Au Touquet, à Wimereux ou en plein cœur du Marais parisien, vous trouvez une adresse atypique et pleine de surprises : Le Burger Fermier des Enfants Rouges. Un Burger délicieux qui ne ressemble à aucun autre Malheureusement pour le burger, ce plat n’a pas toujours eu bonne réputation en France. Toutefois, certains restaurateurs ont décidé de redonner à ce sandwich mythique ses lettres de noblesse. Parmi eux, Le Burger Fermier des Enfants Rouge. Grâce à sa recette simple et sans artifice, l’entreprise répond aux attentes de sa (vaste) clientèle. Il suffit de consulter les avis des consommateurs sur leurs différentes pages Facebook pour s’en rendre compte. En effet, les clients sont unanimes : ce burger est un véritable délice. Mais comment font-ils ? Tout simplement en utilisant des produits locaux (Buns maison avec une farine du pas de calais, viande de race Angus, fromage, frites fraiches…) et en offrant la possibilité de choisir la cuisson et le fromage (assez rare pour le souligner). Même les boissons sont locales. Il n’en faut pas plus pour offrir des saveurs incomparables. Un Burger Fermier issu du monde paysan L’histoire du Burger Fermier remonte à une dizaine d’années et est liée, en partie, à celle du Marché des Enfants Rouges en plein cœur du Marais à Paris. À cette époque, Christine Muller, la gérante, décide de proposer un produit simple et gourmand avec un seul objectif : celui de faire travailler les entreprises locales. Elle ouvre alors, au fil du temps, 3 enseignes à Paris, au Touquet et Wimereux. Fille de paysan et propriétaire terrienne elle-même, elle explique que cette idée lui est venue après avoir observé qu’elle avait trop de bêtes. Ainsi, en utilisant son réseau et en se fournissant chez des producteurs locaux, elle commence à cuisiner des burgers. Le succès est immédiat et les restaurants ne désemplissent pas. A savoir : les boutiques sont ouvertes tous les jours sauf lundi pour le Touquet, mardi pour Wimereux et lundi et mardi pour Paris. Ainsi, si vous êtes de passage dans l’un de ces trois coins de France, n’hésitez pas à vous arrêter un moment. Vous ne serez pas déçu de l’expérience. Petite anecdote sympathique : Christine Muller nous explique qu’elle conserve les restes pour les donner à ses bêtes de retour dans sa ferme. Il paraitrait même que les vaches adorent les frites précuites tandis que les veaux seraient plus amateurs de pain. ...
Flashmatin : Pouvez-vous présenter l'Institut de la Vision ? Serge PICAUD : L’Institut de la Vision a pour missions principales de comprendre le fonctionnement de la vision et de prévenir les pathologies pouvant entraîner la perte de vue. Le jury international réuni par l’HCERES (Haut Conseil de l'Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur) a conclu que ce centre de recherche fait partie des meilleurs centres de recherche mondiaux dédiés aux maladies de la vision. Les vingt équipes académiques se répartissent sur cinq axes majeurs : le développement du système visuel, la génétique des maladies visuelles, le traitement des informations visuelles, les thérapies et le développement de techniques d’imagerie ainsi que de nouveaux instruments diagnostiques. Quels sont les résultats innovants et les solutions thérapeutiques qui y ont déjà été développés ? En dix ans d’existence, l’Institut a enregistré des avancées significatives dans la compréhension des maladies de la vision et le développement de stratégies thérapeutiques, dont certaines arrivent aujourd’hui au stade de l’essai clinique. Pour vous donner quelques exemples, GenSightBiologics, une start-up de l’Institut de la Vision, est en train de mener des essais cliniques sur une pathologie héréditaire appelée « Neuropathie Optique Héréditaire de Leber » (NOHL). Pour cette première mondiale par thérapie génique, les résultats montrent une amélioration durable de la vision et de la qualité de vie des patients traités. D’autres essais cliniques portent actuellement sur des implants rétiniens développés pour restaurer la vision de patients aveugles par Pixium Vision, une autre start-up de l’Institut de la vision. Leur implant photovoltaïque est actuellement en essai clinique sur des patients souffrant de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), qui peuvent à nouveau lire des mots ! Des essais cliniques très prometteurs viennent également d’être lancés avec une approche alternative, la thérapie optogénétique : nous utilisons le génome d’une algue pour transformer les neurones résiduels de la rétine en une sorte de photorécepteur. L’objectif est encore de restaurer la perception visuelle chez d’autres patients devenus aveugles. Enfin, nous avons participé à l’amélioration des traitements pour le glaucome en retirant un conservateur toxique des gouttes. Fin 2018, vous avez été labellisé IHU (Institut Hospitalo-Universitaire). Que va apporter cette nouvelle structuration ? Le premier ministre, Edouard Philippe, a en effet avalisé l’avis du jury international en attribuant au Pr Sahel la mission de construire l’hôpital de demain en ophtalmologie. Cette nouvelle structure va réunir l’Institut de la Vision et le Centre Hospitalier des Quinze-Vingts pour accélérer le transfert clinique des innovations thérapeutiques et diagnostiques. L’objectif est d’améliorer l’accès aux soins et la prise en charge des patients pour leur apporter une réponse thérapeutique, quelque soit le stade de leur pathologie. Cet objectif est extrêmement ambitieux puisque de nombreuses pathologies rétiniennes n’ont pas encore de traitement pour prévenir leur évolution vers la cécité. Nous devons également former les personnels soignants et techniques pour permettre le déploiement des innovations thérapeutiques sur l’ensemble du territoire. L'Institut de la Vision est soutenu par la Fondation Voir & Entendre et ses donateurs. Pouvez-vous nous expliquer l'importance des dons et legs pour vos recherches ? A l’Institut de la Vision, chercheurs et cliniciens travaillent pour prévenir l’évolution des maladies de la vision vers la cécité. Pour développer nos recherches et être soutenus par les agences de financement publiques, nous devons leur présenter les preuves de concept des futures stratégies thérapeutiques. Grâce à nos donateurs, nous pouvons amorcer ces projets et obtenir les preuves de concept initiales. Les dons sont donc essentiels ! Ils sont de véritables déclencheurs de la recherche et permettent aux chercheurs d’initier tous leurs t...
