Gourmandes, fines et expressives, les cuvées Sylvie Moreau puisent leur finesse dans le sol argileux de Reims, leur fraîcheur dans le calcaire de la vallée de l’Ardre et leur bouquet variétal dans la terre de la vallée de la Marne. Ce terroir qualitatif, gâté par mère nature, est la source d’expression de prédilection du champagne Sylvie Moreau. Du champagne en terre promise Plantés sur un terroir d’exception au climat idéal, les trois cépages champenois confèrent aux cuvées toute la typicité de la région. Le pinot noir y puise sa puissance exprimée dans les bulles de l’Émeraude, une cuvée délicate avec une superbe persistance. La Racine Brut Tradition, un assemblage des trois cépages avec prédominance du meunier, est une cuvée expressive et typée de par ses notes suaves et son nez admirablement aromatique qu’elle tire de cette terre généreuse. Agréable à l'apéritif et sublimé aux côtés de mets raffinés, le champagne Sylvie Moreau se veut être une magnifique expression du terroir. Entre tradition et modernité Les onctueuses saveurs du champagne Sylvie Moreau sont le fruit béni d’une osmose harmonieuse entre terroir riche et élaboration traditionnelle. Pratiques agricoles raisonnées, vendanges manuelles, vieillissement long et pressage traditionnel sont autant de gages d’authenticité et de qualité pour les cuvées d’exception de la marque. Une note de modernité accompagne élégamment cet attachement aux valeurs traditionnelles afin de créer une apothéose de succulences dans chaque bouteille. ...
Créée en 1987, la manufacture Forge de Laguiole résulte d’un projet de passionnés qui a depuis relancé la production de son célèbre couteau, connu et reconnu depuis 1829. Toutes les étapes de fabrication sont à nouveau réalisées sur son lieu d’origine : Laguiole (se prononce « laïole »), village aveyronnais de 1200 habitants. Le design de l’établissement est confié à Philippe Starck qui traduit parfaitement la philosophie de l’entreprise : l’alliance de la création et de la tradition. Une architecture de verre et d’aluminium d’où s’élance une lame de 18 mètres de haut, symbole de l’activité et du dynamisme de l’entreprise. Une production entièrement maitrisée Chaque couteau laguiole demande plusieurs heures, voire plusieurs jours de fabrication. La qualité de sa finition, la résistance de sa lame et de son ressort, l'épaisseur de ses mitres et platines, ainsi que la précision de son ajustage sont les éléments qui contribuent à sa durée de vie. La manufacture intègre toutes ces étapes de fabrication. Elle forge et trempe les lames sur le site de Laguiole. Le dessin de chaque couteau doit respecter le profil général déterminé par les couteliers du XIXème siècle ; la ligne des couteaux de la Forge de Laguiole inspire aujourd’hui de nombreux designers. Plusieurs types d’aciers forgés sont proposés pour satisfaire les amateurs de modèles traditionnels comme ceux de couteaux modernes. L’acier au carbone est le plus ancien. Apprécié des collectionneurs, il possède un fil irréprochable et « vit » en s’usant et changeant de couleur. Le nouvel acier T12 est, pour sa part, inaltérable, il conserve son éclat et son tranchant au fil des ans. Un savoir-faire unique Une centaine de salariés hautement qualifiés opère, chacun selon sa spécialité. C'est un véritable voyage dans le temps que propose Forge de Laguiole, pas de course inutile à la technologie, ni de cadences infernales. Ici, on travaille à l'ancienne, selon des techniques éprouvées. C'est le lieu du toucher, de l'odeur des matières, de l'œil qui guide le travail millimétré des mains, des bruissements des frottes en lin ou du choc des rivets. Fabriquer un couteau pliant ou un couteau de table laguiole comprend de nombreuses étapes essentielles telles que l'estampage, la découpe, l'ébavurage, le blanchissage, le guillochage, le perçage, le façonnage, le détourage, le polissage et le lustrage… Assembler un couteau réclame entre 40 à 180 opérations. Toutes sont réalisées sur place. A commencer par les lames dont les aciers différents sont forgés trempés et finissent par se parer de toutes les variantes du rouge. Ici, on aime à dire que le Laguiole épouse le rouge-cerise, sa robe favorite. Celle-ci suivra ensuite le même circuit, le même rite. Elle croisera dans les couloirs ou dans les bacs les manches sculptés dans d'innombrables matières. Elle sera frappée du précieux logo, elle se dévoilera, sertie du ressort guilloché et la célèbre abeille lui sera apposée... Les mains du coutelier et les matériaux utilisés font de chaque couteau une pièce unique. Qu’il s’agisse de pliants aux manches façonnés en corne, en bois, en aluminium, en os ou en carbone, avec une lame de 7 à 21 cm, un tire-bouchon et un poinçon ou des couteaux de table : Tout se passe à l'œil, au jugé, au ressenti, au touché. Fabriquer un vrai couteau Laguiole est un processus complexe qui témoigne d'un authentique savoir-faire, c’est celui-ci qui fait la renommée de La Forge de Laguiole à travers le monde. ...
Bruno Hertz reprend l’exploitation de son père en 1979, après obtention de son diplôme national d'œnologie (DNO), en 1976. Il est aujourd’hui propriétaire de plusieurs vignes, dont une située au Rangen-de-Thann, Grand-Cru réputé pour son sol d’origine volcanique. Un pari risqué à l’époque de son achat, puisque cette zone n’était pas très appréciée des travailleurs de la terre. Sa principale vigne, celle de la famille Hertz, s’étend sur six hectares et se trouve dans la commune d’Eguisheim, dont une partie dans le Grand-Cru Pfersigberg. Un vin de terroir Sur les hauteurs des collines d’Alsace, le climat favorable et l’air pur donnent aux vignes une noblesse et des cépages généreux. Grâce à un terroir de qualité, la maison peut produire une vaste sélection de cuvées, dont le Riesling Rangen 2009 cuvée Michaela, qui est un vin de garde (20 ans) blanc puissant en arôme, évoquant les agrumes très mûrs, avec une pointe de fraîcheur au goût. Il s’accorde bien avec les poissons fraîchement pêchés des lacs du terroir alsacien, ou tout simplement accompagné d’une assiette de fromage. Le vigneron Bruno Hertz nous parle également « d’un coup de cœur » pour le Gewurztraminer Sélection de Grains Nobles 2007, issu d’une vendange sur mûrie. Les grains atteints de pourriture noble lui donnent toute sa richesse. Ample et souple en bouche, il révèle un doux parfum de fruit exotique. Un travail où le terroir est priorisé Respectueux et attentif dans la fabrication du vin, Bruno Hertz n’hésite pas à vanter des techniques particulières quant à la production de ce breuvage. Il priorise dans ses champs de vignes l’utilisation de fumier de cheval et s’aide d’un logiciel pour l’optimisation et l’évaluation des risques phytosanitaires. Les récoltes se font manuellement, et sont synonymes de fête chez les Hertz, où vendangeurs et producteurs se réunissent pourles repas et surtout celui de fin de vendanges. Après les vendanges, la garde dans les anciennes caves contribue à donner aux vins toutes leurs qualités organoleptiques. Des saveurs et des arômes qui se dégustent à l’occasion d’une visite au domaine, durant laquelle Bruno Hertz convie les touristes à faire un tour dans les vignobles avec sa 2CV. ...
