Avec treize ans d’expérience dans l’accompagnement d’entreprises, start-up et associations, Marie-Anne Haour entend tirer profit de sa connaissance du Design Thinking pour apporter un coaching plus efficient pour aider ses clients à travailler et innover différemment. Le coaching, un métier en plein essor Ces dernières années, le coaching s’est largement développé au vu des évolutions que connaissent la société et les individus qui la composent. Face à ces changements, le coaching est rapidement devenu un outil indispensable pour accompagner les personnes dans leur évolution à la fois personnelle et professionnelle. En général, cet accompagnement vise à libérer les potentiels de chacun en mettant en place des stratégies pouvant aider à atteindre des objectifs spécifiques. En fonction des besoins, le coaching peut ainsi revêtir plusieurs formes. Mais qu’il s’agisse de coaching individuel, d’équipe ou d’organisation, les techniques utilisées tendent vers un seul et même but : la résolution d’une problématique de développement. Une méthodologie originale La méthodologie de coaching prônée par Marie-Anne Haour, fondatrice de Simiya, s’appuie sur un puissant processus d’innovation qu’est le Design Thinking. « Il s’agit d’un processus d’innovation centré sur l’humain, l’idée est de passer par l’humain afin de proposer des solutions qui sont viables économiquement et réalisables technologiquement », explique Marie-Anne HAOUR. L’intérêt de cette méthode repose sur le fait qu’elle génère une nouvelle manière de travailler avec un état d’esprit complètement différent de celui qu’on trouve traditionnellement en entreprise. Cet état d’esprit repose sur l’empathie, la confiance créative, l’optimisme dans un contexte complexe et s’appuie sur l’intelligence collective. « Par exemple, depuis quelques années, j’accompagne aussi bien des groupes du CAC 40, que des groupes scolaires à changer leur façon d’innover avec plus d’agilité et de collaboratif grâce au Design Thinking. » Dans le cadre d’ateliers, elle accompagne les équipes sur des projets concrets où elle injecte aussi bien de la formation sur la méthodologie du Design Thinking, que du coaching autour de la nouvelle posture à adopter dans le cadre de ce type de travail. « En créant un contexte bienveillant et en accompagnant les individus et le collectif avec du coaching, on arrive à des résultats incroyables en termes de transformation dans les mentalités et dans les réflexes de travail collaboratif . » Des offres de coaching pour des cibles différentes Simiya propose des offres de coaching pour les entreprises, notamment au niveau des cadres dirigeants, des jeunes cadres ou des équipes formées autour d’un projet. L’accompagnement a pour objectif de permettre à ces équipes de progresser en termes de performance et d’innovation. Cela passe nécessairement par un changement d’état d’esprit et une collaboration optimisée. Et pour améliorer la manière de collaborer, Marie-Anne Haour privilégie l’approche systémique qui est centrée sur les interactions de l’individu avec les autres. Outre le coaching d’entreprise, Simiya accompagne également les individus dans leurs moments de transition. « J’explore avec eux leurs envies et leurs besoins, et les aide à élargir leur réflexion pour les amener à définir des projets d’avenir concrets », souligne la fondatrice. Enfin, un accompagnement sera bientôt proposé aux personnes qui ont été touchées par un cancer pour les aider dans leur reconstruction. Ici, il ne s’agit pas d’intervenir au niveau psychologique mais plutôt de mettre l’accent sur la réalisation et la prise de confiance en soi à travers l’action. ...
Le Domaine du Loou renaît de ses cendres en 1956 sous l'impulsion de Dominique Di Placido qui rachète les terres ayant autrefois appartenu à l’Abbaye de Saint-Victor et aux familles de l’évêque de Metz et Alexis. Aujourd'hui, l'exploitation familiale est gérée par les deuxième et troisième générations qui s’efforcent d’élaborer chaque année du vin bio d’excellente qualité. Des conditions idéales Le Domaine du Loou, établi sur le terroir en appellation Coteaux-Varois en Provence, s’étend sur une surface de 60 ha d’un seul tenant. À 300 m d’altitude, avec une exposition sud et sud-est, les vignes profitent d’un ensoleillement optimal et s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire. Elles sont également protégées du vent et des aléas climatiques grâce à la colline d’Agni et le massif de la Loube. Au niveau de l’encépagement, celui-ci se compose principalement de syrah, de cabernet sauvignon et de mourvèdre pour les rouges. Le reste est constitué de rolle et de sémillon pour les blancs et de grenache et cinsault pour les rosés. Respect de l’environnement Depuis 2009, le domaine est certifié Ecocert et privilégie les méthodes de l’agriculture biologique. « Nous sommes fiers de cette démarche Bio qui demande, certes, beaucoup de travail mais qui correspond à notre vision du travail de la vigne », souligne Audrey Dutray, petit-fille et fille des propriétaires. Quand les raisins arrivent à leur pleine maturité, le domaine procède à une vendange nocturne. « Nous vendangeons la nuit en raison de la température qui est encore fraiche. De cette manière, nous évitons la fermentation prématurée des raisins », nous explique-t-on. Côté vinification, le maintien des températures de fermentation ainsi que la réfrigération des macérations des vins blancs et rosés sont assurés par des drapeaux flottants. L’élaboration des vins se réalise dans des cuves en inox et en béton. Les cuvées emblématiques La maison est particulièrement fière de ses deux rosés : « Terres du Loou » et « Rosée de Printemps ». Obtenu à partir de l’assemblage de cinsault, de grenache et de syrah, le premier est un vin très aromatique qui surprend par sa fraicheur intense. « C’est un vin plutôt thiolé qui séduit largement notamment pour l’apéritif », dévoile Audrey. La cuvée « Rosée de Printemps » est, quant à elle, un assemblage de grenache et de syrah. « Le choix du syrah lui procure une note amylique apportant beaucoup de douceur et plus de rondeur. Il s’agit d’un rosé original, gourmand et assez gastronomique. » ...
Quelle est l’histoire de Margo ? Ma fille Margo a été diagnostiquée d’un cancer à l’âge de 14 ans. Malheureusement, il s’agissait d’une tumeur au cerveau incurable. Pendant seize mois, ma fille s’est battue contre cette maladie tout en organisant parallèlement une collecte de fond pour aider la recherche qui a permis de récolter plus de 100 000 euros. Ce combat, je l’ai vécu à ses côtés et cela m’a fait prendre conscience que les enfants n’étaient pas épargnés par les cancers. Il s’agit même de la première cause de décès par maladie des enfants de plus d’un an en France et en Europe. Lorsque Margo nous a quittés, elle a laissé dans un cahier ce message inspirant : « Vas y, bats-toi, gagne ! » J’ai alors créé, avec son père, mon mari, l’association Imagine for Margo afin de poursuivre le combat. Parlez-nous de la genèse de l’association ? Déjà, c’est un changement de vie complet. J’ai dû arrêter de travailler pour m’investir totalement dans l’association que je voulais professionnelle et qui s’est développée rapidement. L’objectif a rapidement été clair : faire bouger les lignes pour obtenir des traitements et des médicaments moins toxiques et plus efficaces pour les enfants au travers de l’accès sécurisé à une recherche innovante et du développement de la médecine de précision. Parallèlement, l’objectif est de rechercher et d’obtenir des financements en mobilisant différents acteurs qu’ils soient industriels ou politiques et faire évoluer la réglementation européenne en la matière. L’idée, aussi, est de sensibiliser l’opinion publique sur les cancers qui touchent les enfants à travers des campagnes de communication. Enfin, l’association entend également apporter du soutien aux enfants et à leurs familles dans leur combat. Quels sont vos partenaires financiers ? Il faut bien comprendre que le cancer de l’enfant est peu attractif pour les industriels du médicament, qui préfèrent privilégier la recherche pour les cancers des adultes qui concernent plus de patients. Face à cette réalité, nous avons mobilisé activement nos donateurs ; particuliers et entreprises. Ainsi, en 10 ans, l’association Imagine for Margo a affecté 17 millions d’euros à la recherche en oncologie pédiatrique permettant de cofinancer 42 programmes de recherche aboutissant, aujourd’hui à 28 nouveaux traitements bénéficiant à 3000 enfants en France et en Europe. Depuis 2020, nous avons aussi fait changer d’échelle notre combat. En effet, avec deux autres associations européennes au Luxembourg et en Belgique, nous avons créé, l’appel à projets, Fight Kids Cancer. Ce regroupement est inédit et significatif. L’objectif est de booster la recherche contre le cancer en mutualisant nos fonds afin d’agir plus vite contre ce fléau qui touche 35.000 enfants et adolescents en Europe. En 3 ans, ce sont plus de 12 millions d’Euros qui ont été affectés à des programmes de recherche innovants. Pour les chercheurs, le message est clair : Nous souhaitons qu’ils passent moins de temps à chercher du financement et qu’ils se consacrent à leur mission : créer un monde avec des enfants sans cancer. Parvenez-vous à sensibiliser vraiment les politiques et les industriels du secteur ? Il faut être volontariste. Ainsi, nous souhaitons que des fonds européens soient dédiés à la recherche pour les cancers des enfants. D’ailleurs, les lignes bougent avec le premier Plan cancer européen et la Mission cancer pour financer de nouveaux projets au niveau européen. Aussi, le changement de la règlementation européenne va être annoncé en mars et nous espérons que cela va aller en faveur du développement des médicaments anti-cancéreux chez l’enfant, comme cela est déjà le cas dans la règlementation américaine depuis 2020. Par ailleurs, des laboratoires pharmaceutiques commencent à mettre en place des équipes dédiées à la pédiatrie, c’est prometteur et nous e...
