Le manque d’assurance, la difficulté à faire confiance, l’instabilité émotionnelle ou encore la peur d’être abandonné se rejoignent sous une qualification : le blocage émotionnel. Celui-ci explique le comportement renfermé ou excessivement agressif d’un individu, sa façon à lui de construire un mur de défense par rapport à son environnement. Vivre avec un blocage émotionnel est épuisant, psychologiquement mais aussi physiquement. Mais aujourd’hui, grâce aux travaux de recherche de Dr Pierre-Noël Delatte, chacun peut adopter une nouvelle façon de vivre en apprenant à contrôler son énergie émotionnelle. Comprendre la PBA© La psycho-bio-acupressure (PBA©) est une méthode innovatrice développée par Dr Pierre-Noël Delatte vers les années 1990, qui s’inspire de l’acupuncture. Le principe consiste à appuyer fermement, et trois fois de suite, cinq points réflexes qui forment des circuits imprimés selon un ordre bien particulier. Ce protocole précis permet dans un premier temps de rééquilibrer le système énergétique de la personne et d’évacuer, par la suite, le blocage émotionnel accumulé qui fait emprise sur le mental et le subconscient. « La PBA© agit parfaitement dans plusieurs états de mal-être et de pensées négatives, comme le stress, l’angoisse, la colère, la dépression, la peur, l’anxiété, l’hyperémotivité, etc. », explique Fairouz Rouzaud, cofondatrice de l’Institut Delatte, qui assure l'évolution de la méthode depuis le décès du Dr Delatte. Même les blessures plus profondes, notamment les échecs à répétition et les souvenirs douloureux accumulés dans l’enfance, peuvent être libérées grâce à la PBA©. En outre, cette technique présente aussi l’avantage d’être non invasive et totalement adaptée aux femmes enceintes et aux bébés. D’ailleurs, la passion de madame Rouzaud pour la vie intra-utérine, les divers types de naissances et leurs impacts émotionnels sur l'individu l'a amené à développer une thérapie particulière pour soulager ces derniers. En France, il existe environ 150 thérapeutes/praticiens agréés par l’Institut Delatte à proposer des consultations PBA©. Mieux former pour mieux guérir Chacun peut apprendre à gérer ses émotions et son état énergétique via la PBA©, grâce à une initiation de base dispensée par cet institut de référence. L’on y apprend comment identifier les points d’acupressure et maîtriser le protocole fondamental. À partir de là, plusieurs autres niveaux de perfectionnement sont proposés à ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances. Le cursus échelonné s’achève sur une formation à vocation professionnalisante, un parcours exclusif pour devenir praticien homologué, référencé sur l’annuaire officiel des praticiens agréés et régis par un code de déontologie. « Aussi, l’institut organise tout au long de l'année une formation/recyclage et perfectionnement à destination de nos diplômés sortants.» Fairouz Rouzaud elle-même ainsi que trois autres confrères assurent ces formations au sein de l’Institut Delatte. La cofondatrice se déplace également à l’étranger, notamment au Canada, aux États-Unis, en Suisse, à l'Ile de La Réunion, en Nouvelle calédonie et àTahiti pour partager son expertise. En parallèle, le site psycho-bio-acupressure.com reste un portail d’informations de référence pour mieux comprendre la PBA©, l’Institut Delatte et ses missions. La liste des praticiens agréés, le calendrier des stages et des formations y figurent également. ...
L’Université de Lille propose une offre de formation complète, comme l’atteste la diversité des filières de formation tout au long de la vie (FTLV), couvrant la totalité des champs disciplinaires au gré des cursus, diplômes et titres (DAEU, DEUST, DUT, licence, licence professionnelle, master, doctorat, diplôme universitaire), comme aussi des différents formats pédagogiques proposés : enseignement en présentiel, à distance, hybride, en alternance, par voie d’apprentissage… et ouvert à tous les publics (formation initiale, reprise d’études, formation continue). Des formations pluridisciplinaires A Lille, la complétude de l’offre de formation proposée encourage la création de diplômes bi- ou pluridisciplinaires facilitant l’accès à des métiers différents et à des compétences élargies, notamment droit-sociologie-numérique, droit et santé ou droit-finance à l’instar du master Finance, parcours Finance et Droit, option Gestion financière des patrimoines. Cette option vient compléter l’option Risque financier créée l’an passé. Ces dispositifs permettent aux étudiants de master 2 Droit privé (parcours Droit des contrats et Recouvrement de créances) et Droit des affaires (parcours Fiscalité) de suivre la même année le master Finance (parcours Droit Finance) grâce à une offre de cours numérisés. Ainsi, ils peuvent obtenir une double compétence facilitant leur insertion dans les métiers du droit et de la finance. La pluridisciplinarité est également au principe du master Ingénierie de la santé, dans son nouveau parcours Coordination des trajectoires de santé alliant les Sciences Humaines et Sociales à l’expertise médicale et sanitaire en vue d’une optimisation des parcours de santé dans ces diverses dimensions : prévention, soin, prises en charge médico-sociales. Attractivité internationale L’internationalisation est un défi. L’Université de Lille s’y emploie, en veillant à l’attractivité internationale de ses formations et, pour certaines d’entre elles, en dispensant des enseignements bilingues en licence (notamment en Sciences de la vie) et entièrement en langue étrangère en master : c’est le cas notamment du master Biologie végétale, parcours Plant Sciences. D’autre part, la qualité de l’accueil des étudiants étrangers est assurée grâce à un bouquet de services tels que des cours de français langue étrangère (FLE) et un DU Introduction à la didactique du FLE (ouverture en septembre). En matière d’excellence scientifique, l’attention est portée aux grands défis technologiques et sociétaux liés aux sciences, aux cultures et aux technologies de l’image et du numérique et à la transition énergétique. C’est notamment le cas du master Sciences et Cultures du visuel, seul à être proposé en France, qui ouvrira en septembre, et du master Mention automatique et Système électrique, répondant aux besoins en véhicules intelligents électriques de l’industrie automobile et du transport. Des formations pour tous publics Soucieuse des besoins de montée en qualification et de sécurisation des parcours professionnels, l’Université propose des cursus qui ont pour ambition d’être attractifs et accessibles à tous publics. En complément des diplômes d’État (licence, master, doctorat), elle propose des diplômes d’université (DU) et des certificats. Ces certificats font l’objet de validation de crédits qui permettent l’obtention partielle ou totale d’une licence ou d’un master. C’est le cas, par exemple, de 5 certificats en STAPS portant sur l’entretien de la santé et le développement de la condition physique, accessibles tant pour le grand public que pour les sportifs de haut niveau. Le diplôme universitaire de technologie (DUT) Carrières sociales s’enrichit d’une option Assistants sociaux, permettant d’accéder, via une 3e année d’études, au diplôme d’État d’assistant de service social. De même, le DUT Gestion logistique et Transport réaménage son programme de forma...
Un accord national interprofessionnel à la fin de l’année 2013, une loi le 5 mars 2014… voici maintenant venu le temps d’appliquer les nouveaux dispositifs de la formation professionnelle. Ces nouvelles mesures, portées et soutenus par la CFDT ont un double objectif : sécuriser le parcours professionnel des salariés et des demandeurs d’emploi avec une meilleure formation et qualification ; renforcer le développement et la compétitivité des entreprises. Des nouveautés avec trois dispositifs Parmi les nouveautés, trois dispositifs sont notamment intéressants pour le grand public. Le Compte Personnel de Formation : jusqu’à 150 heures de formation Le Compte Personnel de Formation : remplace le Droit individuel à la formation (DIF), lancé en 2009, mais qui a été un échec. Alors que le DIF se limitait à 120 heures de formation, le CPF peut monter jusqu’à 150 (à raison de 24h de crédit d’activité professionnelle par an). Et surtout, ces heures peuvent être intégrées et compléter une formation plus longue. Le Compte Personnel de Formation, dont chacun bénéficie depuis le 1er janvier 2015, réalise de bons débuts dans la région Occitanie. 41 000 personnes en ont déjà profité, dont 35 000 demandeurs d’emploi et 6 000 salariés. La grande majorité des bénéficiaires (25 000 personnes) sont aujourd’hui les 26-49 ans. La durée moyenne de formation est de 186 heures pour les salariés et 520 heures pour les demandeurs d’emploi. Le conseil en évolution professionnelle : vous vous interrogez sur votre avenir au sein de votre entreprise ? Sur votre réorientation de carrière ? Un nouveau dispositif émerge avec cette loi : le conseil en évolution professionnelle. Chaque salarié et demandeur d’emploi a un accès gratuit à du conseil, effectué par un opérateur désigné (APEC, Pôle Emploi, Missions locales, Cap Emploi et Fongecif). Ce conseil est réalisé en trois étapes : la première est plus généraliste, la seconde affine le projet tandis que la troisième cible une formation. Se former tout au long de la vie professionnelle L’entretien professionnel tous les deux ans : jusqu’en 2014, l’entreprise était présumée avoir rempli ses responsabilités en justifiant annuellement avoir dépensé au moins 0,9% de sa masse salariale annuelle brute pour des actions de formation. Cela évolue. Les employeurs sont tenus de s’entretenir tous les deux ans avec leurs salariés. Désormais, l’entreprise devra faire un état des lieux individuel tous les six ans : a-t-elle proposé une action ou formation qualifiante au salarié ? Le salarié a-t-il progressé en terme de salaire ou de poste ? A-t-il obtenu une certification ? Si deux des trois items ne sont pas respectés, l’entreprise sera pénalisée. La gouvernance évolue aussi La formation professionnelle a également connu des modifications dans sa gouvernance. Le COPAREF (Comité paritaire interprofessionnel régional pour l’emploi et la formation) a remplacé la COPIRE (Commission paritaire interprofessionnelle régionale pour l’emploi). Cette instance regroupe les partenaires sociaux (organisations salariales et patronales). Elle a une grande responsabilité, notamment celle d’inscrire les formations éligibles au Compte Personnel de Formation. « Il y a eu quelques bras de fer, sourit Stéphane Bonnetain, secrétaire régional CFDT Emploi-Sécurisation des parcours professionnels, et co-président du COPAREF. Les Régions voulaient que l’intégralité des Plans Régionaux de Formation soient repris dans les listes éligibles au CPF, nous voulions remplir notre mission en toute objectivité. Mais nous en avons repris un grand nombre. » Autre structure nouvelle : le CREFOP (Comité régional de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnelles) remplace le CRE et le Ccrefp. Cette organisation quadripartite est invitée à donner son avis sur les politiques d’orientation, la formation professionnelle, la cohérence des différents programmes et plans de formation dans la région. Après quelques tensions dues à la fusion des régions et aux logiques de territoire, « on ...