Sur le chemin du changement, il y a de nombreuses approches et cela peut être un véritable défi de choisir celle qui libèrera votre potentiel. De plus, choisir le bon professionnel est une décision importante et personnelle. Elodie Parent, Rapid Transformational Coach, s’est personnellement formée auprès de Marisa Peer, élue thérapeute n°1 en Angleterre par le magazine Tatler et qui a gagné 5 prix internationaux dont récemment le fameux Stevie Awards. Elle peut vous accompagner pour des transformations individuelles et collectives. À travers son coaching vous pourrez libérer votre énergie au service d’une prise de décision éclairée et de la puissance de votre action. Pour un accompagnement en Rapid Transformational Coaching individuel, il faut compter environ 3 séances. La première va permettre de traiter les principaux blocages qui empêchent de libérer tout son potentiel. La seconde pourra être consacrée à se connecter à sa mission de vie, ce qui fait son unicité et ainsi permettra de prendre des décisions de manière plus éclairée et en sérénité. La troisième pourra se centrer sur les manières d’intégrer la nouvelle version de soi dans la réalité du quotidien. Rapid Transformational Coaching ? Rapid Transformational Coaching (RTC) et Thérapie (RTT) relèvent d’une seule approche particulièrement innovante et créée par Marisa Peer, auteure de plusieurs Best Sellers dont Ultimate Confidence et Hypnothérapeute de la famille royale, d’athlètes olympiques et de nombreuses stars. Cette approche est reconnue par les plus grands organismes professionnels dont le General Hypnotherapy Register et The American Board of Hypnotherapy. Après 30 ans de pratique, Marisa Peer a mis au point un protocole unique permettant entre autres de se connecter à des scènes passées et des émotions enfouies, à l’origine des blocages, et de les traiter. Cela afin d’enclencher une libération en profondeur et durable. L’incroyable CAPACITE de notre cerveau à être réceptif aux suggestions Pour que l’incroyable capacité du cerveau à être réceptif aux suggestions soit activée, il faut que la personne soit en état d’hypnose. À travers des suggestions, le Rapid Transformational Coach pourra alors faciliter un travail en profondeur du client. Il peut par exemple suggérer à la personne « qu’elle rayonne la confiance en soi ». Elle va alors se voir rayonnant vraiment la confiance et ce faisant elle active concrètement toutes les ressources qu’elle a en elle dans ce but. Ce qui n’est au début qu’une suggestion s’imprime pour devenir une réalité, une nouvelle habitude. Remonter aux sources du blocage Mais cela n’est pas suffisant, si un blocage inconscient est ancré en soi, il pourra empêcher la suggestion de fonctionner. C’est en cela que RTC/RTT est une approche incroyablement efficace car elle permet de remonter à l’origine du blocage inconscient et de le traiter. Les suggestions vont ensuite pouvoir fonctionner. La session comprend trois étapes : la première consiste à plonger au plus profond de soi même pour revisiter la source d’un blocage. Lors de la seconde étape le client pourra ensuite réaliser un travail de détective pour identifier les liens entre son interprétation des scènes « visitées » et son blocage actuel. Il va ainsi commencer à changer sa relation à son vécu pour se libérer. Il va également pouvoir désactiver des émotions inconscientes qui le bloquaient. La troisième partie de la session, où le patient va simplement écouter les suggestions du RT Coach, est enregistrée afin de permettre au client/patient de repartir avec un audio unique construit sur mesure en fonction de ce qu’il s’est passé pendant la séance. Cet audio lui permettra de se mettre en autohypnose afin d’imprimer les nouvelles « habitudes ». Le mental et le corps, en parfaite connexion, peuvent faire des miracles Cette approche conduit à des changements puissants et permanents. Elle permet au cerveau de dialoguer avec le reste du corps et réciproquement. Après avoir traité l’origine du blocage, cette communication « mental-corps » devient particuli&e...
À travers une tradition culinaire française à légère tendance méditerranéenne s’inscrit une carte diversifiée et soigneusement élaborée, où l’inspiration créative du chef en cuisine nous embarque dans un remarquable voyage plus qu’une expérience culinaire. Honneur aux produits locaux Travaillant au jour le jour et quasi à l’ardoise, le restaurant propose une cuisine de marché où les produits frais et locaux sont toujours à l’honneur. Grâce à une carte réduite de 6 entrées, 6 plats et 6 desserts, qui évolue au fil des jours et en fonction des saisons, l’établissement a l’énorme avantage de satisfaire autant les gourmands que les fins gourmets, dans un plaisir toujours renouvelé. Avec une carte des vins assez éclectique, où beaucoup de vins sont proposés au verre, l’établissement reste pour la plupart du temps sur les petits producteurs avec, de par ses origines, un léger penchant pour les vins du Languedoc, comme le Pic Saint Loup. « Nous travaillons avec des vignerons indépendants pour les vins de Bordeaux et de Bourgogne ; sinon pour tout ce qui est vins du Sud, Côtes-du-rhône, Roussillon et Languedoc, nous avons nos propres contacts », tient à préciser Pierre-Louis Cazes, gérant du restaurant, qui, avec sa femme, Céline Weber, fait tourner le restaurant avec l’appui d’un chef et d’un second. ...
Son propriétaire, Jérémy Thien, a passé les quinze premières années de sa vie active dans l’administration. Natif de la région beaujolaise, il sait apprécier les bons vins. Sa passion le pousse à se reconvertir dans le métier de vigneron, lorsqu’une occasion se présente à lui. « C’était un virage très important dans ma vie. C’est un métier qui ne s’improvise pas et il faut retourner à l’école » admet-il. Il a repris ce domaine fin 2012 et produit son premier millésime en 2013. La qualité avant tout Les 12 hectares de parcelles du Domaine des Frontières sont juchés à 350 mètres d’altitude sur un terroir de marnes bleues, qui confère au vin une belle concentration et des notes épicées et poivrées. Jérémy Thien met une rigueur particulière dans la culture de ses vignes, car pour lui : « tout part de la production du raisin ; la qualité du vin vient à 90% de la qualité du raisin ». Ses cuvées sont issues de vieilles vignes, vendangées entièrement à la main. La vinification se fait selon les procédés traditionnels du Beaujolais, avec macération semi-carbonique, poussée jusqu’à 14 jours de façon à obtenir des tanins soyeux et ronds. L’élevage est long afin qu’ils puissent être directement bus au moment où ils sont mise en bouteille. Les vins du domaine Le Domaine des Frontières produit deux cuvées en appellation « Juliénas » et une en appellation « Beaujolais ». Le « Domaine des Frontières Juliénas » est un vin issu à 100% de vieilles vignes Gamay Noir. Révélant une robe couleur rubis, il propose un bouquet floral et fruité au nez, avec des notes de cassis, cannelle et poivre. C’est un vin nerveux, charpenté avec une belle longueur en bouche. Il peut s’accompagner de côtes de veau, de poissons de rivière, de grillades de bœuf ou de desserts à base de fruits rouges. Le millésime 2013 a obtenu le deuxième prix de la Saint-Vincent des vignerons de Jullié. Le « Domaine des Frontières Juliénas Cuvée réservée » pour sa part est une pure merveille issue de vieilles vignes de Gamay Noir. La robe est rubis intense, le nez floral et fruité, avec des notes de cuir et légèrement boisé ; la bouche est très longue, nerveuse et charpentée. Ce vin peut évoluer et se garder jusqu’à sept ou huit ans. Il se savoure accompagné d’une blanquette d’agneau, d’un magret de canard ou d’un potage au potiron. Dernier et non des moindres : le « Domaine des Frontières AOC Beaujolais Villages » qui est issu de vieilles vignes de 60 ans de Gamay Noir à jus blanc. Sa robe est brillante, aux éclats violacés caractéristiques des vins jeunes. Au nez, on note des arômes de fruits rouges. En bouche, c’est un vin souple et frais. Pour un meilleur accord, il accompagne la charcuterie, la viande blanche, les escargots et les fromages. Le millésime 2014 a été récompensé de la meilleure note des Beaujolais Villages au Guide Rouge de la revue du Vin de France, tandis que le millésime 2015 a reçu une médaille d’argent au Concours des Grands Vins du Beaujolais. ...
Nouvellement imaginé comme un parcours en trois espaces dédiés à différentes collections labellisées "Musée de France", le Musée des Ursulines donne à parcourir l’Art, de l’Antiquité à nos jours. Ouvert au public depuis 1968, le lieu se réinvente tout en préservant l’intégrité de ses pierres. Expositions permanentes ou temporaires, ateliers mais aussi restauration d’oeuvres battent en son cœur, en écho à ceux des oeuvres dont il assure l’existence hors du temps. Des collections exceptionnelles dans un environnement inspiré Découvrir l’histoire archéologique de Mâcon ou la vision qu’en eurent plusieurs peintres. Parcourir l’œuvre d’Alphonse de Lamartine, l’amitié entre Henry Havard et Claude Monet. Le Musée des Ursulines éclaire tour à tours les artistes du Bourguignon, rendant à la mémoire ceux qu’elle avait oubliés. Un autre de ses espaces révèle des œuvres occidentales du XVIème au XXème siècle, dont la collection Art déco d’Henry Havard, spécialiste de l’art hollandais. Néoclassicisme, orientalisme, cubisme. Les courants et les univers se succèdent, contés avec passion par l’équipe et la conservatrice Michèle Moyne-Charlet. Tous sont reliés par une muse commune : le voyage. Visites guidées, interdisciplinarité, conférences, ateliers de création dirigés vers tous les publics dont les scolaires : voilà un musée tout aussi inspiré que les artistes qu’il expose. A contempler, mais aussi à vivre, quel que soit l’âge des visiteurs. ...
