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Interview avec Yannick Franques
Chef du restaurant des Rois



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Beaulieu-sur-Mer
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Yannick Franques Ma cuisine est essentiellement basée sur le produit : poisson ou viande et ensuite il peut avoir une épices et deux légumes maximum. Mes plats signatures sont le mystère de l’œuf fumé au foin et velouté de champignons de Paris, la langoustine rôtie aux graines de futaba et beurre de Yuzu et le ris de veau braisé et spaghettis de concombre à l’aneth.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

YF L’émotion est inoubliable, c’est une émotion qu’on partage avec nos équipes.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

YF C’est avant tout un repas convivial avec de beaux produits comme un homard aux truffes, un chapon cuit à l’étouffée en croûte de pain et une bûche au Grand Marnier.
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- Un repas de la nouvelle année ?

YF En Amuse-Bouche, L’Oursin, langue et sa chantilly, mousseline de fenouil légèrement vanillée
Le Colvert, en pâté en croûte, truffe et lard de Colonata, salade de mâche à la noix et vinaigre de Xérès
La Saint-Jacques, en carpaccio à l’huile de curry et ciboulette,glace à l’huître et chou-fleur croquant
La Truffe Blanche, râpée sur un risotto au champagne rosé, éclats de Parmigiano Reggiano,
Le Coq au Vin à la Royale, relevé d’une crème de noix de muscade, céleri rave truffé et raisin macéré au cognac
Et pour le dessert, la Mandarine au sucre, les suprêmes confits à la vanille et la vinaigrette aux agrumes, sorbet berlugan.

- Un repas de Saint-Valentin ?

YF En amuse-Bouche : L’Asperge, crue et cuite, petit flan sabayon citronné
Le Foie Gras de Canard,en copeaux sur une mousseline de céleri-rave, jaune d’oeuf assaisonné d’appétits, jus corsé
Le Saint Pierre, cuit au plat, en croûte d’herbes à la poudre d’amande, boulangère de topinambour aux oignons caramélisés
Le Pintadeau, rôti, écrasée d’artichaut au beurre noisette, jus truffé et fleur de cazette
Et en dessert, "Le Coup de Foudre" : confit aux agrumes, mousse légère à l’aloe vera, sorbet bergamote
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Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

YF La cuisine pour mon mariage a été faite par mon maître d’apprentissage qui m’a fait des plats de spécialités charentaises comme les sardines de Royan la Chaudrée saintongeaises et une pièces montée au Grand Marnier.
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Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

YF Dans tous les restaurants où j’ai mangé, le plat dont je me souviens encore c’est le pigeon aux dragées de chez Alain Passard.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

YF Le produit que j’adore est la tomates Green Zebra de chez Blache en Provence assaisonnée de l'huile d'olive d’Alexis Munoz et agrémenté d'olive Delucque du Languedoc.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

YF On parle toujours de tendances mais la vraie cuisine c’est la cuisine de sincérité et de partage.
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Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

YF Je crois que Monsieur Paul Bocuse est un exemple pour tous les cuisiniers.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-des-rois des Rois 5 Boulevard du Maréchal Leclerc
06310 Beaulieu-sur-Mer

Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

des Rois : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

L'Aubergerie :
une pause gourmande à l'esprit montagnard

Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours   Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé   D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...

Château de Salettes : votre havre de paix à à Cahusac-sur-Vère

Blanc, simple, linéaire, reposant, il est l’endroit idéal pour se poser et réfléchir dans le cadre d’une réunion professionnelle. Entouré de vignes, au calme, il est également le lieu propice au repos du weekend  après une semaine de dur labeur. Que l’on décide de profiter de l’agrément de la piscine, de celui du spa ou encore des largesses de Bacchus ou des plaisirs de la table, ce lieu réserve des surprises à chacun. Passez le portail d’entrée et venez découvrir le mariage du confort et des matières contemporaines avec celui de la pierre de taille blanche utilisée pour construire la bâtisse dès le 13°siècle. Passez côté jardin et découvrez la vue magnifique sur la vallée, apercevez au loin la montagne noire et sur la colline en face les tours trapues du Château de Mauriac, demeure des anciens rivaux des seigneurs de Salettes. Laissez-vous bercer par le silence et le chant des oiseaux, laissez-vous baigner par les rayons bienfaisants du soleildu sud-ouest. Des hommes célèbres, d’autres inconnus mais des hommes qui ont fait l’histoire du lieu Depuis le  XIIIe siècle, ce Château en a vu des hommes, le Comte de Toulouse, Le Général d’Hautpoul (qui est né dans la tour), Toulouse Lautrec (le lieu a appartenu à sa famille). Au final, Roger Le Net achète la propriété en 1994, avec le château alors en ruines. L’idée folle de la rénovation vient très vite et c’est lui qui fera de ce qui n’était plus qu’un vague témoignage du passé un Hôtel restaurant où il fait bon vivre. Aujourd’hui l’équipe du Château de Salettes vous accueille simplement, et n’a qu’une envie : vous faire plaisir... Quand Bacchus rencontre un disciple d’Auguste Escoffier Le chef propose une cuisine gastronomique, moderne. La carte et les menus suivent le cours des saisons et l’équipe du restaurant cherche toujours quel vin va sublimer le plat, le défi et la recherche de l’accord parfait : « l’équilibre » vin plat (ou accord mets et vins) est proposé pour tous les menus. Découverte des vins du domaine, des vins de Gaillac, de vins de France et même, pour les « aventuriers » J de vins étrangers ! ...

Un restaurant bistronomique à l'ambiance cosy

Installé au portes du Forez, à Saint-Cyprien, le restaurant Autour du tilleul est un établissement à l’ambiance cosy, où l’on propose une cuisine moderne et créative, préparée à base de produits bruts sur commande. Le fait maison à l’honneur Bien connu des habitués constitués majoritairement d’une clientèle d’affaires, l’établissement reçoit également des familles et des amis, surtout en weekend. Privilégiant le concept du circuit court Werner Coetzee, chef et propriétaire des lieux, ne cuisine que du frais et achète ses produits localement à la source. Il faut dire que le restaurant est très strict sur la qualité de ses matières premières, donnant aux clients le privilège de goûter à une cuisine préparée entièrement à la main : « Que du frais, tout est fait maison », assure Juliane Méric, son épouse.    Sens du détail et de la présentation Werner Coetzee se plait à préparer des assiettes aux belles présentations, où chacune est décorée à la manière d’un tableau auquel se mêle une savante association de couleurs et de saveurs intégrant des plantes aromatiques, des légumes, des herbes et des fleurs de bourrache. L’établissement Autour du tilleul est particulièrement connu pour ses plats signatures qui mettent en avant le carpaccio de bœuf charolais en rosaces avec une salsa verde. Pour accompagner ce plat, Juliane Méric propose un vin de Nouvelle-Zélande : « le Marlboro, un sauvignon blanc extrêmement parfumé, qui se marie à la perfection avec la plupart des entrées », explique-t-elle. La viande charolaise est également une spécialité de la maison et s’accompagne idéalement de « vins qui ont du gout » comme le Saint-Joseph ou encore le Côtes-du-Rhône. La ballotine de lote farcie à la mousse de gambas aux asperges et petit pois, servie avec un consommé safrané présenté en bol ainsi que le barreau d’agneau grillé avec des ris d’agneau et des petits pois à la menthe ont aussi du succès auprès des fins palais. Selon Juliane, « le vin qui se marie le plus à la lote serait le Chablis ou le Chardonnay alors que, pour l’agneau, ce serait plutôt le Saint-Nicolas de Bourgogne ». Dans la liste des desserts, les brownies à la Guinness, une spécialité irlandaise revisitée à la manière du chef, accompagné d’une boule de sorbet de glace artisanale fait toujours l’unanimité, sans parler de l’incontournable crème brulée à la lavande servie avec un petit biscuit maison, et aussi la meringue à la crème glacée accompagnée d’un peu de crème anglaise, de salade de fruit et de caramel en dentelle, décrite par Juliane Méric comme « une ile flottante qui ne flotte pas ». Une déco épurée Juliane Méric décrit Autour du tilleul comme étant un « restaurant au décor assez épuré » avec des fonds naturels où peinture couleur de dune et terracotta font bon ménage. Elle évoque notamment trois belles peintures qui illuminent de manière significative le restaurant, illustrées par « un triptyque géologique » et qui fait référence aux montagnes de l’Afrique du Sud, aux sommets des Alpes et à la Chaussée des géants en Irlande. Autour du tilleul baigne dans un décor convivial où l’on se sent décidément comme chez soi.   ...