Un orthoptiste est un professionnel paramédical de la vision, formé au sein des Unités de formation de recherche (UFR) des 14 centres hospitaliers universitaires (CHU) de France. Il est spécialisé en rééducation, en réadaptation et en exploration de la fonction visuelle. La rééducation Les orthoptistes, historiquement, prennent en charge les déséquilibres oculaires, les strabismes, les amblyopies… et soulagent les patients de leurs céphalées, de leurs douleurs oculaires, de leurs problèmes de mise au point, de leur vision floue, de leur vision double, qu’ils travaillent sur écran ou qu’ils soient obligés de fixer de manière importante. Se sont ajoutées, depuis plus de dix ans, les prises en charge des troubles d’apprentissage chez les enfants, les troubles de l’équilibre et les troubles d’orientation du regard. La réadaptation Les orthoptistes sont en charge des patients atteints de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et de basse vision en général (glaucome, rétinopathie diabétique…) ainsi que de ceux qui sont atteints de troubles neurovisuels ou de conséquences neuro-ophtalmologiques des pathologies générales. Entrent dans ces catégories de nombreuses pathologies neurodégénératives telles que la sclérose en plaques, les séquelles d’accident vasculaire cérébral (AVC) ou la maladie de Parkinson sur lesquelles l’orthoptiste œuvre dans le but de rendre aux patients des capacités de fixation et de traitement de l’information visuelle restantes les plus efficaces possibles. Ce type de prises en charge contribue à un maintien à domicile plus aisé pour ces patients ainsi que pour la population vieillissante. L’exploration de la fonction visuelle Les orthoptistes sont ces professionnels que vous pouvez rencontrer dans les cabinets d’ophtalmologie et qui interviennent en amont de la consultation du médecin, pratiquant différentes mesures de votre œil et différents examens de votre vision. Dans un contexte de diminution démographique importante du nombre d’ophtalmologistes, de l’augmentation des actes techniques ainsi que de l’accroissement et du vieillissement de la population, la filière visuelle a dû se réorganiser. Les partenaires privilégiés que sont les ophtalmologistes confient trois quarts des mesures techniques à l’orthoptiste. Ils peuvent ainsi passer moins de temps avec chacun de leurs patients et donc recevoir plus de patients au cours d’une même journée. Et c’est dans le même esprit que les orthoptistes peuvent aussi réaliser de nouveaux actes comme le contrôle entre deux rendez-vous de pathologies chroniques, le bilan visuel avant prescription ou renouvellement de lunettes, le dépistage de la rétinopathie diabétique, qui est le premier acte de télémédecine remboursé par la Sécurité sociale, dont le but est d’éviter de ne découvrir la pathologie que trop tard. Les orthoptistes travaillent uniquement sur prescription médicale en libéral ou sont salariés d’un ophtalmologiste. Près de 4 000 orthoptistes Leur effectif est en constante augmentation puisque, à ce jour, on en dénombre près de 4 000 sur tout le territoire, dont les deux tiers sont en libéral près de chez vous et un tiers exerce auprès des ophtalmologistes ou dans les structures hospitalières. La filière visuelle connaitra une avancée supplémentaire et une réduction encore plus importante des délais de rendez-vous chez les ophtalmologistes lorsque les orthoptistes libéraux seront autorisés à réaliser les mêmes actes et les mêmes délégations que les orthoptistes salariés. ...
Une coque souple de protection pour soulager les douleurs post-accouchement C’est suite à son accouchement, en 2012, que l’idée est venue à Clarisse Le Court de mettre au point une coque de protection en silicone pour les femmes ayant des plaies aux parties intimes. « Je n’ai pas eu d’épisiotomie. En revanche, j’ai souffert d’une déchirure du périnée. Je souffrais tellement qu’il m’était devenu impossible de m’asseoir pour allaiter mon bébé » se souvient elle. « J’ai eu beau chercher, il n’y avait sur le marché aucun dispositif permettant de prendre en charge efficacement les douleurs, qu’elles soient post-accouchement ou post-opératoires, liées aux points de suture sur les parties intimes… Un véritable désert médical ! J’ai donc dû inventer moi-même un système capable de soulager non seulement ma douleur. Mais aussi celles de toutes les autres femmes qui se trouvaient dans ma situation ». Clarisse qui travaille dans le milieu des dispositifs médicaux depuis une quinzaine d’années s’entoure alors des meilleurs spécialistes (chirurgiens, gynécologues, spécialistes en biomatériaux, etc.) et ne tarde pas à créer une start-up : Claripharm. Elle met également au point Claricare, une coque de protection brevetée en silicone médical biocompatible à la fois pratique, discrète et efficace. L’hygiène menstruelle est encore trop méconnue Les règles et l’hygiène menstruelle constituent l’autre cheval de bataille de Claripharm. Et pour cause, en matière de protections féminines, la réglementation européenne serait trop laxiste. Bon nombre d’industriels s’appuient d’ailleurs sur le statut non médical des tampons pour rester évasifs quant à la fabrication et la composition de leurs produits… « Dans certains produits commercialisés par nos concurrents, on trouve des colorants alimentaires ! En France, les protections hygiéniques ne sont pas plus réglementées qu’un stylo Bic ! C’est pourtant un produit que toutes les femmes utilisent cinq jours par mois, pendant 30 ans de leur vie » constate Clarisse. Il est d’ailleurs intéressant de souligner que des tests menés récemment révèlent que les coupes menstruelles que commercialise Claripharm ne contiennent pas de Bisphénol A ni de métaux lourds. Sans oublier le syndrome du « choc toxique » (SCT) qui a fait sa réapparition depuis quelques années. Victime de ce syndrome, un mannequin a d’ailleurs dû subir une amputation… Prenant à contre-pied l’opacité ambiante, Clarisse mise, au contraire, sur la transparence pour briser les tabous et faire bouger les lignes. « Avant de les commercialiser, nous faisons subir à nos coupes menstruelles toute une batterie de tests afin de nous assurer de leur totale innocuité. Leur composition exacte apparaît clairement sur tous nos produits. Et nous prenons soin d’expliquer à nos clientes comment les utiliser, combien de temps les garder, de quelle façon les nettoyer… La transparence, c’est inscrit dans notre ADN ». Et Clarisse de regretter que la menstruation souffre d’un déficit de communication. « La gestion de l’hygiène menstruelle et les bonnes pratiques devraient être davantage enseignées à l’école. Il est important que les pouvoirs publics agissent ». De même, les effets du microbiote vaginal (l’ensemble des bactéries qui sont présentes dans le vagin et le protègent, Ndlr) sur le staphylocoque doré paraissent largement sous-estimés et gagneraient à faire l’objet d’études scientifiques plus poussées. Une gamme de produits qui ne cesse de s’élargir Loin de se reposer sur le succès de ses produits (coque de protection, gel douche intime, coupe menstruelle), Claripharm innove constamment. Sont ainsi attendus un complément alimentaire destiné à soulager les règles douloureuses, une mini coupe menstruelle pour les adolescentes, un gel douche intime à la composition la plus neutre, un biofilm avec applicateur pour lutter contre les symptômes de la ménopause et même des produits à destination des hommes (et de leurs prostates !). « Nos recherches ne se limitent pas aux femmes. Nous avons toutes des maris, ...
