C’est dans un terroir varois naturellement disposé en « amphithéâtre », bénéficiant d’un ensoleillement favorable et bercé par un microclimat frais, que les vignes en parcelles s’étendant sur 27ha de terrain s'enracinent dans un sol tantôt calcaire tantôt fait de pélites rouges ou de tufs. La générosité de cette terre est ici mise à profit dans le cadre d’une viticulture biologique et biodynamique. En découle ainsi des rouges, des rosés et des blancs complexes et équilibrés en AOP Coteaux-varois-en-provence et AOP Côtes-de-provence. La viticulture biodynamique au service d’un noble terroir Au sein de ce haut-lieu de la viticulture varoise, les cépages, allant du Grenache au Cabernet, en passant par la Syrah et le Vermentino, s’épanouissent dans un cadre bucolique, parsemé d’oliviers et abondamment irrigué par des rivières et de majestueuses chutes d’eau. Attachée à cette contrée aussi belle que généreuse, l’équipe de Fontainebleau priorise l’usage de la biodynamie appliquée à la viticulture, une aide naturelle afin de faire exprimer au mieux la nature environnante des cépages de chaque cuvée. Le travail de la vigne s’inscrit ainsi dans le respect de l’environnement en priorisant les lois de la nature ainsi que les procédés de traitement agricoles biologiques. Dans cette optique, le sol est travaillé modérément, les vendanges sont faites manuellement, les préparations biodynamiques forment des associations végétales propices à la fertilité et les engrais chimiques laissent place aux composts. Des tisanes utilisées suivant le calendrier astral viennent s’ajouter à ces méthodes naturelles pour produire des vins biodynamiques d’exception, véritables signatures et expressions du terroir. Des cuvées d’exception à l’image d’un terroir singulier Détentrices du label certifié « Agriculture Biologique », les cuvées du Château Fontainebleau se démarquent par leur large palette de saveurs obtenues de par la grande diversité des sols du domaine. Les cépages puisent ainsi les succulences caractéristiques d’une terre composite conférant complexité et structure au vin. Fidèle aux méthodes de vinification artisanales, le domaine s’affirme dans le monde sélect vitivinicole par une gamme élégante, équilibrée et toute en finesse. Parmi les fleurons de cette gamme figure le Louis Baptiste blanc, un vin raffiné, structuré et à la bouche onctueuse. Le rouge Jean-Max, un vin issu exclusivement de vieilles vignes du domaine, savoureusement expressif, viendra, quant à lui, révéler toute préparation de viande. Appréciez, enfin, un Château Fontainebleau rosé, un goûteux mélange de Grenache, de Cinsault et de Syrah s’accordant parfaitement à la fraîcheur d’une cuisine méditerranéenne ou exotique. Ces vins de caractère travaillés suivant le modèle bordelais et vinifiés en barriques de chêne français rigoureusement élaborées et sélectionnées, font la fierté de leur domaine-mère, un lieu de vie où la nature préservée confère toute sa richesse à chaque cuvée. ...
Le champagne est symbole de célébration, de bonheur et de la douceur de vivre à la française. Conserver l’authenticité de cette cuvée mythique relève d’un art, que le Champagne Loriot Xavier maitrise avec grande précision comme l’exige son statut de vigneron indépendant. Mieux, la maison sait réinviter en permanence sa belle collection pour être créatrice d’émotion et d’émerveillement. Conseil de dégustation L’élégance envoûtante du champagne 100S Sans Sulfites Ajoutés Extra Brut s’accorde harmonieusement avec les mets à base de poisson, de coquillages et de crustacés. Élaborée à partir d’un assemblage de chardonnay et de pinot noir, cette création atteint une symbiose parfaite entre caractère et finesse. Une attaque ronde et soyeuse succède au nez intense sur des notes de fruits blancs et de fruits secs. La fraicheur, la tension et la pureté en bouche signent la grandeur de ce champagne aux bulles vives cristallines. « Il représente vraiment l’aboutissement de notre volonté de travailler en harmonie avec l’environnement », nous confie Charlène Loriot, de la 5e génération, aujourd’hui à la tête de l’entreprise. Pour accompagner les recettes de volaille et de viande blanche, le choix s’oriente plus vers le champagne Hynoptic Brut, Brennus d’or à la Foire de Sens 2018. Cette cuvée est le fruit d’un assemblage de chardonnay, de pinot meunier et de pinot noir issus des meilleurs coteaux de la vallée de la Marne, conduits en lutte raisonnée. L’étape de la fermentation malolactique lui confère un nez subtilement grillé, tantôt mentholé, tantôt minéral, qui transite vers un arôme boisé exhalant des notes végétales. La plus sincère expression du terroir, Hypnotic Brut incarne à merveille le style de la maison : fin, intense et aérien. À déguster sur du canard à l’orange ou encore du jambon de parme et confiture de griottes. Le Fragment de Noirs du champagne Loriot Xavier s’invite au plat principal, en accompagnement de mets à base de viande rouge (petit gibier à plumes et ses cerises compotées, mignon de veau truffé cuit à la ficelle, etc.) ou de la cuisine thaïlandaise. Il est issu de la meilleure sélection de cépages noirs, dont 65 % de pinot meunier et 35 % de pinot noir. Sa robe dorée scintillante suggère un nez de fruits jaunes à pleine maturité, enveloppant un arôme de pain d’épices et de cacao. Cette belle nervosité se poursuit en bouche par une attaque souple et franche. S’enchaîne un tourbillon de palette aromatique agréablement fruitée, qui se termine en élégance sur une note de fruits secs. Au dessert, douceurs sucrées aux fruits rouges ou fromage, le domaine propose sa création Collision Meunier Rosé, en monocépage pinot meunier. Gâtés par une exposition plein sud sur un terroir crayeux, les cépages donnent cette cuvée tannique à la personnalité corsée, qui ne trahit pas à son style contemporain. Sa robe rouge saumonée surprend par la pétillance de ses bulles fines. Le nez est marqué par des arômes de violettes relevées délicatement par une note iodée. La bouche, elle, est plus tourbée, évoluant vers une douceur finement fruitée. Des cuvées uniques Au mois de septembre 2018, la maison Loriot Xavier lance son dernier-né, conçu en 100 % pinot noir. « Ce champagne sera issu exclusivement des vieilles vignes de mon arrière-grand-père », nous souffle notre interlocutrice. Une série intime au nombre très limité de 3 000 bouteilles. Pour compléter la gamme, le Blanc des Blancs Insaisissable Brut en monocépage chardonnay est également à (re)découvrir. D’une grande richesse aromatique, ce champagne enivre les palais avec subtilité et fraicheur. La bouche exprime les typicités du terroir et rappelle la parfaite maturité du cépage. À servir idéalement en apéritif ou en dégustant des beignets de légumes, des fruits de mer, des langoustines ou du filet mignon. Ce champagne est salué par les meilleurs guides de vins : Dussert Gerber 2012 (4 étoiles), Gilbert et Gaillard 2012 (...