La première école Saint-Luc voit le jour en 1878, à Tournai, en Belgique, près de la frontière française. À l’époque, la gestion est assurée par quatre frères prônant l’idéal des frères des écoles chrétiennes. Depuis sa création, l'établissement ne cesse de se développer au fil des années. C'est en 1960, lors du déménagement de l'école dans ses locaux actuels, que fut créé l'enseignement supérieur des Arts. Former les étudiants aux métiers de l’art L’école Saint-Luc propose à tous les étudiants, qu’ils soient du secondaire ou du supérieur, de suivre leur formation dans le même esprit humaniste initié par les frères fondateurs. Au sein de l’école supérieure des Arts, les formations dispensées s’étalent sur 3 ans et débouchent sur un diplôme de bachelor. Entre le domaine des Arts Plastiques, des Arts des visuels et Arts de l'espace, les étudiants ont le choix entre 6 formations : Graphisme, Photographie, Publicité, Création d’intérieurs, Stylisme de Mode et Stylisme de l’Objet. Chaque discipline étant enseignée par des professionnels en activité. Mieux préparer les étudiants au monde professionnel Le but étant de préparer les étudiants à l'insertion professionnelle, l'école mise sur 2 piliers indispensables pour appuyer les formations. Les cours théoriques consistent à les aider à acquérir des bases fondamentales, tandis que la pratique développe leur langage plastique. ESA Saint-Luc Tournai s'emploie ainsi à prodiguer une formation approfondie aux élèves afin de développer leur sens critique tout en respectant la démarche et la singularité de chacun. La formation est ponctuée de conférences, visites culturelles, voyages d’études, workshops, de participation à des concours internationaux et des stages allant de 15 jours à 2 mois. Elle révèle des artistes capables de développer une démarche de création authentique et autonome. « Ces stages sont réalisés avec des enseignants qui sont tous des professionnels dans le domaine », souligne Pierre-Henri Leman, enseignant. Par ailleurs, l’école est le théâtre d’une effervescence artistique emprunte d’innovations pédagogiques. Une attention toute particulière est apportée à la mobilité internationale et à la recherche artistique. Durant les voyages pédagogiques, les étudiants visitent pendant une semaine une grande ville culturelle. « En ce moment, les étudiants en option publicité sont à New York pour rencontrer les agences publicitaires sur place », précise notre interlocuteur. Autre particularité d'ESA Saint-Luc Tournai est son ouverture aux étudiants de toutes origines. C'est dans ce sens que le Pensionnat Passy-Troyennes accueille plus de 300 élèves issus d’horizons divers et désireux de suivre un parcours artistique. A cette structure s’ajoutent 50 chambres réservées aux étudiants du Supérieur. En pleine mutation, elle ambitionne de créer de nouveaux partenariats pédagogiques et culturelles qui fassent sens pour consolider des liens, créer des ponts utiles et amplifier les synergies artistiques. ...
Situé au CNIT, à La Défense, l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Franco-Britannique est sous l'égide de l'Œuvre du Perpétuel Secours, association loi 1901. Il a pour mission de former des professionnels de santé engagés et compétents, à même de s’adapter à l'évolution des pratiques soignantes et de répondre efficacement aux besoins de santé des personnes. Des formations tout au long de la vie Madame Danielle BENALI, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 95 Étudiants en Soins Infirmiers (ESI), 85 élèves Aides-Soignants (AS) et 65 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP) au sein de 12 salles de formation dont 2 dédiées à la pratique des soins et un pôle simulation avec chambre et mannequin reproduisant le contexte hospitalier. À ce titre, l’IFSI offre deux départements de formation : - Une formation initiale préparant aux diplômes d’infirmier, d’Aide-Soignant et d’Auxiliaire de puériculture. Dans ce cadre, les étudiants infirmiers ont la possibilité de réaliser un projet de stage à l’étranger ou en Europe via le programme Erasmus +. L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner tout au long de leur parcours de formation. - Une formation continue professionnalisant des personnels de santé tout au long de leur exercice professionnel ou favorisant une nouvelle orientation professionnelle (VAE, Passerelles, tutorat, Soins d’urgence, soins critiques). Un encadrement de qualité et des méthodes pédagogiques diversifiées L’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre pour que les étudiants bénéficient d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de mieux connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant. Pour ce faire, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un master. Les méthodes pédagogiques pratiquées s’inscrivent dans l’innovation et privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables. De plus, l’IFSI a développé tout un réseau autour de nombreux partenaires parmi lesquels PARIS VI : « Médecine Sorbonne Université », le Conseil Régional de l’Ile de France, l’Agence Régional de Santé mais également avec des lieux de stage qualifiants et professionnalisants, notamment l’Hôpital Franco-Britannique / Fondation Cognacq Jay et des Centres de Formation en Apprentissage. ...
Créé en 1910, le Collège Alpin Beau Soleil compte parmi les plus anciens établissements d’enseignement privés de Suisse. Depuis sa création, le collège a été dirigé par trois générations de la famille de Meyer jusqu’en 2010. L’établissement offre une éducation internationale en internat avec une capacité d’accueil de 250 étudiants. Il reçoit des élèves de 11 à 18 ans issus de plus 50 nationalités différentes. La philosophie de la maison est bâtie sur quatre axes essentiels : responsabilité, respect, détermination et ambition. Pour insuffler un nouvel élan à son développement, le collège adhère en 2011 au groupe Nord Anglia Education, une organisation regroupant 55 écoles de haute qualité à travers le monde. Ce partenariat lui permet de maintenir une atmosphère familiale tout en tirant profit des opportunités uniques qu’apporte un réseau éducatif de portée mondiale. Un collège, deux cursus L’établissement propose deux cursus diffé-rents comprenant le « french curriculum » et l’« international curriculum ». Au sein d’un environne-ment bilingue, la section française accueille les classes de la 3eme à la terminale et prépare les étudiants aux examens officiels tels que le diplôme national du brevet et le baccalauréat français. Afin de garantir la réussite scolaire, chaque élève bénéficie d’un suivi personnalisé dispensé sous forme d’un tutorat. En effet, un tuteur attitré veille à ce que l’étudiant assure un progrès constant. « Avec un ratio de quatre étudiants par enseignant, nous avons les moyens de proposer une éducation adaptée à chaque élève », explique Kevin Foyle, Directeur de l’établissement. Quant à la section internationale, elle inclut les classes qui vont du 6th grade (sixième) au 12th grade (terminale). Issue des meilleurs systèmes d’éducation, cette section prépare notamment les élèves à l'IGCSE (International General Certificate of Secondary Education) et l’IB (International Baccalaureate). À travers ses deux cursus, Beau Soleil peut se vanter d’obtenir chaque année des résultats académiques exceptionnels. À titre d’exemple, pour les résultats au baccalauréat international (2012-2016), le collège affiche 100 % de réussite. Un succès qui n’est pas dû au hasard et s’explique par de nombreux efforts axés à tous les niveaux. Sur le plan pédagogique, l’établissement dispose d’une équipe d’éducateurs passionnés qui concilie parfaitement expériences et approches innovantes. Afin de permettre un soutien personnalisé, l’institution privilégie des classes à effectif réduit. En ce qui concerne la vie en internat, tout est fait pour que les élèves se sentent comme chez eux ! Les « Boarding houses » offrent non seulement un espace propice à l’épanouissement personnel mais donnent aussi lieu à de nouvelles rencontres. Entre les traditionnels barbecues, les après-midi en cuisine ou les activités du week-end, les occasions ne manquent pas de se faire des amis. Des efforts ont été entrepris pour procurer un environnement chaleureux et accueillant. Une expérience unique dans un environnement d’exception Installé à 1 259 mètres d’altitude dans les Préalpes vaudoises, le Collège Alpin Beau Soleil profite d’un emplacement idéal. Le campus a récemment ouvert une extension du campus qui lui ont permis de doubler de volume sans pour autant augmenter l’effectif des élèves. Ces bâtiments intègrent des installations modernes tout en offrant une magnifique vue sur les Alpes suisses. C’est dans ce cadre privilégié que les élèves auront l’occasion de vivre des expériences inoubliables. À commencer par les voyages et découvertes en tout genre. « Chaque année, les élèves doivent faire un voyage, qui peut être culturel, d’étude ou dédié aux...
