Chaque bouteille de spiritueux produite sur le Domaine Castel-Sablons est un hommage à la qualité du terroir et au cru Fins Bois. C’est sur ce sol emblématique que l’ugni blanc, un cépage tardif, à faible teneur alcoolique, et au taux d’acidité élevé, confère tous ses arômes et ses particularités à l’eau-de-vie obtenue. Distillateurs de finesse : le meilleur du Cognac Afin d’offrir le meilleur du terroir et perpétuer ainsi un héritage riche en saveurs, le domaine Castel-Sablons privilégie l’usage des techniques traditionnelles dans le processus d’élaboration du cognac. L’eau-de-vie obtenue à l’issue de la distillation du vin blanc est, en effet, élaborée dans un alambic traditionnel charentais à repasse et sera ensuite entreposée dans des fûts de chêne. C’est au sein de ces derniers que l’eau-de-vie vieillit pendant deux ans au minimum pour les jeunes cognacs et plus de vingt ans pour le vieux cognac. Parmi les fiers ambassadeurs du domaine, s’inscrit le VS Duc des Sablons, un jeune Cognac aux saveurs délicates et au caractère affirmé, parfait en base de cocktails ou long drinks. Agrémentez également vos instants gourmands d’un vieux cognac XO Hors d’Age Très Rare, un élixir aromatique, fidèle à son terroir et témoin d’un savoir-faire ancestral transmis de génération en génération. Bien ancré en Charente, le domaine de la famille Roux perpétue une recette traditionnelle charentaise : le brûlot charentais. Ce dernier consiste à flamber du café avec du cognac dans de la vaisselle spéciale que le domaine fournit également. La recette a été rebaptisée « La Flamme des Anges » en hommage à la « Part des Anges », le cognac s’évaporant des fûts lors du vieillissement. À l’issue de cette flambée d’un bleu éclatant, ce cognac à 58 ° d’alcool confère tous ses arômes caractéristiques au café, donnant à ce dernier des notes fruitées et vanillées. Il en découle alors une préparation exquise très faiblement alcoolisée idéalement appréciable en fin de repas. Découvrez les secrets de la recette. ...
Le Château de la Galinière siège dans la commune de Châteauneuf-le-Rouge. Situé sur un lit de terres rouges argilo-sableux, le site figure parmi les 4 meilleurs terroirs de Provence pour la viniculture. Implantés sur le plateau du Cengle et sur le flanc de la Montagne Sainte-Victoire, ses vignobles bénéficient d'un sol très filtrant et diversifié alternant couches graveleuses et sablo-argilo-limoneuses. S'ajoutent à cela une contrainte de faible rendement associée à un micro-climat méditerranéen et septentrional, les vins issus de ce terroir ne peuvent qu'être riches et structurés. Un style affirmé et pleinement assumé justement par le Rosé Sainte-Victoire, une des cuvées emblématiques de la maison. Entre histoire et terroirs « C’est une propriété qui a un charme exceptionnel », déclare Cathy Stoffel, chef de produit au sein du domaine. Le nom du site est tiré de celui d’un ancien campement romain appelé « La Galinière ». Les premiers bâtiments sont construits vers l’an 1200. Mais ce n’est qu’en 1733 que le domaine prend officiellement le titre de Château de la Galinière. La notoriété de ses vins produits en AOC Côtes-de-Provence ne repose pas uniquement sur la valeur historique du site, mais se fonde aussi et surtout sur la particularité des terroirs provençaux. À cela s’ajoute un microclimat continental forgé par le soleil et les reliefs de la région. « C’est une région et un climat qui se prêtent notamment très bien à l’agriculture biologique », confie notre interlocutrice. C’est ainsi tout naturellement que le domaine obtient la certification bio délivrée par Ecocert. Des vins d’un style particulier Les principaux cépages travaillés par la maison sont le grenache, le cinsault, la syrah, le rolle, le cabernet et le viognier. Blancs, rouges ou rosés…, les cuvées de la maison se distinguent par leur fraicheur et leur complexité. « La vendange se fait de nuit la plupart du temps pour récolter les raisins au plus frais et préserver leurs arômes. » L'oenologue du domaine Solange Dremière parle également d’un style de vinification pour transformer les cépages en vins très équilibrés et intensément aromatiques. « Nous procédons à une macération préfermentaire à froid, sur bourbes, pendant 2 à 3 semaines pour extraire au maximum les arômes des raisins. » Actuellement, le millésime 2018, une nouveauté de la maison récemment en vente étonne par son côté aérien et facile à boire : une bouche franche marquée par une fraicheur intense, suivie d'une finale aussi tendue que suave. Bref, un verre en appelle un autre! ...
Le vignoble champenois est implanté sur des coteaux dont la plupart bénéficie d’une exposition idéale sud et sud-est. Le terroir de la Champagne présente un sous-sol à majorité calcaire. Sur ces terres fertiles soumises à un double climat (continental et océanique), trois cépages règnent en maitres : le pinot noir (38 %), le meunier (31 %) et le chardonnay (30 %). Par un jeu subtil d’assemblage, les vignerons champenois élaborent une grande variété de cuvées incluant le champagne millésimé, le blanc de noirs, la cuvée spéciale ou de prestige, le blanc de blancs, le rosé et le brut non millésimé ou brut sans année. Si l’appellation peut se vanter d’une telle variété, c’est surtout grâce à la diversité de ses terroirs. Le vignoble est en effet réparti dans quatre grandes régions, à savoir la montagne de Reims, la vallée de la Marne, la côte des Blancs et la Côte des Bar. La montagne de Reims Ici, il existe trois zones de terroirs. Au nord-ouest de Reims, une partie des vignes bénéficie des sols sableux tandis qu’une autre partie tire profit d’un sol à dominante argilo-calcaire. Au sud-ouest, on trouve un sol sablo-argileux sur lequel s’épanouissent les pinots noirs et les meuniers. Enfin, au sud-est, les vignes poussent sur des sols de craie très caillouteux. La montagne de Reims se distingue par deux types de champagne. Le premier, à dominante de pinot noir, est charpenté avec une minéralité crayeuse qui apporte de l’élégance et une résonance fruitée en fin de bouche. Idéal pour accompagner un jambon cru, un pigeonneau ou une perdrix. Le second, riche en chardonnay, dévoile des arômes d’agrumes, de fruits charnus ou de fleurs blanches. À déguster avec des fromages crémeux, des poissons et autres crustacés. La vallée de la Marne Ensuite, la vallée de la Marne possède des sols argileux, marneux et calcaires. Le cépage meunier, majoritaire dans la région, y trouve toutes les conditions idéales à son épanouissement. De leur côté, pinot noir et chardonnay affectionnent tout particulièrement les sols marneux et calcaires. Reflétant la typicité du terroir, les champagnes de la région dévoilent des odeurs gourmandes de fruits blancs à pépins, de fruits tropicaux et de fruits jaunes. On découvre également quelques notes d’épices douces. Risotto aux crevettes et au curry, salade de bœuf mariné, poulet en ratatouille, fromages à pâte molle, tiramisus aux fruits rouges… Ici, les champagnes peuvent accompagner idéalement toutes sortes de recettes estivales. La côte des Blancs Cette région est incontestablement dédiée au cépage chardonnay, qui occupe 95 % du vignoble. Ce dernier se délecte de nutritions minérales puisées dans les sols crayeux. La côte des Blancs produit un blanc de blancs se démarquant par des arômes d’agrumes, de fruits charnus à pépins associés à des notes de fleurs blanches et d’herbes aromatiques. En prenant de l’âge, ce vin exprime des notes de fruits secs, d’épices, de miel, de pêche tirant vers le curry ou encore de fruits secs grillés. Cette fois encore, de nombreux accords sont permis : volailles en sauce crémée aux champignons, fromages à pâte pressée et cuite, ris de veau, poissons en sauce… La Côte des Bar Le terroir de la Côte des Bar est marqué par une alternance de coteaux, de forêts et de cultures. Les reliefs escarpés dessinés par les rivières et cours d’eau façonnent également le paysage. Comptant 8 000 hectares de vignes, la Côte des Bar accapare un quart des surfaces en Champagne. Elle renferme des sols marneux, calcaires et argileux. Le vignoble de la région est dominé par le pinot noir suivi par le chardonnay et donne des champagnes dotés de finesse et d’une grande élégance. À souligner : sur les 62 communes classées implantées sur ce vignoble, celle des Riceys tire son épingle du jeu en disposant de trois appellations d’origine contrôlée : Champagne, Rosé des Riceys et Coteaux Champenois. ...