L'Auberge d'Ayze, un restaurant traditionnel et savoyard

Auvergne-Rhône-Alpes, une région gastronomique Des beignets de pommes de terre aux filets de perches en passant par la fondue savoyarde et les diots au vin blanc, la cuisine traditionnelle savoyarde est une des spécialités qui fait le charme de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ces plats s’accordent avec des vins locaux comme le Chignin Bergeron, la Mondeuse et le Seyssel. Les produits du terroir font partie du patrimoine culturel de la région. On y trouve de délicieux plats typiques comme la tartiflette, un gratin de pommes de terre et des crozets, un féculent préparé avec de la farine de sarrasin. Les spécialités régionales sont composées de charcuterie, comme la pormonaise et les attriaux, et de fromages, comme l’abondance, le beaufort, le reblochon et la tomme de Savoie. L'Auvergne-Rhône-Alpes, c’est aussi le vignoble mondialement connu du Beaujolais, qui compte 12 Appellations d’Origine Protégée. Ce sont aussi les trois AOC de la Savoie : le vin de Savoie, la Roussette de Savoie et le Seyssel. L’Auberge d’Ayze, la rencontre des spécialités savoyardes L’Auberge d’Ayze propose des plats savoyards et d’autres mets mis à l'honneur par Jean-Marc Herchelbout, le maître restaurateur qui fait valoir ses quarante années de métier. Sa femme nous conseille de les savourer avec des vins savoyards. Quelques plats  La matouille est une des recettes de tommette fondue servie avec de la salade verte et de la charcuterie. Elle peut être accompagnée de vin blanc comme du Chignin Bergeron. Le gratin de filets de perches est idéal pour les clients qui ne veulent pas consommer de viande. C’est une sauce crémée, composée de queues d’écrevisses et de morilles. Il s’accorde parfaitement avec du Chignin Bergeron et du Seyssel ou de l'Ayze tranquille. Des plats principaux « L’andouillette en camisole est un des plats phares de mon mari » insiste Mme Herchelbout. C’est une recette composée d’andouillette tranchée, de beaufort, de paillasson de pommes de terre et servie avec une salade verte. Il est parfait avec une bouteille de Mondeuse. Quatre différentes fondues composent le menu, elles s’accordent toutes avec du vin blanc. La fondue suisse est servie avec de la charcuterie, la fondue aux morilles avec de la salade verte, la fondue à la tomate s’accompagne de pommes de terre et la fondue de l’Anaïs est servie avec de la salade verte. Toutes les fondues sont à l'Ayze pétillant. Le gigotin d’agneau est une cuisson de souris d’agneau servie avec un gratin de crozets. Ce plat est conseillé aux clients qui veulent savourer de la viande. Les points forts de l’Auberge d’Ayze L’accès wifi est gratuit. A l’extérieur, on trouve un parking réservé exclusivement aux clients et une terrasse ombragée, entourée de fleurs. La salle à manger est magnifiquement décorée de couleur rouge et blanc. L’Auberge d’Ayze, c’est aussi une ambiance de campagne bien contrôlée et conviviale entre les clients et les restaurateurs. « On a pu fidéliser des chefs d’entreprise, des ouvriers, des gens du village et de la région grâce à la qualité de nos produits, de notre amour du travail, de notre sincérité et notre sourire. Les touristes y viennent aussi pour savourer des spécialités culinaires locales. 60 % des repas se font sur réservation » nous explique Mme Herchelbout. ...

Vignobles de Saint-Tropez : témoin immémorial de l’excellence vinicole

Volupté, extase des sens et subtiles saveurs méditerranéennes se retrouvent dans chaque cuvée du terroir tropézien. Les vignes s’épanouissent sur une terre de gneiss métamorphique bénéficiant d’un ensoleillement idéal, et d’une légère brise marine conférant toute sa typicité au vin. Symbole de l’art de vivre à la tropézienne, cette cave figure parmi les plus grandes références dans le monde vinicole. Un terroir d’expression singulier Ce sont 180 hectares de vignobles perdus entre terre et mer, traités dans le respect de l’environnement, qui produisent un vin caractéristique rendant hommage à une terre bénie. Les particularités géologiques et climatologiques riches de ce terroir favorisent l’obtention de cuvées riches en saveurs, matures et complexes. « Ce vignoble au cœur du village de Saint-Tropez se veut [ainsi] être le fier représentant de l’identité tropézienne », nous confie Alain Guichet, directeur de la cave. Les vignobles de Saint-Tropez se font aujourd’hui les défenseurs zélés de cet héritage vinicole précieux. Chevalier Torpez : une ode au village Parmi les gammes emblématiques de la cave, la gamme provençale Chevalier Torpez fait fière figure d’ambassadrice de l’excellence vinicole tropézienne. Décliné en rosées, en domaines ou en bruts tradition, Chevalier Torpez est « un mélange d’histoire et de traditions », continue notre interlocuteur. En effet, en s’inspirant de l’histoire du chevalier Torpez, régisseur du temps de l’empereur romain Néron et élevé au rang de saint après être mort en martyr au nom de sa foi, l’origine de cette gamme ambassadrice est intimement liée à celle du village. Appréciez ainsi, lors de vos instants gourmands, les cuvées de cette gamme incluant le vin Château la Moutte, « produit dans un domaine ambassadeur de 4 hectares, dont le vignoble en coteaux, établi sur la pointe de Salin, fait face à la mer », reprend Alain.   ...

L'Allée des Vignes, une voie toute tracée…

Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique,  fine et de création. Créer l’évènement dans l’assiette « Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ». La flexibilité de L’Allée des Vignes Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie. Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles. Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis. ...

Découvrir la vie de château dans le Loiret

Sully-sur-Loire, Chamerolles, Gien : trois châteaux à découvrir au coeur du Loiret...  Le château médiéval de Sully-sur-Loire fait revivre l’histoire des célèbres ducs de Sully. Classée monument historique depuis 1928, cette forteresse, bâtie à la fin du XIVe siècle, située au cœur de la ville, saura charmer les amateurs d’Histoire. D’importants travaux ont été entrepris afin d’aménager de nouvelles zones de visites (bureau du régisseur et appartement de Psyché), qui complètent à merveille les salles basses du donjon, la salle d’honneur ou encore la chambre du roi. Au total, ce sont 19 salles de visite mais également près de 400 œuvres d’art exposées.  Surtout, visiter le château de Sully c’est aussi suivre les pas de personnage prestigieux comme Maximilien Ier de Béthune, proche et grand ministre du roi Henri IV, resté dans l’Histoire de France sous le nom de Sully. Le célèbre philosophe Voltaire, accusé en mai 1716 d’avoir écrit des vers tendancieux, sera « exilé » à Sully, qui, loin d’être une prison, devient un doux séjour. Il s’y plaisait déjà beaucoup. Alors, pourquoi pas vous ? Adresse : Chemin de la Salle-Verte – 45600 Sully-sur-Loire – 02 38 36 36 86 chateausully.fr Le château de Chamerolles est d’abord une demeure familiale. Bâti à l’aube de la Renaissance par un certain Lancelot Ier du Lac, le château s’ouvre aujourd’hui sur 47 hectares de magnifiques jardins façonnés comme à la Renaissance, avec un parc, un plan d’eau, des parterres… Découvrir ce château à taille humaine, c’est aussi découvrir son histoire mouvementée entre ses différents propriétaires : la famille Dulac, dont le fils se convertira au protestantisme, mais aussi Claude-Guillaume Lambert, conseiller général des finances de Louis XVI, traduit devant le tribunal révolutionnaire.  Considéré comme l’un des châteaux de la Loire, classé monument historique depuis 1927, le domaine de Chamerolles ne se contente pas d’offrir la visite d’un château : une promenade des parfums fait découvrir l’histoire des senteurs et de la toilette à travers les siècles. Le visiteur va découvrir les différents usages du parfum, d’abord à visée médicinale avant de devenir emblématique de la séduction. Adresse : 45170 Chilleurs-aux-Bois – 02 38 39 84 66 chateauchamerolles.fr Le château-musée de Gien est l’un des tout premiers châteaux de la Loire. Construit à l’emplacement d’un rendez-vous de chasse plus ancien qui accueillit Jeanne d’Arc, le château de Gien appartient à la couronne dès le XIVe siècle. Le château-musée de Gien est en pleine évolution. Les travaux, débutés en 2012, se poursuivent mais, déjà, on devine les contours du site qui accueillera ses premiers visiteurs au printemps 2017. L’ampleur du projet a nécessité la fermeture du site en 2012. Le visiteur pourra profiter, à la réouverture du site, d’une nouvelle muséographie qui aura une approche différente, tournée davantage vers l’écologie et la découverte de la nature. Celle-ci mettra en scène les collections selon le nouvel axe de découverte : « chasse, Histoire et nature en Val de Loire ».  Adresse : Rue de la Place du Château – 45500 Gien 02 38 67 69 69 ...