Filières de Santé Maladies Rares (FSMR), Centres de Compétences Maladies Rares (CCMR), Centres de Référence Maladies Rares (CRMR), focus sur les structures opérantes mises en place en France pour combattre les maladies rares. Quelques mots sur les maladies rares Une maladie rare peut être identifiée à travers le nombre de personnes affectées. En effet, si l’on se fie au seuil fixé en Europe, pour être classée « rare », la maladie ne doit impliquer qu’un individu sur 2000 par rapport à l’ensemble de la population. Jusqu’à présent, 8000 maladies ont été découvertes par les spécialistes de la santé. Une des spécificités des maladies rares réside dans le fait que la plupart d’entre elles n’ont pas de traitement curatif. Les Centres de Référence Maladies Rares (CRMR) Les CRMR sont organisés autour d’une équipe pluridisciplinaire et spécialisée dans les maladies rares. Pour pouvoir apporter des avancées significatives, cette équipe doit disposer d’une expertise éprouvée en matière de formation, de recherche et de soins. L’objectif principal de ces centres est avant tout d’assurer l’équité par rapport à la prise en charge, le diagnostic et le traitement. Les CRMR ont 5 missions qui leur sont assignées. La première concerne la coordination dans laquelle chaque centre identifie, supervise et anime sa filière de soins. Le CRMR est également amené à stimuler et coordonner les structures qu’il rassemble. La seconde mission relève de l’expertise. Elle consiste à organiser des réunions collégiales entre médecins de différentes spécialités appelées RCP (Réunion de Concertation Pluridisciplinaire), réaliser et émettre des recommandations et des PNDS (Protocoles Nationaux de Diagnostic et de Soins), instaurer une démarche qualité et assurer régulièrement le recueil épidémiologique. Ensuite, la troisième mission est une mission de recours. Compte tenu du nombre restreint d’experts et de la rareté de certaines maladies, le CRMR intervient au-delà de son bassin de santé et garantit une prise en charge médicale multidisciplinaire, diagnostique et de suivi. Le CRMR mène également des missions de recherche. Dans cette optique, ils encouragent et apportent leurs contributions au développement de la recherche qu’elle soit organisationnelle, clinique ou de transfert. La quatrième mission concerne la formation et l’enseignement. Dans le cadre des maladies rares, le CRMR apporte aussi sa contribution en participant à des enseignements universitaires. Les CRMR revêtent deux formes : mono-sites ou multi sites. S’ils sont mono-sites, on peut parler dans ce cas de « site coordonnateur ». Pour les multi-sites, ces derniers intègrent à la fois un « site coordonnateur » avec de nombreux « sites constitutifs ». Les CRMR bénéficient d’un label pour une durée de 5 ans. Durant cette période, ils sont sous la supervision d’un coordonnateur. ...
Tout commence en 1945, année où René Lacave plante ses premières vignes. Par la même occasion, il se spécialise dans le greffage et la multiplication de plants de vigne et devient pépiniériste viticole. Trois générations plus tard, c’est toujours avec la même passion que la famille Lacave travaille ses terres et ses vignes. La gestion du domaine est aujourd’hui confiée à Sonia et à son frère Jérôme. Et leurs parents Francis et Michelle sont là pour apporter leur savoir-faire et leur expérience. Ici, la vigne est une affaire de famille et il n’y a aucune raison que cela change ! Honneur aux cépages locaux Le domaine de Lartigue travaille sur un vignoble d’une superficie de 51 hectares, réparti sur deux sites différents. Une partie profite des coteaux ensoleillés du Bas-Armagnac, reposant sur un sol à dominante boulbène (limon et sable), tandis que l’autre pousse sur des sols argilo-calcaires de l’Armagnac-Ténarèze. « Nous disposons de terroirs qui se prêtent particulièrement bien aux cépages locaux », précise Sonia. En effet, l’encépagement est constitué à 80 % de cépages blancs typiques de la région, tels que le colombard qui procure aux vins des côtes de Gascogne leur côté fruité et aromatique, le baco (cépage hybride unique au monde, né du croisement entre la folle blanche et le noah), l’ugni blanc, le petit manseng, le gros manseng ainsi que le chardonnay, le pinot gris et le sauvignon blanc. Les 20 % restants sont dédiés aux cépages rouges : marselan, merlot, tannat, cabernet-sauvignon et syrah. Du plant de vigne au vin Étant à la fois producteur de plants de vigne et viticulteur-récoltant, le domaine de Lartigue maitrise parfaitement toute la chaine de production. Le travail de la vigne se fait dans le respect des traditions mais aussi de l’environnement. Depuis quelques années, la famille Lacave applique une viticulture raisonnée qui donne naissance à des raisins sains et de qualité, reflétant toute la typicité du terroir. Apport d’engrais organiques, effeuillage, enherbement, techniques de piégeages appuyés par des données météorologiques fiables pour éviter l’usage d’insecticide… Le domaine ne lésine pas sur les moyens afin d’assurer une production qualitative. Certaines parcelles font même l’objet d’une expérimentation pour le moins originale. Afin d’aider les vignes à lutter contre les maladies, on diffuse tout bonnement au niveau de ces parcelles de la musique classique à des horaires bien précis. « Grâce aux effets des vibrations produites par la musique, la vigne développe une résistance face aux maladies comme l’esca qui ravage les vignobles gersois depuis une dizaine d’années », nous révèle-t-on. Côté vinification, la même rigueur et le même souci de la qualité ont poussé le domaine à combiner savoir-faire ancestral et technologie moderne. Avant d’atteindre leur pleine maturité, les baies font systématiquement l’objet d’une analyse gustative poussée. Une fois récoltés, les raisins passent par un schéma classique de vinification : d’abord une macération pelliculaire puis un pressurage pneumatique avant le débourbage, la stabulation à froid (de 10 à 12 jours), la fermentation à basse température afin de préserver la finesse des arômes. Et pour terminer, un élevage sur lies donnant lieu à des vins complexes et bien structurés. Une large gamme de produits Le domaine présente une riche gamme de produits, incluant des vins des côtes de Gascogne, des flocs de Gascogne et des armagnacs qui font la fierté de la maison. Fruités et légers, les vins de Gascogne se déclinent en blanc, rosé et rouge. Moins connu mais tout aussi savoureux, le floc de Gascogne est, quant à lui, élaboré à partir d’un mélange subtil de jus de raisin et d’armagnac. En blanc ou en rosé, celui-ci reste un produit authentique, qui fait l’objet d’une appellation d’origine contrôlée. Enfin, la maison garde le meilleur pour la fin et dévoile ses armagnacs, et surtout une collection exceptionnelle de vieux millésimés...
Bonjour Sophie, pourquoi selon vous de plus en plus de personnes font appel à des coachs professionnels ? Après quelques années dans la vie active, souvent lorsque l’on a entre 35 et 45 ans, on ressent le besoin de faire un bilan de sa vie et notamment de sa vie professionnelle. On compare alors ses aspirations avec la réalité et on peut se rendre compte qu’il y a un décalage entre les deux. A cette étape, que Carl Gustav Jung appelait la « mi vie », beaucoup sont prêts à remettre en question ce qui ne fonctionne pas ou plus. Vous parlez de la tranche d’âge 35-45 ans, pourquoi cette étape est-elle charnière ? Cette tranche d’âge est souvent celle des désillusions et des remises en question. On ouvre les yeux sur la réalité, on se rend compte que le temps passe vite et on se dit que c’est le bon moment pour opérer des changements. C’est aussi l’âge où on commence à avoir davantage confiance en soi et où on sait ce qu’on veut et ce qu’on ne veut pas ou plus. Sur un plan professionnel, à cet âge-là, on travaille généralement depuis 10 à 20 ans déjà. On peut avoir des responsabilités professionnelles importantes parfois lourdes à gérer ou bien à l’inverse, se sentir frustré de ne pas avoir les responsabilités professionnelles que l’on souhaiterait avoir. On peut aussi se rendre compte que la voie dans laquelle on évolue ne correspond plus à nos valeurs ou nos aspirations. Sur un plan personnel, ceux qui ont des enfants peuvent avoir du mal à trouver un équilibre entre travail et vie familiale. Et ceux qui n’en ont pas peuvent se mettre la pression pour en avoir ou bien peuvent être confrontés à la question du renoncement à la parentalité. Il n’est pas rare aussi que les 35-45 ans ne puissent plus s’appuyer comme auparavant sur leurs parents et recherchent le soutien de mentors ou de coachs pour les guider et mettre en adéquation leur « vie » avec leurs « envies ». Que permet l’approche globale ? Les personnes qui viennent nous voir ne savent pas toujours clairement pourquoi elles ressentent le besoin d’évoluer ou pourquoi elles ont un sentiment d’insatisfaction. Elles croient que c’est parce qu’elles n’ont pas assez de résultats professionnels. Ou alors elles pensent que c’est parce que leur domaine d’activité ne leur correspond pas. Mais en général leurs envies de changement sont plus profondes et plus subtiles : - Ce chef d’entreprise pense qu’il manque d’autorité alors qu’en réalité, il a une blessure émotionnelle qui lui fait tout interpréter personnellement et contre lui. Le moindre geste de ses salariés est reçu comme une agression, il se ferme, et le malaise qui en découle altère son autorité. Nous transmettons des techniques pratiques qui l’aident à cicatriser sa blessure et à se relier aux autres avec authenticité, ce qui change radicalement son leadership. - Ce manager pense qu’il n’est pas compétent car il n’est pas reconnu dans son travail. En réalité son entreprise rencontre des difficultés d’ordre financier et son chef n’arrive pas à lui transmettre des feed-back positifs dans ce contexte. Nous lui proposons des exercices et des méthodes qui lui permettent de se détacher du regard de l’autre pour qu’il s’auto-évalue de manière juste. Il apprend la communication non violente qui lui permet de dialoguer avec sa direction, en exprimant sereinement ses besoins et ses attentes. - Ce salarié ressent qu’on l’utilise, qu’on le « surcharge », qu’on ne considère pas ses alertes sur le fait qu’il en fait trop. Alors qu’en réalité c’est lui qui culpabilise de ne pas arriver à faire plus, il ne sait pas dire « non » et le surmenage lui fait petit à petit perdre son tonus physique et son enthousiasme. Nous le mettons en situation pour qu’il gagne en assurance et améliore ses capacités de communication. Ce qui lui permet de redevenir maître de son existence et de ne plus avoir le sentiment de subir. - Cette femme veut créer son entreprise mais n’arrive pas à avancer sur son projet. Il s’avère en fait qu’elle souhaite réaliser son projet parce qu’elle est persuadée qu’elle gagnera plus d’argent. Or, ce n’est pas une motivation suffisamment solide pour pouvoir mener à bien un projet de création d’entreprise. Nous l’aidons à se recentrer sur ses aspirations profondes et à imaginer une carrière en adéquation avec ce qu’elle est vraiment. - Cette employée donne tout, elle est au bord du burn-out, son corps somatise, elle pense devoir changer de travail. Nous l’aidons d’abord à équilibrer sa vie tout en lui apprenant à reconnaître ses limites et à les exprimer. Elle retrouve force, courage et confiance en elle pour transformer son poste actuel. Elle apprend à continuer à se développer en toute autonomie et à trouver ses propres ressources pour ne plus revivre ses erreurs passées. Dans l’approche globale, on éclaire les parts invisibles de l’être humain qui sont en jeu dans la problématique amenée. Par une méthode fine d’évaluation des différents domaines de la vie de la personne, on élabore sur-mesure des exerci...
