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Interview avec Christian Pilloud
Chef du restaurant Mon Plaisir



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Chamesol
Région Bourgogne - Franche-Comté

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Christian Pilloud Je propose une cuisine créative et moderne au saveur du monde tout en magnifiant les produits de la Franche-Comté.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

CP Ça y est, je l'ai fait ! Mais bon, je suis conscient que c'est un combat de longue durée, on n'en est jamais que le locataire.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

CP Un foie gras/ des huîtres/ une belle volaille rôtie et moelleuse avec un beau plateau de fromage. Pour le dessert, une île flottante avec une belle crème anglaise. Bien sûr, pour l'occasion, il faut aussi le champagne et des beaux vins !

- Un repas de la nouvelle année ?

CP Je n'y ai jamais pensé car cela fait 39 ans que je travaille pour le nouvel an. Mais je rêverais de plats à partager avec mes plus proches amis. Par exemple, un foie gras poché dans un bouillon, quelques truffes, une belle pièce de viande, quelques morilles. Pour finir en beauté, il faut un comté et une charlotte aux amandes. Il faut bien sûr aussi de bons vins et le champagne pour l'occasion !
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- Un repas de Saint-Valentin ?

CP Chez nous, en tête-à-tête avec ma femme. En plat, je ferais un homard ou une langouste, ma femme en raffole; avec bien sûr la coupe de champagne.

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

CP C'est un sujet tabou dans la maison car nous n'avons pas d'enfants.
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Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

CP La table de Monsieur Fredy Girardet, trois étoiles, du restaurant de l’hôtel de ville à Cressier en Suisse. C'était en 1989, et j'en ai encore l'eau à la bouche : il y avait de la justesse dans la cuisson et l'harmonie des plats était parfaite. Je me demande encore, comment je peux arriver à ce résultat-là. La table de Monsieur Paul Bocuse à Collonges, où j'ai eu le bonheur de le rencontrer. Et enfin, le Crillon de Monsieur Piège, un repas somptueux !

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

CP Pour les restaurants, je recommande l'étang du moulin à Bonnétage dans le Doubs, la Maison Lameloise à Chagny (en Saône-et-Loire), et La Chaumière à Dole. J'aime cuisine avec les escargots des la Ferme des Chazeaux, pour le pain, je me fournis chez à la boulangerie-pâtisserie à Villers-le-lac et pour les volailles, à la Ferme Mougin à Bavans.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

CP La cuisine se dirige de plus en plus vers des circuits courts et une plus grande attention est apportée à la façon de produire et à la traçabilité.
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Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

CP Merci de m'avoir fait tant rêvé, mon premier livre de cuisine était "La Cuisine du Marché" que j'ai eu en 1977. C'est ce livre qui m'a inspiré et a nourrit mon ambition : je me dis qu'un jour, peut être, je pourrai arriver à ce même niveau.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-mon-plaisir Mon Plaisir 22 lieu-dit Journal
25190 Chamesol

Tél. : 03 81 92 56 17
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

Mon Plaisir : les avis

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Le restaurant du Mas des Herbes Blanches : un cadre idyllique pour savourer une cuisine inventive

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EF, Séjours linguistiques : 50 destinations et conseils à découvrir pour apprendre une langue

Dans la vie estudiantine comme dans la vie professionnelle, on entend souvent parler de la barrière de la langue. En effet, il n’est plus possible pour les étudiants, les travailleurs et les entrepreneurs de tous les niveaux de minimiser l’importance des langues étrangères dans ce monde globalisé. Pour suivre l’évolution incessante des échanges aujourd’hui, il faut pouvoir communiquer, comprendre et se faire comprendre à travers les langues. Si plusieurs écoles et institutions proposent déjà des cours de langues actuellement, une méthode se démarque des autres par son efficacité : un séjour linguistique en Irlande ou dans tout autre pays anglophone. Pourquoi apprendre une langue à l’étranger ? Bien qu’internet ait effacé les frontières et qu’il permette aujourd’hui d’apprendre une langue étrangère sans avoir à sortir de chez soi, ou faire un erasmus force est de constater que le résultat est loin d’être le même comparé aux études en immersion. Apprendre une langue ne se résume pas à maîtriser la grammaire et à avoir un vocabulaire de base. C’est aussi une culture à découvrir, une intonation et des nouvelles tournures que l’on ne peut découvrir qu’en côtoyant les natifs. Bref, si vous souhaitez parler l’anglais comme un anglais, il n’y a pas de meilleure façon d’y arriver que d’étudier en Angleterre ou de faire un séjour linguistique dans un pays anglo-saxon. Il en est de même pour toutes les langues étrangères. Afin de permettre à chacun d’apprendre la langue de son choix en immersion, certaines institutions comme EF Education First organise des séjours linguistiques dans différents pays du monde. Elle facilite énormément l’apprentissage pour les étudiants de tous les âges. Un large choix de destinations pour vos séjours linguistiques Si vous souhaitez connaître les subtilités d’une langue étrangère, partez en séjour linguistique dans le pays de cette langue maternelle. Avec l’aide de EF Education First, vous avez le choix entre 50 destinations à travers le monde selon la langue que vous voulez apprendre. Pour l’anglais, EF Education First vous propose des séjours linguistiques aux Etats-Unis, en Angleterre, en Australie, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud, à Malte, au Canada et à Singapour. Pour apprendre l’espagnol, partez en Espagne ou à Costa Rica. Avec Education First, voyagez aussi au Japon pour apprendre la langue du pays, en Allemagne pour parler l’allemand et en Italie pour maîtriser l’italien. Découvrez aussi la Corée du Sud tout en apprivoiser le coréen. Dans toutes ces destinations, EF Education First dispose de programmes adaptés aux enfants à partir de 10 ans, aux jeunes, aux adultes et aux entreprises désirant se perfectionner sur une langue étrangère. Afin de permettre aux étudiants de se concentrer sur leurs études, Education First organise des séjours linguistiques tout inclus. Comment réussir votre immersion Si vous êtes parti dans le pays où l’on parle la langue qui vous intéresse, c’est bien pour la pratiquer. Aussi, la première chose à faire est de parler cette langue quel que soit votre niveau de vocabulaire.  Même si vous séjournez avec vos compatriotes, mettez-vous dans la peau d’un natif pour ce moment et vous allez acquérir naturellement tout le vocabulaire qu’il vous manque ! Autant que possible, choisissez de vivre chez l’habitant au cours de votre séjour linguistique pour une immersion totale. Vous pourrez acquérir rapidement l’accent des locaux, l’intonation et même les tournures typiques à la langue. Si vous n’avez pas cette chance, vous allez quand même pouvoir évoluer rapidement avec des spécialistes des séjours linguistiques comme EF Education First. Leur apprentissage est basé sur l’expérience. Vous aurez l’opportunité de rencontrer d’autres élèves ou étudiants du monde entier vu que l’institution possède ses propres écoles dans chacune des destinations qu’elle propose à ses étudiants. Elle organise de nombreuses activités qui vous permettront de dialoguer avec d’autres étudiants telles les...