Restaurant Le Cavalier Bleu : la gourmandise à la croisée de l'art

C’est à l’angle de la rue Rambuteau et la rue Saint Martin que les férus de bonne cuisine seront accueillis dans une brasserie spacieuse et chaleureuse. Bonne ambiance, personnel qualifié et recettes authentiques sont autant d’ingrédients faisant la renommée de ce lieu où l’authenticité et la convivialité règnent en maîtres. Plaisirs du palais propres à Paris Dans un cadre raffiné mais décontracté, Le Cavalier Bleu est « une brasserie type priorisant les produits locaux produits par des producteurs afin d’élaborer des recettes simples et généreuses», explique le gérant, Thomas. Chaque plat est la promesse d’une explosion de saveurs et d’arômes. « Allant du palet de chèvre au miel au tartare de bœuf en passant par la crème brûlée, les spécialités propres à la région sont mises à l’honneur dans des plats concoctés avec passion », rajoute Thomas. Un spiritueux de la cave à vins et alcools de marques viendra débuter et clore en beauté votre repas. Une brasserie typique au goût du jour Les cocktails, les chopes de bière et les salades composées sont à déguster entre amis, en couple ou en famille dans une salle conviviale ou sur une terrasse à l’ambiance agréable. De nombreux événements sont, entre autres, organisés dans ce lieu propice à la détente, à l’instar des soirées à thème. Afin de mettre en avant la richesse vinicole du pays, « Le Cavalier Bleu met tous les mois un vin à l’honneur. Ce vin du mois sera proposé à un prix attractif afin de faire du partage le maître-mot », conclut Thomas. ...

Patrelle : bien plus qu’une marque, une signature

Située sur la côte normande, à faible distance de Deauville, cette société emblématique a gagné ses lettres de noblesse avec un seul et unique produit « le Saveur des Potages », plus connu sous l’appellation « Arôme Patrelle » qu’elle doit à Louis Salve Patrelle, le premier du nom. Il s'agit d'un colorant alimentaire à base de glucose destiné à permettre le fonçage de sauces, marinades, potages, gratins,… Il permet également la couverture des préparations de viandes, comme le jambon, ou de volailles grillées (poulet, escalopes). Enfin, il s'utilise pour colorer les gélatines nécessaires à la préparation des charcuteries ou dans la liaison des sauces. Bref, un incontournable en cuisine. Grâce au Saveur des Potages®, chaque plat livre ses meilleurs atouts. Le succès d’une marque au fil du temps Fort du succès de la marque qui a autant séduit que fidélisé les consommateurs pendant près d’un siècle, Patrelle prend son envol en 1961 avec la partie confiserie et produit ses premiers délices aux saveurs sucrées : la boule coco (une meringue fantaisie enrobée de noix de coco râpée) et le roudoudou (le célèbre coquillage avec une sucette à l’intérieur). L’incroyable odyssée d’un authentique patrimoine familial     Sous la direction de Laurent Patrelle (de la cinquième génération) depuis 1987, la société Patrelle continue à se développer et à innover dans sa palette de goûts et de couleurs avec la création en 1993 des lignes de production des P’tits Top (goûter avec gressins et pâte à tartiner) et des bâtons à congeler, suivie dix ans plus tard par la ligne de production du Trio Top (goûter avec gressins, pâte à tartiner et boisson). En 2001, Patrelle marque sa présence à l’échelle internationale en matière de confiserie, notamment en Europe (Belgique, Allemagne, Portugal, Pologne et Roumanie), mais aussi aux Émirats arabes unis et en Nouvelle-Calédonie, puis récemment en Russie et au Sénégal. L’année 2013 voit, quant à elle, la commercialisation de trois nouveaux arômes Patrelle sur le marché, à savoir les arômes Patrelle balsamique, bœuf et barbecue. En 2016, la gamme snacking sucrée et salée entre, elle aussi, dans la danse avec de nouvelles saveurs telles que le spéculoos, le beurre de cacahuètes, et aussi les sauces ketchup, Barbecue et tex-mex. Et le petit dernier le « P’tite Pomme ». En effet, fort de son expérience dans le snacking pour enfants, la société Patrelle vient de lancer ce nouveau concept : des biscuits Petits-beurre et une spécialité de pomme pour offrir un goûter plus sain et équilibré. Vous pourrez découvrir tous ces produits dans leur magasin d’usine. ...

HÔTEL BAMBOU : un enchantement aux accents créoles

À la recherche de farniente et de dépaysement, l’Hôtel Bambou vous attend. Idéalement implanté au cœur d’une commune réputée haut lieu du tourisme, Les Trois-Îlets, l’établissement a élu domicile sur la plage de l’Anse-Mitan. L’accueil y est à l’image du doux climat qui règne sur l’île et tout semble avoir été pensé pour que confort et exotisme cohabitent dans les 193 chambres de l’Hôtel, dont 40 supérieures et 8 mini-suites, 22 labellisées tourisme et handicap, des bungalows en jardin où trônent bananiers et bougainvilliers... Leur agencement a été opéré de telle sorte que chacun puisse se plonger dans une thématique particulière, au gré de ses envies : Musique et traditions, Terre de rhum, Mer des Caraïbes, Culture créole... L’histoire avait pourtant commencé avec seulement une capacité d’accueil de six chambres. C’était en 1960 et l’entreprise, créée par Ginette et André Rivéti, s’appelait alors Miami Plage. En 1983, leur fils a repris l’affaire familiale et l’Hôtel Bambou a vu le jour. Les années passant, l’établissement a acquis ses lettres de noblesse et, du haut de ses 2 étoiles décrochées en 2008, il est, depuis 2015, triplement labellisé : un label qualité, un label écologique et un label tourisme et handicap. Déguster un plat les pieds dans l’eau Côté cuisine, l’Hôtel Bambou éveille vos papilles en vous proposant d’apprécier, les pieds dans l’eau, des saveurs métissées avec, en vedette, des langoustes grillées et du colombo de poulet. Ou alors de la cuisine française mais toujours agrémentée d’une petite pointe créole, tel un magret de canard nappé d’une sauce tamarin. Pour étancher sa soif, deux bars sont également à votre disposition.   Et s’il vous prenait une envie d’aventures, tout un assortiment d’activités s’offre à vous : initiation à la plongée, aquagym, animations musicales, ballet traditionnel… Sinon, aux alentours, vous pourrez vous enivrer de la visite du musée de la Canne, ou encore de la Savane des Esclaves. Enfin, l’Hôtel Bambou peut aussi accueillir des événements professionnels (séminaires, formations…) et familiaux  (mariages, baptêmes…) et y dédie même une équipe pour accompagner leur réalisation. ...