C’est dans la partie occidentale de la montagne de Reims, au cœur du village de Jouy-lès-Reims, que le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier puisent leur structure, leur rondeur et leurs notes suaves. Ce terroir d’exception classé premier cru est l’expression de la mélodieuse symphonie d’arômes et de goûts qui caractérise chacune des cuvées Cossy. Une symbiose intime et sensible avec leurs vignes Les champagnes fruités et gourmands de la maison puisent leur richesse dans un sol poreux et une exposition optimale conférant touche florale et subtilité à chaque cuvée. Cette terre bénie, cette nature généreuse et cet environnement résolument dédié à la vigne sont choyés par des propriétaires écologistes dans l’âme et intimement liés à leur vignoble. « Nous avons revu les pratiques culturales vers une viticulture durable suivant une volonté de produire mieux dans le respect de la nature et des êtres vivants », nous confie Sophie Cossy. Le charme du champagne au féminin Les femmes Cossy, d’une main de maître, s’attèlent à exprimer le meilleur de leur terroir au travers « d’une exploitation tournée vers la féminité et d’un champagne fruité, floral, au caractère printanier et doté d’une rondeur et d’une finesse élégantes », nous raconte notre interlocutrice. Assemblage au gré des émotions, maturation aboutie et vieillissement optimal s’accordent à « l’équilibre traditions-modernité et à la sensibilité tant émotionnelle que technique qui accompagne la conception du vin ». Cette singularité féminine confère ainsi au champagne Cossy tout son charme maintes fois récompensé, à l’instar de la cuvée Origine, équilibrée et somptueuse en bouche, médaillée d’or en 2013 et en 2014 au concours international Gilbert et Gaillard. Des millésimes d’histoire et de secrets, à l’instar de la cuvée Vieilles vignes, médaillée d’or au même concours en 2012, viendront également sublimer vos instants galants de par leurs saveurs fruitées révélées dans des bulles pétillantes de fraîcheur. ...
Aujourd’hui, nombre de consommateurs font attention à ce qu’ils mettent dans leur assiette. La volonté de manger des plats sains et légers, bénéfiques pour la santé, prend le dessus. Implanté à Névez, dans le Finistère, en Bretagne, le restaurant gastronomique Ar Men Du est conscient de cette nouvelle exigence. C’est pourquoi il propose une invitation tout à la fois à la gourmandise et aux menus bio : deux concepts qui se marient à merveille ! Un restaurant étoilé Michelin au cadre idyllique Pierre-Yves Roué, propriétaire des lieux, a su choisir un emplacement au cadre idyllique pour son restaurant. Le sens du service y trouve toute sa signification avec une équipe efficace et à l’écoute pour répondre au plus près aux demandes de la clientèle. Les prestations incluent également un service de petit déjeuner majoritairement fait maison, un luxe que les clients peuvent se permettre sur les lieux ! Dans un décor intimiste à l’ambiance élégante, le restaurant Ar Men Du offre une vue imprenable sur la mer. Au fil de leurs découvertes gastronomiques, les clients n’ont qu’une envie : celle d’y retourner pour retrouver des plaisirs gustatifs oubliés ou découvrir de nouvelles saveurs insoupçonnées, qui font rêver et voyager. L’esprit de famille à l’honneur, dans un tandem gagnant Dans les coulisses de l’Ar Men Du interviennent un talent culinaire : Jean-Marie Le Guen, ancien second de cuisine qui a pris la relève et remplace désormais son père Patrick Le Guen, une figure bien connue du carré des 3 toques Gault & Millau. Bien qu’il ait aujourd’hui laissé sa place à son fils, Patrick reste malgré tout présent en cuisine. Dans un bel esprit de famille, le duo travaille de concert pour proposer une cuisine raffinée, à la cuisson légère, où les légumes faits à la minute trouvent naturellement leur place. Ces ingrédients sont associés à la valeur sûre des produits de terre et de mer bretons, dans un concept résolument bio. Une pause gustative au cœur de la Bretagne Le chef s’est bâti une réputation dans l’art de préparer des plats aux saveurs authentiques et raffinées. Pour une halte gourmande au cœur de la Bretagne, l’Ar Men Du propose une carte riche en produits du terroir, fournis directement par des producteurs locaux. C’est aussi la garantie d’une qualité bio, exigée par le métier. Poitrine de porc aux ormeaux, turbot au jus de viande, tartares de bar de ligne et sashimis bretons font partie des plats signatures qui font la réputation de la maison, sans oublier le subtil ris de veau et le dessert d’agrumes raffiné. Une cave à vins d’exception Pierre-Yves Roué peut s’enorgueillir d’avoir réussi le défi de constituer une cave à vins particulièrement bien fournie, qui n’a rien à envier à celle d’autres établissements. En effet, le restaurant Ar Men Du est aujourd’hui en mesure de proposer une carte de près de 600 références, privilégiant deux régions phares réputées pour leurs vignobles, qui sont notamment les Pays de la Loire et la Bourgogne. La passion du métier aidant, toute l’équipe de l’Ar Men Du se fera un plaisir de servir des vins d’exception, qui accompagneront différents repas de famille ou de fête. ...