OPUS MI développe un concept de l’événementiel ayant pour ancrage la culture et le patrimoine. L’approche joue la carte du privilège en alignant les valeurs des entreprises clientes à des actualités culturelles à fort potentiel, ou à des lieux chargés d’histoire. Entre accès privés à des monuments et transformation du QG de la firme en galerie d’art éphémère, l’agence n’est pas à court d’inspirations pour booster l’image interne et le rayonnement ses clients dans le respect de leurs singularités et de leurs valeurs. Des écrins valorisants pour des événements d'exception et attractifs « Votre image d’entreprise est un objet précieux, traitez-la en conséquence. » C’est un peu dans cette perspective qu’OPUS MI met son savoir-faire au service de ses clients. Les prestations de l’agence parisienne repose sur un principe : offrir aux événements de chaque firme des cadres d’exception, à travers des programmes et des mises en scènes authentiques. Frédéric Le Compagnon, le fondateur, parle tout simplement d’ « écrins valorisants » pour évoquer les lieux que son agence ouvre aux événements que pilote celle-ci, afin d’en garantir le rayonnement. Dans la même foulée, l’apport de la maison rend ces programmations plus authentiques, plus à même d’attirer les participants qui sont souvent très sollicités. Les cadres-écrins en question varient, selon le cas, entre des monuments et d’autres lieux patrimoniaux, notamment à Paris, dont OPUS MI organisent l’accès privilégié et la visite exclusive. Exclusive en termes d’horaires : les groupes investissent les lieux en dehors du créneau normal d’ouverture au public. Exclusive en termes de contenu et d’expérience : des accompagnements personnalisés par d'excellents conférenciers qui offrent une expérience VIP aux participants. Des moments de convivialités autour d’une coupe de champagne, d’un petit déjeuner ou d’un cocktail peuvent agrémenter ces instants d’exception. Communiquer intramuros autour de l’art L’événementiel en entreprise constitue un autre créneau où OPUS MI intervient avec une offre des plus singulières. Le temps d’un événement, l’agence transforme les antres de la firme cliente en une galerie d’exposition éphémère. Elle apporte dans les murs de l’entreprise un événement qui fait l’actualité, à travers un choix d’œuvres sélectionnées selon un parcours qui fait du sens par rapport à son axe de communication. Les œuvres photographiques accrochées apportent également un autre cachet à la décoration. De quoi hautement impressionner les partenaires qui viennent visiter. D’autant qu’un conférencier qui a travaillé sur l’exposition peut intervenir dans les locaux du client. En notant que l’élaboration de cette exposition respecte entièrement la communication de l’entreprise: ses valeurs ou les réflexions qu’elle porte voire son cœur de métier. ...
À la suite d’un voyage à l’étranger, les trois amis, Deborah, Nathaniel et Guillaume, décident de redonner vie au restaurant Les Philosophes, qui était anciennement une brasserie célèbre des années 60, et d’apporter un concept innovant : un bar où l’on peut se servir soi-même. Trois espaces pour trois ambiances Depuis sa reprise en 2017, Les Philosophes baigne ses visiteurs dans trois ambiances différentes à travers son bar, sa brasserie et ses salons dont la décoration revêt une touche « travaillée et recherchée », selon Ellie Makris, Responsable de la Communication et du marketing. La brasserie invite les clients dans un voyage temporel vers les années 20 avec les tables en marbre, en cuivre et en bois, les papiers peints et les objets décoratifs au ton anthracite. Au bar, le thème des années 20 est maintenu, mais avec un côté cosy très prononcé grâce aux tables hautes et les tabourets en rotin, les fauteuils en velours et le carrelage à l’ancien. À l’étage, c’est tout un univers doux et chaleureux avec ses murs framboise et ses parkas à l’ancienne, qui accueille des réunions, séminaires, événements et cocktails. En cuisine, les grands classiques revisités Les « plats de grand-mère revisités », telle est la description de la cuisine proposée à la Brasserie, selon les mots d'Ellie Makris. Le chef revisite les préparations traditionnelles françaises avec les produits locaux et de saison dans une carte qui change tous les 3 mois. La signature de la maison : les Tartares fait-maison, de viande ou de poissons, préparés devant les clients et accommodés aux condiments de leurs choix. La nouveauté du moment est représentée par les Tartares flambées qui promettent des saveurs à embraser le palais. Pour le déjeuner, le restaurant propose le menu du jour entrée-plat-dessert qui ravira les fins gourmets. Tous les dimanches, les gourmands invétérés viennent au Philosophes pour prendre le brunch dans une ambiance conviviale qui donne l’impression d’être chez soi ou chez des amis. Des vins et des champagnes Outre les boissons servies habituellement dans les restaurants, Mme Makris affirme avec fierté que Les Philosophes possède une « carte de vin très fournie ». Des bouteilles suisses, françaises et nature s’alignent aux côtés des 20 références de champagnes dans le bar où les clients choisissent leur breuvage à leur convenance, comme s’ils étaient « chez des amis ». Ils prennent eux-mêmes leurs verres, leurs bacs à glaçons et piquent à la planchette tapenade, fromage ou légumes, bref l’apéro qui leur fait envie avant de regagner leurs places. C'est ce concept de « se servir soi-même » dans une ambiance détendue et festive que les fondateurs veulent aussi faire profiter à la clientèle. ...
Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est la transition « enfant-adulte » dans le contexte des maladies rares ? Le terme de transition désigne un processus visant au passage des services de pédiatrie aux services adultes. Dans le cas des maladies rares, les patients sont suivis en pédiatrie depuis leur naissance, voire même avant. Pour la plupart d’entre eux, ce passage sera donc vécu comme une véritable séparation du milieu hospitalier pédiatrique sécurisant. C’est l’une des raisons pour lesquelles la transition est une étape d’une grande importance. Toutefois, il ne s’agit en aucun cas d’effectuer cette transition de manière automatique, une fois la limite d’âge atteinte. Au contraire, le relais de la prise en charge des services pédiatriques vers les services pour adultes doit se faire très progressivement. Il est important que le jeune se sente prêt et qu’il ait acquis la maturité nécessaire. Personnellement, c’est un sujet que j’aborde avec mes jeunes patients vers l’âge de quatorze, quinze ans. Avant, cela leur paraît trop lointain. Le passage des soins pédiatriques vers les soins pour adultes est-il redouté par les patients ? Oui, c’est souvent le cas. Comme je l’évoquais, certains patients vivent ce passage comme une séparation. Pour autant, même s’il s’agit bien d’une séparation, elle ne doit pas être vécue comme une rupture mais au contraire comme une étape d’évolution, de progression du jeune dans sa prise d’autonomie avec sa maladie. Si le jeune patient le souhaite, le contact avec les équipes pédiatriques est maintenu. J’ai des patients de 25 ans passés qui me donnent régulièrement de leurs nouvelles. Il est aussi important de préciser que la décision de quitter les soins pédiatriques pour les soins adultes n’est pas toujours ‘’subie’’ par le jeune. Il arrive, en effet, qu’au moment de la transition, des patients soient demandeurs car ils se sentent prêts à franchir ce cap, et qu’ils ont compris que cela leur serait bénéfique. A nous de juger s’ils ont raison, et le plus souvent, ils ne se trompent pas. En tant que parent, il arrive un moment où l’on sent que nos enfants sont prêts à quitter le nid, à prendre leur autonomie. Parfois même, ils le demandent. Il faut alors accepter cette décision de se séparer, car c’est pour mieux progresser. Dans mon exemple, on voit bien que la séparation est finalement difficile tant du côté des parents que de celui des enfants. Eh bien, dans le cas de la transition « adolescent-adulte », c’est la même chose. La séparation est difficile pour le patient mais elle l’est tout autant pour les soignants qui se sont occupés de lui depuis sa naissance. L’adolescence est une période de transformation (physique, psychique, affective, sexuelle…). En quoi la maladie rare peut-elle compliquer les choses ? Dans le cas d’une maladie chronique comme l’asthme ou le diabète, par exemple, un adolescent peut trouver d’autres personnes qui ont la même pathologie que lui. Bien sûr, cela ne le consolera pas mais il se sentira moins seul et pourra échanger avec ses pairs sur ses difficultés. Dans le cas d’une pathologie rare, même s’il est très entouré, le patient se sent bien souvent isolé. Parfois même rejeté. Et ce sentiment de solitude est souvent renforcé à l’adolescence. En plus des contraintes liées au suivi, au traitement etc… , les maladies rares infligent au jeune une ‘’double peine’’. En effet, à la transformation physique qui s’opère à la puberté viennent parfois se greffer des transformations physiques, voire un handicap, liés à l’évolution de la maladie. C’est difficile à assumer pour un ado… L’adolescence est un âge où l’image de soi revêt une importance disproportionnée. D’ailleurs, les médias véhiculent trop souvent des images stéréotypées du corps. Les patients dont je m’occupe ont des problèmes d’incontinence. Ce n’est pas le genre de choses que l’on confie facilement d’une façon générale, et encore moins à cet âge-là… Leur pathologie les marginalise encore davantage. Certains patients vont parfois jusqu’à se déscolariser pour éviter le regard des autres et les moqueries. Ils ne voient plus les personnes bienveillantes autour d’eux, et s’isolent encore plus.En quoi la phase de transition doit-elle faire l’objet d’un surcroît d’attention de la part des médecins mais aussi de la famille du patient ? Parce que le risque d’une rupture du parcours de soin, avec les conséquences parfois dramatiques que l’on connaît, est bien réel. Le risque que le patient décide d’arrêter de se faire suivre est clairement amplifié à l’adolescence. De plus, c’est le plus souvent à l’adolescence que le patient va réaliser que, finalement, il ne guérira jamais. Jusque-là, je dirais que d’une certaine façon, le doute persistait : peut être n’y aurait-il pas de suite une fois « devenu grand » ? Lui parler de son suivi adulte, lui présenter les équipes qui vont prendre le relais, c’est lui confirmer qu’il y a bien une suite, que la maladie va durer. À vie. La transition n’est qu’un passage, la mal...
Promotion des produits du terroir, authenticité, originalité, cuisine maison à des prix abordables. C’est en cela que ce restaurant s’affiche comme une alternative à l’existant… Et pour atténuer les effets négatifs des dispositions calamiteuses imposées par les instances en charge du projet de requalification de l’accueil, l’établissement offre entre autres à ses clients le stationnement gratuit sur son parking privé : bienvenue au Mont Saint Michel ! Rétablir la réputation du mont Saint-Michel et de sa baie Au lieu d’une retraite bien méritée, Joël Lerognon, ancien maire de la ville voisine, ingénieur et ancien chef d’entreprise, enfant du pays, ne pouvait se résoudre à voir l’image du Mont écornée aussi bien par les dispositions prises par les instances publiques que par certains comportements des acteurs économiques locaux. Malgré l’attractivité présentée par les nouveaux ouvrages, réalisés dans le cadre du grand projet, remarquables par leur conception et leur gigantisme aux conséquences encourageantes sur le retour de l’insularité du Mont, la fréquentation des visiteurs est descendue à environ 2.300.000 visiteurs par an à comparer aux 3.200.000 d’avant les travaux et des 4.200.000 prévus à l’époque pour l’horizon 2015 ! Ces chiffres attestent d’une situation dont n’ont pas pris la mesure les responsables évoqués précédemment. Cette situation est d’autant plus regrettable que la réalisation du grand projet de rétablissement du caractère maritime, justifiée par près de 2 siècles d’erreurs de l’homme jouant l’apprenti sorcier, suivis d’un siècle d’études, d’essais de controverses pour aboutir à un projet d’équilibre et respectueux de la nature, conduit à un chantier de plus de 20 ans, véritable prouesse de nos architectes et ingénieurs. Il n’est pas présomptueux d’avancer que par son ampleur et sa qualité technique et architecturale , cet ensemble d’ouvrages s’inscrit dans la continuité de l’œuvre des moines bâtisseurs du moyen âge. On regrettera d’autant plus que les errements évoqués précédemment aient écorné l’aura du Mont et nuisent à l’économie locale. S’ajoutent à ce handicap, les innombrables entraves à l’action de ceux qui veulent entreprendre et sortir de la banalité. La faute suprême étant la réussite quant elle apparait à l’horizon…. Voici le contexte dans lequel le fondateur de la Ferme St Michel a voulu procurer aux pélerins et touristes venant au Mont quelques moments de détente, de plaisir et de découverte. Ce projet il l’a réalisé, entouré d’une équipe passionnée et professionnelle, à laquelle il fixa le challenge de se placer en tête des établissements locaux. L’avenir confirmera ce pari ambitieux. Pour y parvenir, partant d’une ruine située à l’arrivée au Mont, une ancienne ferme des polders fut entièrement rénovée, faîte de pierres apparentes, de boiseries anciennes, d’une charpente cathédrale, d’ une imposante cheminée et d’ un four à pain. L’ensemble de 4 salles d’une capacité de 200 convives constitue également une exposition permanente de tableaux, dessins et sculptures d’artistes de la famille. La cuisine met en valeur des plats spécifiques à la baie, aux polders : le véritable agneau de pré salé, les carottes des polders, les pommes du verger familial, les moules et huitres de la baie et bien d’autres …. Une clientèle très large se constitue mais exclusivement par la réputation acquise et le classement des guides : TRIP ADVISOR, la Fourchette, Michelin et bien sur le bouche à oreille compensant l’absence quasi-totale de la clientèle de passage suite à l’occultation par des rideaux d’arbres, imposés par les instances en charge de l’urbanisme local. S’ajoutent des mesures discriminatoires telles la fameuse barrière fable du site à travers le monde. La Ferme St Michel contribue chaque jour à redon...
De l’ingénierie au coaching Avant de devenir un expert du développement personnel suivi par plus de 70 000 personnes, David Colom était ingénieur diplômé de l’École des Mines de Saint-Étienne. « À l’époque, je travaillais auprès de grandes entreprises comme Alstom, Areva ou encore Cegelec » se souvient-il. « J’étais spécialisé dans le management de la qualité et l’amélioration continue des processus de l’entreprise. J’étais également certifié Black Belt (ceinture noire = le plus haut niveau) de la méthode 6 Sigma, la plus puissante et la plus connue des méthodes de résolution de problèmes dans le monde des grandes entreprises. J’avais eu une enfance heureuse et à 32 ans, j’avais enfin rencontré la femme de ma vie. Mais quatre ans plus tard, je me suis aperçu que la vie que je menais ne me satisfaisait pas alors que tout allait bien, au travail comme dans ma vie de couple. Pour sortir de la terrible dépression qui me faisait me demander, tous les jours en rentrant du boulot, effondré dans mon canapé, pourquoi je n’étais pas heureux, je me suis tourné vers le développement personnel. J’avais entendu parler de Anthony Robbins (la référence du coaching au niveau international) par une personne de mon réseau qui avait obtenu d’excellents résultats. Ça m’a permis de découvrir un nouveau monde et d’autres experts de renommée auprès desquels je me suis formé. Jusqu’alors, je n’avais encore jamais eu l’occasion de travailler sur moi-même ». Contre toute attente, David constate alors qu’il existe des similitudes très importantes entre son métier d’ingénieur et le développement personnel. « J’ai réalisé que les préceptes que j’appliquais quotidiennement aux entreprises, dont l’amélioration continue, je ne les avais jamais transposés à ma propre vie ». Peu de temps après avoir réparé cette omission, David Colom a pu constater de gros changements dans sa vie. « J’avais enfin créé ma vie idéale. La même année, je me suis marié, je suis devenu papa et j’ai démissionné pour monter ma société ». Car cette méthode qu’il avait mise au point et dont il avait pu tester l’efficacité sur lui-même, David a rapidement éprouvé le besoin de la partager. « C’est la raison pour laquelle je me suis formé au coaching » explique-t-il. « J’ai d’ailleurs une double certification : par l’ICF (International Coaching Federation), d’une part et par le High Performance Institute aux USA, d’autre part ». Une approche globale et structurée S’adressant à une très large palette de personnes (parmi ses clients figurent des dirigeants d’entreprise, des étudiants, des retraités, des mamans, des cadres, des médaillés olympiques, etc.), David Colom leur propose une approche globale. « L’idée » précise-t-il, « c’est de les aider à créer leur vie idéale en améliorant leurs douze domaines de vie que sont la santé, le mental, la vie spirituelle, la vie émotionnelle, la gestion du temps, la personnalité, la famille et les amis, la vie parentale, la vie de couple, la vie professionnelle, les finances et le style de vie. Pas question de se focaliser sur une thématique au détriment d’une autre ». Partant du principe qu’une vie idéale, c’est un tout indivisible, David Colom agit simultanément sur la totalité des domaines. De cette façon, il est possible de profiter d’un effet cascadant, chaque amélioration d’un domaine se répercutant sur les onze autres. En plus d’être globale, la méthode qu’a conçue David Colom s’articule autour de trois axes qui sont la clarté (avec la définition d’un projet de vie complet et l’exploration de la connaissance de soi-même : ses valeurs, ses talents…), la productivité (s’organiser afin d’obtenir rapidement plus de résultats tout en entreprenant moins d’actions et en mobilisant moins de ressources) et la motivation (parvenir à maintenir un niveau ...