Vintage & Cie : une expérience intime des vins rares à Paris

Se procurer des vins anciens ou des vins de grands producteurs, en tant que consommateur lambda, tient du défi. Donner accès au plus grand nombre à cette catégorie de « vins vendus sous allocation » figure dans les priorités de Vintage & Cie. Tenant boutique au 199, rue du Faubourg-Saint-Honoré, l’enseigne se targue d’être le stock le plus important de vins anciens d’accès grand public à Paris. Une adresse pour se procurer un cru, naturellement, mais aussi rejoindre un cercle de connaisseurs pour une expérience profonde de ce centre d’intérêt. Une aventure de passion et de raison C’est d’abord son émotion lors d'une dégustation de grands crus qui amène Louis Duquesne à imaginer le concept de son affaire. Le constat que l’achat de certains vins est l’apanage d’une clientèle privilégiée – en l’occurrence celle qui a une relation préalable avec un domaine donné – combiné à une demande croissante pour une offre limitée finit de le décider à le concrétiser. Il installe donc, fin 2014, un QG, rue du Faubourg-Saint-Honoré, et ouvre le stock qu’il a personnellement constitué. Dans cette collection, des vins difficiles à trouver soit parce qu’ils sont issus de petites productions, soit parce qu’ils sont signés de grands noms ou frappés de millésimes anciens. « En chiffre approximatif, on a à peu près 1000 références », nous confie cet entrepreneur averti, tout en soulignant que son dépôt est assurément « le stock de vins anciens le plus important [ouvert au public] à Paris ». Le répertoire pourrait paraître discret mais c’est par choix qu’il s’en tient à ce plafond, l’important étant, pour lui, d’être sélectif plutôt qu’exhaustif. Triés sur le volet Un œnologue dédié travaille pour le compte de l’enseigne, sa mission étant notamment de baliser le processus de sélection des crus intégrés dans le stock. Différentes régions sont représentées dans les références mises en vente : Bourgogne, Bordeaux, Rhône et Loire. La maison procède par progression à la couverture des vignobles des différents terroirs caractérisés par leur « diversité exceptionnelle ». Dans cette gamme large, l’enseigne met un point d’honneur à choisir ce qui se fait de mieux dans le vin en France, tout en intégrant des variétés pour que les plus petites, comme les plus grosses bourses y accèdent. Les crus du domaine Rayas, du châteauneuf, sont particulièrement recommandés par le propriétaire qui leur trouve une belle unicité malgré une production issue de différentes parcelles. Autrement, la maison possède par exemple les très rares Jaboulet Hermitage, La Chapelle 1961 et Château Margaux 1900.   Moments de partage autour des vins rares Pour prolonger l’expérience de ces vins rares, le sous-sol de la boutique parisienne abrite un salon et un bar où les habitués peuvent se retrouver. « L’idée est de reproduire l’ambiance d’un salon à la maison et de pouvoir échanger avec nos œnologues ou de faire des dégustations », précise le patron de la maison. Des clients privés ou des entreprises peuvent bénéficier de ces sessions, rigoureusement planifiées en amont en tenant compte du budget de chacun. « Notre vision est que le vin peut être un produit de luxe et d’exception qui crée une expérience gustative absolument unique. […] Notre ambition, c’est qu’il n’y ait pas de spéculations sur le vin, c’est de mettre en relation le producteur avec le buveur, avec le minimum d’intermédiaires, dans la plus grande convivialité possible », réitère Louis Duquesne. Les thèmes et l’approche d’accompagnement varient, par ailleurs, selon que les demandeurs soient plus calés ou plus néophytes en la matière. Sur une base plus régulière, les dégustations du jeudi soir en libre accès rassemblent les amateurs autour d’une bouteille donnée ou d'un vigneron désirant communiquer autour de l’un de ses crus....

Un planificateur de voyage vidéo pour découvrir autrement une destination

La start-up utilise une technologie de géolocalisation et un explorateur vidéo pour suggérer aux utilisateurs une nouvelle expérience à essayer dans les endroits où ils se trouvent. L’approche ? Offrir une idée de visite en une minute chrono. Plus besoin de consulter d’innombrables sites ou guides avec cette solution. Des contenus plus interactifs et plus engageants sont générés instantanément sur les smartphones pour un voyage virtuel court mais intense. La vidéo comme force d’attractivité Hôtels et restaurants, parcs de loisirs, sites naturels, monuments historiques, musées, offices du tourisme, et même les cités et collectivités peuvent s’abonner sur la plate-forme et transmettre leur vidéo de présentation. Une vidéo qui doit respecter la charte qualité de l’application, et en s'efforçant de respecter la durée d’une minute, le chiffre clé. « D’après notre étude préalable, ce délai est suffisamment long pour éveiller la curiosité et suffisamment court pour ne pas lasser le public », explique Johann Prod'homme, le cofondateur de la start-up. En outre, MyMinuteTrip propose un service de mise en relation avec des vidéastes professionnels dans le cas où le prestataire souhaite produire une nouvelle vidéo. Toutes les vidéos sont alors catégorisées par rubrique : sites naturels, restauration et hébergement, culture, histoire, sport et divertissement, villes et cités. Elles sont présentées sans commentaires, sans publicité afin de garantir la meilleure objectivité possible. Par la suite, un algorithme se chargera d’identifier un public, des voyageurs ou des touristes d’affaires selon leurs préférences, pour proposer les meilleures activités possibles et les aider à concevoir leur voyage idéal. Bien plus qu’une application MyMinuteTrip pousse encore plus loin son modèle économique en apportant une solution pertinente aux professionnels. « Notre offre ne se limite pas à la diffusion de la vidéo, nous développons derrière une plateforme de services pour faciliter la mise en relation et l'information des voyageurs en temps réel.» L’objectif est d’aider ces derniers à être plus efficaces dans leurs échanges et leur communication et d'avoir une connaissance approfondie des attentes de leurs visiteurs en termes d'expérience de voyage. Les voyageurs utilisateurs peuvent partager leurs vidéos coups de coeur avec leurs proches, et pourront prochainement préparer leur voyage dans un espace dédié. En effet, MyMinuteTrip veut devenir un modèle de road-trip collaboratif et construire une communauté de globe-trotters, de passionnés de voyage et d’aventuriers autour de son concept. Si la start-up est en bonne voie pour conquérir le marché français, elle projette aussi de s’exporter en Europe et jusqu’à l’international dans un futur proche. ...

Château Le Chabrier : par amour du vin

Novembre 1989. Une annonce publiée dans l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur fut le déclencheur d’un nouveau projet de vie, un challenge que Pierre Carle et son épouse, Éléna, réussirent avec brio. Petit, Pierre Carle passait ses vacances chez ses arrières-grands-parents et sa grand'mère, des passionnés de la vigne et anciens négociants en Cognac et vins, qui habitaient Saint-Emilion. Bercé par ce souvenir d’enfance, il a continué à nourrir le rêve de devenir vigneron. Après avoir fait des brillantes études pour faire carrière dans l’industrie ferroviaire, il s’installe avec sa femme et ses enfants dans le XVIIe arrondissement. Mais son rêve de gamin continue de titiller son esprit. « Je me suis dit que si l'on n’essaye pas alors on risque de le regretter toute notre vie », se remémore Pierre Carle. Après un an et demi de recherche, il tombe littéralement sous le charme de cette propriété du Périgord. Un domaine de 34 hectares, un château typique du XVIIe siècle, un sol peu fertile et très minéral rivalisant avec celui de Saint-Émilion, autant d’atouts qui font mouche auprès du couple. Le vignoble S’étendant sur vingt hectares, le vignoble est établi sur des coteaux argilo-calcaires et jouit d’un climat océanique tempéré. « Du point de vue de la configuration, notre terroir est semblable à celui de Saint-Émilion », décrit Pierre Carle. Le domaine travaille en appellations Bergerac rouge, rosé et blanc sec, Côtes-de-Bergerac blanc moelleux et Saussignac blanc liquoreux. Les vins sont obtenus à partir des cépages phares de Bordeaux : le merlot, le cabernet sauvignon et le cabernet franc pour le rouge, en blanc : le sémillon, la muscadelle et le sauvignon. Les vins bergerac rouges affichent des petits rendements et sont conçus à partir de raisins vendangés plus ou moins tardivement selon les cépages. Par la suite, ils sont élevés pendant au moins vingt mois, le temps de bien affiner la structure des vins.  Les vins en appellation Bergerac sec subissent un long élevage sur lies, de douze à trente mois afin de dévoiler parfaitement toute la complexité et l’intensité de leurs arômes. Enfin, le Saussignac est un vin liquoreux, plus sucré, de longue garde qui développe un arôme très riche. Son élaboration est définie par l’un des plus rigoureux décrets d’AOC en France et exige du jus de raisin très concentré et l'absence de toute méthode artificielle d'enrichissement. Une agriculture biologique Le vignoble du château Chabrier a été certifié bio en 1999 bien que Pierre Carle, en tant que précurseur, ait pratiqué l’agriculture bio bien avant. Au départ, le domaine a évolué dans le sens d’une viticulture raisonnée : n’intervenir dans le traitement des vignes uniquement lorsque cela est indispensable. Cependant, cette pratique connaît ses limites et expose les employés à certains risques d’allergies et d’intolérances. Le propriétaire a donc décidé d’arrêter définitivement les produits issus de la chimie de synthèse, néfastes autant pour l’environnement que pour l’homme. « Le meilleur des insecticides reste les insectivores, ça marche tout seul et c’est gratuit… C’est comme ça que faisaient ma grand'mère et mon arrière-grand-père à l’époque », reprend Pierre Carle avec grande conviction. Il préfère laisser l’équilibre naturel de l’écosystème faire son travail dans les vignes. Les produits de traitement de sol et de la vigne autorisés sont ceux d’origine minérale et végétale uniquement. D’ailleurs, le propriétaire rappelle que les meilleurs millésimes du siècle dernier, en 28, 47, 49 ou 55 sont tous issus d’une agriculture biologique.  Avec cette démarche axée sur la préservation du sol et de l’environnement, le domaine se contente fièrement de ses rendements « plus faibles qu’ils ne le devraient » pour réaliser des vins de haute qualité. Les cuvées emblématiques Le Gros-Caillou, appellation...