L’aventure familiale a débuté dans les années 1860. Aujourd’hui, c’est la sixième génération, Pierre-Henry LAUGIER, qui est aux commandes. L’offre oenotouristique s’est développée au fil des années : restauration d’une Bastide pour l’accueil des hôtes, aménagement d’un Espace de réception au centre d’un parc ombragé pour recevoir évènements privés et professionnels, installation d’un vaste Musée des arts et des métiers du vin pour héberger une somptueuse collection d’objets relatifs à la vigne et au vin sous tous leurs aspects. Des vins expressifs et de caractère Notre vigneron porte haut les valeurs de la continuité familiale. « Nous sommes sur une vinification traditionnelle, nous écoutons la vigne », affirme-t-il, sans refuser les apports de la technologie. Parmi les cépages travaillés figurent en rouge et rosé la syrah et le grenache, en blanc la roussanne, le vermentino et le viognier. La vinification est orientée vers la recherche du fruit et de l’expression du terroir. Certaines cuvées sont vinifiées ou élevées en barriques afin d’obtenir des vins plus intenses en arômes destinés à une garde prolongée. Les cuvées ambassadrices 3 vins, trois façons d’exprimer le terroir. En tête de liste, le « Château Turcan », en blanc, rouge et rosé, aromatique et sur le fruit, et faisant partie des meilleures ventes. Hommage au fondateur du domaine, la cuvée « Louis Turcan » outre des rouges et des blancs intenses et capiteux, se signale par une production rare : un rosé élevé en barrique, charnu et structuré. Enfin, « L’Agitateur » en rouge et en blanc constitue la cuvée phare du domaine. Classée haut de gamme, élaborée à partir de vieilles vignes vendangées à la main, vinifié en macération carbonique et élevé 18 mois en barrique de chêne. Un vin puissant, de très longue garde, superbe et étonnant dans l’appellation. ...
Dès 1929, Emile Refouvelet développe un apéritif à base de racines de gentiane, à Riom-es-Montagnes au cœur du Parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. Dès 1930, il est commercialisé sous le nom d'Auvergne Gentiane. C’est en 1962 que naît officiellement la marque Avèze. Un processus d’élaboration authentique ... Les racines de gentiane sont récoltées entre fin mai et mi-octobre, entre 900 et 1700 mètres d’altitude. Elles sont triées puis lavées à la main. Elles sont ensuite disposées de façon inclinée pour un égouttage optimal. Après avoir été découpées en cossettes, elles subissent une macération dans de l'alcool pendant au moins neuf mois. Enfin, viennent les étapes de la filtration et l'embouteillage. Avèze est le seul apéritif auvergnat à être certifié « produit du Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne », véritable gage de qualité et d’authenticité. … pour des apéritifs au goût unique La gamme Avèze se décline en 3 variétés : 15%, 16% et 18% vol., se différenciant notamment par une note de gentiane plus ou moins intense. Toutes présentent une robe jaune d’or éclatant. Au nez, l’Avèze 15% vol. est fraîche et fruitée, en bouche sa légèreté et sa douceur contenue mettent en valeur l'amertume traditionnelle de la gentiane. Avec ses notes fruitées, l’Avèze 16% vol. a une attaque ronde et moelleuse, avec une amertume qui apparaît franchement à l'évolution et persiste en finale. Quant à l’Avèze 18% vol., elle se remarque par ses notes de gentiane plus prononcées. L'apéritif Avèze s'apprécie pur avec des glaçons, ou avec de l’eau gazeuse, du tonic ou encore du jus de fruits. Essayez par exemple l’Avèze Cassis : 5 cl d’Avèze, 2 cl de crème de cassis et des glaçons. En savoir plus à l’Espace Avèze Pour tout connaître sur l’histoire et l'élaboration des apéritifs Avèze, rendez-vous à l’Espace Avèze toute l’année sur réservation. Cet espace gratuit présente les 500 espèces de gentiane et l’histoire du volcan cantalien. Une dégustation gratuite d’Avèze est proposée aux visiteurs majeurs. ...
Sur les 25 hectares du Domaine Terra di Catoni, 10 sont réservés à la vigne. Vermentino, Sauvignon et Sciaccarellu y prospèrent à flanc de montagne et profitent d’un ensoleillement maximal. Grâce aux brises maritimes de cette région, les vignes sont préservées des maladies habituelles et les raisins bénéficient d’une qualité phytosanitaire exceptionnelle. Des vins blancs et rosés originaux Le Domaine Terra di Catoni est la seule exploitation viticole en Corse à proposer un pur Sauvignon, un vin blanc sec et plein de fraicheur, très légèrement iodé, un vin pour accompagner vos repas de fruits de mer ou de crustacés. Il produit un autre vin blanc issu de l’assemblage de sauvignon et de vermentino pour un vin très aromatique aux notes subtilement florales, un vin très sec qui se marie parfaitement avec les poissons ou les viandes blanches. Pour son vin rosé, le Domaine a choisi de le créer à partir de Sciaccarrellu, ce cépage typiquement corse qui développe des arômes de fruits rouges, légèrement épicés, un vin qui sera parfait pour vos repas estivaux. Le domaine produit chaque année entre 12.000 et 15.000 bouteilles. La découverte du Domaine N’hésitez pas à venir découvrir le Domaine Terra di Catoni et ses terres surplombant le mer Tyrrhénienne. Vous découvrirez le soin apporté aux vignes tout au long de l’année et l’élaboration technique des vins. Vous pourrez y déguster ces vins créés avec passion et délicatesse mais aussi découvrir les huiles d’olives produites sur ce même domaine. Vous pourrez retrouver ces vins dans de nombreux restaurants de l’ile, des vins qui s’accordent à merveille avec les spécialités corses. ...
Créée en 1951 par ses fondateurs M. Lucien Vitteaut et son épouse Maria, née Alberti, la maison Vitteaut-Alberti ne cesse de s’agrandir au fil des années afin de maintenir la qualité et la richesse de ses cuvées. Elle exploite aujourd’hui 23 hectares de vignes réparties sur la côte de Beaune et les hautes-côtes de Beaune ainsi que sur la côte chalonnaise entre les villages de Rully et Mercurey. L’ensemble de ses vignes est cultivé selon le principe d’une lutte raisonnée, dans le plus grand respect du sol et de l’environnement. Par ailleurs, depuis trois générations, le domaine familial travaille le crémant de Bourgogne suivant la méthode traditionnelle, une technique presque similaire à la méthode champenoise sauf que 100 % du cépage utilisé doit provenir du sol bourguignon et que l’élevage se fait sur 12 mois et non sur 15 mois. Crémant de Bourgogne : la combinaison parfaite Chardonnay, pinot noir, aligoté sont les cépages de prédilection de la Maison Vitteaut Alberti. « Ce sont des cépages qui permettent d’obtenir des produits très frais, très subtils en termes d’arômes », souligne Sandie Deboissy, la responsable commerciale et marketing du domaine. Pour élaborer un crémant de Bourgogne, 80 % de chardonnay et 20 % d’aligoté en provenance de la côte chalonnaise et de la côte de Beaune sont nécessaires. À la clé : un produit frais et raffiné qui séduit de plus en plus de monde. « Aujourd’hui le crémant de Bourgogne connaît une croissance incroyable. Les gens ne le consomment pas uniquement lors d’occasions particulières mais, à tout moment, en apéritif, durant les repas », tient à préciser notre interlocutrice. Sa vinification se fait par « méthode traditionnelle » et c’est tout un art dont la maison Vitteaut-Alberti est fière d’en être la gardienne. Ce savoir-faire particulier lui a permis de rafler des récompenses dans des concours régionaux et nationaux : 1er prix au concours de vin de la côte chalonnaise 2017, coup de cœur Guide Hachette des vins 2014, sélection dans Cuisine et Vins de France Décembre 2013. Un nouveau style, le même esprit Le domaine propose une gamme de produits bien fournie : des crémants, des mousseux et récemment des cuvées spéciales. Parmi ses produits phares figure la cuvée Agnès. Elle a été introduite en 2006 et rend hommage à l’arrivée de la 3e génération, Agnès Vitteaut, qui a repris le domaine. La cuvée est élaborée uniquement à partir de la meilleure sélection de chardonnay de la côte chalonnaise et de la côte de Beaune. Elle est ensuite élevée jusqu’à 36 mois pour obtenir une complexité aromatique incroyable : côté vineux, une belle longueur en bouche, finesse de bulles. Désireux de parfaire sa collection, et surtout de raconter son histoire, le domaine prévoit de lancer chaque année une marque de cuvée spéciale. Pour cette année, il a concocté la cuvée Dentelle: « Un packaging original, fait main et tout peint sur la bouteille, 100 % chardonnay, cuvée très élégante, beaucoup de finesse, de légèreté, dans laquelle on ne prend que les premiers jus de presse, les plus fins », célèbre Sandie Deboissy. Elle ne sera commercialisée qu’au nombre de 4 200 bouteilles et sera spécialement réservée aux clients restreints du caveau. Car même si la production de la maison Vitteaut-Alberti atteint les 500 000 bouteilles par an, elle est avant tout un domaine familial qui souhaite préserver son intimité avec ses clients. Elle insiste pour offrir un accueil chaleureux et personnalisé à chacun de ses convives. ...