Voilà maintenant vingt ans qu’Alain Milliat partage sa passion pour les bonnes choses avec les amoureux du bon goût. En apéritif, en Brunch ou en Tea-time, la collection reste incontournable, de par les textures uniques et les saveurs authentiques. Proposant trente-six parfums différents, cette palette unique de parfums séduit et fascine par sa puissance et sa fraicheur aromatique. « À chaque produit son fruit frais » Ici, les produits n’ont, en effet, pas de saveurs uniformes et sont différents selon la saisonnalité. Les années et les aléas climatiques façonneront ainsi leur goût et leur texture. « Nous allons chercher une origine, une variété, un niveau de maturité très particulier », fait savoir le fondateur. Provenant de Sicile, du Pérou ou de la Drôme, les fruits gardent ainsi toutes leurs caractéristiques. Une véritable mosaïque de saveurs à découvrir. Le fruit dans toute sa splendeur « Notre cœur de métier est d’identifier un fruit par ses particularités, sa texture, sa couleur et ses arômes, et de retranscrire toutes ces singularités dans un jus de fruits », continue-t-il. Le nectar d’abricot présente, par exemple, une texture onctueuse, un orangé lumineux, une belle attaque en bouche et un équilibre sucre acide pour révéler les arômes si particuliers de cette variété Bergeron. Laissez-vous surprendre par la fraicheur et le zesté de la Mandarine Ciaculli, récoltée près de Palerme. Appréciez également la subtilité et l’élégance d’un jus de Raisin Sauvignon récolté en vendange précoce. La collection Alain Milliat est présente sur les belles tables, dans les hôtels de luxe et en boutique spécialisée. ...
Situé sur le « plateau » commun de l’ouest de Saint-Emilion et de Pomerol, le Château Croque Michotte dispose de près de 14 hectares de vignes (cépages : merlot, cabernet franc et cabernet sauvignon) et d’un terroir exceptionnel de sables anciens et de graves sur argiles ferrugineuses. Le programme de replantation en cours tend à augmenter la proportion de cabernet franc, compte-tenu des résultats exceptionnels obtenus ces dernières années avec ce cépage aux tanins serrés et au degré moins élevé, particulièrement bien adapté aux conditions météorologiques du climat aquitain. Château Croque Michotte : historique Samuel Geoffrion acquit le Château Croque Michotte en 1906. Sa fille Hélène, puis Robert Carle menèrent ce vignoble familial, qui est exploité aujourd’hui par Pierre Carle, arrière-petit-fils de Samuel Geoffrion. Lucile Carle, fille de Pierre Carle, complète l’équipe de direction. Les travaux dans les vignes et les chais sont menés par Claudie et Eric, travailleurs expérimentés. Le Château Croque Michotte fut le premier des grands châteaux du bordelais à obtenir la certification d’État Bio, en 1999, avec quatorze ans d’avance sur les suivants. Cette démarche environnementale fut motivée par la lecture des notices des produits phytosanitaires et le souci de la protection des employés agricoles. D’autres mesures environnementales sont prises, telles éclairages à LED dans les chais, véhicule au GPL, traitement des bouchons sans produit chimique, marquage au feu, désinfection des chais sans produits de synthèse ou chlorés, etc. Depuis toujours les vendanges sont manuelles, les raisins, issus de petits rendements pour la mise en valeur du terroir, sont mis en cagettes par les vendangeurs et ne subissent aucune autre manipulation jusqu’au chai. Les grappes sont ensuite éraflées, les raisins sont triées sur une table optique automatique très performante, puis poussés par une pompe péristaltique et enfin foulés juste à l’entrée des cuves. Cette suite d’actions est la plus sûre pour éviter l’oxydation des raisins. Les vinifications sont effectuées sans sulfites, le moût étant protégé par des méthodes microbiologiques. Puis vient l’élevage d’environ quinze mois en barriques de chêne français à grain fin, dont 60 % neuves. Le millésime 2016 a reçu une médaille d’or et le Grand Prix des vins bio au Challenge International du Vin et une médaille d’or au Concours Mondial des vins Féminalise. Vous apprécierez autant sa belle robe rouge rubis que son nez fruité et fumé, complété par des pointes d’épices douces, et son attaque en bouche veloutée et franche accompagnée de tanins savoureux. Sans oublier sa finale longue agrémentée d’arômes de cacao. ...
« La promesse du Sud ». C’est avec ce slogan très ensoleillé que l’agence de voyages ES Wine se lance dans le domaine de la création de voyages à destination du plus grand vignoble du monde. Son concept : tailler des expériences sur mesure pour faire découvrir le Languedoc et ses alentours. Au travers de ses vins, bien entendu, mais aussi de toutes ces facettes qui font de l’Occitanie une mosaïque de sensations. Foison de circuits pour toutes les gammes d’envie Emmanuelle Robert le dit d’emblée : la force de ES Wine, « c’est son expertise sur la région, sa connaissance pointue du milieu de l’hôtellerie, son partenariat avec différents prestataires, les services sur mesure et surtout une expertise sur le vin ». Forte de ces arguments, l’enseigne décline des offres de circuits à la découverte du Languedoc où le vin sert de fil conducteur. Les promesses de découvertes, elles, jouent la carte de l’éclectisme. De la Camargue au bassin du Thau, en passant par le massif des Corbières, l’Occitanie est en effet une terre de contrastes. Pour ne pas passer à côté de l’essentiel et frayer avec les grandes particularités, ES Wine prend donc le parti de combiner les expériences en des formules d’une journée à une semaine de cinq ou sept jours, sur différentes thématiques. Une journée à une semaine pour saisir le meilleur de l'Occitanie La Côte Vermeille, formule d’accès aux singularités roussillonnaises, s’apprécie, par exemple, en un week-end de trois jours. De Collioure à Banyuls, ce sont les vins doux naturels des Pyrénées qui se laissent percer dans leur secret. Les charmes de la montagne succèdent au charme bon enfant des paysages maritimes. Le musée d’Art moderne de Céret constitue l’incursion culturelle de ce parcours. Pour les grands pressés, le pic Saint-Loup constitue un excellent prétexte de balade dont les étapes permettront d’entrer dans l’intimité de trois domaines. Dégustations de vins et déjeuner de plats du terroir au programme pour cette incursion d’une journée. Le culturel est au cœur des parcours des Corbières, des occasions à saisir pour goûter aux meilleurs crus du Languedoc. Du palais des Archevêques à l’abbaye de Fontfroide, de Carcassonne aux châteaux cathares les yeux ne se lassent pas des fastes de ces patrimoines occitans médiévaux. Incursions savoureuses et œnologiques L'Occitanie via ES Wine, c’est également la possibilité de confiner ses activités à d’exceptionnels instants gastronomiques. Les repas œnologiques constituent des occasions de partage autour du vin. Proposé à des groupes restreints, ce parcours sensoriel inclut une pédagogie autour de crus d’un terroir donné, dispensée par un sommelier. L’expérience s’enrichit ensuite d’initiations savoureuses autour de mets de choix, arrosés naturellement du vin qui sied à l’occasion. Cette formule, au même titre que les offres de circuit, est également accessible à titre exclusif aux membres du Wine Club. Ce groupe de partage ouvre la participation aux ateliers de dégustation programmés par la maison, sur différents thèmes. Cette activité interactive peut, de son côté, être privatisée pour une initiation sur mesure. Service d’experts pour satisfaction sur mesure Les circuits de base proposés par ES Wine incluent l’hébergement dans un hôtel cautionné par l’enseigne et son expertise de la destination. Les domaines viticoles et les sites patrimoniaux méritant un détour sont minutieusement sélectionnés pour assurer une expérience inoubliable. Il en va de même des activités supplémentaires, type balade en bateau. Cependant, l’enseigne prend à cœur de tenir compte des souhaits de sa clientèle qui peut naturellement accéder à une programmation déclinée selon ses aspirations personnelles. ...