Institut Curie : la protonthérapie ou la nouvelle victoire contre le cancer

Marie Curie, mère de la radiothérapie, est la fondatrice de l’Institut Curie. Dès le début, la scientifique deux fois lauréate du prix Nobel a su identifier les applications variées de la découverte de la radioactivité, en physique, en chimie et en médecine bien sûr. Aujourd’hui, la radiothérapie est l’un des éléments indispensables de la prise en charge de nombreux patients, aux côtés de la chirurgie et des traitements médicamenteux. Elle est utilisée dans le traitement de près de 50 % des patients atteints de cancer. L’Institut Curie, référence de la lutte contre le cancer La radiothérapie demeure donc l’un des piliers de la prise en charge du cancer. Pour améliorer ce traitement, la recherche est plus que jamais d’actualité et doit notamment faire face à deux enjeux de taille : la résistance de certaines tumeurs et des effets secondaires à long terme qui limitent son utilisation. Pour qu’un plus grand nombre de patients puissent bénéficier de la radiothérapie, médecins et chercheurs de l’Institut Curie unissent leur force pour innover et développer de nouvelles approches. C’est d’ailleurs l’une des priorités de l’Institut Curie dans le cadre de son projet MC21, pour Marie Curie 21e siècle, qui « doit lui permettre de mener au plus haut niveau la recherche et le soin pour perpétuer le continuum initié par Marie Curie et qui n’a cessé de faire ses preuves, au bénéfice du patient. » comme le décrit le Pr Thierry Philip, président de l’Institut Curie. La révolution par la protonthérapie Le plateau technique de radiothérapie de l’Institut Curie comporte des équipements de pointe, lui permettant de proposer à chaque patient la forme de radiothérapie la plus adaptée. Parmi elles, la protonthérapie, une radiothérapie de précision utilisant des faisceaux de protons. Le Dr Rémi Dendale, responsable du centre de protonthérapie, explique : « La protonthérapie permet d’irradier avec une grande précision des tumeurs situées à proximité d’organes sensibles, comme par exemple le nerf optique ou certaines parties du cerveau. En outre, elle limite au maximum l’irradiation des tissus sains et donc les séquelles. À ce titre, elle est donc parfaitement adaptée au traitement de certaines tumeurs de l’enfant ». Initialement développée pour les tumeurs de l’œil et les tumeurs intracrâniennes, la protonthérapie connaît une forte évolution dans le monde avec un élargissement des indications, en particulier en pédiatrie en raison de la diminution du risque de séquelles. Au sein de l’Institut Curie, 1er centre de protonthérapie de France et 4e au monde, près de 10 000 séances de protonthérapie sont réalisées par an. Les patients au cœur de l’innovation Haut lieu de technologie, le centre de protonthérapie a toujours été un centre de soins pilote en termes de recherche et développement. L’objectif premier est d’être en mesure de proposer la protonthérapie au plus grand nombre de patients en étendant le champ des indications et des localisations tumorales pouvant en bénéficier. Pour cela, il est primordial de mieux comprendre comment les protons endommagent les cellules tumorales et entraînent leur destruction. Plusieurs programmes de recherche sont donc en cours pour identifier et décrire les effets des protons sur les tissus. Les irradiations Flash ou utilisant des mini faisceaux sont notamment à l’étude. Ces techniques, qui consistent respectivement à irradier sur un temps très court ou à moduler la distribution de la dose, semblent être de bons moyens pour limiter les effets secondaires des rayonnements tout en conservant leur activité anti tumorale. C’est à travers de tels projets que l’Institut Curie œuvre au quotidien au développement de parcours de soins toujours plus personnalisés et à l’amélioration de la qualité de vie des patients, pendant et après leurs traitements. ...

Chai Alex and Co : les spécialités bistrotières à l'honneur

Petite commune tranquille de l’Aveyron en région Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Onet-le-château abrite une perle de la cuisine bourguignonne. Le restaurant d’Alex et Corinne est décidément réputé pour l’accueil agréable et courtois qu’il réserve à ses convives sans parler de sa cuisine fine et soignée où les produits frais et locaux sont à l’honneur. Etape gourmande en Aveyron Pour y aller, rendez-vous aux portes de Rodez, puis direction le rond-point Saint-Marc, route d’Espalion. A l’accueil, Corinne reçoit avec le sourire, histoire de détendre et mettre à l’aise ses convives. Une fois ceux-ci bien installés, les choses sérieuses commencent. Du mardi midi au vendredi midi, des menus entre 16 et 20 euros sont proposés avec au choix quatre entrées, quatre plats et quatre desserts. On choisit ses plats à la carte le jeudi et vendredi soir ainsi que le week-end. La carte comprend plusieurs entrées entre 6 à 10 euros, des plats entre 16 à 24 euros et des desserts entre 6 et 7 euros.  « Chez nous pas de carte fixe, nous établissons un tableau qui change tous les jours, selon les saisons » raconte Corinne. Le chef prend plaisir à concocter de succulentes spécialités bourguignonnes qui sortent des sentiers battus. Avec sa maîtrise et sa rigueur, il sait satisfaire les palais les plus exigeants. Pour ses réalisations, il mise sur son amour du produit mais aussi sur son expérience.  Le couple met désormais à profit leur talent et leur savoir-faire dans leur restaurant Chai Alex and Co. Des plats classiques mais revisités Les suggestions du chef sont aussi attrayantes les unes des autres. Elles sont tirées de recettes traditionnelles mais retravaillées selon son humeur et  son inspiration. Parmi les plats signatures figurent les œufs meurettes, des incontournables quand on parle de cuisine bourguignonne. Cette recette à base d’œufs pochés est généralement accompagnée d’une sauce bourguignonne ou d’une sauce meurette faite traditionnellement avec du vin rouge, des oignons, des lardons, et des échalotes. Autre plat phare : le tablier du sapeur, une spécialité lyonnaise à base de bonnet nid d’abeille ou gras-double cuit au bouillon puis plongé dans une marinade à base de vin blanc. La viande est ensuite panée et frite puis servie avec des pommes de terre ou une sauce gribiche, selon les envies. Les succulentes propositions du chef ne s’arrêtent pas là. Ne manquez pas aussi les andouillettes en chemise grillées, couvertes de moutarde à l’ancienne, de jambon de pays et d’une crêpe. Une adresse décidément dédiée aux  vins L’établissement fait honneur à l’univers du vin. Les couleurs choisies rappellent celles de ce précieux breuvage avec ses tons roses-mauves. Le parquet au sol donne une note conviviale à la salle ainsi que les larges banquettes qui sont synonymes de confort. En plus de la présence des nombreux luminaires incrustés au plafond, le restaurant est baigné par la lumière grâce aux immenses baies vitrées. La partie carrelée de la salle donnant sur l’espace extérieur offre une jolie vue. Elle est constituée d’une grande table pouvant accueillir 12 personnes. La pièce maîtresse du restaurant est certainement cette cave à vins vitrée trônant majestueusement au coin de la salle, définissant aussi l’expression « chai » en référence au nom de l’établissement. Pour compléter cette ambiance chic et ce décor épuré, une musique jazz en fond sonore. Que demander de plus ? ...

Domaine des Pradelles : un savoir-faire transmis de génération en génération depuis 150 ans

Le vignoble du domaine des Pradelles s’enracine sur une ancienne propriété des Chevaliers de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, située sur la commune de Vacquiers (Haute-Garonne). Les vins On distingue parmi les produits phares les cuvées « Prestige » et « Légende rouge », dont l’encépagement est à dominante négrette. Preuve du succès de ses vins, depuis 2001, le domaine des Pradelles a accumulé les récompenses dans différents concours nationaux. Les médailles d’argent ont été attribuées aux cuvées « 100sations 2017 » AOC Fronton et « Réserve de Malo 2017 » IGP Comté-Tolosan au concours Saveurs et Senteurs du Frontonnais 2018. ...

Le Thon Rouge de ligne, votre marque responsable !

1,2 mètre pour 25 kilos à l’âge adulte… mais pouvant dépasser les 500 kg ! Pêché depuis plus de 5 000 ans, le thon rouge est l’un des poissons méditerranéens les plus prisés par les consommateurs. Il est notamment pêché à la ligne selon trois méthodes : la palangre, la canne et la traine. Bien que l’espèce ait été fragilisée dans les années 1990, sa pêche est aujourd’hui fortement encadrée pour garantir une exploitation raisonnée. Concernant le thon rouge, les avis d’experts scientifiques sont redevenus positifs, d’où l’action de la marque « Thon Rouge de ligne », qui souhaite apporter une information transparente sur ses conditions d’exploitation, afin de promouvoir ce produit exceptionnel et de rassurer les consommateurs sur la santé du stock et les pratiques de pêche. Un numéro de suivi sur Internet La marque collective Thon Rouge de ligne est le résultat d’une démarche volontaire de pêcheurs artisans battant pavillon français et pratiquant la petite pêche ou la pêche côtière, qui s’engagent à promouvoir de bonnes pratiques et une approche socialement responsable et biologiquement durable de la pêche au thon rouge. Pour le consommateur, Thon Rouge de ligne est la garantie que le thon rouge a été capturé à la ligne, avec respect et selon des pratiques visant à préserver l’espèce et son écosystème, aujourd’hui et pour l’avenir, ainsi qu’à garantir une qualité irréprochable du produit. « Nous plaçons l’homme au centre des activités maritimes pour consolider l’emploi et le développement économique local », préconise l’association VALPEM (Association pour la valorisation des produits de la pêche en Méditerranée) en charge de cette marque collective. « Avec un engagement sur la qualité, la fraicheur et la traçabilité de chaque poisson : navire, technique, lieu et jour de pêche.» Cette traçabilité complète est parfaitement accessible au consommateur : l’obligation de baguer le thon rouge ‒ sans quoi il ne peut être ni débarqué ni commercialisé ‒ permet d’obtenir un numéro d’identification unique qui figure à l’extérieur de tout emballage contenant du thon. En utilisant ce numéro, chacun peut retrouver les différentes informations concernant son poisson sur le site Internet www.thonrougedeligne.com ...