L’institut Le Cordon Bleu forme chaque année plus de 20 000 étudiants partout dans le monde aux Arts Culinaires et au management hôtelier. Mais son vaisseau amiral reste à Paris, fleuron de la gastronomie mondiale. Dans un établissement où la passion et l’excellence anime tous les gestes, il fallait des enseignants et des intervenants au moins aussi prestigieux. Et c’est d’ailleurs l’une des forces de l’institut Le Cordon Bleu Paris : le corps enseignant est composé de professionnels reconnus, respectés et de nombreuses fois récompensés. A la direction des Arts Culinaires, on retrouvera donc Eric Briffard, ancien chef de la table du Cinq, meilleur ouvrier de France, et deux étoiles au Michelin. Et pour le département hôtelier, on croisera, entre autres, Franck Ramage, ancien chef sommelier adjoint au Crillon deux étoiles au Michelin. Pour tous ces professionnels, la transmission des gestes, de la passion, et du goût des belles choses est essentiel. Tous ces arts ne peuvent pas simplement s’expliquer dans les livres : il faut les pratiquer sous l’oeil attentif d’un mentor, encore et encore pour en avoir une maîtrise parfaite. Et c’est donc tout l’intérêt de l’institut Le Cordon Bleu. Mettre en relation des professionnels prestigieux et reconnus avec ceux qui le seront demain. Un réseau social qui ouvre de nouveaux horizons L’une des forces de cet institut est aussi de mettre en relation des étudiants aux cultures riches et diverses. Qu’ils soient anciens professionnels en reconversion ou jeunes bacheliers. Qu’ils viennent d’ici ou d’ailleurs (l’Asie, l’Amérique Latine, l’Afrique …), la diversité des cultures et des expériences est une richesse inestimable pour les étudiants. Elle leur permet de développer leur créativité, d’élargir leurs connaissances des usages à l’international, et d’explorer des idées nouvelles. Comme ces deux étudiantes, l’une chinoise et l’autre taiwanaise, associées pour créer un restaurant de cuisine fusion franco-taiwanaise dont la notoriété ne fait que grandir. Lors de leur cursus, les étudiants vont également faire des stages dans de grandes maisons renommées. Ces expériences pratiques, choisies en fonction de leurs projets personnels, leur permettront de faire leurs armes. Ils y rencontreront aussi des professionnels aguerris, souvent de vrais références, afin d’étoffer leur réseau. Les étudiants en management hôtelier sont soumis à un régime spécial. Ils doivent impérativement suivre un cursus de trois mois dans l’une des matières culinaires. Et peuvent le faire à l’étranger, dans l’une des écoles du réseau. Un environnement de travail ultra innovant Mais pour que les 1000 étudiants parisiens puissent travailler dans les meilleures conditions, un bâtiment éco-responsable ultra innovant est à leur disposition. Situé sur les bords de Seine, ces 4000m2 ont été conçus pour optimiser l’apprentissage. Ils comportent sept salles de classes pour les cours de cuisine, boulangerie, ou pâtisserie. Chaque étudiant y a son poste de travail, comme dans un vrai restaurant. Un chai a aussi été reproduit à l’identique pour les futurs sommeliers. Mais des salles de cours plus classiques sont aussi disponibles pour les cours théoriques. L’exigence dont font preuve les enseignants Le Cordon Bleu Paris, leur passion, et leur envie de transmettre font aujourd’hui encore de l’établissement une référence mondiale dans les Arts Culinaires et de l’hôtellerie. ...
À travers une pédagogie innovante qui intègre des cours théoriques en e-learning et des workshops pratiques en présentiel, adLearnMEDIA accompagne les acteurs médias dans leur souhait de reconversion, d’évolution ou de spécialisation. Qu’ils soient des jeunes diplômés, des entreprises ou des professionnels dans le domaine du marketing et du commerce, cet organisme agréé DataDock et Pôle Emploi propose différentes formules adaptées à leurs exigences. Répondre à un réel besoin Au cours de ses expériences au poste de directeur commercial et marketing, Franck Terrier, fondateur d’adLearnMEDIA, s’est rendu compte de la nécessité d’accompagner les commerciaux face à la digitalisation des médias. « J’ai voulu former mes collaborateurs, mais il n’y avait quasi pas d’organisme de formation spécialisé sur une approche commerciale et marketing pour les régies ou les agences », précise-t-il. Afin de répondre à ce besoin, Franck Terrier décide de lancer son activité non sans avoir effectué au préalable une étude de marché auprès de nombreux acteurs médias (annonceurs, régies, agences…). E-formation et mix-formation : deux formules gagnantes Cet organisme formateur propose des formations novatrices et disruptives, déclinées en deux formules : l’e-formation et la mix-formation. La première s’adresse aux jeunes diplômés et aux professionnels, issus du secteur commercial ou de la publicité et souhaitant évoluer très vite dans leur domaine. Exclusivement prodiguée en ligne et accessible de partout en France, elle comprend des cours théoriques présentés sous forme de fiches, de vidéos et d’interviews. L’apprenant accède au module suivant en répondant correctement à un quizz. La formule est disponible en 3 packs déclinés selon le nombre de modules choisi (4, 9 ou 14). La mix-formation, quant à elle, alterne e-learning et formation en présentiel. « Tous les 4 modules validés, vous avez des workshops en présentiel sur Paris, incluant des cours de mise en pratique et des ateliers animés par des professionnels en activité », souligne le fondateur. Prévue pour septembre 2018, la nouvelle session s’étale sur une période de 4 mois. AdLearnMEDIA, c’est aussi des solutions de formation sur mesure pour les entreprises. Grâce à une méthode pédagogique en « blended learning » associant e-learning et workshop, l’organisme offre un parcours de formation adapté aux besoins des acteurs. Différentes formules sont présentées : formations courtes ; en période de professionnalisation ; contrat de professionnalisation au cours duquel les salariés profitent d’un accompagnement tout au long de leur parcours en entreprise. Plusieurs modules disponibles Dans la gamme des 14 modules mis à la disposition des apprenants figure, par exemple, la formation « Web, display et programmatique ». Celle-ci intègre, entre autres, la connaissance des modes d’achat et les technologies utilisées afin de mieux comprendre les évolutions des achats d’espaces publicitaires en ligne. Le module « Introduction aux médias » permet à l’apprenant d’acquérir une approche globale du cross média. Sur ce point, les réseaux sociaux font aujourd’hui partie des supports indispensables dans le domaine du B2B, mais encore faut-il savoir les utiliser ! Autre choix : le « social selling ». Ce module a pour objectif de faire comprendre les enjeux des médias sociaux pour le développement des ventes, d'en connaitre les bonnes pratiques puis de pouvoir élaborer une stratégie de vente adaptée. Enfin, compte tenu de l’importance de la gestion d’un site, adLearnMEDIA suggère aussi le module « Search, SEM, SEO, SEA » pour bien comprendre les systèmes de référencement et optimiser sa visiblité dans les médias sociaux. ...
