Dans la famille Cazals depuis quatre générations, le goût du bon champagne se fait ressentir de par la qualité exceptionnelle des cuvées de la marque. Avec des méthodes oscillant harmonieusement entre modernité et artisanat, la maison Cazals est une « maison familiale, très conviviale […] et forte de traditions héritées de père en fille », selon Camille Crochet, Sales Manager Marketing de la marque. Un vignoble riche en histoire C’est Ernest Cazals, alors tonnelier, qui fonde la maison Cazals en 1897 en choisissant un terrain noble et ouvert pour ses premières vignes. Un clos de 3 hectares, acquis par son fils Olivier Cazals dans les années 1930, va par la suite venir s’ajouter au domaine familial, donnant ainsi naissance aux 10 hectares de vignes classées Premier et Grand crus de la maison Cazals. Parmi les cuvées ambassadrices de la marque, appréciez les « grands crus d’exception nés de vignes de plus de cinquante ans », continue Camille. Délectez-vous ainsi de la Chapelle du clos, un 100 % chardonnay léger aux saveurs suaves, ou du millésime Clos Cazals doté d’une large palette de goûts et d’une mosaïque de succulences typées. Une passion et un héritage à préserver La maison Cazals, dans un élan d’engagement envers l’environnement, se trouve dans une phase de transition vers l’agriculture durable, avec la « volonté de certifier le clos Haute Valeur Environnementale (HVE) », reprend Camille. Outre cette promesse noble, la famille tient à préserver un patrimoine unique qui leur a été légué par leurs ascendants. Tout le processus de production, allant des vendanges à la maturation dans les caves voûtées en passant par la vinification en fûts de chêne, se fait ainsi suivant les méthodes artisanales utilisées dès la création de la marque. ...
À seulement une heure trente de Bruxelles et à moins de trois heures de Paris, cette station d’exception allie harmonieusement détente et travail. Située en effet au bord d’un lac de 180 hectares, Valjoly fascine, émerveille et invite ceux qui souhaitent attirer de nouveaux clients, fédérer efficacement leurs équipes ou remercier ces dernières, à partager des moments conviviaux emplis de partages et d’émotions, au plus près de la nature. Un équipement hôtelier haut de gamme, un parc technique à la pointe de la nouvelle technologie ainsi qu’un magnifique centre de conférence et de spectacles viennent également accueillir ces entreprises désireuses d’organiser leurs événements d’entreprises dans un lieu au charme inégalé, le tout accompagné par une équipe compétente et dévouée. Vos événements dans le Centre de conférences et spectacles... Le Centre de conférences et spectacles est une infrastructure innovante et répondant à toutes vos attentes. Situé au cœur de la station touristique de Valjoly, ce lieu d’exception dédié à l’événementiel d’entreprises accueille, dans un cadre exceptionnel, divers événements, allant de la réunion d’affaires au congrès. Ces manifestations d’entreprises débuteront dans un hall d’une capacité de 300 personnes et se tiendront dans un auditorium pouvant accueillir plus de 150 personnes, ou dans l’une des trois salles de réunion aménagées pour 20 à 50 personnes. Ces dernières bénéficient d’un ensoleillement naturel, tandis que le reste des espaces du centre est doté d’un système d’éclairage ingénieux offrant une luminosité idéale à l’ensemble. Le wifi et la sonorisation viennent s’ajouter à ce parc technique dernier cri pensé spécialement afin d’assurer le bon déroulement de chaque projet conçu et organisé sous le signe de la réussite. …pour redécouvrir la vraie vie Mis à part ce centre de conférences fonctionnel et à la pointe de la technologie, la station touristique de Valjoly, arborant fièrement le label « station verte », dispose d’un parc hôtelier respectueux de l’environnement. Vous passerez, en effet, vos nuits dans des cottages, de jolis logements en bois situés au cœur d’une forêt luxuriante. D’une capacité allant d’une à six personnes, chaque maison est entièrement équipée afin de vous prodiguer le meilleur confort tout au long de votre séjour professionnel. Profitez, entre autres, d’un service de restauration au sein d’une brasserie prônant les produits du terroir. Véritable escapade gastronomique, le lieu avec vue sur le lac peut également, et à la demande, être privatisé à l’occasion d’une réunion ou d’un séminaire. À cet équipement haut de gamme s’ajoutent des infrastructures dédiées aux loisirs, à l’instar de l’immense centre aquatique de 3 000 m2, où vos collaborateurs pourront profiter d’un après-midi bien-être dans le hammam ou la piscine. Ceux qui se sentent plus aventuriers dans l’âme pourront s’adonner à des activités de plein air telles que la randonnée pédestre au cœur d’une nature forestière et bocagère, des raids sur mesure, la pêche, le pédalo sur le lac ou les parcours acrobatiques dans les arbres. Ces activités seront d’ailleurs l’occasion de fédérer de manière efficace vos collaborateurs qui apprendront à mieux se connaître, à se surpasser et à valoriser l’esprit d’équipe, les bases d’une meilleure production en entreprise. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Pavillon, restaurant méditerranéen Une véritable pause gustative attend les convives au Pavillon du Selman Marrakech. La carte, quant à elle, est résolument méditerranéenne. Elle dévoile des plats frais et goûteux à apprécier en toute décontraction. Spécialités italiennes, espagnoles… Mille saveurs méditerranéennes avec pour toile de fond mère Nature ! Le carpaccio ou la burrata en entrée, la bolognaise à la menthe basilique en plat, et, en dessert, la crème brûlée à la vanille macaron et friandise… Tous les dimanches de la saison, Le Pavillon accueille les convives pour partager son fameux brunch. Au programme : un buffet méditerranéen et marocain sublimé par une présentation des pur-sang arabes et par un groupe de musique live. ...
Rutabago vous réconcilie avec les fourneaux en vous facilitant totalement la vie. Le concept : passez commande sur le site Internet de vos paniers prêts-à-cuisiner et ils vous seront livrés chaque semaine afin que vous puissiez mitonner de bons petits plats. En plus d’être pratique, Rutabago est une invitation à manger équilibré et surtout bio. Que demander de plus ? Paniers prêts-à-cuisiner : des produits sélectionnés avec soin Votre rythme de vie, aussi effréné qu’il est, ne sera plus une excuse pour éviter de cuisiner chez vous grâce à Rutabago. Avec ses recettes classiques ou végétariennes, la marque vous propose ses paniers prêts-à-cuisiner bio dans lesquels tout est inclus : viandes, poissons, légumes et fruits frais jusqu’aux épices et herbes aromatiques. Les producteurs fournissant les ingrédients sont triés sur le volet afin de garantir qualité et fraîcheur. « La traçabilité est importante pour nous et sera gage de fiabilité pour nos clients », fait savoir Pierre Pointard, cofondateur de la start-up. Outre les ingrédients, le panier contient un livret de dégustation qui comprend les fiches de recettes et retrace la provenance de chaque produit. Les recettes ! Parlons-en justement. Se prêtant à une véritable aventure gastronomique, elles ont été concoctées par des chefs, puis validées par une diététicienne. La cuisine française et la cuisine du monde sont également à l'honneur. Les suggestions changent chaque semaine et vous êtes ainsi certains de ne pas toujours manger la même chose. Côté timing, pas de panique, puisque la moitié des recettes ont été formulées pour que vous ne passiez pas un long moment en cuisine. « Une moyenne de vingt minutes, préparation et cuisson incluses », nous indique-t-on. Et dans l'optique de ne livrer qu'en juste quantité, les ingrédients sont pré-dosés et conditionnés de façon optimale. Il est en effet très important de spécifier que selon l'ADEME, chaque français gaspille en moyenne 20 kg de nourriture chaque année. « Consommer les paniers-recettes Rutabago permet de diviser ce taux par deux » explique Mathieu, cofondateur et responsable de la logistique. ...