Rachetée en 1964 par le chef étoilé au Guide Michelin Arthur Keller, cette guinguette du bord de Marne au nom très évocateur est aujourd’hui un lieu de charme et d’exception, absolument à découvrir. Baignant dans une atmosphère moderne et épurée avec des tables non nappées en bois massif, l’Hôtel Restaurant Le Quincangrogne, récemment affilié aux Logis de France, offre une agréable vue sur la Marne. Dans un concept particulièrement convivial, sa cuisine ouverte sur une verrière de 4 m de long permet par ailleurs une vue générale sur ce qui se passe derrière les fourneaux, sans parler de son immense plateau de fromages et de son imposante cheminée. À travers une cuisine gastronomique empreinte d’une touche méditerranéenne et de subtilités asiatiques et qui privilégie les produits régionaux, Le Quincangrogne séduit par la diversité de ses plats qui sont, par ailleurs, de véritables découvertes culinaires. Des plats inventifs Démarrez les hostilités avec sa délicieuse entrée d’escargots de la ferme de Pamfou flambés à l’anis, accompagnés d’une émulsion lactée de noisettes de la Ferme de Férolles (Seine-et-Marne). Continuez avec son cochon de la ferme d’Aubetin, à Dagny (Seine-et-Marne), frotté à la fleur de sel et confit pendant 14 heures, accompagné d’un beurre mousseux demi-sel, avant de terminer avec sa clémentine confite dans son jus, meringuée, accompagnée de son sorbet relevé à la bergamote. Pour accompagner chacun de vos repas, la carte des vins du Quincangrogne est riche en surprises. Elle vous permet un excellent choix parmi de nombreuses références de vins typiquement français, dont les plus appréciés sont le Beaune 1er cru du Domaine Berthelemot ou le Clos des Mouches et le Condrieu de chez Robert Niero. ...
La qualité des agneaux produits par les 56 membres de l’association Elovel a été authentifiée à travers l’IGP (indication géographique protégée) en 2008. « Ce signe d’identification européenne est une reconnaissance importante qui promet aux consommateurs une viande de gamme supérieure », se félicite Olivier Maurin, président de l’association. Une procédure de qualité Afin d’atteindre cette excellence, les 56 éleveurs actuellement membres d’Elovel s’engagent à respecter rigoureusement l’intégralité des démarches stipulées dans un cahier des charges. Ils doivent entreprendre leurs activités en suivant des conditions précises, notamment le choix de la race des brebis (BMC ou blanche de Lozère), le territoire d’élevage et d’abattage, qui n’est autre que le territoire de naissance des agneaux (département de la Lozère et communes limitrophes du département : Haute-Loire, Cantal) ou encore les modes d’élevage. « Les brebis doivent être nourries uniquement avec les produits de la ferme, les fourrages et les céréales de l’exploitation. L’agneau doit avoir tété sa mère jusqu’à l’abattage, peser au maximum 19 kg et ne doit dépasser 130 jours », explique Olivier Maurin. Distribué directement dans plusieurs boucheries traditionnelles et des restaurants de haut de gamme, l’agneau de Lozère IGP bénéficie aussi d’une traçabilité et d’une fraicheur exemplaires. Une qualité confirmée, un délice garanti L’association Elovel a pensé à tout et tout le monde ! Elle a élaboré un livre de 12 recettes spécifiques à chaque morceau de l’agneau (avec le vin qui s’y accorde en prime). Les amateurs de cuisine peuvent ainsi jouir de la tendresse et de la saveur de cette viande d’exception. Sinon, ils peuvent aussi s’inspirer des succulentes recettes concoctées par les grands chefs prônant la viande agneau de Lozère IGP. Le chef du restaurant parisien Le Clou de la fourchette Pierre Joseph nous met l’eau à la bouche à travers sa recette d'épaule d'agneau de Lozère aux épices et sa bohémienne d'aubergines. Le carré d’agneau de Lozère rôti avec sa purée d’aubergine fumée, pois chiche et couscous du chef José Manuel Miguel au restaurant Goust, sis la rive droite, est également un pur régal. ...
Situés au cœur de Paris, à deux pas de la Comédie-Française, du Louvre, des jardins du Palais-Royal et des Tuileries, les restaurants Vin & Marée Saint-Honoré et Saint-Lazare vous accueillent pour un déjeuner ou un dîner après un spectacle à l’Opéra. Les restaurants ouvrent leurs portes tous les jours dès 11 h 30. Il est possible de venir s’y restaurer jusqu’à 00 h 30. Une cuisine raffinée Les restaurants Vin & Marée sont des restaurants gastronomiques spécialisés en fruits de mer et poissons nobles. Vous pourrez y déguster une grande variété de poissons : sole, turbot, homard bleu, saint-pierre, bar ou daurade royale, tous accompagnés d’une authentique purée de rattes à l’huile d’olive. Mais les amateurs de viande ne sont pas oubliés. Ils pourront par exemple savourer un succulent carré d’agneau parfumé au thym. Les plus gourmands ne manqueront pas l’incontournable baba au rhum en dessert. Ces belles adresses sont reconnues par la fraîcheur de leurs produits et la générosité de leurs plats. Des restaurants et des chefs qui vous assurent une table appétissante dans un décor raffiné sans être pour autant guindé. Une belle palette de vins Pour accompagner votre repas, dégustez des champagnes Grands crus, blancs de Blancs millésimés et des vins de Loire, Bourgogne, Grands bordeaux. Vous pourrez également vous laisser surprendre par les suggestions. ...
