Sensible au « bien manger », à la dégustation de mets élaborés avec des produits frais, de saisons et à un tarif abordable, la destination Baie de Saint‐Brieuc – Paimpol ‐ Les Caps propose un menu qui donne l’eau à la bouche : une riche palette de produits terre/mer, des professionnels engagés dans la qualité, désireux de faire partager leur savoir‐faire, et des événements tout au long de l’année. La destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ Les Caps se situe en Côtes d’Armor dans la cinquième plus grande baie au monde par l’amplitude de ses marées et s’étend de Paimpol à Fréhel. La renommée des chefs, le nombre de restaurants, la qualité des produits gastronomiques locaux et la riche programmation des animations culinaires font de ce territoire une véritable destination gourmande. En Baie de Saint‐Brieuc, les chefs sont inspirés par les senteurs et saveurs des produits locaux. Ils mêlent avec talent les produits de la terre aux produits de la mer dont la fameuse coquille Saint‐Jacques, reine de la baie, pêchée d’octobre à avril, mais aussi d’autres produits d’exception comme le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol ou le fameux «coco de Paimpol» (AOC). La programmation gourmande de la Baie de Saint‐Brieuc donne rendez‐vous aux amateurs de bonne chère. Pour le weekend de la pentecôte, les chefs quittent leur cuisine pour Rock’n Toques durant le festival Art Rock. Tout au long de l’année les occasions ne manquent pas pour découvrir le territoire tout en ravissant les papilles : balades gourmandes, dégustations, ateliers, visites des criées, marchés nocturnes bio, fête de l’huître, fête de la coquille Saint‐Jacques, fête de la Gastronomie... De la crêperie au restaurant étoilé, les escales gourmandes parsèment la Baie de Saint‐Brieuc. Ports, fermes, cidreries, conserveries... Nombreux sont les professionnels qui ouvrent leurs portes au grand public pour partager leur passion. Des produits savoureux de qualité Entre terre et mer, la Baie de Saint‐Brieuc apparaît comme un condensé de Bretagne, par ses paysages, ses traditions, son patrimoine. La Baie de Saint‐Brieuc avec ses panoramas bleus et verts et ses plages escarpées, abrite de nombreux produits de bouche de qualité. Parmi les différents trésors, la coquille Saint‐Jacques est certainement le plus réputé. Plus de 5 700 tonnes de coquilles sont pêchées depuis les ports d’Erquy, Loguivy‐de‐la‐Mer et Saint‐Quay‐Portrieux en Baie de Saint‐Brieuc. La Baie est également un territoire de mytiliculture, d’ostréiculture, de maraîchage, d’élevage de porcs et de poissons. On y déguste le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol, l’huître de Fréhel avec son goût très iodé, les moules, le coco de Paimpol, les algues, les pâtisseries telles que les palets de Fréhel à la nougatine et au chocolat, les crêpes bretonnes... le pommeau du Goëlo, le cidre, le boujaron (eau de vie de cidre) : les breuvages ne manquent pas non plus en Baie de Saint‐Brieuc. Une destination authentique innovante Si la Baie de Saint‐Brieuc est authentique par ses paysages et ses produits, elle est innovante par les hommes qui la font vivre. Dans cet espace où terre et mer ne cessent de se superposer, l’originalité et la créativité des « hommes gourmets » semblent illimitées. Elles sont le fruit d’une émulation partagée, d’une inspiration toujours sollicitée avec des produits locaux de qualité. La destination compte trois chefs étoilés au guide Michelin : Mathieu Aumont (Saint-Brieuc), Jean‐Marie Baudic (Saint‐Brieuc) et Nicolas Adam (Plérin). C’est aussi à Saint‐Brieuc qu’est né le collectif Rock’n Toques. Une brigade de cent cinquante professionnels de la restauration, dont trois chefs étoilés, qui proposent pendant les trois jours du Festival Art Rock, une gastronomie de rue qualitative, à base de produits locaux et de saison. C’est donc dans un esprit convivial, de partage et de fête que la destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ les Caps développe une démarche collective pour permettre, aux prix les plus abordables possibles, de valoriser une alimentation saine, locale...
Ce n’est un secret pour personne : La Grande Épicerie de Paris est un lieu incontournable de la gastronomie. Depuis novembre 2017, l’enseigne historique de la Rive Gauche a traversé la Seine et ouvert un nouveau magasin rue de Passy, dans le 16ème arrondissement. La Grande Épicerie de Paris : lieu de vie et de passion Rive Gauche comme Rive Droite, les rayons de La Grande Epicerie de Paris mettent à l’honneur une vaste sélection de saveurs d’ici et d’ailleurs : épicerie (thé, café, huile, pâtes, confiture etc.), produits frais (fromage, charcuterie, poissonnerie, boucherie etc.), références d’exception (caviar, foie gras ou truffe), cave (vins et spiritueux du monde), sans oublier la pâtisserie, la boulangerie et le traiteur dont les créations sont réalisées chaque jour par une centaine d’artisans passionnés dans les laboratoires, sous le magasin rue de Sèvres. Pour satisfaire tous les gourmets, La Grande Épicerie de Paris accorde une grande importance à la sélection de ses produits. C’est dans ce but qu’une équipe d’experts sillonne la France entière et le Monde à la rencontre des producteurs et artisans proposant les meilleurs produits mais aussi à la découverte d’innovations en tous genres dans le secteur de l’alimentaire : nouvelles textures, nouveaux ingrédients, packagings originaux, catégories de produits redynamisés,… La Grande Épicerie de Paris : une histoire à succès L’histoire de La Grande Épicerie de Paris débute en 1852. C’est à cette date qu’Aristide Boucicaut crée le premier grand magasin au monde : Le Bon Marché, où de nombreuses innovations virent le jour tels que la vente par correspondance, le blanc ou les soldes. Dès 1923, un « comptoir de l’alimentaire » est installé au sein du grand magasin et c’est en 1978 que La Grande Epicerie de Paris telle qu’on la connait aujourd’hui voit le jour. Depuis sa création, elle reste le lieu privilégié des gastronomes parisiens à la recherche de produits et d’expériences d’exception. Après un tour dans les rayons, chacun peut s’arrêter au choix sur l’un des comptoirs de dégustation essaimés dans les magasins (ibérique, thé et café, luxe et truffe entre autres) ou dans les restaurants : La Table de La Grande Epicerie (Rive Gauche) ou Le Rive Droite tenu par la chef Beatriz Gonzalez (rue de Passy). Lieu de découverte mais aussi de vie, La Grande Epicerie de Paris propose à ses clients une foule de services : de l’organisation d’événements, à la confection de corbeilles cadeaux sur mesure en passant par la livraison à domicile, le service voiturier ou la réservation de taxis. La Grande Épicerie de Paris sur le web La Grande Épicerie de Paris, ce ne sont pas seulement deux magasins dédiés à la gastronomie. C’est aussi un site internet complet et pratique qui met à disposition des internautes une vaste sélection de références livrables partout en France et en Europe et une multitude de recettes, tendances, d’informations sur les marques, les artisans et les savoir-faire. Prolongement de l’expérience en magasin, il regorge d’informations pratiques (plan, visite virtuelle, catalogue de produits) et de services complémentaires (demande de devis, privatisation du restaurant La Table…). ...