La Bocalerie, un restaurant traditionnel par excellence

Si les Pays de la Loire sont considérés comme une des plus grandes régions gastronomiques françaises, c’est grâce à la qualité de ses produits régionaux, dont les plus célèbres sont les champignons de Paris, les pommes de terre nouvelles et la fleur de sel de Noirmoutier. La région Pays de la Loire : cuisine et produits du terroir Des célèbres pains cuits au four de Vendée aux rillauds d'Anjou, en passant par les rillettes de la Sarthe, le petit-beurre de Nantes et la brioche vendéenne, les spécialités culinaires régionales sont nombreuses, diversifiées et répondent aux gouts les plus divers. On y trouve aussi le vignoble du Muscadet, qui couvre une superficie de 13 000 hectares et qui produit plusieurs types de vins, dont le plus connu est un vin blanc sec d'appellation d'origine contrôlée depuis 1937. La région des Pays de la Loire élabore aussi la célèbre liqueur de Cointreau, qui sert à la préparation de cocktails. Elle est produite dans la banlieue d’Angers depuis 1849. La Bocalerie, un promoteur des produits du terroir français Créé en 2010, La Bocalerie est dirigé par Éric Piquet, pâtissier et cuisinier, qui, après avoir exercé ses talents culinaires à Nantes, travaille aujourd’hui dans son restaurant avec 3 personnes qui ont pour défi quotidien de satisfaire les clients. Objectif : allier la restauration traditionnelle aux tendances modernes de consommation. En effet, les Français n’ont plus assez de temps pour cuisiner et optent pour des plats rapides à préparer, déjà prêts ou à emporter. Ainsi, les clients du restaurant peuvent consommer sur place ou emporter les plats dans des bocaux. La Bocalerie à été le premier restaurant à proposer des plats à emporter dans des bocaux. Conscient du lien existant entre la bonne alimentation et le bien-être, Éric Piquet utilise à 99 % les meilleurs produits du terroir. « Nous créons les recettes au gré des saisons. Nous travaillons avec des produits bio comme les carottes, les pommes de terre, les poireaux et bien d’autres légumes. On teste et on goute les produits avant de les utiliser », nous explique-t-il. Le prix moyen d’un repas est de 12 €.  Recettes phares et desserts savoureux En hors-d’œuvre, plusieurs choix possibles de salades avec notamment les betteraves aux échalotes, les carottes râpées au vinaigre de framboise, mais également le fameux tartare de tomates. En plat, la Rougaille saucisse, une des recettes trés appreciées à base de saucisses fumées cuites dans une sauce tomate relevée d'épices et servis avec un riz basmati. Un plat généreux qui ne coute que 6 €. Autre classique de la maison, le bœuf sauté aux poivrons confits, un plat à base de bœuf mijoté longuement et accompagné de pommes de terre au four et de poivrons frais. Le sauté de veau aux légumes provençaux, le poulet rôti façon César et le Coleslaw sont également de délicieuses spécialités du restaurant qui font le bonheur des convives.  Bien sûr, le repas s’accorde parfaitement avec des vins rouges et rosés. Pour terminer sur une note sucrée, la Bocalerie propsose une sélection de desserts avec au programme ; tarte au citron meringuée, mousse au chocolat noir, tarte aux fraises, crème ivoire pistache ou encore le fameux smoothie à base d’ananas frais et de pousses d’épinards. Des desserts savoureux que l’on déguste avec plaisir. ...

Destination Saône & Loire : promouvoir l’attractivité touristique de la Saône-et-Loire

En Saône-et-Loire, environ 3 000 acteurs touristiques incluant sites touristiques, hébergeurs, activités et équipements de loisirs bénéficient d’une promotion touristique relayée grâce aux supports promotionnels de l’agence. Consciente à la fois des richesses du patrimoine naturel et du paysage viticole de la région, cette dernière a décidé de concentrer ses efforts sur le développement de deux filières porteuses que sont l’oenotourisme et le vélotourisme. Un vignoble riche en diversité Le vignoble de Saône-et-Loire est le plus méridional de Bourgogne. Il s’étend sur une large bande de 50 km de longueur et 50 km de largeur. « Nous avons la chance d’être le plus grand vignoble de Bourgogne-Franche-Comté en termes de superficie », précise Arnaud Durix, président de Destination Saône & Loire. Mais le véritable atout de ce territoire réside essentiellement dans sa diversité. En effet, il se compose de 5 vignobles : les Maranges Côte de Beaune (inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2015), le Couchois, la Côte Chalonnaise, le Mâconnais et le Beaujolais. En tout, il abrite une trentaine d’AOC, comptant des appellations prestigieuses comme Maranges, Pouilly-Fuissé, Givry, Moulin-à-Vent et Côtes du Couchois. Côté production, 45 % des vins d’appellation de Bourgogne sont issus de Saône-et-Loire. Des vins de qualité exceptionnelle à l’image des Mâcon blancs et les vins rouges de la Côte Chalonnaise. Dans leur jeunesse, les premiers exhalent des parfums de fleurs du printemps tels que l’aubépine ou l’accacia. En prenant de l’âge, ils dévoilent des arômes de sous-bois, de noisette, de miel et de pain grillé. Quant aux rouges de la Côte Chalonnaise, ceux-ci sont souvent profonds, au fruité croquant, évoluant vers des notes d’épices douces. « La force de nos vins vient de leurs richesses aromatiques », fait valoir Arnaud Durix. Un haut lieu de l’œnotourisme La Saône-et-Loire possède de nombreux atouts en matière d’œnotourisme. La région abrite notamment de sites intéressants tels que le Hameau Dubœuf et le Château de Chamirey, véritables fleurons de l’œnotourisme local. « Ce sont des sites importants en termes de fréquentation touristique », nous indique-t-on. Premier œnoparc de la vigne et du vin créé en Europe, le Hameau Dubœuf, situé à Romanèche-Thorins, propose aux visiteurs un voyage inédit dans l’univers de la vigne et du vin. D’une manière ludique, les secrets des vignobles, leurs origines ainsi que les différentes techniques sont dévoilés au public. Une collection impressionnante d’objets rares, des spectacles d’animation et des attractions insolites (cinéma dynamique, cinéma en 3D…) feront le bonheur des petits et des grands. Quant aux œnophiles, ceux-ci ne rateront sous aucun prétexte les séances de dégustations. Deuxième pépite du département, le Château de Chamirey a la particularité d’offrir des activités variées. Il dispose d’un domaine viticole (visites suivies de dégustations), d’espaces de séminaires pour les entreprises et d’une chambre d’hôtes, le tout en plein cœur de la Côte Chalonnaise. Sans oublier également les balades organisées dans les vignes. Ces deux sites, labellisés Vignobles & Découvertes, permettent d’apprécier les potentialités du département d’un point de vue œnotouristique. Des conditions d’accueil optimales En choisissant la Saône-et-Loire pour destination de voyages, les touristes sont assurés d’être accueillis dans des conditions optimales. Grâce à un important vivier de structures labellisées Vignobles & Découvertes, les visiteurs profitent d’une offre touristique complète qui leur permet de faciliter l’organisation de leur séjour et de les orienter sur des prestations de qualité. « Notre ambition est de valoriser les professionnels labellisés Vignobles & Découvertes par le biais d’actions d’animation et de promotion menées auprès des touristes », souligne Arnaud Dur...