Chaque jour, en salle ou en terrasse, ce repaire d’amateurs de grillades ou de cassoulet célèbre dans la bonne humeur l’art de la bonne bouffe où la viande est consacrée reine. Au Chevillard, que la fête commence ! Au menu de ce bistro, des spécialités issus de nos terroirs composés de beaux produits uniquement. Une cuisine traditionnelle mijotée avec amour, faite de passion et revisitée grâce au savoir-faire du chef Olivier Ribourt. À la direction de ce restaurant, Laurent Perris, digne successeur de son beau-père Tony Carmen, qui perpétue cet héritage unique pour le plus grand bonheur de ses clients et des nostalgiques des Halles d’autrefois. D’authentiques produits Bœuf de Simmental, agneau du Lot, viandes de l’Aveyron, canards de la Maison Samaran, charcuteries, saucisses de Toulouse, jambons, boudins, Pata Negra de Bellota Pura de l’artisan-charcutier Garcia, sélection du fromager-affineur de la célèbre Maison Betty à Toulouse. On l’aura compris, Le Chevillard est à la quête de produits d’exception et des meilleures adresses que compte la ville rose. Cet établissement, devenu la cantine de prédilection des Toulousains, propose midi et soir une sélection des meilleurs produits gourmands de nos terroirs. Labellisé « Maitre restaurateur », distinction indépendante et très officielle permettant aux clients de repérer les établissements d’excellence, Le Chevillard rend hommage aux produits nobles, frais et de saison, au manger local privilégiant les circuits courts et surtout à une cuisine du tout fait maison. Une tradition, un esprit, un savoir-faire perpétués maintenant depuis plus de 20 ans par ce restaurant. La viande à l’honneur À la lecture de la carte, les spécialités du chef sont nombreuses. En entrées, la salade de pot-au-feu au gros sel, un des plats signatures de la maison, ouvre l’appétit et semble faire l’unanimité ; ou bien encore les filets de rougets frais à l’huile d’olive ou les sardines marinées aux poivrons rouges feront l’affaire. Parmi les suggestions « canailles du Chevillard » : une poêlée de boudin à l’oignon accompagnée de pommes vapeur ; une cassolette d’andouillette à l’ancienne, dont la cuisson colorée et déglacée au vin blanc avec justesse est servie accompagnée d’une sauce moutarde à l’ancienne, le tout légèrement gratiné. Pour les plats, c’est la viande qui est à l’honneur. La maison Chevillard propose une variété de viandes de qualité gouteuses, persillées, sélectionnées et travaillées avec soin par le chef. Ici, les cuissons sont au charbon de bois. En bouche, la viande au grain fin et à la chair rose offre toute sa jutosité et livre toutes ses saveurs aromatiques. Grillades d’agneau du Lot, pièces de bœuf de Simmental ou de l’Aveyron, abats avec rognons ou pavé de foie de veau au xérès ou au marsala sont proposés pour les amateurs éclairés de bonnes viandes. À découvrir également, dans la catégorie des « gourmandises du Chevillard » des spécialités incontournables propres à Toulouse comme le cassoulet maison aux manchons de canard ou, pour 2 personnes, la côte de bœuf sauce marchand de vin et sel de Guérande : un classique mais un pur régal. Côté desserts, il faut absolument compter sur le fromage du jour sélectionné avec soin par le célébre fromager-affineur Betty. Cet établissement travaille depuis des années en étroite collaboration avec le Chevillard. Également, le vacherin fait maison à base de meringue fourrée de glace masqué de crème chantilly accompagné, suivant l’humeur du chef, de fruits confits et d’un coulis de framboise ou de fraise est un choix judicieux pour finir sur une note sucrée. Outre la carte, l’établissement propose deux formules. Un menu à 24 € avec entrée, plat et dessert ou une formule du midi à 15 € avec un plat et une entrée ou un dessert. Des formules simples, abordables et de qualité, qui font tout le succès de cette brasserie devenue l’adresse incontournable sur Toulouse pour déjeuner ou diner entre amis en toute convivialit&ea...
Flash Matin : Bonjour Loïc ! Loïc Manchec : Bonjour. Vous êtes Loïc, l’heureux propriétaire du Mas Costeplane, un domaine viticole à Cannes-et-Clairan, dans le Gard. Vous pratiquez l’agriculture biodynamique. On dit que vous êtes un jeune vigneron, c’est vrai cela ? Loïc Manchec : Je suis un jeune vigneron. Jeune dans l’expérience mais, un peu moins dans l’âge. C’est une reconversion pour moi le métier de vigneron. J’ai repris le domaine Costeplane il y a maintenant 5 ans. C’est un choix qui a été fait, une reconversion. Cela faisait 15 ans que j’avais envie de faire ce métier et à un moment, j’ai fait le saut et je suis venu m’installer dans le Mas Costeplane. Votre domaine a une histoire longue de plus de 600 ans. Pouvez-vous nous en parler ? LM : Comme je vous l’ai dit, j’ai repris le Mas Costeplane il y a 5 ans. Ce sont Monsieur et Madame Coste qui l’ont hérité de leur famille. Le domaine est dans leur famille depuis au moins 1405 -1450, c’était tracé. Après une trentaine d’années d’exploitation du domaine et d’avoir installé la cave particulière, ils souhaitaient prendre leur retraite. On s’est rencontré et on s’est bien entendu. On a passé pas mal de temps ensemble avant que je reprenne leur domaine il y a maintenant 5 ans. L’une des grandes particularités est que le domaine est fait en Bio depuis 1989. C’était vraiment parmi les précurseurs du bio. On est sur un petit plateau au-dessus de Cannes-et-Clairon, un petit village dans le Gard. Il n’y a pas de voisins, on est entouré par la Garrigue, le premier voisin est à 2 km. On n’a pas eu de pesticide depuis 1980, cela fait quasiment 40 ans. On a une biodiversité de terre qui est extraordinaire, mais on y reviendra je pense plus tard. Oui, donc vous disposez d’une terre qui se prête vraiment bien à l’agriculture biodynamique. On se demande d’où vient la biodynamie et ce que c’est exactement ? LM : Le concept est développé par Rudolf Steiner, un philosophe autrichien, au début du XXe siècle. Il a une approche un peu plus ésotérique, en relation avec le cosmos. C’est une relation personnelle après, on applique des principes. Je ne comprends pas forcément tout ce que Rudolf Steiner a pu expliquer, tout ce qu’il a pu décrire. Ce qui est sûr aujourd’hui, c’est qu’on commence à trouver les explications à ce qu’il disait et c’est un petit peu un visionnaire. On va retrouver quelque chose qui peut paraître parfois ésotérique et on en prend ce qu’on veut. Pour moi, c’est une approche très personnelle. La biodynamie est une approche en symbiose avec la nature. Au lieu d’une approche, ou l’on détruit ce qui dérange, ou l’on exploite au maximum et qu’on pilote les processus par l’utilisation d’artifice chimique, nous, notre approche viticole et vinicole en biodynamie est de travailler dans le respect du vivant, dans la confiance qu’on a dans la nature et dans l’accompagnement de la plante. J’ai une formation d’ingénieur à la base, je suis quelqu’un d’extrêmement rationnel et j’ai compris une chose en arrivant à Costeplane. En fait, il est illusoire de penser qu’on peut tout maîtriser. Ma relation va beaucoup se fonder sur une espèce d’intuition. Quand je marche dans mes vignes, si je vous disais que je parle à mes vignes et que je les écoute, cela va vous faire sourire. Pourtant, c’est vraiment quelque chose que je ressens. À partir de là, je vais prendre une décision et non pas forcément sur des informations techniques. Évidemment, je reçois les bulletins de santé des végétaux comme tous vignerons et derrière, cela ne veut pas dire que je vais passer les préparations. Je vais prendre ma décision en fonction de ce que je perçois de la vie, et ce n’est pas quelque chose de rationnel. Je ressens des vibrations en moi qui vont me dire, j’y vais ou je n’y vais pas. Jusqu’à présent cela marche. Le meilleur exemple que je vais prendre c’était en 2019, ma première année, je me lève un matin à 6h du matin pour aller poudrer les vignes, c’est-à-dire passer du soufre pour empêcher l’oïdium de se d&ea...
