR. Il s’agit encore d’une « filière en devenir », pour reprendre les termes de son président, « tout est à faire, à créer, à inventer pour développer cette nouvelle filière, notre plus grande difficulté étant d’obtenir de la part des décideurs au plus haut niveau une vision industrielle de ce que vont être les EMR ». Le Président et le vice-président du cluster EMR déplorent de devoir « rester plus dans l’information que dans l’action » dans la mesure où la concrétisation des activités inscrites dans cet axe devra s’accompagner de dispositions gouvernementales. Toutefois, la branche compte déjà 140 entreprises prêtes à se lancer et qui participent pleinement à toutes les initiatives mise en place par BPN. 2014 a été l’année d’une 3ème naissance, celle du cluster Oil and Gas petit dernier de la fratrie mais qui a su rattraper en moins de 3 ans ses deux ainés avec pas moins de 120 entreprises. Le dynamisme du petit dernier est sans nul doute dû au binôme constitué d’un duo de choc qui n’hésite pas à faire bouger les lignes, la marque Shelti Breizh c’est eux ! Prônant le pragmatisme industriel comme principale approche et méthodologie de travail, BPN incite chaque sous-cluster à élaborer une stratégie, un plan d’action, des actions et du résultat. Il appartient aux présidents et aux vice-présidents de chaque branche de mettre tout en œuvre et de coordonner les actions pour obtenir le résultat escompté dans les délais impartis. D’ailleurs, Anne-Marie Cuesta insiste sur cette coercition de résultat à laquelle « le conseil d’administration est tr&e...
En Saône-et-Loire, environ 3 000 acteurs touristiques incluant sites touristiques, hébergeurs, activités et équipements de loisirs bénéficient d’une promotion touristique relayée grâce aux supports promotionnels de l’agence. Consciente à la fois des richesses du patrimoine naturel et du paysage viticole de la région, cette dernière a décidé de concentrer ses efforts sur le développement de deux filières porteuses que sont l’oenotourisme et le vélotourisme. Un vignoble riche en diversité Le vignoble de Saône-et-Loire est le plus méridional de Bourgogne. Il s’étend sur une large bande de 50 km de longueur et 50 km de largeur. « Nous avons la chance d’être le plus grand vignoble de Bourgogne-Franche-Comté en termes de superficie », précise Arnaud Durix, président de Destination Saône & Loire. Mais le véritable atout de ce territoire réside essentiellement dans sa diversité. En effet, il se compose de 5 vignobles : les Maranges Côte de Beaune (inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2015), le Couchois, la Côte Chalonnaise, le Mâconnais et le Beaujolais. En tout, il abrite une trentaine d’AOC, comptant des appellations prestigieuses comme Maranges, Pouilly-Fuissé, Givry, Moulin-à-Vent et Côtes du Couchois. Côté production, 45 % des vins d’appellation de Bourgogne sont issus de Saône-et-Loire. Des vins de qualité exceptionnelle à l’image des Mâcon blancs et les vins rouges de la Côte Chalonnaise. Dans leur jeunesse, les premiers exhalent des parfums de fleurs du printemps tels que l’aubépine ou l’accacia. En prenant de l’âge, ils dévoilent des arômes de sous-bois, de noisette, de miel et de pain grillé. Quant aux rouges de la Côte Chalonnaise, ceux-ci sont souvent profonds, au fruité croquant, évoluant vers des notes d’épices douces. « La force de nos vins vient de leurs richesses aromatiques », fait valoir Arnaud Durix. Un haut lieu de l’œnotourisme La Saône-et-Loire possède de nombreux atouts en matière d’œnotourisme. La région