Valette, l’une des plus grandes fiertés de Quercy-Périgord

Forte d’une expérience de près d’un siècle, l’entreprise Valette se démarque de par ses recettes traditionnelles et toujours de qualité. Le couple Adrien et Louise Valette a travaillé en tandem dès le lancement de la marque pour proposer le meilleur de la haute gastronomie : du foie gras et de la truffe faisant ainsi honneur au terroir du Périgord. Avec un savoir-faire transmis de génération en génération, les recettes originelles sont conservées pour le plus grand bonheur d’une clientèle désormais internationale. Depuis maintenant plus de trente ans, Jacques Valette œuvre dans le respect de cette tradition familiale jalousement préservée. Sans mettre de côté les recettes imaginées de sa grand-mère, il se met au goût du jour et développe les activités de l’entreprise pour répondre aux demandes de plus en plus grandissantes et la propulser au plus haut. Un développement à l’international La Maison Valette connaît une croissance considérable depuis sa création, un succès réaffirmé par Jacques Valette qui vise une renommée internationale, en développant un concept de vente à distance en 1984. Pour se faire connaître et reconnaître, l’entreprise familiale détient plus de quarante boutiques éparpillées dans toute la France et dispose d’un site marchand mis à jour en 2016. Découvrez sur ce site e-commerce toutes les merveilles du Périgord signées Valette qui font saliver gourmands et gourmets. Divers grands restaurants de par le monde servent par ailleurs les produits de la Maison, à l’instar de Westin (Tokyo), Ukai (Japon) et Royal Ascot (Londres). Certains restaurants d’Oslow, dont À l’aise et Brasserie Blanche, se ravitaillent en truffes fraîches auprès de l’entreprise. Une opportunité de faire découvrir les richesses du terroir au-delà des frontières. L’enseigne participe en outre à divers salons gastronomiques en France tels que le Salon international de l’agroalimentaire à Paris et le Concours général agricole de Paris. Depuis 1985, l’entreprise a raflé 58 médailles. Ces récompenses sont notamment dues à la qualité des produits de l’établissement qui jouissent de l’IGP canard à foie gras du Sud-Ouest et de l’IGP canard à foie gras du Sud-Ouest Périgord. L’entreprise Valette est en l’occurrence soumise à des audits annuels, gage d’une qualité optimale des produits. La responsable Marketing et Communication, Charlotte Kothe, souligne d’ailleurs que l’entreprise est « traditionnelle, semi-artisanale, moderne et respecte toutes les normes de qualité et de conservation pour ne proposer que des produits fiables ». Des nombreuses nouveautés Chaque année, la maison sort une dizaine de nouvelles recettes créatives toujours élaborées à partir de produits du terroir. Dans une belle et originale association entre les recettes traditionnelles et les nouvelles tendances culinaires, ces nouveautés sont toujours très bien accueillies. Parmi les recettes les plus appréciées, les Rondos de jambon fourrés au foie gras : une fine tranche de jambon roulée et fourrée au foie gras de canard et parfumée avec une gelée à l’Armagnac. Bien que vieille de quarante ans, cette entrée fine et noble fait toujours rage. Ne dérogeant pas à sa grande réputation, l’enseigne a su remporter le pari de séduire la clientèle avec son cassoulet revisité et agrémenté de morceaux de canard. Rares sont ceux qui arrivent à surprendre agréablement avec de si grands classiques. Magret de canard, confit de canard, magret fourré au foie gras, rillettes de canard… Plus de 300 références à votre portée ! Ces produits peuvent se retrouver dans des coffrets cadeaux disponibles en boutique : des coffrets pour la saison estivale et des coffrets de Noël. La Maison Valette, une grande place en matière d'événements La Maison Valette est aussi appréciée pour ses colis gastronomiques. Elle produit 400 000 colis chaque année et approvisionne mairies, comités d’entreprise et bien d’autres. Ses colis peuvent aussi faire office de cadeaux d’affaires. Les coffrets gastronomiques...

Les Vignerons de Tutiac :
Le savoir-faire au service du terroir 

Créée en 1974, la coopérative des Vignerons de Tutiac est aujourd’hui le premier producteur de vin d’Appellation d’Origine Contrôlée en France et le leader des Côtes de Bordeaux. « Développer notre expertise à tous les niveaux de la filière, de la vigne au verre, afin de pérenniser nos exploitations est au coeur de nos priorités. Nous mettons tout en oeuvre pour garantir à nos vignerons un avenir durable, en développant une viticulture plus respectueuse de l’environnement et économiquement viable. Notre entreprise est aujourd’hui reconnue comme l’une des plus dynamiques de Bordeaux. » Stéphane Héraud, président des Vignerons de Tutiac.   Terroirs Situé en Nord Gironde,  le vignoble des Vignerons de Tutiac s’étale sur 4 000 hectares sur les coteaux qui bordent la rive droite de la Dordogne et de l’estuaire de la Gironde. Sa situation en coteau lui permet de bénéficier d’un ensoleillement optimal pour la bonne maturation du raisin. Au fil des générations, Les Vignerons de Tutiac sont devenus de véritables experts de leurs terroirs, qui s’étendent sur les appellations Bordeaux, Blaye Côtes de Bordeaux et Côtes de Bourg. Chaque parcelle de vigne a été étudiée, ce qui permet de travailler chaque cuvée avec une grande précision. Pour les vins rouges, le cépage majoritaire est le merlot, que l’on assemble souvent avec du cabernet sauvignon, du cabernet franc, du malbec et du petit verdot. Les vins en appellation Blaye Côtes de Bordeaux sont souples, élégants et accessibles dès leur jeunesse. Les vins en appellation Côtes de Bourg sont reconnus pour leur caractère épicé en raison d’une plus grande proportion de malbec dans les assemblages. Les vins blancs, à base de sauvignon, sont très aromatiques avec une belle vivacité.   Un vignoble expérimental Suite à un appel à projet du ministère de l’Agriculture, Les Vignerons de Tutiac ont planté un vignoble expérimental sur une surface de 1 hectare, afin d’expérimenter diverses méthodes pour développer une viticulture respectueuse de l’environnement et économiquement viable. Ils réalisent actuellement des tests sur les cépages résistants et sur des cépages originaires d’autres régions afin de voir comment ils s’adaptent aux terroirs bordelais. Le vignoble ayant été planté en 2014, les premiers essais de vinification auront lieu aux prochaines vendanges. ...