Le Petit Clou des Vents est un petit vignoble situé à Soumensac (Lot-et-Garonne). Il jouit de l’altitude, du vent et de la douceur climatique du Sud-Ouest. Sylvain Jougla et sa femme Lucile ont décidé de s’installer ici en 2011. Ils ont racheté des vignes de tout âge, entre 12 et 47 ans aujourd'hui et ont fait le choix de conduire leurs 3,5 hectares de vignes en agriculture bio et biodynamique, prenant le temps nécessaire pour travailler le sol et les pieds des vignes manuellement, grappe par grappe, avant de procéder à une vendange tardive. « Après les vendanges, 80 % des raisins subissent une fermentation par grappes entières à macération pour obtenir un style de vin particulier », fait savoir le propriétaire Sylvain Jougla, vigneron-artisan. Et ce style de vin séduit non seulement les cavistes et quelques tables gastronomiques de France, mais aussi les œnophiles étrangers. La marque est présente notamment au Japon, au Taïwan et dans les pays scandinaves. Les cuvées de la maison Le domaine Le Petit Clou des Vents élabore une gamme de six cuvées. « Elles sont différentes : chacune a ses propres caractéristiques et défend un terroir particulier », indique notre interlocuteur. Les blancs sont profonds, ronds et pleins de caractère à l’instar de la cuvée Claire. Les rouges, eux, sont pour la plupart d’une puissance enivrante avec une bouche longue et soyeuse. La cuvée Les Grenades quant à elle se veut tout en fluidité, légère et à boire frais. « Les Mayeuls », un trésor élevé en cuve, se distingue de la collection par son fort potentiel de garde. Ce rouge a beaucoup de fraicheur et dévoile des notes d’herbes aromatiques. Tous ces bijoux œnologiques se découvrent à l’occasion de visites-dégustations sur rendez-vous. ...
Dans un style bistrot à l’esprit atelier, où la cuisine ouverte permet à toute la salle de voir le chef travailler derrière une verrière, L’Atelier Ramey fait sensation auprès des foodies parisiens en quête d’une nouvelle cantine. Le décor industriel enrichi d’objets chinés pour la plupart transporte dans un joli voyage bistrotier, où une vraie aventure culinaire vous attend. Ce petit repaire de gastronomes propose, le soir, un menu dégustation complet soupe-entrée-plat-dessert au choix à 34 €, une formule midi entrée-plat ou plat-dessert à 21 € et un menu à la carte. Sa Terrine de boudin noir poêlé céleri remoulade au raifort, sa Joue de bœuf braisée mousseline de topinambour et son Filet de bar rôti à l’olive risotto d’agrumes constituent de véritables délices pour les papilles, sans parler de son fameux Baba au rhum ananas raisins confits et son savoureux Riz au lait caramel au beurre salé tuiles dentelles à l’orange. Une riche carte de vins L’Atelier Ramey travaille directement avec le vigneron qu’il connait personnellement. Ayant l’énorme avantage de posséder un bar à vins, le restaurant se repose sur l’expérience de son sommelier Cyril Laroche pour la sélection rigoureuse de tous les vins de la maison, dont les petites pépites du Sud-Ouest et de la vallée du Rhône et de la Loire, avec une large gamme de vins nature. Pour « les petites bulles de la maison », comme les appelle si bien le propriétaire Dani Maïni, l’enseigne a choisi de travailler avec le Domaine de la Taille au Loup Montlouis-sur-Loire Triple Zéro du vigneron Jacky Blot. Pour les vins du Sud-Ouest, le choix de l’établissement s’est porté sur le Domaine d’Elian Da Ros. ...
Le Château de Gensac porte en lui un riche passé. Surplombant la Vallée de l’Auvignon, un écrin pour de nombreux châteaux gascons, il n’a jamais connu un destin ordinaire. Après sa construction au XIIIème siècle, il sera utilisé de nombreuses fins notamment comme base militaire durant les grandes guerres, mais aussi comme orphelinat. À proximité du château se dresse une chapelle du XIVème siècle surmontée d’un clocher-mur. À l’époque, il s’agissait d’une église à part entière qui a subi des agrandissements au fil du temps. Désormais désacralisé, cet ancien lieu spirituel accueille des évènements culturels. En 2017, Jan et Kim Schürmann tombent littéralement amoureux de cette immense propriété de 300 hectares sise dans le Gers entre Toulouse et Bordeaux. Le couple décide d'en faire acquisition et mettent rapidement en place des modifications. Tout en conservant le cœur de Gensac, il modernise le profil des produits et créé une image et une philosophie contemporaines du Domaine. Un écosystème exceptionnel Sur les 300 hectares constituant la propriété, seuls 20 hectares sont dédiés à la culture de la vigne. Le reste est consacré à la culture de céréales, plantation de peupliers, forêts et prairie naturelles. Une grande partie des terres a été mobilisée à titre de pâturages pour offrir un cadre de vie heureux et épanouissant aux chevaux. Le Château de Gensac possède également une écurie proposant des pensions en box-terrasse ou en stabulation au public. D’ailleurs, l’image de marque du Château de Gensac est intimement liée au monde hippique. « Les visuels et les dénominations utilisés sur nos vins sont le reflet des pratiques de dressage en équitation comme le Piaffer ou le terre à terre pour faire le lien entre nos deux passions », témoigne Jan, totalement enchanté par la plénitude de cette nouvelle vie de vigneron. Après une longue carrière dans l’industrie agro-alimentaire, son arrivée au domaine sonne comme un retour aux sources. Un endroit qu’il façonne dans le respect d’une pratique éco-responsable. « Une grande naturalité et biodiversité se développe sur notre exploitation. Nous avons même décidé d’entamer une conversion bio pour matérialiser notre engagement. » Des vins de caractère et de grande qualité Le domaine propose des vins en IGP Gers et fait partie des rares maisons à se positionner sur cette appellation. La production de ces cuvées authentiques résulte d’un travail de longue haleine. Car prendre soin d’une grande diversité de cépages exige rigueur et implication. En tout onze variétés sont cultivées sur les terres à dominance argilo-calcaire à savoir le tannat, le malbec, le merlot, le fer servadou, le cabernet sauvignon, la syrah, le sauvignon gris, le sémillon, le petit corbu, le petit manseng et pour l’armagnac, l’ugni blanc et le colombard. Dans cette volonté d’élaborer des vins de grande qualité, les vendanges sont faites à la main et le domaine a volontairement choisi un faible rendement par hectare. Une fois les grappes acheminées jusqu’au chai ultramoderne, les vins passent par une vinification en cuve inox et un élevage en barriques neuves de chênes français. Un processus également appliqué dans la fabrication de l’armagnac qui constitue un autre fer de lance de la maison. Les vins obtenus prônent l’excellence et la beauté de leur terroir. À l’image de la cuvée Terre à Terre qui reçoit l’éloge des critiques internationaux tels qu’Andreas Larsson, James Suckling ou encore Jancis Robinson. Élaboré à partir de tannat, de malbec et de merlot, ce rouge puissant qui allie noblesse et saveurs gourmandes se déguste idéalement avec des ragoûts, des plats épicés, de la viande rouge grillée, des fromages forts ou encore des plats rustiques. Terre à Terre existe également en blanc sec issu d’un assemblage de petit courbu et de sauvignon gris. Un nectar qui accompagne à merveille des poissons en sauce, des fruits de mer, du foie gras, des poissons marinés et de la viande blanche gri...