abrite notamment de sites intéressants tels que le Hameau Dubœuf et le Château de Chamirey, véritables fleurons de l’œnotourisme local. « Ce sont des sites importants en termes de fréquentation touristique », nous indique-t-on. Premier œnoparc de la vigne et du vin créé en Europe, le Hameau Dubœuf, situé à Romanèche-Thorins, propose aux visiteurs un voyage inédit dans l’univers de la vigne et du vin. D’une manière ludique, les secrets des vignobles, leurs origines ainsi que les différentes techniques sont dévoilés au public. Une collection impressionnante d’objets rares, des spectacles d’animation et des attractions insolites (cinéma dynamique, cinéma en 3D…) feront le bonheur des petits et des grands. Quant aux œnophiles, ceux-ci ne rateront sous aucun prétexte les séances de dégustations. Deuxième pépite du département, le Château de Chamirey a la particularité d’offrir des activités variées. Il dispose d’un domaine viticole (visites suivies de dégustations), d’espaces de séminaires pour les entreprises et d’une chambre d’hôtes, le tout en plein cœur de la Côte Chalonnaise. Sans oublier également les balades organisées dans les vignes. Ces deux sites, labellisés Vignobles & Découvertes, permettent d’apprécier les potentialités du département d’un point de vue œnotouristique. Des conditions d’accueil optimales En choisissant la Saône-et-Loire pour destination de voyages, les touristes sont assurés d’être accueillis dans des conditions optimales. Grâce à un important vivier de structures labellisées Vignobles & Découvertes, les visiteurs profitent d’une offre touristique complète qui leur permet de faciliter l’organisation de leur séjour et de les orienter sur des prestations de qualité. « Notre ambition est de valoriser les professionnels labellisés Vignobles & Découvertes par le biais d’actions d’animation et de promotion menées auprès des touristes », souligne Arnaud Dur...
Depuis 1870, la même passion pour le goût du vrai anime cette enseigne jalouse des traditions. Implantée dans le même village du Pilat, en Rhône-Alpes, elle a construit sa renommée autour de la fabrication de saucissons secs. Le secret de sa longévité ? La fidélité à une recette authentique, rendue par une qualité contrôlée du porc, mais surtout un affinage à l’air pur du terroir. Un savoir-faire traditionnel optimisé par des outils modernes Maison Duculty, la marque des Salaisons du Mont Pilat, appartient à la famille éponyme depuis cinq générations. Cette entreprise de taille humaine composée d'une quinzaine d'employés est un vivier de talents qui ont su se transmettre le savoir-faire inauguré par leurs aïeux en respectant l’essence des traditions, tout en intégrant les normes modernes. L’affinage des produits est maintenu à l’ancienne, s’opérant dans des séchoirs sur des barres en bois. Résultat : l’inégalable goût des saucissons de la marque, provenant de la fleur naturelle qui se dépose sur le boyau. L’air naturel et l’ensoleillement du site où cet art se perpétue participent à affirmer cette saveur dans des produits également reconnaissables à un contour tirant sur le verdâtre. Outre les six saucissons secs qui signent le label, la marque est désormais associée à des gammes de pièces de porc séchées, de saucisses et de jésus, entre autres. Des références accessibles dans les rayons du magasin physique, des deux boutiques en ligne portant les couleurs de la maison ainsi qu'auprès de son réseau de revendeurs professionnels des métiers de bouche (cavistes, épiceries fines, bars à vins, restaurants, etc.). ...