Se procurer des vins anciens ou des vins de grands producteurs, en tant que consommateur lambda, tient du défi. Donner accès au plus grand nombre à cette catégorie de « vins vendus sous allocation » figure dans les priorités de Vintage & Cie. Tenant boutique au 199, rue du Faubourg-Saint-Honoré, l’enseigne se targue d’être le stock le plus important de vins anciens d’accès grand public à Paris. Une adresse pour se procurer un cru, naturellement, mais aussi rejoindre un cercle de connaisseurs pour une expérience profonde de ce centre d’intérêt. Une aventure de passion et de raison C’est d’abord son émotion lors d'une dégustation de grands crus qui amène Louis Duquesne à imaginer le concept de son affaire. Le constat que l’achat de certains vins est l’apanage d’une clientèle privilégiée – en l’occurrence celle qui a une relation préalable avec un domaine donné – combiné à une demande croissante pour une offre limitée finit de le décider à le concrétiser. Il installe donc, fin 2014, un QG, rue du Faubourg-Saint-Honoré, et ouvre le stock qu’il a personnellement constitué. Dans cette collection, des vins difficiles à trouver soit parce qu’ils sont issus de petites productions, soit parce qu’ils sont signés de grands noms ou frappés de millésimes anciens. « En chiffre approximatif, on a à peu près 1000 références », nous confie cet entrepreneur averti, tout en soulignant que son dépôt est assurément « le stock de vins anciens le plus important [ouvert au public] à Paris ». Le répertoire pourrait paraître discret mais c’est par choix qu’il s’en tient à ce plafond, l’important étant, pour lui, d’être sélectif plutôt qu’exhaustif. Triés sur le volet Un œnologue dédié travaille pour le compte de l’enseigne, sa mission étant notamment de baliser le processus de sélection des crus intégrés dans le stock. Différentes régions sont représentées dans les références mises en vente : Bourgogne, Bordeaux, Rhône et Loire. La maison procède par progression à la couverture des vignobles des différents terroirs caractérisés par leur « diversité exceptionnelle ». Dans cette gamme large, l’enseigne met un point d’honneur à choisir ce qui se fait de mieux dans le vin en France, tout en intégrant des variétés pour que les plus petites, comme les plus grosses bourses y accèdent. Les crus du domaine Rayas, du châteauneuf, sont particulièrement recommandés par le propriétaire qui leur trouve une belle unicité malgré une production issue de différentes parcelles. Autrement, la maison possède par exemple les très rares Jaboulet Hermitage, La Chapelle 1961 et Château Margaux 1900. Moments de partage autour des vins rares Pour prolonger l’expérience de ces vins rares, le sous-sol de la boutique parisienne abrite un salon et un bar où les habitués peuvent se retrouver. « L’idée est de reproduire l’ambiance d’un salon à la maison et de pouvoir échanger avec nos œnologues ou de faire des dégustations », précise le patron de la maison. Des clients privés ou des entreprises peuvent bénéficier de ces sessions, rigoureusement planifiées en amont en tenant compte du budget de chacun. « Notre vision est que le vin peut être un produit de luxe et d’exception qui crée une expérience gustative absolument unique. […] Notre ambition, c’est qu’il n’y ait pas de spéculations sur le vin, c’est de mettre en relation le producteur avec le buveur, avec le minimum d’intermédiaires, dans la plus grande convivialité possible », réitère Louis Duquesne. Les thèmes et l’approche d’accompagnement varient, par ailleurs, selon que les demandeurs soient plus calés ou plus néophytes en la matière. Sur une base plus régulière, les dégustations du jeudi soir en libre accès rassemblent les amateurs autour d’une bouteille donnée ou d'un vigneron désirant communiquer autour de l’un de ses crus....
Grace à une expérience de près de 20 ans et de solides partenariats, Tousmesmeubles.com propose un large choix de meubles correspondant à toutes les ambiances aux prix les plus bas. Les conditions de vente sont également excellentes, en raison de l’exigeante sélection des transporteurs mais aussi du SAV personnalisé et des conseils prodigués. Lancé en 2015, par deux associés bénéficiant d’une expérience de plus de 20 ans, Tousmesmeubles.com est un site spécialisé dans la vente en ligne de meubles. Un pureplayer donc, puisque son activité est exclusivement sur le web. Grâce à une vingtaine de fournisseurs européens de qualité, Tousmesmeubles.com propose un très large choix de mobilier et de décoration pour chaque pièce de la maison et dans des styles très variés. Un large choix de meubles de tous les styles et pour toutes les bourses Tousmesmeubles.com offre une large gamme de produits équipant le bureau, le salon, la salle à manger, le jardin, la chambre à coucher, la cuisine et la salle de bain. Tous les styles sont représentés, du contemporain au moderne en passant par le classique, l’industriel, ou encore le junior, le scandinave et le bord de mer. Les ambiances campagne et bout du monde sont également présentes dans les choix proposés. Ces derniers restent d’ailleurs en évolution puisque Tousmesmeubles.com est constamment à la recherche de nouveaux produits, tout en mettant un point d’honneur à travailler avec des partenaires de confiance. Les meubles sont révélateurs de personnalité et traduisent les idéaux de chacun. Une des raisons qui a conduit TOUSMESMEUBLES à développer une gamme spéciale permettant à tout un chacun de révéler son goût par le choix de la matière, de la forme et de la couleur. La collection Lubio déploie ainsi un large choix de produits fabriqués en Italie, destinés à personnaliser son intérieur. Et bien que le choix puisse être cornélien entre les différentes collections de miroirs, les nombreux modèles de bibliothèques et de meubles TV, ou encore les meubles d’entrée, l’important est de se faire plaisir. La salle à manger et le salon seront mis en valeur par des vaisseliers, des tables, des meubles TV... Focus sur le buffet Lubio au style très contemporain qui convient parfaitement aux adeptes de design mimimaliste. Réalisé avec des matériaux bruts, sa finition en béton ciré foncé lui confère une facilité d'entretien déconcertante. Ce produit bénéficie en plus d'une garantie de 2 ans. Bien sûr, ceux qui n’ont pas l’habitude de faire les choses à moitié opteront pour une salle à manger complète. Tous les modèles se déclinent naturellement en plusieurs coloris et matières, mais ceux qui vouent une passion pour le style épuré s’en donneront à cœur joie entre des meubles en laque véritable, finition noyer même bois blanchi. Bref, cette gamme a de quoi répondre à toutes les attentes et satisfaire toutes les envies… Des conditions de vente idéales Grâce à une veille concurrentielle régulière dont le but est de proposer des prix compétitifs tout au long de l'année, Tousmesmeubles.com s’engage à proposer la tarification la plus basse. Quitte à s’aligner sur tout produit similaire vendu dans les mêmes conditions. Au niveau de la livraison, s'effectuant à domicile, Tousmesmeubles.com sélectionne au maximum des transporteurs fiables et soucieux de la satisfaction de la clientèle afin que leur expérience d'achat soit la meilleure possible jusqu'à la réception de la commande. Le Service Clients ultra réactif, situé en région Bordelaise, est composé de spécialistes qui sont en charge d'un Client de A à Z en partenariat avec des fabricants rigoureusement sélectionnés. ...
Pour les particuliers et professionnels qui ont besoin d’internet en toutes circonstances, le boîtier Wifi Phenix Telecom est le matériel adapté. Boîtier Phenix Telecom : internet sécurisé et illimité dans plus de 110 pays Grâce au boîtier Wifi Hotspot Phenix Telecom, les particuliers et les professionnels qui prévoient de voyager peuvent profiter d’une connexion de qualité et sécurisée. En effet, pour 7,90 € par jour (à condition de partir plus de 10 jours), vous pouvez louer un petit boîtier discret et performant. Profitant d’une couverture 4G dans plus de 110 pays, il permet à 5 personnes de se connecter simultanément par ordinateur, smartphone, tablette ou console de jeux simplement et sans passer par le WiFi public non sécurisé des hôtels, aéroports, bars ou restaurants. Facile à utiliser, il vous suffit d’appuyer sur le bouton marche/arrêt et de sélectionner le réseau privé et crypté (qui vous protège contre toute tentative de piratage) pour profiter d’internet haut débit 4G, sans coût caché ni surfacturation. À savoir : le boîtier est livré 7 jours avant votre départ pour partir serein (une enveloppe prépayée est mise à votre disposition pour le renvoyer une fois la durée de location arrivée à son terme). De plus, pour les personnes qui voyagent beaucoup, il est possible de l’acheter et de le recharger directement en ligne. Phenix Telecom : une entreprise spécialiste de la téléphonie mobile Depuis sa création, en 1999, Phenix Telecom fait le nécessaire pour être toujours à la pointe de la technologie en matière de téléphonie mobile. Reconnue par l’ARCEP, elle a commencé par l’édition de cartes téléphoniques prépayées. Puis, afin de répondre précisément aux besoins de ses clients, elle a développé le boîtier Wifi qu’elle vend aujourd’hui aux entreprises et particuliers. Son objectif : permettre à la téléphonie mobile de traverser les frontières et d’être accessible à chacun, aussi bien en termes de coûts que d’usage. En étant simple à utiliser, performant et sans frais cachés, son équipement de voyage high-tech et sur-mesure s’inscrit parfaitement dans cette démarche. ...