Château Hourtin-Ducasse :
l’originalité d’une technique et d’un vin

Le Château Hourtin-Ducasse tire son nom de ses deux anciens propriétaires, ayant vécu au XVIIIe et au XIXe siècle. Ce domaine situé à Pauillac, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été repris par la famille Marengo en 1976, qui, aujourd’hui, élabore des vins élégants et équilibrés. Le but du domaine : laisser la vigne livrer sa plus belle expression.   L’agriculture de conservation Le Château Hourtin-Ducasse s’étend sur 25 hectares, dont 23 hectares de vignes. Une démarche d’agriculture de conservation sert de ligne de conduite dans le travail du vignoble. Cela consiste à préserver la richesse du terroir et sa biodiversité et à garantir ainsi la qualité des vins. L’agriculture de conservation s’inspire des techniques utilisées dans l’agriculture biologique et dans la biodynamie. Le peu d’intervention humaine dans le développement des plantes n’use que d’éléments naturels tels que des huiles essentielles ou une infusion à base de plantes. Les sept enfants de Michel et de Marie-Noël Marengo font incontestablement partie de leurs motivations dans cette conservation de la qualité de leur terre.Les 70 récompenses reçues par le domaine durant les 27 millésimes prouvent que le succès ne dépend pas toujours du suivi des règles. L’essentiel, c’est d’avoir des valeurs. « L’élément qui nous tient à cœur, c’est de faire parler la nature, de chercher le caractère et le talent du millésime. C’est ce qui fait que chaque millésime est unique », explique Marie-Noëlle Marengo. Le domaine a donc une méthode peu ordinaire dans l’assemblage des cépages.   Assemblage de cépages à l’aveugle Chez les Marengo, cet assemblage destiné à la construction de chaque millésime se fait à l’aveugle. Il n’y a pas de proportions précises sur les différents cépages, mais il existe une quinzaine d’échantillons grâce auxquels le caractère du vin va être forgé puis valorisé. C’est une manière de laisser la vigne et son fruit s’exprimer et les millésimes de « raconter ce qui s’est réellement passé dans la nature à travers ses forces et ses faiblesses », selon Marie-Noëlle Marengo.Le pourcentage de renouvellement de barrique se fait en fonction de cet assemblage et dépend des attributs du fruit. Les décisions doivent accompagner, voire pousser, ces potentiels. En 2008, par exemple, le fruit a été très expressif et généreux, son encadrement et son accompagnement ont nécessité un renouvellement de 60 % des barriques. En revanche, il n’y a eu que 32 % de barrique en bois neuf en 2011 pour ne pas risquer d’ajouter des arômes qui s’écartent de ceux qui sont naturels au fruit. Ce dernier a été délicat pendant ce millésime.  ...

Restaurant Eligo :

Une cuisine de haute volée dans une ambiance décontractée

Ouvert à la fin de l’année 2014, le restaurant bistronomique Eligo, dont le nom signifie en latin « faire un choix », propose une cuisine raffinée, goûteuse et généreuse, se basant exclusivement sur des produits frais et de saison, émanant pour la majorité d’une production locale. Les repas proposés sont aussi alimentés par un réservoir unique de vignobles, d’agriculture, d’élevage, de pêche et de tradition laitière fidèle au bassin lémanique mais aussi aux cultures et aux origines françaises et suisses. Une cuisine raffinée, créative et accessible Les prestigieux et exigeants inspecteurs du guide Michelin ne tarissent pas d’éloges sur la proposition culinaire du restaurant Eligo, la considérant comme « une cuisine d’une grande finesse ». Ces spécialistes reconnus ont constaté « des produits de première qualité et une finesse d’exécution évidente, des saveurs marquées et une constance dans la réalisation des plats ». Par contre, le menu varie chaque jour en fonction des arrivages et la carte prenant l’apparence d’une tablette tactile se renouvelle et dévoile des plats à prix abordables et des découvertes en quatre ou six séquences.  La cuisine d’Eligo multiplie les saveurs et innove en mariant les pâtes maison de semoule de blé dur avec des écrevisses lémaniques, un merlan de ligne avec de la bière blonde de Savigny, ou encore un œuf fermier de Bremblens avec du lard du Val d’Aoste et de la truffe noire du Périgord. Un délicieux et authentique voyage gastronomique. La  carte du restaurant change au rythme des saisons et des produits qui les accompagnent. Un design épuré et une ambiance chaleureuse et détendue         L’ambiance d’Eligo allie l’élégance à la convivialité. Le design léché de l’établissement maintient un aspect urbain et industriel, dans le respect de l’architecture globale, mais également du passé historique du quartier du Rôtillon accueillant le restaurant. En effet, avec son design d’intérieur, Eligo délivre une touche artisanale, rappelant le temps des cordonniers et des tanneurs. L’établissement compte 45 places et une cuisine transparente, afin d’observer le chef mettre la main à la pâte tout en favorisant les échanges. L’ensemble donne un concept «bistronomique» : de la gastronomie dans l’assiette dans une ambiance détendue. Ainsi, l’endroit bénéficie de tout le confort et de l’esthétique nécessaires afin que les clients puissent se sentir comme chez eux. Ajoutons à cela un service soigné et un accueil toujours chaleureux, si l’on en juge d’après les avis recensés chez Trip Advisor et La Fourchette dans lesquels Eligo obtient respectivement les notes de 4,5/5 et 9,3/10. Une autre preuve de son excellence. ...

Restaurant Le Relais 50 : une escale chic et gourmande au cœur de Marseille

Jouissant d’un emplacement privilégié donnant sur le Vieux-Port et sur Notre-Dame de la Garde, le restaurant Le Relais 50 est une escale chic et gourmande située au cœur de Marseille. Dans une ambiance et un style des années 50, l’établissement est une invitation permanente à la découverte et le plaisir de revenir est sans cesse renouvelé. La magie des couleurs et des saveurs dans vos assiettes À travers une cuisine gastronomique du monde où l’inspiration créative du chef se démarque comme une signature, le restaurant Le Relais 50 est un haut lieu de gastronomie et de partage qui a tout pour plaire, même aux plus exigeants. Par ailleurs, la farandole des menus ne cesse d’entretenir la magie dans un beau mariage de couleurs et de saveurs. À la fois simples et raffinés, les plats préparés apportent du soleil dans vos assiettes, auquel viennent s’ajouter quelques notes d’exotisme et une bonne dose d’authenticité. Une cuisine gastronomique aux saveurs d’ailleurs    Noël Baudrand aujourd’hui aux commandes derrière les fourneaux du restaurant, se plaît à composer de belles assiettes à travers une cuisine gastronomique du monde revisitée. Laissez-vous tenter par son maquereau de méditerranée fait de tartare minute, de coulis de roquette et de glace wasabi, avant d’enchaîner avec son plat signature qui est et restera la poitrine de cochon confite et caramel de tomate au poivre de Sichuan. Comme dessert, terminez avec son duo de banane et d'avocat en tube croustillant de noix de coco, une pure merveille du Japon accompagnée d’un zeste de gingembre… de quoi délecter les palais les plus exigeants. ...

Zicatela : du pur mexicain

Le chef Pepe Iglesias a commencé sa carrière au Mexique, dans l’État d’Oaxaca. En avril 2003, il s’est installé rue Geoffroy-Marie, dans le 9e arrondissement de Paris, à deux pas des Folies Bergère. Ici, il confectionne des plats de la gastronomie mexicaine dans sa cuisine ouverte sur la salle. Le restaurant Zicatela peut accueillir jusqu’à 34 convives, qui s’installeront sur les deux étages. Un petit espace, des poutres apparentes, une décoration résolument sobre pour une ambiance chaleureuse. Une carte 100 % mexicaine À côté des célèbres burritos et fajitas, vous trouverez des plats typiquement mexicains. En entrée, les plus curieux commenceront par un pozole, cette soupe traditionnelle mexicaine légèrement piquante, à base de gros grains de maïs soufflé et de poulet, les autres savoureront un guacamole ou des nachos. En plat, privilégiez l’enchilada, cette tortilla enroulée garnie de fromage et de poulet, recouverte d’une sauce et de fromage fondu. Pour une version sucrée-salée légèrement piquante, optez pour la negra et sa sauce mole (cacao et épices). Si vous aimez une version plus piquante, choisissez plutôt l’enchilada roja, servie avec une sauce rouge à base de chipotle (piment mexicain), ou l’enchilada verde, avec une sauce verte à base de piment vert et de tomates vertes. Toutes sont accompagnées de guacamole, de haricots rouges, de riz et de crème. Si vous raffolez des haricots rouges, vous serez conquis par le frijoles charros. Vous pouvez également déguster un mole, une marmite avec des morceaux de poulet et une sauce mole, ou des tingas. En dessert, savourez un tamal, cette pâte de maïs cuite à la vapeur dans une feuille de maïs parfumée à la crème de coco et à l’ananas. De nombreux plats sont également déclinés pour les végétariens. Côté boissons, vous avez le choix entre vins mexicains, argentins ou chiliens, mais aussi des bières mexicaines ou des aguas frescas. Sans oublier la tequila, le mezcal ou la piña colada pour un apéritif dans la pure tradition. Une clientèle mexicaine aime se retrouver dans ce lieu où elle peut venir savourer les plats emblématiques de son pays. ...

