Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Corinne et Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis 5 générations. En 2017, la famille Dumas en association avec Sébastien Plagne, un jeune passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins authentiques. Depuis, dans le chai, une petite équipe s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Syrah, Carignan, Cabernet, Merlot ou encore Chardonnay, Viognier, Sauvignon pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Un engagement dans le développement durable Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre son engagement pour l’environnement. Titulaire du label Terra Vitis et de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), le domaine va plus loin encore dans sa démarche en entamant une conversion vers l’agriculture biologique. « En août 2020, nous nous sommes engagés en bio sur les cépages blancs et depuis août 2021, cette pratique soucieuse du respect des équilibres naturels s’applique sur l’ensemble de notre domaine », fait savoir Jean-Christophe Dumas. Pour signer ce renouveau, la maison a décidé de moderniser le packaging de l'ensemble de ses produits. Une cure de jouvence initiée par la 5ème génération... Dans les caves du domaine… L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de répondre aux attentes de chacun. La cuvée Obstiné débutée en 2018 est symbolique de cette démarche. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2017 et 2018, un rouge Grenache - Syrah - Carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins de 2020 ou le millésime 2019 de la cuvée Obstiné qui a reçu une médaille de bronze au Prix Plaisir Bettane+Desseauve en 2021. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan ayant fait un rapide passage en fût de chêne. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région et au-delà. ...
Avec son appartenance à l'AOP Languedoc et à l'IGP Cévennes certifiés Demeter et Agriculture Biologique, le vignoble du Mas Costeplane est l'incarnation même de l'excellence viticole en biodynamie. Une viticulture qui est bien plus qu'une simple méthode d'agriculture biologique puisqu’elle vise à travailler en harmonie avec les cycles de la nature, à favoriser la création d'un écosystème afin de régénérer les sols, renforcer la vitalité des vignes pour ne produire que des raisins certes en quantité limitée mais d'une qualité exceptionnelle. En France, moins de 500 domaines viticoles sont sous le label Demeter. Ils appliquent de bonnes pratiques agronomiques qui permettent aux vins d’exprimer pleinement ses qualités et la typicité d’un terroir. Quant au Mas Costeplane, pionnier dans le domaine de la biodynamie, il est à retenir que ses sols n’ont vu aucun pesticide depuis plus de 50 ans. Un gage de qualité qui restitue dans la bouteille tout le reflet du terroir avec pour chaque millésime des raisins sains, récoltés à parfaite maturité tout en évitant intrant ou additif en vinification. Mas Costeplane : terroir d’excellence, respect de la Nature et biodiversité Sur 30 hectares, le mas Costeplane bénéficie d'un terroir d'exception caractérisé par des sols argilo-calcaires entourées de collines où prédominent garrigues, chênes verts, pins, plantes aromatiques et une biodiversité végétale et animale exceptionnelle. Le seul voisin du Mas est la miellerie du Clairan qui se situe à 2 kms environ du domaine. En somme, une véritable terre promise pour ce vigneron car elle lui apporte un terroir équilibré avec des conditions climatiques certes rudes mais idéales pour la culture de la vigne. Le climat avec la proximité de la mer, le soleil méditerranéen souvent torride en été, les vents frais des Cévennes avec une centaine de nuits de gel en hiver confèrent aux raisins et aux cépages cultivés une richesse et une complexité unique. Dans cette perspective, Loïc Manchec en vigneron attentif, véritable gardien de la terre prend en compte l'ensemble de son environnement, des insectes aux oiseaux qui survolent les vignes aux micro-organismes foisonnant dans le sol. Ici, au Mas Costeplane, chaque élément de cet écosystème est considéré comme essentiel pour maintenir l'équilibre et la vitalité de la vigne où 7 cépages sont cultivés afin de donner des vins authentiques au véritable reflet du terroir. Richesse des cépages pour des vins blancs authentiques… Pour les blancs, le Vermentino, le Grenache blanc et le Chardonnay sont à l'honneur. En ce qui concerne le Vermentino, ce cépage nécessite un climat chaud et sa culture ne peut se faire que sur des parcelles bien exposées au soleil. Pioch de l’Oule 2020 en blanc en AOP Languedoc (15 €), vinifié, assemblé avec le Grenache blanc et le vermentino donne un vin blanc aromatique avec au nez des senteurs d’herbes sauvages, de fenouil, de zestes de citron vert, de citronnelle et de fruits à chair blanche. En bouche, il révèle une belle fraîcheur avec une longueur, une ampleur et un léger piquant herbacé. D’une couleur « paille brillante » aux reflets verts, ce vin a reçu la note de 90/100 au Blind Tasted de Andreas Larsson, meilleur sommelier au monde et fervent défenseur de de la dégustation à l’aveugle. Une véritable récompense pour Mas Costeplane puisque le succès est également au rendez-vous avec une production en vin blanc notamment pour la cuvée Vermentino 2022 blanc en IGP Cévennes (7,80 €) en rupture chaque année dès la fin juin. Un vin à la robe d'une pureté cristalline aux reflets verdoyants et au bouquet d’agrumes, de fleurs blanches avec en bouche une rondeur et une finale légèrement saline. En somme, toute l’expression magistrale de ce cépage qu’est le Vermentino que l'on retrouve dans les vins du domaine Costeplane. Pour les amateurs de chardonnay, cépage de raisin blanc originaire de la Bourgogne, on le retrouve également au Mas Costeplane dans une production assez confidentielle limitée à 30 Hl/ha pour ne conserver uniquement que le meilleur. Résultat, u...