Le Village des Tortues, un espace naturel de deux hectares dédié aux chéloniens, est situé à Gonfaron, au pied du massif des Maures. Il a été créé en 1988 par l’association SOPTOM, dans le but d’étudier et de protéger la Tortue d’Hermann, menacée de disparition. Au fil des années, le centre a recueilli d’autres tortues, terrestres ou aquatiques. Ces animaux sont pour la plupart des cas blessés, abandonnés, ou donnés par des particuliers et les douanes. Le parc, ouvert au public, accueille 10 000 visiteurs chaque année, ce qui fait de ce lieu le troisième attrait touristique du Var. L’objectif et le mode de financement de l’association SOPTOM SOPTOM est l’acronyme de Station d’Observation et de Protection des Tortues et de leurs Milieux. Cette association à but non lucratif a été créée en 1986 par Bernard Devaux et le biologiste anglais David Stubbs, respectivement le directeur fondateur et le président. Leur motivation est de sauvegarder la Tortue d’Hermann, la seule tortue terrestre de France dont l’espèce est en voie de disparition. Dans ce but, la SOPTOM a fondé le Village des Tortues en 1988. Il s’agit d’offrir à la Tortue d’Hermann un milieu naturel de deux hectares où elle est réintroduite, observée et protégée. L’association accueille actuellement plusieurs espèces de tortues terrestres et aquatiques, provenant de 35 pays différents. Elles sont entretenues par des éco-volontaires qui arrivent par centaine chaque année. En somme, la SOPTOM a déjà accueilli plus de 1200 bénévoles, sans aucune participation financière. Les recettes de l’association se basent sur les tickets d’entrée au Village, les produits vendus en boutique ou en ligne, les adhésions à l’association et les parrainages des tortues. Dans sa lutte pour le respect de ces animaux sauvages et de leurs milieux, la SOPTOM s’engage à instruire le grand public. Outre les conseils lors des visites guidées, elle dispense aussi des formations deux fois par an : en avril et septembre. Les séances durent six jours, au bout desquels un Certificat d’Aptitude est délivré. Comme la SOPTOM défend la cause des tortues en général, elle étend ses activités hors de la France. Elle a ainsi déjà créé deux autres «villages » à Madagascar et au Costa Rica, et prévoit également de le faire au Maroc. Une Clinique pour les tortues La Clinique du Village des Tortues est le premier centre médical dédié aux tortues dans toute l’Europe. Chaque année, elle accueille et soigne 300 tortues abandonnées ou blessées. Des spécialistes qualifiés y soignent différentes pathologies: carapace brûlée dans un incendie, scalpée par une tondeuse ou écrasée par un véhicule, etc. Pour les patientes maintenues en terrarium, en l’occurrence, la clinique substitue l’ensoleillement naturel par des lampes à ultra-violet. Leurs carapaces y sont directement exposées afin de fixer leur calcium. Après les soins, elles passent leur convalescence dans la zone d’observation avant d’être relâchées dans la nature. Des tortues venues des quatre coins du monde Au début, le village a été prévu pour abriter la Tortue d’Hermann, la seule espèce terrestre qui ne se trouve qu’en France et pourtant menacée d’extinction. Depuis, il recueille également l’Emyde lépreuse et l’aquatique Cistude. Outre ces espèces autochtones, des tortues exotiques sont aussi confiées au parc par les Pouvoirs Publics. Ces chéloniens, pour la majorité des cas, ont été sauvés du trafic par les douanes. Tels sont les cas des tortues corses, des tortues léopards du Sénégal ou encore des tortues rayonnées de Madagascar. Celles-ci, très convoitées par les trafiquants, ont un enclos surveillé par une caméra vidéo. Parmi les résidents du village se trouvent aussi des tortues géantes de Madagascar et d’Aldabra. Bien que leur taille soit impressionnante, celle de leurs ancêtres préhistoriques l’est encore plus. Pour instruire les visiteurs sur l’évolution de cette espèce, le parc a créé une zone qui les ramène vers...
Considérée comme la plus grande église cistercienne d'Europe, cet exceptionnel patrimoine des XIIe et XIIIe siècles, témoigne de la transition entre art roman et art gothique (première utilisation de la voûte d'ogive en Bourgogne). Un prestigieux patrimoine Après la Révolution, seuls l'église et le dortoir des Convers ont été préservés. L'ensemble du domaine, acquis en 1910 par Paul Desjardins -professeur à l'Ecole Normale Supérieure- a accueilli jusqu'en 1939 un grand nombre d'intellectuels internationaux, dans le cadre des "Décades de Pontigny". A découvrir, entre autres témoins de l'innovation cistercienne, le prestigieux vignoble de Chablis, dont la réputation doit beaucoup aux moines et convers de Pontigny. ...