E-Visums : une demande de visa électronique accessible à tous

La demande de visa est souvent synonyme de remplissage de divers formulaires, traitement de documents administratifs, des allers-retours associés à une perte de temps. Les choses se compliquent quand un certain niveau de langue étrangère est exigé pour pouvoir réaliser convenablement ces formalités. Et bien évidemment, les fautes de frappe ou erreurs grammaticales qui s’insèrent un peu partout sont inévitables, prolongeant encore plus la démarche. C’est pour pallier ce phénomène que les solutions digitales sont entrées en force… Un visa électronique en quelques clics E-Visums propose actuellement deux sortes d’e-visa, pour le tourisme et les voyages d’affaires, s’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises. « Notre travail est d’accompagner le client dans sa demande d’e-visa : nous fournissons un formulaire plus abrégé et néanmoins très complet », nous éclaire Laurie Kleit Calon, chargée de marketing d’E-Visums. Concrètement, le site Internet ergonomique est conçu pour faciliter l’accès aux informations relatives à l’obtention du visa pour chaque pays et le remplissage des formulaires de demande. Le site est traduit entièrement en français, comporte des explications et FAQ bien détaillées, et affiche clairement les tarifs appliqués. « Des liens externes vers le site officiel des gouvernements sont aussi suggérés pour que les clients puissent librement comparer le prix et faire leur choix en toute connaissance de cause », continue notre interlocutrice. Tout cela tend à simplifier la compréhension des textes dans son intégralité par les clients pour minimiser les erreurs dans le remplissage. Et si erreurs il y a, l’agence a également pour mission de les identifier et de les corriger avant l’envoi de la demande. Toute cette démarche basée sur une transparence absolue aboutit sur une validation de visa électronique en un temps record, en moins de 24 heures pour la plupart des destinations. Le client n’aura qu’à l’imprimer et le présenter avec son passeport lors de son déplacement. Des solutions adaptées à chaque besoin Tout au long de ce processus, un suivi personnalisé est accordé à chaque client afin de satisfaire leurs demandes spécifiques. Le traitement d’une demande de visa double entrée ou le voyage en groupe par exemple sont cités comme des cas particuliers. « Parfois, nous leur proposons d’organiser différemment leur voyage afin que la validité de leur e-visa puisse mixer de la meilleure façon qu’il soit avec leur programme », explique-t-elle pour dire qu’E-Visums intervient, quand il le faut, dans la préparation du voyage afin d’assurer l’obtention du visa. Un service client accessible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 permet aux clients d’obtenir des informations complémentaires ou faire part de leurs requêtes à tout moment. ...

Clamageran Expositions, votre partenaire idéal en logistique événementielle nationale et internationale : plus de 40 années d’expérience au service de la profession

Depuis 1971, la société Clamageran Expositions accompagne les organisateurs de salons d’envergure nationale et internationale à travers ses solutions de transport et prestations logistiques annexes. Clamageran Expositions est maintenant depuis plusieurs décennies leader dans son domaine et traite plus de 700 salons, congrès, événements internationaux par an, dont le Salon International de l’aéronautique et de l’espace (salon leader au monde, organisé tous les deux ans à Paris-Bourget). Clamageran Expositions a le privilège d’être un prestataire officiel de cet événement prestigieux. Une large gamme de prestations Sous licence transport de la Fédération française des commissionnaires et auxiliaires de transports, les prestations de Clamageran Expositions sont déployées sur plusieurs niveaux, depuis le traitement des formalités douanières, jusqu’au transport en passant par la manutention et le stockage. A travers son double agrément d’agent de fret aérien IATA et transitaire en douane, la société assure la préparation et le transport des marchandises jusqu’au lieu de livraison finale, que ce soit par voie aérienne, terrestre ou maritime. Aussi, sa qualité de transitaire est renforcée par une certification OEA (Opérateur Economique Agréé) lui permettant la simplification des démarches douanières à l’importation et exportation.  « Cet agrément, délivré par la Direction générale des douanes, signifie également que notre chaîne logistique est entièrement sécurisée : l’ensemble de nos circuits, nos bureaux, nos magasins et nos entrepôts », explique Lucien Lawson, Directeur Commercial International et Marketing de la société. «Propriétaire d’une importante flotte d’engins de manutention (chariots-élévateurs etc…) , de tous types de camion , notre présence permanente à l’intérieur des principaux parcs des expositions avec des entrepôts dédiés font que nous sommes le partenaire idéal de vos salons», rajoute-t-il. S’appuyer sur un réseau de partenaires De par son implantation géographique, Clamageran Expositions peut intervenir pratiquement sur tout le territoire français. En effet, elle est implantée en permanence à l’intérieur des parcs des expositions de Paris Expo Porte de Versailles, Paris Nord Villepinte permettant la couverture complète des salons de Paris et la région Parisienne. Les deux autres bases sont installées respectivement à EUREXPO Lyon et au Parc CHANOT à Marseille, des bureaux d’exploitations à Nantes permettant la couverture du Grand Ouest de la France ainsi qu’un bureau implanté dans le Sud de la France pour les salons  de la Côte d’Azur. Dans le souci de concilier les contraintes de temps et l’efficacité, la société collabore également avec d’autres partenaires logistiques spécialisés, triés sur le volet. « Les organisateurs et les prestataires avec qui nous travaillons doivent s’inscrire dans le même niveau de qualité exigé par nos engagements et nos clients », souligne notre interlocuteur. En outre, son statut d’adhérent-associé à l’Union française des métiers de l’événement (UNIMEV) lui accorde la possibilité de développer un réseau de partenaires professionnels dans l’industrie des expositions. Mais l’expertise de Clamageran Expositions s’exporte aussi en dehors de la France. Un département « salon à l’étranger » est entièrement consacré à l’accompagnement logistique des exposants français qui vont exposer en Europe et dans le monde. En tant que membre fondateur d’IELA (International Exhibition Logistics Associates), un réseau de 163 sociétés-membres présentes dans 54 pays constitue un gage de professionnalisme au service de l’industrie des expositions et événements dans le monde. Agrément ISO 20121 Au-delà de ses compétences transversales dans le transport et la manutention, la société souhaite orienter son axe d‘évolution vers le développement durable. En avril 2015, elle a engagé une démar...

Le LSEE, un laboratoire au cœur de la machine électrique et de ses constituants

Savez-vous que près de 40 % de la consommation électrique mondiale est due au fonctionnement des moteurs électriques dans l’industrie ? Depuis sa création, en 1993, le Laboratoire Systèmes Électrotechniques et Environnement (LSEE), situé au sein de la Faculté des Sciences Appliquées de l’Université d’Artois, à Béthune, est devenu spécialiste de l’amélioration de l’efficacité énergétique des machines électriques. « Les solutions développées mettent en œuvre des matériaux nouveaux ou des structures originales, tout en prenant en compte cycles de fonctionnement et contraintes industrielles », explique Jean-Philippe Lecointe, professeur en génie électrique et directeur du LSEE. Les chercheurs du laboratoire ont développé des compétences très pointues comme, par exemple, l’utilisation des champs magnétiques externes que rayonnent les machines pour diagnostiquer leur état de santé ou analyser leurs performances énergétiques.  « L’écoconception vient en superposition de ces travaux, avec l’utilisation de matériaux moins polluants ou de procédés de fabrication écoresponsables ou plus écologiques », poursuit le directeur. Le LSEE s’est d’ailleurs distingué en concevant, en partenariat avec EDF et l’ADEME, un moteur à faible impact environnemental : un « moteur vert », avec rendement amélioré, procédés de fabrication et matériaux respectueux de la planète, analyse du cycle de vie, etc.  Une expertise de plus de 20 ans Cette réalisation résume bien l’ambition des recherches du LSEE. Le laboratoire va même plus loin en essayant de limiter les bruits et vibrations des machines. Ces investigations, menées depuis plus de 20 ans au laboratoire, reposent sur une modélisation analytique des machines électriques. Elles permettant de créer un lien direct entre les grandeurs électriques et les grandeurs acoustiques. Outre des améliorations notables concernant le confort acoustique au voisinage des grandes machines électriques, ces travaux ont également permis de mettre au point des méthodes de diagnostic très innovantes. « L’expertise du LSEE se manifeste également dans le domaine des systèmes d’isolation électrique. Les isolants constituent un facteur essentiel de la durée de vie des machines électriques et l’anticipation de leur vieillissement permet de réduire notablement les coûts de maintenance et d’améliorer la sûreté de fonctionnement des équipements », détaille Jean-Philippe Lecointe. Le LSEE développe donc des solutions innovantes pour évaluer ou accroître la durée de vie de l’isolant des fils utilisés pour bobiner les actionneurs électriques, comme un diagnostic non invasif on line des équipements, une réduction des contraintes par agencement fin des conducteurs dans leurs encoches, une étude des problèmes d’isolation liés aux hautes températures.  Que ce soit en préconisant des solutions de bobinage innovantes ou en utilisant des matériaux tels que les céramiques pour assurer le fonctionnement à températures élevées, le LSEE est au cœur des préoccupations de l’isolation des machines. Depuis plus de 20 ans, les chercheurs du LSEE analysent et conçoivent des machines électriques pour accroître leur efficacité énergétique, réduire leur émission acoustique ou les rendre plus fiables. ...