Avec leurs 16,5 hectares de terre, Alain et Dominique Duveau produisent pas moins de 20 000 bouteilles chaque année, principalement du Saumur-Champigny, qui représente 90 % de leur exploitation. Un vin que le duc de Berry exploitait jadis au pied du château de Saumur, dans les années 1440. Une tradition toujours respectée Sur les sols du bassin parisien, en Anjou, le Domaine des Sables Verts est reconnu pour son exploitation sur des terres argilocalcaires où le climat et la verdure donnent au vin traditionnel un goût et une noblesse que l’on ne peut trouver ailleurs. Le cabernet franc, le cépage de prédilection de la région, qui se distingue par sa finesse et son léger arôme épicé, est mis en bouteille durant l’hiver. Le Domaine produit également un saumur blanc, à base de chenin, sec et fruité, récolté à la main et élévé en barriques de chêne dans les caves de tuffeau. A partir de ce même cépage et lorsque la météo est favorable, les frères Duveau aiment à élaborer un vin liquoreux en vendanges tardives qu'il appellent "Nectar de Chenin" et qui accompagne généralement le foie gras. À chaque vin son histoire. Celui des frères Duveau prend vie en vieillissant dans les caves, attendant d’être travaillé et dégusté par les amateurs de bon terroir. En tout, cinq vins de différentes appellations sont produits chez eux, dont deux rouge d’excellence, un blanc sec, un blanc liquoreux, ainsi qu’un Crémant rosé en méthode traditionnelle à base de cabernet. Une région où le vin est roi Le Val de Loire possède 70 000 hectares de plantations, avec pas moins de 65 appellations différentes, faisant de cette région l'une des plus grandes exploitations de vins au monde. Avec son paysage et son climat, ou les fleuves et les rivières traversant les châteaux et autres domaines viticoles, le vin a su naturellement s’intégrer dans la culture traditionnelle. Elle est, depuis le 30 novembre 2000, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Respectant toutes les techniques, anciennes comme modernes, dans l’exploitation des vignes, l'Anjou est une contrée où la joie de vivre et le savoir-faire suivent chaque personne dans son quotidien. Pépinières et jardins sans oublier les habitations troglodytiques font d’elle une région d’exception. En hiver, pour ses veillées autour d'un feu de cheminée et de fouées garnies, ou l’été, pour les parties de grillades autour d’une bonne bouteille de blanc frais et sec ou rouge et fruité. Au cours d’un séjour dans la région, un passage au Domaine des Sables Verts est incontournable. Il vous propose chaque année une randonnée autour de l’exploitation, et organise des pique-niques et des visites de caves, tout cela au mois de juin, à l’occasion de « la fleur des vignes ». ...
Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac. Un refuge culinaire en pleine montagne Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac. Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle. L’aligot à l’honneur L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot. De nombreux menus gourmands à découvrir Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot. À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux. Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel. ...
Les spiritueux gastronomiques n’ont plus de secret pour la maison Jean Boyer. Depuis une vingtaine d’années, l’entreprise est devenue le partenaire privilégié des cavistes et des restaurateurs en quête de produits « premium » et exclusifs. « Nous ne commercialisons qu’à destination des professionnels sur le territoire français, mais aussi un peu à l’export notamment vers le Japon et l’Australie », fait savoir le propriétaire, Dominique Ribéreau-Gayon. Au total, 150 000 bouteilles sont produites annuellement, toutes gammes confondues. Un mode de travail fidèle à la tradition Société à taille humaine située dans les Landes à Saint-Geours-de-Maremne, Jean Boyer s’attache à préserver un savoir-faire artisanal et traditionnel dans l’univers de la production de spiritueux. Parmi ses produits de prédilection, s’inscrit le pastis, ou les pastis puisqu’il y a une dizaine de recettes différentes. Le pastis « est totalement élaboré sur place à partir de plantes que nous faisons macérer pour en tirer le meilleur des arômes », explique le propriétaire. Les assemblages sont ensuite réalisés sur place. Enfin, les pastis restent plusieurs mois en cuve pour permettre une décantation naturelle, « une filtration retiendrait tous les arômes » s’exclame Dominique Ribéreau-Gayon. Mais le produit phare de la maison reste le whisky. A l’origine, le Scotch puisque Jean Boyer avait d’étroites relations avec certaines distilleries écossaises. Ils pouvaient ainsi accéder aux meilleures sélections de fûts. La société est alors devenue un véritable embouteilleur indépendant de whisky qui choisit ses fûts et les embouteille individuellement. Ainsi chaque fût ne produira que 500 bouteilles environ qui sont uniques et rares. Le rhum, second produit moteur de Jean Boyer, provient de différentes régions de productions. Les fûts sont acheminés dans les Landes sur le site de l’entreprise afin d’y être préparés et conditionnés. Un concept assez novateur « Notre maison se distingue par sa forte réputation auprès des cavistes », déclare Dominique Ribéreau-Gayon. Et pour cause, l’entreprise a développé un concept qui plaît énormément chez les professionnels : le puits Jean Boyer. L’idée est de permettre au consommateur de venir remplir sa bouteille chez le caviste, directement au puits. « Nous fournissons à nos clients tous les éléments nécessaires pour respecter la réglementation. Ils n’ont pas à se préoccuper des aspects administratifs. Ce concept, que nous sommes les seuls à proposer, est totalement dans l’air du temps et connaît un franc succès », se félicite le propriétaire. ...
Depuis 5 générations, le domaine Espérou travaille avec passion son terroir où s’épanouissent des cépages de Carignan, de Syrah ou de Grenache. Cécile Bonnafous est aujourd’hui seule à sa tête, accompagnée par son époux, Eddy Bonnafous, pour la partie commerciale et quelques saisonniers occasionnels. L’attachement au sol familial, aux paysages alentours est à l’origine de cette vocation. Une production responsable pour un fruit sublimé Le vignoble, déjà engagé dans la culture raisonnée, tend aujourd’hui vers le bio. Un travail manuel est préservé, notamment par respect des vieux pieds de Carignan du terroir, âgés de 80 ans pour certains. Ce respect envers la nature, les deux belles cuvées du domaine le rendent bien. Corbière rouge ou Corbière Boutenac, l’un aux notes de fruits murs, l’autre aux notes de fruits cuits, allient finesse, profondeur et fraîcheur. Les précieuses bouteilles sont en vente directe au domaine mais se trouvent aussi dans des restaurants, chez des cavistes de plusieurs régions et dans les commerces de proximité. Savoir-faire, patience et passion figurent parmi les saveurs au rendez-vous. ...