Bretagne Pôle Naval : un acteur majeur pour le dynamisme des entreprises bretonnes

Bretagne Pôle Naval est un cluster atypique dans le paysage français, et même européen, puisque toutes les entreprises ont un dénominateur commun : leur activité est liée au milieu marin. Les 185 entreprises adhérentes travaillent dans le domaine de l'industrie navale, dans le domaine des énergies marines renouvelables ou dans le domaine du parapétrolier et paragazier, et emploient plus 23 000 collaborateurs. L’apport de BPN L’objectif de BPN est la compétitivité des entreprises bretonnes, de mettre en valeur leurs compétences et leurs complémentarités, et de développer leurs activités. Pour ce faire, BPN travaille sur les stratégies commerciales, sur les stratégies de développement, sur les nouveaux marchés à percer et sur la manière d’aller à l’export, en organisant des groupes de travail. Il a également mis en place une veille commerciale sur les marchés publics. Il alerte ainsi les entreprises et les incite à répondre à ces appels d’offres, éventuellement en se regroupant. BPN accompagne au quotidien les entreprises pour la mise en œuvre d’actions opérationnelles. Elle permet à ces entreprises de développer des partenariats, de renforcer les synergies, de valoriser les infrastructures régionales, et de promouvoir les compétences et les savoir-faire. Ainsi, dernièrement, à la suite d'une première rencontre lors du business booster Oil and Gas fin 2015, et d'une alerte sur un marché public fin 2016, une PME de 12 salariés s’est rapprochée d’une entreprise de 60 collaborateurs. La réponse de la seconde sur le marché avec sous-traitance par la première a permis d’obtenir un contrat d’environ 480 k€ grâce à ce partenariat. Emploi et formation BPN œuvre également beaucoup pour l’emploi. Il aide les entreprises dans le recrutement de la bonne personne quand celles-ci se sentent démunies en raison de leur petite taille. Au niveau de la formation, BPN est prescripteur. Il rédige des référentiels à destination de l’Éducation nationale et des pôles de formations continues, en fonction des différents besoins des entreprises. Déjà 10 ans Pour fêter ses 10 ans, BPN a présenté son annuaire 2017 à l’occasion d’Euromaritime. En français et en anglais, il est diffusé à l’international. Il explique les produits et les services de chaque entreprise adhérente. ...

Bourgoin Cognac : une nouvelle vision d’un cognac de vigneron authentique et sincère

Pour Frédéric Bourgoin, le temps est venu de dépoussiérer l’image désuète associée au cognac. Un phénomène qui – d’ailleurs - mérite amplement une réflexion. Dans son propre pays natal, ce spiritueux a été relégué au rang de digestif de vieux pépères. Une situation inadmissible pour ce jeune vigneron qui aspire à tellement mieux pour un si beau produit. Histoire de faire bouger les lignes du cognac, il s’est alors imposé une nouvelle vision directrice. L’idée ? « Proposer une approche viti-vinicole naturelle, de la transparence à outrance, et un soupçon d’innovation ». De la vigne au verre À côté des grandes marques de cognac, les faiseurs de petits volumes tentent de se tailler une place au soleil en adoptant une toute approche dans la production de leurs spiritueux. C’est le cas de Bourgoin Cognac.   Cette maison implantée sur la commune de Saint-Saturnin, dans le village de Tarsac fait appel à l’expérience familiale, l’amour du terroir et l’innovation pour tirer son épingle du jeu. Constitué en 1930, le domaine a vu succéder quatre générations de vignerons et s'étend aujourd'hui sur les crus premiers bois (hautement revendiqué), petite champagne et fins bois. Frédéric est particulièrement admirateur du terroir des premiers bois. « C’est un minuscule cru oublié de la carte AOC cognac du 1er Mai 1909, doté de sous-sols calcaires du Crétacé (cénomanien moyen) », communique-t-il. Ce fort attachement à la terre s’illustre par des méthodes de fabrication typiques. « Je m’obstine à faire des cognacs « nature » qui expriment au mieux le terroir qui les a vus naître. Donc chez moi pas d’assemblages, pas de filtrations, pas de colorants, et pas de sucres ajoutés ». En clair, le produit et rien d’autre. Pour aller encore plus loin dans sa démarche, le vigneron-terroriste fait aussi tout lui-même, aidé de quelques membres de la famille. De la récolte des raisins, au pressurage, en passant par la distillation jusqu’au vieillissement, le domaine maîtrise l’ensemble de la chaîne de production. Quelques ambassadeurs de la maison L’innovation constitue l’une des marques de fabrique de Bourgoin Cognac. Une philosophie qui se découvre à travers le Micro-barrique 1998. Ce cognac XO est élevé dans des micro-barriques de 10 litres, ce qui lui donne plus de rondeur et de suavité. Ce n’est pas tout. « Ces contenants sont surchauffés à l’intérieur à l’aide de charbon actif qui va capter les éléments trop agressifs du cognac et le rendre plus doux en bouche. C’est ce qu’on appelle la méthode du bousinage crocodile », nous informe notre interlocuteur. L’objectif étant de redonner l’envie à certaines personnes qui boudaient le cognac de se remettre à en déguster. Pari gagné. Les produits Bourgoin Cognac commencent à imposer leur signature auprès du cercle très fermé des jeunes branchés parisiens. « Nous avons pour ambition de plaire notamment aux trentenaires qui ont envie de se différencier de la consommation de leur papa plus axé sur le whisky et qui redécouvrent cet alcool français oublié. Cette jeunesse qui aime déjeuner dans les restaurants gastronomiques, en quête de naturalité, de produits vrais et authentiques, de structures familiales et de produits en direct du producteur. Bref, ceux qui ont en marre d’acheter des marques déconnectées du terrain. » Message clair et limpide Monsieur Bourgoin ! ...