Depuis 5 générations, le domaine Espérou travaille avec passion son terroir où s’épanouissent des cépages de Carignan, de Syrah ou de Grenache. Cécile Bonnafous est aujourd’hui seule à sa tête, accompagnée par son époux, Eddy Bonnafous, pour la partie commerciale et quelques saisonniers occasionnels. L’attachement au sol familial, aux paysages alentours est à l’origine de cette vocation. Une production responsable pour un fruit sublimé Le vignoble, déjà engagé dans la culture raisonnée, tend aujourd’hui vers le bio. Un travail manuel est préservé, notamment par respect des vieux pieds de Carignan du terroir, âgés de 80 ans pour certains. Ce respect envers la nature, les deux belles cuvées du domaine le rendent bien. Corbière rouge ou Corbière Boutenac, l’un aux notes de fruits murs, l’autre aux notes de fruits cuits, allient finesse, profondeur et fraîcheur. Les précieuses bouteilles sont en vente directe au domaine mais se trouvent aussi dans des restaurants, chez des cavistes de plusieurs régions et dans les commerces de proximité. Savoir-faire, patience et passion figurent parmi les saveurs au rendez-vous. ...
Duprat Concept, filiale du groupe Amaury est l'interlocuteur rêvé pour donner un goût d’aventure et d’inédit à des séminaires, team-building et journées incentive grâce à ses prestations sur mesure. Avec un riche catalogue d’activités oscillant entre découverte, exploration, aventure et inventivité, chaque programme est proposé en favorisant l’expérience unique, en adéquation avec les attentes des entreprises. Fédérer grâce à la créativité « Notre mission est de créer des programmes de loisirs en étant le plus créatif possible », explique Monsieur Yves Duprat, le fondateur. En effet, au-delà de la simple réunion d’entreprise, plusieurs occasions peuvent pousser un groupe à se réunir. Il est ainsi primordial d’adapter les services aux besoins relatifs à ces raisons, « le but étant de créer du sur-mesure en développant des activités correspondant entièrement à ce que recherchent les entreprises », continue-t-il. Une large palette de programmes est alors mise à leur disposition, allant de l’offre sport et aventure (remake de Koh-Lanta, Choc des Champions, Raft Trophy…) au pack construction et création (Pimp My Kart, Chaloupe & Construction), en passant par le programme exploration et découverte (balades en quad, en buggy ou en Nosmoke…). Les collaborateurs s’en donneront à cœur joie à l’occasion de courses d’obstacles, de jeux d’évasion grandeur nature ou d’autres programmes nécessitant entraide et esprit d’équipe. Ces activités ludiques, culturelles et sportives peuvent, par ailleurs, être organisées pour des groupes allant de 5 à 1 500 personnes, et ce, partout en France. ...
Au cours de ces dernières années, la Vendée est devenue la nouvelle destination de la gastronomie. Et pour cause, le département abrite les meilleurs restaurants en Pays de la Loire, dont la Table du Boisniard, le restaurant gastronomique du Château du Boisniard. Une référence en Vendée Depuis son ouverture en 2011, la Table de Boisniard est un restaurant gastronomique de référence en Vendée. Titré « Maître Restaurateur » depuis 2012, il est aussi reconnu comme étant une « Valeur sûre » par le Bottin Gourmand. Et à son actif, il dispose de trois fourchettes et un couvert au guide rouge Michelin. Actuellement, l’établissement convoite l’étoile ! Ce qui ne devrait plus tarder, puisque toutes les cartes sont entre ses mains : un endroit unique et idyllique, alliant l’élégance de ses origines du XVe siècle à la modernité de la décoration contemporaine ; un personnel aussi sympathique que réactif, orchestré par Emmanuelle Gautier ; et un moment d’épicurisme assuré par le jeune et talentueux chef, Valentin Morice. De la gastronomie maîtrisée Selon leurs envies, les convives pourront choisir entre le menu Découverte et le menu Dégustation. À 42 euros, le premier propose une entrée, un plat et un dessert. Quant à la dégustation, un même menu est servi à l’ensemble de la table pour 72 euros. Pour les plus pressés, un menu Affaires à 33 euros est disponible le midi du mercredi au vendredi. Par ailleurs, le chef propose aussi une carte qui évolue au gré des saisons et des produits disponibles sur le marché. Il est à noter que tous les plats et menus proposés par l’établissement sont labellisés « fait maison », y compris le pain. Quant à sa carte de vins, elle met à l’honneur ceux des Pays de la Loire, sans négliger les autres régions. ...
Chaque jour, en salle ou en terrasse, ce repaire d’amateurs de grillades ou de cassoulet célèbre dans la bonne humeur l’art de la bonne bouffe où la viande est consacrée reine. Au Chevillard, que la fête commence ! Au menu de ce bistro, des spécialités issus de nos terroirs composés de beaux produits uniquement. Une cuisine traditionnelle mijotée avec amour, faite de passion et revisitée grâce au savoir-faire du chef Olivier Ribourt. À la direction de ce restaurant, Laurent Perris, digne successeur de son beau-père Tony Carmen, qui perpétue cet héritage unique pour le plus grand bonheur de ses clients et des nostalgiques des Halles d’autrefois. D’authentiques produits Bœuf de Simmental, agneau du Lot, viandes de l’Aveyron, canards de la Maison Samaran, charcuteries, saucisses de Toulouse, jambons, boudins, Pata Negra de Bellota Pura de l’artisan-charcutier Garcia, sélection du fromager-affineur de la célèbre Maison Betty à Toulouse. On l’aura compris, Le Chevillard est à la quête de produits d’exception et des meilleures adresses que compte la ville rose. Cet établissement, devenu la cantine de prédilection des Toulousains, propose midi et soir une sélection des meilleurs produits gourmands de nos terroirs. Labellisé « Maitre restaurateur », distinction indépendante et très officielle permettant aux clients de repérer les établissements d’excellence, Le Chevillard rend hommage aux produits nobles, frais et de saison, au manger local privilégiant les circuits courts et surtout à une cuisine du tout fait maison. Une tradition, un esprit, un savoir-faire perpétués maintenant depuis plus de 20 ans par ce restaurant. La viande à l’honneur À la lecture de la carte, les spécialités du chef sont nombreuses. En entrées, la salade de pot-au-feu au gros sel, un des plats signatures de la maison, ouvre l’appétit et semble faire l’unanimité ; ou bien encore les filets de rougets frais à l’huile d’olive ou les sardines marinées aux poivrons rouges feront l’affaire. Parmi les suggestions « canailles du Chevillard » : une poêlée de boudin à l’oignon accompagnée de pommes vapeur ; une cassolette d’andouillette à l’ancienne, dont la cuisson colorée et déglacée au vin blanc avec justesse est servie accompagnée d’une sauce moutarde à l’ancienne, le tout légèrement gratiné. Pour les plats, c’est la viande qui est à l’honneur. La maison Chevillard propose une variété de viandes de qualité gouteuses, persillées, sélectionnées et travaillées avec soin par le chef. Ici, les cuissons sont au charbon de bois. En bouche, la viande au grain fin et à la chair rose offre toute sa jutosité et livre toutes ses saveurs aromatiques. Grillades d’agneau du Lot, pièces de bœuf de Simmental ou de l’Aveyron, abats avec rognons ou pavé de foie de veau au xérès ou au marsala sont proposés pour les amateurs éclairés de bonnes viandes. À découvrir également, dans la catégorie des « gourmandises du Chevillard » des spécialités incontournables propres à Toulouse comme le cassoulet maison aux manchons de canard ou, pour 2 personnes, la côte de bœuf sauce marchand de vin et sel de Guérande : un classique mais un pur régal. Côté desserts, il faut absolument compter sur le fromage du jour sélectionné avec soin par le célébre fromager-affineur Betty. Cet établissement travaille depuis des années en étroite collaboration avec le Chevillard. Également, le vacherin fait maison à base de meringue fourrée de glace masqué de crème chantilly accompagné, suivant l’humeur du chef, de fruits confits et d’un coulis de framboise ou de fraise est un choix judicieux pour finir sur une note sucrée. Outre la carte, l’établissement propose deux formules. Un menu à 24 € avec entrée, plat et dessert ou une formule du midi à 15 € avec un plat et une entrée ou un dessert. Des formules simples, abordables et de qualité, qui font tout le succès de cette brasserie devenue l’adresse incontournable sur Toulouse pour déjeuner ou diner entre amis en toute convivialit&ea...