C’est en 1920 que commence l’histoire entre le champagne et la famille Bauchet. Initiée par Juliette Bauchet et son fils Félicien puis transmise de père en fils, la tradition vigneronne épouse aujourd’hui des équipements modernes, dans le respect du développement durable et de la traçabilité. Porté par ces valeurs, le champagne Bauchet associe qualité, régularité, élégance. Aujourd’hui, il acquiert une reconnaissance par-delà les frontières. Un terroir unique Le domaine Bauchet se situe à Bisseuil (Marne), au carrefour de trois grandes régions viticoles. Son vignoble, acquis dans les années 1960, est l’un des plus grands de Champagne. 34 hectares sont répartis sur les terroirs de la côte des Blancs, de la montagne de Reims et de la Côte des Bar, uniquement en cépages nobles, chardonnay et pinot noir, dont un tiers en premier cru. Fort de ces emplacements, le domaine ouvre désormais ses portes aux visites et aux dégustations via des formules séduisantes, à l’image de son effigie : une coupe de champagne au cœur. L'investissement du récoltant-manipulant Les membres de la famille assurent l’autonomie totale du domaine. Bruno et désormais son jeune neveu Robin s'occupent des vignes. Florence tient la direction et gère la commercialisation des 300 000 précieuses bouteilles annuelles. Une distribution qui va en Europe, de l’Angleterre à l’Estonie, et bien au-delà (Canada, États-Unis, Japon). Toutes les étapes de la fabrication ont lieu « à la maison ». Celle-ci est construite sur 250 m de caves creusées à 8 m de profondeur. Les bouteilles y reposent parfois 8 ans pour atteindre leur maturité. Les raisins récoltés sont écrasés là, dans des pressoirs modernes, jusqu’à obtention d’un moût clair et limpide, recueilli ensuite dans les belons, puis débourbé et stocké dans différentes cuves. Seuls les jus nobles rejoignent la composition des champagne Bauchet. L’œnologue du domaine, Bruno Charlemagne, est présent à toutes les étapes et veille aux exigences des styles désirés. Six cuvées, entre assemblages et millésimes Dans la lignée des Champagnes de tradition, la cuvée « Origine » (70 % de pinot noir et 30 % de chardonnay) est un champagne léger, pétillant. La cuvée « Séduction » est fraiche, aérienne, tandis que la cuvée « Signature premier cru » est vineuse, soyeuse en bouche (80 % de chardonnay et 20 % de pinot noir). La cuvée "Mémoire" Millésime premier cru a vieilli 5 ans en cave. Sa texture relève d’un style gastronomique. La cuvée « Saint-Nicaise », premier cru, blanc de blanc millésimé, est constituée à 100 % de chardonnay. Enfin, le succès 2018 est la cuvée « Contraste », un blanc de pinot noir dont la matière exprime un brin de minéralité, pure et harmonieuse en bouche. Cent ans d’expérience ont permis aux champagnes Bauchet d’atteindre une excellence digne d'une région reconnue au patrimoine de l’UNESCO. Leurs cuvées sont régulièrement médaillées d’or ou d’argent. Un succès légitime pour cette famille amoureuse de ses terres, qui conçoit ses vins et le raconte avec le raffinement poétique propre à une grande maison de champagne. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Selman et le concept de La Table d’Antoine Chic et cosy, sobre et majestueux, le restaurant Le Selman est ouvert sur l’extérieur et ravit les amoureux de la nature verdoyante et des grands espaces. C’est un lieu intemporel, une invitation au voyage des sens. Le chef Antoine Perray et son concept La Table d’Antoine ont posé leur quartier au restaurant Le Selman, dans le cadre d’une résidence gastronomique. La carte est renouvelée chaque saison. En entrée, daurade royale en ceviche, condiment au citron beldi. En plats : volaille fermière au vin jaune, morilles, châtaignes, ou quasi de veau de lait, mole poblano… En dessert : soufflé cacao grand cru 80 % « cœur de Guanaja ». Concernant le cadre, il est des plus intimistes, idéal pour partager un agréable moment de détente. La fabuleuse escapade dans ce lieu près des montagnes de l’Atlas promet une paisible découverte entre amis, en couple ou en famille. Rien de mieux pour échanger, partager et se ressourcer là où la nature a son mot à dire. Les convives sont invités à profiter de ce cadre idyllique d’exception. ...
Un parcours repensé Au plan architectural, le musée s’est agrandi et connaît de nombreux embellissements. Le hall d’entrée donne le ton à la visite avec l’une des pièces maîtresses du musée, le carrosse des Vachères, une voiture hippomobile datant du 18e siècle. Il s’agit d’une pièce rare considérée comme un « trésor national ». Les collections se déploient en quatre grands ensembles, un véritable parcours « encyclopédique ». Au rez-de-chaussée, la galerie historique abrite les collections locales de la préhistoire à la Renaissance. Les visiteurs y découvrent la préhistoire de la Haute-Loire à travers des pièces d’exception, telles que le cavalier de Bas-en-Basset (une statuette en alliage de cuivre datant de l’âge de Bronze) ou les bâtons percés et gravés. Cette galerie met également en perspective le monde méditerranéen antique, notamment avec des cercueils égyptiens et leurs momies ou des productions céramiques de Grande Grèce. Parallèlement, l’époque gallo-romaine et le Moyen Âge se dévoilent à travers toute une série de collections de sculptures. La collection compte deux rares représentations d'arbalètes antiques ! Enfin, les visiteurs pourront admirer des objets d’art de la période médiévale et de la Renaissance exposés dans trois salles différentes. Une chaire en bois aux armes de Polignac, des coffres ou encore des majoliques italiennes figurent parmi les œuvres les plus notables. La galerie du Velay est dédiée aux pèlerinages et à la dentelle, élément phare du patrimoine de la ville et de la Haute-Loire. Dans cette section, les visiteurs ont tout le loisir d’apprécier le savoir-faire local en matière d’artisanat. Bijoux, verres, volants de dentelle, marqueteries de paille… sont parmi les principales œuvres exposées. La galerie des beaux-arts suggère avec ses sept salles, un survol de la peinture européenne depuis le Moyen Âge jusqu’au début du 20esiècle. Quelques chefs-d’œuvre s’offrent ainsi aux regards : La Vierge au manteau, La Sainte Famille ou encore le célèbre Vercingétorix devant César. À mi-parcours, la salle du Dôme offre une vue imprenable sur le jardin et la vieille ville. Enfin, la galerie des Sciences propose d’intéressantes collections de paléontologie, d’histoire naturelle et de mécanique. Les fossiles du mastodonte d’Auvergne et le crâne de la hyène géante de Sainzelles sont les plus connus. La collection de mécaniques regroupe des modèles réduits de l’ingénieur Alexandre Clair qui mettent à l’honneur les inventions et innovations technologiques depuis l’Antiquité jusqu’au 19e siècle. Les plus curieux auront l’occasion de voir de près la première machine à coudre, la machine à vapeur de Watt ou le praxinoscope (l’ancêtre du cinéma). ...