La fondation HP Metz soutient l'ensemble des missions et des projets menés par les Hôpitaux privés de Metz. Ces hôpitaux réunis depuis 10 ans au sein d'une même structure sont associatifs et donc par essence à but non lucratif. La fondation poursuit plusieurs objectifs, notamment celui de venir en aide aux patients en mettant à leur disposition des dispositifs médicaux innovants et en mobilisant des moyens concrets afin d'améliorer la prise en charge de la douleur. Quelques mots sur la fondation La fondation HP METZ, créée en janvier 2015, regroupe des hôpitaux privés qui sont exclusivement des établissements à but non lucratif. Parmi eux, l’hôpital Belle-Isle, créé en 1874 par les sœurs Diaconesses de Stuttgart ou encore l’hôpital Sainte Blandine, créé par les sœurs franciscaines allemandes et qui a ouvert ses portes en 1886. On note également les 2 Résidences à savoir Sainte Marie et Sainte-Claire qui sont spécialisées dans la prise en charge des personnes âgées dépendantes. Enfin, plus récemment, l’hôpital Robert Schuman dont l’ouverture en mars 2013 s’inscrit dans la continuité d’unification des HP METZ. A ses débuts, la fondation HP METZ avait comme principal objectif la recherche de fonds destinés au financement d’un robot chirurgical à la fois innovant mais couteux. Mais au fil du temps et en fonction de nouveaux besoins, elle a élargi considérablement son champ d’action pour pouvoir assurer un accompagnement de qualité à tous les patients. Présidée par Paul ARKER, ancien président de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Lorraine, la fondation est placée sous l’égide de la Fondation de France. Ses principales missions La fondation HP METZ s’est assignée 4 grandes missions. La première concerne le financement de dispositif innovant qui inclue trois volets essentiels : l’acquisition d’équipements de pointe et l’accompagnement de l’équipe médicale et soignante dans la lutte contre la douleur, la poursuite de la restructuration et modernisation des unités et services de soins. Ensuite, à travers ses actions de financement, la fondation s’est engagée à contribuer au développement de la recherche clinique. Concrètement, il s’agit ici d’encourager la recherche médicale dans le traitement des maladies systémiques rares ou soutenir la lutte contre le cancer. Pour les malades, la fondation prévoit de développer non seulement les programmes d’aides et de prévention mais aussi tout ce qui touche de près à l’éducation thérapeutique. Pour les résidents en longue maladie, en fin de vie ou en situation de handicap, l’idée est de leur fournir une assistance efficace tout en soutenant les actions des bénévoles et des aidants. Enfin, l’accompagnement des personnes âgées dépendantes est également une des missions prioritaires de la fondation. Cet accompagnement consiste notamment à améliorer leurs conditions d’hébergement et les aider au mieux dans leur vie quotidienne. Les réalisations de l’année 2016 et 2017 La fondation s’est illustrée dans le financement d’une prothèse révolutionnaire : l’endoprothèse fenêtrée. Il s’agit d’une nouvelle technique permettant d’effectuer un traitement directement à l’intérieur d’un vaisseau sanguin. Cette prothèse est confectionnée manuellement et fabriquée sur mesure pour être adaptée à chaque patient. Ce qui explique son coût très onéreux. De plus, elle n’est pas remboursée par l’assurance maladie. L’utilisation de l’endoprothèse fenêtrée a permis d’augmenter considérablement les chances de survie des patients qui ont pu en bénéficier. En raison de la nécessité de ce traitement, la fondation HP METZ a financé ces endoprothèses sans reste à charge pour les patients. L’implantation est réalisée par un chirurgien vasculaire attaché à l’hôpital Robert Schuman. La fondation a aussi procédé au financement et à l’installation d’un dispositif livesurgery permettant de retransmettre en direct des interventions chirurgical...
Fondée il y a 32 ans par Vincent Fonvieille, La Balaguère tire son nom d’un vent chaud venu d’Espagne voire de bien plus loin. Spécialiste de la randonnée dans les Pyrénées, le tour opérateur est très fortement engagé dans le développement durable de ce territoire. Acteur reconnu et impliqué, il intervient à différents niveaux de la vie locale et régionale. Tout d’abord, en tant qu’agent économique, car le tourisme développé est solidaire et concerne beaucoup d’autres acteurs tels que les accompagnateurs, les commerçants, les hébergeurs ou encore les transporteurs. Mais il remplit également un rôle d’animation, de formation, social, en participant à la vie locale, dans sa vallée, son département et surtout à l’échelle du massif pyrénéen. Le rôle majeur de La Balaguère dans les Pyrénées est surtout d’initier et de réaliser des projets, des regroupements, des événements, dont Eldorando, le festival International de la randonnée. Un engagement labellisé en faveur du tourisme responsable Membre fondateur d’"Agir pour un Tourisme Responsable" (ATR), La Balaguère a été la première entreprise à se mobiliser pour tenter d’obtenir ce nouveau label, ce qu’elle a brillamment réussi au début du mois de Mars 2016. Grâce à quatre engagements majeurs pris. En premier lieu, elle fournit au client une information claire et transparente, le sensibilise au tourisme responsable, (diffusion de la charte éthique du voyageur), l'informe sur le respect de l'environnement, du patrimoine, des cultures locales, et prend en compte ses observations à ce sujet. Ensuite, dans le pays de destination, la société a privilégié le recrutement local, formé et sensibilisé les équipes au tourisme responsable, s'engage envers les prestataires dans une relation durable, et soutient activement et financièrement le développement local. Le troisième point concerne les prestataires au niveau local : sur le plan social, La Balaguère respecte des conditions de travail correctes pour les employés, et met en place une politique de gestion des déchets et des ressources naturelles. Enfin, elle applique ces règles au sein même de l'entreprise, en formant le personnel au tourisme responsable, en manageant par la communication, en ayant un système de partage de la valeur ajoutée et en appliquant une politique de gestion environnementale. Une offre complète, variée et adaptée La Balaguère définit la qualité de son offre de randonnées par l’ancrage au territoire mais aussi par la découverte respectueuse à pied ou à vélo d’un massif ou d’un pays. Ainsi, le tour opérateur constitue des petits groupes de 5 à 15 personnes et a mis en place des guides locaux et une organisation locale dans chaque pays. En somme, des prestations et un service de qualité fournis en échange de prix justes, permettant une rémunération équitable de la chaîne des acteurs. Le service proposé par La Balaguère se distingue aussi par une forte tendance à l’innovation et à l’originalité. Notamment, en ralentissant la cadence de la marche et en donner du sens à l’itinérance. Fidèle à son ancrage, La Balaguère est fortement spécialisée sur le massif des Pyrénées, mais s’est aussi porté sur d’autres destinations de cœur sans logique précise, comme le Maroc, la Mauritanie, le Mali, l’ile de Madère, les Canaries, le Cap Vert, le Sri Lanka, le Liban, Jordanie, la Colombie, le Cambodge, l’Inde, le Népal, la Tanzanie, la Thailande ou encore le Vietnam. ...
Depuis huit ans déjà, l’équipe de trois professionnelles, diplômées en esthétique et habilitées pour les massages spécifiques, accueille avec enthousiasme et gentillesse renouvelée, toute personne désireuse de goûter au paroxysme de la détente. Un temple de bien-être à découvrir en solo ou à deux Au spa Osmose, homme et femme peuvent se délecter des mains expertes de l’équipe dans une séance de massage californien, thaïlandais ou, la particularité de la maison, le massage intuitif. Selon Ouiza Bourgey, membre de l’équipe spa Osmose, il s’agit d’un mélange de plusieurs types de massage basés « sur les émotions et l’état de la personne » le jour du soin. Pour accompagner ses séances de bien-être, les produits bio de Karithic, My Spa et le Charme d’Orient offrent tous les bienfaits des huiles et des ingrédients naturels sur le corps et l’esprit. La grossesse autrement avec spa Osmose Dès le troisième mois de grossesse, le spa Osmose se propose d’accompagner les futurs parents pendant ce moment unique. Si maman bénéficie de quelques soins particuliers, entre autres, pour la prise de poids, la correction de la vergeture, les soins du visage avec les produits dermocosmétiques de Ericson Laboratoire, papa ne sera pas en reste. En effet, Ouiza Bourgey explique que « les hommes sont souvent exclus de la grossesse ». Pour y remédier, le spa Osmose propose le massage papa-maman et par expérience, Mme Bourgey affirme qu’« ils aiment bien partager ce moment-là, tous les deux ». Dans la formule femme enceinte, les futures mamans ont le choix entre un massage détente, de la tête aux pieds, où l’on agit principalement sur le drainage, et le massage thaïlandais où drainage, souplesse et stretching sont au rendez-vous. Un corps et un visage requinqués Le spa Osmose suggère deux types de soins minceur à la machine ou à la main. L’appareil Cellu M6 fait des merveilles sur le corps en activant le déstockage des graisses accumulées et en travaillant les cellulites pour raffermir le corps. Pour un soin minceur manuel en profondeur, Mme Bourgey décrit le massage palper-rouler comme un véritable « drainage lymphatique qui favorise la circulation du sang, la souplesse de la peau et élimine la cellulite ». Pour le visage, ce centre de bien-être propose des soins endermologies avec LPG Alliance dernière génération ainsi que des soins demo- esthétique Ericson laboratoire visage. ...