Le colombier : le temple de la gastronomie toulousaine

Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur. Reflet de la cuisine du sud-ouest Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux. Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux. Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement).  Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans. En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine. ...

Château de Chaintres : des vins plaisir
qui invitent au partage et à la convivialité

Parti d’une lutte raisonnée, puis biologique et mettant en place maintenant les préceptes de la biodynamie, le Château de Chaintres s’attache à vinifier le plus naturellement possible dans le respect de la tradition : il produit des appellations  Saumur Champigny, Saumur Rosé, Saumur Blanc et Crémant de Loire, certifiés bio par Ecocert France depuis les millésimes 2013. Une particularité du domaine est sa diversité de terroirs dont le tuffeau, la roche calcaire dominante de la région, qui fournit aux vignes un drainage naturel et contrôlé. Les cépages nobles de la région, et les seuls utilisés à Chaintres, sont le cabernet franc et le chenin. Une qualité reconnue à sa juste valeur Par son savoir-faire unique, le domaine élabore des vins de terroir élégants, amples et généreux pour accompagner les viandes rouges et les poissons charnus. Une qualité reconnue à sa juste valeur à travers des récompenses prestigieuses au fil des années. Les plus récentes, deux médailles au concours « Decanter 2018 », argent pour  le Saumur Champigny Les Sables 2017 et Or pour le Saumur Champigny Vieilles Vignes 2017, qui est élevé au minimum 10 mois sur lies fines avant la mise en bouteille. ...

Pour l’implantation d’entreprises

Les Yvelines, une terre d’opportunités Premier département industriel d’Île-de-France, Les Yvelines entretiennent depuis quelques années une belle dynamique en concentrant plus de 18 % de l’emploi industriel de la région. Il est également le premier département en Recherche et Développement d’Île-de-France. Accusant un PIB /habitant très élevé, les Yvelines comptent parmi les départements les plus prospères à l’échelle nationale. Le département bénéficie en effet de la présence de nombreux acteurs économiques regroupés autour de quatre filières d’excellence : l’industrie automobile et aérospatiale, les éco-industries et la filière TIC.     Une ressource humaine jeune et qualifiée Sur le plan démographique, le département compte environ 1,4 million d’habitants avec 28 % de jeunes de moins de 20 ans. Les Yvelines se dotent d’une cinquantaine de centres de formation comprenant un réseau de lycées internationaux, six grandes écoles ainsi que l’université de Versailles-Saint-Quentin. Près de 10 000 actifs évoluant dans les professions intellectuelles supérieures sont recensés sur le territoire.    Un endroit où il fait bon vivre La ville de Rambouillet remplit toutes les conditions pour offrir une qualité de vie très appréciable. « Une étude réalisée en juillet 2015 place Rambouillet au 9ème rang des villes où il fait bon vivre en France » souligne M. MEMAIN, vice-président, chargé du Développement économique. Un des critères pris en compte dans ce classement concerne le taux de chômage. Sur ce point, la ville affiche un taux relativement bas oscillant entre 5,4 et 5,7 % en fonction des trimestres. Une performance qui reflète notamment la bonne santé économique de Rambouillet. Un véritable vivier d’entreprises Sur le territoire se trouvent des entreprises appartenant à deux pôles de compétitivité : la Cosmetic Valley (sciences de la beauté et du Bien-Être et  Mov’eo (secteur de l’automobile et des transports collectifs). Localement, la filière parfumerie et cosmétique est représentée par des grands noms comme Guerlain et L’Oréal. Il en va de même pour la filière de l’automobile avec Continental ou Veolia, implantées à Rambouillet. Au-delà de ces fleurons, on note aussi la présence de groupes internationaux (Rehau, Shüco) et d’un réseau de PME-PMI dynamiques (SNEF, EBP, Noe, Polysem, A2V, Sentosphère, Rouxel…) Un dynamisme qui se traduit par un chômage peu élevé : avec un taux de 5,7% début 2017, le niveau de chômage dans le bassin d’emploi de Rambouillet est l’un des quatre plus bas en France. « Nous sommes adhérents à MOV’EO et nous avons un projet portant sur un véhicule autonome  et qui s’inscrit actuellement dans une démarche d’expérimentation et d’innovation» explique monsieur MEMAIN. Parc d’activité(s) Bel Air – La Forêt : donnez de l’air à votre entreprise ! Établi sur une superficie totale de 63 hectares, le parc d'activités Bel Air-La Forêt est un endroit unique dédié aux entreprises du tertiaire et de la petite industrie.  À seulement 35 minutes de Paris et offrant un large choix de transport, le parc profite d’un emplacement stratégique. Au sein de cet environnement qualitatif, les conditions de travail sont optimales. Il faut savoir que 40 % du parc sont réservés aux essences végétales de la région. Au niveau architectural,  tout a été conçu afin de préserver un équilibre entre le bâti et l’espace naturel. Séduites par les multiples attraits de Bel Air – La Forêt, des entreprises telles que DBA, A2V, CTA MGA ou encore DUPONT RESTAURATION ont saisi l’opportunité de s’implanter sur la zone. Ces entreprises ont non seulement tiré avantage des prix compétitifs, mais elles ont également bénéficié d’une exonération sur la taxe d’aménagement (part communale). ...

Améliorez l’expérience d’achat de vos clients avec Happywait

Depuis sa création, en 2015, la solution Happywait est de plus en plus utilisée par les promoteurs. Quelques mots sur la solution Happywait Lorsqu’un acquéreur est sur le point d’acheter un logement neuf, il sait qu’il doit attendre un certain temps avant de voir son projet se concrétiser. Parfois, le rêve peut virer au cauchemar en engendrant diverses complications. Souvent par manque de communication entre le promoteur en charge du projet et l’acheteur. C’est en partant de ce constat qu’Happywait a été créée. L’objectif est simple : faciliter la relation entre acheteur et promoteur par le biais d’une plateforme internet aux couleurs de l’entreprise qui simplifie la suivie du projet, au fur et à mesure de son avancement. Du côté du promoteur, il est possible de communiquer à ses clients tous les éléments techniques et administratifs en toute simplicité. Ainsi, il devient très facile d’accompagner chaque acheteur en les informant régulièrement et en leur fournissant des photos de l’avancée du chantier. L’acquéreur, quant à lui, peut poser toutes les questions souhaitées au promoteur à tout moment. À savoir : si nécessaire, les professionnels d’Happywait sont capables d’accompagner les équipes commerciales et de proposer une prestation de Community Management sur l’espace client (renseignement de celui-ci, mise en ligne de photos récentes, etc.). Happywait : de sa création à aujourd’hui L’idée d’Happywait vient de Julien Mouazan. Cet expert du web a commencé à réfléchir à ce projet en 2012, en achetant un appartement neuf sur plan. Il s’est retrouvé face à certaines problématiques et a décidé de créer une solution capable d’y répondre. Après avoir présenté le prototype à un ami promoteur, il se lance dans la conception. Aujourd’hui, l’équipe est composée de 4 personnes et évolue de jour en jour pour rester réactive face aux attentes de leurs clients, de leurs métiers et des problématiques qui y sont liées. Ainsi, de nombreux modules sont en cours de développement afin d’aider les équipes opérationnelles de la quarantaine de promoteurs qui leur font confiance à gagner du temps. ...