Située au Montat, aux portes de Cahors, Biscuiterie fine de France est une entreprise familiale dotée d’une expertise et d’un savoir-faire artisanal à même de satisfaire tout type de projet et autres demandes spécifiques de ses clients. Pour la petite histoire Rachetée il y a de cela vingt-cinq ans par le couple Jean-Marie et Chantal Robert, la petite biscuiterie qui fabriquait alors des meringues en sachet s’est vite muée en une plus grande structure. Issu du secteur industriel, M. Robert décide d’adresser l’essentiel de la production aux industriels glaciers. Au fur et à mesure du temps et des demandes des clients, un savoir-faire biscuitier s’est développé au sein de l’équipe. En tout, une vingtaine d’employés s’attellent à réaliser des gammes très diversifiées qui touchent aujourd’hui un large panel de clients. Grâce à des outils de production performants alliés à un savoir-faire artisanal, Biscuiterie fine de France répond aux demandes, même les plus exigeantes. Les engagements Désireuse de promouvoir le savoir-faire français, Biscuiterie fine de France s’inscrit dans la démarche Clean Label. Ce qui implique une totale transparence au niveau des produits utilisés. Les ingrédients utilisés ne contiennent ni conservateurs ni exhausteurs de goût. Les colorants et arômes naturels sont davantage privilégiés. Du point de vue écologique, les collaborateurs sont engagés dans une démarche visant à économiser l’eau et l’énergie et à réduire les déchets. Des produits dédiés à tous La vocation première de Biscuiterie fine de France est de proposer des produits innovants aux industriels. Aujourd’hui, son expérience a permis la réalisation de créations de plus en plus abouties. Mis à part les traditionnelles meringues, l’entreprise fournit entre autres différents éclats de biscuits (palets bretons, spéculoos, crumbles, macarons) utilisables dans des préparations pâtissières comme les crèmes glacées ou les coupes de fruits. Pour les particuliers, l’entreprise a lancé récemment une gamme innovante d’aide pour la pâtisserie sous la marque « Biscuiterie fine de France » qui est disponible auprès des GMS. Le consommateur final aura ainsi accès à des produits de qualité qui n’ont rien à envier à la concurrence à l’instar des concassées de spéculoos, des éclats de palets bretons, ou encore un produit très innovant comme la chapelure de pain d’épice. ...
Le restaurant de l’hôtel quatre étoiles Palladia est installé dans une immense salle en ovale très éclairée et ornementée de baies vitrées, faisant de cet endroit un lieu contemporain et chic. Les couleurs chaudes qui y règnent, avec des teintes or et rouge, ainsi que du noir et du blanc, offrent un rendu visuel invitant à la détente. Ambiance chaleureuse et cosy, grand espace permettant à chaque table de jouir d’une excellente intimité… Tout a été pensé dans les moindres détails pour optimiser le confort des clients. Durant la belle saison, la terrasse couverte entourée de jasmins, de citronniers et d’oliviers invite, quant à elle, à passer de bons moments. Produits frais, cuisine de qualité Le restaurant Palladia a l’honneur de vous faire découvrir une cuisine traditionnelle et créative. N’utilisant que les produits de saison et du terroir, le chef garantit fraîcheur et saveur à chacun de ses plats. Les formules varient ainsi au gré des saisons, mais le saumon fumé fait maison reste la plus grande spécialité du restaurant. Ses menus semi-gastronomiques séduisent tous les palais. En entrée, la terrine de saumon aux coquilles de saint-jacques et à la langoustine a du succès. En plat principal, la palette de cochon rôtie et fumée avec l’os, accompagnée d’une polenta au citron et d’un confit d’oignons, en séduit plus d’un. La lotte et sa marinière de coquillages sont aussi très prisées en plat de résistance. Le crémeux des Aztèques en dessert est, quant à lui, un vrai délice recommandé spécialement par la maison. Il s’agit d’un mélange sucré acidulé sensationnel de crème au chocolat et de crème d’avocat citronnée, accompagné d’une flambée à la pina colada. Une chose est sûre, toutes les assiettes sont joliment présentées et divinement savoureuses. Qui dit bon repas, dit bon vin. Une carte agrémentée de quatre-vingts références de vins et de grands crus d’Occitanie accompagne les menus. Laissez-vous conseiller par les maîtres d’hôtel pour découvrir les accords mets-vins les plus harmonieux. ...
Situé à 30 min de Bordeaux sur les coteaux surplombant la rive droite de la Garonne, le Château Loupiac-Gaudiet est une propriété viticole exposée plein sud en AOC Loupiac. Entourée de vignes, le château s’étend sur un domaine d’une superficie de 29 hectares, dont 27 en production de vin blanc liquoreux et 2 en bordeaux rouge. Bénéficiant d’un sol argilo-calcaire et d’un climat marqué par des brumes matinales et des après-midis ensoleillés, les conditions météorologiques sont réunies pour favoriser le développement du Botrytis Cinerea. Un champignon qui attaque directement la graine du raisin, fait sortir l’eau à l’extérieur du fruit pour lui donner une richesse en sucre et un aspect « rôti » aux tons violacés virant au marron bleu profond lors des vendanges successives (2 à 4) qui peuvent se dérouler sur une même parcelle. Comme nous l’explique Nicolas Sanfourche : « C’est avec toutes ces conditions que nos vins sont naturellement sucrés. Une fois que l’on a transformé une certaine partie du sucre en alcool, il nous reste du sucre naturel qui permet de faire des vins liquoreux. » Château Loupiac-Gaudiet : des vins en AOC Loupiac L’appellation d’origine contrôlée Loupiac s’étend dans son ensemble sur 350 hectares environ et regroupe une cinquantaine de producteurs. Cette appellation est très appréciée depuis longtemps pour la justesse de son travail et pour ses vins liquoreux. Initialement reconnue par décret du 11 septembre 1936, l’appellation Loupiac porte déjà ses origines au IVe siècle, à l’époque de la Gaule romaine où le poète Ausone aimait chanter les louanges de la vigne et de ce terroir si particulier. Le vignoble est un assemblage de cépages à 90 % de sémillon et 10 % de sauvignon. Le sémillon, cépage roi des vins de Loupiac et du Château Loupiac-Gaudiet, est originaire de la Gironde. Il permet de produire des vins blancs essentiellement liquoreux de très grande qualité et ayant pour principal atout de retransmettre dans le gout de son vin l’expression de sa maturité et son côté très fruité. Le sauvignon, quant à lui, est un cépage blanc qui, en accord avec le cépage frère du sémillon, permet dans l’assemblage des vins de Loupiac d’apporter fraicheur et minéralité avec des arômes de fruits blancs. Une alchimie complexe qui permet de produire des vins de grande qualité, riches naturellement en sucre, dotés d’une structure élégante soutenue par une délicate acidité. « Nos vins se bonifient avec l’âge et correspondent au gout que nous souhaitons y trouver », souligne Nicolas Sanfourche. « De manière générale, un vin liquoreux jeune sera davantage porté sur le fruit, plus vif, plus acidulé, plus nerveux et facile à boire. Un Loupiac d’une dizaine d’années gagne en complexité avec une palette aromatique subtile de fruits confits, d’abricot, d’eucalyptus et des notes d’agrumes. En bouche, une longueur onctueuse, ample, révélant des sucres encore bien présents, avec des sensations étonnantes et, au final, une légère acidité qui apporte un côté minéral et une fraicheur au vin. » Bien qu’ils peuvent se boire jeune, après un vieillissement de 2 ans au minimum, les vins en AOC Loupiac possèdent un bon potentiel de garde. 15 ans et plus pour les grands millésimes. Château Loupiac-Gaudiet 2010 : un millésime de grande qualité Comme ses vieux ainés 1929, 1949, 1959, l’année 2010 est classée parmi les millésimes d’exception à privilégier. La presse spécialisée, dont le célèbre guide des experts du vin Gilbert & Gaillard (2014), a d’ailleurs attribué au Château Loupiac-Gaudiet 2010 une note de 85/100, en le classant comme « un vin de très bon niveau, dont nous avons apprécié la typicité et la personnalité ». Il a été également retenu parmi les 5 liquoreux à découvrir dans la Revue du vin de France de juin 2010 et a reçu deux étoiles au Guide Hachette 20...