Pour apprendre une nouvelle langue aux plus jeunes, il faut avoir de la créativité. En effet, pour les 10 à 14 ans, l’apprentissage doit encore s’assimiler aux jeux pour plus d’efficacité. Et quoi de mieux que les colonies de vacances pour joindre l’utile à l’agréable ? Pour ceux qui veulent perfectionner leur langue étrangère dès l’enfance, il est même possible de partir en colos à l’étranger afin de s’immerger dans la culture du pays où la langue en question est naturelle et quotidienne. Les colonies de vacances : une manière ludique d’apprendre une langue étrangère Si la plupart des enfants adorent les colonies des vacances, c’est parce qu’elles leur donnent l’opportunité de se retrouver avec des amis du même âge pour profiter de l’été. Néanmoins, cette période peut apporter bien plus que des divertissements. Les colonies de vacances peuvent aussi devenir un moyen d’apprentissage ou de perfectionnement d’une langue étrangère. Avec les colos organisées par des écoles spécialisées comme EF Education First, les participants peuvent côtoyer des élèves issus du monde entier pendant leurs vacances. C’est un excellent moyen de découvrir d’autres cultures, d’enrichir leur vocabulaire et d’élargir leur horizon. Grâce aux échanges et aux activités organisées par des professeurs ou des coachs professionnels, les enfants apprennent naturellement sans se mettre la pression. Etant une institution d’envergure internationale, EF Education First dispose des infrastructures nécessaires pour accueillir les groupes d’élèves et rendre leurs séjours agréables dans le pays de leur choix. Où partir en colonies de vacances ? Si vos enfants partent en colonie de vacances avec EF Education First, ils pourront apprendre l’anglais, l’espagnol, le japonais, l’italien, l’allemand ou encore le coréen dans une cinquantaine de destinations à travers le monde. Pour ceux qui veulent pratiquer l’anglais avec les natifs, le choix est multiple, selon l’envie de chacun. Pour ne pas envoyer vos enfants trop loin de la France, il est par exemple possible de partir en colonie de vacances à Malte. Ils pourront profiter du soleil de la méditerranée tout en pratiquant leur anglais avec les locaux ou entre eux. S’ils sont séduits par la monarchie et l’histoire du Royaume Uni, ils peuvent aller en Angleterre ou aussi en Irlande. Ceux qui souhaitent essayer le mode de vie américain ont le choix entre plusieurs villes dont New York, Los Angeles, Miami, Boston et Hawaï. Les plus aventuriers pourront partir pour l’Afrique du Sud, l’Australie ou encore la Nouvelle-Zélande. Quant à ceux qui cherchent à parfaire leur espagnol, ils peuvent choisir l’Espagne ou le Costa Rica pour découvrir la culture latino-américaine. Dans tous les cas et quelle que soit la destination, EF Education First priorise toujours la sécurité et le bien-être de ses étudiants, raison pour laquelle elle a pensé à intégrer diverses activités dans l’apprentissage de la langue en colonie de vacances. Allier passion et apprentissage Afin de faciliter le choix de la destination pour les prochaines colos de vos enfants, pensez à leurs passions. Dans les camps d’été, vos enfants peuvent à la fois pratiquer leurs activités favorites et améliorer leur niveau de langue. Si votre enfant est un passionné de foot, il sera ravi de partir au Summer Camp en Angleterre. S’il préfère le Surf ou les sports nautiques alors pensez dès à présent à son voyage en Californie ou à Malte. S’il a l’âme d’un artiste, il y a des colonies de vacances dédiées au théâtre, à la danse et à la mode à Oxford, à Torqay et à Londres. Avec EF Education First, les participants pourront aussi combiner sport, art et apprentissage de langue étrangère grâce au Classic Estival Camp Junior. Bref, ces colonies de vacances permettent aux enfants de s’épanouir totalement : ils découvrent de nouvelles cultures et de nouvelles personnes, ils améliorent leur niveau de langue étrangère, ils gagnent en autonomie et ils profitent de moments heureux avec leurs amis à partager différentes passio...
Le programme, organisé sur trois mois, propose aux professionnels de la gastronomie, de l’hôtellerie et des arts culinaires, d’acquérir les fondamentaux de la nutrition afin de les appliquer dans différents secteurs : restaurants, hôtels, pâtisseries, mais aussi les restaurations collectives des écoles, des hôpitaux, des clubs sportifs, entre autres. Des clés pour maîtriser les nouvelles tendances alimentaires Conçue par les chefs et les experts de l’Institut Le Cordon Bleu, cette formation très complète aborde tous les aspects de la nutrition, de la biologie des aliments aux techniques de développement durable, de la cuisine traditionnelle aux innovations culinaires. Les cours francophones sont traduits en anglais et dispensé par les chefs de l’Institut. La formation, ponctuée de conférences et de visites dans différentes structures, veut permettre en sus un lien concret avec les professionnels de la diététique et de l’alimentation. Les étudiants seront amenés à créer leurs propres concepts via des travaux pratiques. Le jardin potager de l’institut (800m2) sera notamment utilisé au profit de la pédagogie via une initiation à la permaculture et la création d’un potager urbain. Deux promotions par an La première session aura lieu en janvier 2021 et la seconde en juillet 2021, avec un nombre de place limité. Les candidats intéressés devront témoigner de leur passion et de leur projet professionnel dans la nutrition et la gastronomie pour être sélectionné. Pour plus d’information sur cette formation pointue, éclairante et diplômante, rendez-vous sur le site du Cordon Bleu Paris. ...
A l’écoute des tendances et des évolutions alimentaires de la société actuelle, l’Institut parisien à la renommée internationale a imaginé ce programme novateur et inspiré. Dans la continuité des formations existantes, bases et techniques sont administrées aux étudiants, sauf qu’ici, une attention toute scientifique est accordée aux produits. Recettes sans gluten, sans sucre ou sans œuf, végétariennes ou végétaliennes sont réalisées, sous les conseils des Chefs Pâtissiers Le Cordon Bleu et experts dans le domaine de la nutrition. Ce diplôme répond aux attentes de son époque. Aujourd’hui, savoir ce qu’on mange, d’où viennent les produits, quelles sont leurs compositions ne sont plus des informations prises à la légère. Sensibles au recyclage, à la transparence des circuits, les consommateurs se responsabilisent face à leurs achats. Les nourritures saines, bios, voire végan connaissent un essor significatif. Une pâtisserie d’avenir La pâtisserie traditionnelle est l’œuvre d’un savoir-faire et de techniques qui ont traversé les générations. Elle donne aujourd’hui naissance à des gourmandises plus naturelles. « La pâtisserie de demain, c’est se faire plaisir avec un goût franc, c’est être son propre docteur et savoir ce qu’on met dans son corps », explique Chef Fabrice Danniel, Directeur Adjoint des Arts Culinaires et Responsable du Département Pâtisserie et Boulangerie. Le secteur de la pâtisserie saine et équilibrée connaît une forte croissance, élargissant toujours plus le champ de ses opportunités. Son marché ne cesse de fleurir, profondément ancré dans les traditions, tout en se renouvelant. Mariage, anniversaire, fêtes, les douceurs ne sont jamais absentes du repas idéal. Des concepts de boutiques se réinventent, dédiés à un produit unique ou aux pâtisseries végétaliennes. Place à l’imagination et aux recettes éclairées. Les chefs s’y donnent à cœur joie pour le plus grand plaisir des dégustateurs. Et Le Cordon Bleu Paris veille à former la relève. ...