Maison La Mauny, générosité et richesse aromatique L’histoire de Maison La Mauny débute en 1749 quand Ferdinand Poulain, comte de Mauny, débarque sur l’île et épouse la fille d’un riche planteur qui possédait des terres dans la petite ville de Rivière-Pilote. Il devient ainsi propriétaire d’une exploitation agricole à qui il donne son nom. Avec la terrible crise de l’industrie sucrière de 1820, la distillerie se développe et commence à produire du rhum agricole élaboré à partir du pur jus de cannes du domaine, utilisées jusque-là exclusivement pour la production de sucre. Presque cent ans plus tard, les frères Bellonnie reprennent le domaine pour ensuite s’associer à la famille de négociants marseillais, les Bourdillon. On est en 1996 quand le groupe commence les démarches nécessaires pour faire des rhums martiniquais les premiers, et jusqu’à aujourd’hui les seuls, rhums certifiés AOC au monde. Maison La Mauny travaille depuis toujours ses rhums dans l’art complexe de l’assemblage pour exalter une large palette d’arômes et une générosité particulière. Le maître de chai de la Maison, par petites touches, comme un peintre avec leur palette, sélectionne les fûts et élabore les meilleurs assemblages pour exprimer toutes les subtiles particularités de la situation géographique des plantations dans ce qu’elles offrent de plus généreux. Situées dans une vallée verdoyante à la terre rouge argileuse, les cannes ici se gorgent de sucre dans une chaleur et une humidité particulière. Cela leur confère des notes aromatiques très fruitées, que l’on rencontre dès les rhums blancs, mais qui s’expriment encore plus délicatement dans les vieux rhums. Riche de son histoire et de son authenticité, Maison la Mauny est une distillerie dite « fumante » c’est à dire une distillerie toujours en activité pendant la période de la récolte de la canne qui a lieu de mi-février à fin juin. La visite guidée se fait en petit train où vous découvrirez le savoir-faire des hommes qui perpétuent, d’année en année, les méthodes traditionnelles d’élaboration des rhums agricoles Maison La Mauny. A la Cabane à rhum, vous serez initiés aux ti-punchs et cocktails, et apprendrez tout sur l’art du vieillissement en dégustant les rhums vieux d’exception. Les rhums Trois Rivières, élégance et puissance aromatique C’est sur le site de Rivière Pilote que la précieuse colonne à distiller originelle de Trois Rivières a été déplacée pour garantir la qualité et la singularité de ses rhums. Fondée en1660 par Nicolas Fouquet, la plantation Trois Rivières fait partie des plus anciennes de la Martinique. Située au sud de l’île, surplombant la mer des Caraïbes, Trois Rivières bénéficie d’un microclimat aride qui diffère totalement de celui de Maison La Mauny. Cette situation géographique exceptionnelle renforce la concentration en sucre de ses cannes réellement exceptionnelles. Ce terroir du Sud s’exprime pleinement dans le Trois Rivières Cuvée de l’Océan, dont les cannes élevées sur l’Anse Trabaud à Ste Anne affichent autant leur forte sucrosité que l’intensité des notes iodées portées par les Alizés Visible de loin au milieu des champs de canne, un moulin à vent indique l'emplacement des Plantations Trois Rivières. Ce site est un lieu de découverte pédagogique, des procédés de distillation du rhum mais aussi de l'histoire de la Martinique. Un savoir-faire d’exception Dès la coupe, les cannes sont immédiatement apportées à la distillerie pour préserver toute leur fraîcheur. On en extrait le pur jus qui va fermenter pendant 24 à 48 heures. C’est dans la colonne à distiller, unique à Trois Rivières, que le jus des cannes se transforme en « esprit du rhum » ruisselant doucement le long des parois. Le rhum blanc, qui sort entre 65 et 75%, sera ensuite réduit au degré d’alcool voulu avant d’être commercialisé. Les rhums vieux, quant à eux, doivent vieillir au minimum tr...
Situé entre la rue des Minimes et la rue du Docteur-Leroy, ce salon de thé à l’allure épurée et minimaliste est un vrai petit coin de paradis. Suivant le credo de la maison, les deux associés japonais retravaillent à leur manière la pâtisserie et la cuisine japonaise. Une pâtisserie à la sauce nipponne Après plus de 15 ans d’expérience au Japon et 5 ans en France, le chef pâtissier Masatoshi Takayanagi décide de s’associer avec Chisa Ogawa pour ouvrir l’établissement Takayanagi au Mans. Le chef, dit Taka, fait de cet endroit un véritable laboratoire où il concrétise sa créativité fertile. Il s’autorise presque tous les mélanges d’ingrédients possibles, bien sûr en toute connaissance de cause. La légèreté de ses pâtisseries françaises revisitées à la japonaise révèle des saveurs qui sont à la hauteur de l’ambition du chef Taka. Tous les produits du Takayanagi sont créés et faits maison à partir de produits frais. Le chef remplace certains composants des pâtisseries françaises par des ingrédients typiquement japonais, comme le haricot rouge qui est « la base de la pâtisserie traditionnelle japonaise », les agrumes yuzu et sudachi, ou encore les thés matcha et hoji. Le sucre est volontairement modéré pour accentuer le gout des composants. Le meilleur ambassadeur de cette association de saveurs françaises et nipponnes est sans doute le « Paris-Tokyo » : une pâte à choux agrémentée de crème pralinée et de sésame et garnie de pâte de haricots rouges. Les autres gâteaux et tartes n’attendent que d’enchanter vos papilles. La maison vous suggère une formule boisson et gâteau individuel à 6 € à l’heure du thé. Une cuisine japonisante La cuisinière-gérante japonaise Chisa Ogawa s’est installée en France depuis 25 ans. Elle touche un peu à tout et multiplie les rencontres. À la croisée des chemins, elle fait la connaissance d’un grand chef pâtissier du nom de Takayanagi. Cette rencontre particulière a donné naissance au salon de thé sarthois qui propose en même temps boisson, pâtisserie et plat du jour dans un cadre simple, avec une décoration zen. Elle vous y suggère une cuisine familiale japonaise, qu’elle préparait autrefois pour sa famille. L’excellente cuisinière du Takayanagi concocte chaque jour un plat unique avec de bons ingrédients adaptés à la gastronomie nipponne, pour le grand plaisir des gourmets. La présence très remarquée du riz dans les assiettes rappelle cette couleur asiatique. Régalez-vous du sushi revisité : saumon poireau, avocat mayonnaise et poulet concombre sur lit de riz vinaigré. Succombez au plaisir du plateau tendon (beignet de légumes et crevettes sur du riz), accompagné d’un petit bol de soupe miso. Et en dessert, goutez par exemple à la crème de mangue ou au fraisier. Vous pouvez évidemment y ajouter une boisson chaude, froide ou gazeuse selon votre préférence. Un partage de culture Les néophytes se réjouiront de savoir que les deux artistes de la maison Takayanagi offrent chaque mois différents cours sur les bases simples de la cuisine japonaise. Les séances sont programmées un vendredi soir par mois, de 18 à 20 heures. Les places sont limitées à 7 personnes pour la convivialité. Pour la cuisine, cela va de la cuisson de riz à la japonaise jusqu’aux idées de verrine pour les fêtes de fin d’année, en passant par les différents repas complets japonais. Côté pâtisserie, le chef Taka vous apprend les recettes pour une pâte à choux, une crème pâtissière et une chantilly parfaite. Les apprentis suivent les enseignements en petit comité dans une ambiance décontractée. Venez avec un tablier pour apprendre les astuces pour bien réussir vos gâteaux à la maison, ou pour donner à vos mets un brin d’exotisme et de fantaisie à la japonaise. Chaque participant emportera son exploit pour le faire gouter à sa famille. Ce cours peut également être offert en cadeau à un proche, en le précisant lors de l’inscription. Il n’...
Le Domaine du Moulin de Lachaud se trouve dans un cadre champêtre à Sainte-Fortunade dans le département de la Corrèze. Bruno et Armelle seront heureux de vous y accueillir en toute saison pour un séjour au calme ou pour déguster une cuisine gastronomique inspirée du terroir. Le domaine est aussi un lieu idéal pour des repas de famille, des anniversaires ou des mariages. L’hébergement : une large palette d’espaces dédiés Au Domaine du Moulin de Lachaud, vous pourrez résider dans l’une des 3 chambres d’hôtes ou dans le studio, tous prévus pour recevoir 2 personnes. Si vous recherchez plus d’originalité, vous pourrez choisir la hutte gauloise pour 4 personnes ou encore l’ancien moulin rénové qui peut accueillir jusqu’à 10 personnes. Si vous préférez le camping, une plateforme surplombant l’étang est réservée aux camping-cars. Eau et électricité sont ainsi à disposition. Le restaurant : une cuisine gastronomique inventive La salle du restaurant vous accueille dans un espace coloré et moderne. L’été, vous pourrez aussi profiter de la terrasse de 100 m² avec une superbe vue sur l’étang. Le chef vous régalera avec sa cuisine gastronomique inventive et raffinée. Tous les plats sont concoctés à partir de produits frais et de saison. En entrée, le magret fourré au foie gras ou le duo de foie gras mi-cuit aux fruits secs et écorces d’orange confites sont des spécialités maison très appréciées. En plat, le grenadin de veau aux girolles fera succomber vos papilles. Mais les pâtisseries sont également à l’honneur avec le pudding à l’ananas, une recette familiale très légère sans lactose ni gluten, ou la tarte Mojito à base de jus de citron jaune et vert, de menthe et de rhum. Ici tout est fait maison, même le pain bio est préparé sur place, comme par exemple celui au petit épeautre. Des concerts et des soirées à thème y sont organisés tout au long de l’été. L’étang : pour tous les amateurs de pêche L’étang situé sur le domaine s’étend sur 2,5 hectares et est alimenté par des sources naturelles. Ce site classé en titre vous dispense de la carte de la Fédération Nationale de la pêche. Vous pourrez y pêcher carpe, truite ou black-bass toute l’année sur réservation auprès du restaurant. Si vous aimez pratiquer la pêche à la mouche, rendez-vous d’octobre à février. ...