Coopérateur jusqu’en 2013, André Fille soutenu par son épouse Rachel et ses filles Marine et Vanessa tente le pari d’ouvrir sa cave particulière .Il confie sa gestion à sa fille ainée Vanessa. Le nom du domaine résulte d’une erreur de transcription de l’Etat Civil. En effet, l’ancienne orthographe de la famille était alors Filhe, mais le « h » a été changé par un « l » par l’administration. Une nouvelle aventure pour la famille Fille L’histoire de la famille Fille est celle d’une invraisemblable reconversion : « on a totalement changé de travail, puisqu’on est passé de la vente de plants pour l’horticulture à la fabrication de vins » raconte Vanessa Fille. Cette dernière s’occupe du vignoble sous les conseils avisés de l’œnologue Patrick Galliano. Actuellement, le domaine applique une agriculture raisonnée dans les vignes avec un encépagement essentiellement composé de Grenache, Cinsault et Syrah, qui confèrent aux vins ses arômes, et de cépages assez atypiques de la région comme le Cabernet ou le Merlot. Dans les années à venir, Vanessa n’écarte pas l’idée de reconvertir tout le domaine en agriculture biologique. Cette vigneronne passionnée et soucieuse de l’environnement estime qu’un terroir préservé permet la production de vins de meilleure qualité. Un grand succès pour une première Le Domaine Filhéa a commencé la vinification de ses premières cuvées en septembre 2015 « On a douze hectares de vignoble, qui ont donné aux environs de 550 hectolitres. Nous avons produit une première gamme de vins composée de cinq rosés, trois rouges ainsi qu’un blanc » explique Vanessa Fille. Et pour une première, elle peut être qualifiée de grande réussite puisque quatre rosés du domaine ont été récompensés lors du concours Général Agricole de Paris. La palme revient surtout à la cuvée « Un Autre Monde » puisque cette dernière a remporté une médaille d’or en AOC Provence. Il s’agit d’un vin aux arômes très fins en bouche, qualifié de « sexy » par le jury. La cuvée « Marine » et « Vanessa » ont gagné chacune une médaille d’argent en AOC Côtes de Provence tandis que la cuvée « 16 Aout » a été couronnée d’une médaille de bronze en IGP des Maures. Autre récompense qui n’a pas de prix : les vins du domaine sont déjà présents sur des tables renommées de la région telles que le restaurant « La Colombe » de Nadège et Pascal Bonamy, « Planches et Gamelles » et la « Farigoulette » d’Anthony Lopez et le « Lou Portaou » à Bormes-les-Mimosas. Mis à part les restaurants, le domaine écoule sa production par la vente aux particuliers au sein du domaine et s’appuie sur le bouche-à-oreille pour renforcer sa réputation. ...
Le vignoble de six hectares de la maison Girardin, situé entre la côte des Blancs et la vallée de la Marne, se veut être une source d’inspiration pour Sandrine Girardin, vigneronne et musicienne dans l’âme. À la manière d’un chef d’orchestre, elle élabore des cuvées d’exception en complémentant les caractéristiques des quatre terroirs champenois sur lesquels sont réparties les vignes du domaine. Des cuvées traditionnelles à souhait Vigneron Indépendant, la maison Girardin est passée maître dans l’art de concevoir du champagne de qualité suivant les principes de la viticulture raisonnée. Cet engagement mêlé à une vinification traditionnelle donne naissance à des « cuvées uniques qui ont leurs propres caractéristiques et leurs propres parfums », affirme Sandrine. Ce champagne, qui apportera une élégance subtile en bouche et une touche accordée à vos instants gourmands et raffinés, est obtenu « en jouant [comme avec les notes de musique] sur différents terroirs au sous-sol complémentaire tout en gardant leurs propres particularités afin d’arriver à un assemblage sympathique et original », continue-t-elle. Du bon vin à l’oreille musicale Au travers des noms à la résonance musicale des cuvées B. Girardin, Sandrine manifeste son amour de la musique, « ce côté magique et transcendant » découvert dès son plus jeune âge au piano. « Tout au long de mon métier de vigneron, la musique me suivra », nous confie-t-elle. Le Rubato, le Point d’Orgue ou le Vibrato sont autant d’incarnations de cette note mélodieuse conférée à chaque spiritueux de la marque. La cuvée ambassadrice de la marque, l’Appoggiature, se distingue par ses délicates notes aromatiques et ses saveurs fruitées issues de l’assemblage harmonieux des trois cépages champenois, idéal pour accompagner un apéritif. ...
La nouvelle décoration des restaurants Matsuri vous plonge immédiatement dans un cocon zen, une ambiance chaleureuse et conviviale. Confort acoustique et lumière douce sont au rendez-vous grâce aux lattes en chêne disposées avec élégance au mur et au plafond. Tout ceci est le résultat de la nouvelle charte architecturale établie avec les architectes Moreau et Kusunoki, dont bénéficient déjà 5 restaurants (Boétie, Vincennes, Lyon Presqu’ile, Lyon Part Dieu et Bordeaux). A terme, tous les restaurants vont ainsi être rénovés. Le concept du comptoir tournant Assis sur une confortable chaise en bois devant un comptoir tournant, chaque client apprécie les différents plats proposés. Il peut composer facilement son repas suivant ses envies et son appétit, découvrir de nouvelles saveurs, tester de nouvelles spécialités. Quant aux prix, pas de surprise puisqu’ils sont indiqués par le liséré de couleur des assiettes. Ce concept innovant et ludique séduit tout particulièrement les enfants. L’accueil est assuré avec gentillesse, courtoisie et sérieux par des serveurs qui se feront un plaisir de vous accompagner pour une question ou une commande. Une carte variée Une grande diversité de créations originales respectant la tradition culinaire japonaise est proposée sur la carte. Vous pouvez déguster des préparations telles que la soupe miso, des sashimis, des sushis, des makis, des gunkans, des temakis à la feuille de soja ou à la feuille d’algues nori, des californias (makis avec algues nori à l’intérieur) et des desserts. On retrouve des nouvelles créations chaque saison à travers 2 cartes par an, la collection automne/hiver et printemps/été. Le chef Guillaume Libert élabore plusieurs fois par an des éditions éphémères et les nouvelles créations de la carte. Par exemple vous pourrez savourer à la fin de l’année le duo mousse thé vert yuzu ou le duo gelée de thé vert, coco et fruits rouges en édition éphémère. Tous les sushis sont préparés sur place à partir de produits frais, sous les yeux des clients par les sushi man face au comptoir tournant. Pour les boissons, vous pourrez choisir entre vins blancs, vins rouges, bières japonaises ou saké. Des plats à emporter ou livrés Bien que spécialisés dans la restauration rapide, les restaurants Matsuri proposent également des bentos à emporter ou livrés à domicile en plus de son large choix de produits. Vous pouvez donc savourer les mêmes produits chez vous ou au bureau. Ils sont accompagnés d’edamame et de riz nature. ...