S’alimenter autrement L’ANCF regroupe près de 250 adhérents chaque année, tous paysans producteurs fermiers et qui produisent dans leurs fermes à taille humaine une variété presque infinie de saveurs. De la viande de bison de Matthieu Peron, aux saucissons de canard d’Eric Degert, en passant par le caviar de colza de Marie-Thé Laluque, les moules de Bouzigues de Jean-Christophe Renault ou la spiruline de Dominique Guérin, impossible de ne pas trouver lors de ces salons et marchés Pari Fermier organisés chaque année en région parisienne son choix de produits frais et savoureux. Sur le terrain, une équipe composée de trois personnes, avec, toujours en tête et pour unique objectif : organiser ses événements qui assurent la valorisation d’un monde paysan où les circuits courts et la vente directe sont rois. Et qui de mieux placée qu’une association composée d’agriculteurs pour assurer la promotion de ces manifestations ? Ils savent de quoi ils parlent ! Des savoir-faire inégalables Pour participer à un Pari Fermier, chaque paysan producteur fermier doit, en fonction de son activité et dans la mesure du possible, produire sa matière première, élever ses animaux, transformer ses produits et les proposer en vente directe. Il leur faut donc respecter cette « charte », qui vient garantir une qualité exceptionnelle à tous les produits proposés sur les manifestations. Authenticité, savoir-faire et traçabilité, telles sont les valeurs véhiculées par les agriculteurs de l’association, aux antipodes de la fabrication de masse et de la grande distribution. Ici les hommes et femmes travaillent dans une perspective d’agriculture durable et respectueuse de l’environnement, toujours dans l’amour de leur métier, afin de satisfaire la confiance du consommateur. Les manifestations Pari Fermier : des idées de sorties gourmandes et originales Les Pari fermier attirent toujours davantage grâce à un réseau de confiance profondément ancré dans le terroir français, aussi vaste que diversifié : les 13 régions françaises sont représentées, de la Corse aux DOM-TOM en passant par la Normandie. Chacun de ces évènements est inscrit comme un rendez-vous familial et convivial dans les agendas de ceux qui ont à cœur d’avoir une alimentation riche, saine et harmonieuse. Pour se rapprocher toujours plus du consommateur, de nombreux producteurs proposent sur chaque événement des idées de recettes à déguster, des vins à apprécier et des plats à consommer sur place. Et ils ne manquent pas, quand ils en ont l’occasion, de délivrer de petites interviews authentiques retransmises sur les réseaux sociaux. Venir à Pari Fermier c'est la recette idéale pour découvrir ou redécouvrir en famille les saveurs de nos campagnes françaises et les paysans qui les cultivent. ...
Le Café de l’Homme a rouvert ses portes en décembre 2015 après cinq ans de travaux. Imaginée par les architectes d’intérieur Gilles & Boissier, la décoration dévoile un style Art déco dans le même esprit que le Palais de Chaillot. Tables en marbre, matières minérales et végétales, tout a été pensé pour vous offrir une ambiance magique. Les six mètres sous-plafond et les jeux de lumière créés par Alain Guilhot donnent une dimension exceptionnelle au lieu. Pour la terrasse de 300 m², avec sa vue exceptionnelle sur le Champ-de-Mars et la tour Eiffel, tables en granit et sièges en rotin ont été privilégiés pour vous faire profiter pleinement de l’espace extérieur et des rayons du soleil. Vous pourrez également découvrir la mezzanine, un espace plus intimiste pour seize personnes. L’offre culinaire Le chef étoilé du 39V, Frédéric Vardon, propose une carte où les produits de saison sont mis à l’honneur. Vous y trouverez des recettes classiques de la cuisine française délicieusement revisitées, mais aussi quelques plats inspirés par les autres continents. La carte est renouvelée au gré des saisons. Elle permet également de découvrir le travail d’artisans en mettant à l’honneur un de leurs plats. Si vous êtes amateur de vins, vous parcourrez avec envie la carte et ses 200 vins et flacons d’exception. Vous pourrez demander conseil à l’équipe en salle pour dénicher la pépite qui accompagnera au mieux votre repas. ...
Rendez-vous incontournable des amoureux de mélanges culinaires, Le Petit Manoir allie savamment gastronomie périgourdine et asiatique. Les délices du terroir agrémentés d’une touche vietnamienne y sont appréciés dans un cadre exceptionnel et enchanteur alliant ère médiévale et subtile modernité. La cuisine Périgord-Asie dans toute sa splendeur Au Petit Manoir, les produits faisant la renommée du Périgord sont mis en avant avec un subtil zeste vietnamien. Les recettes locales et la tradition culinaire sont remises aux goûts de l’Asie avec, à la clé, un harmonieux mélange de succulences gastronomiques d’ici et d’ailleurs. Truffes, canards et épicerie fine trouvent ici une alliance de prédilection dans des assiettes sublimes en bouche et appelant au régal. Découvrez cette singularité en dégustant une brioche de curé, suivie d’un magret cinq parfums et d’une gourmandise au chocolat et aux marrons, dans l’une des deux salles rustiques ou à l’ombre de la terrasse, tous propices à la détente. La fusion culinaire pour tous Enfants, végétariens, fins gourmets : tous trouveront leur bonheur gustatif dans cette table riche de ses diversités. Dans ce lieu dont l’art est reconnu par le Collège culinaire de France, la fusion est l’affaire délicieuse de tous les hôtes qui souhaitent découvrir une tradition revisitée à la manière originale d’un chef vietnamien. Chaque instant de plaisir qui en découlera sera accompagné d’un vin de Bordeaux ou d’un vin local issu d’une cave riche d’une centaine de références. ...
Niché au cœur de la Baie de Cannes, le restaurant L’Oasis scintille de 2 étoiles au firmament du Guide Michelin depuis 1992, année où le Chef Stéphane Raimbault tire l’ancienne maison de Louis Outhier d’un sommeil de trois ans. Institution azuréenne, elle est connue pour son patio signature. A l’ombre de platanes centenaires, les tables se faufilent dans une végétation luxuriante, prêtes à recevoir une cuisine vraie, à la croisée de l’Orient et de l’Occident. En effet, le Chef a passé 9 années au Japon. C’est ainsi que Le Pays du Soleil Levant trouve place à la carte, aux côtés de spécialités issues de la grande tradition culinaire française et de mets qui rendent hommage au terroir, à notre belle Méditerranée. Cuisine fusion ? Loin d’être l’effet de quelque mode, elle est simplement le reflet du parcours de Stéphane Raimbault qui, porté par les saveurs asiatiques de son passé, ancre sa cuisine ici, sur une Côte d’Azur devenue terre d’adoption. Une aventure gastronomique Parce qu’il est attaché à ce pays, le Chef a récemment scellé une alliance avec un voisin prestigieux, le Domaine de Barbossi : un golf, un domaine viticole, une production d’huile d’olive et de miel, une maison de chasse… autant d’atouts pour vivre en synergie une véritable aventure gastronomique ! Outre ces diverses activités, dont le restaurant étoilé est la clé de voûte, il y a aussi la prestation hôtelière. A quelques pas de là, toujours à La Napoule, se tient une belle demeure provençale aux ocres jaunes et orangés, L’Ermitage du Riou, où Stéphane Raimbault vous ouvre les portes de son bistrot. Plats canailles, joyeux et authentiques se pressent dans la chaleureuse salle à manger ou sur la terrasse en bord de rivière, vue golf et mer. Le bistrot bénéficie d’une forte connotation sommelière, encouragée par le Chef Sommelier du restaurant étoilé et M.O.F. 2015, Pascal Paulze. ...