Le site Voyage-Langue.com a été lancé par des spécialistes des séjours linguistiques parmi les plus reconnus de France. Fort d'une expérience de plus de 10 ans sur ce marché, les maîtres-mots de l’organisme sont exigence de qualité et objectif constant de pratiquer les meilleurs tarifs du marché. La qualité garantie aux prix les plus bas Lorsque nous cherchons un séjour linguistique pas cher, nous ne souhaitons en aucun cas faire de concessions sur la qualité du séjour ! Afin de garantir cette qualité, les conseillers visitent chaque école de langue avant de les sélectionner en suivant différents critères fondamentaux : Les écoles doivent être reconnues et accréditées (par le label British Council par exemple) ; Elles doivent se situer en centre ville et être accessibles aux transports en commun ; Elles doivent être équipées de tout le matériel moderne nécessaire à l’apprentissage d’une langue (tableau interactif, ordinateur etc.). Chaque classe ne doit pas dépasser le nombre de 15 étudiants ; Les étudiants doivent être répartis par niveau de langue grâce à une évaluation dès le premier jour ; Les formations doivent être diversifiées (cours standard, semi-intensif, intensif, préparation au TOEFL, IELTS, TOEIC, Business, Juniors, Adultes, Ados, Seniors, …) ; Le taux de Français par établissement ne doit pas être supérieur à 7 ou 8%. En plus de ses exigences de qualité, Voyage-langue offre une garantie de prix les plus bas. L’organisme ne facture pas de commission supplémentaire et négocie avec ses partenaires des promotions pour chaque séjour. En aucun cas la baisse de prix est la conséquence d’une réduction du temps de cours ou d’une baisse qualitative de la formation. Des programmes adaptés aux besoins de chacun Voyage-Langue.com propose aujourd’hui plus de 50 destinations de séjours linguistiques et vous permet d’apprendre 7 langues différentes (anglais, espagnol, allemand, italien, arabe, chinois et japonais). Le site se distingue également par la diversité des formations proposées avec entre autres des séjours linguistiques pour les enfants et ados de 8 à 17 ans, des séjours réservés aux personnes de 30 ans et plus, des préparations au TOEFL, TOEIC, IELTS ou encore des cours d’anglais des affaires. Séjour linguistique ado et enfant Les plus jeunes, de moins de 17 ans, bénéficient de programmes Juniors tout compris incluant le logement en famille d’accueil ou résidence, la pension complète, les transferts d’aéroport et les activités encadrées par l’école de langue. Séjour linguistique étudiant À partir de 18 ans, Voyage-Langue offre l’opportunité d’apprendre l’anglais et d’occuper un emploi grâce à trois programmes : La formule « Anglais+Job » à Londres, Oxford, Brighton, Cambridge ou Malte. Les cours d'anglais sont concentrés sur une demi-journée afin de permettre à l’étudiant de travailler à mi-temps. Des cours spécialisés sont organisés pour guider l’étudiant dans ses recherches de job, l’aider dans la rédaction de son cv en anglais et la préparation de ses entretiens d’embauche. Le programme « Anglais+Job » à Brisbane ou Gold Coast en Australie. Cette fois-ci, le programme garantit un job dans l’hôtellerie ou la restauration de luxe après une période de 2 à 3 mois de cours d’anglais. La formule « Diplôme+Job » à Toronto ou Vancouver de 10 mois à 1 an : ce programme diplômant permet d’étudier puis de travailler au Canada sans le PVT (Permis Vacances Travail). Séjour linguistique adulte Enfin, les personnes de 30 ans et plus ne sont pas en reste puisque Voyage-Langue a sélectionné pour eux des écoles de langue réservées à leur tranche d’âge à Londres, New York, Malte et Toronto. Cette formule leur permet d'apprendre ou de perfectionner leur anglais avec la garantie de cours adaptés à leurs intérêts ainsi que des activités de découvertes spécialement pensées pour eux. ...
En proposant ses ateliers de programmation informatique, Magic Makers poursuit deux objectifs : d’une part, mettre les enfants dans une posture d’acteur vis-à-vis de la technologie en leur permettant, de manière ludique, d’exprimer leur créativité et d’autre part, leur donner les moyens de comprendre et de les préparer au monde de demain. Interrogé sur les raisons qui l’ont poussé à lancer ce projet innovant, la fondatrice Claude Terosier nous explique que « l’enjeu est de permettre aux enfants d’inventer leur métier étant donné que 85% des métiers de 2030 n’existent pas aujourd’hui ». Tout sur Magic Makers Basée à Paris, Magic Makers a été créée en 2012. A l’époque, ancienne étudiante de Télécom Paris Tech, Claude Terosier cherche vainement des ateliers de programmation pour son fils. Convaincue qu’il est possible d’apprendre la programmation de manière simple et ludique, cette ingénieure décide de créer Magic Makers en proposant des ateliers de programmation créative dédiés aux enfants. Leader et pionnière dans le domaine, Magic Makers mobilise aujourd’hui plus de 40 animateurs et organise 150 ateliers par semaine à raison de 1000 inscriptions hebdomadaires. Depuis sa création, environ 10 000 enfants ont pu bénéficier de ses ateliers. « Comme pour un cours de musique, les enfants peuvent s’inscrire toute l’année ou bien suivre des stages pendant les vacances », nous indique-t-elle. Une pédagogie active « Apprendre à coder pour apprendre à créer », c’est en s’appuyant sur cette approche innovante que la start-up construit sa pédagogique. En effet, la démarche veut que l’enfant devienne acteur de son apprentissage. C’est le principe même de la pédagogie dite « active ». « Nous nous sommes inspiré de la pédagogie active du MIT et nous utilisons « scratch », un outil de programmation simplifié », précise Claude Terosier. Mais que l’on ne s’y trompe pas, l’objectif n’est pas de transformer les enfants en véritable « crack » de la programmation ! Ici, l’important, c’est de créer tout en s’amusant. Au cours d’un atelier, l’animateur montre deux ou trois exemples et c’est au tour des enfants de créer leur propre projet : dessins interactifs, jeux vidéo, robots...Tout est prétexte à leur imagination. Les enfants expérimentent, apprennent de leurs erreurs et partagent leurs acquis avec les autres. « En cas de blocage, les enfants posent des questions et l’animateur les aide pour qu’ils trouvent eux-mêmes les réponses ». ...
Fondé en 1903 par des prêtres dominicains, le Collège Champittet était, à ses débuts, un internat exclusivement réservé aux garçons. Aujourd’hui, l’établissement accueille également des filles et abrite non seulement un internat mais surtout un externat qui concerne 90 % des élèves. Le Collège propose une éducation académique à des enfants âgés de 3 à 18 ans. De par son histoire, il a des valeurs profondément inscrites. « L’école a des racines catholiques mais elle est ouverte à toutes les communautés, formes de pensée, de religion ou de croyance », précise Philippe de Korodi, le directeur. À travers ses 115 années d’existence, l’établissement a évolué et est passé d’une référence locale à un rayonnement international. En effet, 60 % des élèves inscrits viennent de toutes les régions du monde. De plus, l’école fait partie du groupe Nord Anglia Education, une organisation regroupant 55 écoles d’excellence dans le monde. Un cadre unique avec des infrastructures haut de gamme Située non loin de Lausanne, à 200 m du lac Léman, l’école dispose d’un campus arboré établi sur une surface totale de 40 000 m². Le cadre bénéficie de nombreux espaces verdoyant sous l’ombre de grands arbres majestueux. En hauteur, depuis les fenêtres du Collège, les élèves profitent d’une magnifique vue sur les Alpes. Outre les différents bâtiments scolaires, le campus est doté de plusieurs équipements sportifs incluant des terrains de sport ainsi que de deux courts de tennis. Des cursus adaptés au profil des élèves Le Collège Champittet dispense un programme bilingue (anglais, français) à tous ses élèves. L’école les prépare également à trois diplômes prestigieux à savoir : la maturité suisse, le baccalauréat français et le baccalauréat international. «Tous ces diplômes ont des caractéristiques différentes qui nous permettent d’orienter l’élève selon son profil personnel », développe le directeur. Pour les élèves non francophones, un programme spécifique dénommé F.L.E (français langue étrangère) leur permet d’atteindre en seulement une année le niveau B1/B2 du CECR (Cadre européen commun de référence). Un autre élément qui démarque le Collège Champittet porte sur son approche pédagogique qui prône l’usage des nouvelles technologies. « Les élèves ont accès à des iPad collectifs très tôt mais, dès l’âge de 7 ans, l’école leur fournit un iPad personnel », nous indique-t-on. Cette approche permet à la fois de booster la curiosité intellectuelle et de favoriser une meilleure collaboration entre les élèves. Depuis 2016, l’établissement a aussi entamé une nouvelle approche axée sur la multidisciplinarité. Le programme STEAM (science, technologie, ingénierie, les arts et les mathématiques) en partenariat avec le M.I.T (Massachussetts Institute of Technology) a pour objectif de développer les aptitudes de l’enfant à trouver rapidement des solutions face à des problèmes concrets. ...