L’histoire des Vignobles Briolais commence en 1976, avec l’acquisition, par Dominique Briolais et sa femme, d’une parcelle de 3 hectares de vignes. Aujourd’hui, la gestion se fait en famille et le domaine s’étend sur près de 44 hectares. Les domaines en Médoc et Côtes-de-Bourg L’exploitation familiale dispose de trois domaines bien distincts répartis sur les deux rives du vignoble bordelais. Sur l’appellation Médoc, les parcelles de Jau-Dignac-et-Loirac sont situées sur d’anciennes croupes de graves d’origine günzienne. La propriété se trouve idéalement entre océan et estuaire, constamment balayée par un vent marin qui garantit aux raisins une perpétuelle santé. Les cuvées Le Château Pontac Gadet, élevé en barriques, avec des notes vanillées et toastées, et Optimus Le Grand Vin du Château Pontac Gadet, microcuvée vinifiée à la mode ancestrale, mettent en relief ce terroir de 11 hectares. Sur l’appellation Côtes-de-Bourg, le Château Terrefort Bellegrave est une petite parcelle de merlot au sein de la commune de Monbrier, sur un terrain très pentu avec un terroir rocheux. Il donne naissance à des vins rouges virils et puissants, qui font la fierté des Côtes-de-Bourg. Le Château Haut Mousseau, quant à lui, est le cru originel du domaine familial. La terre y est travaillée suivant une méthode d’agriculture raisonnée, qui mêle savoir-faire traditionnel à l’ancienne et techniques modernes. Respectueuse de l’environnement, cette démarche participe à la diversité biologique de l’écosystème viticole. Récompenses et reconnaissances Médailles d’or ou d’argent aux concours régionaux et nationaux, étoiles, citations dans des revues et guides, prix spécial, les vins des vignobles Briolais ont reçu des récompenses aussi nombreuses que prestigieuses. Le Château Pontac Gadet AOC Médoc illustre ce succès. Il obtient régulièrement une étoile au Guide Hachette depuis l’an 2000 ainsi que plusieurs médailles d’or lors de différents concours, notamment en 2009, lors du Concours des vignerons indépendants. Récemment, le millésime 2013 a raflé la médaille d’or au Concours Féminalise et le millésime 2014 a reçu la médaille d’or au concours de Bordeaux Vins d’Aquitaine. Ce vin, composé de 65 % de cabernet et de 35 % de merlot, révèle des parfums élégants et puissants. Il offre une belle ampleur et une finale persistante et se déguste avec une côte de bœuf, un confit de canard, une dinde aux girolles ou un magret. De même, le Château Haut Mousseau Cuvée Prestige, qui figure, lui aussi, au panthéon des Côtes-de-Bourg, a été étoilé au Guide Hachette depuis 1998 et a décroché d’innombrables médailles lors des concours auxquels il a participé, notamment la médaille d’or au Concours des vignerons indépendants en 2014. Composé de cépages issus des vieilles vignes et des sélections des meilleures parcelles, ce vin est né d’un assemblage de 60 % de merlot et de 40 % de cabernet sauvignon. Il possède une robe soutenue, un nez épicé, aux tanins fondus. Les gites Les Vignobles Briolais ont développé une offre œnotouristique, notamment via l’ouverture des deux gites répartis sur les deux rives du vignoble bordelais. Deux hébergements sont situés à Teuillac, entre Bourg-sur-Gironde et Blaye, et se trouvent à l’étage. Ils peuvent accueillir jusqu'à 4 personnes chacun, avec une vue sur le vignoble. Sur le site de Château Pontac Gadet, deux gites sont exceptionnellement situés, entre mer et estuaire, au cœur de l’exploitation, avec vue dégagée et jardin privatif. Le premier gite peut accueillir 4 personnes, tandis que le second offre une capacité d’accueil de 6 personnes. Ils disposent de tous les équipements nécessaires au confort des convives. Sur les deux rives, une dégustation conclut la visite des chais. ...
Ancienne seigneurie et juridiction, le domaine Jean Aubron L’Audigère est imprégné d’Histoire. Tout commence en 1678 avec la Maison de l’Audigère, un ensemble de bâtis servant notamment de celliers ou encore de pressoirs. Les premiers propriétaires furent les seigneurs des Rames. Puis la famille de Sévigné acquit éphémèrement le domaine, qui passe ensuite aux mains du comte de Montbel. En 1843, la famille Aubron reprend l’exploitation. Depuis, quatre générations se sont succédé et ont réussi, au fil des années, à renforcer la notoriété du domaine dans le paysage viticole de Loire-Atlantique. Terroir et renommée De 48 hectares à ses débuts, en 1843, le domaine s'étend aujourd'hui sur 84 hectares de muscadet. L’exploitation est située sur les meilleures terres de gabbros, dans le pays nantais, en Val de Loire. Influencé par le climat de l’océan Atlantique, cet illustre terroir du muscadet est composé de roches éruptives et métamorphiques caractéristiques du Massif armoricain, recouvert de sable ligérien. Cette typicité est à l’origine de son arôme unique de fleurs blanches, de fruits blancs avec des notes minérales. Vinification du Muscadet Le melon de Bourgogne est un cépage blanc provenant du vignoble de Bourgogne, délaissé dans sa région d’origine et qui s’est imposé principalement en Loire-Atlantique où il couvre actuellement une surface de 8 500 hectares et donne des vins équilibrés, secs, frais et fruités. C’est le cépage unique pour l’appellation d’origine contrôlée Muscadet. Pour obtenir un Muscadet sur lie digne de ce nom, Jean-Pascal Aubron applique une technique traditionnelle extrêmement pointilleuse et rigoureuse. Les vendanges, très précoces, se font autour de mi-septembre. Vient ensuite un pressurage sur pressoirs pneumatiques, afin d’obtenir un moût délicat, suivi d’un débourbage systématique qui élimine les matières grossières, causes d’alourdissement des expressions olfactives. Les vins sont stabilisés par précipitation tartrique par le froid après la fermentation qui se fait à une température comprise entre 18 °C et 20 °C. L’étape finale est celle de la conservation, qui s’effectue soit en cuve souterraine, soit en cuve aérienne en inox. Des vins d’exception Le muscadet est un vin qui se pare d’une robe jaune or, avec des notes de fruits blancs et de fruits secs comme l’amande et la noisette. Il est velouté, suave et complexe en bouche avec des touches briochées du fait de son élevage sur lies. La maison Jean Aubron L’Audigère possède quatre cuvées ambassadrices : le « Grand Fief de l’Audigère », qui s’accorde harmonieusement avec le ravioli de sardines crues crème d’artichaut ; la cuvée « Elégance 2014 », qui est idéale avec une crème de petits pois à la menthe ; la « Haute Expression 2013 », qui est une merveille avec un saumon ; et le « Grand Fief de l’Audigère Vieilles Vignes 2005 », qui rehausse les saveurs d’une dorade snackée ou d’une asperge verte amande et réglisse. ...
Repris en 2009 par Didier Veysset, le restaurant Buldo est un établissement centenaire possédant une terrasse sur l’eau, unique à Lyon. En effet, grâce à son ponton sur pilotis, pouvant accueillir jusqu'à 90 personnes, Buldo permet de se restaurer et de se détendre sur les bords de la Saône. A deux ou en famille, il est possible de passer un moment de tranquillité ou de faire la fête. D’ailleurs, une salle de 20 à 70 personnes au premier étage peut être privatisée à l’occasion d’une communion, d’un baptême ou d’un anniversaire. Une cuisine copieuse et savoureuse Lieu de la convivialité et de la bonne chère, le restaurant Buldo propose une cuisine traditionnelle et familiale, notamment avec les grenouilles, proposées dans le menu à volonté bien connu des habitués. Des surprises culinaires sont à prévoir, grâce au chef et ses plats mitonnés, un délicieux mélange de saveurs inhabituelles, savouré de façon copieuse, dans une ambiance rendu agréable notamment par la qualité et la sympathie du service. Un cadre agréable et instructif Situés dans le 9ème arrondissement, le restaurant Buldo et ses terrasses offrent une vue imprenable sur l'Île Barbe, classée à l'UNESCO, Centre du Patrimoine Mondial. Véritable amateur d'art contemporain, le restaurant Buldo soutient l’œuvre du défunt artiste lyonnais Jean Couty en prenant l'initiative d’offrir la possibilité à sa clientèle d'accéder à son œuvre et de découvrir ou redécouvrir son univers à un prix réduit. Une belle manière de joindre l’esthétisme à la curiosité grâce à un cadre profitant d’un paysage idyllique et de la formidable œuvre d’un artiste lyonnais. ...