Située à Mont de Bonneil dans le département de l’Aisne, l’exploitation d’Emmanuel Boucant s’étend sur 7 hectares, plantés majoritairement en Pinot Meunier, mais aussi en Pinot noir et en Chardonnay. Ses vignes bénéficient d’une orientation plein sud pour un maximum d’ensoleillement et d’un sol argilo-calcaire qui apporte une belle minéralité aux vins. Champagne Emmanuel Boucant : une viticulture raisonnée Pour l’entretien de ses vignes, Emmanuel a adopté une viticulture raisonnée tout en respectant la tradition et l’environnement. Il espère que dans 3 ans il pourra se tourner vers des traitements entièrement bio avec l’utilisation de plantes ou d’huiles essentielles, dont il expérimente actuellement l’efficacité sur de petites parcelles. Des champagnes haut de gamme à découvrir Emmanuel Boucant travaille l’assemblage de ses différents cépages pour obtenir des champagnes représentatifs du terroir, avec des arômes délicatement fruités, une odeur toastée et une bonne longueur en bouche. C’est dans cet esprit qu’il a créé par exemple le champagne Bohême, un champagne rosé présentant des notes sucrées d’agrumes, ou le champagne Emmanuel Boucant, un champagne vieilli 5 ans en cave et qui se distingue par des arômes étonnants. Bientôt 2 nouvelles cuvées feront pétiller vos papilles : un champagne blanc issu d’un assemblage 100% Pinot Meunier ainsi qu’un Rosé de saignée, un champagne rosé 100% Pinot Meunier millésimé 2013, fruit d’un travail minutieux. Mais Emmanuel a également d’autres millésimes en stock qui vont venir compléter sa gamme de champagnes. Les champagnes Fantaisie sont tous conçus pour vous accompagner lors de vos événements festifs. ...
L’idée de Petit Déjeuner étoilé apparaît en esquisse dans l’esprit de la fondatrice après une longue collaboration en 2014 avec le chef du plaza athénée. Son créneau était alors les cadeaux sur mesure. En rencontrant l’illustre Christophe Michalak, le concept prend forme. Proposer à la fois le goût exquis d'un chef, associé au chic d'un coffret de luxe, des produits frais et de grande Qualité le tout pour créer un moment conviviale et de bien être au bureau ou à la maison. Un cadeau pour démarrer sa journée... Des formules au choix pour démarrer du bon pied Aujourd’hui, Petit Déjeuner étoilé propose trois formules, une sous coffret individuel de luxe, l'autre en partage sur un plateau et enfin la formule sans packaging avec ou sans abonnement. « La première (formule) que nous avons créée, se présentait et se présente toujours sous forme de coffrets individuels à composer selon ses goûts, avec des pièces signés par nos chefs, dont quatre créations sucrés et une salée », précise le co-fondateur de la marque, Gary. Thé, café et jus d’orange complètent bien sûr ce petit déjeuner que le client va pouvoir composer à sa guise. Ensuite, pour répondre à des besoins de plus en plus spécifiques et variés, l’enseigne a développé une formule à la carte (sans packaging). Ici, les viennoiseries arrivent chez le client sous forme de plateau ou en vrac. Au choix, les créations sucrées – viennoiseries et autres gourmandises – des deux chefs actuels (christophe michalak et Philippe Conticini) qui collaborent avec la marque. Dans cette catégorie, tout est possible. L'on peut choisir entre différents pains – seigle, céréales, de campagne –, du cake ou de la madeleine. Panna cotta, salades de fruits de saison en verrines et fruits frais en damiers figurent également dans la carte qui se veut adaptée aux personnes recherchant des idées de petit déjeuner healthy. Plutôt salé ? Le client peut commencer sa journée avec les sélections de mini-sandwichs. Une partition pour deux chefs Si vous êtes plus nombreux, Petit déjeuner étoilé propose également de se retrouver pour un démarrage en toute convivialité grâce à la formule buffet. Un service proposé sur devis et déployé avec les dispositifs adéquats – argenterie, porcelaines, personnel est mis à votre disposition. Dans tous les cas, les offres de la marque ont été amoureusement concoctées par deux chefs de renom : Christophe Michalak et Philippe Conticini. Le premier signe, par exemple, la « Cassolette de pain perdu revisité ». Une "brioche perdue" que le pâtissier agrémente d’une crème à la vanille Bourbon. La préparation est ensuite caramélisée et grillée. Âme d’enfant retrouvée également avec le « Sablé gianduja noisettes » où le nappage gourmand donne un caractère à part au croustillant d’une pâte sablée parfaite. ...
Moins sucrés qu’un soda et plus savoureux que de l’eau : testez la kombucha 100% naturelle de Jubiles. La Kombucha : la nouvelle boisson tendance Aujourd’hui, quand vous ne voulez pas boire d’alcool, vous avez le choix entre des boissons (trop ?) sucrées ou de l’eau. La kombucha se positionne parfaitement entre ces deux catégories ! Originaire de Chine et consommée là-bas depuis des milliers d’années, vous découvrez une boisson naturelle qui s’obtient à partir de fermentation de thé au moyen de souches de kombucha. Jubiles les aromatise ensuite avec des jus frais réalisés dans son atelier afin de proposer des recettes aussi légères que succulentes. Par exemple : thé noir citron vert menthe, thé vert pomme curcuma et thé vert citron gingembre. Légèrement pétillante et réputée pour fournir de nombreux bienfaits au corps humain (renforcement du système immunitaire, amélioration de la digestion, effet anti-inflammatoire, etc.), elle répond aux besoins et envies de tout le monde. Mais ce n’est pas tout ! Car Jubiles propose aussi des jus de fruits et de légumes bio conservés dans des bouteilles bio dégradables (fabriquées à partir de résidus de canne à sucre). Pour essayer, rendez-vous dans un magasin bio près de chez vous (toutes les adresses sont sur le site) et achetez votre boisson en format snack de 25 cl ou en bouteille de 75 cl. Jubiles : une jeune entreprise éco-responsable La création de Jubiles remonte à 2017. À l’origine du projet, 4 personnes : Alexandre, Claire, Antoine et François. Comment leur est venue l’idée de cette boisson ? Ce sont les problèmes de santé d’Alice, la mère d’Antoine, qui sont à la base de tout. En effet, pour dépasser cette épreuve, celle-ci a modifié ses habitudes alimentaires et s’est mise à consommer quotidiennement des boissons brutes qu’elle réalisait elle-même telle que la Kombucha. Et les résultats furent surprenants. Le quatuor décida donc de passer à l’étape supérieure en proposant cette boisson au grand public tout en sensibilisant à l’impact d’une bonne alimentation sur la santé. Mais, là où le petit groupe innove, c’est dans leur charte qualité. Proposée en toute transparence sur leur site, on observe que chaque étape de production est pensée pour avoir un impact minimal sur l’environnement. Du procédé de fabrication utilisant des ingrédients biologiques de première qualité à la distribution en voiture électrique : tout est réfléchi en amont pour garantir un processus le plus durable possible. A ce titre, Jubiles met actuellement en place une démarche RSE afin d’obtenir l’agrément Bio ED (Bio entreprise durable) mis en place par le Synabio. Prochaine étape de l’entreprise : multiplier les partenariats et, surtout, approfondir la connaissance et le procédé de la Kombucha en s’impliquant dans un programme de recherche. ...