Une vie sauvée grâce au champagne. C’est l’histoire de Michel Gonet, qui, à cause d’une dysphasie, ne peut rien avaler. Il ingurgite alors quelques gorgées de ce précieux nectar, qui, par miracle, aident à soigner ses troubles. « Le champagne m’a sauvé… », s’exclame-t-il. De là commence une passion pour ce vin pétillant, qu’il partage avec toute sa lignée. Sophie et ses frères Frédéric et Charles-Henri Gonet forment les dignes héritiers de ce riche patrimoine. Une réflexion permanente sur la qualité Michel Gonet installe des outils de production plus modernes dans son domaine à partir de 1973. Depuis, la maison continue de viser l’excellence en perfectionnant constamment la qualité du travail en cave et dans les vignes. Elle mise sur la diversité de son terroir pour produire des champagnes purs, racés, au caractère unique. Originaire de la côte des Blancs, fief des grands crus, Champagne Michel Gonet a la chance d’être installé sur un terroir plein est, qui procure de la longueur, de la finesse et de l’élégance aux vins. Les vignes situées à Oger, à Mesnil-sur-Oger, à Vindey, à Mongueux et à Fravaux sont composées de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Si, pour la plupart des vignerons, les problèmes climatiques engendrent d’innombrables contraintes, Sophie Gonet reste optimiste : « Avec le phénomène de réchauffement climatique, les raisins atteignent plus facilement la maturité, sans le besoin de rajouter beaucoup de dosages. L’acidité due au manque de maturité est ainsi évitée. Nous obtenons des champagnes plus naturels. » Des champagnes monocépages au caractère affirmé Fleuron de la maison, le Blanc de blancs Grand Cru 2009 reflète parfaitement le terroir, puisqu’il s’agit d’un monocépage de chardonnay. Issu des grands crus de la côte des Blancs, il exprime un caractère racé avec des arômes minéraux et floraux, tout en délicatesse et en élégance. À 100 % de chardonnay également, la cuvée Authentique 2004, provenant de vieilles vignes du Mesnil sur Oger, fait la fierté de la famille Gonet. Distillant de puissants arômes de vanille avec une belle association de fruits exotiques et d’épices, cette cuvée sublime les mets sucrés et salés, et tous les plats exotiques. D’ailleurs, dans une optique d’initier les amateurs à la dégustation de ses divins nectars, la maison organise des repas associant mets et champagnes. Des visites de cave et des initiations à la dégustation sont également proposées tout au long de l’année, sur rendez-vous de préférence. ...
Sise à Dangeau, dans le Perche-Gouët, cette ancienne halte pour pèlerins est installée dans une seigneurie du XIIIe siècle, une découverte où vous attendent de belles associations de couleurs et de saveurs gourmandes. À travers une cuisine française traditionnelle qui plait, faite de savoureuses recettes inventives et personnalisées, le Relais de poste Saint-Jacques surprend et séduit en misant sur la générosité et le gout. C’est une bonne adresse gastronomique qu’on recommanderait à nos familles et à nos proches, particulièrement adaptée aux repas festifs. Comme le précise le chef et propriétaire François Morgillo, saucier incontestable, « rien ne part nature, tout est accompagné d’une petite sauce ». Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cet établissement chargé d’Histoire et au cadre d’époque, où la noblesse de la cuisine traditionnelle est mise à l’honneur. Une farandole de saveurs Laissez-vous surprendre par un plat de ses inventions : le poulet à la Dangeautine, un poulet fermier mariné dans du cidre avec des raisins secs. La région du Perche n’a rien à voir avec une région comme le Périgord ou la région lyonnaise, « il n’y a pas de terroir alimentaire, mais il existe plutôt un terroir d’élevage, de culture maraichère et de petit élevage », reconnait François Morgillo, avec, bien sûr, « du poulet local et de la viande de bœuf locale en vente directe ». Le filet est cependant acheté à d’autres abattoirs et bouchers spécialisés. Détente percheronne est un menu à 34 € hors boissons, comportant 4 entrées au choix, 4 plats au poisson au choix, des légumes de saison frais et assortis, auxquels viennent s’ajouter un plateau de 4 ou 5 sortes de fromages locaux de chèvre et de vaches ainsi que 5 ou 6 desserts au choix. Quant au menu du Vidame, il est proposé à 49 € du fait du prix de revient beaucoup plus élevé des produits qui le composent (filet, au lieu de faux-filet entre autres). Son magret de canard en délice du Perche est, par exemple, une belle découverte à ne pas rater. Les plats changent suivant les aspirations du moment. ...
Situé à proximité immédiate de l’aéroport de Toulouse et à 15 min du centre-ville, le prestigieux hôtel Radisson Blu de Blagnac est une belle découverte qui permet d’explorer dans les moindres détails le cadre reposant de deux restaurants aux noms évocateurs : La Vie en rose et L’Écrin. Installé notamment dans le jardin particulièrement verdoyant de l’hôtel, dans un cadre composé en grande partie de vignes, le restaurant La Vie en rose s’enveloppe d’un décor feutré à l’ambiance lounge où se marient à merveille l’authenticité des produits chauds du Sud-Ouest et les saveurs d’ailleurs, dans une inspiration originale. Une cuisine créative et traditionnelle Le restaurant La Vie en rose se démarque par sa cuisine traditionnelle et originale aux notes rafraîichissantes qui allie à la fois la pertinence d’une touche créative et l’élégance d’une pointe de raffinement. Une belle signature qui confère à l’enseigne un cachet particulier. À travers un voyage culinaire aux couleurs du monde qui invite à la découverte, le talentueux chef Gérald Potron et son équipe sauront ravir les fins palais ainsi que les inconditionnels de la cuisine simple et créative, sans pour autant sacrifier la tradition. Laissez-vous guider dans cette belle aventure, où le talent et l’imagination font bon ménage, au grand plaisir des habitués et des visiteurs de passage. Une touche exotique aux saveurs d’Orient Gérald Potron s’inspire en grande partie de la cuisine japonaise dans la préparation de ses plats, une tendance qu’il a d’ailleurs su merveilleusement partager avec son équipe qui y trouve de belles associations. L’établissement propose le midi une formule « Vol de jour », bien connue des habitués, composée de 1 entrée + 1 plat ou de 1 plat + 1 dessert, café inclus, à 21 €, si ce n’est l’option entrée + plat + dessert, café inclus, à 27,50 €. Ce menu est parfait pour les déjeuners d’affaires. En soirée, la carte propose une myriade de suggestions gourmandes. En entrée, les convives se laisseront tenter par un nougat de foie gras, accompagné d’une purée cardinal, tube de peinture à l’orange amère. En plat de résistance, place au filet de daurade royale, servi avec des écailles de courgettes et un risotto au parmesan. En guise de bouquet final, rien de tel qu’un crémeux au citron « Lemon curd » pour flatter les papilles. Une carte des vins particulièrement fournie Au grand bonheur des amateurs de bon vin, le restaurant La Vie en rose peut se targuer de posséder une carte de vins éclectique et particulièrement bien fournie. L’enseigne est ainsi en mesure de proposer des vins du monde et de région qui, selon leurs arômes et leur teneur, vont idéalement accompagner les repas. À la demande des clients, certaines marques pourront également être suggérées pour relever la saveur des plats, dans une belle alliance. Un service d’exception Disposant d’une capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 200 couverts, le restaurant La Vie en rose est un endroit idéal pour abriter les grands évènements et les retrouvailles en famille ou entre amis. On y revient par plaisir et on se laisse toujours surprendre par son cadre accueillant à l’ambiance conviviale et sa cuisine savoureuse et raffinée. L’établissement donne également aux parents la possibilité de commander pour leurs enfants un menu qui leur est adapté. ...