Propriété familiale depuis 4 générations, le domaine a été repris en 1994 par Pascal Perceval, l’actuel gérant. En perpétuelle quête de l’innovation, il élabore aujourd’hui 47 vins différents, dont son fameux vin des glaces. Un vigneron pas comme les autres Au sein de son domaine de 50 ha, Pascal Perceval fait dans l’exceptionnel. Tout en préservant les vins traditionnels comme la mondeuse, la roussette ou l’apremont, ce vigneron ne donne aucune limite à son imagination. Et il se livre à des expérimentations plutôt réussies. À en juger, par exemple, à son vin de glace, dont le moût a été congelé à 3 613 m d’altitude dans le massif du Mont-Blanc. Une fois dégelé, le précieux nectar devient plus concentré en arômes. La dernière trouvaille de Pascal Perceval est ce qu’il appelle les « vins des profondeurs ». Des vins vieillis une année dans le lac Léman, à 30 m de profondeur. Résultat : après un an de vieillissement, les vins en prennent 4 ! Une accélération naturelle qui donne ensuite des nectars plus gras et plus fruités. ...
Voilà déjà plus de trente ans que l’équipe aux multiples talents de l’agence fait preuve de rigueur, d’expertise et d’innovation afin de créer des événements sur mesure à destination des entreprises, événements aux mille et une couleurs à l’image de sa clientèle internationale. L’originalité et la convivialité sont l’essence même de chaque instant, des séminaires et congrès aux conférences, en passant par les programmes dédiés à l’œnologie et à la gastronomie. Créateur d’émotions au cœur d’une région mythique C’est au coeur de la Champagne que ce prestataire événementiel d’exception puise son inspiration, afin « de créer des moments uniques, alliances de créativité et de rigueur. Parce que nous connaissons sur le bout des doigts cette terre de contrastes, nous excellons dans la conception de programmes originaux et intenses, mariant avec justesse aventures ludiques ou sportives, culture et Art de Vivre à la Française. », souligne Laurence Bonnat. Cette dernière ajoute : « Nous attachons une importance extrême au cahier des charges de chaque client, car l’événement est avant tout un écrin destiné à valoriser le message que ce dernier souhaite délivrer. Qu’il s’agisse de petits groupes confidentiels ou de manifestations rassemblant plusieurs centaines de participants, le ton doit être juste, la mission pleinement accomplie et le budget respecté. D’autre part, selon le profil des invités, leur pays d’origine, la société invitante, les attentes et leviers de séduction peuvent être extrêmement différents d’un client à l’autre. C’est là que notre expérience trouve sa pleine efficacité. » « Œnologie et gastronomie » : L’Art de vivre à la française sublimé en Champagne ! « Le partage, la découverte et l’exclusif » sont les maîtres-mots qui s’expriment dans toute la gamme de prestations proposées par Champagne Connection. Laurence Bonnat poursuit « La magie commence par l’Art de Recevoir, se poursuit par l’alchimie délicate entre la Grande Tradition et les Délicieuses surprises…Comme le travail d’un orfèvre, nos réalisations ont le goût des créations élaborées avec la plus délicate attention ». ...