EUREKAM a réussi à percer le marché européen grâce à son dispositif DRUGCAM, aujourd’hui installé dans une trentaine de centres hospitaliers en France. Créée en 2012, la startup rochelaise est éditrice de systèmes de contrôle numérique pour la sécurisation et la continuité des soins. Ses deux cofondateurs, des passionnés de l’innovation technologique, ont pour ambition de révolutionner le métier de la santé, grâce à des machines capables de prévenir les erreurs médicamenteuses. En combinant intelligence artificielle et savoir-faire technique, l’équipe crée de nouvelles solutions pour mieux soigner. Une technologie innovante Injection d’un produit au lieu d’un autre, préparation de médicament avec une posologie incorrecte, erreur de voie d’administration…, les erreurs médicamenteuses peuvent survenir à n’importe quel instant dans un établissement de santé. En France, ce fléau est à l’origine de 70 000 EIG (évènements indésirables graves) par an, soit environ un cas toutes les demi-journées d’hospitalisation (étude nationale de 2005). « Pour le moment, nous n’avons que la vérification humaine pour éviter ces erreurs. Et encore, cette étape est souvent négligée », se désespère Loïc Tamarelle, président d’EUREKAM. La société était, à l’origine, spécialisée dans la sécurisation des préparations de la chimiothérapie. Aujourd’hui elle s’attache au protocole des praticiens du service anesthésie. « Ce service manipule continuellement des médicaments puissants, relativement à risque, tels les curares, des narcotiques ou de l’adrenaline », fait comprendre l’équipe. Dans la plupart des cas, la préparation reste encore manuelle. Ainsi, le danger auquel s’exposent les patients s’avère immédiat si jamais une erreur médicamenteuse a lieu. Contacté par un grand CHU de la France, EUREKAM accepte alors de développer une technologie innovante permettant de sécuriser le process des préparations médicamenteuses en anesthésie. Sécurité et intégrité Le détrompeur d’EUREKAM est une machine fonctionnant sur la base d’analyses d’images. Grâce à cette technologie, celle-ci est capable de détecter, de reconnaitre et de vérifier l’étiquetage d’un flacon ou d’une ampoule. « La machine va d’abord scanner le texte. Ensuite, elle lit à haute voix les informations écrites », explique le dirigeant de l’entreprise. La synthèse vocale a l’avantage d’offrir beaucoup plus de précisions par rapport à la lecture visuelle, qui, elle, peut être troublée par plusieurs facteurs (fatigue, confusion ou illisibilité, lumière inadaptée, etc.). En plus d’identifier la molécule, elle peut en même temps informer sur sa concentration. « Autrement dit, la machine alerte tout le bloc opératoire s’il s’agit effectivement du bon médicament administré avec le bon dosage. » Toutes les actions entreprises par le médecin ou l’infirmier anesthésiste sont par la suite stockées sur un horodatage numérique. Cette traçabilité médicale entre en jeu quand ils ont besoin de s’assurer de la conformité de leurs actes à la bonne pratique. Une autre façon d’honorer la sécurité, l’intégrité et la valeur éthique exigée par le métier. En outre, l’horodatage est également autorisé en guise de preuve médico-légale. Le détrompeur, nouvelle solution Le Salon SFAR 2018 (Société française d’anesthésie et de réanimation) va accueillir en grande première le lancement de cette nouvelle solution. « Ce détrompeur en est à sa première génération. Vont suivre d’autres versions plus perfectionnées qui iront plus loin encore », assure Loïc Tamarelle. La startup prévoit la version commercialisable pour janvier 2019. En attendant, elle cogite déjà sur la possibilité d’utiliser cette technologie en service de pédiatrie...
Le Château Kirwan, un Margaux authentique et élégant L’AOC Margaux est la seule appellation communale du Haut-Médoc à porter le nom d’un premier grand cru classé et une des plus prestigieuses et des plus vastes appellations du Médoc. Elle s’étend sur 1 400 ha et produit 21 crus classés sur 61 dans tout le Médoc. Le vignoble se trouve au sud du Médoc sur des terroirs sablonneux, graveleux et argileux. C’est un assemblage de 45 % de Cabernet-Sauvignon, 30 % de Merlot, 15 % de Cabernet franc et 10 % de Petit Verdot. Les Margaux se distinguent par leur élégance et leur finesse. En bouche, ils sont harmonieux, amples, soutenus par une fine trame de tanins délicats et savoureux. La finale est toute en harmonie et en élégance. Le Margaux est un vin "féminin", évolue et touche son apogée 15 à 20 ans plus tard selon les millésimes. Le Château Kirwan, une belle aventure Au 18ème siècle, Sir John Collingwood, important négociant britannique installé à Bordeaux pour le commerce avec l’Angleterre règne sur le Domaine de Lasalle. Son gendre Mark Kirwan hérite de ce prestigieux vignoble en l’agrandissant avec une parcelle voisine et en lui donnant son propre nom « Kirwan ». L’authenticité de ses terroirs et la qualité des vins ont permis au château d’être classé 3ème Grand Cru Classé du Médoc en 1855, avant de passer dans les mains de la famille Schyler en 1926. Château Kirwan, un Grand Cru Classé par excellence Il se distingue à l’œil par sa couleur rouge profonde et sa belle robe. Au nez, il est élégant et on sent ses arômes de fruits rouges mûrs. En bouche, il est savoureux, gourmand et a une longueur aromatique. « Il envoute votre palais avec des fruits superbes », nous explique Sophie Thierry. Il s’accorde parfaitement avec les mets à base de viande blanche, les charcuteries et bien d’autres choses. Charmes de Kirwan, un jeune vin plein de charme C’est la deuxième cuvée du château. Ce vin est issu des vignes qui ont moins de 8 ans. Le Millésime 2009 est de couleur rubis foncé. Au nez, il est élégant avec des notes de fruits mûrs et une attaque fraiche. En bouche, il est ample et a une saveur aromatique. La finale est longue et aromatique. ...
Issu d’une grande lignée de meuniers, Xavier Muller a choisi de baser son exploitation dans une ancienne minoterie de Marlenheim, qui est la porte de la route des vins de cette région alsacienne. De deux à vingt-cinq hectares Au départ, la famille Muller intervenait surtout dans la polyculture de céréales et tabac et l’élevage de vaches laitières. La belle histoire dans l’univers du vin n’a commencé qu’en 1960 lorsqu’elle a fait acquisition de ses premières parcelles de vignes qui faisaient en tout 2 hectares. Progressivement, elle s’approprie 3 hectares de vignes situées dans le Grand Cru Steinklotz. Aujourd’hui, le vignoble occupe une surface totale de 25 hectares, répartis sur la colline dominant Marlenheim, du Koenig au Sand. « Cinq membres de la famille s’occupent à temps plein de ce vignoble, ils y travaillent 365 jours par an » explique Xavier Muller. Une riche sélection de vins Selon Xavier, « la production annuelle avoisine les 33 000 bouteilles par an. Elle ne vinifie que huit hectares de son exploitation. Tout le reste part chez d’autres producteurs, d’autres négociants de la région ». Le domaine produit un grand nombre de vins et crémants d’Alsace. Toutefois, le produit qui contribue à son succès et ce, depuis le départ, est le « Crémant Chardonnay », toujours primé lors des différents concours auxquels il a participé. Il s’agit d’un vin issu à 100% de Chardonnay. Le millésime 2011 de cet effervescent à bulles très fines présente une robe jaune pâle, avec un nez très aromatique de fruits secs (noisette et amande), agrumes et pamplemousse. En bouche, il s’ouvre sur des notes de mûre avec une finale assez longue aux arômes de citron vert. Ce vin a gagné une médaille d’or au Concours des effervescents du Monde 2013. « Le Gewürztraminer Grand Cru Steinklotz fait aussi la grande fierté du domaine » affirme le propriétaire. Il s’agit d’un vin issu uniquement de Gewurztraminer. Le millésime 2011 a été élevé sur lies fines six mois avant d’être embouteillé puis bouchonné avec du liège naturel. Sa robe jaune aux reflets dorés propose un nez complexe et explosif, aux notes de rose suivies d’épices. En bouche, le vin présente une grande harmonie et une belle longueur, avec une attaque très souple aux arômes de gingembre confit. Ce vin se déguste de préférence avec une cuisine exotique. ...