Actuellement, Philippe Bernède dirige cette belle propriété située à Vire-sur-Lot.Outre son statut de viticulteur, Philippe Bernède est également un inventeur émérite qui a créé un pigeur et un tire-bouchon révolutionnaire. Côt et merlot, deux cépages complémentaires Le vignoble du Clos La Coutale, doté de 85 hectares de vignes, est installé dans la vallée du Lot. Il s’étale sur des terrasses alluviales de méandres composées de graves et de silices argilo-calcaire, particulièrement propices à la culture de la vigne. Une petite partie de ce terroir est composée de galets roulés. Exposées au sud-ouest, les vignes sont aussi soumises à un microclimat qui est à l’origine d’une maturité très précoce des raisins du domaine. L’encépagement du vignoble est à 80 % composé de côt (ou malbec), qui est à la base de l’appellation Cahors. Ce cépage à grain rond possède une pellicule épaisse riche en tanin et en matière colorante, qui donnent beaucoup de caractère aux vins du domaine. « Le reste du vignoble est planté en merlot, qui apporte du gras et de la rondeur au vin, et qui affirme son bouquet », explique Philippe Bernède, le propriétaire. Les vignes sont âgées en moyenne de 25 ans et ont été conditionnées pour offrir un rendement moyen de 45 hectolitres par hectare. Tout est question de vinification Au Clos La Coutale, la vinification des vins est menée de manière traditionnelle, avec le savoir-faire hérité des générations antérieures. Tout d’abord, les raisins sont égrappés, puis fermentés à une température de 28 °C suivi d’une cuvaison allant de 15 à 18 jours. Les parcelles sont vinifiées séparément en cuves thermorégulées, avec pigeage régulier pour développer les arômes du vin. Le nectar obtenu est ensuite assemblé puis élevé dans des barriques neuves pour une durée variable selon la cuvée. Le domaine produit ainsi deux cuvées exceptionnelles, récompensées à de multiples reprises. « Le grand-père de mon grand-père a gagné sa première médaille au Concours agricole en 1895 », évoque fièrement Philippe Bernède. Sur les tables de restaurants étoilés Et cette année encore, la cuvée « Clos La Coutale » a gagné une médaille d’or lors du Concours agricole de Paris. Ce vin de garde par excellence figure sur la carte des vins du meilleur sommelier du monde 1989, Serge Dubs. Il est régulièrement cité par des guides spécialisés tels que Gault & Millau, Dussert-Gerbert et le Guide Hachette. Cerise sur le gâteau : il est présent sur les tables de restaurants étoilés, entre autres Le Taillevent, L’Ambroisie de Paris ou encore le Pain Adour et Fantaisie de Grenade-sur-l’Adour. Quant au « Grand Coutale », il s’agit d’une cuvée en série limitée à seulement 3 000 bouteilles. Celle-ci fait l’objet de soins très particuliers depuis la vendange jusqu’à la mise en bouteilles. Symbole du savoir-faire des 6 générations successives du domaine, elle a été à maintes reprises médaillées par de grands jurys professionnels. ...
Le restaurant S’Zwilling Stuebel, établi depuis 1998 dans la rue Kuhn, dans le quartier de la Gare, à Strasbourg, est tenu par Joan et Maxime Bitzner. Un couple complice et polyglotte, qui se fait un plaisir à recevoir les convives venus de la région mais aussi de lointaines contrées. Ici, esprit de partage et valeurs culinaires traditionnelles sont à l’honneur. Le riche parcours du chef S’inspirant de ses voyages en Asie, notamment la Chine qu’il affectionne particulièrement, puisque son épouse en est originaire, Maxime Bitzner invite à la découverte d’une cuisine française revisitée qui se réserve quelques petites touches exotiques. C’est avec fierté qu’il nous confie : « Ma cuisine est influencée par les endroits que j’ai parcourus. » Il aime ainsi explorer les saveurs et les produits exotiques pour perfectionner ses créations culinaires. Sortant de l’école hôtelière de Strasbourg, ce chef passionné a effectué sa formation dans le Gers et a acquis ses premières expériences dans le Var, à Bordeaux, à Nancy et dans le nord de la France. Après avoir exercé un temps au Château de Pourtalès, il décide de poser ses valises à Strasbourg pour y ouvrir son propre restaurant. Fort de ses nombreuses années d’expérience, il propose une cuisine française, s’ouvrant au monde et préparée avec des produits frais. « Mon objectif est de ne jamais dénaturer le produit, de lui laisser sa plus belle expression », raconte-t-il. Une cuisine aux mille et une saveurs Pour les travailleurs pressés du midi, S’Zwilling Stuebel propose une formule à 10 € composée d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Pour ceux qui souhaitent déguster les spécialités régionales, un menu à 26 € met à l’honneur les saveurs du terroir. Pour le printemps, la maison réserve à ses convives une carte gourmande et savoureuse. En entrée, la déclinaison de pommes de terre à l’huile de noisette égaye déjà les papilles des plus gourmands. Le repas se poursuit avec une gibelotte de lotte rôtie au basilic accompagnée de petits légumes. Au dessert : rien de tel qu’une mousse au chocolat et coulis de fruits rouges ou un tiramisu à l’italienne maison pour apporter de la douceur à ce repas mélodieux. Côté vins, la carte privilégie les grands millésimes d’Alsace comme le riesling grand cru et du pinot gris. Et pour accompagner les gibiers agrémentés de sauces légèrement corsées, rien de tel que les côtes-du-rhône et les bordeaux, qui prennent une place importante dans la gamme des vins. ...
Nébuleuse Gourmande est une pâtisserie née de l’envie des deux passionnés de « revenir à ce qu’il y a de vrai dans le goût en misant exclusivement sur de vrais produits frais et de bonne qualité », déclare Sandrine. Ainsi, chocolat, glaces, confiseries, viennoiseries ou pâtisseries sont autant de douceurs, réalisées de manière artisanale, qui raviront les papilles des amoureux du beau et du bon. Ces derniers, à l’occasion d’événements festifs, peuvent également faire appel au service traiteur sucré de l’enseigne, un service spécialisé dans la réalisation sur mesure. Revenir au goût du vrai et de l’authentique Chez Nébuleuse Gourmande, découvrez une pâtisserie légère en sucre et authentique, « qui revient aux origines du goût avec une subtile touche de modernité », selon les propos de Sandrine. Ici, les éclairs, opéras, macarons ou autres gourmandises sont, en effet, réalisés sur place de manière exclusivement artisanale et avec de vrais produits frais fidèles à la recette d’origine. Les douceurs au fruit sont, quant à elles, concoctées avec des fruits de saison qui révèlent ainsi toutes leurs saveurs dans chaque bouchée. Les férus de chocolat trouveront, par ailleurs, leur bonheur dans des gourmandises et des viennoiseries à base de chocolats de qualité. Également glacier de renom, Nébuleuse Gourmande vous fait découvrir ses glaces, crèmes glacées et sorbets entièrement faits maison, suivant la recette traditionnelle et ne contenant ni colorants ni additifs. Un service traiteur d’exception Baptême, mariage, anniversaire… chaque événement festif se doit d’être célébré de manière unique. C’est dans cette optique que Nébuleuse Gourmande propose un service traiteur sucré, misant sur le sur-mesure et à l’écoute des moindres envies et attentes de sa clientèle. « Nous réalisons des buffets sucrés, des pièces montées, des wedding cake 100 % personnalisables, ou des chocolats artisanaux en restant fidèles à la tradition », reprend notre interlocutrice. Cette dernière de rajouter : « Le but est ici d’offrir ce dont le client a vraiment envie. »Pour ce qui est des gâteaux personnalisés, le savoir-faire et l’expérience de l’équipe de Nébuleuse Gourmande se refléteront dans le moindre détail du décor qui sera confectionné à la main, sans l’aide d’une imprimante alimentaire, et selon le thème choisi pour la célébration. Chaque pièce montée traditionnelle et chaque wedding cake est ainsi une œuvre d’art unique où les associations de goût et les bases sont réalisées suivant les attentes de chaque client qui bénéficie, en plus, de conseils personnalisés pour avoir « le gâteau qui le fait rêver ». Ce service traiteur prend, entre autres, toutes les commandes, même sur de courts délais, et accorde une attention particulière aux problématiques d’allergies et de restriction alimentaire. ...