Créée en 1971, l’ECI propose des séjours linguistiques en se spécialisant dans les séjours destinés aux jeunes de 12 et 18 ans. Allant d’Irlande aux États-Unis, en passant par l’Angleterre ou l’Australie, la pratique de la langue étrangère ciblée, notamment l’anglais, est assurée par des programmes en immersion totale dans le cadre d’hébergements en famille ou d’intégrations dans des écoles de langue de renommée internationale. L’immersion linguistique totale Séjours au pair, stages en entreprise à l’étranger ou encore intégration en écoles de langue sont autant de formules de séjours linguistiques et éducatifs proposées par l’ECI. « À l’écoute des parents, dans le but de les conseiller sur le meilleur choix pour leurs enfants, l’association élabore ses formules en assurant aux participants un accompagnement permanent par un professeur ou un membre de l’ECI », explique Valérie Deltour, la directrice de l'association. Parmi la dizaine de formules au choix, l’immersion totale reste néanmoins le fleuron de ces séjours riches en apprentissage et en découverte. En effet, toujours selon la responsable, « cette expérience vécue au sein d’une famille américaine, destinée aux lycéens et étalée sur deux mois, se veut le cœur de métier de l’association », une offre garantissant ainsi un apprentissage rapide et efficace de la langue choisie. À cette formule viennent s’ajouter les séjours linguistiques en Angleterre ou en Irlande. Pour ce qui est de l’Irlande, il s’agira de découvrir la culture du pays tout en bénéficiant d’une « immersion dans un milieu international [multilinguistique et multiculturel], au sein d’établissements spécialisés dans la langue anglaise [accueillant de jeunes élèves venus des quatre coins du monde]», continue-t-elle. La pratique, l’approfondissement et la maîtrise de la langue choisie sont ainsi assurés par ces programmes enrichissants à l’étranger, organisés, pour la plupart, durant la période estivale. De nombreuses autres destinations sont, par ailleurs, proposées par l’association afin de satisfaire toutes les demandes en matière de séjours linguistiques. ...
Le coronavirus bouscule les habitudes de consommation, fragilisant un secteur qui doit aujourd’hui composer avec un avenir incertain. Comment se traduit aujourd’hui l’impact du Covid-19 sur l’hôtellerie ? JFG : On entend pas mal de chiffres mais ils ne sont pas consolidés. Nous disposons d’une première étude très récente sur le parc hôtelier de Singapour. Cette étude indique un choc de demande, qui a baissé drastiquement et dont les prévisions à court terme sont du même ordre. Les hôteliers se retrouvent avec des recettes en forte baisse et des coûts fixes importants qui eux ne bougent pas. Nul ne sait vraiment quelles sont les pratiques de consommation du tourisme qui vont s’établir dans notre monde d’après : envie de se déplacer ? Choix des destinations (plus ou moins contraints par les ouvertures de frontières et des liaisons aériennes) ? Pour les gestionnaires des hôtels, c’est impossible à ce stade de se projeter dans l’après en posant des hypothèses d’activité (volume, durée). Comprenons-nous bien, ça ne veut pas dire qu’ils ne vont pas s’en sortir ! Un nouveau paysage économique Les acteurs de l’hôtellerie sont-ils tous égaux pour surmonter cette crise ? JFG : On peut mettre en avant trois variables qui vont être importantes. D’une part les pays où une partie des pertes pourra être prise en charge par des mécanismes globaux : on pense au chômage partiel comme en France et en Allemagne. Ensuite, on va voir des zones géographiques où l’activité va reprendre, quand les conditions sanitaires seront acceptables. Enfin, la crise va impacter les grands groupes mais les décisions de gestion les plus difficiles seront probablement sur les épaules de patrons de petites structures. De l’incertitude au renouvellement Le marché hôtelier doit-il changer de modèle ? JFG : La question se pose sur certains outils de gestion et méthodes. Par exemple le pricing dynamique se trouve remis en cause dans une période critique de demande. Mais il retrouvera son utilité le jour où le marché sera revenu sur un équilibre classique. On peut imaginer que les gestionnaires hôteliers vont intégrer des contraintes beaucoup plus fortes de l’environnement dans leur plan stratégique. Une des questions qui émerge est celle d’une remise en cause du modèle d’internationalisation de l’hôtellerie, avec des logiques plus régionales. L’avenir nous le dira… ...
Télécom SudParis propose en effet des formations diplômantes ou certifiantes, des formations en ligne (MOOC) et des formations sur mesure. L’école offre également un service de validation des acquis de l’expérience (VAE). Elle accompagne les créateurs d’entreprise dans le lancement de leur start-up et les entreprises dans la réalisation de leurs projets d’innovation. Comment est née Télécom SudParis ? Fondée en 1979 pour accompagner la montée en compétences des personnels des télécommunications, Télécom Sud Paris fut d’abord connue sous le nom d’Institut National des Télécommunications. Depuis plus de 40 ans, la grande école publique forme des ingénieurs généralistes et spécialisés dans différents domaines : les systèmes d’information, les réseaux, l’électronique, les sciences des données, l’intelligence artificielle, le traitement des images et la cybersécurité. Télécom SudParis fait partie du premier groupe d’écoles d’ingénieurs en France : l’Institut Mines-Télécom. Télécom SudParis est implantée sur deux campus dont le premier se trouve à Évry-Courcouronnes et le second à Palaiseau. Elle est également membre de l’Institut Polytechnique de Paris avec l’ENSTA, l’ENSAE, l’École polytechnique et Télécom Paris. Bien connue pour la qualité de son enseignement, Télécom SudParis ambitionne d’offrir à ses étudiants des formations d’excellence et de mener des recherches de pointe. L’école est ouverte aux étudiants et professionnels de tous horizons. Télécom SudParis favorise aussi le développement personnel de ses étudiants en appuyant les différentes associations et activités menées par les étudiants au sein même du campus. L’école travaille également en partenariat avec de nombreuses industries et entreprises afin de répondre aux nouveaux besoins et de pouvoir ajuster ses cursus de formation en fonction des attentes fixées par un marché du travail toujours en pleine évolution. Pour atteindre ses objectifs, Télécom SudParis propose différentes filières aux étudiants et aux professionnels. Les formations offertes par Télécom SudParis Créée pour permettre aux professionnels de performer face aux défis de la transformation digitale, Télécom SudParis offre divers cursus de formation. · Ingénieur généraliste Via un cursus en 2 cycles, les étudiants deviennent des ingénieurs diplômés immédiatement opérationnels grâce à une pédagogie par projet et par immersion en entreprise. Il est également possible d’obtenir un double-diplôme (ingénieur data-scientist, ingénieur-manager…) grâce aux partenariats de Télécom SudParis avec des écoles prestigieuses comme l’Institut Mines-Télécom Business School, l’ISUP ou encore l’ENSAE Paris. · La formation Ingénieur Réseaux par Apprentissage Télécom SudParis offre la possibilité de suivre un cursus d’ingénieur en alternance : les étudiants passent 3 jours en formation à l’école et 2 jours en entreprise. La formation dure 3 ans et est sanctionnée par le titre d’Ingénieur Diplômé Spécialité Réseaux. Le travail en entreprise est rémunéré et la scolarité gratuite pour l’étudiant. · Les formations Mastère Spécialisé® Il s’agit de formations post-masters conduisant à un diplôme de niveau bac+6 d’expert dans une spécialité du numérique. Elles s’adressent aux professionnels qui souhaitent devenir expert dans un domaine donné et aux étudiants désirant se spécialiser après leur formation d’ingénieur ou de Master. Elles durent 2 ou 3 semestres. Télécom SudParis propose 2 types de Mastère Spécialisé : Le Mastère Spécialisé Réseaux et Services : une formation complète à temps partiel pour maîtriser l’évolution des architectures des réseaux,...