S’inscrivant dans une véritable tradition, les Confituriades sont aujourd’hui à leur 9e édition et continuent à alimenter les passions. Dans le cadre d’un concours international qui aura lieu les 19 et 20 août 2017, les Confituriades de Beaupuy auront l’insigne honneur de désigner le champion du monde de la confiture. Un championnat du monde dédié aux professionnels Le championnat du monde de confiture des Confituriades de Beaupuy met chaque année un fruit à l’honneur. Pour 2017, la cerise est la principale vedette. Sous le haut patronage du ministère de l’Agriculture, l’événement sera marqué par la participation de chefs étoilés, de pâtissiers du territoire et de professionnels de la gastronomie, dans un kaléidoscope de couleurs et de saveurs gourmandes, où les fruits sont cuisinés à toutes les sauces. Un concours amateur aussi En marge du championnat du monde professionnel de confiture, les Confituriades de Beaupuy, c’est aussi, comme c’est le cas chaque année, un concours amateur de confiture et des olympiades de confiture pour enfants. Aucune préinscription n’étant requise, chaque participant a la possibilité de présenter au maximum trois pots de confiture de son choix sur un thème libre. Les inscriptions étant enregistrées sur place par des bénévoles à l’entrée du site, chacun peut venir sur les lieux avec ses propres confitures le jour de l’événement ou, à défaut, les expédier par colis à la mairie de Beaupuy avant la fin de la date limite déclarée. Les résultats du concours font l’objet d’une publication officielle par la mairie de Beaupuy avec les noms des participants ainsi que la note et le classement qu’ils ont obtenus pour chacun de leurs produits. ...
Petit village de montagne situé entre les Alpes du nord et la Provence, Montclar est établi aux pieds de Dormillouse à 1350 mètres d'altitude. On le décrit comme un coin de Suisse égaré sous le soleil de Provence. Dans la vallée de la Blanche entre Digne, Gap et Barcelonnette, Montclar est distant d'environ deux heures du littoral méditerranéen. La beauté du paysage y est impressionnante, avec une vue imprenable sur le lac de Serre-Ponçon. Sur ses deux versants s'étalent les pistes de ski longues d'environ cinquante kilomètres cernées par une forêt de feuillus de résineux et de mélèzes. C'est en plein cœur de ce domaine que se dresse le restaurant Le Clos Madarin de l’Hôtel Le Saint-Jean, offrant un panorama sur toute la région grâce à sa terrasse ouverte toute l'année, été comme hiver. Convivialité à l’honneur au restaurant Au Clos Madarin, rien n'a été laissé au hasard pour satisfaire les besoins des convives. Le décor, l'ambiance des lieux inspirent calme et zénitude. Dans la salle trône une cheminée imposante conférant un esprit traditionnel à l’établissement. Elle se marie bien avec le mobilier en bois qui procure une atmosphère apaisante. Le Clos Madarin fait la part belle à la cuisine provençale traditionnelle, toujours élaborée à partir de produits frais essentiellement issus du terroir. Promu Maître Restaurateur depuis août 2014, le chef du restaurant s’inspire du travail célébrissime « Auguste Escoffier » pour la création de ses plats. Rappelons que cet auteur culinaire français est à l’origine du concept de la brigade de cuisine. Le maestro des fourneaux propose une cuisine simple et maîtrisée où les produits sont majestueusement mis en valeur. En entrée, il suggère un tartare en duo de saumon Gravelax et Saint-Jacques. En plat de résistance, le Dos de lieu jaune et légumes croquants est proposé côté poisson. Côté viande, rien de tel qu’une Caillette d’agneau ail confit et jus léger. Un dessert maison achèvera ce mélodieux repas, duo de chocolat et caramel au beurre salé et son croquant de miel. Hôtel le Saint-Jean : familial par excellence A l'Hôtel le Saint-Jean, les prestations ont été faites pour satisfaire au mieux les besoins des convives (wi-fi, parking etc.). Les 25 chambres disponibles sont pourvues de toutes les commodités nécessaires au confort des clients. Les formules d’hébergement varient en fonction des besoins des clients. Ainsi, il est possible d’y séjourner en demi-pension, en pension complète par ailleurs, des tarifs préférentiels sont appliqués pour les enfants en bas-âge. Au sein de cet établissement, les familles seront décidément comblées. ...
Le Cassissium est un site singulier et inspiré. Créé en 2001 à Nuits-Saint-Georges, à proximité des côtes viticoles, il ne tarit pas d’idées pour mettre en lumière un fruit aux nombreuses vertus parfois méconnues. Visite du musée, découverte de la liquoristerie, conception de cocktails et dégustation permettent une immersion totale dans le monde du cassis. Un parcours interactif étonnant, durant lequel les visiteurs deviennent acteurs, y compris les enfants. Un musée gastronomique ludique Implanté sur le domaine de la liquoristerie Védrenne, dont le savoir-faire opère depuis 1923, le Cassissium est composé d’une exposition permanente, d’une salle de projections, d’un espace de dégustation et d’une boutique. Ce sont ainsi 1 000 m2 qui sont dédiés à la petite baie noire. Histoire, utilisation, savoir-faire sont tour à tour présentés au public, invité à déguster les produits maison à la fin de la visite. La muséographie fait alterner histoires ludiques et jeux. Des tiroirs à ouvrir, des quizz, des écrans tactiles, des animations mécaniques permettent aux grands comme aux petits de manipuler de nombreux objets. Un film est projeté dans une salle insolite habillée de pierres, à l’image des vignes en Côte-d’Or. La star de l’histoire, Supercassis, y raconte son ascension. Trois thèmes ponctuent le parcours. Le premier consiste à découvrir le fruit via ses aspects historiques et agricoles. Le deuxième présente ses bienfaits médicaux et cosmétiques. Le troisième consiste à découvrir l’exploitation de la plante, en sollicitant les sens des visiteurs. Le tout est accessible en plusieurs langues. De la liquoristerie Védrenne à la dégustation La maison Védrenne, créée par Joseph Védrenne il y a près de 96 ans, a acquis sa notoriété grâce à son savoir-faire. Reconnue comme le plus grand chai d’eau-de-vie de Bourgogne, la liquoristerie détient tous les secrets de fabrication de la crème de cassis. Cette étape du parcours est un moment privilégié, à la rencontre d’un artisanat amoureux des arômes. La passion du fruit et l’ambiance particulière qui y règne révèlent une contribution inhérente à la renommée de la gastronomie bourguignonne. Et toutes ces senteurs donnent soif ! La visite se poursuit au bar du Cassissium. Le public est invité à déguster les crèmes, les subtils mélanges à base de cassis et de liqueurs, les liqueurs elles-mêmes ou encore les sirops pour les plus petits. Des jeux de couleurs et de matières transforment les produits disposés sur le comptoir en véritable palette artistique. Des ateliers cocktails imaginatifs Le Cassissium aime son fruit et déborde d’idées pour partager sa passion avec les visiteurs. Tous les 10 du mois, un atelier est organisé, destiné à désacraliser le cocktail, avec ou sans alcool. Le but : apprendre aux curieux à marier les saveurs, à revisiter les classiques et à composer au feeling de jolies et savoureuses boissons. Cassis et citron vert, gin et concombre, thé citron et sirop de rose, ces étonnantes associations sont infinies et se fardent de noms délicieux : Cocktail Soleil levant, Rose Mary, Crème brûlée Védrenne, etc. Les ateliers sont adaptés en fonction des saisons. L’été invite à réaliser des cocktails frais, tandis que l’hiver appelle à apprécier des cocktails plus chaleureux. Ces moments créatifs sont aussi ouverts aux enfants, initiés à la conception de cocktails dont les sirops jouent avec les couleurs de l’arc-en-ciel. Pour terminer la visite, 50 crèmes, liqueurs de fruits et sirops emplissent la boutique du Cassissium pour le bonheur des barmen et des amateurs de cocktails, d’ici ou d’ailleurs. Mojito, Blue lagoon ou encore Cosmopolitain n’ont, à ce stade, plus de secrets pour les visiteurs. Des visites à la carte Le site est ouvert à tous les publics. Mais il peut aussi être privatisé le temps d’un séminaire ou d’un évènement. Des déjeuners, des cocktails dinatoires et des visites privées sont organisés à la carte pour le to...