Un Cru Bourgeois au féminin La mention « Cru Bourgeois » puise son origine au Moyen-âge. A cette époque les bourgeois du « bourg » de Bordeaux acquièrent les meilleures terres de la région qui prennent le nom de « Crus des Bourgeois », puis « Crus Bourgeois ». Ce classement est aujourd’hui le garant d’une aristocratie des terroirs et d’un savoir-faire qualitatif, devenu un symbole de luxe et dont Château Moulin à Vent est un des dignes représentants en AOC Moulis. Unique dans le Médoc, l’équipe dirigeante est 100% féminine : Reine, la Responsable Technique, Florence la Responsable Administrative et Karine notre Œnologue président aux destinées du Château Moulin à Vent avec une attention toute maternelle. Un château au cœur de l’AOC Le Cru Bourgeois Château Moulin à Vent est un digne représentant de son appellation qui tire sa légitimité de la qualité des vins qu’il produit, de son nom qui est à l’origine de celui du village de « Moulis » et de son histoire : le vignoble de notre propriété a plus de deux siècles d'existence, sa chartreuse date du début du XIXème siècle et son chai fut construit en 1873. Notre terroir est un concentré du Médoc viticole : graves garonnaises et graves pyrénéennes reposent sur un substrat argilo-calcaire, favorisant une maturation longue et homogène des Merlots et des Cabernets Francs. Cette disposition favorise l’expression de vins puissants, élégants et racés. ...
Si les Grandes Distilleries Peureux ont acquis une notoriété planétaire, elles la doivent en grande partie aux Griottines. Cette marque, qui porte l’empreinte de Pierre Baud, a fait entrer l’entreprise dans une nouvelle ère. Son fils Bernard Baud, l’actuel PDG, s’inspire des codes de la cosmétique et a ensuite donné une très forte identité à ce produit, en lui offrant un bel écrin rouge. Un acteur majeur dans son domaine Créées en 1864 par Auguste Peureux, les Grandes Distilleries Peureux sont une entreprise familiale implantée à Fougerolles (Bourgogne-Franche-Comté). Dès le début, cette distillerie se démarque par la qualité de ses eaux-de-vie, spiritueux et autres liqueurs. Un siècle et demi plus tard, la maison poursuit sa quête de l’excellence pour s’imposer aujourd’hui comme le leader mondial de la macération de fruits et premier producteur d’eaux-de-vie de fruits au monde. Un produit phare Toujours à l’affût des évolutions et des tendances de consommation, l’entreprise a misé sur un produit unique : la cerise griotte. « Ce produit a fait l’objet de recherches dans les années 1960, puisqu’il a fallu trouver une cerise qui pouvait se maintenir intacte dans l’alcool et qu’on pouvait facilement dénoyauter sans risquer de l’abimer », relate Élodie Naslin, directrice marketing et communication du groupe Peureux. Parce que cette variété de cerises ne pousse qu’en Serbie, l’entreprise y possède ses propres vergers et effectue donc la cueillette sur place. Une fois récoltés, les fruits sont acheminés à Fougerolles. De ces cerises, la maison a créé LE produit emblématique qui a fait sa renommée dans le monde entier, à savoir les Griottines. Ces petites griottes sont macérées dans un sirop léger à la liqueur et au kirsch. Elles sont idéales pour apporter une touche glamour et sublimer toutes les recettes. En effet, avec quelques Griottines, tapas, cocktails et champagne offriront une autre expérience gustative et visuelle. Simples et faciles à cuisiner, les Griottines accompagnent à merveille le fromage, le foie gras et le jambon. Il n’en fallait pas plus pour convaincre des chefs tels que François Lachaux, meilleur ouvrier de France cuisine, ou Jean-Michel Perruchon, meilleur ouvrier de France pâtissier, pour les inclure définitivement dans leurs recettes. Damier Griottines, une recette emblématique Création signée par Sébastien Chevallier, meilleur ouvrier de France boulanger, le Damier Griottines permet d’apprécier toutes les subtilités de ce produit avec, à la clé, du peps, du croquant et du gout ! « Nous ne sommes pas des fabricants de gâteaux. Mais, à travers cette recette, nous souhaitons guider et inspirer les boulangers et les pâtissiers », nous indique-t-on. Véritable tropézienne revisitée à la façon franc-comtoise, cette nouvelle pâtisserie plaira à tous les gourmets cherchant simplicité et saveurs. ...
Le Centre-Val de Loire, une grande région gastronomique Des pommes aux poires en passant par les cerises, les asperges et la mâche, la région produit de nombreux fruits et légumes primeurs de qualité pour agrémenter les repas. Le Val de Loire se veut aussi être une importante région productrice de fromages, de miel, de safran, de poulet connu sous le nom de géline de Touraine et de poissons tels que le sandre, le brochet, la carpe et la brème. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, des coquilles Saint-Jacques à la nantaise, du bar en croûte de sel, du matelote des tonneliers et de la tarte tatin. On y trouve aussi les crémets d'Angers, qui consistent en une crème fraiche battue avec du fromage et du blanc d’œuf, ainsi que le matelote d'anguille, une étuvée de poisson au vin rouge d'Anjou. Cette région est aussi connue pour son vignoble, qu’on appelle le « vignoble du Val de Loire », qui produit de délicieux vins d’AOC Muscadet et d’AOC Anjou. Il est encépagé, entre autres, de chenin, de cabernet franc, de cabernet sauvignon, de gamay, de sauvignon et de pinot noir. Tradition française et créative L’Arôme se trouve en pleine ville, à proximité de l’église Saint-Julien, dans une zone qui contient de nombreux restaurants. L’intérieur du bâtiment est sobrement décoré de tableaux de bouteilles de vin. Avant la création de L’Arôme, Mickaël Teluk a été sous-chef cuisinier à l'Atelier Étoile de Joël Robuchon et travaillé au Choiseul avant devenir chef cuisinier au Bistrot de la Tranchée à 24 ans. Sûr de ses compétences, il ouvre L’Arôme en 2010 afin de travailler à son compte et pour mieux exprimer ses talents culinaires. Mickaël Teluk propose une cuisine traditionnelle française créative. « En cuisine, le gout est essentiel. Nous souhaitons faire découvrir à nos clients une autre version de la cuisine, celle d’une cuisine traditionnelle française au gout revisité », nous explique-t-il. Une cuisine légère et authentique Le ticket moyen du restaurant est de 15 € le midi et de 30 € le soir. Mickaël Teluk met un accent fort sur la qualité, c’est pourquoi sa carte change au gré des produits de saison et de son inspiration. En guise d’entrées, le chef propose le marbré de cèpes : une terrine accompagnée de pommes de terre, de cèpes et de lardons ; il est servi avec une sauce bordelaise et s’accorde parfaitement avec la Folie du domaine Château Yvonne. Autre découverte : le Cromesquis de chorizo avec tartare de green zebra, préparé à base de chorizo et de lard ; il est accompagné par de la tomate fraiche et de la feta douce ; il s’accorde parfaitement avec des vins d’AOC Anjou comme le Château du Fresne Anjou. Après cette mise en bouche, enchainons avec les plats principaux. Le tronçon de joue de bœuf fondante est un assortiment de joue de bœuf, de choux croquants et de gnocchis. Pour la présentation, la joue de bœuf est placée au milieu d’une assiette plate autour de laquelle sont disposés les gnocchis poêlés. On y ajoute ensuite le jus avec des pétales de tomates séchées. La brandade safranée aux endives rouges braisées et moules marinières est une recette de pommes de terre cuites avec du safran, des endives rouges braisées au vin rouge et des moules marinières réalisées selon la tradition. Elle s’accompagne d’une sauce coraline réalisée à partir de têtes de langoustine. Les saveurs sucrées parachèvent d'assurer la réputation de L’Arôme. La barre chocolatée est un biscuit de pâte sablée à la polenta sur lequel on coule une ganache avec de la framboise fraiche. Le glaçage est ensuite réalisé avec du chocolat. Elle est servie avec un coulis de fruits rouges et un sorbet de framboise. La poire pochée aux épices, ganache au gingembre et crème glacée à la vanille bourbon est un assortiment de poire pochée, d’épices, de gingembre, d’une ganache au chocolat et de crème. ...