Lancés en décembre 2016, à Montlouis-sur-Loire, par David Grougi, Les Potions Créoles sont des punchs au rhum élaborées grâce à de traditionnelles et familiales recettes des Antilles. Produites par la seule main de David Grougi, les 2000 bouteilles annuelles représentent le résultat de la passion et de l’efficacité. Une fabrication entièrement artisanale pour un goût authentique La fabrication des Potions Créoles est 100 % artisanale et manuelle. Elle s’appuie sur la rigoureuse sélection de fruits frais à maturité, garantissant ainsi le meilleur échange aromatique avec le rhum agricole AOC de Martinique. La macération est réalisée, par le biais de bocaux de verre de 5 litres chacun, selon la tradition antillaise. Après le retrait des résidus de fruits, l’ensemble est arrangé d’un sirop de sucre de canne maison et d’épices des Antilles avant d’être manuellement mis en bouteille. L’absence de fruits apparents dans ces Potions Créoles permet au consommateur de ne pas être lésé au niveau de la quantité liquide de la bouteille et lui propose également un goût non altéré. Des potions diversifiées et récompensées Depuis un peu plus d’un an et demi, 5 potions créoles ont été lancées. Avec un succès tant commercial que critique et honorifique. C’est notamment le cas du punch au gingembre et au citron vert qui a remporté la médaille d’or du concours Top Rum 2018. Ce rhum arrangé équilibré possède une belle signature fruitée, titrant à plus de 30 degrés. Le punch coco n’est pas vraiment en reste. Car, fort de sa médaille d’argent obtenue lors du Concours Général Agricole de Paris en 2017, cette boisson, aux saveurs sucrées et à la texture crémeuse, est arrangée par un mélange de sucre de cannes et d’épices et titre à 11 degrés. Médaille de bronze au concours Top Rum 2018, le punch banane flambée, dont la préparation est filtrée à plusieurs reprises, rend une note finale, gourmande, suave et élégante titrant à plus de 29 degrés. Vendu en édition limitée, le punch fraise nécessite l’apport de fraises de Touraine, sélectionnées à maturité et cueillies à la main. Avec sa teinte grenat soutenue, son onctuosité et son fruité délicat cette boisson de l’été titre à 29 degrés. Commercialisé depuis juin dernier, le punch fruits de la passion est une potion élaborée à partir de Maracujas de la Martinique. Avec son goût fruité et acidulé, le Maracuja apporte une fraicheur aromatique surprenante titrant à 34 degrés. A ces 5 Potions Créoles s’ajouteront, tout prochainement, deux autres. Disponibles à partir du mois d’août prochain le punch duo de citrons (jaune et vert) et celui à la cacahuète viendront compléter une gamme déjà diversifiée et combler encore plus nos papilles gustatives. ...
Le restaurant Bellini invite les épicuriens en herbe à découvrir ou à redécouvrir toutes les subtilités et les saveurs de la cuisine traditionnelle italienne. Un décor sobre mais authentique S’inviter au restaurant Bellini est synonyme de voyage pour les sens. Comme préambule à une expérience gustative unique, le décor annonce d’entrée la couleur ! Un cadre cosy, simple et élégant attend les convives. L’ambiance se prête idéalement à un dîner en famille, entre amis ou collègues. Les invités notent une touche d’authenticité qui transparaît à travers ces pierres apparentes. Bien visible, un four à bois s’offre au regard des convives. Bref, tout concourt à donner à ce bel endroit un charme presque inimitable. Une cuisine savoureuse Le chef, Rémi Barthe, concocte avec amour et passion une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits frais. Ainsi, viandes, poissons, fruits et légumes proviennent essentiellement des producteurs locaux. Pour les produits secs, cet établissement importe directement d’Italie. Chez Bellini, la carte se garnit, au gré des saisons, des nouvelles trouvailles du chef. Celui-ci suggère à ses invités d’entamer leur escapade gastronomique par un assortiment d’antipasti suivi d’un succulent veau à la milanaise, fettucines au marsala. Et pour achever comme il se doit ce voyage culinaire, rien de tel qu’un tiramisu aux cerises pour donner l’envie aux grands gourmands de réitérer cette agréable expérience. Mais le restaurant Bellini, c’est aussi des pizzas délicatement cuites dans des fours à bois. D’authentiques pizzas italiennes à emporter ou à déguster sur place selon les envies ! Côté vins, entre les rouges et les blancs, les connaisseurs trouveront certainement leur bonheur parmi une trentaine de références. ...
Chacun a des besoins spécifiques en ce qui concerne le choix de sa cave à vin. Là où de nombreux généralistes se limitent simplement à la proposition de modèles, Ma Cave à Vin va plus loin en faisant profiter gratuitement à tous ses clients des meilleurs conseils de ses experts. À propos de Ma Cave à Vin Ma Cave à Vin est une enseigne spécialisée en cave à vin, cave à cigares, cave à fromage et cave à charcuterie & chocolat. Réunissant une équipe de passionnés et d’experts, la boutique s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels (hôtels, restaurants, grandes enseignes, etc.). « Nous proposons trois grandes lignes de produits incluant des produits standards, modulaires mais aussi du sur-mesure », explique Philipe RODRIGUEZ, le fondateur. L’enseigne se démarque véritablement à travers une expertise éprouvée depuis 14 ans et une activité de conseils permettant à chaque client de trouver LE produit qui correspond à la fois à ses besoins et surtout à son budget. Bien qu’une grande partie des produits soient écoulés sur le marché français, l’enseigne consacre 12 à 15 % à l’export et livre dans plus de 60 pays dans le monde. Des produits de qualité Depuis sa création, Ma Cave à Vin s’efforce de proposer des solutions de conservation qui allient innovation technique et design moderne. Qu’il s’agisse de vin, de fromage, de cigares ou encore de charcuterie, l’objectif pour l’enseigne est de faire en sorte que les consommateurs profitent d’une expérience de dégustation optimale. Et pour y arriver, elle suggère une variété de produits qui garantissent les meilleures conditions possibles de conservation. Pour les épicuriens ou les professionnels qui souhaitent par exemple conserver la qualité et les arômes de leurs fromages, Ma Cave à Vin leur propose sa gamme de vitrines et caves à fromage. Celle-ci se décline en plusieurs modèles selon leur dimension, capacité (de 40 à 180 kg), nombre de température (1 ou 2) et niveau de gamme. Sur ce point, le fondateur tient à nous apporter davantage de précision : « L'un de nos points forts réside dans notre capacité à répondre à toutes les demandes, et ce, grâce à notre large gamme de produits incluant les produits les plus simples jusqu’au très haut de gamme. » Cela dit, l’enseigne est surtout connue pour sa grande expertise en matière de caves à vin. Un choix varié de caves à vin Avec plus de 600 modèles à son actif, Ma Cave à Vin est de loin le leader sur le marché, d’autant plus que les concurrents ne se bousculent pas vraiment sur le secteur. « C’est un marché assez récent, aujourd’hui l’idée de mettre une cave à vin dans un appartement ou dans une cuisine séduit de plus en plus de gens », nous confie notre interlocuteur. Qu’elle soit de vieillissement, de service, encastrable ou polyvalente, la cave à vin permet de préserver idéalement les bouteilles dans les conditions adéquates. Concernant la cave à vin de vieillissement, l’enseigne offre un large choix parmi plus d’une centaine de modèles disponibles. Ces dernières sont conçues pour assurer des conditions de conservation optimales incluant une température stable (10 et 14 °C), une hygrométrie comprise entre 55 et 80 %, une bonne aération ainsi qu’une absence totale de lumière et de vibration. En ce qui concerne les caves à vin de service, elles permettent de stocker les vins à température idéale de dégustation. En fonction de leur besoin, les clients peuvent opter pour des modèles comprenant 1, 2, 3 ou 4 zones de température ou des modèles à multi-température étagés. De leur côté, les caves à vin encastrables sont les plus indiquées pour les petits espaces. En effet, elles ont l’avantage de pouvoir s’incruster sans problème sous un plan de travail, en hauteur dans une colonne ou simplement enchâssées entre deux cloisons. Pour finir, les caves à vin polyvalentes permettent de retrouver les trois fonctionnalités (vieillissement, conservation et préparation pour le service) dans...