Au cœur de l’appellation Lalande-de-Pomerol, cette propriété de 27 ha se compose aujourd’hui de deux châteaux : Château Moncets et Château de Chambrun. Un troisième existe également, château la Bastidette en AOP montagne Saint Emilion, 1ha À partir de 2015, les vignobles se dotent de nouveaux chais compétitifs avec des matériels à la pointe. Objectif affiché : adapter le vignoble au changement climatique, tout en favorisant l’expression du terroir. Un terroir diversifié Avec une superficie de 18 ha d’un seul tenant, le vignoble du Château Moncets est formé de 20 parcelles reposant chacune sur un terroir spécifique. « L’appellation est connue pour ses terroirs très diversifiés et rien que pour le Château Moncets, nous avons la chance d’avoir des sols à dominance d’argile avec des variances de sable de graves », annonce Julien Noël, directeur commercial. Cette diversité des terroirs permet au domaine d’élaborer des vins plus complexes. Dans un rayon de 2km plus au nord, les vignes du Château de Chambrun s’épanouissent sur des plateaux à forte teneur d’argile et présentant des graves en surface. « Sur ces terroirs combinés au climat d'aujourd'hui, les vignes parviennent facilement à maturité et nous confectionnons des vins plus fins et délicats. » Faire face au changement climatique Depuis 2017, le domaine est en cours de conversion vers l’agriculture biologique. Aucun produit de synthèse n’est donc toléré ! Par ailleurs, de nombreuses expérimentations sont menées à la fois au chai et au niveau du vignoble, notamment en ce qui concerne le changement climatique. Pour superviser la transition de ces opérations, la maison est maintenant suivie par Thomas Duclos, oenologue associé du laboratoire Oenoteam. Le laboratoire Michel Rolland ayant suivi les millésimes 2012 à 2017. L’introduction récente du cépage malbec est l’un des résultats notables issus de ces expérimentations. En effet, le malbec semble bien réagir aux effets du réchauffement climatique, compte tenu du fait que celui-ci a tendance à perdre de son acidité. Un système parcellaire Afin de s’adapter aux typicités propres à chaque parcelle, le domaine a mis en place un travail fondé justement sur un système parcellaire. « Non seulement nous avons des processus de culture spécifiques à chaque parcelle, mais également nous réalisons des vinifications adaptées grâce à notre cuvier parcellaire », indique Julien Noël. En plus de ses cuves sur mesure, le domaine utilise aussi un système gravitationnel pour placer les raisins dans les cuves. Résultat, les baies restent intactes et évitent par la même occasion l’oxydation. Mais ce qui démarque véritablement le domaine, c’est le recours à la technique de vinification intégrale, au cours de laquelle les meilleures parcelles sont vinifiées directement en barrique. ...
C’est à l’angle de la rue Rambuteau et la rue Saint Martin que les férus de bonne cuisine seront accueillis dans une brasserie spacieuse et chaleureuse. Bonne ambiance, personnel qualifié et recettes authentiques sont autant d’ingrédients faisant la renommée de ce lieu où l’authenticité et la convivialité règnent en maîtres. Plaisirs du palais propres à Paris Dans un cadre raffiné mais décontracté, Le Cavalier Bleu est « une brasserie type priorisant les produits locaux produits par des producteurs afin d’élaborer des recettes simples et généreuses», explique le gérant, Thomas. Chaque plat est la promesse d’une explosion de saveurs et d’arômes. « Allant du palet de chèvre au miel au tartare de bœuf en passant par la crème brûlée, les spécialités propres à la région sont mises à l’honneur dans des plats concoctés avec passion », rajoute Thomas. Un spiritueux de la cave à vins et alcools de marques viendra débuter et clore en beauté votre repas. Une brasserie typique au goût du jour Les cocktails, les chopes de bière et les salades composées sont à déguster entre amis, en couple ou en famille dans une salle conviviale ou sur une terrasse à l’ambiance agréable. De nombreux événements sont, entre autres, organisés dans ce lieu propice à la détente, à l’instar des soirées à thème. Afin de mettre en avant la richesse vinicole du pays, « Le Cavalier Bleu met tous les mois un vin à l’honneur. Ce vin du mois sera proposé à un prix attractif afin de faire du partage le maître-mot », conclut Thomas. ...
Pour Tine et Marc Verstraete, la reprise du Château Castigno marque un tournant dans leur vie. En faire un havre de paix où se cultivent le plaisir de vivre heureux et l’amour des grands vins, tel est leur objectif. Le domaine viticole Le destin a voulu que les voyages de Tine et de Marc Verstraete à travers le monde les conduisent vers un endroit atypique du sud de la France. Un lieu exprimant l’histoire d’un terroir et du temps passé. Tombés sous le charme du domaine Château Castigno, ils décident d’y construire un lieu de détente, de quiétude et de découverte ainsi qu’un vignoble cultivé dans le respect de la tradition. Sur ces terres qui ont connu l’époque cathare et les chevaliers de l’Ordre de Malte se développe aujourd’hui une sélection de vins produits à partir de syrah, de carignan, de grenache, de roussanne, de cinsault, de mourvèdre et de merlot. Parmi ceux qui font la fierté de la maison figure l’AOC Saint-Chinian Rouge Secret des Dieux. Ce vin de soleil accompagne merveilleusement bien des viandes grillées, des plats en sauce, du gibier ou des plats exotiques. L’offre hôtelière Le village Castigno cultive l’art de l’accueil et de la convivialité. Il s’est doté d’une offre d’hébergement classée 5 étoiles et éclatée en de nombreuses villas privatives. Installée dans un ancien logement de vignerons, la Maison d’amis garantit un hébergement atypique au milieu des vignes. Elle est composée de 9 chambres luxueuses possédant leur salle de bain privée et peut être louée entièrement ou par chambre. Cet hôtel « hybride » est équipé d’une piscine chauffée privative, d’une grande terrasse et de jardins. A découvrir également : les anciennes écuries transformées en deux suites contemporaines et confortables. N’ayant rien laissé au hasard, le village Castigno propose de nombreuses activités pour un séjour oenotouristique inoubliable : randonnées pédestres, initiation à l’œnologie, dégustation de vins, balade en scooter à travers des labyrinthes de vignes… Il a également créé un centre de bien-être utilisant des cosmétiques élaborés dans des laboratoires sur mesure à partir de l’huile de pépin de raisin dont les fabuleuses propriétés font l’unanimité. Un village gastronomique Le village Castigno séduit les fins palais à travers son restaurant gastronomique La Table où les convives savourent une cuisine généreuse et conviviale. La grande nouveauté : l’établissement accueille deux nouveaux chefs Ruben De Maesschalck et son frère Pieter. Les plats à base de produits frais et de saison laissent transparaître les origines flamandes de ces deux maestros des fourneaux. Ils se dégustent dans la salle dont la décoration s’inspire indubitablement de l’univers des vins, marquée par une prépondérance de couleur mauve. A l’extérieur, la terrasse s’ouvre sur un cadre bucolique appelant au romantisme. Les jardins procurent un coin paisible, propice à la sérénité. Au contact des beaux paysages de l’appellation Saint-Chinian, les amoureux de la nature et des vignes se laisseront séduire par la cuisine nomade du Château Castigno. Au programme : des mets savoureux à déguster dans un cadre champêtre. A noter que l’équipe de la Nomad Kitchen propose aussi des cours de cuisine durant lesquels seront développées des recettes du bout du monde. Le vin étant au cœur même de la vie du Château Castigno, les propriétaires ont aussi décidé d’ouvrir un bar à vins sobrement baptisé « La Petite Table », d’où il est possible de découvrir un large choix de tapas à la lumière du soleil couchant. A ne pas rater : les vins du domaine qui rehaussent les saveurs du Midi. Pour finir, rendez-vous dans le restaurant Thaï au sein duquel les convives dégustent une cuisine du marché élaborée à base de produits locaux mais en version thaï. ...
Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux. Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...
La renommée viticole du Vivarais remonte au XVIe siècle, lorsqu’Olivier de Serres loue les mérites de ses crus. Cette qualité, qui deviendra le maître-mot des vignerons de cette terre, sera rehaussée par un travail de rénovation marqué par l’introduction de cépages nobles produisant des cuvées gourmandes et rocailleuses. Un engagement envers l’excellence qui sera récompensé en 1999 lorsque les Côtes-du-Vivarais obtiennent l’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC), gage de l’authenticité des vins produits sur ces terres généreuses. Terre de vie, terre de vins… L’appellation Côtes-du-Vivarais est nourrie par un vignoble s’étendant sur 14 communes de part et d’autre des gorges de l’Ardèche. Ici les vignes côtoient chênes verts et oliviers en puisant tous les arômes et les saveurs typiques d’un terroir rustique. Les cuvées d’exception qui en découlent se caractérisent ainsi par leur fraîcheur, leur minéralité et leur robustesse. Côté gardois, vous pourrez visitez Aiguèze, classé parmi les plus beaux villages de France, et sa falaise abrupte sur la rivière Ardèche. De l’autre côté du pont, Saint Martin d’Ardèche est le pont d’arrivée des canoës achevant la descente des impressionnantes gorges. ...
Sur un fond de tonalités végétales, Le Lulli offre une belle luminosité à laquelle vient s’ajouter une grande verrière installée tout au long du restaurant. Transformé en un lieu du chic et du charme avec en plus « un magnifique jardin au jeu de lumières infinies», comme le décrit si bien le chef Jean-Baptiste Orieux, Le Lulli est une véritable œuvre d’art pour qui sait l’apprécier. Constitué à 50 % d’une clientèle d’affaires et à 50 % de « personnes qui recherchent un produit plus élevé qu’un restaurant traditionnel ou qu’une brasserie parisienne », l’établissement est un lieu dédié à la clientèle parisienne, un endroit « où l’on peut passer un bon moment avec un service de qualité 5 étoiles », se félicite-t-on. À 35 ans et après 12 ans d'expérience auprès du chef meilleur ouvrier de France Jean-Yves Leuranguer au Fouquet’s Barriere, Jean Baptiste Orieux a pris la tête des cuisines du grand hôtel du palais royal et de son restaurant le Lulli en juillet 2017. Une cuisine très France avec plusieurs spécialités Le restaurant Le Lulli offre à sa clientèle « une cuisine savoureuse, préparée avec des produits frais », nous précise-t-on, mais également des spécialités variées tout aussi succulentes les unes que les autres, incluant 4 entrées, 6 plats et 6 desserts. Les formules déjeuner incluent deux plats à 29€ ou trois plats à 38€ avec des propositions appétissantes à chaque semaine. Jean-Baptiste Orieux a imaginé une carte au goût du jour, construite autour de produits locaux choisis pour leurs propriétés et leurs qualités, bio ou encore sans gluten. Il offre ainsi une sélection de plats très raffinés, réalisés avec les meilleurs produits de saison. Bar pané au sésame condiment gingembre, ballotine de foie gras de canard mi-cuit et Granny Smith bio, dos de cabillaud avec chou-fleur façon risotto aux algues et craquant de sarrasin, maigre confit avec bonbon de poireaux, hollandaise au Gewurztraminer ... En dessert, on se laisse volontiers tenter par le pavlova framboise et sa meringue délicate ou l’opéra café et chocolat... biscuit croustillant »… Le Lulli, le restaurant du Grand Hôtel du Palais Royal, est RÉCOMPENSÉ POUR LA DEUXIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE EN 2017 PAR LE GUIDE MICHELIN qui lui attribue « L’Assiette MICHELIN ». ...
L’idée de Petit Déjeuner étoilé apparaît en esquisse dans l’esprit de la fondatrice après une longue collaboration en 2014 avec le chef du plaza athénée. Son créneau était alors les cadeaux sur mesure. En rencontrant l’illustre Christophe Michalak, le concept prend forme. Proposer à la fois le goût exquis d'un chef, associé au chic d'un coffret de luxe, des produits frais et de grande Qualité le tout pour créer un moment conviviale et de bien être au bureau ou à la maison. Un cadeau pour démarrer sa journée... Des formules au choix pour démarrer du bon pied Aujourd’hui, Petit Déjeuner étoilé propose trois formules, une sous coffret individuel de luxe, l'autre en partage sur un plateau et enfin la formule sans packaging avec ou sans abonnement. « La première (formule) que nous avons créée, se présentait et se présente toujours sous forme de coffrets individuels à composer selon ses goûts, avec des pièces signés par nos chefs, dont quatre créations sucrés et une salée », précise le co-fondateur de la marque, Gary. Thé, café et jus d’orange complètent bien sûr ce petit déjeuner que le client va pouvoir composer à sa guise. Ensuite, pour répondre à des besoins de plus en plus spécifiques et variés, l’enseigne a développé une formule à la carte (sans packaging). Ici, les viennoiseries arrivent chez le client sous forme de plateau ou en vrac. Au choix, les créations sucrées – viennoiseries et autres gourmandises – des deux chefs actuels (christophe michalak et Philippe Conticini) qui collaborent avec la marque. Dans cette catégorie, tout est possible. L'on peut choisir entre différents pains – seigle, céréales, de campagne –, du cake ou de la madeleine. Panna cotta, salades de fruits de saison en verrines et fruits frais en damiers figurent également dans la carte qui se veut adaptée aux personnes recherchant des idées de petit déjeuner healthy. Plutôt salé ? Le client peut commencer sa journée avec les sélections de mini-sandwichs. Une partition pour deux chefs Si vous êtes plus nombreux, Petit déjeuner étoilé propose également de se retrouver pour un démarrage en toute convivialité grâce à la formule buffet. Un service proposé sur devis et déployé avec les dispositifs adéquats – argenterie, porcelaines, personnel est mis à votre disposition. Dans tous les cas, les offres de la marque ont été amoureusement concoctées par deux chefs de renom : Christophe Michalak et Philippe Conticini. Le premier signe, par exemple, la « Cassolette de pain perdu revisité ». Une "brioche perdue" que le pâtissier agrémente d’une crème à la vanille Bourbon. La préparation est ensuite caramélisée et grillée. Âme d’enfant retrouvée également avec le « Sablé gianduja noisettes » où le nappage gourmand donne un caractère à part au croustillant d’une pâte sablée parfaite. ...