Le Chai Saint-Sauveur:
un rendez-vous gourmand à Toulouse

Le Chai Saint-Sauveur se veut être un grand restaurant néanmoins accessible à tous les budgets. Le Chef Jérôme Verrière revisite les plats traditionnels tels que le ris de veau. « C’est le plat phare du restaurant » déclare Elodie Trassard, la maitresse de maison. Ici, la fraicheur des ingrédients est privilégiée, avec une préférence particulière pour les produits locaux. Une cuisine française traditionnelle Plusieurs menus sont proposés le midi, allant d’un simple plat du jour à une Entrecôte et Frites Maison, en passant par les formules incluant entrée, plat et dessert. Le soir, les menus laissent place à la carte. L’Œuf en meurette et ses petits croûtons se fait remarqué parmi les entrées. Du côté des plats, il serait tout à fait normal d’hésiter entre le Risotto poêlé aux gambas accompagné de sauce crustacé et la Souris d’Agneau à la purée au beurre. Et en dessert, les tartes au citron, caramel au beurre salé et tartelette framboise et sa crème légère raviront les gourmets. Tout est fait-maison, sauf la glace qui accompagne le Coulant chocolat au jus passion. Les vins du Chai Que serait un Chai sans vins ? Pour accompagner le repas, le Chai Saint-Sauveur suggère des crus issus du Sud-Ouest, Languedoc, Vallée du Rhône, Bordeaux, Pyrénées orientales et Bourgogne. Avec ses 22 références en rouge, 7 en blanc et 3 en rosé, chacun trouvera sa préférence en accord met-vin. La maison organise aussi quelques fois des dégustations de vins en compagnie des producteurs. Et grâce à sa licence de caveau, elle peut vendre les bouteilles à emporter. Un cadre agréable dans la salle Les couleurs chaudes comme le rouge et la prédominance du bois donnent à cet endroit une ambiance chaleureuse. Les étiquettes illustrant différents domaines viticoles qui couvrent les murs plongent la salle dans l’univers du vin. Eclairée par la grande baie vitrée, la salle révèle un esprit bistro-chic avec la présence de tables hautes confortables disposées de manière à offrir des espaces personnels parfaitement raisonnables. Eloignée du comptoir, la partie du restaurant constituée de tables basses quant à elle est propice au calme, idéale donc pour les dîners romantiques en amoureux. Un espace extérieur à l’ambiance sereine Installé sur une place aux allures de village, le restaurant le Chai Saint-Sauveur a le privilège de bénéficier d’une terrasse blottie au cœur d’un environnement verdoyant. Ce haut-lieu de rendez-vous des toulousains est équipé de fauteuils, de canapés et de tables basses. Un cadre sympathique parfait pour l’apéro. Le quartier est calme et la circulation est rarement dérangeante. Privatisable, la véranda peut recevoir en exclusivité jusqu’à 40 personnes assises pour un instant repas, 55 si les convives restent debout. A noter que le restaurant offre aussi des repas de groupe adaptés aux différents budgets. Des tapas se déclinant en de multiples variétés peuvent être concoctés sur demande. ...

MonsieurGourmand.com : l’unique traiteur multisite en France

Grâce à son expertise, MonsieurGourmand.com est en mesure d’intervenir sur des événements synchrones ou asynchrones (sur des tournées) tout en proposant le même niveau de prestation partout en France. Les débuts de MonsieurGourmand.com Le concept est venu d’un projet de fin d’études en école de commerce réalisé par Nathan Hallouin en 2013. La thématique abordée s’articulait alors autour de la livraison de produits traiteur partout en France. Très vite, Nathan est parvenu à dénicher un partenaire dans la distribution de ces produits. Cette première collaboration lui a permis, au début, de s’adresser à différents types de marchés, comme les particuliers, mais aussi les associations, qui préféraient commander des repas de groupe. 2015 marque un tournant dans la vie de l’entreprise. Nathan reçoit une demande particulière de la part d’un client professionnel qui sollicite une livraison asynchrone dans 55 villes de France. Initialement dédié aux particuliers, MonsieurGourmand.com va se tourner uniquement vers les grands comptes, qui se trouvent confrontés à des problématiques traiteur, celles-ci pouvant être multisites ou itinérantes. Le fonctionnement de l’entreprise Agissant comme un véritable logisticien traiteur, MonsieurGourmand.com sélectionne des fournisseurs auprès desquels il va s’approvisionner en produits prêts à l’emploi. C’est sur la base de ces produits que l’entreprise élabore des offres sur mesure en fonction des commandes et des besoins spécifiques de ses clients. « Si vous êtes une enseigne de cosmétique et que vous faites le lancement d’un nouveau parfum, nous pouvons réaliser une prestation traiteur qui va rappeler ce parfum », nous fait savoir Nathan Hallouin, le fondateur. Côté livraison, MonsieurGourmand.com a recours aux services de Chronopost Food, pour une livraison express partout en France en température contrôlée. Cela vaut tant pour les grandes villes que pour les communes les moins connues. Des prestations et des offres uniques Quel que soit le type d’événement organisé par un client professionnel (vente privée, lancement d’un nouveau produit,  soirée VIP…), MonsieurGourmand.com est capable de livrer sur plusieurs sites et en même temps. Concernant les événements asynchrones (tournée ou roadshow dans l’Hexagone), l’entreprise peut accompagner le client en assurant un service traiteur itinérant selon les dates et les arrêts prévus. Sur ce point, Sothys, Kinedo, Cache Cache ou encore Vinci figurent entre autres parmi les clients prestigieux qui ont fait confiance à MonsieurGourmand.com pour leur gestion traiteur.  Pour ce qui est du produit, MonsieurGourmand.com s’engage à sélectionner ce qu’il y a de meilleur dans le but de satisfaire les besoins de ses clients. Les offres de l’entreprise comprennent un petit-déjeuner établi autour d’une sélection de mignardises (madeleines, muffins, cakes…), des brochettes de fruits de saison et des laitages gourmands. Pour les cocktails, MonsieurGourmand.com suggère des canapés classiques et originaux. En ce qui concerne le buffet, charcuterie, mini casse-croûte, salades, fromages et desserts constituent la base des plateaux servis. Enfin, côté boisson, les clients auront l’embarras du choix, entre les champagnes, vins et jus de fruits, mais également des breuvages plus spécifiques (jus de légumes, aloé véra, smoothies...). Vous ne trouvez pas votre bonheur dans les prestations proposées ? Le métier de MonsieurGourmand.com consiste à vous dénicher les meilleurs produits selon vos besoins, alors parlez leur de votre projet !  ...

Le Coude à Coude : le plaisir d'une table conviviale

Parfaitement installé au bout du Sillon, la plus grande plage de sable de Saint-Malo, Le Coude à Coude est une invitation au voyage et au plaisir de la cuisine bistronomique. Dans ce petit établissement contemporain créé en 2009, l’accueil chaleureux de Karine Cordeau accompagné de musique discrète et des plats cuisinés divinement par le restaurateur, ne laissent pas indifférents les visiteurs de passage en Bretagne. L’atout majeur du restaurant, « c’est sa petite taille, sa cuisine ouverte ainsi que les jolis produits issus du terroir breton », souligne le propriétaire et chef Nicolas Bourdon. Une cuisine instinctive et traditionnelle Outre les crêpes, la cuisine bretonne cache plusieurs autres particularités et spécialités. Au Coude à Coude, le chef privilégie les produits du terroir, les fruits de mer, et plus particulièrement les poissons. Ces derniers sont sublimés par un accompagnement singulier (fenouil confit, émulsion de moules au curry) et une cuisson soignée. Pas uniquement ibère, ni seulement bretonne mais parfois un peu des deux, le style culinaire du restaurant mélange les produits frais locaux pour en faire une cuisine inventive à part entière à travers laquelle « les plats sont ancrés dans la tradition et la cuisine de grand-mère », explique notre interlocuteur. Une carte inventive et authentique Le Coude à Coude se distingue aussi par la créativité de son chef qui innove en permanence dans ses préparations. Sa « cuisine du marché » où tout est réalisé devant les convives flatte les palais les plus exigeants. Composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, la formule du jour servie chaque midi est renouvelée régulièrement pour justement garantir cette notion de « fraîcheur et de qualité »... Le soir, les convives pourront choisir les plats sur l'ardoise de produits frais. Quant aux amateurs de bons vins, plus de 150 références sont mises à leur disposition pour leur plus grand plaisir. La carte est constituée par Nicolas, aidé de ses deux conseillers Christophe Péroux et Thierry Duchêne. La sélection créée notamment avec la collaboration de la Cave de l'abbaye St Jean vous fait voyager dans les plus beaux vignobles de France.  ...