Installé sur les contreforts de la montagne noire, le vignoble du domaine Les Maillols profite des largesses du climat méditerranéen, qui, combinées au sol limoneux calcaire, confèrent aux vins leur caractère souple et fruité. Une viticulture plus que raisonnée Sur les 13 ha du domaine Les Maillols, le vignoble est réparti en 10 ha AOP Minervois et le reste en IGP Coteaux-de-Peyriac. Philip Birolleau, propriétaire-gérant et œnologue, y pratique une viticulture raisonnée, s’apparentant plus au biologique selon ses dires. « Nous travaillons les sols et n’utilisons pas d’herbicide. Nous ne réalisons pas plus de 6 traitements annuellement, ce qui est très faible dans le monde viticole. » Des minervois très élaborés En dénomination IGP Coteaux-de-Peyriac, le domaine propose 3 cuvées intitulées « L’Instinct plaisir » en blanc, en rouge et en rosé. Il s'agit d'une gamme monocépage pour exprimer le profil aromatique de chaque cépage du domaine. Faisant la fierté de Philip Birolleau, les cuvées rouges AOP Minervois font l’objet d’une attention particulière de sa part. « La cuvée M et l’Âme des Maillols sont élevées en barriques durant 12 et 18 mois respectivement », nous précise-t-il. ...
Rester à l’écoute des tendances de consommation, choisir des ingrédients de qualité et tester de nouveaux produits tout en conservant le savoir-faire hérité de ses aïeux, telle est la démarche adoptée par Gérard Paignon, à l’origine du succès incontestable de sa marque aujourd’hui. Les spécialités Ici, place au travail artisanal. Parmi les spécialités de la maison figurent les apéritifs, des assemblages de cognac et de fruits ou de plantes naturels rigoureusement sélectionnés. Un savoir-faire qui a valu de nombreux prix à la « Troussepinète », dont la médaille d’or récoltée au Ultimate Spirits, à New York, en 2012. Autre gage de qualité, la médaille d'or fraichement récoltée par le cognac VSOP Lise Baccara au dernier Concours Général Agricole à Paris vient s'ajouter au palmarès de la maison, déjà bien étoffé. Une véritable consécration puisque dans cette catégorie, seulement 2 lauréats s'en sortent avec brio. ...
C’est au sein de cette cité médiévale et viticole située sur la Route des vins que les Lichtle remontent la généalogie jusqu’en 1650. À Gueberschwihr, leurs descendants possèdent aujourd’hui un vignoble de 5,5 ha établi sur un terroir au climat sec et aux sols marno-calcaires. Sous un micro-climat spécifique, le domaine travaille les sept cépages alsaciens permettant de produire des vins en AOC Alsace, AOC Crémant d'Alsace, AOC Alsace Grand Cru et Vendanges Tardives (sélection de grains nobles). Des vins pas comme les autres Les œnophiles en quête de vins hors des sentiers battus trouveront leur bonheur chez Lichtle Benoît, notamment à travers leurs cuvées telle que L’Inattendu. Avec ses saveurs de fruits jaunes en pâte de fruit et ses arômes de citrons confits, ce vin accompagne à merveille la cuisine asiatique ou les poissons crus. ...
Le Grenier à sel est un restaurant qui s’entoure d’une note de fraicheur empreinte d’exotisme, dans un décor aux reflets d’Asie et d’ailleurs. L’établissement baigne dans une ambiance conviviale aux arômes parfumés, qui ravit particulièrement la vue et le palais. Il bénéficie d’un cadre aux fleurs généreuses et aux végétations verdoyantes, ponctué par une cuisine savoureuse et inventive préparée sur place. Le restaurant est une invitation aux découvertes culinaires, avec de belles associations faites de produits locaux et de saveurs du monde. Un cadre à l’ambiance chaleureuse Grâce à « une déco entièrement refaite en 2010 », Le Grenier à sel s’est offert une seconde jeunesse, selon les explications de Michelle Godin, la maitresse des lieux. L’établissement jouit par ailleurs d’un cadre remis au gout du jour avec « une ambiance plutôt intime, des couleurs chaudes et un parquet en bois de chêne », recueille-t-on également comme description. Sa très belle terrasse extérieure ornée d’oliviers vient joliment conforter un décor conçu et pensé pour la convivialité et la relaxation, des critères qui confèrent au lieu un cachet particulier. Le cadre particulièrement fleuri et rafraichissant, le parfum des lauriers et les senteurs enivrantes des fleurs locales, les couleurs chatoyantes d’un décor en bois sont d’authentiques merveilles pour les sens. Cuisine du terroir revisitée Attentif à tous les gouts et particulièrement à l’écoute des demandes de la clientèle, Le Grenier à sel fait référence à une « cuisine semi-gastronomique aux saveurs différentes et très parfumées, mais où les plats ne sont pas forcément épicés », continue Michelle Godin. Une cuisine française aux touches subtiles et retravaillées, qui séduit même les plus exigeants. Le restaurant a su exploiter avec succès une présence de 22 ans dans la région rétaise pour instaurer une excellente relation de confiance avec les producteurs locaux ou des régions environnantes, notamment en matière de fruits, de légumes et de poissons, un atout majeur qui prévaut dans la sélection de ses produits. Pour les inconditionnels de la cuisine traditionnelle, le terroir a toujours sa place en cuisine, relevé de petites touches personnelles qui font la particularité de la maison. ...