Héritage familial depuis quatre générations, la Bonne Etape est un célèbre restaurant gastronomique étoilé Michelin depuis 1964. La maison reste fidèle au goût authentique de la Provence, à l’accueil amical du personnel et la convivialité des lieux. A l’intérieur comme à l’extérieur, le cadre envoûte les visiteurs. Ils prennent alors le temps de s’asseoir pour savourer une cuisine d’auteur raffinée qu’inspire le jardin biologique de la maison. L’émotion est au rendezvous, le goût du bonheur faisant toujours effet dans les plats amoureusement préparés par le chef Jany Gleize. Le parcours prédestiné d’un passionné Le propriétaire des lieux n’est autre que le chef étoilé Jany Gleize, Maître cuisinier de France. Né un jour du SaintValentin 1957 à Château Arnoux, il grandit au sein d’une famille de restaurateurs. Très jeune, il observe déjà son père orchestrer le restaurant et partage la passion de sa grandmère Gabrielle pour la cuisine. Son choix est fait. Dès qu’il a décroché son baccalauréat, Jany part débuter sa carrière chez « La Bonne Auberge » de Jo Rostang, à Antibes, loin du cocon familial. Il travaille ensuite pour Pierre et Jean Troisgros à Roanne, en 1976. De 1977 et 1978 il est apprenti chez Alain Chapel à Mionnay puis en 1979 chez Michel Guérard. Après son apprentissage bien peaufiné à travers la France, il devient serveur de restaurant pendant six mois au « Connaught Hotel », à Londres, en 1980. Il finit par revenir dans sa chère Provence, en 1981 et prenden main le restaurant familial. Les talents du chef se font vite remarquer si bien que sa renommée parvient même jusqu’au Palais de l’Elysée. Il est alors choisi par le Président François Mitterrand pour préparer le repas du soir du bicentenaire de la Révolution Française, le 14 juillet 1989, en l’honneur de tous les Chefs d’Etat invités. Le Maître, cependant, ne réserve pas la noblesse de son art qu’aux grands de ce monde: il lepartage avec tous ceux qui aiment la cuisine française. Il vient ainsi de publier son premier ouvrage intitulé « La Bonne Etape », sorti le 07 mars dernier. Ce beau livre, aux éditions Brigitte Eveno, contient 50 recettes où le chef dévoile ses secrets. Des plats aux saveurs authentiques de la Provence A la Bonne Etape, la cuisine est rythmée au fil des saisons. Elle est riche de saveurs mais légère au corps : un équilibre harmonieux savamment recherché. La maison propose trois menus, à savoir le menu Mer ou Garrigue, le menu Jarlandin dans lequel le dessert est une surprise du chef, ou encore le menu Jeunes Convives pour les moins de douze ans. Il est également possible de commander à la carte et essayer à l’entrée le fameux Foie gras de canard en trio en lobe ivre de vin rouge épicé, à 32€. Ce plat figureen saison au menu Jarlandin, tout comme l’Agneau de Sisteron rôti à feu d’enfer, servi avec du risotto. Le dessert à la carte va sûrement satisfaire les gourmets avec sixvariétés de délices sucrées, proposées avant le fromage sur une autre carte séparée. Le chef et son équipe sont heureux de conseiller leurs hôtes sur leurs choix et les vins qui s’y accordent. La cave de la maison, reconnue comme l’une des plus belles de France, laisse l’embarras du choix avec ses 600 références. Le secret est dans le potager La Bonne étape dispose d’un jardin potager baptisé « Jean Rey », en l’honneur du grand père qui était agriculteur. Le chef Jany Gleize a donné une nouvelle esthétique au jardin avec la collaboration de François Tessari, un jardinier ethnobotaniste de renom. Ils ont ainsi créé un jardin à l’anglaise où l’harmonie des couleurs est une véritable peinture vivante. La culture biologique y est privilégiée. Le désherbage se fait à la main, la terre est travaillée à l’aide d’une grelinette. Pour gérer les insectes nuisibles, le chef favorise les systèmes de « friches » où les larves des insectes ravageurs sont exposées aux prédateurs. C’est dans ce champ de légumes, d&rs...
Doté d'un espace bien être (Piscine, Sauna, Hammam et Fitness ainsi qu'un Spa By Clarins), l’établissement n’est qu’à 35 minutes de Moûtiers en voiture. Cet hôtel « skis aux pieds », à l’atmosphère familiale, ne manque résolument pas de caractère, ponctué par des détails qui accrochent le regard. Perché à 1 700 m d’altitude, le restaurant offre une magnifique vue sur les montagnes des 3 vallées. À travers une cuisine gastronomique servie depuis la terrasse panoramique, l’enseigne est un lieu d’exception où il fait bon se retrouver. Une cuisine raffinée Le midi et le soir, le restaurant de l’hôtel laisse le choix de deux types de cuisines différentes. Si le midi met à l’honneur une ambiance semi-gastronomique, le soir, on est plutôt dans un cadre résolument gastronomique. Travaillant des produits essentiellement sélectionnés auprès de fournisseurs locaux, l’enseigne propose, le midi, un menu tout à la carte avec des plats à partager ainsi qu'une belle sélection d’entrées froides ou chaudes, une carte de poissons, de viandes ou de pâtes, ainsi que des risottos. Foie gras poêlé, pancake nectar de pomme et miel, cochon filet mignon laqué au miel, finger de tartiflette et soufflé Grand marnier, compotée d’agrumes et sorbet forment un beau festival de saveurs et de raffinement. Que ce soit en famille, entre amis ou en amoureux, apéritifs, goûters et plaisirs du farniente sont autant d’occasions de profiter de l’ambiance feutrée du restaurant, de sa grande salle avec cheminée ou de sa terrasse panoramique. Le restaurant Allodis met à votre disposition une riche carte de vins de plusieurs centaines de références, représentatives de toutes les régions. Vous n’aurez que l’embarras du choix, avec toutefois la possibilité de demander conseil au sommelier pour les meilleurs accords mets-vins. De façon tout à fait aléatoire, le son mélodieux d’une musique d’ambiance vous bercera certains soirs, de l’apéritif jusqu’à la fin des repas, en fonction des occasions. ...