Des voies d’accès à la profession plus lisibles. Entre les différentes réformes, il est parfois difficile de s’y retrouver. Quels parcours doivent emprunter les plus jeunes pour devenir professeur ? Les modes d’accès à la profession se sont simplifiés au fil des années afin d’être plus lisibles. La voie royale reste celle du concours de recrutement. Il est aujourd’hui accessible dès que l’on est inscrit en Master 1, pour une majorité de filières. Les épreuves du concours externe, identiques pour le concours du public et du privé, se déroulent de mars à juin (en fonction du parcours 1er ou 2nd degré). « Bien que les modalités de recrutement des enseignants soient identiques entre l’enseignement privé et l’enseignement public, le candidat doit effectuer un choix qui sera déterminant pour sa future carrière, explique Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique Nord - Pas-de-Calais à Lille. Si au final, le métier est le même, il faut savoir qu’il n’existe quasiment pas de passerelles entre le public et le privé une fois que l’on devient enseignant. ». Le choix du concours engage donc une carrière au sein de l’enseignement public ou bien de l’enseignement privé, (majoritairement des établissements catholiques d’enseignement). Une fois ce concours obtenu, les étudiants intègrent un Master 2 MEEF (Métiers de l’Enseignement, de l’Education et de la Formation). Il s’agit d’une année de formation par alternance. En effet, le professeur stagiaire est rémunéré à temps plein, dès cette cinquième année d’étude, pour se former, tandis que l’autre partie du temps est consacrée à enseigner, à mi-temps dans une classe. Chaque étudiant est bien sûr accompagné par deux tuteurs, l’un en établissement, l’autre à l’IFP. D’autres concours dits réservés ou internes existent pour ceux qui n’empruntent pas la voie du Master 2. Ces concours sont notamment ouverts à ceux qui font des remplacements depuis plusieurs années. Prof à 40 ans : et pourquoi pas vous ? On ne naît pas prof, on le devient par la formation et la pratique professionnelle. On peut aussi le devenir au cours de sa carrière professionnelle… même si, jusqu’alors, elle n’avait pas grand-chose à voir avec l’enseignement. C’est un phénomène nouveau observé par Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique du Nord-Pas-de-Calais à Lille. Depuis quelques années, un nouveau public s’oriente vers le métier de professeur. « Avant, nous accueillions essentiellement des étudiants. Désormais, on observe de plus en plus de personnes, en reconversion professionnelle, qui souhaitent réorienter leur carrière dans l’enseignement ». Ceux-là peuvent avoir subi un licenciement, avoir l’impression d’avoir fait le tour de la question dans leur ancien métier et veulent changer d’orientation, ou avoir tout simplement envie de transmettre les compétences acquises durant 10, 20 ou 30 ans. Les métiers de l’enseignement leur sont également accessibles, d’autant plus en cette période « où les demandes de chefs d’établissement pour des remplacements sont importantes ». L’IFP Nord-Pas-de-Calais accueille et accompagne ces personnes en reconversion professionnelle, qui peuvent être suppléants avec un niveau licence. Cet accompagnement se fait en plusieurs étapes : un entretien préalable, pour clarifier les intentions ; un stage d’immersion en collège ou en lycée, pour appréhender les réalités du métier ; une proposition d’entrée en formation et/ou en suppléance (remplacement) ; enfin, une formation professionnelle adaptée. Les professeurs en espagnol, en sciences-physiques, en mathématiques sont très recherchés… Alors, pourquoi pas vous ? Parce que le futur enseignant, professeur des écoles, professeur de mathématiques ou de boulangerie, cela peut bien être vous ! ...
Fondé en 1987, cet organisme formateur a rejoint le groupe européen de l’information professionnelle WEKA en 2014 pour construire son expertise autour d’un puissant réseau de marques spécialistes. Ce groupe fédère aujourd’hui Formations Directions, Tissot Formation, Techniques de l’Ingénieur, Stratégies Formations, MB Formations et Legal&Network, qui sont des partenaires d’excellence pour l’entreprise. Restructurer les savoirs pour répondre aux nouveaux exigences et enjeux stratégiques Interrogée sur le mode de conception de son programme de formation, Claire Pascal, Directrice Générale, explique que « le catalogue des formations veut s’adapter à l’ère du temps, à la culture des entreprises et aux besoins réels du marché ». À la confluence, elle souligne plus particulièrement le contexte global du secteur, en pleine ébullition dans la réforme de la formation professionnelle engagée depuis l’année 2014. Ce projet de loi bouscule les pratiques dans les entreprises et fait apparaitre de nouvelles demandes dans l’univers de la connaissance. Ainsi, Comundi Compétences intègre dans ses réflexions les nouvelles alternatives pédagogiques capables d’accompagner la réalisation du projet professionnel de chaque salarié tout en stimulant la compétitivité de l’entreprise. Dans ce champ opératoire particulièrement complexe, les 600 experts et consultants-formateurs assurent une veille permanente, anticipent les besoins, identifient les objectifs pédagogiques et apportent des solutions pertinentes. Ces dernières peuvent se décliner sous plusieurs formats en présentiel (coaching, formation métier, cycle long, parcours professionnalisant CPF, ateliers et conférences, etc.) et en digital learning (e-learning, portail MOOC, classe virtuelle, webinar, serious game, etc.). « Notre manière à nous d’apprivoiser et d’assembler ces briques digitales dans le but de composer un contenu innovant fait notre identité » souligne-t-elle. En parallèle, l’entreprise propose également un coaching individuel ou collectif ainsi que des prestations counseling en management et soft skills, ressources humaines et transformation digitale. Une approche pluridisciplinaire à la croisée du distanciel et du présentiel « Pour nous, l’innovation traduit la capacité à recréer et à réinventer l’existant en apportant une valeur ajoutée en plus pour satisfaire les besoins de notre marché ». En avançant ces propos, Claire Pascal illustre parfaitement le cœur du métier même de Comundi Compétences. Elle se réfère notamment à l’offre blended learning, définie comme une modalité d’apprentissage mixte qui altère une formation présentielle et une formation digitalisée. « Grâce à cette méthode, nous pouvons offrir une solution one-to-one, plus précise et plus engageante, pour donner un vrai sens à la formation collective». Toutes les ressources numériques du Comundi Store sont exploitées en avant, pendant ou après un présentiel pour dynamiser l’échange : module de formation MOOC, outils de reporting, application via des serious game, webinar, mobile learning, module d’évaluation et pack préparation concours. Au-delà d’un ensemble de dispositifs numériques, le digital learning est d’abord une culture qui révolutionne, non seulement la démarche pédagogique, mais aussi l’écosystème de l’entreprise à tous les niveaux : les méthodes, les acteurs, le processus, la communication, etc. Le créative learning trip, destiné aux dirigeants, cadres et managers, s’inscrit également dans cette volonté d’innovation. Prenant la forme de visites guidées dans les écosystèmes spécifiques comme les start-up ou les usines, ce programme, co-créé par Emulsion Creative, a pour objectif d’aider les entreprises à découvrir les nouvelles tendances dans leur secteur. Le processus créatif, le design thinking, la pédagogie collaborative, l’intrapreunariat et la transformation digitale seront les principaux thèmes mis en avant pendant les deux jours de visite. En outre, cette offre se décline &...
La toute première clientèle d’Alain Bertholet était un petit groupe d’étudiants envouté par le témoignage de ce grand passionné de voyages. Il a en effet parcouru l’Angleterre, le Canada, le Japon et l’Autriche pendant toute sa jeunesse. Il accepte donc d’organiser leur départ vers l’Angleterre. Une expérience qui l’a poussé plus tard à lancer Langues Vivantes en Belgique, afin d’offrir la même opportunité aux autres. Le succès du concept fut si grand que la structure se développe rapidement à l‘échelle européenne pour jouir aujourd’hui d’une réputation mondiale. Un éventail de formules à la carte Armé de ses 26 années d’expérience, Langues Vivantes a conçu toute une gamme de formules de séjours linguistiques et de programmes académiques à l’étranger, essentiellement à destination d’un jeune public. « Nous recevons beaucoup de demandes pour une intégration scolaire à l’étranger, que ce soit pour quelques semaines, une année entière ou un cycle complet de 2 ans, où les participants peuvent choisir entre un programme d’anglais scolarité ou un programme de langue intensif », explique Alain Bertholet. Les États-Unis, le Canada, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Irlande, l’Espagne ou encore l’Australie sont les destinations préférées des jeunes Français. Au cœur de cette expérience qui s’annonce multiculturelle, les participants peuvent choisir d’être accompagnés par une famille d’accueil « triée sur le volet », précise le fondateur, ou d’être hébergés en résidence. Pour la première formule, ils auront le choix entre un séjour thématique en immersion totale dans le quotidien de la famille et un séjour chez un professeur particulier, idéal pour booster sa capacité linguistique sur une courte durée. En outre, ceux qui aspirent à vivre plus intensément cette aventure à l’étranger peuvent partir en tant que volontaires vers le Costa Rica ou le Cambodge. « Ils vont soutenir une communauté défavorisée à travers des projets sociaux, éducatifs ou environnementaux au service des ONG locales. » Un excellent choix pour développer son âme altruiste et s’enrichir culturellement grâce aux nouvelles rencontres que réserve cette expérience humaine. La culture de l’excellence depuis 30 ans Ne serait-ce que pour sa philosophie, Langues Vivantes se démarque nettement de la concurrence. « Nos agences et nos organismes partenaires à l’international sont tous obligatoirement certifiés du point de vue qualitatif, c’est notre priorité absolue », poursuit le fondateur. Une exigence justifiée dans la mesure où Langues Vivantes est le premier organisme non français à être agréé par l’Office national de garantie des séjours et stages linguistiques, une association reconnue par le ministère de l’Éducation nationale en France. La structure est également membre du Forum d’associations de voyages éducatifs et linguistiques du monde entier (FELCA), du SYTA basé en Amérique, du réseau Association internationale des centres de langue (IALC) et de l’organisme international ICEF. « Non seulement nous avons fait le choix de l’excellence avec des formules efficaces et sur mesure, mais aussi nous offrons en plus des conditions financières intéressantes pour nos participants. » Un engagement rendu possible grâce à son équipe experte, des partenaires situés partout dans le monde et des nombreuses promotions destinées à récompenser les fidélités. Par ailleurs, Alain Bertholet mise sur la qualité de l’accompagnement aussi bien pendant la préparation que tout au long du séjour, en mettant une place un groupe de contact à chaque destination. ...