Domaine de la Bergerie d’Aquino : l’excellence de la Provence

Pour un domaine viticole, la Bergerie d’Aquino est un nom pour le moins insolite, n’est-ce-pas ? Ce nom tire en fait ses origines d’une légende née dans la région comme quoi le fameux Saint-Thomas d’Aquin aurait fait de cette bergerie à l’époque, une étape régulière durant ses nombreux voyages entre la France et l’Italie. Un terroir qui se prête au bon développement des vignes​ Composé d’un terroir à base d’argile, le vignoble du domaine est, selon les explications d’Eric Bompard, propice à la viticulture : « Nous avons un sol argilo-calcaire très caillouteux qui favorise le drainage ». Les parcelles de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon et Rolle y sont exposées plein sud et bénéficient d’un ensoleillement exceptionnel toute l’année. En 2015, une nouvelle parcelle de Cinsault a été cultivée pour élargir les possibilités d’assemblage, notamment pour le rosé. Les premières vendanges de cette parcelle auront lieu dans deux ans. En matière de viticulture, profiter d’un bon terroir n’est pas suffisant pour avoir des récoltes de qualité. La façon de le cultiver est également une étape primordiale. « Nous n’utilisons aucun pesticide, aucun engrais et évitons de traiter les vignes. En revanche, en cas de maladie prévisible, nous prenons la liberté d’éviter par traitement le risque d’une dégradation de la récolte » note Eric Bompard. Les rendements y sont rigoureusement maîtrisés et donnent une production de l’ordre de trente à trente-cinq hectolitres à l’hectare, garantissant une maturité et une concentration optimale des baies de raisins. Et pour finir, les vendanges se font exclusivement à la main dans des petites caissettes de 35 kilos. Gastronomique ou plaisir immédiat, il y a le choix Lorsqu’il a acquis ce domaine en 2014, Eric Bompard nourrissait fortement l’ambition de produire des vins de qualité. Nouveau venu dans la filière mais non moins passionné, il a fait appel à un œnologue spécialiste de ce terroir pour mener à bien la vinification. Ce dernier jongle entre les techniques modernes de contrôle des températures avec les méthodes traditionnelles de macérations et de fermentations pour élaborer ses vins. Il en résulte deux gammes de vins aussi différentes qu’exceptionnelles que sont les cuvées « Bergerie », vins de gastronomie déclinés en rouge et blanc d’une part et d’autre part la gamme  « Etoiles d’Aquino », « une gamme destinée à une consommation plus immédiate, aux arômes puissants, fruités, qui correspondent au terroir de la Provence » explique Eric. Cette dernière gamme, en appellation protégée Coteaux Varois en Provence est composée de trois vins déclinés sur les trois couleurs. ...

Zakhang : voyage culinaire à Grenoble

« C’est un peu une cuisine de voyage. » C’est sur cette phrase que la chef du restaurant Zakhang décrit ses créations culinaires. Cet établissement situé sur le quai du bord de la rivière d’Isère doit son nom au terme tibétain za khang, qui signifie « restaurant ». Il faut dire que tout le concept du restaurant s’inspire de ce pays asiatique situé au nord de l’Himalaya.  Étant cosmopolite, le restaurant explore aussi les techniques culinaires issues d’autres contrées pour plonger ses convives dans cet esprit de voyage.  Une cuisine traversant les mers et les océans Dans l’élaboration de ses plats, la chef s’inspire d’une diversité de produits tels que les condiments japonais, le chutney d’ananas et la sauce Maratika (du nom de la grotte népalaise), une sauce aux épices découvertes lors de ses voyages dans ce pays. « Ma cuisine s’inspire de ce que j’ai pu gouter en Inde, au Népal, en Chine», confie-t-elle. Effectivement, un repas au Zakhang est une invitation à la découverte de nouvelles saveurs exotiques qui ravissent les papilles.  L’établissement propose, le jeudi et le vendredi, une formule midi comprenant une entrée, un plat et un café gourmand à 15 €. Lors de notre passage, nous avons eu plaisir à déguster le panna cotta au maïs et son coulis de poivrons rouges en entrée. Un succulent cabillaud sauce kéfir, curcuma a été servi en plat de résistance. Outre ses formules du midi, le restaurant propose aussi une carte qui suit la saisonnalité. De l’entrée au dessert, les plats sont agrémentés d’épices exotiques qui subliment les saveurs des produits frais utilisés.  Pour commencer, les fins gastronomes se régaleront d’une soupe sauvage, bruschetta au lard de Colonnata. Ici, les saveurs italiennes sont mises en avant, notamment ce lard, un produit typique de la charcuterie italienne élaboré à Colonnata. En plat, le suprême de pintade sauce au poivre de Tasmanie mise aussi sur ce mix liant tradition et exotisme. Pour finir, le black pearl : chou noir à la crème d’hibiscus, crème glacée au poivre rouge du Sichuan.  Une carte des vins bien élaborée Zakhang propose une carte des vins assez éclectique. « Au départ, on pensait faire dans un rayon de 300 km de Grenoble en incluant les vins italiens, les vins de Savoie…Mais on a aussi un peu élargi à des vins de Bourgogne, des bordeaux et quelques vins d’Alsace », raconte la chef.  Parmi les vins issus de la vallée du Rhône et du Languedoc-Roussillon figure le Crozes-Hermitage blanc AOP 2014 du domaine du Colombier aux senteurs d’arômes floraux. Et dans la série des vins de Bourgogne, le restaurant suggère du Mâcon-Cruzille « Les Genevrières » AOP 2013 du domaine Guillot-Broux, qui fait la fierté du terroir. À déguster également : l’Alsace blanc Riesling 2013 du domaine Dirler-Cadé et le vin italien Chianti rouge 2013 de Fattoria Montellori. ...

Sport et santé, Hopale a les clés

Ils sont plus de 200 sportifs à franchir chaque année la porte de la Fondation Hopale. Situé à Berck-sur-Mer, sur la Côte d’Opale, le site accueille footballeurs, basketteurs, judokas ou encore coureurs. Toutes disciplines confondues, ils viennent des clubs régionaux mais aussi de la France entière et de l’étranger. Ils sont nombreux à solliciter les médecins et chirurgiens hopaliens, afin de bénéficier d’un plateau de rééducation hautement spécialisé et dédié aux sportifs, le tout face à la mer. Les soins dispensés sont de qualité et l’établissement dispose désormais d’une certaine notoriété. Une prise en charge de A à Z Ligaments croisés, lésions du ménisque, instabilités d’épaules, tendinites, rupture du tendon d’Achille et autres blessures musculaires sont autant de pathologies qui guettent les sportifs. Matthieu Bataille, judoka français, en a fait les frais en 2008. Alors qu’il remporte le bronze un an avant aux championnats du monde, le sportif se blesse au ligament latéral interne. L’opération est inévitable. La rééducation se déroulera dans la station de Berck-sur-Mer, à la Fondation Hopale. « Ma famille vit dans le secteur, ce qui avait initialement motivé ma décision. Je ne l’ai jamais regrettée car j’ai été très bien suivi. Même si les journées étaient chargées entre la kinésithérapie, la préparation physique et la balnéo ! » Ce choix sera payant. Trois ans plus tard, en 2011, Matthieu Bataille remporte l’or mondial par équipe. « Nous sommes l’un des rares établissements où l’on peut tout faire », affirme le Dr Jérémie Caudin, médecin de médecine physique et de réadaptation. « De l’acte chirurgical à la rééducation, en passant par la réathlétisation, tout est sur place. »  En plus de la rééducation, un sportif de haut niveau a besoin de s’entretenir et, à la Fondation Hopale, il peut profiter d’appareils de musculation, de tapis de course, dont un tapis antigravité, d’une balnéothérapie, avec bains froids et chauds, de jacuzzis... Les athlètes sont chouchoutés afin qu’ils retrouvent au plus vite le chemin de la guérison et des compétitions.  « Quatre mois après sa sortie, le sportif est invité à revenir », ajoute le Dr Antoine-Xavier Malliopoulos, chef du département de rééducation orthopédique, traumatologie, rachis, appareillage et rééducation du sportif. « On lui fait alors un test isocinétique, qui permet de connaître la force développée par le patient. Suivant les résultats, un programme de reconditionnement musculaire est possible. Nous utilisons différentes techniques de pointe pour d’autres pathologies, comme les ondes de choc ou l’injection de facteurs plaquettaires pour les problèmes de tendons. » La Fondation possède également un service appareillage qui complète cette chaine de soin et de rééducation. On y fabrique, par exemple, des masques pour que les sportifs puissent recommencer l’entrainement sans crainte, après une fracture faciale, et on y adapte aussi des fauteuils roulants ou des kayaks pour la pratique du handisport. Bientôt un Institut du Sport de référence  C’est l’objectif affiché pour les mois à venir. La Fondation Hopale aimerait tendre vers une structure entièrement consacrée au monde du sport. Jusqu’alors, la prise en charge des sportifs était possible, notamment, grâce à l’association Hopale Sport Santé, créée en 2013. « L’une des missions est de promouvoir la prévention de la blessure », précise le Dr Malliopoulos. « Par exemple, grâce à une évaluation dynamométrique effectuée en début de saison dans différents clubs de la région. Cela permet de mesurer le risque de blessure et de le corriger si besoin. »  Cette prévention sera accentuée et renforcée avec la naissance de ce projet d’Institut du Sport, qui proposera des stages de préparation physique aux sportifs aguerris, valides ...