D’un côté, les commerçants de proximité (épiceries fines, fromageries, boucheries…) souhaitent mettre en valeur leur savoir-faire. De l’autre, les consommateurs sont toujours à la recherche de produits frais, sains et locaux. Fraichy met en relation tout ce beau monde grâce à une plateforme à la fois ergonomique et très simple d’utilisation. Offrir plus de visibilité Fraichy est née sous l’impulsion de trois jeunes Montpelliérains : Thibaud Audry, Tom Vea et Gabriel Nuel. Ces amateurs de bonne cuisine issus d’une formation en management et entrepreneuriat se sont rendu compte d’un réel besoin sur le secteur alimentaire, notamment auprès des commerçants de bouche. « La grande majorité ne dispose pas de visibilité sur Internet ou se contente d’un site vitrine sur lequel il n’y a pas d’activités digitales », souligne Thibaud Audry. Et c’est donc de là que tout est parti. Fraichy, une solution avantageuse pour tous En intégrant la plateforme, les commerçants bénéficient d’un nouveau canal de distribution. Ces derniers profitent des apports du digital pour gagner en visibilité et accroitre leurs activités grâce à la mise en valeur de leur savoir-faire. « En se digitalisant, les commerçants vont non seulement agrandir leur zone de chalandise mais aussi augmenter leur chiffre d’affaires » nous indique-t-on. Mais pour faire partie de la communauté Fraichy, il faut avant tout répondre à des critères bien précis. « Nous sélectionnons nos commerçants selon une charte qualité incluant, par exemple, la provenance des produits ou encore les avis clients consultables sur Internet », rapporte notre interlocuteur. Du côté du consommateur, la solution peut représenter un gain de temps non négligeable. Ce dernier a ainsi la possibilité de choisir très facilement les produits dont il a besoin. En effet, une fois connecté sur le site, il lui suffit d’indiquer son adresse ainsi que les modalités de livraison, puis celui-ci accède à différentes catégories de commerçants et peut sélectionner tranquillement ses produits. La livraison se fait soit à domicile soit sur le lieu de travail du consommateur. À ce sujet, la startup privilégie une livraison écoresponsable en travaillant avec des coursiers à vélo cargo. « Nous pouvons regrouper toutes les commandes en une seule livraison », explique le cofondateur de Fraichy. ...
Avec un slogan fort de sens - « Tous vos succès méritent un GREMILLET » - en parfait écho avec le parcours de la maison qui s’est rapidement hissée parmi les plus belles de son secteur, l’entreprise, créée par Jean-Michel GREMILLET en 1979 et reprise par ses enfants Anne et Jean-Christophe, offre un regard optimiste sur l’avenir et place la détermination, le dynamisme et le travail au cœur de ses valeurs. Une gamme de champagne mêlant qualité, fraîcheur et élégance La maison produit aujourd’hui 500 000 bouteilles par an. Le fruit d’un savoir-faire et d’une terre précieuse : un domaine vaste de 48 ha, situé au cœur du terroir unique de la Côte des Bar où le pinot noir est roi, et qui abrite depuis 2013 un clos. Ce dernier a enfanté la dernière création de la maison, une cuvée bijou qui porte son nom : le Clos Rocher. ...
Novembre 1989. Une annonce publiée dans l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur fut le déclencheur d’un nouveau projet de vie, un challenge que Pierre Carle et son épouse, Éléna, réussirent avec brio. Petit, Pierre Carle passait ses vacances chez ses arrières-grands-parents et sa grand'mère, des passionnés de la vigne et anciens négociants en Cognac et vins, qui habitaient Saint-Emilion. Bercé par ce souvenir d’enfance, il a continué à nourrir le rêve de devenir vigneron. Après avoir fait des brillantes études pour faire carrière dans l’industrie ferroviaire, il s’installe avec sa femme et ses enfants dans le XVIIe arrondissement. Mais son rêve de gamin continue de titiller son esprit. « Je me suis dit que si l'on n’essaye pas alors on risque de le regretter toute notre vie », se remémore Pierre Carle. Après un an et demi de recherche, il tombe littéralement sous le charme de cette propriété du Périgord. Un domaine de 34 hectares, un château typique du XVIIe siècle, un sol peu fertile et très minéral rivalisant avec celui de Saint-Émilion, autant d’atouts qui font mouche auprès du couple. Le vignoble S’étendant sur vingt hectares, le vignoble est établi sur des coteaux argilo-calcaires et jouit d’un climat océanique tempéré. « Du point de vue de la configuration, notre terroir est semblable à celui de Saint-Émilion », décrit Pierre Carle. Le domaine travaille en appellations Bergerac rouge, rosé et blanc sec, Côtes-de-Bergerac blanc moelleux et Saussignac blanc liquoreux. Les vins sont obtenus à partir des cépages phares de Bordeaux : le merlot, le cabernet sauvignon et le cabernet franc pour le rouge, en blanc : le sémillon, la muscadelle et le sauvignon. Les vins bergerac rouges affichent des petits rendements et sont conçus à partir de raisins vendangés plus ou moins tardivement selon les cépages. Par la suite, ils sont élevés pendant au moins vingt mois, le temps de bien affiner la structure des vins. Les vins en appellation Bergerac sec subissent un long élevage sur lies, de douze à trente mois afin de dévoiler parfaitement toute la complexité et l’intensité de leurs arômes. Enfin, le Saussignac est un vin liquoreux, plus sucré, de longue garde qui développe un arôme très riche. Son élaboration est définie par l’un des plus rigoureux décrets d’AOC en France et exige du jus de raisin très concentré et l'absence de toute méthode artificielle d'enrichissement. Une agriculture biologique Le vignoble du château Chabrier a été certifié bio en 1999 bien que Pierre Carle, en tant que précurseur, ait pratiqué l’agriculture bio bien avant. Au départ, le domaine a évolué dans le sens d’une viticulture raisonnée : n’intervenir dans le traitement des vignes uniquement lorsque cela est indispensable. Cependant, cette pratique connaît ses limites et expose les employés à certains risques d’allergies et d’intolérances. Le propriétaire a donc décidé d’arrêter définitivement les produits issus de la chimie de synthèse, néfastes autant pour l’environnement que pour l’homme. « Le meilleur des insecticides reste les insectivores, ça marche tout seul et c’est gratuit… C’est comme ça que faisaient ma grand'mère et mon arrière-grand-père à l’époque », reprend Pierre Carle avec grande conviction. Il préfère laisser l’équilibre naturel de l’écosystème faire son travail dans les vignes. Les produits de traitement de sol et de la vigne autorisés sont ceux d’origine minérale et végétale uniquement. D’ailleurs, le propriétaire rappelle que les meilleurs millésimes du siècle dernier, en 28, 47, 49 ou 55 sont tous issus d’une agriculture biologique. Avec cette démarche axée sur la préservation du sol et de l’environnement, le domaine se contente fièrement de ses rendements « plus faibles qu’ils ne le devraient » pour réaliser des vins de haute qualité. Les cuvées emblématiques Le Gros-Caillou, appellation...