Recommandée par l’organisation onusienne FAO (Food and Agriculture Organization), la consommation d’insectes représente l'une des meilleures alternatives alimentaires proposées en vue de basculer vers un mode de consommation responsable et écologique. Nos habitudes alimentaires tendent, en effet, à favoriser le gaspillage et la dégradation de l’environnement, situation à laquelle l’entomophagie apporte une solution durable. Afin d’appuyer ce changement progressif, ïhou s’est lancé dans la production d’insectes à croquer, de quoi ravir les papilles les plus aventureuses. La consommation d’insectes à redécouvrir Si certains se rappellent les fameuses omelettes aux vers à soie de leurs grand-mères, d’autres se souviennent avoir croqué des sauterelles grillées lors de voyages exotiques. La consommation d’insectes n’est ainsi pas une nouveauté, loin de là. En effet, plus de 2 milliards de personnes à travers le monde consomment régulièrement des insectes. La gamme ïhou a été créée en France afin de sortir des clichés sur la consommation d’insectes et de faire redécouvrir ce mode d’alimentation à haute valeur nutritionnelle. En effet, « le grillon, par exemple, présente un taux élevé de protéines (55 %) tout en contenant des vitamines et des minéraux », explique Mme Déborah Findeis Schäfer, à l’initiative de cette marque. Cette dernière de reprendre « notre ambition d’intégrer l’insecte dans l’alimentation répond à la nécessité de trouver une alternative durable à notre alimentation classique ». L’élevage de grillons ïhou dans le nord-est de la France applique d’ailleurs des normes de production strictes, de quoi assurer une alimentation saine et respectueuse de l’environnement, « le rejet de gaz à effet de serre étant extrêmement faible dans l’élevage d’insectes », continue-t-elle. ...
À l’image du cadre dans lequel le Fairmont Royal Palm Marrakech évolue, la cuisine s’annonce sous différentes couleurs : traditionnelle marocaine, naturelle, moderne, à la croisée du style oriental et occidental… En découvrant les différentes tables de l'hôtel, les hôtes se lancent dans un véritable tour du monde culinaire. Juillet 2018 – Fairmont Royal Palm Marrakech accueille son nouveau Chef Exécutif, Serge Jost. Après trente années passées au sein de maisons toutes aussi prestigieuses les unes que les autres : le restaurant gastronomique Petrus à l'hôtel The Island Shangri-La à Hong Kong et les restaurants du Westin Mont-Royal à Montréal en autres, Serge rejoint en 1998 pour la première fois un hôtel Fairmont, l’iconique Reine Elizabeth à Montréal. Après huit belles années, il décide de poursuivre son engagement pour la marque et prend en 2006, les commandes des cuisines du Fairmont Château Montebello. Le style de Serge Jost intègre une riche palette d’expériences culinaires internationales, mêlant les traditions gastronomiques européennes à celles du terroir local, y ajoutant une influence asiatique et une présentation toute contemporaine. Sa cuisine célèbre la richesse des produits régionaux : « Je crois en une cuisine simple et diététique, présentée de manière sobre et élégante, qui permette aux arômes naturels, aux couleurs et aux textures de chacune se révéler par elle-même tout en se complimentant mutuellement. » L’Olivier, une cuisine méditerranéenne raffinée Quand le soleil marocain se dresse dans toute sa splendeur, l’heure est à la fraîcheur à l’Olivier où la cuisine adopte une allure légère mais surtout savoureuse. Tout en appréciant la vue sur la piscine de 2000 m² de l’hôtel, les hôtes dégustent avec délice « le pavé de saumon aux épices d’ici cuit au four tandoori » ou le très sollicité « carpaccio de saumon relevé par une marinade au goût acidulé et au doux parfum de vanille », servi avec des légumes croquants. Pour la fin du repas, « l’île flottante caramélisée aux amandes torréfiées » connaît toujours un fervent succès. Le Caravane pour un voyage culinaire Le Caravane accueille les adeptes du goût exquis pour un moment intime à savourer à deux ou à plusieurs. Une grande salle conviviale, des tables d’hôte, des salons privatifs ou la Table du Capitaine, il appartient à chacun de choisir l’espace où il appréciera l’attrait gourmand de la rôtisserie et des plats raffinés proposés à la carte. Mais, le Caravane, c’est surtout un restaurant offrant une riche cave à vins qui regroupe les meilleures bouteilles du monde pour accompagner avec harmonie les plats de viande, d’agneau, de foie gras et de poisson. Al Aïn, la cuisine marocaine Des zelliges un peu partout, du mobilier typiquement marocain, Al Aïn invite à une escapade culinaire dans le royaume des mille et une nuits. Les épices et les condiments du Maroc viennent relever les préparations traditionnelles, à l’instar du couscous, de la soupe Harrira Fassia et du Tride de volaille aux lentilles. La couleur locale, une cuisine authentique, une ambiance à la marocaine, le dépaysement est garanti ! Le Sabra, élégant et décontracté Après la découverte du Country Club et de son parcours de golf impressionnant, Le Sabra appelle les visiteurs à se délecter du cadre somptueux du Fairmont Marrakech sous la lumière du jour, à l’ombre des oliviers centenaires. Dans une ambiance décontractée, le restaurant du Country Club propose des préparations simples composées de produits de saison. Le « Burger House » figure parmi les incontournables, au même titre que « la salade gourmande et son œuf mollet » et le « Fish and chips, sauce tartare ». Pour se désaltérer Plongé dans une ambiance vintage, le Bar, avec sa musique jazzy et sa signature très british, s’ouvre aux amateurs de cigares, de cocktails et de sushis dans un cadre élégant....