La fête de la Coquille saint-Jacques revient en 2016, les 23 et 24 avril, pour la première fois sur le port de Paimpol. L’occasion d’assister à des concerts gratuits comme ceux de Bagad de Vannes, Outside Duo, Cali, PlaymoDj’s Final Set, The Dalann Fly Cats, Ramoneurs de Menhir et la Zmala. Danses et fêtes au programme... Danses, fanfares, chants marins, déambulations rythmeront également ces deux jours, sans oublier bien évidemment la pêche… autour de la coquille Saint-Jacques ! Un rendez-vous festif et gastronomique ! ...
Unique musée dédié à l’archéologie sous-marine et subaquatique en France, le musée de l’Ephèbe et d’Archéologie sous-marine est situé à proximité du site archéologique du Grau d'Agde. On y trouvait autrefois un important port grec et romain. Le musée abrite une collection unique d'artefacts archéologiques, en particulier une remarquable statue en bronze de l'Ephèbe d'Agde, qui est l'une des principales attractions du musée. Une statue et un musée Construit en 1984 par l’architecte Jean Le Couteur dans une ancienne ferme du XVIIIème siècle, le Musée de l’Ephèbe fut initié par la découverte de la statue emblématique d’Alexandre le Grand dit l’Ephèbe d’Agde qui était exposée au musée du Louvre. La statue a été déménagée à Agde après une demande au Ministère de la culture par la ville. Cela, sous la condition que la ville construise un nouveau musée. Ce dernier a ouvert ses portes en 1985 et n’a reçu la statue qu’en 1987. Le musée de L’Ephèbe a ensuite été inauguré en 1989 et a mis en valeur la statue de bronze ainsi que d'autres découvertes archéologiques liées à l'histoire d'Agde et de sa région. L’histoire d’Alexandre l’Ephèbe Au Musée de l’Ephèbe, on peut retrouver un grand bronze antique. Ce bronze représente un jeune homme dans la « nudité héroïque ». Représentatif de l’époque d’Alexandre, c’est tout naturellement que la statue a pris le nom d’Alexandre, l’éphèbe d’Agde. Il pourrait s’agir selon toute vraisemblance d’un portrait d’Alexandre le Grand. La statue en bronze fut retrouvée en 1964 dans le lit de l’Hérault face à la cathédrale d’Agde. C’est Jacky Fanjaud, un plongeur du GRASPA (Groupe de Recherches Archéologiques Sous-marines et de Plongée d’Agde) qui fera la découverte. Après avoir été restaurée à Marseille et en Lorraine, la statue restera au Louvre plus de 20 ans avant de retrouver Agde. Pièce maîtresse du musée mais aussi véritable symbole de la ville, on ignore encore aujourd’hui comment ce bronze est arrivé dans l’Hérault. Grand roi de l’Antiquité grecque, Alexandre le grand ou Alexandre III fut roi de Macédoine de 336 à 323 avant JC. Fils de Philippe II, Alexandre était l’un des élèves d’Aristote, le célèbre philosophe grec. Il se distinguera notamment pour avoir été l’un des plus grands conquérants de l’histoire. Il a en effet réussi à prendre possession de l’immense Empire Perse étendant sa domination jusqu’aux rives de l’Indus. L’identification de la statue comme correspondant à Alexandre le Grand sera confirmée par des études comparatives avec les autres portraits d’Alexandre. Notamment basée sur les sculptures de Lysippe de Sicyone, qui fut le portraitiste officiel de la famille royale de Macédoine. D’ailleurs, ce sera ce sculpteur qui sera aussi à l’origine de ce bronze retrouvé puisqu’on y distingue clairement son style. Une distinction basée sur un texte de Plutarque qui expliquait comment Lysippe sculptait les portraits d’Alexandre. Les différentes expositions du musée La création du musée avec le retour de l’Ephèbe a été une grande opportunité pour exposer d’autres objets qui ont été enfouis dans des salles ou dans des entrepôts. Toutes les richesses du patrimoine agathois sont désormais exposées dans le musée de l’Ephèbe et d’archéologie sous-marine. Le musée présente des trésors inestimables découverts en mer, dans le fleuve de l’Hérault et dans l’étang de Thau. Le musée est divisé en trois départements. Le département des bronzes constitué des cargaisons de vaisselles, bijoux, lingots de plomb et cuivre, et des statues comme le célèbre Ephèbe d’Agde. Le département moderne présente des céramiques médiévales, des armements comme des canons et des sabres. Ces objets t&e...
La Table du Sommelier propose une cuisine de qualité, entièrement faite maison, concoctée à base de produits frais et locaux. Comme à la maison Installé dans le Vieux Castres, ce restaurant conjugue parfaitement simplicité et authenticité. À l’intérieur, les convives se laisseront séduire par un style cosy ainsi qu’une atmosphère conviviale qui se dégage naturellement des lieux. « Chez nous, les gens se sentent un peu comme chez eux », explique Philippe Subira, gérant et sommelier de l’établissement. Une cuisine du marché Pour s’assurer de la fraicheur de ses produits, le chef choisit de s’approvisionner localement. « Nous nous procurons les fruits et les légumes directement sur le marché. » Ainsi, la carte change au gré des saisons et le restaurant s’adapte volontiers en fonction des produits du moment. En cuisine, le chef laisse exprimer sa créativité pour signer des plats gourmands sans cesse renouvelés. Pour commencer ce voyage culinaire, le duo de foie gras mi-cuit de Corinne offre une excellente entrée en matière. En plat principal, le tartare de bœuf ou la tête de veau, qui figurent parmi les spécialités de la maison, sont vivement recommandés. En dessert, le fondant au chocolat noir et sa crème glacée restent incontournables. « Nous élaborons ce dessert avec une recette particulière », confie le maitre des lieux. Par ailleurs, l’établissement se démarque par ses « Menus autour des vins ». Composés d’une entrée, d’un plat, d’un fromage et d’un dessert, ces derniers s’accompagnent d’une dégustation de trois vins. C’est l’occasion pour Philippe Subira d’enfiler sa casquette de sommelier et de partager ses connaissances avec les invités tout en leur suggérant le meilleur accord mets-vin. 250 références S’ils le souhaitent, les convives peuvent acheter les vins proposés en dégustation lors du repas. Ce restaurant-caviste propose environ 250 références incluant des crus de toutes gammes et provenant de grandes régions viticoles françaises mais aussi étrangères. Pour aider ses hôtes à faire leur choix, Philippe Subira leur présente sa sélection « coup de cœur ». ...
Créée le 22 juin 1889, la SFD s’est fixé comme objectif de promouvoir la dermatologie française auprès de la communauté médicale au niveau national mais aussi international. Pour y parvenir, cette société savante s’est investie dans de nombreuses missions qui se rejoignent autour d’une même finalité : assurer une progression constante de la recherche, et ce, dans tous les domaines de la dermatologie. Les principales missions de la SFD Le soutien et le développement de la recherche, l’amélioration des pratiques professionnelles ainsi que le développement de la formation continue, tels sont les trois grands points autour desquels œuvre la SFD. En parallèle, la SFD appuie la création et la structuration de groupes thématiques qui réunissent des hospitaliers, des chercheurs et des dermatologues. Ces groupes constituent notamment le fer de lance de la SFD en matière de recherche clinique. Une fierté pour la Société. Comme le souligne Pascal Joly, le Président de l’association : « la dermatologie mondiale nous les envie. » En effet, ces derniers sont essentiels pour le développement de la recherche en Dermatologie mais aussi et surtout pour leur dynamisme et la multiplicité de leurs actions. La SFD participe également à la formation médicale des dermatologues à travers l’organisation d’un grand congrès annuel appelé « Les Journées dermatologiques de Paris » (JDP). Au programme de ce congrès, figurent des sessions de formation médicale continue, mais aussi des sessions de recherche durant lesquelles des groupes exposent les résultats de leurs travaux. Les JDP connaissent aujourd’hui un succès notable à en juger par la forte affluence des participants. Ainsi toujours selon le Président, « Les JDP accueillent régulièrement plus de 4 500 congressistes dont près de 40 % viennent de l’étranger. » Enfin, en ce qui concerne les financements, il fait savoir que la SFD consacre plus de 60 % de son budget pour financer diverses actions de recherche (projets de recherche, bourses de formation à la recherche…). ...