Unique musée dédié à l’archéologie sous-marine et subaquatique en France, le musée de l’Ephèbe et d’Archéologie sous-marine est situé à proximité du site archéologique du Grau d'Agde. On y trouvait autrefois un important port grec et romain. Le musée abrite une collection unique d'artefacts archéologiques, en particulier une remarquable statue en bronze de l'Ephèbe d'Agde, qui est l'une des principales attractions du musée. Une statue et un musée Construit en 1984 par l’architecte Jean Le Couteur dans une ancienne ferme du XVIIIème siècle, le Musée de l’Ephèbe fut initié par la découverte de la statue emblématique d’Alexandre le Grand dit l’Ephèbe d’Agde qui était exposée au musée du Louvre. La statue a été déménagée à Agde après une demande au Ministère de la culture par la ville. Cela, sous la condition que la ville construise un nouveau musée. Ce dernier a ouvert ses portes en 1985 et n’a reçu la statue qu’en 1987. Le musée de L’Ephèbe a ensuite été inauguré en 1989 et a mis en valeur la statue de bronze ainsi que d'autres découvertes archéologiques liées à l'histoire d'Agde et de sa région. L’histoire d’Alexandre l’Ephèbe Au Musée de l’Ephèbe, on peut retrouver un grand bronze antique. Ce bronze représente un jeune homme dans la « nudité héroïque ». Représentatif de l’époque d’Alexandre, c’est tout naturellement que la statue a pris le nom d’Alexandre, l’éphèbe d’Agde. Il pourrait s’agir selon toute vraisemblance d’un portrait d’Alexandre le Grand. La statue en bronze fut retrouvée en 1964 dans le lit de l’Hérault face à la cathédrale d’Agde. C’est Jacky Fanjaud, un plongeur du GRASPA (Groupe de Recherches Archéologiques Sous-marines et de Plongée d’Agde) qui fera la découverte. Après avoir été restaurée à Marseille et en Lorraine, la statue restera au Louvre plus de 20 ans avant de retrouver Agde. Pièce maîtresse du musée mais aussi véritable symbole de la ville, on ignore encore aujourd’hui comment ce bronze est arrivé dans l’Hérault. Grand roi de l’Antiquité grecque, Alexandre le grand ou Alexandre III fut roi de Macédoine de 336 à 323 avant JC. Fils de Philippe II, Alexandre était l’un des élèves d’Aristote, le célèbre philosophe grec. Il se distinguera notamment pour avoir été l’un des plus grands conquérants de l’histoire. Il a en effet réussi à prendre possession de l’immense Empire Perse étendant sa domination jusqu’aux rives de l’Indus. L’identification de la statue comme correspondant à Alexandre le Grand sera confirmée par des études comparatives avec les autres portraits d’Alexandre. Notamment basée sur les sculptures de Lysippe de Sicyone, qui fut le portraitiste officiel de la famille royale de Macédoine. D’ailleurs, ce sera ce sculpteur qui sera aussi à l’origine de ce bronze retrouvé puisqu’on y distingue clairement son style. Une distinction basée sur un texte de Plutarque qui expliquait comment Lysippe sculptait les portraits d’Alexandre. Les différentes expositions du musée La création du musée avec le retour de l’Ephèbe a été une grande opportunité pour exposer d’autres objets qui ont été enfouis dans des salles ou dans des entrepôts. Toutes les richesses du patrimoine agathois sont désormais exposées dans le musée de l’Ephèbe et d’archéologie sous-marine. Le musée présente des trésors inestimables découverts en mer, dans le fleuve de l’Hérault et dans l’étang de Thau. Le musée est divisé en trois départements. Le département des bronzes constitué des cargaisons de vaisselles, bijoux, lingots de plomb et cuivre, et des statues comme le célèbre Ephèbe d’Agde. Le département moderne présente des céramiques médiévales, des armements comme des canons et des sabres. Ces objets t&e...
La nouvelle décoration des restaurants Matsuri vous plonge immédiatement dans un cocon zen, une ambiance chaleureuse et conviviale. Confort acoustique et lumière douce sont au rendez-vous grâce aux lattes en chêne disposées avec élégance au mur et au plafond. Tout ceci est le résultat de la nouvelle charte architecturale établie avec les architectes Moreau et Kusunoki, dont bénéficient déjà 5 restaurants (Boétie, Vincennes, Lyon Presqu’ile, Lyon Part Dieu et Bordeaux). A terme, tous les restaurants vont ainsi être rénovés. Le concept du comptoir tournant Assis sur une confortable chaise en bois devant un comptoir tournant, chaque client apprécie les différents plats proposés. Il peut composer facilement son repas suivant ses envies et son appétit, découvrir de nouvelles saveurs, tester de nouvelles spécialités. Quant aux prix, pas de surprise puisqu’ils sont indiqués par le liséré de couleur des assiettes. Ce concept innovant et ludique séduit tout particulièrement les enfants. L’accueil est assuré avec gentillesse, courtoisie et sérieux par des serveurs qui se feront un plaisir de vous accompagner pour une question ou une commande. Une carte variée Une grande diversité de créations originales respectant la tradition culinaire japonaise est proposée sur la carte. Vous pouvez déguster des préparations telles que la soupe miso, des sashimis, des sushis, des makis, des gunkans, des temakis à la feuille de soja ou à la feuille d’algues nori, des californias (makis avec algues nori à l’intérieur) et des desserts. On retrouve des nouvelles créations chaque saison à travers 2 cartes par an, la collection automne/hiver et printemps/été. Le chef Guillaume Libert élabore plusieurs fois par an des éditions éphémères et les nouvelles créations de la carte. Par exemple vous pourrez savourer à la fin de l’année le duo mousse thé vert yuzu ou le duo gelée de thé vert, coco et fruits rouges en édition éphémère. Tous les sushis sont préparés sur place à partir de produits frais, sous les yeux des clients par les sushi man face au comptoir tournant. Pour les boissons, vous pourrez choisir entre vins blancs, vins rouges, bières japonaises ou saké. Des plats à emporter ou livrés Bien que spécialisés dans la restauration rapide, les restaurants Matsuri proposent également des bentos à emporter ou livrés à domicile en plus de son large choix de produits. Vous pouvez donc savourer les mêmes produits chez vous ou au bureau. Ils sont accompagnés d’edamame et de riz nature. ...