Stimuler la créativité permet d’améliorer son adaptabilité Une nouvelle fonction à occuper ? Une nouvelle équipe à encadrer ? Un nouveau challenge à relever ? Dans le monde de l’entreprise, on doit constamment s’adapter. Mais face au changement, nous ne sommes pas tous égaux. En les accompagnant, Olwen Wolfe, la fondatrice de Worlding, aide ses clients à prendre conscience de leurs capacités d'adaptation créative et des moyens de les mettre en oeuvre en toutes circonstances. « Appliquée au monde du travail, la pensée créative permet aux individus d’être plus efficaces, mieux armés pour faire face à l’imprévu » explique-t-elle. En stimulant la créativité de ses clients (des dirigeants et des managers, pour une large majorité d’entre eux), Olwen Wolfe les aide ainsi à trouver en eux la force d’innover, d’être créatifs et de s’adapter pour surmonter efficacement tout obstacle auquel ils n’auraient encore jamais été confrontés. « La clé », précise-t-elle, « c’est de soutenir leur quête d’efficacité en favorisant l’utilisation de leurs ressources personnelles intérieures ». Une large palette de techniques Si elles s’articulent toutes autour de la pensée créative, les méthodes qu’utilisent Olwen Wolfe et ses équipes sont diverses et variées. « Les prestations que je délivre sont toutes ‘sur mesure’, c’est à dire qu’elle sont adaptées aux besoins et à la personnalité de chacun de mes clients » explique Olwen. « Mais qu’il s’agisse de coaching, de formation ou encore de supervision, les actions que je mène ont toutes pour toile de fond deux approches qui se complètent. Il s’agit, d’une part, du CPS, le Creative Problem Solving (résoudre les problèmes par la créativité, en français). C’est un processus créatif structuré qui a été élaboré il y a une soixantaine d’années outre-Atlantique et que j'adapte en Europe ». Contrairement à ce que son nom pourrait laisser croire, le Creative Problem Solving ne se cantonne pas à résoudre les problèmes. « Ce système permet aussi aux individus de saisir des opportunités au terme d’une réflexion au cours de laquelle ils auront exploré des options auxquelles ils n’auraient pas forcément songé » précise Olwen. « Pour travailler, je m'appuie également sur des démarches qu’a inspirées Carl Jung. Plus précisément de la typologie jungienne et du dialogue intérieur qui sont réunis au sein de l'Intelligence de Soi © ». Autant de leviers que Olwen Wolfe actionne pour aider ses clients à prendre conscience de leur potentiel, atteindre leurs objectifs et s’adapter au changement. Savoir tirer parti des différences culturelles au sein d’une équipe De par son vécu (elle est franco-américaine), Olwen Wolfe connait parfaitement les spécificités des équipes multiculturelles. « Au sein d’une équipe, la diversité, aussi bien en termes de nationalités que de générations, de personnalités ou encore d’expérience constitue certes une force mais elle entraîne également des incompréhensions et des tensions. Seul un accompagnement adapté permet d’améliorer la complémentarité entre les membres de cette équipe et de tirer parti de leur interculturalisme. Par le biais de mes interventions, je contribue à favoriser le travail en synergie des collaborateurs à travers leurs différences ». ...
Situé à environ de 200 m d’altitude, le vignoble de l’Échelette s’étend sur une superficie de 14 ha et se trouve au nord du Mâconnais, sur la partie sud du vignoble bourguignon. Des vins à l’image de leur terroir La maison produit essentiellement des blancs issus du chardonnay. Les cépages sont cultivés sur un sol argilo-calcaire, conférant une belle minéralité aux vins. Pour mieux conserver sa terre et ses vignes, le Domaine de l’Échelette privilégie l’agriculture raisonnée. ...
À travers les saveurs d’une cuisine traditionnelle française, préparée à base de produits frais et de saison sélectionnés avec rigueur par le chef, la Brasserie Haussman nous surprend avec d’authentiques recettes à redécouvrir, chaque fois, par un plaisir renouvelé. Un cadre empreint d’élégance À travers une décoration à la fois ancienne et contemporaine inspirée du style Art déco des années 20, cette brasserie chic du quartier de l’Opéra se démarque par son plafond aux vitraux, son sol en parquet, ainsi que ses boiseries d’acajou et ses longues banquettes de velours rouge qui lui confèrent un caractère particulier. Dans une ambiance chaleureuse au service impeccable et soigné, les lieux se prêtent merveilleusement bien aux repas d'affaires ainsi qu'aux retrouvailles en famille, aux rencontres entre amis ou en amoureux. Comme toute adresse qui vaut réellement le détour, la Brasserie Haussmann est tout indiquée pour apprécier de réels moments de détente et de convivialité, où tout le monde trouve son compte, surtout les gourmands et gourmets. Profitez des plats soigneusement préparés et constamment améliorés par le chef, qui, à force de créativité et de savoir-faire, apporte le goût et le raffinement dans vos assiettes. L’enseigne n’a rien à envier à ses pairs, et c’est là toute la différence ! Elle vous accueille dans un cadre typiquement français, où se marient avec harmonie terrasse ouverte sur le boulevard Haussmann et décor atypique illuminé par un dôme en verre. Le raffinement dans les assiettes Grâce à une cuisine ouverte sur la salle, vous ne sentirez pas le temps passer en dégustant les nombreuses suggestions gourmandes du chef : Tagliatelles fraîches aux trois fromages, magret de canard landais et son potimarron rôti accompagné d’oignon confit et duo de raisin, Brochette de Saint-Jacques à la citronnelle, Lotte et son cele’risotto, Crumble de rhubarbe et sa glace au speculoos sont autant de découvertes culinaires à explorer. Chaque met est rehaussé par une belle sélection de vins. La carte fait le tour des plus grandes régions viticoles du pays allant de Bordeaux, à la Bourgogne, en passant par le Beaujolais, la Vallée de la Loire et la Provence. ...