Promotion des produits du terroir, authenticité, originalité, cuisine maison à des prix abordables. C’est en cela que ce restaurant s’affiche comme une alternative à l’existant… Et pour atténuer les effets négatifs des dispositions calamiteuses imposées par les instances en charge du projet de requalification de l’accueil, l’établissement offre entre autres à ses clients le stationnement gratuit sur son parking privé : bienvenue au Mont Saint Michel ! Rétablir la réputation du mont Saint-Michel et de sa baie Au lieu d’une retraite bien méritée, Joël Lerognon, ancien maire de la ville voisine, ingénieur et ancien chef d’entreprise, enfant du pays, ne pouvait se résoudre à voir l’image du Mont écornée aussi bien par les dispositions prises par les instances publiques que par certains comportements des acteurs économiques locaux. Malgré l’attractivité présentée par les nouveaux ouvrages, réalisés dans le cadre du grand projet, remarquables par leur conception et leur gigantisme aux conséquences encourageantes sur le retour de l’insularité du Mont, la fréquentation des visiteurs est descendue à environ 2.300.000 visiteurs par an à comparer aux 3.200.000 d’avant les travaux et des 4.200.000 prévus à l’époque pour l’horizon 2015 ! Ces chiffres attestent d’une situation dont n’ont pas pris la mesure les responsables évoqués précédemment. Cette situation est d’autant plus regrettable que la réalisation du grand projet de rétablissement du caractère maritime, justifiée par près de 2 siècles d’erreurs de l’homme jouant l’apprenti sorcier, suivis d’un siècle d’études, d’essais de controverses pour aboutir à un projet d’équilibre et respectueux de la nature, conduit à un chantier de plus de 20 ans, véritable prouesse de nos architectes et ingénieurs. Il n’est pas présomptueux d’avancer que par son ampleur et sa qualité technique et architecturale , cet ensemble d’ouvrages s’inscrit dans la continuité de l’œuvre des moines bâtisseurs du moyen âge. On regrettera d’autant plus que les errements évoqués précédemment aient écorné l’aura du Mont et nuisent à l’économie locale. S’ajoutent à ce handicap, les innombrables entraves à l’action de ceux qui veulent entreprendre et sortir de la banalité. La faute suprême étant la réussite quant elle apparait à l’horizon…. Voici le contexte dans lequel le fondateur de la Ferme St Michel a voulu procurer aux pélerins et touristes venant au Mont quelques moments de détente, de plaisir et de découverte. Ce projet il l’a réalisé, entouré d’une équipe passionnée et professionnelle, à laquelle il fixa le challenge de se placer en tête des établissements locaux. L’avenir confirmera ce pari ambitieux. Pour y parvenir, partant d’une ruine située à l’arrivée au Mont, une ancienne ferme des polders fut entièrement rénovée, faîte de pierres apparentes, de boiseries anciennes, d’une charpente cathédrale, d’ une imposante cheminée et d’ un four à pain. L’ensemble de 4 salles d’une capacité de 200 convives constitue également une exposition permanente de tableaux, dessins et sculptures d’artistes de la famille. La cuisine met en valeur des plats spécifiques à la baie, aux polders : le véritable agneau de pré salé, les carottes des polders, les pommes du verger familial, les moules et huitres de la baie et bien d’autres …. Une clientèle très large se constitue mais exclusivement par la réputation acquise et le classement des guides : TRIP ADVISOR, la Fourchette, Michelin et bien sur le bouche à oreille compensant l’absence quasi-totale de la clientèle de passage suite à l’occultation par des rideaux d’arbres, imposés par les instances en charge de l’urbanisme local. S’ajoutent des mesures discriminatoires telles la fameuse barrière fable du site à travers le monde. La Ferme St Michel contribue chaque jour à redon...
Jean-François Réaud se lance dans l’aventure de la vitiviniculture en 1985. Passionné et déterminé, il agrandit progressivement l’exploitation familiale qui était à la base un vignoble de 7 ha, hérité de son arrière-arrière-grand-père Gabriel Bruneteau. À la fin des années 1990, Jean-François Réaud développe un partenariat avec des domaines voisins, afin de faciliter la commercialisation et la valorisation des vins de la Rive droite. Cette « entraide viticole » se structure et devient Vignobles Gabriel & Co, un collectif qui compte désormais 34 vignerons. Cet effectif représente plus de 1 000 ha de vignes situées majoritairement sur l’appellation Côtes de Bordeaux. Une activité fondée sur trois modèles spécifiques Dans un premier temps, il s’agit de regrouper vignerons récoltants, vignerons indépendants, producteurs et commerçants afin de faciliter la commercialisation des vins. Ce mode de coopération crée également des avantages collectifs fondés sur des échanges de services ou l’acquisition de biens en commun. Le deuxième modèle ayant inspiré Vignobles Gabriel & Co est celui du système des coopératives. Il sert notamment à « défendre les valeurs des vignerons et promouvoir la qualité de leur travail », selon les termes de Jean-François Réaud. Quant au dernier modèle, il s’approprie les principes du négoce. « Vignobles Gabriel & Co a une position de négociant dans la mesure où le collectif achète des vins pour les revendre. C’est une façon de préserver un juste rapport qualité-prix, sachant que, jusqu’alors, à Bordeaux, le prix, qui doit être relié à la qualité du produit, dépendait plutôt du marché, de la spéculation ainsi que de l’offre et de la demande », souligne fermement notre interlocuteur. Une quête d’excellence Le vigneron défend ardemment les principes d’une démarche respectueuse de l’environnement. « J’essaie de convaincre les partenaires d’aller dans ce modèle qui fera la viticulture et les vins de demain. D’ici à quelques années, je souhaite que notre collectif soit à 50 % bio ou HVE, c’est-à-dire produisant et commercialisant des vins qui respectent à la fois l’environnement et la santé du consommateur. » Par ailleurs, le collectif Vignobles Gabriel & Co tient à encourager particulièrement les vignerons ayant tout le potentiel nécessaire à la production de cuvées premium. Cette stratégie a été pensée pour promouvoir l’identité de la structure et donner ainsi aux vins des appellations de la Rive droite le pouvoir de concurrencer équitablement sur le marché. Enfin, le groupement compte faire adhérer tous ses membres à la Charte des vignerons indépendants, de manière à ce que sa notoriété s’étende à plus grande échelle. ...
Le domaine est actuellement dirigé par la quatrième génération de vignerons chez les Peyruse. Avec Laure, aux commandes de la gestion et de l'oenotourisme, et son frère Sébastien, habile dans la manipulation des raisins, l’entreprise familiale ne peut qu’être honorée. Le terroir Le vignoble s’enracine sur un sol graveleux, dont les particularités se révèlent à travers la qualité des vins de la maison. Riche et drainant, ce terroir de graves se prête parfaitement à la culture des cépages phares du Médoc, qui sont le merlot et le cabernet. La maison travaille également sur d’autres cépages, dont le cabernet franc, le petit verdot et le carménère. « C’est l’assemblage de ces cinq cépages qui donne naissance à nos vins classés crus bourgeois », explique Laure Peyruse, responsable de l’œnotourisme au sein du domaine. En matière de vinification, la maison s’appuie notamment sur un cahier des charges strict et rigoureux, tout en préservant l’empreinte familiale qui a toujours démarqué les cuvées du Château Tour Castillon. Des cuvées nobles L’emblème du domaine est « La Révélation de Castillon », le mariage parfait entre merlot (50 %) et cabernet sauvignon (50 %). « Cette cuvée représente idéalement Médoc et ses terroirs », nous indique-t-on. Elle est issue des meilleures sélections du vignoble du Château Tour Castillon. L’élevage du millésime pendant 2 ans en fût de chêne ne joue qu’en faveur de son élégance et de l’intensité de ses arômes. Les autres cuvées n’ont absolument rien à envier à cette dernière. Les médailles de bronze attribuées récemment aux millésimes « Château Tour Castillon 2017 » et « Château Moulin de Taffard 2017 » au Concours agricole de Paris sont la preuve que chaque élixir a sa spécificité. Par ailleurs, les Peyruse se concentrent actuellement sur une nouvelle expérience : l’immersion de bouteilles de vins rouge dans la baie de Paimpol, en Bretagne. Une dégustation plutôt prometteuse ! ...