Prévoir ses voyages à l'avance pour gagner en sérénité et s'offrir un beau programme, partir à la découverte du monde avec un guide francophone pour mieux appréhender les us et coutumes, construire son séjour à son rythme pour préserver une flexibilité de budget... avec AYA Désirs du Monde, spécialiste des voyages culturels, vous pouvez réserver jusqu'à 18 mois à l'avance sur 10 destinations différentes 10 circuits à partir de 599 euros. 10 destinations à découvrir en 2022-2023 Europe, Asie, Moyen-Orient ou encore Océanie, Voyages Loisirs vous propose une multitude de découvertes et d'émotions. En 2022-2023, c'est le moment : - de voyager dans le futur grâce à la visite de l'exposition universelle de Dubaï où les avancées technologiques et environnementales vous fascineront, autant que l'architecture unique de la ville, son histoire méconnue et sa folie des grandeurs. - de naviguer sur le Danube sur les traces de Mozart, de Sissi... et d'apprécier l'art de vivre de Vienne, de Prague... - de rêver le long des rives du Nil, de Louxor à Assouan, tout en s'émerveillant de la densité des couleurs, de la douceur des paysages, des temples et 1001 autres trésors. - de parcourir les grands espaces de l'Est canadien, de Québec à Montréal. - de prendre de l'altitude au Pérou pour atteindre le sommet du célèbre Machu Picchu. - de déambuler dans les Palais merveilleux des villes royales du Maroc. - de découvrir les paysages lunaires, volcaniques et uniques de l'Islande. - de s'émerveiller des musées de Saint-Pétersbourg et de leurs richesses culturelles. - de vivre un "choc" archéologique à Pétra en Jordanie, ville parée de superbes couleurs ocre. - de se faire surprendre par la Géorgie et l'Arménie, deux autres destinations moins connues mais étonnantes, qui regorgent de paysages immenses et magnifiques... à découvrir dans un seul séjour. ...
Niché au coeur du pays des vignerons, la Table du Donjon vous accueille dans un cadre chaleureux contemporain. Les deux chefs de l'établissement, Jean Marc NABET et Mathieu MOUCHET rivalisent d'ingéniosité pour vous servir des plats d'exception. Du vrai « fait maison » La Table du Donjon, c'est la promesse d'une escapade gastronomique au beau milieu des vignes et du patrimoine architectural unique du village. Appréciez les plats privilégiant les produits locaux sur la terrasse, donnant sur les envoûtants Monts du Beaujolais des Pierres Dorées, ou dans l'une des deux salles joliment décorées, à la présentation soignée. Au menu ou à la carte, goûtez au nombreux délices alliant créativité et saveur du terroir, à l'instar des profiteroles de caille farcie au foie gras de canard fait maison, que vous accompagnerez d'un succulent dessert et d'un Brouilly de la Maison viticole Jérôme Mathon. Apiculteurs, vignerons et maraîchers locaux sont mis à l'honneur dans des plats raffinés représentant les authentiques succulences de la région. De la bonne cuisine au pays du bon vin Faites-vous plaisir à l'occasion d'un détour gourmand à la Table du Donjon. Au menu : délices du palais, convivialité et instants intimes ou en famille. Le restaurant propose notamment un éventail de choix en matière de vins, établis sur deux cartes. Présentant des cuvées issues de tout le pays,l'enseigne priorise, entre autres les vins locaux. Riche et fier de ce patrimoine, l'établissement affiche dans sa cave plus de 360 références. ...
Les statistiques montrent que la perte auditive affecterait 9,3 % de la population française, ce qui équivaut à près de 6 millions de personnes malentendantes. Or seul un tiers de cette population concernée est équipé d’un appareil auditif. « Les gens ne savaient tout simplement pas qu’ils pouvaient compenser leur perte auditive avec des solutions immatérielles », éclaire Mehdi Labidi, responsable marketing de chez Profonia. De plus, la prise de conscience sur les premiers troubles de l’audition s’avère très tardive. Dans ce contexte, Profonia se révèle comme le médiateur tant attendu à l’égard des personnes malentendantes et des professionnels de l’audition. MyProfonia : un complément incontournable pour mieux entendre MyProfonia est une application mobile destinée à accompagner le malentendant dans son parcours de soins. En interagissant en permanence avec son audioprothésiste, il bénéficie d’un service plus qualitatif quant à la prise en charge de son accompagnement. L’accompagnement s’effectue via les différents contenus de l’application : tutoriels de manipulation de l’appareil auditif, leçons de coaching sur les activités à réaliser, questionnaires... Notons que MyProfonia cible également les individus qui souhaitent s’informer sur leurs éventuels troubles auditifs et trouver une solution pour les prévenir. Une des principales raisons qui a poussé l’équipe de Profonia à développer un test d’audition, qui sera directement intégré dans l’application. Un outil de valorisation des professionnels Les médecins ORL, les audioprothésistes et autres spécialistes profitent d'une solution qui leur est spécialement dédiée à savoir Profonia Pro. Via l’application, ils peuvent établir des programmes de suivi personnalisé selon chaque profil de patient. Ainsi, ils pourvoient le plus riche accompagnement possible. Et grâce aux feedbacks des patients recueillis par les questionnaires de satisfaction, ces professionnels sont en mesure d’ajuster les programmes de suivi. Par ailleurs, Profonia souhaite élargir la solution en adoptant une approche pluridisciplinaire. L’objectif est d’intégrer les autres professionnels de santé dans la prise en charge des patients et de créer ainsi un « écosystème Profonia ». Cette perspective concerne, par exemple, l’accompagnement psychologique pour les personnes souffrant d’acouphènes ou le conseil de pédiatre pour les enfants malentendants. ...