Idéalement situé à cinq minutes à pied de la plage et de la Promenade des Anglais, le Windsor constitue un véritable havre de paix où opère en permanence une belle magie. Le restaurant a tout pour plaire et offre un cadre atypique, marqué par une étrange volière logée dans le creux d’un vieil arbre et par un jardin tropical hors du commun qui abrite un caoutchoutier de taille impressionnante, entouré de troènes, de néfliers, de palmiers et de bambous géants. Profitez des beaux jours à l’ombre de son caoutchoutier géant qui abrite quelques tables installées en terrasse, ou, pendant l’hiver, du décor intimiste à l’ambiance chaleureuse de son Wi Lounge, près de la cheminée. À travers une savoureuse cuisine locale aux touches provençales, le Windsor met ainsi en valeur des produits aux cuissons maîtrisées et à la présentation soignée. Une belle cascade de saveurs Riche du titre de maître restaurateur, le Windsor s’adresse également à une clientèle végétarienne qui apprécie d’autant plus les légumes bios. Grâce aux liens de partenariat qu’il entretient avec ses fournisseurs, l’établissement se fait un point d’honneur à fournir des produits de qualité. Dans un voyage culinaire plein de surprises, découvrez sans tarder sa salade d’artichauts frais marinés, son millefeuille de saumon fumé aux tuiles de parmesan ou ses petits farçis à la niçoise. Enchaînez avec un aïoli aux petits légumes, ou un magret de canard au miel et à l'orange, ou encore un gigot d’agneau rôti au miel et au thym, pour terminer avec son fameux "tiramisu revisité au spéculos" la spécialité du chef, non sans oublier ses entremets rafraîchissants aux glaces et sorbets bio. Une riche carte de vins vous attend au sein du restaurant, avec une belle représentation des vins de la région tels que les Côtes de Provence, comme le Château La Coste ou le Pink Floyd du Domaine de Miraval. ...
NutriZing se positionne comme le numéro un mondial des suppléments diététiques et des super aliments. Elle propose des produits extrêmement diversifiés, à base d’ingrédients naturels, qui sont formulés pour optimiser la santé et le bien-être des consommateurs. Expertise internationale Une grande variété de vitamines, d’aliments probiotiques, de suppléments pour la perte de poids, d’huiles de poisson enrichies en oméga 3, de poudre de protéines et de collagène compose la gamme de produits NutriZing. Si certains agissent contre le vieillissement et les maladies cardiaques, d’autres aident à maintenir la bonne croissance des articulations et à stimuler le système digestif. Ils sont conçus pour combler et soutenir les besoins fondamentaux en nutrition à chaque stade de la vie. Pour développer ses produits, l’enseigne s’est entourée d’une équipe de nutritionnistes experts dans la formulation des compléments alimentaires. Elle a également mis en place un dispositif de veille scientifique pour rapidement identifier les nouvelles percées de la science et étudier comment les consommateurs pourraient en bénéficier. Grâce à son réseau de collaborateurs répartis dans le monde, elle peut se permettre de procurer des ingrédients authentiques et locaux à travers une démarche simplifiée. Par la suite, le choix d’un fabricant se fait en fonction du savoir-faire de chaque pays en matière de production industrielle. Les produits finaux sont distribués en Europe, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Sri Lanka, Inde, Japon, Angleterre, etc. Une sélection de produits Le Vitamin K2 & Vitamin D3 combo pack est un produit à double efficacité, qui combine ses bienfaits pour renforcer la densité osseuse et l’équilibre du calcium dans notre organisme. Les formules de ces produits sont régulièrement revisitées pour apporter de l’innovation à chaque fois. Ainsi, le combo pack contribue également à la récupération des muscles et de l’énergie, tout en favorisant la protection du système cardiovasculaire. Ce produit est fabriqué au Royaume-Uni, élaboré selon les impératifs HACCP. 100 % biologique et naturel, l’Organic PeaProtein Powder est une source alternative de protéines pour ceux qui ne consomment pas de viande ou qui observent un régime particulier. En effet, il contient les huit acides aminés essentiels en plus du calcium, phosphore, zinc et métal. Son efficacité est aussi prouvée dans la perte de poids et il peut être utilisé comme supplément de pré-entraînement. NutriZing offre un livre de recettes pour montrer plusieurs façons de préparer ce produit au quotidien. ...
L’origine d’Océans Évasion remonte à 1992, quand Antoine GUYOMAR et son père ont créé la société SPI Location à Lorient, spécialisée dans la location de voiliers habitables en Bretagne Sud. Leader sur le marché français, la société a multiplié son réseau d’armateurs en même temps que les destinations proposées avant de devenir Océans Évasion, en 2006. Aujourd’hui, elle enregistre environ 1 000 réservations par an et accompagne plus de 6 000 personnes dans leur aventure en mer vers les plus belles zones de navigation aux quatre coins du monde. Un savoir-faire axé sur la qualité En tant qu’agence de conseils en location de bateaux, Océans Évasion s’est entouré de conseillers spécialistes pour organiser les croisières de ses clients. « Nous sommes une agence intermédiaire qui se situe entre nos clients et notre réseau de loueurs répartis partout dans le monde », explique le cofondateur et gérant Antoine GUYOMAR. Contrairement aux portails web qui proposent le même service, l’équipe sélectionne en amont une flotte de 5 500 voiliers monocoques et de catamarans à proposer aux clients. Ces bateaux, essentiellement construits par des chantiers navals français, sont triés sur le volet selon certains critères établis en avance tels la qualité de l’accueil, la maintenance, l’équipement des voiliers et même la solidité financière des armateurs. « Notre mission est d’offrir l’excellence à nos clients et de garantir leur satisfaction », reprend-il. Chose faite, car le taux de satisfaction des clients est maintenu à 94 %. Océans Évasion déploie son expertise sur plus de 75 destinations, depuis la Croatie jusqu’aux destinations lointaines comme la Polynésie française et la Thaïlande. La Méditerranée entretient toujours sa magie et reste un choix par excellence en période estivale. Grèce, Croatie, Sardaigne, Corse, Baléares, Turquie sont les plus prisées et se prêtent parfaitement à une croisière en bateau privatisé. En outre, d’autres destinations plus exotiques, à l’instar des îles Seychelles, les Caraïbes et les îles Grenadines commencent aussi à séduire. À la demande, des programmes de navigation vers les îles Britanniques, la Norvège ou les Açores sont également envisageables. Une approche humaine au cœur des prestations En attribuant un spécialiste pour chaque destination, l’agence veut s’assurer que les exigences des navigateurs soient respectées aux détails près. Si certains sont plutôt autonomes et choisissent de mener eux-mêmes leurs itinéraires, d’autres demandent à être accompagnés par un skipper et éventuellement d’un équipage complet pendant le voyage. « Notre service peut s’étendre jusqu’à une prestation hôtelière à bord selon les demandes des clients. »Depuis la réservation jusqu’à l’embarquement, les plaisanciers peuvent s’adresser directement à l’interlocuteur chargé de leur projet pour toutes les questions d’organisation. Par ailleurs, ces conseillers sont aussi joignables à toute heure grâce à un dispositif multicanal de service client disponible 7j/7. ...