Quel regard portent les artistes sur le paysage qui nous entoure ? Contrairement à leurs aînés des grands courants picturaux (classique, baroque, romantique, réaliste, impressionniste…) qui se sont passionnés pour le paysage, les plasticiens contemporains ne l’abordent plus seulement pour l’idéaliser ou le traduire. Les artistes de la Biennale d’Issy nous livrent leur vision du monde à travers la photographie, la peinture, la sculpture, le dessin et la vidéo. La puissance de la nature au cœur du réchauffement climatique Les artistes s’attachent aussi bien aux aspects les plus alarmants de l’intervention humaine sur Terre qu’à l’évocation de la majesté et de la beauté de la nature. Ainsi, Nils-Udo traduit la force créatrice de la nature dans sa peinture tandis que François Bard représente des rocs inamovibles. Frédéric Oudrix nous offre une végétation exubérante, Stéphane Erouane Dumas des forêts de bouleaux figés par le givre se reflètant dans un lac gelé. Traqueur d’orages, Basile Ducournau parcourt le Nouveau-Mexique pour capter le moment précis où la foudre tombe parfaitement dans l’axe d’une route qui s’éloigne en direction de l’horizon. Madame Briot, un arbre sculptural à l’élégance féminine, semble être renversé. Mais il est bien réel et révèle la richesse méconnue de la nature. Dans les autres œuvres d’Emma Tandy, la végétation y apparaît luxuriante, tout comme dans les friches que photographie Yann Monel. Le paysage soulève de nombreuses questions, notamment celle de l’environnement. Avec ses Paysages nucléaires présentés en diptyques, Jean-Pierre Attal met en perspective un avenir nucléaire incertain, avec une usine implantée dans son environnement naturel d’un côté, le même site dépourvu d’installation humaine de l’autre. Brigitte Sillard aborde la question du changement climatique avec son image d’un palétuvier qui dépérit à Madagascar dans une mangrove disparue. Régis Rizzo peint des lycaons de la savane africaine sur fond de paysage industriel pour illustrer le retour des animaux sauvages dans les villes. Cristina Ruiz Guiňazǔ présente un ange assoupi sur le sol d’un désert s’étendant à l’infini, et Pierre Monestier d’étranges quadrupèdes à gueule de canon décimant une armée sans armes. Quant à Rubén Fuentes, il peint des étendues montagneuses dont les cimes prennent la forme de silhouettes d’anciennes déesses précolombiennes, dénonçant la disparition des forêts primaires. Le paysage, terrain d’expression des artistes engagés Les artistes présentent aussi leur vision de l’évolution du paysage, avec lucidité, de manière parfois engagée. Ainsi, Caroline Secq dénonce l’apparition d’un 8e (in)continent avec une installation d’objets et de sacs plastiques rejetés par la mer qu’elle récolte sur les plages. Christophe Dalecki détourne nos objets du quotidien en plastique et donne naissance à de grands bouquets d’ombres et de lumière verte. Certains artistes révèlent l’empreinte de l’homme sur le paysage, comme Justin Weiler avec ses dessins semblables à des partitions dont les notes s’avèrent être des impacts de balles ; une musique douloureuse, témoin du lourd passé de la guerre civile au Liban. A Beyrouth, les anfractuosités provoquées par les tirs deviennent des nids d’oiseaux dans les fresques réalisées et photographiées par le street artiste Anoy. D’autres, comme Barthélémy Toguo, sensible aux situations de détresse en Afrique et dans le monde, nous livrent des œuvres engagées : ainsi, Jugement dernier est composé de deux mains levées, comme en joue face à l’obstination de l’humanité à s’autodétruire. Avec ambivalence, les aquarelles de Jean-Michel Alberola inspirent la quiétude de scènes champêtres, alors que nous sommes face à la désolation du camp de Birkenau où la nature finit par recouvrir la voie ferrée et ronger les baraquements. Dans une architecture sans vie, Anselm Kiefer mêle ses ...
Située sur le quai de la Marine, le lieu fleure bon les vacances. Face au Deauville Yacht Club, une ambiance bistrot-chic règne au Comptoir et la Table où les tables en bois rustiques rappellent les brasseries parisiennes confortables et sans chichis. La décoration donne le ton de la mer. Nappes blanches et banquettes confortables, cette ambiance classique rappelle le charme de la station balnéaire normande très prisée des Parisiens. Décoré par Beineiche, ce repère culinaire du Calvados est minimaliste avec beaucoup d’espace. Fidèle au style des vieux restaurants deauvillais des années 50, le clinquant n’est pas de rigueur. Seule exigence : des produits frais et de qualité pour une clientèle avertie. Nuances de truffes De véritables produits frais, tout droit débarqués des ports de pêches font la réputation de ce haut établissement du « 21e arrondissement de Paris ». A l’honneur bien sûr, la truffe, véritable crédo culinaire du Comptoir. En entrée, elle ouvre le bal avec son fameux œuf poché à la truffe, préparé simplement mais authentiquement pour sublimer ses arômes délicats. Avec sa crème de truffes et ses quelques croutons, les papilles sont enchantées par ce gout puissant et atypique si prisé des fins gourmets. Son odeur, envoutante, donne du cachet à l’assiette, et évoque la terre, l’humidité et les effluves forestières. Pour ne pas dénaturer ce gout rare, le dressage est simple et élégant. Ici, le champignon unique est frais en toute saison. En hiver, c’est celle du Périgord qui trône dans l’assiette . En été, c’est celle d’Italie qui vient accompagner les plats signatures de ce restaurant prisé pour ses interprétations de la truffe. En entrée, le carpaccio de Saint-Jacques étonne avec ses fines lamelles et son rapé de truffes. Le gout subtil de noisette et la chair très fine de ce fruit de mer en font un mets estival de choix. Le calamar en poêlée et caramélisé est très prisé par les habitués du lieu. Ce fruit de mer est également dressé sans chichis, avec une salade toute simple pour apprécier le gout tendre et sucré de cette recette fraiche et marine. Le homard se veut frais dans ce restaurant, accompagné d’une poêlée de légumes du marché croquants et d’herbes. En plat principal, on se délecte d’une sole rôtie accompagnée de linguines à la truffe. Ce champignon gastronomique sublime un risotto chaud et onctueux accompagné de son rapé. Le Comptoir et la Table varie aussi les accompagnements du diamant noir avec des produits de la mer cuisinés avec la même philosophie : sobriété et gout. En poissons, le choix est là. Turbot, cabillaud, sole, Saint-Pierre et bar viennent enchanter les assiettes des amateurs des produits de la mer frais et de qualité. Vins aux arômes délicats Avec une carte de vins variée et prestigieuse, plusieurs crus accompagneront vos plats avec leurs arômes délicats. Pour le carpaccio de Saint-Jacques, un Meursault. Un Sancerre blanc viendra libérer les arômes des poissons frais du menu avec ses effluves d’agrumes et de fleurs. La côte de veau aux girolles sera sublimée avec un Pauillac rouge et sa complexité intense idéale pour une viande rouge. Ceux qui veulent couronner leur repas avec un instant de douceur gourmande, c’est une carte de desserts classiques qu’on découvre dans cet établissement. Tarte aux pommes, tulipe de fruits frais, crêpe suzette ou encore crème brûlée à la vanille paracheveront votre repas avec sobriété et délice. ...