Enovap accompagne les fumeurs et les vapoteurs à contrôler leur consommation en nicotine, et éventuelle-ment permettre de la réduire progressivement. Conçue par une équipe d’ingénieurs, cette start-up en pleine expansion, est déjà suivie de près en Angleterre et aux Etats-Unis. Faciliter la transition vers la cigarette électronique Le prototype final du produit a été partiellement financé par le réseau Entreprendre, la BPI France et la Fondation Norbert Ségard. L’objectif, faire comprendre à l’utilisateur la nécessité d’adapter sa consommation en nicotine suivant ses besoins et suivant les moments de la journée. Pour cela, la partie supérieure du vaporisateur personnel se pare d’un système à deux réservoirs, une technologie brevetée. « L’utilisateur va remplir un e-liquide sans nicotine dans l’un des réservoirs, et un avec nicotine dans le second réservoir », explique Julien Abulféda, directeur technique d’Enovap. En contrôlant la vapeur émise de chaque réservoir, Enovap permet au vapoteur de réguler sa concentration en nicotine et le volume de vapeur inhalé, en appuyant simplement sur un bouton. En mode manuel, l’usager peut utiliser cette fonctionnalité « hit control » à tout instant, sans avoir à changer de liquide. En outre, le « flavor mix » permet à l’utilisateur de composer ses propres cocktails de saveurs en associant deux e-liquides aux arômes différents et en contrôlant le pourcentage voulu de chaque saveur. Son design élégant, signé Elium Studio, suggère une forme ergonomique et optimisée. « La housse est entièrement personnalisable, car il s’agit d’un objet personnel à usage quotidien, c’est important qu’il plaise à chaque utilisateur », explique Aymard de Ravignan, directeur commercial d’Enovap. Un algorithme performant La start-up a engagé une collaboration avec le Centre National de la Recherche Scientifique afin de dévelo-pper un algorithme avancé permettant d’analyser et d’anticiper les besoins en nicotine de l’utilisateur à chaque inhalation. « L’intelligence artificielle va comprendre les habitudes de consommation de l’usager et récupérer ces données pour stabiliser ou diminuer son taux de consommation. » Le produit Enovap est ainsi connecté à une application mobile, où sera affichée en temps réel l’évolution de la consommation à travers des données graphiques simples. En activant le mode automatique, cette technologie crée un programme de réduction d’apport en nicotine sur la base des données recueillies. Le vapoteur peut relever ce challenge sous les conseils des professionnels de santé et en s’entourant d’une communauté d’utilisateurs. « À terme, le dispositif offre un accompagnement complet et sur mesure aux fumeurs dans leur démarche d’arrêt du tabac. » ...
Les douze heures de vol au départ de la France sont très vite récompensées par un magnifique panorama sur les chaînes montagneuses, les vallées et les plaines sauvages qui composent le pays à 90%. Le Kirghizistan, situé en Asie centrale, est une destination authentique encore méconnue du tourisme de masse. D’une beauté infinie, son paysage mystérieux envoute autant que la générosité de son peuple multiethnique. Un bout de paradis « Le Kirghizistan est la destination d’excellence pour les trekkeurs et les amoureux de la Nature », raconte Emelyne, responsable des ventes à Kyrgyz’What? et véritable globe-trotteuse dans l’âme. Près de la moitié du territoire s’élève à une altitude de plus de 2 700 m, où le pic Pobedy (7 439 m) et le pic Lénine (7 134 m) trônent majestueusementsur les montagnes du Tian Shan et du Pamir-Alay. Au cœur de ce somptueux décor se révèlent des lacs et des rivières aux eaux vertes turquoise, dont le plus célèbre est sans nul doute le lac Issyk-Kul, le deuxième plus grand lac alpin du monde. « Ici, les voyageurs peuvent s’abandonner aux baignades, explorer les gorges en canot ou se promener à cheval pour saisir la magie de cet endroit. » Entre randonnées en montagne (pédestre et équestre) en période estivale et ski hors piste, motoneige et traineau à cheval l’hiver, les activités sur place invitent à contempler toutes les merveilles de la destination. Vivre une expérience culturelle et humaine Terre d’aventures mais aussi terre de découvertes, le Kirghizistan est un pays qui vit passionnément de sa culture, partagée entre empreinte d’un passé soviétique et style de vie nomade hérité des ancêtres. « Nos voyageurs cherchent constamment cette immersion dans la vie quotidienne des Kirghizes, qui sont restés très fidèles à leur identité culturelle », poursuit Emelyne. Et l’agence Kyrgyz’What? sait relever ce défi, en proposant une rencontre inédite avec les bergers, une ou deux nuits chez les villageois, un hébergement en yourte dans les montagnes où les hôtes peuvent même s’initier à la traite des bêtes. C’est dans cet esprit que l’équipe conçoit des voyages taillés sur mesure, en fonction des envies et des exigences de la clientèle. « Nous avons des trekkeurs, des groupes d’amis, des familles ou des couples qui viennent au Kirghizistan, et tous trouvent leur part de bonheur ici. » Parcourant plusieurs thématiques (insolite, incontournable, séjour équestre et randonnée, aventure, nomade, culture, etc.), les séjours packagés durent entre trois jours et trois semaines en prévoyant un tarif avantageux pour les réservations de groupe. Basée à Bichkek, Kyrgyz’What? est à même de proposer un véritable accompagnement pour offrir la meilleure expérience de voyage possible. « En outre, nous avons également une présence active sur le Web et les réseaux sociaux pour être toujours proches de nos clients », précise l’équipe. ...
5 000 étudiants et une centaine d’enseignants et chercheurs se croisent sur le campus de l’UFR des Sciences de la santé Simone Veil ou Faculté de médecine Paris Ile-de-France Ouest. Des étudiants qui ont choisi la santé comme parcours professionnel que ce soit en tant que médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme, infirmier ou psychomotricien. « Nous avons choisi de renommer la faculté en tant que Sciences de la santé pour représenter le panel des formations médicales et paramédicales », commente Pr. Djillali Annane, doyen de l’UFR des Sciences de la santé. Tous les ans, l’UFR fait amphi comble, refusant des candidats malgré une offre de formation qui s’étoffe d’année en année. « Il y a un besoin, une attente autant de la part des étudiants que des professionnels de santé pour diversifier les formations, notamment en paramédical », constate le doyen de l’UFR. Professions paramédicales : des métiers d’avenir Pour le Pr. Annane, les professions paramédicales sont des métiers d’avenir à l’instar de l’ergothérapeute qui prévient, réduit ou supprime les situations de handicap en tenant compte de l’environnement et des habitudes de vie. « Au vu du vieillissement de la population, l’ergothérapie est appelée à se développer très vite alors qu’elle est encore largement méconnue par les lycéens », constate le doyen. Car c’est en dernière année de lycée que la plupart des choix professionnels se décident. Combien de nouveaux bacheliers se dirigent par défaut, sans réelle motivation et ni connaissance de leur futur métier dans des voies dites de garage ? Le doyen de l’UFR les invite à pousser les portes des UFR pour éveiller leur curiosité aux métiers de l’imagerie médicale, de la nutrition ou de la dermatologie ou de nombreuses autres professions. Faire le lien entre les médecins surspécialisés et les soignants Si l’UFR propose des formations “classiques”, tous les étudiants ont le choix de poursuivre en se spécialisant. Un élève qui aura fini ses trois années en soins infirmiers pourra enrichir son parcours : compétences cliniques avancées en soins palliatifs, coordination de réseaux de soins, responsable de projets cliniques, consultant en éducation du patient, superviseur de pratiques soignantes... L’infirmier devient ainsi référent dont les compétences lui ouvrent de nouvelles fonctions au sein des unités hospitalières et/ou en transversal. Des parcours enrichis qui intéressent fortement les employeurs et chefs de service. « Dans un contexte où les médecins se spécialisent de plus en plus voire se sur-spécialisent, un fossé en termes de compétences s’est creusé au sein des équipes de soignants entre paramédicaux et médecins, analyse le Pr Annane. A l’UFR, il nous a semblé important de combler ce fossé en permettant à des paramédicaux d’acquérir une compétence particulière et ainsi de faire le lien ». Canadiens et Suisses en master 2 La force de l’UFR est aussi ses master 2, innovants et rares en France. Des master Agents infectieux, Méthodologie des interventions en santé publique ou Handicap neurologie. La renommée des formations de l’UFR Simone Veil dépasse le cadre hexagonal : Canadiens, Suisses, Belges, Luxembourgeois et Norvégiens candidatent en deuxième année de master, notamment celui en sciences cliniques en soins paramédicaux. « Les pays nordiques européens et le Canada sont, depuis longtemps, tournés vers la prophylaxie [NDLR : prévention] et leurs formations socles sont de très grande qualité, souligne le doyen. Ils viennent ici chercher une nouvelle compétence hautement spécialisée ainsi qu’une expérience au sein du système de santé français. » ...