Le trafic de la grande voie navigable a fait la richesse de la petite commune de Serrières. Le port était devenu le repère des mariniers qui s’y arrêtaient fréquemment durant leurs voyages d’exploration fluviaux. Ces mariniers ont laissé dans leur sillage des traces de leur passage, qu’il est aujourd’hui possible de découvrir au sein de l’église Saint-Sornin, abritant le célèbre musée des Mariniers du Rhône. On dit que les lieux sont toujours habités par l’âme de ces vieux loups de mer. Tous les trésors liés à la batellerie du fleuve du Rhône, à l’instar des fameuses croix, y sont précieusement entreposés. Serrières est également jonché de vieux quartiers dans lesquels se trouve un superbe patrimoine bâti. Le soir, au soleil couchant, une balade sur le quai invite à vous délecter de la sérénité des lieux. Après avoir sillonné les rues de la ville, une pause gourmande s’impose. Au 65, quai Jules Roche, Le Bateau d’Émile s’est amarré près du fleuve pour vous faire découvrir son délicieux univers. Un refuge qui plait aux gourmands et aux gourmets Le Bateau d’Émile, ce nom vous est familier et c’est tout à fait normal. Il fait référence à ce vieux film sorti dans les années 1960, dans lequel Lino Ventura incarne Émile, un marin-pêcheur qui hérite d’un gros pactole malgré lui. À ses côtés : Annie Girardot, dans le rôle de Fernande Malanpin. Ce long métrage a inspiré le premier propriétaire des lieux, qui a créé le restaurant en 1988. Vingt-six ans plus tard, Stéphanie et Benoît Durieux reprennent l’établissement au charme certain, localisé sur la N86, en face du Rhône, au pied du chemin qui monte jusqu’aux hauteurs d’Annonay. Ce choix ne s’est pas fait au hasard, puisque c’est ici que notre chef a fait son apprentissage il y a une quinzaine d’années. Afin de faire perdurer ses vieux souvenirs, il choisit de garder l’identité des lieux et le thème du restaurant, mais en y proposant une cuisine d’inspiration. Celle-ci témoigne de sa longue et riche expérience dans le milieu culinaire. Benoît Durieux bénéficie en effet du titre tant convoité de maitre restaurateur. Cela implique de proposer une cuisine faite maison, réalisée à partir de composants bruts et généralement issus des circuits courts. D’ailleurs, le chef exprime une exigence pointue quant à la fraîcheur et à la qualité des produits qu’il trouve auprès de fournisseurs locaux. Cette rigueur lui permet de réaliser des plats délicieux, revisitant la cuisine classique française avec une touche d’originalité et de créativité. Ambiance bistro L’ambiance qui règne à bord du bateau est conviviale et chaleureuse. Vous pouvez vous installer à la terrasse durant les beaux jours. Sise en contrebas de la route, elle est ornée d’une belle verdure offrant un coin ombragé. À l’intérieur, la salle en longueur, avec son grand bar et ses banquettes confortables, dénote un décor bistro. Le joyeux bateau compte plusieurs abonnés, qui y apprécient l’ambiance décontractée, bien qu’il accueille aussi énormément de touristes de passage. ...