Maxime Renault, le fondateur, a commencé son activité en 2013 en voulant apporter un coup de pouce aux activités des artisans. Avec ses associés, Hugo et Mario, il a créé une vitrine numérique pour le compte des boulangeries artisanales de France. Étant conscients que les nouvelles technologies pouvaient constituer un véritable levier en termes de communication, ils ont bondi sur l'occasion pour pouvoir préserver ce savoir-faire unique qui a tant fait la renommée du pays. Si, à l’origine, ils voulaient seulement aider les artisans à faire face à la pression de la concurrence industrielle, c’était sans compter sur le destin qui en a voulu autrement… 2015 marque un tournant décisif dans l’histoire des trois associés. Lors d’une invitation à une soirée, un défi de taille s’esquisse pour Maxime Renault et son équipe. « Nous devions présenter notre site dubonpain.fr en organisant un buffet avec un budget relativement faible. Nous avions donc fait avec les moyens du bord en faisant appel à notre réseau d’artisans boulangers comme partenaires », nous confie Maxime. Cet événement marque le début de la mise en place d’un nouveau concept : proposer un service traiteur innovant et accessible où la passion et l'expertise des artisans seront mises en avant. La démarche de l’entreprise Maîtrisant du bout des doigts les rouages du métier, Monbanquet.fr et ses partenaires agissent comme de véritables logisticiens traiteurs. Toute l’expérience client est optimisée pour pouvoir répondre efficacement à chaque type d’exigence. Des partenariats avec des artisans locaux comme des boulangers pâtissiers, des fromagers charcutiers, des épiceries fines et des restaurateurs ont été établis. Ces artisans sont minutieusement sélectionnés pour leur expertise et leur proximité par rapport au client. Une manière de garantir la fraîcheur des produits. « En fonction du lieu de l’événement, du contexte et du budget du client, nous proposons des menus qui correspondent à ses besoins », fait savoir notre interlocuteur. Après avoir été minutieusement préparés par les partenaires artisans, les produits sont livrés clé en main. Au besoin, des maîtres d’hôtel et des équipes de serveurs se déplacent au moment de l’événement pour réaliser le service. Les particularités de Monbanquet.fr La promotion de l'économie de proximité est une valeur à laquelle Monbanquet.fr adhère activement. Ayant à cœur de fournir une prestation de qualité accessible à tous, la maison élabore des formules démarrant à 3 euros par personne. Les produits sont préparés de façon artisanale pour conserver des saveurs authentiques. Ce qui fait la signature de la maison, c’est cette adaptabilité qui lui permet de répondre à toutes les exigences, allant des réceptions intimes de quelques dizaines de personnes, au grand gala prestigieux de trois mille personnes. D’ailleurs, selon le fondateur de Monbanquet.fr « la capacité de la maison à offrir un service à la hauteur des attentes de chaque client dans le respect de ses contraintes budgétaires est une autre de nos particularités ». Cerise sur le gâteau : plus besoin de devis. Le client a la possibilité d'obtenir un menu qui correspond à son événement entièrement en ligne. ...
Lançon de Provence, la commune où s'étend le vignoble et l'oliveraie, située à quelques kilomètres de Salon-de-Provence et d'Aix en Provence. Cette exploitation, devenue l'un des porte-étendards du vin et de l'huile d'olive provençale, doit sa réussite à un travail de longue haleine et un savoir-faire qui se transmet de père en fils. La famille Cheylan a fait de la qualité, la différence et l'innovation, sa devise. Ce qui lui a valu des récompenses. Elle est primée au salon de l'Agriculture depuis 1996 pour son huile d'olive qui est la plus médaillée de France, et s'est distinguée par un prix d'excellence au concours français des œnologues pour ses vins. Une vinification associant modernité et tradition Robert et Noëlle Cheylan sont devenus propriétaires du Château Virant en 1974. Dès lors, ils ont entrepris une profonde remise en état des bâtiments et du vignoble, dans une optique d’amélioration qualitative du vin. La démarche pour obtenir ce précieux sésame est la lutte raisonnée, elle empêche l'utilisation maximale des produits chimiques. Ici, le processus de vinification allie à souhait modernité et tradition. La récolte des fruits bien que mécanisée se fait aussi à la main. Une fois les récoltes effectuées, elles sont acheminées en cave pour un pressurage direct en vue de l'obtention des vins blancs et rosés. Par contre les rouges ont besoin d'une période de cuvaison, qui est l'élément déclencheur de leur fermentation. Le jus obtenu après pressurage est retravaillé dans une cuve en inox ou en barriques de chêne pour être mieux élevé. Le domaine fait la différence prioritairement avec 12 types de vin et produit principalement du rosé. Le cœur de gamme est la cuvée Château Virant, à l'exemple du blanc qui est issu de l'assemblage des cépages nobles , à savoir le Chardonnay, le Sauvignon blanc et l’Ugni blanc. A l’œil ce vin est d'une robe claire et d'une minéralité particulière due à une touche d'agrumes et de fruits blancs. Le rosé de la même cuvée est essentiellement composé de Grenache et de Cabernet Sauvignon. D'un visuel clair, en bouche il est assez vif, équilibré et ponctué par des notes de fruits rouges. Ce vin est vivement conseillé pour des repas méditerranéens et des apéritifs. D'autres cuvées traduisent mieux l'identité du terroir et les vertus du climat de la région, en l'occurrence le rosé de la Cuvée Tradition. Plus haut de gamme, il est soutenu et à forte dominante de fruits rouges tels que les framboises et les cerises. Il s'accorde parfaitement avec des poissons grillés ou marinés. Des particularités qui pèsent leur poids Le vignoble et l'oliveraie sont implantés sur une zone géographique microclimatique aride et sèche où les surfaces des feuilles sont en permanence soumises à une forte canicule, aidant à l'épanouissement des cultures. Le terroir est bercé par un vent sec et froid, le Mistral, favorable à un bon état sanitaire des fruits. Le climat méditerranéen qui couvre la zone s'harmonise parfaitement avec la faible pluviométrie obligeant ainsi à des vendanges précoces, dès la première quinzaine du mois d'aout. Château Virant est aussi un domaine à explorer de fond en comble pour mieux connaître la culture de la vigne et de l’olive. Les tenanciers promeuvent l'oenotourisme à travers des visites guidées en groupe ou individuelles , l'organisation de réceptions, séminaires et réunions au sein même du domaine, mais aussi des instants ludiques à l’instar de l’invitation de "Mado la Niçoise" dans le courant de l'été. ...
Construite à partir des pierres anciennes récupérées du temps où la prison de la Bastille avait été démolie, la bâtisse abritant le restaurant conserve l’authenticité des éléments de l’époque. À cela s'ajoutent les couleurs flamboyantes, les poteries, les tableaux, les luminaires berbères, les poutres apparentes… Une décoration qui mène les invités sans détour vers le Maghreb. Cette alliance d’art, d’histoire et de culture apporte une ambiance chaleureuse et accueillante au restaurant La Ferme Saint-Bernard. Un chef venu d’ailleurs Ayant travaillé dans le domaine de l’administration dans son Algérie natale, l’actuel propriétaire du restaurant La Ferme Saint-Bernard a très vite décidé de changer de cap. Il entreprit quelques voyages avant de s’installer en France il y a maintenant 20 ans. Animé par la passion culinaire et l’amour de sa culture, Hamou Messaoudi a instauré, depuis 2007, dans son restaurant, un concept très précis : « Prôner l’art berbère, faire découvrir les bijoux culturels du Maghreb en s’investissant dans les particularités de sa cuisine. » De l’entrée jusqu’au dessert, les invités rencontreront les saveurs de l’Afrique du Nord ainsi que celles de la Méditerranée. Les délices du Maghreb dans l’assiette La dégustation commence par le felfel, une entrée constituée de piments écrasés avec des tomates, arrosés d’huile d'olive et qui s’accompagne de galettes kabyles. D’autres entrées feront aussi le bonheur de ceux qui savent les apprécier : les différentes variations de bricks (au thon, au fromage ou à l’œuf) ou le chakchouka, une spécialité maghrébine non piquante à base de poivrons, d’oignons, de pommes de terre et qui est escortée d’œufs brouillés. Mention spéciale également pour la fameuse boulette de semoule marinée dans la menthe fraiche et la coriandre, pour les différentes sortes de tajines (boulettes, poulet, agneau, végétarien) ou encore pour les couscous à la vapeur. Outre l’incontournable thé à la menthe qui termine traditionnellement les repas maghrébins, des glaces ou une variété de pâtisseries garnies de miel sont aussi parfaits pour achever ce doux voyage. ...