La production a fait son nid dans le charmant village d’Aӱ, qui est installé au pied des coteaux des vins de Champagne. Les champagnes Gosset, aujourd’hui plébiscités par les plus grandes tables, sont un symbole d’un art de vivre mêlant délicatement passion et savoir-faire. Des vins au cœur de l’Histoire Jean Gosset (1484-1556), « Seigneur d’Aӱ et de Mareuil », est l’instigateur de toute cette aventure. Il transmet à sa descendance la passion pour le vin qui, au fil des générations, devient une véritable identité familiale. En 1584, Pierre Gosset, petit-fils de Jean, décide de fonder sa propre entreprise de négoce, axée principalement sur la commercialisation de vins rouges. Cette initiative permet à la famille d’entrer dans la corporation des marchands de vin. Trois siècles plus tard, l’entreprise familiale se transforme en une société anonyme dénommée « Champagne Gosset », un projet concrétisé par André Gosset en 1952. À son décès, son épouse Susanne le succède à la présidence. Elle apporte une touche personnelle à la production, en présentant son champagne rosé arborant un style glamour et féminin. Claude Gosset est celui qui contribuera à faire entrer les champagnes Gosset dans l’ère de la modernité et de la qualité à partir de 1970. En 1993, les Gosset confient les clés de la maison au groupe Renaud Cointreau. Conscients de la valeur de l’identité familiale, les nouveaux propriétaires décident de conserver le style Gosset, tout en apportant un brin d’innovation. Quand savoir-faire rime avec passion En 2009, les Cointreau déménagent la production à Épernay, dans un chai grandiose et up-to-date. Le nouveau domaine se dote de bâtiments du XIXe siècle qui renferment 1,7 km de caves pouvant accueillir 2,5 millions de bouteilles. Ce fut un véritable plaisir pour Jean-Pierre Mareigner de mettre ses talents de chef de cave au service d’une maison aussi prestigieuse. Pendant 33 ans, ce virtuose des vins se révèle comme le garant de l’excellence des cuvées, en misant sur un style de fermentation « sans malo ». Jean-Pierre Mareigner a énormément contribué à la notoriété de la maison Gosset, dont le savoir-faire a été labellisé « Entreprise du patrimoine vivant » (EPV) en 2013. Aujourd’hui, Odilon de Varine reprend les rênes en cave avec autant de dextérité que son prédécesseur. La Présidence de la Maison GOSSET est assurée depuis 2007 par Jean-Pierre Cointreau. ...
Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...
Les chiffres sont éloquents. Le taux d’insertion professionnelle des diplômés de l’UFR Droit Économie et Gestion confirme l’attractivité de ses formations. Selon la dernière enquête*, 90 % d’entre eux sont entrés dans la vie active 30 mois après l’obtention de leur diplôme. 75 %** trouvent un emploi dans les 12 mois qui suivent l’obtention de leur diplôme. Deux performances qui confirment le bien-fondé de la stratégie menée par la faculté. Allier les compétences d’un corps enseignant de qualité (150 enseignants-chercheurs) avec celles des praticiens de l’entreprise, des collectivités territoriales et de l’administration (plus de 350 intervenants extérieurs). Et entretenir des liens forts et pérennes avec le tissu économique, les entreprises, les associations professionnelles (ANDRH, CNFPT, l’ordre des experts-comptables, la magistrature…). L’apprentissage en alternance, clé du succès Désormais, la moitié des masters dispensés par la faculté est proposée en apprentissage, une formule qui associe l’immersion en entreprise et le cours théorique. Grâce à cette séquence d’une année, l’étudiant valide une première expérience professionnelle de découverte et d’orientation dans un secteur qu’il a choisi. Il bénéficie d’un accompagnement personnalisé assuré par un tuteur universitaire et un maître d’apprentissage en entreprise. Une période qui exige détermination et disponibilité. Ce sont les capacités opérationnelles et d’adaptation qui s’en trouvent améliorées. Des lignes précieuses sur un CV quand il s’agit de convaincre un employeur. Ainsi, la faculté signe chaque année plus de 150 contrats d’apprentissage mais aussi près de 900 conventions de stages. La construction du projet professionnel n’est pas laissée au hasard : tout au long du cursus universitaire, des ateliers CV, lettre de motivation, préparation à l’entretien et des rencontres avec des professionnels sous forme de petits déjeuners et de forums métiers sont proposés aux étudiants. Des laboratoires de recherche reconnus De même, le niveau de recherche soutenu par la faculté conditionne la qualité de l’enseignement. Comme l’explique le doyen de la faculté, le Pr Cem Ertur, de tels niveaux d’excellence sont le fruit d’une harmonie entre recherche et enseignement, véritable écosystème favorable. « La faculté ne pourrait se prévaloir d’un tel classement si nos formations hautement qualifiantes et très recherchées par les entreprises n’étaient adossées à la recherche d’excellence dans nos laboratoires : le laboratoire d’Économie d’Orléans, le Centre de recherche juridique Pothier et Vallorem, le laboratoire de recherche en management. » * Enquête nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, décembre 2014 et avril 2015. ** Enquête réalisée par les services de la faculté de Droit, d’Économie et de Gestion. ...