La famille DAVID-HEUCQ a choisi les méthodes d’exploitation durables pour ses neuf hectares de vignes, afin de préserver les bijoux rares que sont l’environnement et le généreux terroir. Le mariage entre cet amour du terroir, cette rigueur et le savoir-faire garantit raffinement, saveur et caractère aux champagnes H. DAVID HEUCQ. À chaque moment son champagne Environ 85 000 bouteilles de champagne sont produites au domaine H. DAVID HEUCQ chaque année, pour faire le bonheur des œnophiles. La nature s’exprime à travers la large palette proposée par la maison : Réserve Brut, Extra Brut, Rosé Brut, Brut Chardonnay, Délicate Demi-sec, cuvée millésime 2012, Brut millésime 2011, Brut Étincelle et Brut Étincelle Rosé. Ces références uniques dans leur genre sauront trouver leur place dans tous les événements et pour toutes les circonstances : déjeuner, apéritif, réception, etc. Mais parmi tous ces trésors, l’Extra Brut sort du lot. Cette cuvée est obtenue par l’assemblage de 85 % de pinot meunier, de 5 % de pinot noir et de 10 % de chardonnay, puis conservée pendant trois ans. Cette maturité s’exprime par un nez ouvert. Révélant des notes de fruits à chair jaune et une petite touche de caramel, l’Extra Brut est une véritable merveille gourmande. Les nombreuses récompenses reçues (Decanter, Guide Hachette, Gilbert & Gaillard, Concours Général Agricole, Concours ELLE A TABLE de Paris, Concours International de Lyon...) témoignent largement de ses mérites. À la découverte du champagne Amoureux accomplis de leur vignoble et du champagne, les membres de la famille DAVID-HEUCQ sont enchantés de recevoir clients et touristes dans leur domaine. Un caveau d’accueil y est installé, destiné à accueillir jusqu’à 50 personnes. Les déjeuners dans cet écrin de convivialité permettent de profiter de moments gourmands accompagnés de délicieux champagnes au milieu de la nature. Les convives sont également invités à découvrir la cave, la cuverie et les différentes machines (dégorgement, habillage...) ou à déguster des champagnes durant les visites classiques ou les journées portes ouvertes organisées par la maison. ...
Destination touristique riche en patrimoine historique et en activités de toutes sortes, le Cap d’Agde jouit de tous les attraits de la Méditerranée et des vestiges d’une histoire longue et passionnante. Grâce à son paysage façonné par d’anciennes éruptions volcaniques marines, Cap d’Agde Méditerranée offre aussi un spectacle de toute beauté aux passionnés de nature. Toute cette richesse se retrouve dans ses nombreux sites touristiques tous aussi intéressants les uns que les autres. Que visiter au Cap d’Agde ? Cap d’Agde Méditerranée est réputé pour ses villages médiévaux qui n’ont rien perdu de leur authenticité au fil des années. Pour vos vacances au bord de la Méditerranée, découvrez la région languedocienne en visitant les 20 villes et villages qui en font le charme. Agde : riche de 2600 ans d’histoire, cette cité antique est l’endroit idéal pour apprécier l’évolution de l’architecture depuis sa création jusqu’à aujourd’hui. Il est aussi possible d’y trouver un village traditionnel de pêcheur ainsi que La Tamarissière, un petit village paisible situé entre mer et forêt. Tourbes : Tourbes est un village millénaire connu pour ses vignobles, son patrimoine naturel et ses édifices religieux. C’est sur l’une des collines du village que se trouve la chapelle Saint-Roch qui demeure un lieu de pèlerinage jusqu’à aujourd’hui. Caux : Ce village médiéval est à découvrir au fil de ses ruelles. Il se démarque par une architecture de rare beauté, notamment par la majesté du clocher-porche de l’église de Saint-Gervais-Saint-Protais datant du XIVè siècle. C’est également un terroir viticole. Pézenas : C’est une ancienne ville royale où persiste encore un prestigieux patrimoine architectural. C’est aussi un haut-lieu de la vie culturelle et de l’artisanat réputé pour son théâtre et son carnaval annuel. Saint-Pons-de-Mauchiens : le village réunit monuments historiques, vignobles et panoramas exceptionnels qui invitent au repos et à la détente. Pomérols : Ce village permet de voir sur les façades des maisons les différents styles qui ont marqué plusieurs siècles. Découvrez-y aussi le retable baroque en bois doré créé par Jean Cannet et placé dans l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte. Cazouls d’Hérault : En arpentant la rue des Templiers, on redécouvre l’histoire et les digues qui entourent le village pour apprécier sa nature verdoyante. Il se trouve au confluent de la rivière Boyne et du fleuve Hérault. Pinet : Promenez-vous dans les pinèdes du village pour découvrir la Via Domitia puis dégustez le fameux Picpoul à Pinet, son village d’origine. Saint-Thibéry : Si vous êtes un passionné de géologie, allez à Saint-Thibéry pour découvrir les orgues basaltiques. Pour les amateurs d’histoire, cette cité gallo-romaine recèle aussi de nombreux édifices historiques ; son abbatiale étant l’élément le plus emblématique. Lézignan-la-Cèbe : Le village tire son nom de cet oignon doux originaire du Moyen-Orient qui fait désormais sa réputation : la cèbe. Il est aussi connu pour la présence du site archéologique Le Bois de Riquet. Aumes : Si vous aimez les balades au cœur de la nature, visitez Aumes. Découvrez des monuments historiques qui ponctuent les garrigues, les vignobles, les champs de lavande, de thym, de romarin et de fleurs d’amandiers. Bessan : Pour les adeptes du tourisme gastronomique, Bessan est la destination à ne pas manquer : goûtez le vin rosé de Bessan, la croustade, les olives à récolter à la Cueillette de Caillan. Castelnau-de-Guers : ce village permet aux visiteurs de connaître l’aspect des villages fortifiés du temps médiéval et d’avoir une vue panoramique sur la vallée de l’Hérault. Découvrez-y également une formation géologique vieille de 50 millions d’années : l’étendoir des fées. Montagnac : avec Pézenas cette ville fut une grande ville de foire au ...
La niche fréquentée par La ligue des gentlemen est de plus en plus courue. Pour se singulariser, l’enseigne développe son concept autour de deux axes. Visuel, par les maîtres de jeux qui font l’accueil et l’accompagnement dans des tenues de gentlemen et de ladies. Par le contenu ensuite, les scénarios des énigmes font appel à des références et des lieux nantais. Quatre scénarios en salles pour toutes les trempes de joueurs La ligue des gentlemen décline l’idée générale de l’escape game dans quatre scénarios originaux et plus riches en rebondissements les uns que les autres. Ils traversent les époques pour autoriser une expérience immersive selon le goût de chacun. Dans « Vol chez LU », place à la combinaison des indices pour voler au secours d’un malheureux Lefèvre Utile victime d’une malhonnêteté. Objectif : remettre la main sur sa fabuleuse recette en investissant le domicile du négociant qui la lui a subtilisée. Prévue pour rassembler trois à cinq joueurs, cette énigme figure dans les niveaux d’entrée de la maison et est accessible aux handicapés. Même niveau de difficulté pour le même nombre de joueurs mais dans un autre registre. Les joueurs se mettent dans la peau du méchant. Qu’ils se rassurent toutefois : ils doivent se plier à cette exigence pour une très bonne cause. Il s’agit de tester l’efficacité du nouveau dispositif, supposé de haute sécurité, du musée du château. Mission : dérober l’écrin du cœur d’Anne de Bretagne. Dans le duel entre technologie et esprit de logique humaine, difficile de tabler sur celui qui sortira gagnant. Aux fins limiers de niveau intermédiaire, La ligue des gentlemen confie une mission de haut vol. Car c’est dans la cour des mafieux qu’ils sont appelés à mettre leurs talents en œuvre. Riche en péripétie, la mission « Clair de lune » s’adresse aux aventuriers qui n’ont pas peur de nager en eaux troubles. Entre intégrer la loge privée d’une chanteuse de cabaret de renom et mettre la main sur des livres de compte compromettants, il y a de quoi avoir des sueurs froides. Le scénario est accessible par groupe de deux à quatre joueurs. Dans « Loiseleur », il ne faut pas avoir froid aux yeux et afficher au moins 14 ans d’âge pour être de la partie. Les choses prennent effectivement une tournure corsée. Pour défendre la réputation de la ligue, neutraliser l’ennemi peut figurer au programme. Au même titre que les autres missions en salle, celle-ci doit être exécutée en soixante minutes chrono. L’escape game en live dans la ville Au mois de mai à octobre, indépendamment du jour, La ligue des gentlemen donne à ses jeux d’aventure une autre tournure. La ville nantaise devient le terrain de jeux, pour une expérience unique d’escape game grandeur nature. En plus de l’observation, de la logique et de la cohésion du groupe, une autre compétence est sollicitée, l’orientation. Plus toniques et plus élaborés, les deux scénarios de cette catégorie rassemblent les joueurs autour d’énigmes surchargés d’adrénaline. L’un consiste à anticiper les gestes d’un tueur en série afin de préserver ses victimes. L’autre à défier les adeptes d’une secte satanique de mettre la main sur le complément d’un manuscrit décrivant des rites de magie noire. En famille, entre amis ou collègues, d’intenses moments d’animation sont à prévoir durant les deux heures imparties pour arriver en fin de parcours. ...