L’origine du domaine remonte à 1967 lorsqu’après la cession de l’entreprise familiale Cap Corse Mattei, Pierre Orenga de Gaffory plante les premiers ceps de Niellucciu. En 1974, son fils, Henri Orenga de Gaffory, le rejoint dans l’aventure. Dans une volonté de pérenniser le domaine, ce dernier initie l’achat de nouvelles parcelles et la restructuration du vignoble pour développer un véritable domaine vitiviniculture à part entière. Le domaine est alors rapidement devenu l’une des références de l’aire d’Appellation de Patrimonio, contribuant ainsi à étendre la notoriété d’un site labellisé Grand Site de France en 2016. Des terroirs d’exception Le domaine Orenga de Gaffory s’étend aujourd’hui sur 56 hectares répartis sur cinq sites entre les communes de Patrimonio, Saint-Florent, Poggio d’Oletta, Barbaggio et Oletta. Bénéficiant d’un climat généreux, tempéré et ensoleillé, accompagné de vents marins rafraîchissants et doux, le vignoble produit des vins authentiques aux arômes et la structure complexes. Composés en partie de graves et de schistes, ses sols argilo-calcaires sont propices à la culture des cépages qui font l’originalité de la Corse. Des cépages emblématiques de la Corse Le vignoble est composé des cépages recommandés par l'Appellation Patrimonio : le Niellucciu, le Sciacarellu et le Vermentinu. Il est également constitué de Minustellu et d'Aleatico qui sont des cépages anciens, plantés après dégustation. Le grenache également présent dans la région de Patrimonio est limité à 10%, dans les assemblages. Des cuvées cultes bientôt toutes en bio Pour la famille Orenga de Gaffory, l'élaboration de vins repose essentiellement sur la valorisation d’un magnifique terroir appuyé par le savoir-faire ancestral de ses vignerons et l’utilisation d’outils modernes de vinification. La volonté de préserver ce terroir d'exception s'exprime notamment à travers l'entrée en conversion biologique de la totalité du vignoble en août 2016. Outre un entretien manuel et mécanique des sols, la préservation de l'équilibre biologique et des qualités du terroir sont poursuivis par l'application des grands principes de l'agriculture biologique : le maintien de la biodiversité, le contrôle des insectes et parasites, la fertilisation, le maintien de l'intégrité des sols, par des traitements d'origine minérale essentiellement. Le domaine produit des vins d’exception qui conjuguent grande finesse et arômes complexes. Dans sa collection, vous aurez plaisir à déguster notamment les Cuvées des Gouverneurs qui se déclinent en blanc, rouge et muscat, les Cuvées Felice disponibles en blanc, en rosé et en rouge, le Scala Santa rouge, la gamme de Muscat AOP du Cap , et le Rappo, un vin rouge naturellement doux dont l’élaboration est issue d’une tradition séculaire. ...
Créée en 2001 à l’initiative des parents et des enfants Geoffrey et Renaud, l’entreprise Péhu Guiardel & Fils exploite un vignoble dans l’Aube et dans La Marne. Vignerons indépendants dotés d’un grand savoir-faire séculaire, les Péhu travaillent les trois cépages régionaux, faisant de leurs champagnes des produits à savourer avec délectation et en toute occasion. Pour les visiteurs de passage dans la côte des Bar, le domaine propose une salle de dégustation dans un cadre chaleureux et convivial. Un champagne, trois villages Chez les Péhu, le champagne est à la fois une passion et un héritage transmis depuis cinq générations. « Anciens habitants de Verzenay et Rilly-la-Montagne, mes parents disposaient à l’époque d’un vignoble dans la Montagne de Reims où nous cultivons encore quelques parcelles. Vers les années 70, ils sont venus s’installer dans l’Aube pour investir dans Les Riceys », relate Geoffrey Péhu, l’actuel dirigeant du domaine. L’entreprise familiale exploite actuellement un domaine de cinq hectares où le pinot noir accapare environ 75 % de la surface cultivée. Le reste est consacré au meunier et au chardonnay pour l’élaboration des champagnes d’assemblage. Chaque année, la maison enregistre une production moyenne de 10 000 bouteilles destinées à la consommation locale et/ou étrangère. Quatre cuvées bien contrôlées Soigneusement manipulés dans les règles de l’art, les quatre principaux champagnes de la marque respectent une chaîne de fabrication stricte depuis la vendange au pressurage, en passant par l’assemblage jusqu’à la mise en bouteille. « Toutes les interventions sont rigoureusement notées sur un cahier des charges pour répondre aux exigences de la certification HACCP », atteste notre interlocuteur. Composé de 80 % de pinot noir et de 20 % de chardonnay, les champagnes bruts et demi secs de Péhu Guiardel & Fils conjuguent rondeur, caractère et élégance. On les apprécie volontiers à l’apéritif ou aux desserts. Quant au rosé, il est constitué de vin brut et de 15 à 16 % de vin rouge. Après vieillissement, on obtient un champagne plein de fraîcheur à la mousse légère et subtile renfermant des arômes fruités. Le blanc de blancs, lui, est fabriqué uniquement avec du chardonnay des Riceys et se reconnaît par sa grande fraîcheur. Côté Verzenay, l’incomparable cuvée Émotion s’invite à toutes les tables pour faire le bonheur des connaisseurs grâce à son caractère fruité et sa complexité. ...
La chaleur n’a pas quitté cette ancienne forge de Mesquer, bâtie en 1711 dans la presqu’île guérandaise. Dans ce bâtiment authentique aux murs de pierres et poutres apparentes, les vacarmes du marteau et de l’enclume ont laissé place à la mélodie des couteaux et des fourchettes. La Vieille Forge fait partie du « Collège culinaire de France ». Elle s’engage alors à offrir une cuisine régionale et faite maison et à faire connaître le métier de restaurateurs. Les produits de la mer, les pigeons et les vins issus de nos régions n’attendent que les gourmets dans cet établissement mesquerais. Le goût de la simplicité A La Vieille Forge, le Chef Ludovic Favrel revendique une cuisine simple et sans artifices. En d’autres termes, il préfère mettre dans ses assiettes quelques goûts que les clients identifieront, plutôt que d’y rassembler mille et une saveurs dans lesquelles ils risquent de se perdre. La carte et les menus évoluent au fil des saisons. Toutefois, certains produits sont servis toute l’année de façon à valoriser les ingrédients fournis par les producteurs locaux et promouvoir la richesse du terroir. La maison informe d’ailleurs ses clients sur la traçabilité des produits. Un terroir riche Les conditions environnementales de Mesquer sont propices à l’ostréiculture, d’où la présence de nombreux parcs à huîtres. Grâce à sa proximité avec la mer et les marais salants, le restaurant La Vieille Forge s’approvisionne facilement en huîtres de kercabellec frais. Le Chef Ludovic sert ces mollusques peu salés en nature, coulis ou sabayon. Les pigeons issus de l’élevage local sont très appréciés dans les meilleurs restaurants français. A La Vieille Forge, ils sont préparés de deux façons. Les filets sont poêlés et les cuisses confites pendant longtemps. Ils sont accompagnés avec des légumes de saison tels que les petits pois ou les navets et du jus à la réglisse. Les menus Quotidiennement, quatre menus sont proposés par le restaurant. Le menu dégustation peut s’ouvrir sur des Saint-Jacques ou un Croustillant de ris de veau avant de glisser vers du Poisson noble du marché et terminer avec de la Crousti noisette et son crémeux chocolat. Le menu saveurs régionales suggère les produits du terroir comme le Filet de dorade sauvage en cannelloni ou le Tournedos de lapin du bois de boule. Quant au menu du jour, il dépend du marché. Enfin, le menu surprise est servi à l’ensemble de la table. Avec cette formule, les clients font confiance au savoir-faire et au talent du chef qui leur fera la surprise. Le Cadre Le restaurant La Vieille Forge présente deux ambiances différentes dans ses deux salles. La première est plus ancrée dans la tradition avec les poutres apparentes en bois, les murs de pierres visibles et une lumière tamisée. Le soufflet du forgeron est resté pour orner la pièce. Dans le deuxième espace, le décor est un peu plus moderne avec la grande baie vitrée qui donne sur le jardin et son bassin à poisson. Le plaisir du partage Ludovic et Isabelle organisent des cours de cuisine environ six fois par an pour partager leur passion. Six personnes par séance profitent des conseils et astuces de Ludovic sur les thèmes « Poisson », « sucrée » ou encore « Les légumes ». Il est même possible d’assister au cours en binôme c’est-à-dire un adulte et un enfant. ...