Depuis quelques années, que ce soit en Europe ou plus particulièrement en France, de réelles avancées ont été réalisées dans la lutte contre les maladies rares. Elles se traduisent entre autres par une meilleure prise en charge et un accès privilégié à l’information. Qu’est-ce qu’on entend par maladie rare ? Selon les spécialistes, une maladie est qualifiée de « rare » lorsque celle-ci présente une faible prévalence qui est de l’ordre d’une personne sur 2000. Aujourd’hui, le nombre d’individus concernés par ce type de maladies est en constante progression notamment en raison de leur grande variété. La plupart des maladies rares (près de 80%) sont génétiques. Jusqu’ici, les experts de la santé ont réussi à identifier 8000 maladies dont le quart se manifeste au-delà de la quarantaine. Ces maladies impactent directement sur la qualité de vie des personnes affectées puisque dans la moitié des cas, elles occasionnent une perte partielle ou complète de la motricité. On constate également une perte progressive tant au niveau des fonctions sensorielles que cognitives. Par ailleurs, il est important de souligner qu’il n’existe pas de traitement curatif pour la grande majorité des maladies rares. On parlera alors dans ce cas de « maladies orphelines » en faisant référence à ces pathologies qui ne disposent d’aucun traitement. A titre d’exemples figurent la microcéphalie, la drépanocytose, l'hémophilie, la myasthénie auto-immune, les leucodystrophies ou encore la fibrose pulmonaire idiopathique. Le point sur la situation de la France face aux maladies rares En France, 4,5% de la population sont touchés par des maladies rares. Dans la moitié des cas, ces maladies affectent des enfants âgés de moins de 5 ans et sont à l’origine de 10% de la mortalité infantile (enfant de 1 à 5 ans). Depuis quelques années, de nombreuses actions ont déjà été menées à l’échelle nationale. D’ailleurs, la France est connue au niveau européen pour être le premier à avoir développé et réalisé un plan national. Une action rendue possible grâce à l’impulsion des différents acteurs à savoir les associations et professionnels de la santé appuyés par les pouvoirs publics. En effet, dès 1995, les maladies rares ont commencé à occuper une place importante dans les débats sur la santé publique. La ministre des affaires sociales en exercice à cette époque décide alors de créer la mission des médicaments orphelins. En 2001, les principaux acteurs impliqués se sont réunis autour d’une plateforme dédiée aux maladies rares. Orphanet, Maladies rares infos services, Alliance maladies rares, Eurodis en sont quelques exemples. En 2003, un plan stratégique a été lancé dans le but d’améliorer la prise en charge des patients touchés par ces maladies. Ce plan initié par le ministre de la santé, Jean François Mattei s’inscrit dans le cadre de la loi santé publique 2004-2007. Le PNMR ou Plan National Maladies Rares voit officiellement le jour. ...
Avec le développement de l’utilisation d’Internet, de plus en plus d’entreprises ouvrent leur système d’information à leurs clients, leurs partenaires ou leurs fournisseurs lors de démarches d’externalisation. Il est donc devenu essentiel de protéger et de maitriser le contrôle d’accès et les droits des utilisateurs du système d’information. Cette mission passe obligatoirement par la connaissance approfondie des ressources de l’entreprise à protéger et par la maitrise du contrôle d’accès et des droits d’utilisation du système d’information. Il en va de même lors de l’ouverture de l’accès de l’entreprise sur Internet. Le vol de données sensibles ou à caractère personnel est un enjeu de taille que les chefs d’entreprise ont fini par comprendre et assimiler. Pour sécuriser leurs données, ils ont consenti de façon progressive à se doter de responsables sécurité des systèmes d’information (RSSI), une profession clé dont la mission est en priorité de protéger le patrimoine informationnel des entreprises. Lieu d’échanges et de coopération Pour assurer pleinement son rôle et faire face à la menace grandissante, cette profession avait un besoin urgent de se structurer, de s’organiser, voire de se professionnaliser. Toutes ces raisons ont conduit à la création du Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique (CESIN) avec, en esprit, « des objectifs bien précis qui sont de mettre en place une plateforme d’échange, de partage d’expériences et de coopération pour les professionnels de la sécurité de l’information et du numérique », explique Alain Bouillé, président de l’association. Dans une démarche règlementaire s’appliquant à l’échelle nationale et internationale, « le CESIN vise la promotion de la sécurité des informations et favorise les échanges avec les pouvoirs publics ». ...
Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage. Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc. • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels. • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...
Élégant, prestigieux, somptueux… On serait vite tenté d’enchaîner les superlatifs pour décrire l’hôtel Westminster et ses deux restaurants ainsi que son bar, à savoir le Céladon, le Petit Céladon et le Duke’s Bar. En vérité, cet établissement est le meilleur endroit pour vivre une expérience gastronomique inoubliable. Le Céladon, un restaurant étoilé Le Céladon accueille ses convives dans un cadre unique bénéficiant d’un décor typiquement bourgeois. Ce restaurant étoilé au Michelin d’une capacité de 28 couverts promet ainsi une ambiance conviviale et raffinée. Le chef Christophe et sa brigade proposent un large choix de formules à l'instar du Menu express concocté en seulement trois quarts d’heure pour les plus pressés à midi. À noter que le Céladon change son menu très gastronomique toutes les semaines de façon à varier le plaisir des habitués. Le Petit Céladon, le relais week-end Durant le week-end, le Céladon ferme ses portes pour laisser place au Petit Céladon. Les convives sont bercés par une ambiance et un service nettement plus décontracté, sans se défaire du contexte d’un restaurant étoilé. La métamorphose concerne également la carte et l’art de la table. Cerise sur le gâteau : la légèreté est au rendez-vous en ce qui concerne les tarifs. Pour autant, les gourmets ont toujours droit à un menu-carte raffiné proposant une sélection minutieuse de produits frais et de qualité, qui est une ligne de conduite au Céladon. Le Duke’s Bar, le garant d'instants magiques Le Duke’s Bar mise quant à lui sur cette ambiance atypique des clubs anglais pour séduire, puis fidéliser les convives. Dans ce cocon feutré, rien de tel pour se retrouver entre amis et s’accorder des instants de pure détente. Les grands guides sont particulièrement conquis par ce lieu, qu’ils ont intégré dans le cercle très fermé des plus éminents bars de la capitale française. Au programme : snacking, apéritifs et spiritueux très appréciés de la clientèle. Ce coin bistronomique parisien est surtout reconnu pour son fameux club sandwich, mais aussi pour son cocktail de crevettes roses ou pour son inimitable burger de Kobe. ...
Ancienne propriété d’Olivier de Serres (1539-1619), illustre agronome français connu pour sa contribution au développement des techniques agricoles, ce domaine viticole de 10 ha produit aujourd’hui des vins qui se hissent parmi les références de l’appellation IGP Coteaux-de-l’Ardèche. Des pratiques respectueuses de la Nature Ce vignoble en altitude, conduit en lutte raisonnée et bio-logique, est planté en coteaux sur des sols à dominante argilo-calcaire. L’encépagement se compose de syrah, de grenache et de merlot au niveau des rouges et de viognier pour les blancs. En favorisant la biodiversité, le domaine offre à ses vignes les conditions optimales à leur épanouissement. Résultat, des raisins de qualité qui seront plus tard délicatement vendangés à la main. Des cuvées d’exception Sur les cinq cuvées proposées par le domaine, deux peuvent prétendre au titre de « cuvée ambassadrice » : la cuvée « Olivier des Serres 2017 » et la cuvée « Viognier 2017 ». 100 % merlot, la première présente un nez intense avec des arômes de mûres. En bouche, on trouve une belle palette aromatique et des tanins structurés. La seconde est également un monocépage, un 100 % viognier qui séduit par ses arômes de fruits à chair blanche. En bouche, ce vin dévoile rondeur et complexité. Idéal pour l’apéritif, accompagné de brochettes de poulet mariné ou encore de foie gras. ...