La Faculté de Théologie Protestante est l’une des 37 facultés au sein de l’Université de Strasbourg. Celle-ci fait partie des plus anciennes universités d’Europe dont les origines remontent à 1538. La Faculté de Théologie Protestante présente la particularité d’être aujourd’hui l’unique institution à délivrer des diplômes en théologie protestante sur le plan national. « Les autres facultés qui existaient auparavant en France sont devenues privées suite à la publication de la loi de 1905 », informe Rémi Gounelle, Doyen de la Faculté. Ouverte sur le monde, l’institution accueille des étudiants de tout horizon et ce, quelle que soit leur appartenance religieuse. Sa mission : assurer une formation universitaire, scientifique et critique en théologie protestante et plus largement sur les religions. Des formations pour façonner la société de demain Afin de permettre aux étudiants d’acquérir les connaissances fondamentales, la Faculté propose la licence Théologie Protestante. Il s’agit d’un parcours interdisciplinaire qui couvre l’ensemble des éléments constitutifs d’une religion : origines, documents fondateurs, système de croyance, mode d’organisation,… Ce parcours unique débouche ensuite sur quatre masters dont deux qui viennent d’être lancés récemment : Textes Religieux de Référence et Théologie & Société. La mention « Textes Religieux de Référence » assure à l’étudiant une spécialisation dans l’étude de textes religieux de référence tels que la bible, le coran ou d’autres textes sacrés. « Nous formons les étudiants pour qu’ils soient capables d’analyser des textes religieux et de s’interroger sur la façon dont ces textes ont été lus, compris et utilisés », explique le Doyen. Quant à la mention « Théologie & Société », elle vise à examiner, à tous les niveaux, la place de la religion dans la société civile. Mis à part le parcours Licence et Master, la Faculté de Théologie Protestante propose également dix Diplômes d’Université (DU). Parmi eux, le DU de Médiation socioreligieuse vise à former des acteurs de terrain à même d’intervenir dans des situations conflictuelles en lien avec la religion. « Ils doivent être capables de comprendre ce qui se passe et de proposer des solutions pour apaiser les tensions entre les acteurs en présence ». Enfin, le DU Initiation aux Religions s’adresse plutôt à un large public qui souhaite comprendre les phénomènes religieux actuels. Ce qui implique entre autres une initiation aux grandes religions comme le christianisme, l’islam, le bouddhisme, le judaïsme, etc. Ouvertes au monde professionnel, les formations présentent de nombreux débouchés : ministère pastoral, animation socioculturelle, journalisme, enseignement religieux, etc… Des classes virtuelles L’intégralité des formations dispensées par la faculté est accessible à distance. « Nous avons mis en place toute une série de dispositifs pour que l’étudiant puisse suivre les cours depuis chez lui » rapporte notre interlocuteur. La diffusion du cours se fait donc de manière synchrone à travers une solution numérique et les étudiants ont accès à toutes les documentations via des plateformes dédiées à cet effet. Une fois par an, chaque étudiant doit cependant rejoindre l’Université de Strasbourg afin de passer ses examens. ...
Travailler avec le CNRS est désormais possible pour tous les professionnels. L’entrée se fait simplement en déposant une demande sur le site web de Trouver un Expert, conçu pour faciliter les relations entre la société et les acteurs de la recherche du CNRS et de ses partenaires. Ces demandes sont étudiées par une équipe de 4 scientifiques qui vont ensuite identifier le personnel de la recherche le plus à même de répondre à cette demande. « En général, nous avons identifié un ou plusieurs chercheurs au bout de 15 jours. Cela va vite ! », explique Edith Wilmart, directrice du service Trouver un Expert. Des demandes très variées Depuis ses débuts, le service Trouver un expert travaille sur des sujets divers et variés : aménagement du territoire, instrumentation médicale, transformation environnementale, recherche sur l’énergie... Pour citer quelques exemples de demandes, une grande entreprise de cosmétique a soumis au CNRS une demande de sciences humaines et sociales autour de la perception de ses produits. Une autre entreprise a sollicité des recherches pour limiter la pollution atmosphérique de son activité. Un service territorial a géré avec le CNRS un risque explosif ou encore, un grand groupe a demandé au service Trouver un expert de l’aider à monter en compétences sur des questions d’électronique de puissance. « De par sa diversité, notre job est passionnant ! », commente Edith Wilmart. En sus de ces demandes « classiques », le service reçoit des demandes de recherche d’autres laboratoires pour monter des projets collaboratifs afin de répondre à des appels d’offre européens ou autres, ou encore des demandes d’investisseurs qui souhaitent avoir une expertise scientifique des projets dans lesquels ils envisagent de s’impliquer… Les sociétés souhaitant garder leur démarche confidentielle peuvent l’indiquer dès le dépôt de la demande. Dans ce cas, l’anonymat ne sera levé que lors de la mise en relation. 65% des demandes déposées viennent des TPE et PME A ce jour, ce sont essentiellement des TPE et des PME qui font appel au service Trouver un Expert avec près de 65% des demandes déposées. Ces types d’entreprises se rapprochent du service dans le cadre de leur projet de développement quel que soit son niveau de maturité, car leur département R&D, lorsqu’il existe, est souvent peu développé. Mais cela ne les empêche pas d’investir une partie de leur Chiffre d’Affaires dans la R&D ! Souvent, ces entreprises franchissent la porte de Trouver un Expert lorsqu’elles ont une idée innovante en lien avec leur activité ; elles attendent un état de l’art écrit, analysé et pensé par des scientifiques du domaine pour se lancer puis, in fine, elles recherchent un accompagnement dans leur stratégie d’innovation. Aussi, les TPE et PME font appel au service car elles souhaitent valider un concept, étape qui peut être déterminante pour une petite entreprise car cette validation pourrait lui permettre d’obtenir une subvention, essentielle dans le développement de son projet. Les ETI, les Grandes Entreprises et Trouver un Expert Les entreprises de taille intermédiaires et les grandes entreprises, elles, font appel à Trouver un Expert car elles recherchent les savoirs et savoir-faire interdisciplinaires des laboratoires du CNRS. C’est alors la méthodologie et la capacité que possèdent toute une équipe de scientifiques à trouver une solution pertinente, adaptée et qui était préalablement inexistante à un problème donné ou pour le lancement de leur projet qui les attire ; elles ne veulent pas de solutions « prêtes à l’emploi » déjà existantes sur le marché. Trouver un Expert, pour la multiplication des liens entre public et privé Mêmes si ces entreprises attendent des solutions différentes de la part du CNRS, elles sont conscientes de l’importance de nouer une relation de confiance avec la recherche publique : les laboratoires de recherche publique et les entreprises sont complémentaires dans leur quête à l’innovation ! C’est pourquoi, de plus en plus de programmes sont proposés pour multiplier les liens et les partenariats publ...
La masse de données qui circule dans le monde est si énorme que l’on aurait besoin d’un millier de forêts amazoniennes pour parvenir à toutes les transcrire sur papier. Heureusement que des solutions comme le big data existent et ont été conçus pour justement comprendre ces informations, les analyser afin d’en extraire les données utiles et essentielles au moment voulu. Jusqu’ici, la science des données reste la meilleure arme stratégique pour prédire l’avenir. Le concept Basé sur le modèle pédagogique des bootcamps, Jedha propose des formations présentielles et intensives de huit semaines pour maîtriser la data science : outils de web analytics, de data visualisation, SQL et Python appliqué au Machine Learning. Les 40 heures de cours s’alternent entre cours sur l’algorithme et statistiques d’une part, et des entraînements individuels et exercices de groupe, d’autre part. « Nous abordons chaque module en fonction des problématiques actuelles en entreprise, de telle sorte que l’ensemble de la formation puisse apporter une solution réelle et immédiate à nos apprenants », précise Antoine KRAJNC, CEO et fondateur de Jedha. D’autres consultants externes, issus d’une dizaine d’entreprises expertes dans le métier, viennent régulièrement échanger et partager leurs propres expériences avec les étudiants. La dernière semaine du programme est entièrement consacrée à la pratique avec un projet de Data Science. L’espace de travail se transforme en un véritable laboratoire où les apprenants peuvent expérimenter les techniques acquises, confronter leurs compétences et découvrir de nouvelles possibilités dans le but de résoudre une problématique donnée, avec pour finalité bien évidemment de décrocher le certificat. Une communauté collaborative En parallèle, le bootcamp organise des workshops dans ses locaux. Quand une trentaine de personnes connaisseuses et passionnées de la data science se réunissent autour d’un sujet, cela crée une vraie émulation d’idées et de connaissances. « La première heure est dédiée à la présentation, après les participants se retrouvent autour d’une bière ou d’un petit café pour discuter et se construire un réseau. » Le public de ces events se compose de jeunes étudiants, d’entrepreneurs, mais aussi de professionnels dans le métier ou en reconversion ainsi que des data analyst confirmés. Par ailleurs, l’équipe Jedha est à même de concevoir un accompagnement sur mesure des projets d’entreprise dans le data management et data analysis. Cette formule cible au plus près les besoins spécifiques de chaque écosystème tout en développant les compétences de l’équipe interne. ...