Existant depuis 1898, l’hôtel-restaurant Morganti a été créé par l’arrière-grand-père de Jean-Toussaint. Le petit-fils prend la relève et invite les locaux ou les touristes de passage à découvrir une cuisine corse qui sublime la richesse du terroir. Cuisine de tradition Dans le calme olympien de la salle et de la terrasse ombragée de Morganti, les assiettes se révèlent gourmandes et respectueuses de la saisonnalité. Les recettes tirent leur riche saveur des produits exceptionnels de la mer et de la terre corse. Les langoustes proviennent directement des arrivages du cap Corse. Les poissons sont livrés à peine pêchés de Balagne. Les charcuteries, les fromages et les vins locaux sont les fruits du talent et de la patience des artisans œuvrant sur l’île de beauté. Vous l’aurez compris, chez Morganti, seuls les produits frais ont leur place. Et tout cela, sans que vous n’ayez à craindre une addition salée. La maison prône effectivement l’excellence de son rapport qualité/prix, ce qui lui a permis d’ailleurs d’obtenir la nouvelle distinction « l’Assiette » du Guide Michelin en 2015. Quelques plats emblématiques Le restaurant Morganti a bâti sa réputation autour de plats emblématiques, comme la bouillabaisse traditionnelle et les spaghettis à l’araignée de mer. D’autres plats viennent s’ajouter à la liste des ambassadeurs de la maison comme la soupe de poisson, sa rouille et ses croûtons ou la salade de poulpes. En dessert, rien de mieux que le moelleux à la châtaigne. Des signatures à accompagner de la traditionnelle planche de charcuteries corses et d’autres spécialités régionales typiques du maquis. Pour compléter ce voyage gustatif, les plats s’accompagnent d’une carte de vins faisant la part belle aux produits de la région, comme ceux du Domaine Pieretti ou du Domaine de Saparale. ...
L’histoire du domaine G. Tribaut remonte à 1935, lorsque le grand-père, Gaston, acquiert une dizaine d’hectares de vignoble pour se vouer à la fabrication du champagne. Depuis, son fils, Ghislain, et ses petits enfants,Vincent et Valérie, perpétuent son œuvre en créant des champagnes dignes de la région et de la famille. Un terroir de premier choix Du fait de son terroir crayeux, la vallée de Marne est une région qui se prête bien à la viticulture. Et les 12 hectares de vignoble du domaine G. Tribaut sont plus que privilégiés, du fait de son installation sur des coteaux classés Premier Cru, avec un ensoleillement idéal tout au long de l’année. Alliées à une agriculture raisonnée, toutes ces conditions permettent à Vincent et Valérie d’obtenir, au fil des années, de belles récoltes de raisins, car, comme on le sait, « le raisin fait le vin ». Des cépages typiques Côté cépages, les responsables du domaine ont opté pour trois variétés typiques de la région champenoise, à savoir le Pinot noir, le Meunier et le Chardonnay. Les différentes cuvées et millésimes s’obtiennent grâce à un savant dosage entre ces trois cépages, à l’exemple de la « Cuvée de Réserve », à 40 % de Chardonnay, 30 % de Pinot noir et le reste en Meunier. Ce champagne complexe et plein d’expression en séduira plus d’un avec son bouquet fruité aux notes de poire et de litchi, ample et gras en bouche, très gourmand. Autre produit phare du domaine, le « Blanc de Blancs de réserve » a été élu coup de cœur du Guide Hachette des vins 2017. Caractérisé par sa fraîcheur et sa légèreté, ce champagne 100 % Chardonnay est idéal pour l’apéritif, servi avec des mets tels que les huîtres ou des coquillages. ...
Le restaurant Pramil se trouve dans une rue calme près de la Place de la République. Derrière une façade bleu ciel se niche ce doux cocon. La lumière douce diffusée dans la salle, la teinte sobre de ses murs et les pierres apparentes forment un ensemble feutré imprégnant une ambiance paisible mais conviviale. Un petit nid discret pour passer des moments gourmands. Une cuisine française à la touche originale La cuisine française estampillée Alain Pramil se réinvente légèrement à cette adresse, pour sortir des mets comme nulle part ailleurs. Le secret ? Les ingrédients frais de saison sublimés par l’inspiration du chef. Qualité et originalité demeurent les maîtres mots de l’établissement. Rien de tel que son foie gras mi-cuit avec anguille fumée pour entamer le repas. Continuez ensuite par le ris de veau aux navets nouveaux, une des spécialités du chef, ou le Saint-Jacques avec girolles et somen de Shimabara. Des plats qui révéleront une fois de plus le talent de l’hôte. Ne pas terminer sur une note gourmande sucrée serait bien dommage. Pour cela, succombez aux charmes de la tarte framboise, pomme Granny-Smith, poivron et Chantilly, ou les millefeuilles aux marrons glacés. Afin d’accompagner toutes ces merveilles comme il se doit, le restaurant d'Alain Pramil propose une large palette de vins. Sa cave à vins se trouve être un point de rendez-vous des grandes appellations et des petits producteurs. Toutes des références appréciées pour leur qualité, dont certaines sont servies au verre. ...
Disponibles en grandes surfaces et dans les supermarchés – « là où les gens ont l’habitude de faire leurs courses », les Cafés Missègue revendiquent un caractère très particulier. Ils sont torréfiés dans une entreprise familiale au cœur du Périgord. À la clé, une extraction traditionnelle et lente des arômes qui permet de les sublimer et de conserver toute leur subtilité. Une multitude de variétés pures Chacun son café. Brésil, Costa Rica, Mexique, les Cafés Missègue travaillent une quinzaine d’origines différentes. Chaque variété fait l’objet d’une attention particulière lors de la torréfaction, histoire de conserver sa personnalité et ses spécificités gustatives. « Même quand on fait des mélanges, des assemblages de cafés, on le fait toujours après torréfaction », rassure Patrick Andreu. Si l’enseigne propose ses produits moulus et en grains, notre interlocuteur évoque d’ailleurs une préférence des consommateurs pour les derniers. Une tendance qui s’est installée avec l’évolution du marché des machines à café en grains. Différents conditionnements allant de 250 g à 5 kg sont disponibles via le site de la marque qui entretient une affinité particulière avec l’arabica. La clientèle s’est particulièrement attachée aux mélanges concoctés par la maison. Dans la gamme bio, la « Sélection du torréfacteur » rafle de nombreux suffrages. Il s’agit d’un assemblage de trio de cafés, tous bio, où l’équilibre est établi entre le fleuri de l’un, le corps de l’autre et la douceur d’un troisième. Au rayon des cafés plus conventionnels, ce sont les Premium qui enregistrent le plus de préférence, avec les cafés spécialement conçus pour les machines à grains. ...