Du haut de ses 29 ans, Arthur Lotrous possède déjà un solide background dans le milieu de la viticulture. Après un BTS viticulture-œnologie au lycée de Davaye, il acquiert sa première expérience professionnelle au Château Bouscaut à Pessac-Léognan dans le Bordeaux puis au Domaine de la Pierre des Dames à Prissé. « J’ai voulu découvrir de nouveaux horizons et notamment voir ce qui se faisait dans la biodynamie, ce qui m’a amené à travailler au Domaine La Soufrandière/Bret Brothers à Vinzelles », raconte-t-il. Lorsqu’il apprend qu’une exploitation située à Saint-Amour Bellevue dans le Beaujolais était à reprendre, il saute sur l’opportunité en novembre 2018… Passionnément vin Le nom qu’il donne à son nouveau domaine viticole témoigne du profond attachement qu’il voue aux vignes et au vin. « Les sources » désignent la Rue des Sources sur laquelle se trouve le siège de l’entreprise tandis que « Agapé » est un mot grec qui signifie « amour inconditionnel ». Le respect qu’il manifeste à l’égard de ce métier et de la terre s’exprime à travers le choix d’une agriculture biologique sur l’ensemble de son vignoble composé de 6 hectares d’un seul tenant qui surplombe l’appellation Saint-Amour, sur les pentes du Mont-Besset. Le gamay dans toute sa splendeur Sur les sols de grès et d’argile qui se caractérisent par leur bonne rétention d’eau se développent des vignes plantées en gamay et âgées de 60 ans en moyenne. Le jeune vigneron a décidé de travailler son vignoble en « gobelet », une ancienne méthode qui date de l’époque romaine et qui s’applique sur des vignes non palissées. Ce procédé implique des travaux souvent complexes qui exigent de tout faire à la main. De cette démarche particulièrement méticuleuse naissent des cuvées pleines de promesses telles que Mont-Besset, un 100 % gamay aux arômes de fruits rouges et juteux qui révèlent des saveurs de cerise et de douces notes de sous-bois. ...
Séminaires, team-building ou lancements de produits, l’équipe Epsilon saura faire de votre visite un moment mémorable fait de surprises, d’amusement et d’esprit d’équipe. Le concept est simple mais innovant, le room Escape. Inspiré de jeux vidéo, le but est de s’échapper d’une pièce close, la fameuse chambre du patient n° 8. Résolutions d’énigmes, mystères à découvrir, jeux de réflexion… Aux équipes de tout faire pour révéler tous les secrets de cette chambre et espérer en échapper… La chambre du patient n° 8 Inspirés des énigmes et de la réflexion caractérisant l’univers de l’escape game, Florent Steiner et Guillaume Natas, deux amis ingénieurs et passionnés de jeux vidéo, décident de créer cet univers parallèle scénarisé d'une histoire digne des plus grands thrillers. « À l’arrivée, les participants sont accueillis par un membre de l’équipe qui va leur expliquer le principe, les règles de sécurité et le scénario », nous explique Guillaume Natas. Dans un décor plus vrai que nature, nous nous retrouvons ainsi plongés dans les années 90, plus précisément en 1992. On raconte alors que le patient de la chambre n° 8, dont le docteur Edmond Epsilon avait la charge, s’est échappé par on ne sait quel moyen. Cette chambre prétendument située dans un hôpital psychiatrique, la clinique Sinople, sera ainsi le terrain de jeu des équipes, composées de 3 à 5 joueurs, qui joueront seules ou contre d’autres groupes. Tout est pensé afin de plonger chaque équipe dans le monde psychiatrique des années 90 : lit avec menottes, chambre à l’aspect froid, vieille télévision… « Propulsés dans cette histoire inspirant l’aventure, les joueurs devront ainsi découvrir comment ce patient a réussi à s’échapper de cette pièce », reprend notre interlocuteur. À l’aide d’un Maître de jeu, ou game manager, interagissant de l’extérieur avec les joueurs pour les aider en cas de besoin, chaque équipe aura en tout soixante-dix minutes pour trouver la solution et sortir de cette pièce. Des énigmes devront être résolues, des objets déplacés et des secrets dévoilés par la réflexion, l’observation, la logique et bien sûr l’esprit d’équipe. À découvrir absolument… Des prestations au-delà du jeu Au-delà de l’aspect ludique du jeu, un team-building ou un séminaire organisé autour d’un escape game sera l’occasion de découvrir les facultés et les limites de chacun. Le jeu, à la difficulté bien mesurée, contribuera, en effet, à développer l’esprit d’équipe tout en vous permettant d’identifier, aux côtés du game manager, les personnes leaders capables de mener des équipes par une bonne prise d’initiative. « Véritable révélation de la personnalité grâce à la mise en difficulté, ce jeu vous assurera de découvrir vos collaborateurs sous un nouveau jour », continue-t-il. Mis à part le côté ludique, les locaux d’Epsilon Escape disposent de salles de réception pouvant accueillir une centaine de personnes en cocktail. Les services vont ainsi de l’organisation d’une seule partie d’escape game, avec, en plus, le rafraîchissement dans un salon, de la privatisation intégrale du lieu. Ces prestations haut de gamme et sur mesure peuvent, par ailleurs, être agrémentées d’animations diverses dans le cadre de la formule clé en mains. ...
Au cœur de l’Avesnois, territoire ayant su conserver toute la beauté de son environnement, se trouve la station touristique du Valjoly. Créée en 2008, ce lieu est ouvert toute l’année et adapte son offre aux saisons en proposant différents type d'hébergement (Cottage, Chalet, camping et centre d'Hébergement de groupe), ainsi qu’un large choix de services et d’activités. Faisant partie de l’une des zones les plus riches de la région Hauts-de-France, en matière de biodiversité, l’Avesnois est surtout une nature bocagère triomphante et revigorante permettant de nombreuses découvertes mais aussi la pratique de sports, de loisirs et de balades. Ce patrimoine préservé est l’endroit où l’on peut apprécier des savoir-faire vivants comme la fabrication de la bière mais aussi découvrir des musées avec démonstration ( Ecomusée, MUSVERRE, ... ). Un large choix d’hébergements La station touristique du Valjoly dispose de plusieurs sites d’hébergements en milieu naturel. Au nombre de 180, les cottages sont idéalement situés au cœur d’un espace boisé et calme et possèdent une vue sur le lac ou la forêt. Aménagés pour 2 à 8 personnes, ces petites maisons offrent un grand confort, grâce à la télévision (en option), un lave-vaisselle, une plaque vitro-céramique et une hotte aspirante, un micro-onde, un réfrigérateur, une poêle à bois (à partir de 3 pièces) ainsi qu’une terrasse équipée. Afin d’approfondir l’harmonie avec la nature, la station touristique du Valjoly donne également la possibilité à ses visiteurs de dormir dans des yourtes, en camping ou dans des chalets. Sans oublier, La Héronnière, un établissement offrant des prestations d’hébergement et de restauration intégrées ou non à des formules d’activités. Une rue commerçante La station touristique du Valjoly ne se contente pas d’héberger ses visiteurs mais présente également des commerces intéressants. Ainsi, on retrouve notamment des restaurants et des bars. En premier lieu, « Fresh Up », un bar à pates proposant de la restauration rapide à consommer sur place ou à emporter. Ensuite, « Coté Sud »un établissement offrant de nombreuses recettes gourmandes, tout particulièrement des grillades et des pizzas. « L’Estaminet » est un endroit où l’on peut découvrir ou redécouvrir les meilleurs plats du nord de la France et de Belgique. L’imposant « Restaurant du Lac » offre une magnifique vue panoramique sur le lac. Et l’opportunité de déguster des plats à base de produits frais de la région. Enfin, l’irish pub « O’Maley’s » donne l’occasion de boire un verre entre amis, mais aussi de jouer au baby-foot, aux fléchettes ou encore au 421. Ajoutons à cela, le salon de thé, les boutiques de vêtements, du terroir et de souvenirs du lac, une épicerie, ainsi qu’un magasin de verre, présentant la faculté d’être également un atelier, où l’on peut s’initier au thermoformage. ...