Le DAP a pour rôle d’attirer et d’accélérer la création des jeunes pousses afin de dynamiser l’écosystème du Pays d’Aix. La plate-forme s’intéresse plus particulièrement aux projets technologiques et innovants, et finance la phase d’amorçage liée aux études techniques, études de marché, brevets, finalisation de prototype et présérie. Les porteurs peuvent intégrer une pépinière d’entreprises ou l’un des espaces économiques du territoire, tout en bénéficiant d’un accompagnement professionnalisé. Un prêt d’honneur à taux zéro Le DAP est géré par Pays d’Aix Développement (PAD) et cofinancé par l’État, la métropole Aix-Marseille-Provence-Territoire du Pays d’Aix et quelques entreprises privées. Le dispositif est une solution de financement de la R&D avant la création de l’entreprise. Un dispositif d’autant plus intéressant que ce type de financement constitue l’un des blocages majeurs rencontrés par les entrepreneurs. Le prêt d’honneur est donc proposé à un taux 0 %, remboursable avec différé sur une période de cinq ans à compter du premier exercice positif de l’entreprise ou de ses trois ans d’existence. Afin de bénéficier de ce prêt d’honneur, les candidats porteurs de projets doivent remplir trois critères déterminants. D’abord, ils doivent démontrer le caractère technologique et innovant du projet, en s’appuyant sur la potentialité de croissance et la valeur ajoutée que celui-ci peut apporter sur le long terme à la communauté. Le choix de l’emplacement géographique est également une condition d’éligibilité. La future start-up devra s’installer en Pays d’Aix ou sur le bassin minier de Provence, une fois son activité lancée. Enfin, le prêt d’honneur est octroyé uniquement en amont de la création de l’entreprise, pour répondre au concept de base du dispositif. L’étape de la sélection Un comité de sélection intervient une fois que tous les critères sont réunis. En plus de Pays d’Aix Développement (PAD), des représentants des banques partenaires, des investisseurs, des incubateurs ainsi que des pôles de compétitivité composent le jury. Ils ont pour rôle notamment de vérifier le respect des conditions d’éligibilité et d’évaluer la faisabilité de chaque projet. Les dossiers retenus passeront par la suite en comité d’engagement, qui va examiner et valider les moyens et les modalités stratégiques du financement accordé. Un autre comité, celui de pilotage, prend le relais et assure le suivi, la cohérence et l’exécution des dispositions prises. Une belle collection de lauréats Le DAP entend par domaine d’innovation tous les champs possibles, que ce soit en électronique, numérique, biotechnologie, aéronautique, santé… Cette grande ouverture a permis au dispositif de lancer des projets tout aussi originaux qu’ambitieux, dont certains ne nous sont pas inconnus. Novadem, par exemple, une entreprise experte dans la robotique aérienne à destination des marchés civils et militaires. Le projet a fait partie des premiers bénéficiaires du prêt d’honneur en 2006, et voit aujourd’hui sa notoriété croître au niveau international. On cite aussi Axyn robotique, spécialisé dans la conception de solutions robotiques au service des personnes handicapées ou en manque d’autonomie. Côté numérique, Editag via sa solution Moontag, a conquis les industriels et les entreprises grâce à un système intégré pour connecter objets et processus. L’innovation médicale n’est pas en reste, comme en témoigne le succès du service CardioNexion conçu par @-Health. Et pour finir, le DAP tient son 100e champion, Adéquabio, qui développe des systèmes biologiques de dépollution, notamment par le traitement des effluents phytosanitaires. ...
Lancé en avril 2011, le site Tasse et Assiette offre un large choix de vaisselles en porcelaine pour vos repas quotidiens ou entre amis : style classique, moderne ou rétro ; assiettes rondes, carrées ou ondulées ; motifs graphiques ou floraux. Ainsi vous pourrez choisir le modèle qui vous plait parmi la soixantaine proposée et composer votre service de vaisselle comme bon vous semble puisque Tasse et Assiette vend à l’unité. Vous aurez tout loisir ensuite de le compléter ou de le réassortir. Sur le site Tasse et Assiette, vous êtes sûrs de trouver toutes les pièces dont vous avez besoin. De plus, vous pourrez les acquérir au rythme qui vous convient. Par exemple d’abord les assiettes, puis les plats et saladiers, ensuite un beurrier ou des mugs, … Ce site est également idéal pour les cadeaux de mariage, puisque si vous ne pouvez acheter un service dans son intégralité, les mariés pourront facilement le compléter avec les pièces qu’ils désirent. Conçue et fabriquée en Pologne, cette vaisselle en porcelaine bénéficie d’un savoir-faire ancestral dans le respect des traditions. Dorota Bonnet, la créatrice du site, aime d’ailleurs préciser qu’ « elle a choisi les meilleurs fournisseurs polonais ». La majorité de la vaisselle proposée est adaptée aux micro-ondes et au lave-vaisselle, pour une utilisation au quotidien. Un site au service de ses clients Dorota Bonnet souhaite offrir le meilleur service à ses clients. C’est pourquoi vous trouverez de la porcelaine de très bonne qualité, à des prix réellement compétitifs. Suite à votre commande, vous recevrez votre colis dans les 5 jours ouvrés suivant. Pour une plus grande souplesse, vous pourrez choisir d’être livré à domicile ou en point relais. Vous ne connaissez pas encore ce site. Reportez-vous aux avis vérifiés pour observer que les clients sont satisfaits. ...
Préparé uniquement à base de produits frais et de saison, chaque plat est une belle découverte qui met à l’honneur le meilleur des produits de la Bretagne. À travers sa passion dans laquelle transparait avec raffinement l’amour du beau, la cuisine du chef Rachel Gesbert est un véritable régal pour les papilles. Il va sans dire que l’établissement travaille également les produits du terroir tels que le lièvre, le gibier ou le cabillaud. Grands moments de gastronomie Sa galette de blanc de turbo au tartare d’andouille, qui est un savoureux mélange de poisson, d’andouille et de galette de blé noir, est, en l’occurrence, « le plat magique du restaurant », comme aime l’appeler Rachel Gesbert, chef et propriétaire de l’enseigne. Mais cela n’empêche pas d’autres découvertes comme sa salade gourmande de trois crustacés, composée de tourteau, de langoustine et de homard, son ris de veau forestier, ses crêpes au Grand Marnier au beurre de caramel ou encore son millefeuille chocolat-café soufflé à la vanille, sans pour autant oublier son fromage au lait cru et son pain perdu mirabelle. Bien que, à midi, la cuisine du marché à 28 € fasse sensation auprès des convives, la maison suggère aussi de nombreuses formules aux noms évocateurs, comme le menu Perle de cristal à 39 € ou le menu Perle de nacre à 57 €, dont la différence repose sur le nombre de choix de plats. En dehors de ces menus, les suggestions du jour permettent de varier les plaisirs des clients qui viennent très régulièrement. Chaque plat se savoure autrement grâce à la très jolie carte des vins enrichie de 53 lignes de champagne et de 450 références de vins à la carte. Des grandes appellations aux petits producteurs, la sélection affirme un bel éclectisme qui fait honneur à toutes les grandes régions du pays pour satisfaire tous les gouts et toutes les envies. ...