Le restaurant Bellini invite les épicuriens en herbe à découvrir ou à redécouvrir toutes les subtilités et les saveurs de la cuisine traditionnelle italienne. Un décor sobre mais authentique S’inviter au restaurant Bellini est synonyme de voyage pour les sens. Comme préambule à une expérience gustative unique, le décor annonce d’entrée la couleur ! Un cadre cosy, simple et élégant attend les convives. L’ambiance se prête idéalement à un dîner en famille, entre amis ou collègues. Les invités notent une touche d’authenticité qui transparaît à travers ces pierres apparentes. Bien visible, un four à bois s’offre au regard des convives. Bref, tout concourt à donner à ce bel endroit un charme presque inimitable. Une cuisine savoureuse Le chef, Rémi Barthe, concocte avec amour et passion une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits frais. Ainsi, viandes, poissons, fruits et légumes proviennent essentiellement des producteurs locaux. Pour les produits secs, cet établissement importe directement d’Italie. Chez Bellini, la carte se garnit, au gré des saisons, des nouvelles trouvailles du chef. Celui-ci suggère à ses invités d’entamer leur escapade gastronomique par un assortiment d’antipasti suivi d’un succulent veau à la milanaise, fettucines au marsala. Et pour achever comme il se doit ce voyage culinaire, rien de tel qu’un tiramisu aux cerises pour donner l’envie aux grands gourmands de réitérer cette agréable expérience. Mais le restaurant Bellini, c’est aussi des pizzas délicatement cuites dans des fours à bois. D’authentiques pizzas italiennes à emporter ou à déguster sur place selon les envies ! Côté vins, entre les rouges et les blancs, les connaisseurs trouveront certainement leur bonheur parmi une trentaine de références. ...
Le Roi de la garbure, c’est ainsi que le propriétaire du Café des sports est surnommé. Et pour cause, c’est autour de cette soupe traditionnelle béarnaise que s’est construit la notoriété de Gaby Regagnon et de son restaurant. Dans cet univers culinaire en évolution permanente, le Chef préfère se construire une identité « en béton » autour de recettes simples mais de qualité, et cela marche. Qualité et simplicité de la cuisine Dès 6h du matin, Gaby Regagnon s’active derrière les fourneaux pour préparer sa garbure. Cette soupe de légumes traditionnelle au jambon de Bayonne mijote toute la matinée. Elle est proposée tous les jours et garde toujours le même succès. Cela démontre que ce qui est important dans la cuisine : c’est la passion du métier, l’amour des produits et le temps donné par le Chef pour la satisfaction de ses clients. Comme le roi de la garbure le dit : « ce n’est ni l’eau, ni le sel qui fait la qualité de la garbure. C’est l’os de jambon, le temps de cuisson et la quantité préparée ». La cuisine du Café des Sports prime surtout les produits de Béarn et de Chalosse. A la liste des recettes phares du Café des sports, Gaby en a ajouté trois. La Tête de veau sauce gribiche est régulièrement servie le premier vendredi du mois, la Morue persillade le deuxième, la Poule au pot la troisième et le Cassoulet le quatrième. Outre ses plats de renom, le Chef suggère à la carte du Jambon de Bayonne, des Tournedos aux cèpes ou noix de Saint-Jacques sans oublier le magret et le foie gras. De la salade landaise, de l’omelette aux cèpes et des frites maison y figurent également. Et le Chef met toujours en avant la région avec le gâteau basque maison à la crème ou à la confiture de cerise. Les Pyrénées-Atlantiques, lieu de gastronomie et de tourisme Le Café des sports siège sur la place de la république, l’ancienne place du marché aux bestiaux d’Arzacq-Arraziguet. Cette commune est située dans le département des Pyrénées-Atlantiques qui s’avère être un terroir aux richesses intarissables. Beaucoup de monuments historiques et de lieux touristiques y sont liés à la gastronomie. Cela va des châteaux de domaines viticoles aux Musées, en passant par les marchés, les cafés et restaurants qui sont des témoins vivants de la tradition gastronomique gasconne. Avec les recettes du Chef Gaby, notamment la garbure, le Café des sports est devenu à lui tout seul le symbole de toute une culture. Le Café des sports est situé non loin du Musée du jambon de Bayonne à Arzacq, un espace culturel et éducatif dédié entièrement au jambon de Bayonne, à l’histoire du cochon et de sa consommation. Une boutique est également ouverte pour trouver tous les produits du Sud-Ouest comme les paniers garnis, les coffrets gastronomiques, les plats cuisinés et évidemment le fameux jambon de Bayonne. Une visite du Moulin de Garos est aussi possible après une pause gustative chez Gaby. Celui-ci se trouve à environ 5 km du restaurant, en bordure du Luy de France. C’est l’eau de ce dernier qui fait tourner les roues du moulin lors de la mouture. Ce moulin est fortement lié au Château de Cabidos, un domaine viticole de 9 hectares. Le Sauvignon, le Chardonnay ou encore le Syrah sont les fruits de cette exploitation. Ce château est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. ...
Une table délicate au cœur de Saint-Dizier Après avoir fait ses classes auprès de quelques-uns des grands noms de la gastronomie française (notamment François Clerc à la Vieille Fontaine), Didier Muckerhirn s’est lancé dans l’aventure en reprenant en solo un ancien établissement du centre-ville de Saint-Dizier. Mais la passion pour la cuisine lui est venue dès son plus jeune âge ; déjà tout petit, il consacrait une partie de son argent de poche à l’achat de livres de cuisine. « Le besoin d’ouvrir mon propre restaurant est venu en même temps que l’envie de mettre plus de créativité dans mes plats. C’est une petite structure familiale de 25 places assises et je travaille avec ma femme et mon fils », nous explique le chef. Maître restaurateur de France, Didier Muckerhirn essaye au maximum d’avoir des circuits courts et des produits locaux afin de faire profiter ses clients de son savoir-faire et des saveurs d’une région. « Pour nos viandes, on travaille avec un petit producteur de Saint-Dizier, nos cailles grandissent à moins de cinquante kilomètres de nos fourneaux. Comme nos fois gras et nos canards. On essaye de coller au maximum à ces valeurs de proximité. » Une carte qui change tous les mois La proposition de Didier est surprenante : avoir une carte-menu qui affiche 4 entrées, 4 plats et 4 desserts différents, qui changent chaque mois. Même si le restaurateur n’a pas encore trouvé son « plat-signature », les critiques, comme les clients, sont unanimes sur la qualité générale des assiettes qui sortent de cette cuisine. Le cadre est, lui, à l’image de la cuisine. Intimiste, la décoration relève avec goût le charme de la vieille maison. En été, on profite de la terrasse située dans la cour intérieure du bâtiment pour se régaler d’un magret de canard à la mangue accompagné de quelques rigatonis d’épeautre, tout ça devant la grande fresque murale qui habille magnifiquement l’espace. ...