Herboristerie Cailleau : des plantes médicinales et aromatiques de haute qualité

Installée dans des bâtiments neufs à la sortie de l’autoroute à Chemillé-en-Anjou dans le département du Maine-et-Loire, l’herboristerie Cailleau bénéficie de 4.500 m² pour recevoir, transformer, conditionner et expédier en respectant les dernières normes de production. Elle regroupe 2 secteurs d’activité : la vente aux détaillants comme les herboristeries, les coiffeurs, les magasins diététiques ou les pharmaciens et la vente aux industriels comme les brasseurs de bières, les industries agroalimentaires et cosmétiques La société ayant reçu son agrément pharmaceutique depuis un an maintenant, elle peut désormais vendre les plantes du domaine pharmacopée aux pharmacies. Aujourd’hui, l’Herboristerie Cailleau emploie 30 salariés à temps plein. Un catalogue de plus de 800 références Son catalogue contient plus de 800 plantes déclinées sous différentes formes : feuilles, fleurs, sommités fleuries, racines, coupées, entières, poudre… L’Herboristerie mise sur l’excellence botanique de ses produits et sur le savoir-faire de ses fournisseurs, pour procurer des plantes de haute qualité à ses clients. Elle en garantit l’identité botanique. Avec son pharmacien, la société analyse et contrôle chaque réception pour garantir in fine la sécurité des consommateurs. Elle se fournit au plus proche, favorisant les circuits courts et les producteurs locaux. Mais certaines plantes ne sont pas cultivées dans la région. Ainsi par exemple la lavande arrive du sud, le génépi des Alpes. D’autres doivent être importées, particulièrement de Pologne, Hongrie, Lituanie, Espagne, Portugal, Maroc, Tunisie ou encore Brésil. Elle s’est également engagée dans une démarche bio pour répondre à une demande de plus en plus importante. Actuellement les plantes bio représentent 25% du catalogue. Les plantes sont préparées sous toute forme (coupée, pulvérisée), transformées (gélule, macérât aqueux, huile essentielle, infusette) et conditionnées (de 250 g à 2,5 T) dans les locaux de la société, suivant les besoins et les demandes des clients. Plus de 2000 clients lui font déjà confiance. La qualité de ses produits est également reconnue à l’étranger puisque l’Herboristerie Cailleau réalise 15% de son chiffre d’affaires à l’export. Depuis 1 an l’herboristerie a aussi ouvert un site de ventes en ligne dédié aux particuliers, répondant ainsi à l’ensemble des demandes de ses clients. ...

Restaurant Badine : la nouvelle vague de la gastronomie grenobloise

Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque. Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur. La gastronomie Poyet  Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche.  Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère. Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix.  Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues. Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef. La carte des vins La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région. Le cadre Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local. La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour ! ...

French Beaches : le goût désaltérant d’une bière A.P.A

Opérant dans le domaine du vin depuis plus d’une quinzaine d’années, Christophe Kaczmarek fait ses premières initiations au sein d’un des plus célèbres cavistes parisiens Le Repaire de Bacchus. Il affûte ensuite ses armes en se formant auprès de Jean-Michel Deluc et Paolo Bouca Nova puis intègre des maisons viticoles de grande renommée comme les Domaines Paul Mas ou le Groupe Castel. Fort d’une solide expérience professionnelle, il met à profit ses acquis pour lancer son entreprise en 2015, puis la marque French Beaches en 2020. Une marque française audacieuse et décomplexée French Beaches, c’est une gamme de vins dans l’air du temps produite à partir de l’assemblage de différents jus récoltés auprès de vignerons certifiés en agriculture biologique et biodynamique. La jeune marque française tire aussi profit de la vogue des bières artisanales pour créer ses propres « crus ». La micro-brasserie se trouve en plein Massif central, en Auvergne et tisse des partenariats avec d’autres brasseurs dans la conception de ses produits. « Je travaille avec Romain Paire du Domaine des Pothiers qui est vigneron, brasseur mais aussi éleveur de vaches », raconte Christophe Kaczmarek. Un troisième larron se rejoint au groupe en la personne de Ludovic Chaillit, Brasseur à Saint-Romain-la-Motte. Ensemble, le trio crée la Liberté Unplugged — A.P.A, une nouvelle bière artisanale fraîche et désaltérante. Une A.P.A digne de ce nom Les American Pale Ale (A.P.A) sont des bières fortement houblonnées aux puissants arômes d’agrumes, de fruits exotiques ou floraux. La Liberté Unplugged – A.P.A. se veut légère car elle contient un plus faible taux d’alcool. Facile à boire, elle dévoile une bouche houblonnée, dense et veloutée qui s’achève par de belles notes d’amertume. « Je voulais avoir une bière à l’équilibre gustatif entre l’amertume et la gourmandise », déclare le brasseur. ...

La Saline royale : lieu prestigieux pour l’événementiel d’entreprise

C’est entre 1775 et 1779 que Claude-Nicolas Ledoux, architecte de renom, bâtit cette usine de transformation de sel suivant les ordres de Louis XV. Abritant onze bâtiments au total, dont certains dédiés à accueillir les ouvriers d’antan et leurs familles, ce lieu construit en arc de cercle symbolise alors le progrès industriel entamé, au milieu du siècle des Lumières, par des bâtisseurs de l’impossible. Cette ancienne usine, dédiée à la production de sel et premier site de son genre à être inscrit au patrimoine mondial, accueille le grand public lors d’événements culturels à l’instar d’expositions temporaires et permanentes, de colloques ou de concerts. La Saline accueille pour plusieurs années en Résidence artistique le célèbre musicien Jordi Savall et son ensemble Le Concert des Nations.  Culture et histoire se retrouvent ainsi dans cette enclave où séminaires, congrès et réunions d’affaires seront organisés au cœur d’une ancienne cité industrielle, « véritable œuvre architecturale unique semblable à un palais », décrit Hubert Tassy, le directeur de la Saline. « Un patrimoine dédié à la culture » C’est en ces termes qu’Hubert Tassy continue la description de la Saline royale, acquise en 1927 par le département du Doubs après un siècle d’abandon environ. Reconstruite à quatre reprises avant d’être totalement rénovée en 1996, cette manufacture devient un centre culturel vers la fin du XXe siècle. De nombreuses manifestations culturelles inédites se tiendront dans les salles et dans les extérieurs du bâtiment, notamment dans les fameux jardins des ouvriers. « Ces jardins accueillent chaque année un festival de création éphémère. En 2017, le thème était, en correspondance avec l’exposition « Le monde d’Hergé » les personnages des albums de Tintin. » Des étudiants issus des écoles nationales du paysage ont concouru et ont été sélectionnés par un jury présidé par Alain Baraton. Hubert Tassy de rajouter que durant tous les week-ends d’été, « nous proposons une immersion spectaculaire dans un monde d’images animées et de projections monumentales sur une création musicale de Bruno Coulais, le spectacle Lux Salina  retrace ainsi l’histoire, réelle ou rêvée, de la Saline ». Outre les expositions temporaires, ce Centre Culturel de Rencontre propose également trois expositions permanentes : une, intitulée « Histoires de sel », retraçant l’histoire du sel et sa transformation dans les salines ; une autre relatant l’histoire des lieux depuis sa fermeture en 1895 jusqu’à aujourd’hui, exposition baptisée « Mémoires du lieu », et une dernière dédiée à l’architecte-père de ce monument, le musée Ledoux.  « Seul musée d’Europe dédié à un seul architecte, il abrite plus de 50 maquettes des réalisations, construites  ou imaginaires, de Claude-Nicolas Ledoux. La plupart de ces œuvres sont tirées de son traité L'Architecture Considérée sous le rapport de l'Art, des Mœurs et de la Législation, ouvrage visionnaire qui a inspiré de nombreux architectes » relate notre interlocuteur. ...