Lieu propice à la détente et à la découverte, L’Auberge des roses ne manque pas de charme avec ses pierres et poutres apparentes, sa cheminée au feu crépitant et sa terrasse ombragée à la vaste pergola, qui n’attend que vous pour les beaux jours. Une salle divisée en 3 niveaux avec une petite estrade en hauteur, appelée « petit salon », et une grande véranda font par ailleurs la particularité de cet établissement de caractère, dont la réputation n’est plus à faire. À travers une cuisine traditionnelle et gastronomique, composée en grande partie de poissons de la criée de Saint-Jean-de-Luz, le chef et gérant Hervé Barrière régalera vos papilles dans un voyage culinaire authentique et gourmand, où le temps semble s’être arrêté. Le rendez-vous des gourmets L’établissement vous invite à découvrir son appétissante et rafraichissante cuisine avec un menu à 30 € au choix, ainsi qu’une carte avec des suggestions qui changent tous les jours. Difficile de ne pas succomber à son Croustillant de gambas sur coulis de mangue marinés et roulés dans une feuille de brique, sa savoureuse Parillada de poissons, un assortiment de 4 poissons sur un lit de moules, de chipirons et de gambas, sans oublier son Pain perdu brioché pommes caramel au beurre salé qui est un véritable délice ! Pour accompagner chacun de vos repas, la maison dispose d’une très belle carte des vins, représentative de toutes les régions, avec près de 45 références, dont les fief la grange, ainsi que le vin local du Jurançon en sec et en doux. Un très beau bouquet au choix pour un accord parfait met-vin. N’hésitez pas à demander conseil ! ...
Symboles de plaisir, de rêve et d’art de vivre, les Caves Legrand ont fondé leur réputation sur une sélection rigoureuse, la recherche d’excellence étant le cœur de métier et de l’esprit Legrand. Une cave aux vins identitaires et révélateurs des plus grands terroirs « Des vins pour le plaisir et pour faire plaisir », tel est la quête de l’équipe Legrand à travers le choix proposé. Riche de plus de 3 000 vins et 10 000 références, la cave représente 370 vignerons dont elle se fait l’ambassadrice. Des vins les plus accessibles aux grandes cuvées d’exception, en passant par les champagnes et les spiritueux, la sélection Legrand est le fruit d’un travail intransigeant et d’une constante remise en question. Chaque bouteille est le reflet d’un terroir, d’une histoire et d’un savoir-faire que les cavistes ont à cœur de vous faire partager avec des conseils personnalisés. Les accords mets-vins à l’honneur au Comptoir Placé au cœur de la Vinothèque, le Comptoir de Dégustation est un lieu de découverte et de convivialité autour du vin et de la gastronomie. À tout moment de la journée, il est possible de choisir un vin et de le déguster accompagné de quelques suggestions de produits du terroir. A l’heure du déjeuner, la jeune Chef Lucie Boursier-Mougenot élabore une cuisine moderne et raffinée à partir des produits de l’épicerie fine des Caves Legrand, en provenance directe des producteurs. Renouvelés chaque semaine, les plats sont proposés avec les meilleures suggestions d’accords mets et vins. Déguster, apprendre et rencontrer les vignerons Véritable lieu d’expériences, les Caves Legrand proposent des moments privilégiés avec les vignerons à l’occasion de dîners-dégustations (Les Dégustations du Mardi) dans l’ambiance intimiste et chaleureuse du Salon Lucien Legrand ou lors de concerts chaque dernier jeudi du mois dans la Vinothèque (Les Jeudis de Legrand). Pour s’initier à l’art de la dégustation, l’Ecole du Vin est quant à elle une invitation à plonger dans un univers passionnant et accessible à tous. ...
L’oignon de Roscoff est une appellation d’origine contrôlée depuis 2009 et protégée depuis 2013, délimitée dans la zone littorale nord du Finistère, gérée et contrôlée par le « syndicat oignon de Roscoff » qui a son siège au sein de la ville de Saint-Pol-de-Léon. Dans le respect des traditions Cette variété d’oignon issue de l’espèce Allium Cepa a été apportée pour la première fois au XVIIe par des moines capucins portugais. Son nom fait référence à son berceau historique qu’est la ville de Roscoff. Cru, cuit, en salade ou tout simplement confit, cette plante à bulbe se démarque des autres par son gout unique. « Doux, juteux et croquant, avec des arômes fruités, elle porte énormément d’atouts gustatifs » explique Robert Jézéquel, le président du syndicat de l'AOP oignon de Roscoff. Un temps délaissé car supportant mal la culture intensive, cet oignon rosé a joui de la ferveur et de la passion d’un groupe d’irréductibles producteurs qui veulent en assurer la valorisation. Ils s'attachent à fournir aux amateurs de nourriture de qualité les quantités nécessaires au marché devenu porteur. Le cahier des charges de cette appellation impose un calibre compris entre trente et quatre-vingt millimètres de diamètre et un conditionnement laissant au moins 5 cm de queue pour favoriser la conservation naturelle permettant d’éviter le traitement antigerminatif. La conservation « est naturelle, ceci afin de ne pas dénaturer son gout » toujours selon Robert. La Fête de l’Oignon de Roscoff Tous les ans durant l'avant-dernier week-end du mois d’août, a lieu dans la ville de Roscoff la Fête de l’Oignon. Drainant près de trente-mille personnes, « il est possible de s’y approprier et déguster les premiers oignons de la saison » note Robert Jézéquel. A ne pas manquer également : la découverte de « La maison des Johnnies et de l’oignon de Roscoff » qui relate l’histoire de cette culture et des Johnnies, ces marchands qui vendaient leurs produits en Grande-Bretagne. ...