A tout le reste maudit, à la vigne ce terroir ravit D’origine médiévale, le Château La Salagre a hérité son nom d’une histoire tumultueuse entre un suzerain et son vassal. Selon la légende, du temps des guerres anglaises, le seigneur de Montcuq fut trahi par un de ses vassaux. En représailles et sous ordres du souverain, les terres de ce dernier furent recouvertes de sel et son manoir rasé. Si le nom de la Salagre (du latin saltunager) est resté, le sel a disparu, peut-être dans le ruisseau la Salègre qui traverse le domaine. Aujourd’hui, cette histoire des plus anecdotiques est le symbole de la force de ce terroir. La disparition du sel sur ces terres a permis l’expression des cépages merlots, cabernet-sauvignon, sauvignon et sémillon et la complexité des assemblages qu’ils composent. Conversion bio réussie dès 1999 Si la Salagre fut l’un des précurseurs de la viticulture bio à Bergerac, ce fut surtout le premier des châteaux de Bordeaux Vineam à se lancer dans l’aventure. Avec pas moins de 20 médailles récoltées en 16 ans, cette conversion sera une telle réussite, qu’elle mènera naturellement à celle des châteaux Bourdicotte et Grand-Ferrand en 2010 et Moulin à Vent, Grillon et Rocher Bellevue en 2015. Donnant naissance à l’un des producteurs bio incontournables de notre région. Une équipe enracinée depuis un quart de siècle Eric et Philippe chaperonnent la Salagre depuis plus d’un quart de siècle : ils ont été témoins des grandes gelées de 1991 et de 2013 et de la conversion des châteaux en bio. S’ils reconnaissent que le monde viticole a beaucoup évolué autour d’eux en 26 ans, Eric et Philippe en sont conscients, la qualité des vins qu’ils produisent, elle, demeure. ...
Une histoire de vins Créée en 1822 par Louis NICOLAS, la petite boutique de vins du 53 rue Sainte-Anne à Paris ne connaît son véritable essor que quelques années plus tard, quand le gérant a l’idée, saugrenue pour l’époque, de commencer à livrer ses vins au domicile des particuliers. NICOLAS avait déjà surpris le monde parisien quand il s’était lancé dans la commercialisation de vins en bouteilles, alors que ses contemporains n’achetaient et ne vendaient que leurs produits en barriques ou tonneaux. L’idée fonctionne et la Maison NICOLAS multiplie les ouvertures d’établissements, jusqu’à compter 42 enseignes partout en France au tournant du XXe siècle et près de 140, une vingtaine d’années plus tard. Aujourd’hui, le numéro un et plus ancien distributeur de vins en France est présent sur tout le territoire avec près de 500 boutiques (dont 10 dans les départements d’outre-mer) et à l’étranger grâce à un réseau d’établissements et de franchises. Le groupe confirme son ambition internationale en ouvrant régulièrement des succursales en Belgique et en Suisse et des franchises au Maroc, au Royaume-Uni et même à Beyrouth au Liban. Plusieurs innovations et idées nouvelles ont accompagné le développement de l’enseigne et continuent aujourd’hui à contribuer à la notoriété populaire de la marque. Car non content d’avoir démocratisé un nouveau format de bouteille auprès des particuliers, la Maison NICOLAS a utilisé a son bénéfice l’essor d’un nouveau média de communication, la publicité, en créant, en 1922 un personnage attachant et directement reconnaissable : Nectar, le livreur moustachu aux bras chargés de bouteilles. Plus tard, la Maison NICOLAS sera encore précurseur en proposant le beaujolais nouveau à grande échelle, puis en mettant les vins de pays de France à l’honneur de sa carte et à des prix abordables. Une qualité constante sur chaque bouteille Une équipe d’une demi-douzaine de personnes est dédiée à la qualité des vins dont trois d’œnologues qui œuvrent constamment en coulisse pour sélectionner chaque année les meilleurs nectars des différents terroirs français et des autres régions du monde où NICOLAS choisit ses vins. Tous les vins sont goûtés, même quand il s’agit d’un changement de millésime, par cette petite équipe (8591 dégustations d'agréage effectuées en 2017). Le chiffre est variable selon la période de l’année, mais ce sont près de 1 200 références qui sont disponibles sur Internet et dans les différentes boutiques de l’enseigne à chaque instant, et dont il faut s’assurer de la qualité constante sur chaque bouteille. Ce contrôle de qualité permet de retirer immédiatement de la vente une référence si elle n'affiche pas toutes les qualités qu'elle avait préenté lorsqu'elle a été agréée. De même, chaque bouteille qui revient en magasin, si par exemple le client estime que ses qualités gustatives sont altérées, est directement envoyée au laboratoire du Groupe pour vérification. Ce qui permet des échanges constructifs avec chaque fournisseur que la Maison préfère nommer " partenaire ". Cette qualité dans la sélection des bouteilles se retrouve tout naturellement dans les cuvées spécifiques de la Maison. Même s’il reste essentiellement un revendeur de vin, NICOLAS propose quelques « cuvées Nicolas » spécialement assemblées pour l’enseigne par sa propre équipe d'oenologues. Les gammes couvrent les trois couleurs classiques avec des propositions à des prix abordables. On retrouve dans la gamme Cub. Collection NICOLAS quelques merveilles dont un AOC côtes-du-rhône, composé principalement de syrah, qui s’avère surprenant. Proposé dans un format cubique à l’emballage moderne, il trouve facilement sa place sur un coin de table. Les Vinissimes, le nouveau salon haut de gamme Le premier caviste de France organise aussi chaque année un salon haut de gamme pour présenter quelques-unes de ses plus pres...