Il réunit une cinquantaine d’équipes spécialisées en biologie végétale, issues de cinq instituts de recherche de la région sud parisienne : l’Institut Jean-Pierre Bourgin (IJPB), l’Institut de Sciences des plantes de Paris Saclay (IPS2), l’Institut de Biologie intégrative de la cellule (I2BC), l'UMR de Génétique quantitative et évolution (GQE-Le Moulon) et l’UMR Biologie et gestion des risques en agriculture (BIOGER). Ce projet est soutenu par 9 institutions : l’INRA, le CNRS, le CEA, AgroParisTech, les Universités Paris-Sud, Evry-Val d’Essonne, Versailles-Saint-Quentin et Paris-Diderot, ainsi que l’Université Paris-Saclay qui porte le projet. L’objectif principal des EUR consiste à renforcer la relation entre recherche et formation et à internationaliser les formations, le but à terme étant de créer des « graduate schools » avec un continuum master / doctorat / laboratoires de recherche. Pour cela, SPS-GSR dispose de programmes d’enseignement réunissant un large panel de disciplines de la biologie végétale et d’infrastructures permettant aux étudiants de se former aux nouvelles technologies et approches dans ce domaine. Le LabEx SPS SPS-GSR s’appuie sur le Laboratoire d’Excellence Saclay Plant Sciences (LabEx SPS), un projet Investissements d’Avenir qui a développé depuis 2011 un grand nombre d’activités axées sur la biologie végétale incluant recherche, formation, innovation et développement d’infrastructures. « Plus qu’un projet, Sciences des plantes de Saclay est un véritable réseau avec comme objectif de faire fructifier les interactions entre les équipes impliquées », souligne le Dr Marie-Jeanne Sellier, manager du projet. SPS met l’accent sur quatre thématiques prioritaires, à savoir 1) l’intensification durable de l’agriculture dans un contexte environnemental fluctuant, 2) l’amélioration de la qualité végétale pour diverses utilisations alimentaires et non-alimentaires, 3) les plantes pour comprendre les mécanismes biologiques fondamentaux et 4) le développement de nouvelles ressources ou biotechnologies pour la recherche, l’innovation et le transfert de technologie. Les recherches s’étendent sur différentes échelles du gène à la plante entière et font intervenir de nombreuses techniques d’analyse différentes grâce aux infrastructures de pointe des laboratoires (biochimie, imagerie, biologie moléculaire et cellulaire, approches omiques, modélisation, bioinformatique, etc.). Enfin, en matière d’innovation, SPS se veut être un accélérateur d’innovation végétale. Il joue pour cela un rôle d’intermédiaire en favorisant les interactions entre les équipes de recherche et des partenaires privés dans des secteurs liés aux ressources végétales. « Nous avons identifié six domaines d’application dans lesquels nos recherches, fondamentales et appliquées, peuvent offrir des débouchés dans le monde industriel », développe le Dr Marie-Jeanne Sellier. Ces six domaines d’application concernent l’adaptation des plantes à leur environnement, la sélection variétale et les biotechnologies, les semences et le rendement, l’alimentation et la nutrition, la cosmétique et la santé et enfin la bioénergie et les matériaux biosourcés. En parallèle, SPS soutient financièrement des projets innovants dans la démarche d’aller jusqu’aux brevets et start-up. L’obtention du projet EUR « Saclay Plant Sciences Graduate School of Research » a entraîné la reconduction des activités du LabEx SPS jusqu’en 2027. « Les deux projets ne font à présent plus qu’un. Les activités de formation seront renforcées tout en continuant à développer recherche, innovation et infrastructures dans les années à venir », rapporte la manager. ...
C’est en misant sur des offres de formations personnalisées ainsi que sur un partenariat efficace avec des entités industrielles de renom que « cette juridiction indépendante propose des formations adaptées au besoin de chacun et axées sur la professionnalisation des salariés actifs des entreprises », nous explique Isidore Torres, directeur du centre. La formation sur mesure : l’assurance d’une employabilité effective Créé en 1970 par des entreprises, sous l’impulsion de la loi sur la formation professionnelle, l’AFPI CENTRE Val de Loire a pour objectif d’apporter les compétences métiers parfaitement adaptées aux besoins des entreprises et de proposer des formations qui s’adaptent au public à former. Un processus personnalisé prenant en compte les besoins de chaque personne, jumelés à ceux de l’entreprise, constitue à cet effet sa marque de fabrique. L’AFPI se veut également être « un "assemblier" en mettant en place un panel d’interventions riche assuré par des formateurs professionnels dans le but de satisfaire les besoins des bénéficiaires », reprend Isidore Torres. En bon « assemblier », ce centre propose un large éventail de formations qualifiantes pour des corps de métier touchant des domaines de pointe, à l’instar de l’aéronautique, de la métallurgie, de la pétrochimie ou de l’énergie, ainsi que des métiers de l’organisation, pour ne citer que les ressources humaines. « Afin de garantir l’employabilité des formés, l’AFPI mise sur une approche inductive en priorisant les formations axées métier dont, 80 % des activités sont menées en entreprise », nous indique-t-on. Ainsi, grâce à cette maîtrise des besoins des entreprises, le centre affiche un excellent taux d’employabilité de plus de 75 % pour l’ensemble des formations. De cela, rigueur, excellence et adaptabilité trouvent ici un terrain d’expression, notamment grâce à la création d’une démarche de formation basée sur « une évaluation préformative pour chaque formé, un contenu et un plan de formation totalement individualisé ainsi qu’une certification à la clé ». À tout cela, s’ajoute le développement de plates-formes numériques collaboratives permettant à tous les acteurs de chaque formation d’interagir en tout lieu et en tout temps. ...
De nos jours, la formation professionnelle est un outil majeur à la disposition de tous : employeurs, salariés, indépendants, chefs d’entreprise, jeunes diplômés désirant poursuivre des études ou demandeurs d’emploi. Elle permet de se former tout au long de sa vie professionnelle, pour développer ses compétences et ainsi accéder à un nouvel emploi ou de nouvelles responsabilités. Télécom SudParis, grande école publique d’ingénieurs du numérique accompagne également les professionnels dans l’évolution de leur carrière, en plus de former des étudiants aux métiers d’ingénieur. Vous souhaitez acquérir de nouvelles compétences ? Télécom SudParis peut vous aider à réaliser votre projet à travers son offre de formations professionnelles : - 4 formations certifiantes reconnues pour acquérir une spécialité à temps partiel sur quelques mois - 1 formation ingénieur réseaux par apprentissage - 2 diplômes Mastère spécialisé bac+6 pour devenir un expert du numérique en architecture réseaux ou en cybersécurité - Un service de VAE pour obtenir un des diplômes ou titres de l’école en validant son expérience - Des MOOC, formations gratuites en ligne pour découvrir, apprendre, progresser et réussir dans les technologies du numérique : télécommunications, réseaux, fibre optique, web, cybersécurité… - Des formations d’accompagnement à la création de start-up numériques au sein de l’incubateur IMT Starter Vous êtes un employeur et souhaitez faire monter en compétences vos collaborateurs Il existe de plus en plus de dispositifs de financement de la formation de vos salariés ou futurs salariés, notamment : - Les financements de votre opérateur de compétences (OPCO) : FNE, apprentissage, contrat de professionnalisation, plan de développement des compétences - Le financement de la Caisse des Dépôts avec un parcours co-construit avec CPF - Le financement des organismes régionaux de Transition pro : le Projet de transition Pro (PTP) et les transitions collectives (Transco) Télécom SudParis propose des formations éligibles à ces dispostifs : - des certifications professionnelles et des diplômes enregistrées par France compétences au RNCP ou au Répertoire spécifique, ouvertes aux salariés de la formation continue, en contrat de professionnalisation ou en apprentissage - Un accompagnement à la VAE des diplômes et titres de l’école - des formations intra-entreprise et sur mesure pour adapter les formations à votre activité ou vos métiers - des formations à l’entreprenariat et à la digitalisation pour accompagner les projets de management de l’innovation et de transformation digitale - des formations à la création d’entreprise Vous avez un projet pour vos collaborateurs ou pour vous-même ? Le service de la formation tout au long de la vie est à vos côtés pour étudier vos besoins et vous proposer le parcours le mieux adapté. ...