La Table du Sommelier propose une cuisine de qualité, entièrement faite maison, concoctée à base de produits frais et locaux. Comme à la maison Installé dans le Vieux Castres, ce restaurant conjugue parfaitement simplicité et authenticité. À l’intérieur, les convives se laisseront séduire par un style cosy ainsi qu’une atmosphère conviviale qui se dégage naturellement des lieux. « Chez nous, les gens se sentent un peu comme chez eux », explique Philippe Subira, gérant et sommelier de l’établissement. Une cuisine du marché Pour s’assurer de la fraicheur de ses produits, le chef choisit de s’approvisionner localement. « Nous nous procurons les fruits et les légumes directement sur le marché. » Ainsi, la carte change au gré des saisons et le restaurant s’adapte volontiers en fonction des produits du moment. En cuisine, le chef laisse exprimer sa créativité pour signer des plats gourmands sans cesse renouvelés. Pour commencer ce voyage culinaire, le duo de foie gras mi-cuit de Corinne offre une excellente entrée en matière. En plat principal, le tartare de bœuf ou la tête de veau, qui figurent parmi les spécialités de la maison, sont vivement recommandés. En dessert, le fondant au chocolat noir et sa crème glacée restent incontournables. « Nous élaborons ce dessert avec une recette particulière », confie le maitre des lieux. Par ailleurs, l’établissement se démarque par ses « Menus autour des vins ». Composés d’une entrée, d’un plat, d’un fromage et d’un dessert, ces derniers s’accompagnent d’une dégustation de trois vins. C’est l’occasion pour Philippe Subira d’enfiler sa casquette de sommelier et de partager ses connaissances avec les invités tout en leur suggérant le meilleur accord mets-vin. 250 références S’ils le souhaitent, les convives peuvent acheter les vins proposés en dégustation lors du repas. Ce restaurant-caviste propose environ 250 références incluant des crus de toutes gammes et provenant de grandes régions viticoles françaises mais aussi étrangères. Pour aider ses hôtes à faire leur choix, Philippe Subira leur présente sa sélection « coup de cœur ». ...
Comme le nom du domaine le sous-entend, Patrick Dursent exerçait auparavant comme architecte. Poussé par la passion du vin et le territoire magnifique qu’il découvre avec vue sur la montagne et la mer, il tente une reconversion pour devenir vigneron. Un terroir typique du Roussillon Avec ses 14 hectares de parcelle, le Domaine de l’Architecte est une petite exploitation qui mise principalement sur la qualité, en appliquant une agriculture raisonnée. En tout et pour tout, la production annuelle est de 300 hectolitres, limitée à un rendement d’environ 20 hectolitres par hectare. L’exploitation a pour ambition de produire les meilleurs vins du Roussillon.Les 6 cépages différents sont cultivés en altitude sur un terroir très caractéristique, différent de la plaine du Roussillon, avec un climat plus frais, bien ventilé par la tramontane et l’air marin. La vendange est plus tardive qu’en plaine et se fait exclusivement à la main, avec un tri très sélectif des meilleures grappes de raisins.Tous les assemblages et toutes les cuvées monocépages sont élevés en cuve sans être boisés, afin de conserver les notes de fruits et d’épices typiques du terroir et leur souplesse en bouche. Des vins d’exception Parmi toutes les cuvées de l’exploitation, trois monocépages sortent du lot. En premier lieu, la cuvée « Aux figuiers » Côtes Catalanes IGP est un grenache 100% entièrement vendangé à la main, avec tri sélectif. Le millésime 2014, dont la production est limitée à 2400 bouteilles, vient d’être récompensé au Guide Hachette 2016 et noté 88-90 chez Parker. Très expressif, ce vin a beaucoup de longueur en bouche, avec des notes d’orange et de réglisse. Il s’accorde avec des gibiers de saison, une côte de bœuf ou une escalope de veau à la crème.En deuxième lieu, le domaine propose« Aux coings sauvages », une cuvée 100 % syrah qui conserve le côté poivré et épicé de son cépage. Son nom vient des coings qui bordent sa parcelle. Avec quelques mois d’élevage, ce millésime va parfaire et arrondir ses tanins.Dernier et non des moindres : le 100 % carignan « Aux amandiers » Côtes Catalanes IGP est une cuvée avec des notes de framboise, de groseille et de fraise des bois. Ce vin élégant s’accommode parfaitement avec une terrine gourmande d’automne, un tagine d’agneau aux coings, un sauté de veau au curry ou une souris d’agneau en cocotte. Parrainez des pieds de vigne À la manière des financements participatifs, le Domaine de l’Architecte a monté un projet nommé « Parrainez des pieds de vigne ». Un concept gagnant-gagnant autant pour les parrains que pour le domaine, qui peut se passer ainsi des banques tout en étant capable de développer la qualité de sa production.Au choix, trois niveaux de parrainage sont proposés. Pour 300 €, le « parrain du domaine » reçoit 12 bouteilles des Voiles Rouges pendant 3 ans, ce qui lui fait économiser 52 €. Pour 500 €, le « parrain bienfaiteur » réalise une économie de 169 € avec ses 12 bouteilles de Voiles Rouges, 6 bouteilles de Voiles Blanches et 6 bouteilles de Voiles Roses offertes pendant 3 ans. Avec 1 000 €, le « parrain grand amateur » obtient pendant 3 ans 12 bouteilles de Voiles Rouges, 6 bouteilles de Voiles Blanches et 3 bouteilles des 3 cuvées d’exception monocépage « Aux amandiers », « Aux figuiers » et « Aux coings sauvages », soit une économie de 339 €.Outre ces économies directes, les parrains bénéficient d’autres avantages exclusifs comme des invitations gratuites pour les dégustations et les soirées organisées par le domaine, une réduction de 15% sur les tarifs publics des vins du domaine et une avant-première sur toute l’actualité de l’exploitation. ...
L’histoire du domaine G. Tribaut remonte à 1935, lorsque le grand-père, Gaston, acquiert une dizaine d’hectares de vignoble pour se vouer à la fabrication du champagne. Depuis, son fils, Ghislain, et ses petits enfants,Vincent et Valérie, perpétuent son œuvre en créant des champagnes dignes de la région et de la famille. Un terroir de premier choix Du fait de son terroir crayeux, la vallée de Marne est une région qui se prête bien à la viticulture. Et les 12 hectares de vignoble du domaine G. Tribaut sont plus que privilégiés, du fait de son installation sur des coteaux classés Premier Cru, avec un ensoleillement idéal tout au long de l’année. Alliées à une agriculture raisonnée, toutes ces conditions permettent à Vincent et Valérie d’obtenir, au fil des années, de belles récoltes de raisins, car, comme on le sait, « le raisin fait le vin ». Des cépages typiques Côté cépages, les responsables du domaine ont opté pour trois variétés typiques de la région champenoise, à savoir le Pinot noir, le Meunier et le Chardonnay. Les différentes cuvées et millésimes s’obtiennent grâce à un savant dosage entre ces trois cépages, à l’exemple de la « Cuvée de Réserve », à 40 % de Chardonnay, 30 % de Pinot noir et le reste en Meunier. Ce champagne complexe et plein d’expression en séduira plus d’un avec son bouquet fruité aux notes de poire et de litchi, ample et gras en bouche, très gourmand. Autre produit phare du domaine, le « Blanc de Blancs de réserve » a été élu coup de cœur du Guide Hachette des vins 2017. Caractérisé par sa fraîcheur et sa légèreté, ce champagne 100 % Chardonnay est idéal pour l’apéritif, servi avec des mets tels que les huîtres ou des coquillages. ...