C’est en février 2014 que Soufiane Rachouque, le gérant, ouvre l’Atlantique. Il y propose une cuisine bistronomique dans un cadre aux allures de bateau qui invite à une croisière, à la découverte des saveurs du monde. Les grands esprits se rencontrent Soufiane effectue ses études en hôtellerie à Lausanne. Il fait ses premières armes à l’Hôtel InterContinental à Genève pour ensuite devenir maître d’hôtel pendant trois ans pour le compte d’une grande famille. Après avoir notamment exercé durant 4 ans au Sofitel puis à l’issue d’un long séjour à Londres, il a l’idée de lancer son propre restaurant. Dans cette optique, il revient sur la presqu’ile et tombe sur ce charmant restaurant qu’il s’empressa d’acquérir. Il vivra cette aventure aux côtés de Nicolas Schmitz, un chef passionné et dynamique à qui Soufiane attribuera toute sa confiance. L’impressionnant parcours de ce jeune chef parle de lui-même. Alain Ducasse, Michel Guérard, Antoine Westermann… Nicolas a travaillé au côté des plus grands noms de la gastronomie française. Son expérience se reflète au travers de sa cuisine à la fois gourmande, savoureuse et maîtrisée. Une cuisine du terroir Le chef n’utilise que des produits locaux fournis par les petits producteurs de la région et des environs. Tout est frais et fait-maison, une exigence que Nicolas met un point d’honneur à mettre en avant. Puisque le restaurant est spécialisé dans la préparation de poissons et de fruits de mer, il s’approvisionne auprès des pêcheurs du coin qui apportent quotidiennement leurs trouvailles. Pour l’acquisition des fruits et légumes, le chef travaille en étroite collaboration avec une maraîchère qui veille à sélectionner ses meilleurs produits. Sinon, il se rend sur les marchés du Port-Haliguen, de Saint-Pierre-Quiberon et de Quiberon en compagnie de son second. Le fromage et les viandes issus de la région de Bretagne illustrent leur attachement au terroir. Une carte à multi-facettes A la carte, le tartare de saumon en mille-feuille d’ananas relevé au gingembre et citron vert, le tout assaisonné d’une vinaigrette mangue et passion, est un délice pour les papilles. En plat de résistance, le pavé de cabillaud en croûte d’herbes, tombée de chou vert et jambon Serrano fait partie des quatre suggestions disponibles. Pour clore le repas, la crème brulée à la vanille Bourbon apporte une note de douceur et de gourmandise. Dans la gamme des menus à ne pas rater figure la formule « Libre ». Elle est créée selon l’humeur et l’inspiration du chef qui invite les convives à vivre un instant culinaire des plus délectables. Servi à l’ensemble de la table, ce menu surprise laisse transparaître tout le talent et la créativité de Nicolas. Côté vin, la cave est constituée essentiellement de vins blancs notamment de Loire, parfaits pour accompagner les fruits de mer. Parmi les suggestions de la maison figure notamment le Mersault AOC Bourgogne 2013 du domaine des Champs-Lins. Dans la gamme des vins rouges, le Château La Nerthe du domaine Châteauneuf-du-Pape de la Vallée du Rhône-Sud fait voltiger les papilles. Cadre chic et chaleureux Dès l’entrée, la terrasse en teck offrant une vue sur le vieux port de Haliguen attire toutes les attentions. Durant l’arrivée des beaux jours, elle promet des moments de convivialité pour un apéro entre amis ou un dîner romantique en amoureux. L’intérieur de la salle affiche une décoration marine avec une prédominance de couleurs gaies et sophistiquées, le tout baignant dans une belle luminosité grâce à la présence de la grande baie vitrée. Le soir, les pianistes dans l'âme sont conviés à prendre place au piano pour partager leur talent avec l'ensemble de la salle. ...
Art Mas, c’est le vignoble familial de Xavier Combe. Véritable hymne à la biodiversité, les thyms, les romarins, les sauges, les oliviers et autres senteurs colorent le paysage et le parfument d’une fragrance inoubliable. Le viticulteur cultive 11 hectares de vieilles vignes à l’encépagement noble, localisées dans l’aire d’appellation Côtes-du-Rhône Villages Visan. Sur ce sol argilo-calcaire, les vins, produits biologiquement, s’épanouissent sous le soleil méditerranéen, ce qui donne des breuvages fruités, équilibrés, concentrés, expressifs et d’une étonnante richesse aromatique. « Nous nous distinguons par de très faibles rendements », confie Xavier Combe. « Seulement 25 hl/hectare en moyenne, ce qui permet la parfaite expression d’un terroir unique, souvent qualifié comme l’un des plus beaux de Visan. » Domaine viticole Art Mas : un terroir d'exception.... Exclusivement récolté à la main, le raisin ne subit aucun traitement par des intrants chimiques. La phytothérapie est adaptée à la vigne en utilisant des principes actifs naturels afin de renforcer la plante. « Nous exécutons des pratiques traditionnelles et des méthodes ancestrales ». Ce respect de la tradition n’empêche pas la modernité et l’originalité. Les étiquettes de la gamme ont été redessinées par le vigneron en 2016. De quoi se faire et faire plaisir. D’ailleurs, de nombreuses tables étoilées dans toute la France le savent bien : elles ont du vin du Vignoble Art Mas à leur carte. ...
Lancée par d’anciens camarades de fac, l’enseigne Mets Vins apporte un vent de fraîcheur dans le concept de dégustation. Pas besoin de se déplacer pour goûter à un cru ou à une singularité gustative régionale. Une box, livrée chez soi chaque mois, et place à une profusion de découvertes gastronomiques et œnologiques des plus originales. Concentré de plaisirs du palais en box Un site Internet. Un onglet pour s’abonner. Un coffret d’épiceries fines assorties d’une bouteille de vin livré au domicile du client chaque mois. L’approche adoptée par Romain Palayret et consorts pour faire (re)-découvrir les finesses de notre terroir est d’une grande simplicité et d’une imparable efficacité. Le focus est mis sur une région différente à chaque livraison qui compte entre 3 et 5 colis d’épiceries fines : confits, épices, confiseries, condiments ou autres. Les accords mets & vins sont disponibles en deux versions : « Terroir français » et « l’Excellence ». « Entre 2 vins », coffret destiné aux amateurs de vins inclut plutôt, comme l’appellation le suggère, deux bouteilles différentes. La composition de ces fameux box découle d’un long travail d’exploration, de dégustation et de sélection des articles à inclure, parmi les offres des producteurs. Un guide Mets Vins en bonus Les paquets mensuels expédiés par Mets Vins incluent également un guide informatif. L’occasion d’en découvrir plus sur la région d’origine des produits, ses appellations, les caractéristiques organoleptiques du vin. Ce feuillet pédagogique inclut encore tout ce qu’il faut savoir sur le domaine dont est issu le cru ainsi que la description des épiceries fines et de leurs producteurs. ...
Acheté en 2012 par le propriétaire actuel, le Château Moncets a profité d’une transformation radicale. En 2015, sera intégré à l’exploitation le Château Chambrun et son vignoble. Des vins de Bordeaux bio respectant le terroir Divisé en parcelles, le domaine qui se trouve à la croisée des appellations de Pomerol et St Emilion est travaillé pour mettre l’accent sur les caractéristiques naturelles du terroir. Enherbement choisi, travaux en verts maitrisés et vendanges manuelles sur mesure contribuent à la qualité du vin. Ensuite, les jus sont vinifiés dans un chai gravitationnel et parcellaire thermo-régulé. Pour les parcelles les plus qualitatives, une vinification intégrale en barrique (fût de chêne français) sera réalisée afin d’extraire tout le potentiel du millésime. Cela permet de créer des vins, tels que le savoureux Château Moncets, qui seront ensuite vendus via le caveau de dégustation ou la boutique en ligne. ...