Podcast interview avec Sébastien Labails des Vignobles de Maxime

Sébastien Labails | Bonjour, je m’appelle Sébastien Labails, je suis le gérant des vignobles de Maxime. Maxime est le propriétaire de nos trois propriétés en Graves et en Saint-Émilion ; il m'a confié les clés de ses vignobles pour gérer tous les aspects allant de la production à la commercialisation. La Une | Et comme tout vignoble, j'imagine que le vôtre a une jolie histoire à nous raconter ? S L | L'histoire du vignoble commence en 2001 pour Maxime, qui tombe littéralement amoureux du château Tourteau Chollet et de son pin de 250 ans ainsi que du château Grand Lartigue, puisqu'il fait l'acquisition de ces deux châteaux en 2001. Maxime est diplômé en expertise comptable, mais son rêve a toujours été de pouvoir faire du vin. Grâce à son diplôme et ses compétences techniques, il a pu acquérir ces deux châteaux après deux ans de recherches. C’est en 2018 que Maxime Bontoux m’a confié la gérance des deux châteaux pour pouvoir développer les activités à la fois au niveau de la production et de la commercialisation.  Et pour pouvoir produire le mieux possible, chez vous, on cultive Bio non ? S L | Nous sommes engagés environnementalement : Terra Vitis depuis 2005, nous avons également été le premier vignoble des Graves, en 2012, à être certifié HVE (Haute Valeur Environnementale) à la suite du Grenelle de l'environnement. Également depuis 2019, nous sommes certifiés BEE FRIENDLY, les amis des abeilles : nous sommes très restrictifs en termes d'utilisation d'insecticides, puisque nous les avons tous bannis. Pour lutter contre les verres de grappes nous utilisons dorénavant la confusion sexuelle. Nous nous sommes également engagés dès 2021 en agriculture biologique. Nous avons donc franchi le pas, ce n'est pas facile puisque nous sommes quand même à Bordeaux qui connaît un climat avec des précipitations importantes. Ce qui est délicat c'est de pouvoir protéger les vignobles en agriculture biologique tout en maintenant une récolte saine et de qualité ainsi qu’avec une quantité satisfaisante. Une reconversion donc sur votre agriculture, mais toujours de grands vins, vous nous les présentez ? S L | Au niveau de la gamme des vins, nous avons construit celle-ci de la même façon à la fois sur Saint-Émilion et dans les Graves puisque nous avons en vin rouge : un rouge uniquement élevé en cuve, puis un rouge 50 % barrique et enfin un rouge 100 % barrique. En plus de cela, nous avons deux blancs : notre grand vin blanc « 1760 », 100 % élevé en barrique et ressemblant à s’y méprendre aux grands crus classés de Pessac Léognan ainsi que notre vin Tourteau Chollet blanc. En plus de cela, pour compléter cette gamme, nous avons un vin sans sulfite ajouté qui s'appelle « C’est pas G… » et dans lequel, nous avons réalisé un assemblage de 25 % de chacun de nos cépages rouge : merlot, cabernet sauvignon, petit verdot et Malbec. Il s’agit de notre porte-étendard pour dénoncer le réchauffement climatique. Alors une chose est sûre, c'est que la qualité de vos vins n'est plus à prouver. Entre autres, vous avez été médaillé d'or à Paris, à Bruxelles, cité maintes et maintes fois au guide Hachette et c'est pour ça que nous pouvons retrouver vos vins à certaines tables de grand restaurant. Quelle porte faut-il que je pousse pour pouvoir à la fois déguster un excellent plat avec un de vos excellents vins ? S L | Nous sommes mis en avant dans certains grands restaurants comme le restaurant « Saison » de l'institut Paul Bocuse à Lyon. Nos vins sont également référencés chez « Fauchon » à Paris avec le « 1760 » en rouge et en blanc qui est largement apprécié par l'ensemble des équipes de l'hôtel « Fauchon ».  Et si l'on parlait maintenant un petit peu de millésime, millésime exceptionnel comme sur le Ferrand Lartigue par exemple en 2012, pour les autres vins, vous aurez peut-être un millésime à nous conseiller ? S L | Alors sur le Ferrand Lartigue c'est effectivement le millésime 2012 qui est exceptionnel, ma...

Via Costa : la Dolce Vita sur les côtes bretonnes

A Etables-sur-Mer, une cité balnéaire des Côtes d’Armor, se trouve le restaurant Via Costa. On quitte la Bretagne pour un dépaysement total : décor exotique, ambiance d’ailleurs, mer turquoise, sable fin. L’endroit semble sorti tout droit d’une carte postale d’une plage de Bali. A l’entrée, se dresse un imposant portique orné de motifs végétaux indiens. A l’intérieur, murs en bois exotiques, paillotes, palmiers, bouddhas en pierre et transats plantent le décor : le visiteur semble pénétrer dans un de ces lieux surprenants perdus au bout du monde. Idéal pour un après-midi de détente. Le visiteur prolonge volontiers son escale au Via Costa pour le restant de la soirée. Cocktails et farniente L’après-midi est encore chaud. Il est temps de s’attabler à la terrasse du Via Costa. La carte propose des idées originales autour du cocktail. Le barman vous sert un de ces breuvages traditionnels aux vacances ensoleillées : Mojito, Cosmopolitan, Margarita. Pour des sensations plus intenses, il confectionne pour vous une des spécialités de la maison : un Daïquiri frais et acidulé, ou un Pina Colada, une mixture glacée à base de coco et ananas. Il existe également des versions sans alcool : milkshake à la vanille ou au chocolat. Les hôtes expérimentent un moment totalement zen : siroter un cocktail glacé devant une mer d’azur, avec en arrière-fond, des sons de musiques du monde. Excursion gourmande Côté assiette, le chef emmène les hôtes explorer le continent asiatique. Les ingrédients sont locaux : poisson frais breton. Les mets du terroir côtoient les plats des îles. Au départ, au choix : une cuisine tout en fraîcheur comme le tartare de Saint-Jacques de la baie et saumon fumé, ou bien des plats exotiques : accras de morue et salade de poulet Tandoori. Le voyage des papilles se poursuit avec de nouvelles surprises. La spécialité du chef ici, c’est le carpaccio. Les lamelles de bœuf marinées sont préparées et arrangées à toutes les sauces. Chaque plat est une invitation à découvrir le mariage de nouvelles saveurs. Le convive découvre des inspirations méditerranéennes : le carpaccio aux copeaux de chèvre, noix et tomates confites, ou bien le carpaccio à la mozarella di buffala et pignons de pins. Et d’autres inspirations inattendues : le carpaccio façon thaï, aux oignons rouges, pousses de soja fraîches, sésame, gingembre et coriandre. Côté lagon, les amateurs des fruits de mer retrouvent des produits frais et des saveurs totalement exotiques : wok de gambas marinées au gingembre et à la coriandre ou dos de cabillaud rôti au crumble de chorizo. Le dépaysement est assuré côté sable. Les spécialités culinaires du chef sont innovantes : tajine berbère d’agneau aux abricots et poulet Massalé à la réunionnaise. Pour le dessert, le chef suggère de gouter à des horizons lointains : traverser l’Atlantique et dévorer un véritable cheesecake new-yorkais, ou bien s’arrêter au milieu de la mer et tenter une exotic island, une ile flottante à la noix de coco et aux zestes de citron vert. Ceux qui préfèrent les charmes du pays, savoureront la douceur d’une tarte fine aux pommes, et son coulis de caramel au beurre salé. Ambiance caliente ! Pas question de rentrer chez soi pour le moment. L’équipe du Via Costa propose aux convives un large éventail d'activités, histoire de s’attarder après le repas. Des événements sont régulièrement organisés pour animer la soirée. Les convives peuvent s’initier à de nouveaux pas de danse, zumba et salsa, à l’ombre d’une paillote. A la nuit tombante, les visiteurs se laissent entraîner au rythme de la musique. DJ et groupes animent la soirée dans un climat décontracté. La programmation musicale est variée et répond à tous les goûts : jazz, reggae, musique du monde, etc. Tout le monde doit s’amuser ! Le Via Costa organise à la demande des séminaires et réceptions pour les groupes pour un minimum de 20 personnes. Les menus, à partir de 35€, permettent de se régaler dans un environnement atypique. A l’ord...