À quelque mètres du pont Neuf de Montauban, L’Estanquet reçoit ses convives dans un climat simple et convivial. Cet établissement est connu pour son décor assez vintage et sa cuisine bistronomique. Avec des gestes millimétrés, le personnel du restaurant L’Estanquet veille au grain pour l’entière satisfaction des clients. Le travail d’équipe se fait ressentir jusque dans les assiettes. Un décor très recherché On croirait faire un voyage dans le temps ; pourtant, L’Estanquet n’est pas un antiquaire, mais est bel et bien un restaurant. Une ambiance chaleureuse de bistro se dégage de ce décor peu commun. Les meubles trouvent toute leur splendeur dans la diversité et les boites et objets anciens sur les étagères ne font qu’accentuer cette allure de vieux bistro. Sur les murs sont exhibées des publicités d’un autre âge, qui font plonger les clients dans une nostalgie du bon vieux temps. Le maitre des lieux, c’est la grande cheminée qui domine la salle. Celle-ci offre non seulement de la chaleur aux clients, mais également la garantie d’une cuisine de haute qualité qui respecte les produits. Effectivement, la maison y fait griller les pièces de viande pour les imprégner du gout particulier de la cuisson au feu de bois. Un esprit bistro dans les assiettes Le restaurant L’Estanquet propose une cuisine traditionnelle, typiquement française, pimentée par une touche d’originalité. Les ingrédients sont de qualité supérieure, les plus belles pièces sont sélectionnées dès l’achat. Les patrons et son équipe travaillent les produits frais du terroir sur place, chaque jour. En outre, tout est fait maison. Ce qui a valu au chef le titre de « Maitre restaurateur ». La carte du restaurant s’oriente par rapport aux saisons et aux inspirations en cuisine. Les plats qui font la notoriété de L’Estanquet sont nombreux. Quoi de plus simple qu’un os à moelle accompagné de pain grillé ? La maison propose du pied de cochon, de l’andouillette, du ris de veau, du cassoulet et d’autres plats tout aussi représentatifs de la cuisine française les uns que les autres. La gaufre caramel beurre salé servie en dessert est un pur délice, sans parler des profiteroles. Les gourmands et gourmets en redemanderont. Montauban : une ville d’Histoire et de culture Grâce à son histoire, la ville est riche en patrimoine, notamment en matière d’architecture. Elle est appelée « la plus rose des villes roses », car la brique y est omniprésente. L’époque médiévale a laissé quelques héritages, comme le pont Vieux ou l’église Saint-Jacques avec son beau clocher octogonal. Ce patrimoine architectural est aujourd’hui valorisé grâce aux restaurants qui investissent les bâtiments anciens dans les rues de Montauban. Trois musées sont ouverts au public dans la ville : le musée Ingres, installé dans l’ancien hôtel de ville ; le musée d’Histoire naturelle ; et le musée de la Résistance et du Combattant, qui abrite l’histoire du Tarn-et-Garonne pendant la Seconde Guerre mondiale. Et ce n’est pas tout ! Les férus d’activités culturelles seront intéressés par le théâtre Olympe de Gouges, l’école municipale de dessin, où l’on découvre et approfondit le dessin et la peinture, ou encore l’espace Bourdelle sculpture, qui propose des ateliers et des conférences autour de cet art. ...
Tout l’espace intérieur du Trianon Palace Versailles a été imaginé en 2008 par l’architecte d’intérieur Fiona Thompson. Elle a apporté à ce cadre majestueux un style contemporain élégant et délicatement coloré, pour vous baigner dans une atmosphère immaculée et intime. Côté cuisine, Frédéric Larquemin a rejoint en novembre 2016 le Trianon Palace Versailles, après s’être formé à l’Ecole Ferrandi et avoir travaillé auprès d’Alain Ducasse et de Gordon Ramsay. Le restaurant étoilé au Guide Michelin « Gordon Ramsay au Trianon » Une verrière pour de la lumière naturelle, des nappes blanches, du cuir capitonné, en un mot un lieu confortable et agréable pour se restaurer. Ici, le chef confectionne une cuisine contemporaine inventive, tout en revisitant les grands classiques de la gastronomie française et en s’inspirant de ses expériences internationales. Il aime travailler les produits de saison achetés au marché ou aux producteurs locaux. A la carte, vous pourrez par exemple découvrir le pressé de foie gras et canard fumé, pommes vertes, cresson et gelée au madère ou le turbot de ligne français braisé, radis, câpres, coques et sauce au Champagne. En dessert, vous pourrez vous régaler, entre autres, avec la Pomme rôtie au caramel demi-sel et fruits de la passion, une réinterprétation de la célèbre tarte Tatin imaginée par le Chef Pâtissier Eddie Benghanem. Pour profiter pleinement de ce lieu, pourquoi ne pas réserver la table du chef, un espace pour 6 personnes qui surplombe la cuisine et d’où vous pourrez admirer le travail de toute la brigade. La Véranda by Gordon Ramsay, la brasserie de luxe du Trianon A la Véranda by Gordon Ramsay, le chef propose une cuisine continentale contemporaine tous les jours le midi comme le soir. Vous pouvez aussi profiter de ce lieu pour un petit-déjeuner buffet. Le Bar Galerie Le Bar Galerie est l’endroit idéal pour profiter d’un savoureux tea-time, servi tous les après-midi. Découvrez tous les week-ends le très apprécié chariot de pâtisseries pour accompagner avec délice votre boisson chaude préférée. ...
Installé dans l’un des « plus beaux villages de France », dans le village médiéval fortifié de Montpeyroux, le Bistrot Zen offre un cadre sympathique et convivial en plein cœur de la campagne avec quarante couverts à l’intérieur et quarante à l’extérieur. Racheté en 2014, l’établissement a été entièrement restauré de façon à créer une ambiance originale, moderne et chaleureuse, depuis la salle à manger à la cuisine jusqu’à la cave à vin. « Cette ancienne cave est constituée de petites salles voûtées en pierre avec des recoins partout, des bougies, des petits éclairages…», révèle le chef et propriétaire Cyrille Zen en parlant de cet espace qui fait sa fierté. Une cuisine de bistrot originale et locale Ayant un goût particulier pour les « bons produits », le chef Cyrille Zen se distingue par sa cuisine qui mélange la tradition et la modernité. Ouvert il y a trois ans, le Bistrot Zen a été créé à partir d’un concept original qu’est la cuisine de bistrot. Les plats sont généreux, mais soignés et élaborés avec, essentiellement, des produits de la région. Grâce à une collaboration étroite avec les producteurs locaux, qui se trouvent dans un rayon de trente kilomètres environ, « nous changeons les cartes tous les mois et demi ou tous les deux mois selon les saisons », explique le chef. À côté de son établissement étoilé à Saint-Jean-en-Val, en Auvergne, « ici, nous proposons des plats signatures – ma propre signature culinaire, mais avec des formules plus abordables pour les personnes qui n’ont pas le moyen de venir chez nous en tant qu’étoilé », souligne-t-il. Composées de trois entrées, trois plats et trois desserts, les formules de menu « entrée-plat », « plat-dessert » ou « entrée-plat-dessert » peuvent être accompagnées de fromage en supplément si besoin est. Comme plat emblématique, le chef est reconnu pour ses choux farcis à la joue de bœuf, avec en entrée des asperges, des escargots ou du maquereau mariné façon aigre douce. Au dessert, il suggère du chocolat et de la framboise. Avant de partir, l’établissement propose de déguster des vins de la région culturelle et historique d’Auvergne. Sous la conduite de la femme du chef, Audrey, la cave du Bistrot Zen conserve une panoplie de références de vins de toutes les régions françaises, notamment du Languedoc. Toutefois, « nous privilégions des produits de vignerons locaux à l’instar d’Yvan Bernard, pour faire découvrir des vins qui ne sont pas des produits de négoce », précise le propriétaire. ...